Pourquoi Le Parti de la France ne défilera pas dimanche avec les socialistes et les Imams de l'UOIF
Le Parti de la France rend hommage et félicite les forces de l’ordre, les unités du GIGN et du RAID qui ont permis une neutralisation rapide des tueurs islamistes.
L’expérience vécue d’une double opération commando doit nous préparer à faire face demain à des actions combinées et multiples sur notre territoire. Dans ce cadre, nous rappelons la nécessité de renforcer considérablement les moyens de nos services de renseignement ainsi que nos forces de police et de gendarmerie afin de relever le défi du terrorisme islamique et des actions révolutionnaires à venir.
Le Parti de la France s’associe et compatit à la douleur de toutes les familles des victimes civiles et policières qui ont été tuées ou blessées durant ces évènements tragiques.
Mais Le Parti de la France refuse de s’associer à la manifestation de récupération politique organisée à l'initiative du parti socialiste qui réunira dimanche en tête de cortège les dirigeants politiques, associatifs et médiatiques qui ont livré notre pays à l’immigration-colonisation et au terrorisme islamiste : Hollande, Valls, Taubira, Harlem Désir, mais aussi Mélenchon, Besancenot ou Juppé, les apparatchiks de la CGT et des associations prétendument "anti-racistes" SOS Racisme, le MRAP, la LICRA ainsi que les imams de l'UOIF...
L'application de leur idéologie fondée sur la destruction de l’identité nationale et des valeurs de notre civilisation chrétienne et européenne ainsi que leur acharnement à imposer au peuple français une politique d’immigration de masse permet aux révolutionnaires islamistes d’agir désormais en France comme des poissons dans l’eau.
Aujourd'hui, répétant comme un mantra "pas d'amalgame", ils refusent de voir la vérité en face et de réaliser que ces islamistes mènent un combat politique et révolutionnaire au nom d’Allah, du Coran et du prophète. En appelant les Français à dénoncer l’islamophobie au lieu de dénoncer l’islamisme révolutionnaire, ces dirigeants politiques servent objectivement les intérêts des ennemis de la France et mettent en danger le peuple français.
Par ailleurs, Le Parti de la France n’oublie pas les persécutions et les assassinats dont sont victimes les Chrétiens d’Orient et ce, dans l’indifférence générale de ceux qui aujourd’hui défilent derrière leur banderole : « Je suis Charlie ».
Les journalistes de Charlie-Hebdo abattus par les tueurs djihadistes sont des victimes de l’islamisme. Cela n’en fait, à nos yeux, ni des héros, ni des saints, ni des modèles. Nous ne sommes pas Charlie, nous sommes Français et nous ferons tout pour le rester malgré les politiques de destruction nationale menées par les partis de la Gauche internationaliste et anti-française.
Contrairement à madame Le Pen qui trépigne d'impatience parce que les socialistes ne lui ont pas envoyé de carton d'invitation, je refuse de défiler derrière ces gens-là et j’appelle tous les patriotes à rejoindre Le Parti de la France.
Communiqué de presse de Carl Lang
Président du Parti de la France
Commentaires
Bonjour.
Suite à cette malheureuse affaire, très bien récupérée par l'Élysée et qui va servir à rénover un peu la popularité de Hollandouille 1er, j'ai entendu que Jean Marie LE PEN avait eu un de ses "bons mots".
Il aurait dit, sous toutes réserves : "Je ne suis pas CHARLIE, je suis Charles MARTEL".
J'aime bien cette répartie. Elle résume bien l'action passée du FN, non encore dévoyé par fifille 1ère.
À bon entendeur ...
Serge.