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  • Hollande et les autres se foutent de nous, la preuve ! Qu'en pense miss Le pen

    Le 12/12/2012

    Arthuis (UDI-UC) demande l'avis de Didier Migaud sur le crédit d'impôt


    Le sénateur Jean Arthuis a sollicité mercredi l'avis du 1er Pdt de la Cour des comptes, Didier Migaud, sur le crédit d'impôt pour la compétitivité inscrit dans le budget rectificatif 2012, estimant qu'il constitue "un maquillage inadmissible des comptes.

    PARIS, 12 déc 2012 (AFP)
    "Les employeurs détiendront une créance sur l'Etat qui ne leur sera remboursée que l'année suivante" et "le traitement ainsi retenu par le gouvernement allège considérablement le déficit de l'Etat", déclare l'ancien président de la commission des Finances dans un courrier qu'il a rendu public.

    "Comment peut-on admettre que les entreprises enregistrent une créance sur l'Etat sans que celui-ci s'oblige à constater, parallèlement, une dette du même montant?" interroge-t-il.

    Le sénateur de la Mayenne sollicite l'"avis" de M. Migaud "face à ce qui constitue un manquement à l'exigence de sincérité", selon lui.

    "La référence au précédent constitué par le Crédit d'impôt recherche (CIR) ne peut servir de validation" car "les montants sont sans commune mesure (de l'ordre de 4 milliards)", assure-t-il. Le crédit d'impôt pour la compétitivité prévu par le projet de loi de Finances rectificative pour 2012, qui sera discuté à partir de vendredi en séance est de 20 milliards d'euros.

    "Entériner une telle pratique serait admettre un retour en arrière, en contradiction avec les objectifs poursuivis par la Loi organique relative aux lois de Finances (LOLF)", conclut M. Arthuis.

  • Pour la protection de la NATION

    COMMUNIQUE DE PRESSE de Carl LANG,

    Président du PARTI DE LA FRANCE

    Non au délitement de l'armée française !

    Le « Livre blanc de la Défense » pour 2014-2019 propose d’accélérer la désagrégation de l’armée française pourtant déjà largement entamée sous les gouvernements précédents.

    Démantèlement des 2/3 des bases militaires, 10.000 recrues en moins par an, réduction drastique des crédits consacrés à la dissuasion nucléaire, disparition du Centre sportif d’équitation militaire de Fontainebleau et d'une partie des fanfares militaires, recours à des Sociétés Militaires Privées : telles sont les pistes proposées pour achever le démantèlement de l'armée française.

    Le Parti de la France est totalement hostile à ce délitement de notre défense nationale. Bien au contraire, le budget consacré à notre armée doit être augmenté à plus de 2% de notre PIB (alors qu'il est de 1,6% environ aujourd'hui). Si des économies doivent être faites, elles doivent porter sur les opérations extérieures comme en Afghanistan où nos soldats servent des intérêts étrangers.

    Afin d'assurer notre sécurité intérieure comme extérieure, ainsi que notre indépendance, nos forces armées doivent disposer des moyens nécessaires pour remplir leurs missions de défense nationale.

    Une fois de plus l’armée française et donc notre capacité de défense sont les victimes de la démagogie socialisante et de l’incompétence économique du pouvoir politique.