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Encore merci, René

lundi 2 novembre 2015

.ON MARCHE SUR LA TETE !

 
JEAN DE LA FONTAINE DISAIS : SELON QUE VOUS SOYEZ PUISSANT OU
MISERABLE....................................

JE LE PARAPHRASERAIS EN DISANT : SELON QUE VOUS SOYEZ DE DROITE OU
DE GAUCHE...................................

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Henri Guaino condamné à 2000€ pour outrage

COMPARAISON - Cela vous a peut-être échappé, tout occupés que vous étiez à observer l'incroyable "acte révolutionnaire" de Marine Le Pen qui, n'écoutant que son courage, a décidé de ne pas répondre à une invitation, mais, ce jeudi 22 octobre, il s'est passé bien d'autres choses. Henri Guaino, par exemple, a été condamné à 2.000 euros d'amende pour avoir outragé le juge Jean-Michel Gentil. Une sanction que le député Les Républicains des Yvelines a un peu de mal à encaisser.
Invité d'iTÉLÉ , l'ancienne plume de Nicolas Sarkozy dénonce "le corporatisme et la pression syndicale" du système judiciaire.
Et s'indigne que l'on ne puisse pas critiquer un juge alors qu'on peut insulter des élus.

Il dit : Il y a quelque chose qui ne va pas. Un humoriste traite un député de 'salope'. Il est relaxé. Un député critique – violemment peut-être - mais critique - je ne l'insulte pas - un juge qui a fait son travail à ses yeux de façon scandaleuse et il est condamné. Où allons-nous ?  

Henri Guaino fait ici référence à Guy Bedos, relaxé mi-septembre après avoir traité Nadine Morano de "conne" et de "salope", entre autres. L'eurodéputée a fait appel de cette décision.
Henri Guaino ne sait pas forcément où l'on va. En revanche, il ne s'interdit pas, malgré sa condamnation, de critiquer à nouveau le juge Gentil. Le député LR n'a apparemment pas peur du qu'en-dira-t-on ni des condamnations. "On peut me condamner  une fois, dix fois, 20 fois, 100 fois, 1.000 fois. Personne ne me fera taire, ajoute-t-il.

  C'est le rôle d'un représentant de la nation, disposant d'une parcelle certes infime de la souveraineté nationale, c'est son rôle de dénoncer tout dysfonctionnement dans les institutions, de dénoncer les agents publics quand ils outrepassent leurs pouvoirs, quand ils abusent de leurs pouvoirs et là j'estime que le juge Gentil a abusé de son pouvoir."

Et l'élu d'estimer que la justice ne fonctionne décidément pas vu que, d'après lui, "les voyous sont dehors" et lui est condamné :
Moi je peux me défendre mais les pauvres gens qui ne peuvent pas se défendre, eux, on les embastille, on les traîne dans la boue.

En mars 2013, Henri Guaino a plusieurs fois critiqué l'attitude du juge Gentil qui avait décidé de mettre en examen Nicolas Sarkozy pour "abus de faiblesse" dans le cadre de l’affaire Bettencourt. À l'époque, l'élu LR a dénoncé une décision "indigne" qui "salit l’image de la France" et "déshonore la justice". 

 
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Injures envers Nadine Morano : Guy Bedos relaxé à Nancy
 
L'humoriste était poursuivi pour avoir insulté Nadine Morano lors d'un spectacle à Toul en 2013
L'humoriste Guy Bedos,( ????? ) poursuivi pour avoir notamment traité Nadine Morano de "conne", a été relaxé  par le tribunal correctionnel de Nancy. Le tribunal a estimé qu'il était resté dans "la loi du genre" en tant qu'humoriste, et qu'il n'avait "pas dépassé ses outrances habituelles" lorsqu'il avait copieusement insulté l'élue lors d'un spectacle à Toul, en Meurthe-et-Moselle, en 2013.
 
Rencontre Morano-Bedos à l'audience. "Nadine Morano a été élue ici à Toul ? Vous l'avez échappé belle ! On m'avait promis qu'elle serait là... Quelle conne !" avait notamment lancé l'artiste sur scène, entre autres injures à l'intention de l'élue. A l'audience, le 7 septembre, le procureur Pierre Kahn avait estimé que "la limite (avait) été franchie" lors de ce spectacle.
 
Ces poursuites pour "injure publique" étaient passibles d'une amende maximale de 12.000 euros. Guy Bedos et Nadine Morano s'étaient croisés au tribunal, mais cette dernière avait refusé de serrer la main que lui tendait l'humoriste, en arguant qu'ils n'étaient "pas au théâtre". Guy Bedos avait récusé toute misogynie, tandis que l'élue l'accusait de lui vouer une "animosité personnelle". 
 
Une insulte renouvelée sur un plateau. Dans l'émission "On n'est pas couché" sur France 2, Guy Bedos avait renouvelé ses injures contre l'eurodéputée. Celle-ci lui réclamait 15.000 euros de dommages et intérêts, qu'elle souhaitait verser à des associations de lutte contre les violences faites aux femmes.
 
"Pas un mot, ni pour ni contre Nadine Morano. Elle est trop chère. J'aurai le jugement lundi, d'ici là, je me tais", avait dans un premier temps répondu Guy Bedos à Laurent Ruquier, avant de s'emporter une nouvelle fois. "15.000 euros quand même ! 15.000 euros ! ça ne va pas non ? Conne !" avait-il dit, en suscitant des rires dans le public.
 
 

 

 
 

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