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  • Les analyses de José CASTANO

    La légende du colibri

     

    (Histoire inspirante d’origine amérindienne)

     

    « Soyez le changement que vous voulez voir dans le monde » (Gandhi)

     

        Un jour, dit la légende, il y eut un immense incendie de forêt. Tous les animaux atterrés, observaient impuissants le désastre. Seul le petit colibri s’activait, allant chercher quelques gouttes avec son bec pour les jeter sur le feu. Stupéfaits, les animaux terrifiés lui criaient : « Colibri ! Tu n’es pas fou ? Ce n’est pas avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu ! »

        Et le colibri de répondre : « Je sais, mais je fais ma part. »

        La morale de cette légende nous enseigne que, plutôt de ne rien faire face aux problèmes qui nous accablent et envers lesquels nous pensons être impuissants, nous pouvons agir à notre échelle avec nos moyens aussi modestes soient-ils… Il ne faut pas se laisser impressionner par nos peurs mais agir selon la célèbre formule de Marcel Pagnol : « tout est possible tant que l’on ne sait pas que c’est impossible ». (1)

        Et même si, à l’instar du colibri, notre action semble dérisoire, c’est grâce à la somme de ces actions que les choses changent… Soyons donc ces colibris qui refusons de voir brûler notre France et prouvons qu’en unissant nos énergies, notre détermination et notre courage, nous pouvons outrepasser les pires difficultés et démontrer au monde qu’« à cœur vaillant rien d’impossible ».

        José CASTANO

     

        (1) - « Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait »Page 145 du troisième tome des « Oeuvres complètes » de Marcel Pagnol paru en 1967.

     Sarah KNAFO le colibri de la politique française 

     

        Les colibris sont souvent appelés oiseaux-mouches en raison de leur petite taille et de la vitesse de leur battement d’ailes.

        Pour les Aztèques et les Mayas, les colibris étaient des symboles de joie et de légèreté. Dans la culture populaire moderne, les colibris, joyaux de la nature, sont célébrés comme des symboles de détermination et de ténacité. Ils forcent l’admiration et la protection en incarnant l’émerveillement par leur beauté, leur agilité, la résilience et l’harmonie de la nature.

    Courte vidéo sur « l’État providence » :

    "C'est toujours les autres avant les nôtres"!

     

    - Ctrl-clic : Sarah Knafo - 15 Milliards par an d'aide aux pays étrangers ! ( AFD ) : Sarah Knafo dénonce le scandale AFD (Agence Française de Développement). Message lu par Christine KELLY sur les milliards "d'aides sociales" versés par la France à l'étranger. (Laisser défiler la vidéo)

     

    - Ctrl-clic : Intervention désopilante de Sarah Knafo qui se ... - Facebook  (Sublime!)

     

          Le 20 septembre 2024, Sarah Knafo déclarait sur RMC que «  la France donnait chaque année 800 millions d’euros d’aide au développement à l’Algérie ».

        Ces propos suscitèrent rapidement une réaction officielle de l'Algérie qui décida, le 25 septembre, de porter plainte pour « diffusion de fake news »… ce qui fit dire à l’eurodéputée, chez Pascal Praud : « L'État algérien ne m'intimidera pas ! » 

        Le 27 septembre, Le parquet parisien soulignait que pour qu'une plainte pour diffusion de fake news soit recevable, deux critères devaient être prouvés : la nature mensongère de l'information et son impact potentiel sur l'ordre public. Dans ce cas, ces éléments n’ayant pu être établis, la plainte de l’Algérie contre Sarah Knafo fut classée sans suite « au motif que l'infraction n’était pas caractérisée », précisa le parquet, sollicité par l'AFP.

     

    « C’est à l’Algérie de rembourser la France »

     

    Excellent article de Bernard LUGAN :  - Ctrl-clic : https://nouveaupresent.fr/2025/08/11/cest-a-lalgerie-de-rembourser-la-france/

     

    « Il faut être crédible pour être écouté » (Raymond Barre)

     

        Malgré le désastre de sa politique, les échecs de sa gestion, la faillite du « en même temps », l’imposture du « vivre ensemble », le rejet quasi unanime des Français… Malgré son incapacité à réduire l’immigration, l’insécurité et les émeutes… Malgré son manque de crédibilité qui affecte l’image de la France et sa réputation dans le concert des Nations, « Jupiter » parvient encore à nous amuser…

     

        Emmanuel Macron effectue une visite en Israël. Alors qu'il est à Jérusalem, il meurt soudainement d'une crise cardiaque...

          Les israéliens interrogent les diplomates Français qui l'accompagnent :

         Vous pouvez le rapatrier chez vous pour 50 000€ ou l'enterrer ici pour 100 €.

          Les diplomates Français se consultent puis, unanimement, répondent aux  Israéliens qu'ils veulent rapatrier Macron en France.

          Surpris, les Israéliens leur demandent :

        - Pourquoi vouloir dépenser 50 000€ pour le rapatrier, alors qu’avec seulement 100€ il pourrait être enterré ici en Terre Sainte ?

        … Et les diplomates français, visiblement pressés de rapatrier la dépouille du Président, de s’écrier d’une seule voix :

         - Jadis, un homme est mort et enterré ici. Trois jours plus tard, il est ressuscité ! Nous ne pouvons pas prendre un tel risque !!!… 
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  • C'est possible !

    mardi 2 septembre 2025

    LE TANDEM QUI VEUT DURER JUSQU' EN 2027 ! ET POURQUOI PAS PLUS LOIN ?

     

     REVUE DE PRESSE !

    JDD — Zemmour-Knafo : le tandem qui veut durer jusqu’en 2027

     
    Éric Zemmour et Sarah Knafo. MAXPPP / © Thomas Padilla

    Cet article est paru dans le JDD le 31 août. 

    Jules Torres est, nous semble-t-il, un excellent journaliste. Nous n’avons toutefois qu’une confiance et qu’un intérêt limités pour la part d’observations politiciennes qui s’y trouve exposée. 

    Aléatoire, propice aux illusions, souvent démentie par la suite des événements, c’est le lot du sujet. 

    Plus intéressante depuis toujours est la capacité d’analyse d’Éric Zemmour sur les questions de fond qui assaillent la France et menacent son identité et son existence.

     Même si, au fil des derniers mois, son souci et son engagement marqué dans la question proche-orientale nous paraît rejaillir avec excès sur ses jugements en matière de politique française.

     Sur cette dernière, il demeure un analyste et un critique des plus profonds et des plus avisés. 

     JSF

     

    Reconquête aurait pu sombrer après la débâcle des européennes de 2024. 

    Une liste plafonnant à 5 %, quatre eurodéputés élus mais aussitôt exclus – dont Marion Maréchal –, la perte de cadres comme Nicolas Bay ou Guillaume Peltier : beaucoup annonçaient déjà le naufrage. 

     

    Un an plus tard, le parti d’Éric Zemmour n’a pourtant pas disparu.

    Il revendique plus de 70 000 adhérents et tient ce dimanche à Orange ses universités d’été, où près de 3 000 sympathisants sont attendus.

     Mieux : le mouvement s’est resserré autour de son tandem fondateur, avec une répartition des rôles désormais nette

    . Éric Zemmour trace la ligne et fixe la stratégie de long terme, tandis que Sarah Knafo occupe l’avant-scène et distille, au fil de l’actualité, les prises de position qui entretiennent la présence du mouvement dans le débat public.

    Éric Zemmour, que d’aucuns décrivent en retrait, n’a en réalité rien abandonné de ses ambitions. 

    Il prépare pour octobre prochain un nouvel ouvrage, annoncé chez Fayard comme un « manifeste pour un sursaut judéo-chrétien ».

     Fidèle à sa méthode, il entend mêler analyse historique et diagnostic contemporain, replacer les secousses du moment dans une fresque plus large.

    À ses yeux, les thèmes qui l’avaient propulsé en 2022 – identité, immigration, déclassement – n’ont rien perdu de leur force : ils continuent de miner la société française.

     Éric Zemmour en est convaincu : inutile de s’épuiser dans la bataille médiatique de chaque jour, mieux vaut revenir avec une pensée ordonnée, quand le climat national sera prêt à l’entendre.

    Sarah Knafo, elle, porte la voix de Reconquête au quotidien. 

    Députée européenne, elle a imposé sa marque en quelques mois en s’attaquant aux dépenses réputées intouchables : agences d’État, aide au développement, coût migratoire.

     Ses propositions souvent disruptives et sa capacité à faire parler d’elle ont surpris jusqu’au gouvernement.

     « Elle travaille, et ça se voit. Malgré l’isolement de Reconquête, elle parvient à peser dans le débat, confie un ministre de premier plan. 

    Il faudra compter sur elle dans les prochaines années. »

      Au point de susciter l’intérêt d’élus LR qui la sollicitent pour échanger avec elle, voire se nourrir de ses analyses.

    Reconquête aurait pu sombrer après la débâcle des européennes de 2024. 

    Une liste plafonnant à 5 %, quatre eurodéputés élus mais aussitôt exclus – dont Marion Maréchal –, la perte de cadres comme Nicolas Bay ou Guillaume Peltier : beaucoup annonçaient déjà le naufrage.

     Un an plus tard, le parti d’Éric Zemmour n’a pourtant pas disparu. 

    Il revendique plus de 70 000 adhérents et tient ce dimanche à Orange ses universités d’été, où près de 3 000 sympathisants sont attendus. 

    Mieux : le mouvement s’est resserré autour de son tandem fondateur, avec une répartition des rôles désormais nette.

     Éric Zemmour trace la ligne et fixe la stratégie de long terme, tandis que Sarah Knafo occupe l’avant-scène et distille, au fil de l’actualité, les prises de position qui entretiennent la présence du mouvement dans le débat public.

    Éric Zemmour, que d’aucuns décrivent en retrait, n’a en réalité rien abandonné de ses ambitions. 

    Il prépare pour octobre prochain un nouvel ouvrage, annoncé chez Fayard comme un « manifeste pour un sursaut judéo-chrétien ».

     Fidèle à sa méthode, il entend mêler analyse historique et diagnostic contemporain, replacer les secousses du moment dans une fresque plus large. 

    À ses yeux, les thèmes qui l’avaient propulsé en 2022 – identité, immigration, déclassement – n’ont rien perdu de leur force : ils continuent de miner la société française.

     Éric Zemmour en est convaincu : inutile de s’épuiser dans la bataille médiatique de chaque jour, mieux vaut revenir avec une pensée ordonnée, quand le climat national sera prêt à l’entendre.

    Sarah Knafo, elle, porte la voix de Reconquête au quotidien. 

    Députée européenne, elle a imposé sa marque en quelques mois en s’attaquant aux dépenses réputées intouchables : agences d’État, aide au développement, coût migratoire.

     

    Ses propositions souvent disruptives et sa capacité à faire parler d’elle ont surpris jusqu’au gouvernement.  

    « Elle travaille, et ça se voit. 

    Malgré l’isolement de Reconquête, elle parvient à peser dans le débat, confie un ministre de premier plan. 

    Il faudra compter sur elle dans les prochaines années. »

      Au point de susciter l’intérêt d’élus LR qui la sollicitent pour échanger avec elle, voire se nourrir de ses analyses.

    C’est dans ce contexte qu’ils ont choisi, pour la première fois, de répondre ensemble aux questions du Journal du Dimanche

     Une première en politique française : un couple qui assume un entretien croisé pour confronter ses analyses et ses priorités. 

    L’occasion de dresser un diagnostic sévère sur l’état du pays, d’avancer leurs solutions face aux crises et de réaffirmer leur conviction : seule l’union de la droite peut leur permettre de peser jusqu’à la prochaine présidentielle. 

    La route est étroite, mais le pari est clair : tenir jusqu’en 2027, éviter la marginalisation et, le moment venu, s’imposer comme une alternative cohérente. 

    Reste une inconnue, qui demeure ouverte : qui, de Zemmour ou de Knafo, portera la candidature à l’Élysée ?

    C’est dans ce contexte qu’ils ont choisi, pour la première fois, de répondre ensemble aux questions du Journal du Dimanche

     Une première en politique française : un couple qui assume un entretien croisé pour confronter ses analyses et ses priorités. 

    L’occasion de dresser un diagnostic sévère sur l’état du pays, d’avancer leurs solutions face aux crises et de réaffirmer leur conviction : seule l’union de la droite peut leur permettre de peser jusqu’à la prochaine présidentielle.

     La route est étroite, mais le pari est clair : tenir jusqu’en 2027, éviter la marginalisation et, le moment venu, s’imposer comme une alternative cohérente. 

    Reste une inconnue, qui demeure ouverte : qui, de Zemmour ou de Knafo, portera la candidature à l’Élysée ? 

    Par   JULES TORRES 

     

     

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