En attendant le grand soir
En finir avec le modèle social (anti-)français.
Postiers, SNCF, hôpitaux, CAF, etc. tous les politiques, y compris la candidate des patriotes lors de la dernière élection présidentielle, vantent, défendent, même lorsqu’ils affirment le réformer, le fameux modèle social français, tellement fameux que le monde entier nous l’envierait. Sauf que ce modèle social est un poison, un boulet pour la France car contrairement à ce que les partisans de ce modèle affirment, il ne profite en rien aux Français…
Bien au contraire, il grève d’impôts commerçants, artisans, chefs d’entreprise, il gèle la rémunération des salariés, il affaiblit les retraites, il diminue l’épargne… En effet, ce modèle – établi pour mieux répartir les richesses, mis en place pour aider précaires et nécessiteux à ne pas tomber dans la misère, conçu pour financer les services publics d’un Etat omnipotent plus efficace que le marché pour favoriser la solidarité et l’équilibre entre les territoires – n’est désormais qu’un gouffre des maigres richesses des Français, qu’un créateur d’une dette abyssale qui financent, à fonds perdus, la subversion migratoire dans des pans entiers de notre pays, sans parler de l’achat de clientèle électorale…
En effet ce fameux modèle ne se résume plus qu’en la fameuse politique de Vile qui a déversé des millions et des millions d’euros dans les quartiers de l’immigration et ce pour rien, au détriment de cette France rurale de plus en plus en périphérique, qui vide les écoles rurales au bénéfice des immigrés et pour un résultat qui sera bien entendu nul…
Ce modèle social crée aussi des comportements d’assistés qui ne comprennent pas pourquoi ils n’auraient pas autant que les immigrés qui reçoivent sans rien faire, qui encourage la triche et le mensonge pour obtenir des prestations, qui met à mal la natalité française, per exemple, en considérant que les familles françaises qui ont les moyens doivent recevoir moins voire plus du tout d’allocations et ce aux bénéfices des familles immigrées ou d’origine immigrée.
Ce modèle est donc devenu parfaitement injuste et anti-français.
Pour autant, il ne faut pas supprimer toute forme de solidarité publique qui passerait par l’impôt, mais il s’agit de fermer les vannes de financement de la substitution de notre peuple, de mettre fin aux logiques clientélistes des élus pro-immigration – qu’ils soient de droite ou de gauche –, de ne plus ériger le poison de l’assistanat comme modèle de société, de permettre, par le principe de subsidiarité, aux familles d’assurer la protection de leurs membres.
Oui, si la droite nationale veut être populaire et sociale, elle doit dénoncer ce modèle social anti-français et mettre en place de nouvelles solidarités au profit de notre peuple.
Arnaud Malnuit