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  • Lu pour vous : Islamisme

    "Oublions le politiquement correct et les préjugés sommaires : il est plus que temps d'appeler un chat un chat et un totalitarisme un totalitarisme.

    Oui , l'invasion sanglante de l'islamisme dans notre vie quotidienne pourrait annoncer une troisième guerre mondiale.

    Oui, la vrai question, désormais, est de savoir comment nous pouvons vaincre cette terrible menace qui a pris le France et les Français pour cible.

    Assez de contorsions, assez de démagogie !

    Loin de l'esprit munichois qui transpire jusqu'au sommet de l'Etat, ce défi nous rappelle la formule de Clémenceau : en politique "il faut savoir ce que l'on veut.

    Quand on le sait, il faut avoir le courage de le dire.

    Quand on le dit, il faut avoir le courage de le faire".

    C'est à cette tâche que je m'attelle, dès aujourd'hui, avec vous."

    (Dernière de couverture du livre de François FILLON : Vaincre le totalitarisme islamique)

     

    A la différence de beaucoup d'autres politiques, il est à espérer, en cette période de Noël et de fin d'année 2016, à l'aube de 2017, qui sera l'année politique la plus importante pour notre NATION, que son annonce sera suivie d'actes forts.

    Dominique SLABOLEPSZY

    Conseiller régional honoraire.

    Membre du BP du PARTI de la FRANCE

     

  • Messe pontificale

    A Noël, le pape pense aux enfants, y compris ceux "qu'on ne laisse pas naître"

    Rédigé le Dimanche 25 Décembre 2016 à 10:23 | 0 commentaire(s)

     

    Le pape François a demandé samedi aux 1,2 milliard de catholiques dans le monde d'éprouver de la compassion pour les enfants qui souffrent des guerres ou de la misère, mais aussi pour ceux qu'"on ne laisse pas naître", pendant la messe de veillée de Noël.


    Dans sa traditionnelle homélie de Noël, qui est la célébration pour les chrétiens du jour de la naissance de Jésus de Nazareth, le pape a évoqué "la simplicité fragile d'un petit nouveau-né, la douceur de son être couché, la tendre affection des langes qui l'enveloppent".  

    "Là est Dieu", a-t-il insisté, devant une dizaine de milliers de fidèles rassemblés dans la basilique Saint-Pierre de Rome, qui pour certains ont fait la queue dès l'après-midi pour être là. 

    Aversion pour l'avortement

    "Laissons-nous interpeler par l'Enfant dans la mangeoire, mais laissons-nous interpeller aussi par des enfants qui, aujourd'hui, ne sont pas couchés dans un berceau et caressés par la tendresse d'une mère et d'un père, mais qui gisent dans les sordides 'mangeoires de la dignité': dans le refuge souterrain pour échapper aux bombardements, sur les trottoirs d'une grande ville, au fond d'une embarcation surchargée de migrants", a lancé le pape François.  

    Il s'exprimait sous le somptueux baldaquin dessiné par le Bernin, où seul le souverain pontife est autorisé à célébrer la messe. 

    "Laissons-nous interpeller par les enfants qu'on ne laisse pas naître", a poursuivi le pape, qui répète souvent son aversion pour les avortements. 

    Attaques contre la société de consommation

    Il a aussi demandé aux catholiques de penser aux enfants qui "pleurent parce que personne n'assouvit leur faim" et "ceux qui ne tiennent pas dans leurs mains des jouets, mais des armes". 

    Le pape François, pourfendeur de "l'indifférence" d'une société consumériste, a critiqué les célébrations de Noël pendant lesquelles "les lumières du commerce jettent dans l'ombre la lumière de Dieu", les fidèles se donnent "du mal pour les cadeaux" en restant "insensibles à celui qui est exclu". 

    L...Lire la suite sur L'Express.fr