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  • Au tour de la VIENNE

    Jacques Soulis, nouveau Délégué départemental du Parti de la France pour la Vienne (86)

    29 Mars 2017, 05:40am

    Publié par Thomas Joly

    Le Bureau politique du Parti de la France a procédé à la nomination de Jacques Soulis au poste de Délégué départemental pour la Vienne.

    Ce retraité de 65 ans, exclu du Front National après 36 ans de militantisme, responsable du DPS dans la Vienne pendant 30 ans, a décidé de rejoindre son ami de toujours, Carl Lang, au sein du Parti de la France où il a retrouvé la véritable droite nationale incarnée jadis par le FN de Jean-Marie Le Pen.

    Jacques Soulis aura en charge d'animer les activités militantes et de structurer le Parti de la France dans son département. Pour le contacter : 06.03.27.37.11 ou jacquessoulis@gmail.com

  • Le parlé vrai de Jean-Marie

    Politique

    Législatives 2017 : Jean-Marie Le Pen à Rivery pour soutenir les nationalistes

    Par Rosalie Lafarge et Elodie Touchais, France Bleu Picardie dimanche 26 mars 2017 à 8:56

    Jean-Marie Le Pen à Rivery aux côtés du Parti de la France
    Jean-Marie Le Pen à Rivery aux côtés du Parti de la France © Radio France - Elodie Touchais

    Jean-Marie Le Pen était à Rivery, dans la Somme, ce samedi pour un "déjeuner patriotique" à l'initiative du Parti de la France. Ce mouvement nationaliste présente cinq candidats aux législatives dans le département : ils bénéficieront du soutien du président d'honneur du FN.

    Trois femmes et deux hommes porteront les couleurs de la droite nationaliste aux élections législatives dans la Somme au mois de juin. Jean-Marie Le Pen, le président d'honneur du Front National, est venu en personne ce samedi à Rivery pour les soutenir officiellement. Il a partagé un "déjeuner patriotique" avec près de 200 militants au restaurant du magasin Motoland.

    Les noms de ces cinq candidats, un dans chaque circonscription du département, n'ont pas été dévoilés, mais ils seront issus de l'alliance du mouvement catholique Civitas et du Parti de la France. Et ils bénéficieront du label "Comité Jeanne", un mouvement lancé par Jean-Marie Le Pen. Le visage du président d'honneur du Front National apparaîtra sur les bulletins de campagne des candidats nationalistes.
     

    Le label Comité Jeanne, un "repère de valeurs"

    Jean-Marie Le Pen l'assure, ce label "Comité Jeanne" sera un "repère de valeurs" pour les électeurs. "L'électeur saura que celui qui est soutenu par le Comité Jeanne aura le soutien de Jean-Marie Le Pen et de ses amis", précise le président d'honneur du FN. "J'ai une faiblesse, je n'ai pas changé d'idées, poursuit Jean-Marie Le Pen, je reste attaché aux idées fondamentales du courant national".

    "Je crois de mon devoir d'annoncer aux Français que des épreuves les attendent" - Jean-Marie Le Pen

    "Les gens se rendent compte que le discours que nous tenions, et qui était dénoncé comme extrémiste, était en fait un discours lucide et courageux (...). Je crois de mon devoir d'annoncer aux Français que des épreuves les attendent et qu'il est nécessaire de resserrer les rangs. Je ne vais pas contredire ma réputation de lanceur d'alerte car je sais que les vérités sont bonnes à dire, difficiles à entendre, et toujours très coûteuses pour celui qui les exprime" ajoute encore le fondateur du FN, en référence à la "submersion migratoire" qu'il considère toujours comme le fléau de la France.

     

     

    "Je crois de mon devoir d'annoncer aux Français les épreuves qui les attendent" - Jean-Marie Le Pen à Rivery

     

    Le Parti de la France ravi du soutien de Jean-Marie Le Pen

    Ce soutien est en tout cas important pour le Parti de la France d'après son secrétaire général. "Nous souhaitons l'union de la droite nationale que Jean-Marie Le Pen était toujours parvenu à faire quand il était président du Front National", explique Thomas Joly.

    "Par l'intermédiaire de ces candidatures communes aux législatives, nous voulons retrouver l'unité nationale, poursuit-il, parce que, malheureusement, la direction du FN aujourd'hui n'est pas capable de rassembler sa propre famille politique et nous le regrettons, car si nous sommes actuellement à l'extérieur du FN, ce n'est pas de notre fait, ni de celui de Jean-Marie Le Pen qui a lui même subi les foudres de l'exclusion avant d'être réintégré par voie de justice".

    Quand Jean-Marie Le Pen défend François Fillon

    Dans son discours à la presse ce samedi, Jean-Marie Le Pen a également dénoncé "l'acharnement" dont serait victime François Fillon, candidat de la droite à la présidentielle. Un "adversaire politique dont on ne peut pas chaque jour mettre en cause la largeur des chaussures, le bracelet de sa femme ou le poids de son alliance, cela devient ridicule" a lancé l'homme politique aux journalistes. 

  • Législatives avec le soutien de Jean-Marie Le PEN

    Un label aux législatives

    Jean-Marie Le Pen soutiendra aux législatives ceux qui partagent ses idées, celles de ses comités « Jeanne, au secours ! ». « Ce sera une sorte de label qui pourra être attribué à un candidat Bleu Marine, pourquoi pas, mais aussi à des indépendants ». En fait, ils seront essentiellement issus des rangs des deux co-organisateurs du déjeuner d’hier, le très nationaliste Parti de la France et Civitas, association catholique intégriste. « Nous annoncerons bientôt le nom de nos cinq candidats dans la Somme », annonce Thomas Joly, secrétaire général du PDF.

  • FLAMBY pas tout blanc !

    Hollande aurait fait surveiller ses adversaires politiques

    Rédigé le Jeudi 23 Mars 2017 à 10:43 | 0 commentaire(s)

     

    Et un scandale de plus, un ! Alors qu’Hollande ne cesse de répéter qu’il est attaché aux libertés fondamentales et aux valeurs de la démocratie, un livre de journalistes d’investigation au Canard enchaîné, suggère que le président use de méthodes de barbouze pour surveiller ses adversaires politiques.


    Trouvé sur FDS : François Hollande est-il pour quelque chose dans la déconfiture de certains de ses adversaires politiques ? C’est ce que suggère un livre à paraître, Bienvenue Place Beauvau, Police : les secrets inavouables d’un quinquennat (éd. Robert Laffont), des journalistes d’investigation au Canard enchaîné.
    Que contient cet ouvrage ? D’après les bonnes feuilles publiées par l’hebdomadaire Valeurs Actuelles, il décrit un vaste système de surveillance de ses adversaires mis en place par François Hollande depuis son arrivée à l’Élysée.
    Ce “cabinet noir” aurait eu pour objectif de discréditer les concurrents du président à l’élection présidentielle, en particulier Nicolas Sarkozy et  Manuel Valls, son propre Premier ministre.
    Les auteurs écrivent ainsi, de manière éloquente, à propos des “affaires” et révélations sur la vie privée des candidats : “Derrière ces ennuis à répétition qui ciblent les principaux rivaux du président sortant, difficile de ne pas voir la patte de Hollande”. D’après les auteurs, il existe bien une orchestration des affaires judiciaires, dont le point de départ se situe au service de renseignement financier de Bercy (dont le ministre, Michel Sapin, est un vieil ami de Hollande), TRACFIN.
    Après avoir récolté des informations dans les comptes en banque de responsables politiques, cet organisme peut transmettre le dossier à la Direction des affaires criminelles et des grâces (DACG), dont le directeur, Robert Gelli, est aussi un proche de François Hollande.
    Hollande lui-même a été prolixe à ce sujet, confiant par mégarde devant dix-neuf députés socialistes, le 17 février 2014 : “Sarkozy, je le surveille, je sais tout ce qu’il fait”. 
    Simple manière de parler ? Selon les témoignages recueillis, pas vraiment.
    Un routard de la police judiciaire évoque en effet la constitution de “blancs”, c’est-à-dire d’informations récoltées clandestinement, et qui remonteraient “en haut lieu”. […] Ces coups bas ne concernent pas que Sarkozy, mais aussi Manuel Valls, selon les allégations de ce livre. Ainsi la rumeur selon laquelle le Premier ministre aurait eu une liaison avec sa ministre de l’Éducation aurait été ébruitée en haut lieu, de même que les conditions de financement de l’orchestre de sa femme, Anne Gravoin.
    A Matignon, on fait ainsi remarquer que l’enquête a été “conduite par une société d’intelligence économique proche de l’Élysée, qui travaille en sous-main avec la DGSE”. Les Inrocks  
     
  • La vrai droite nationale

    Présidentielle : ils sont tous islamiquement corrects et islamiquement compatibles

    Rédigé le Lundi 20 Mars 2017 à 08:48 | 0 commentaire(s)

     

    Entretien de Carl Lang avec Pierre Cassen président de Riposte Laïque. En cette période marquée par l’élection présidentielle, il nous a paru intéressant de discuter avec Carl Lang, président du Parti de la France, qui ne se présente pas à cette élection, ce qui ne signifie pas qu’il n’en pense rien…


    Riposte Laïque : Comment le président du Parti de la France juge-t-il l’élection présidentielle française, ses multiples rebondissements, à six semaines du premier tour ?

    Carl Lang : En premier lieu, je tiens à vous remercier de me permettre d’exprimer mon point de vue dans vos colonnes et à vous apporter mon soutien pour votre engagement persévérant et courageux de résistance à l’islamisation de la France.

    Concernant cette campagne présidentielle un peu folle, elle est la résultante de plusieurs surprises. Tout d’abord, à droite, le schéma initial et programmé par la nomenklatura médiatique appuyée par les instituts de sondages était la candidature d’Alain Juppé. Il se trouve que malgré une participation active d’une partie de la gauche en faveur d’Alain Juppé, les électeurs de la primaire de la droite et du centre ont déjoué tous les pronostics et assuré la victoire surprise de François Fillon. Voilà ce qui peut se passer lorsqu’on laisse la parole au peuple : il arrive que le pays réel se rebelle contre la caste médiatique et le pays virtuel. Ce résultat fut une très mauvaise surprise pour les maîtres et gourous de la république « d’en haut », celle qui méprise et déteste la France « d’en bas ». Juppé était en effet, au centre droit de l’échiquier, l’homme choisi par les réseaux mondialistes.

    A gauche, la surprise est venue de la non candidature à sa réélection de François Hollande qui a ainsi laissé une partie de la gauche gouvernementale en état de choc. Par ailleurs, malgré sa morgue habituelle et son ambition frénétique, le calamiteux bilan gouvernemental n’a pas permis à l’ancien Premier ministre Manuel Valls de s’imposer à la primaire de la gauche. Résultat : il n’y a plus personne pour défendre le bilan du quinquennat socialiste et le PS se divise entre le frondeur Hamon et le lâcheur Macron, eux-mêmes concurrencés par l’agitateur agité, Mélenchon.

    Dans cette bataille à gauche la nomenklatura médiatique et les réseaux qui la contrôlent ont fait clairement le choix d’Emmanuel Macron. Il incarne parfaitement leur rêve de nouvelle société philosophiquement et économiquement ultra-libérale, mondialiste, cosmopolite et antinationale.

    Pour résumer, la caste dominante avait au départ deux cordes à son arc ; une de centre droit avec Juppé et une de centre gauche avec Macron. Il ne reste plus dans la course que Macron. L’étape suivante du scénario consiste donc à assurer son élection en éliminant le concurrent qui est pour lui le plus dangereux au deuxième tour de l’élection présidentielle, c’est-à-dire François Fillon.

    L’ancien Premier ministre de Nicolas Sarkozy qui a fourni lui-même un certain nombre de bâtons pour se faire battre avec le contrat de son épouse a de surcroît fait une déclaration qui le condamne au lynchage politico-médiatico-judiciaire : il a déclaré qu’il était « gaulliste et chrétien ». Nous avons tous bien compris que ce n’était pas son gaullisme qui posait problème… Par ailleurs, il se trouve qu’il n’est pas un ennemi de Poutine.

    Cela fait beaucoup et fait de lui l’homme politique à abattre.

    Fillon est donc devenu, pour des raisons politiques, géopolitiques et tactiques la principale cible de ceux qui veulent la victoire de Macron. Il me parait clair que l’Elysée est directement à la manœuvre dans cette affaire. Comment expliquer autrement toutes les fuites et l’extraordinaire célérité du parquet financier qui, 48 heures après l’article du Canard enchaîné auditionnait les premiers témoins. Quelle remarquable efficacité !

    Grâce à cette stratégie, la gauche social-libérale espère réussir le tour de force de rester au pouvoir et ce malgré le renoncement du président sortant et son fiasco gouvernemental. Ce serait ainsi leur divine surprise.

    Pour le reste, nous assistons à une surenchère dans la démagogie électoraliste comme si la situation économique, démographique, financière et sociale de la France était celle de 1960. Je trouve cette démagogie lamentable et honteuse car, au bout du compte, ce sont toujours les Français qui en font les frais. Quant aux enjeux de civilisation et au processus révolutionnaire et politique d’islamisation de la France, c’est un sujet tabou. Afin de rester médiatiquement compatibles, tous ces gens répètent à l’envi que l’islam est compatible avec la République et que l’islamisme n’a, bien sûr, rien à voir avec l’islam. L’internationale révolutionnaire islamique n’a donc rien à craindre de la campagne présidentielle française. Les candidats et candidates sont tous islamiquement corrects et islamiquement compatibles.

    Riposte Laïque : Contrairement à d’autres petits candidats, comme le Général Tauzin, Jacques Nikonoff, Renaud Camus et quelques autres, vous n’avez jamais affirmé vouloir postuler à cette présidentielle, pour faire parler de vous, quitte à renoncer au dernier moment.  Pourquoi ?

    Carl Lang : Afin d’avoir une chance d’obtenir les 500 parrainages nécessaires à une candidature présidentielle, il aurait fallu engager quelques centaines de milliers d’euros, somme, dont ne dispose pas le Parti de la France. Nous avons donc décidé d’utiliser les moyens financiers du Parti de la France dans le cadre des élections législatives de Juin. Je rappelle que le Parti de la France ne bénéficie pas de financement public et que nous menons campagne grâce aux soutiens financiers de nos adhérents et de nos donateurs.

    Je préside une organisation politique de résistance nationale qui se doit « d’être et durer ». Sans organisation il n’y a pas de résistance possible. La participation électorale n’est pour nous qu’un moyen d’action, un instant au service d’un engagement politique plus large qui doit impérativement s’inscrire dans la durée. Nous n’engageons dans les batailles électorales que les moyens dont nous disposons.

    Riposte Laïque Le Parti de la France, que vous présidez, a la réputation d’avoir la dent très dure contre l’évolution du Front national, et sa présidente. Pourtant, à ce jour, le FN est en tête dans les sondages. Pensez-vous, comme d’autres composantes de la mouvance patriotiques, qu’il y a une chance historique, et qu’il faut, le temps de cette présidentielle, ne pas la gâcher par des critiques qui seraient contre-productives ?

    suite : http://ripostelaique.com/presidentielle-ils-sont-tous-islamiquement-corrects-et-islamiquement-compatibles.html

  • La confession de CHAUPRADE

    Marine Le Pen et Aymeric Chauprade le 21 janvier 2014 à Paris.© Bertrand Guay Marine Le Pen et Aymeric Chauprade le 21 janvier 2014 à Paris.

     

    Brouillé avec son ancien parti, l'eurodéputé accuse Marine Le Pen d'avoir directement mis en place un système d'emplois fictifs au Parlement européen.

     

    Le témoin est d’autant plus gênant qu’il parle d’expérience, et à visage découvert. Ex-figure du Front national, désormais retourné contre Marine Le Pen, l’eurodéputé Aymeric Chauprade a décidé de témoigner contre son ancien mouvement. Malversations financières, prise en main du parti par un petit «clan» d’entrepreneurs, antisémitisme persistant : c’est un véritable réquisitoire que livre le géopolitologue face à plusieurs journalistes – dans l’ouvrage Marine est au courant de tout de Marine Turchi et Mathias Destal (éditions Flammarion), devant les caméras d’Envoyé Spécial,auprès de Mediapart ou encore de l’Express.

    Celui qui siège désormais parmi les non-inscrits au Parlement européen accuse ainsi Marine Le Pen d’avoir directement contribué à un système d’emplois fictifs. Connu sous le nom d'«affaire des assistants», le dossier fait l'objet d’une information judiciaire ouverte en janvier. Plusieurs assistants des eurodéputés frontistes sont accusés d’avoir été rémunérés sur fonds européens, tout en se consacrant à des fonctions internes au Front national. Selon Chauprade, c’est Marine Le Pen qui aurait posé les bases de ce système lors d’une réunion des eurodéputés FN en juin 2014. La présidente du parti aurait demandé à ses élus une délégation lui permettant d’embaucher à leur place des assistants qui «serviront directement au parti». Pour Aymeric Chauprade, qui dit avoir refusé le marché, «tout le monde comprend, quand on a un minimum de culture générale, que l’on est dans une logique d’emplois fictifs […]. Certains ont grincé des dents, mais il y a une discipline quasi-stalinienne dans ce parti».

    Sous la menace d’une mise en examen dans ce dossier, Marine Le Pen a toujours dénoncé une cabale montée par ses adversaires politiques et visant à parasiter sa campagne présidentielle. Le parti a promis de réagir en signalant à la justice des cas similaires visant les eurodéputés d’autres partis politiques.

    Ce n’est pas tout : Chauprade souligne également l’emprise sur le parti du petit réseau d’entrepreneur concentré autour de Frédéric Chatillon, ami de Marine Le Pen et l’un des principaux prestataires du FN : «L’économie du FN, c’est ce groupe, une petite galaxie de société […] qui fait 100% de son chiffre d’affaires avec le FN et avec la manne française et européenne, assure-t-il. On ne pouvait pas faire sans ces gens-là. Et si comme moi on s’y opposait ou on rechignait, on recevait un coup de fil de la présidente [Marine Le Pen]. L’économie du FN est intégralement concentrée entre les mains de ce clan.» Un clan qu’Aymeric Chauprade accuse d’être imprégné d’antisémitisme, et toujours lié au polémiste «antisioniste» Alain Soral. «Au nom de la dédiabolisation Marine Le Pen sacrifie son père, conclut l’eurodéputé. Mais elle ne touche pas à ces gens qui sont bien plus radicaux que son père, elle les couvre quoiqu’il arrive. D’un point de vue rationnel, il n’y a pas d’explication.»

    Sur Twitter, Frédéric Chatillon a balayé les accusations d’Aymeric Chauprade, «qui a quitté le FN juste avant d’être viré suite à son implication dans l’évasion des pilotes d’Air Cocaïne», une rocambolesque affaire qui avait embarrassé le parti et précédé de peu le départ de Chauprade. Mis en cause pour les mêmes faits dans le documentaire d’Envoyé Spécial, le conseiller régional FN Axel Loustau a de son côté promis de répondre «point par point à ce tissu de mensonges, d’amalgames et de diffamations».

     

    Source : Envoyé spécial A2 + Post ORANGE du 17/03/2017

  • On cherche à comprendre

    Marine Le Pen et la réhabilitation de Robespierre…

    Lors de sa conférence présidentielle n° 4 sur la citoyenneté, ce lundi 13 mars, Marine Le Pen a démarré son propos avec cette bombe : « Nous sommes français et nous célébrons Jeanne d’Arc ou Robespierre, les madones des églises ou les soldats de l’an II, les hussards de la République et le peuple de l’ombre de la Résistance. »

    Son mensonge est évident : il n’est pas nécessaire de chercher très longtemps pour trouver un Français un brin instruit et conscient du drame national toujours prégnant qui honnit Maximilien de Robespierre, en raison de ce qu’il incarne dans la conscience d’une partie de notre peuple. Et il ne s’agit pas seulement d’historiens confinés dans l’étude de poussiéreux grimoires, mais de tous ceux qui ne se sont pas contentés de la doxa, l’Histoire rêvée par les VRP de la République sévissant au sein de l’Éducation nationale. Le « Nous » ne peut donc inclure bon nombre de gens qui ne perdraient pas la qualité de Français pour autant.

    Maximilien de Robespierre incarne le régicide, le génocide des provinces rétives, l’intolérance anticatholique poussée à son extrême, l’arbitraire judiciaire sanglant et industrialisé, bref, la Terreur. Il est l’un des ingénieurs du premier prototype de totalitarisme mis en chantier dans le monde. L’histoire officielle, celle qui a reçu le nihil obstat et l’imprimatur de la rue de Grenelle, ne s’y trompe pas : elle évite de mettre la figure contestable de Robespierre sur un piédestal dont il serait trop facile de le faire choir. Et, donc, célébrer Robespierre n’est même pas envisageable, parce que c’est indicible, c’est piègeux diraient les Québecois. Seul un Jean-Luc Mélenchon, menteur patenté et provocateur hors pair à l’instar du géniteur de Marine Le Pen, promeut un révisionnisme qui vise à substituer les sans-culottes aux Gaulois comme ancêtres de notre nation (même si les Celtes pèsent assez peu dans la composition de notre peuple, il faut aussi l’admettre). Robespierre, c’est notre plus grand diviseur commun.

    Alors, pourquoi Marine Le Pen parle-t-elle de célébrer Jeanne d’Arc ou Robespierre de la même façon, comme si nous étions une nation qui aurait vu ses plaies cicatriser, unie parce que ré-unie ? Il serait inepte d’imaginer qu’elle ignore son Histoire de France, la vraie, avec ses périodes glorieuses comme les plus honteuses. Un mot qui serait mal choisi dans un discours de campagne sur son thème de prédilection est tout aussi improbable. Il y a, certes, l’évolution d’un parti poujadiste vers un parti jacobin, mais ce n’est pas suffisant.

    Alors ? La seule explication qui me vient à l’esprit est que Marine Le Pen ne souhaite pas gagner cette élection présidentielle et qu’elle préfère, en catimini, dégoûter cette frange de l’électorat conservateur dont elle aurait besoin pour gagner. D’autres signes existent, comme le retrait des représentants du FN de la conférence de Béziers.

    Finalement, faire ronronner le fonds de commerce hérité de papa sans prendre de grosses responsabilités, ça n’a que des avantages !

    Rémy Mahoudeaux

    Source : http://www.bvoltaire

     

     

  • L'implantation continue

    Daniel Isorni, nouveau Délégué départemental du Parti de la France pour la Seine-et-Marne

    Rédigé le Jeudi 16 Mars 2017 à 08:08 | 0 commentaire(s)

     

    Daniel Isorni, 40 ans, marié (2 enfants), cadre commercial, a été nommé par le Bureau Politique du Parti de la France Délégué départemental pour la Seine-et-Marne (77).

    Il s'explique sur son engagement au Parti de la France :


    « Profondément français et patriote, admirateur depuis toujours de Jean Marie Le Pen, j’ai décidé de m’engager politiquement aux cotés de Carl Lang et du Parti de la France pour 2 principales raisons :

    La première est liée à la situation dramatique que connaît notre pays, menacé chaque jour davantage par des périls toujours plus grands et gouverné par des traitres prébendiers... Il est encore temps d ‘agir, bientôt il sera trop tard.

    La seconde est mon grand respect pour tous ces militants et cadres historiques de la droite nationale, véritables soldats de la patrie, qui se sont regroupés au sein du PARTI de la FRANCE, seul garant aujourd'hui d’une authenticité patriotique.

    Il appartient à chaque français de trouver une forme d’engagement à sa mesure pour lutter contre la destruction de notre pays. »

    Daniel Isorni aura en charge d'animer les activités militantes et de structurer le Parti de la France dans son département. Pour le contacter : pdf.seineetmarne@gmail.com

  • Le bons sens !

    Intervention de Carl Lang à la journée de Civitas

    Rédigé le Lundi 13 Mars 2017 à 19:35 | 0 commentaire(s)

     



  • MACRON ! C'est QUI ? C'est QUOI ?

    Le bilan catastrophique d’Emmanuel Macron au ministère de l’économie

    Rédigé le Lundi 13 Mars 2017 à 08:48 | 0 commentaire(s)

     

    Il est étonnant de constater qu’aucun journaliste n’interroge le candidat d’En Marche ! sur le bilan de sa seule expérience comme si Emmanuel Macron n’avait jamais eu l’occasion de faire ses preuves et qu’il tombait de nulle part.


    Le bilan catastrophique d’Emmanuel Macron au ministère de l’économie

    Pourtant, Emmanuel Macron est aux côtés de François Hollande depuis le début.

    D’abord en tant que conseiller sur les questions économiques puis en tant que ministre de l’économie.

    Le chouchou des médias a donc largement contribué au bilan économique du quinquennat et le moins que l’on puisse dire est qu’il est peu glorieux :

    Lire la suite sur info24

     


     

     

  • L'UNION pour les Législatives

    Civitas lance sa campagne pour les législatives de juin prochain

    Rédigé le Dimanche 12 Mars 2017 à 14:11 | 0 commentaire(s)

     

    Samedi s'est déroulée à l'Espace Jean Monnet à Rungis, lieu bien connu des lecteurs de Synthèse nationale, la 1ère fête du Pays réel organisée par l'Institut Civitas présidée par Alain Escada. Ce fut l'occasion pour lui de donner le coup d'envoie de la campagne du mouvement catholique et national en vue des élections législatives de juin prochain. Civitas présentera en effet des candidats comme ce sera aussi le cas du Parti de la France et des Comités Jeanne présidés par Jean-Marie Le Pen. Un accord d'unicité de candidature est donc réalisé entre ces différentes formations.


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    Alain Escada, Président de Civitas

    Cette entente s'est matérialisée dans l'après-midi par un meeting rassemblant un public nombreux au cours duquel prirent respectivement la parole Carl Lang, Président du PdF, Jean-Marie Le Pen et Alain Escada.

    Synthèse nationale était aussi invité à la fête et, toute la journée, notre stand a été visité par de nombreux amis. Ignace, le fameux dessinateur auteur de l'album Apocalypse Flamby cliquez ici  que nous avons publié en décembre dernier, et Alban d'Arguin, à qui nous devons un brillant réquisitoire contre ce scandale d'Etat que sont les éoliennes, dernièrement édités cliquez là , dédicacèrent à tour de bras leurs ouvrages respectifs.

    Bravo et merci à Alain Escada et à Civitas pour cette belle réunion amicale tenue dans l'esprit de nos journées nationales et identitaires annuelles cliquez ici . Rappelons au passage que la XIe du genre se déroulera le dimanche 1er octobre à Rungis justement...

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    Jean-Marie Le Pen arrive au stand de Synthèse nationale

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    Carl Lang et Alban d'Arguin se sont entretenus sur les ravages produits par les éoliennes

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    Amicales retrouvailles sur le stand de Synthèse

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    Un public nombreux et attentif

    Nous publierons très prochainement les interventions politiques de la journée.

    source : Synthèse nationale 

  • Et un de plus !

    Éric SAMYN, nouveau Délégué départemental du Parti de la France dans les Ardennes

    Rédigé le Samedi 11 Mars 2017 à 18:54 | 0 commentaire(s)

     

    Éric SAMYN, Conseiller municipal de Sedan, Conseiller régional de 2004 à 2015, a été nommé par le Bureau Politique du Parti de la France Délégué départemental des Ardennes.


    Cet ancien fonctionnaire de police, âgé de 65 ans (marié, un enfant), est un militant et un cadre historique du Front National dans les Ardennes. Il a décidé de poursuivre le combat politique aux côtés de Carl Lang parce qu'il ne se retrouvait plus dans la ligne politique de la direction du néo-FN de Marine Le Pen et de Florian Philippot. Il estime que ce sont désormais Carl Lang et le Parti de la France qui représentent la véritable droite nationale de conviction.

    Éric Samyn aura en charge d'animer les activités militantes et de structurer le Parti de la France dans son département. Pour le contacter : 06.41.06.04.35 ou e_samyn@orange.fr

  • Pas de CHARIA chez nous !

    Tribune libre de Carl Lang : « Pas de charia chez nous ! »

     

    Je remercie en premier lieu la revue Confrontation et Jean-François Touzé de m’offrir une possibilité d’expression dans cette tribune libre sur le thème de la galopante islamisation de notre pays et de la nécessaire résistance.

    A l’occasion de mes vœux du Nouvel An, j’ai écrit : « La terre de France n’est pas terre d’islam. Pas de charia chez nous ! ». Je considère en effet que de notre capacité ou non à refuser la colonisation islamique de notre pays dépendent nos libertés futures, notre identité, notre sécurité et notre modèle de civilisation.

    Il me parait tout d’abord nécessaire d’en finir avec l’imposture des soi-disant « valeurs de la République » et de laïcité républicaine qui devraient, par simple incantation, nous protéger du communautarisme et de l’islamisation de la société française. Cette République frelatée est non seulement incapable de préserver la France de l’islamisation, mais elle est intégralement responsable depuis 40 ans de la politique d’immigration massive ayant engendré le phénomène culturel, social, communautaire et politique d’islamisation de la France.

    Lors des élections européennes et régionales de 2004, je faisais figurer sur mes documents électoraux : « Vous avez aimé l’immigration ? Vous allez adorer l’islamisation ! ». Aujourd’hui nous pourrions ajouter : « Vous allez adorer l’islamisation, la charia et le terrorisme islamique ! ». Les militants de l’islam politique et révolutionnaire ont, quant à eux, parfaitement compris que la fameuse laïcité républicaine, c’est-à-dire la totale neutralité de la République à l’égard des religions, ainsi que les soi-disant droits de l’homme étaient le meilleur cheval de Troie leur permettant de façonner petit à petit la société française à leur image. Ils peuvent compter pour atteindre leurs objectifs sur leurs nombreux compagnons de route, adeptes de l’ouverture à l’étranger, de l’accueil des migrants et de la promotion de la diversité devenue, parait-il, une richesse de la République. 

    Les internationalistes et mondialistes de tous poils, s’acharnent à détruire l’identité française, la mémoire nationale, nos traditions, notre héritage spirituel et tout ce qui pourrait préserver l’unité française. De fait, les adeptes fanatiques de la République citoyenne et universelle des droits de l’homme font, par haine de tout ce qui est national et chrétien, le lit de la République islamique et servent objectivement les intérêts de la révolution islamique.

    Les laïcistes et droit-de-l’hommistes ne sont pas les protecteurs mais les fossoyeurs de la République française. Quant à ceux et celles, candidats et candidates à la fonction présidentielle et autres membres de la caste dirigeante qui déclarent que l’islam est compatible avec les valeurs de la République, nous pouvons les ranger au choix dans deux catégories possibles ; celle des imbéciles ou celle des traîtres. A moins qu’ils ne confondent République française et République islamique…

    Nous avons aussi le devoir de dénoncer les bêlements ininterrompus du troupeau des islamo-collabos qui s’évertuent à répéter « pas d’amalgame, pas d’amalgame… » en se convaincant eux-mêmes que le terrorisme islamique n’aurait rien à voir avec l’islam. Nous n’avons pas besoin de ces pales idiots pour constater que les musulmans ne sont pas tous des terroristes. Mais en revanche, il est bien clair que tous les terroristes islamistes sont des musulmans. Il suffit d’ailleurs de prendre connaissance des écrits et des propos des dirigeants et doctrinaires islamistes pour comprendre qu’ils se considèrent eux, comme les vrais et seuls représentants de l’islam, un islam des origines, un islam pur, un islam total.

    En conséquence, le verbiage droit-de-l’hommiste de la citoyenneté républicaine et du vivre ensemble des « ravis » du paysage audiovisuel et politique français doit provoquer chez les dirigeants de l’islam politique et révolutionnaire de grands moments d’hilarité.

    Il faudrait inviter les moutons en chef de la bien pensance islamo-compatible à lire la déclaration islamique universelle des droits de l’homme ainsi que la déclaration de 1990 sur les droits de l’homme en islam. Il est peut-être temps de comprendre que ces gens ne veulent en aucun cas se fondre dans le creuset de la nation française car ils ne reconnaissent qu’une nation, c’est la nation de l’islam. Et leurs lois sont celles établies par le coran et la charia.

    Nous avons à relever le défi d’un processus politique et historique d’action révolutionnaire basé sur une idéologie politico-religieuse qui est celle d’un islam total et conquérant ayant pour but politique ultime et affiché l’instauration du califat universel. 

    L’alternative politique qui se présente donc à nous est simple : le peuple français collabore et se soumet ou bien il s’oppose et résiste à l’islamisation de la France. 

    J’ai fait, avec les membres du Parti de la France, le choix politique de m’opposer à l’islamisation-colonisation de la France et de l’Europe. Nous sommes bien évidemment dénoncés par les chiens de garde du discours islamiquement compatible comme des islamophobes. La phobie étant une forme de peur instinctive d’origine psychologique voire psychiatrique, je réponds à ces individus que nous n’avons aucune phobie de l’islam pas plus que nous n’avions de phobie du communisme. Nous n’étions pas communistophobes mais anti-communistes.

    Nous sommes fiers aujourd’hui d’être anti-islamistes, comme nous sommes fiers d’avoir été anti-communistes. 

    L’internationale révolutionnaire communiste du 20ème siècle a été combattue et vaincue en Europe. Aujourd’hui nous devons nous engager afin de refuser chez nous l’idéologie politico-religieuse de l’internationale révolutionnaire islamique.

    Il en va de notre identité, de nos libertés et de notre sécurité. C’est d’un véritable choix de civilisation pour la France et l’Europe dont il s’agit. Aidez-nous. Aidez la résistance nationale !

    Carl Lang - Président du Parti de la France

  • LEGISLATIVES JUIN

    Pour les législatives, le Parti de la France sera présent dans les 19e et 20e circonscriptions du Nord

    Rédigé le Mardi 7 Mars 2017 à 14:11 | 0 commentaire(s)

     

    Serge Thomés et Dominique Slabolepszy vont, encore une fois, faire campagne lors des prochaines législatives. Le premier, dans le Denaisis ; le second, dans l’Amandinois.


     

    « Dans cette campagne présidentielle, tous les jours, il se passe quelque chose », commentait, vendredi après-midi, Dominique Slabolepszy. Vu la tournure actuelle des événements, les deux adhérents valenciennois du Parti de la France – qu’ils ont rejoint à sa création voilà neuf ans, en quittant le FN lorsque Marine Le Pen en a pris les commandes – ont décidé « d’y aller ».

    « Personne ne sait pour l’heure ce qu’il va advenir à la présidentielle » et, dans l’arrondissement, le non-cumul des mandats (dans le Denaisis) et la multiplication des candidats à gauche (dans l’Amandinois) ont rebattu les cartes. Certes, ni l’un ni l’autre n’ont l’ambition de jouer les trouble-fête en se hissant au second tour. Leur objectif commun est tout autre. Il faut aller le chercher du côté de l’organisation même du Parti de la France, que dirige Carl Lang. Dominique Slabolepszy a ainsi été désigné comme délégué national pour les élections législatives. « Je m’occupe de tous les aspects techniques de la campagne dans toute la France ». Et des contacts avec les candidats potentiels qui, sur leurs tracts, auront « le choix de mentionner, ou pas, le nom de nos partenaires «associés» » : les Comités Jeanne de Jean-Marie Le Pen et CIVITAS.

    Le Parti de la France s’est fixé un but : présenter entre cent et deux cents candidats, avec l’objectif qu’au moins cinquante d’entre eux franchissent la barre de 1 % des suffrages. « Cela nous permettrait d’obtenir un financement public », observe l’ancien conseiller régional. Pas négligeable quand on sait que chaque voix peut faire tomber 1,30 € dans les caisses du PDF.

    Cet objectif de 1 %, Serge Thomés et Dominique Slabolepszy estiment pouvoir l’atteindre dans la 19e et dans la 20e, les circonscriptions tenues jusqu’à présent par Anne-Lise Dufour et Alain Bocquet. « Aux départementales, nous avions envoyé 150 candidats pour «tester» nos résultats, rappelle l’ancien chef d’entreprise. J’avais fait autour de 1,5 % ; avec des pointes à 3 % dans le pays de Condé. »

    Se revendiquant du « canal historique » du Front national, les deux candidats aux législatives entendent, dans la campagne, se démarquer des idées de Marine Le Pen.

    Source : http://www.lavoixdunord.fr

  • LEGISLATIVES JUIN

    Didier Monnin candidat du Parti de la France aux législatives dans le Var

    Rédigé le Samedi 4 Mars 2017 à 16:12 | 0 commentaire(s)

     

    Lire l'article de presse de Var Matin.


    Article de Var Matin

    Article de Var Matin

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  • Les rats quittent le navire: est-ce qu'il coule ?

    En lâchant Fillon, son parti se disqualifie

     

    S’il faut reconnaître une qualité à celui qui est encore le candidat désigné de la droite et du centre, c’est bien le courage et la combativité. Combien d’hommes politiques auraient supporté l’acharnement médiatique, politique et judiciaire dont il fait l’objet depuis maintenant plusieurs semaines ? Combien d’entre eux auraient accepté de voir leur famille mise en cause et traînée dans la boue ? Très peu, certainement. Bien sûr, dans cette résistance acharnée du Sarthois, il est toujours possible de voir de l’aveuglement, et même de l’inconscience. Mais s’il est véritablement innocent des accusations portées contre lui, qui pourra lui reprocher de s’être battu jusqu’au bout, pour son droit et son honneur ?

    Mais il est vrai qu’en politique, l’honneur pèse bien peu de chose face aux enjeux du pouvoir. Rien d’étonnant, donc, à ce que sa « famille » et ses « amis » politiques aient décidé de le lâcher les uns après les autres, après une lente mise à mort.

    Cette mise à mort du candidat Fillon, soigneusement orchestrée et préparée, en signe une autre : celle de la droite parlementaire. Contrairement aux déclarations de certains caciques, évidemment sarkozistes ou juppéistes, ce n’est pas le maintien de sa candidature qui déchire son parti, mais son parti qui achève sa dislocation avec l’affaire Penelope.

    Depuis un certain Guy Mollet, nous le savions : la France a la droite la plus bête du monde.

    Grâce à l’affaire Fillon, nous savons désormais qu’elle a aussi la droite la plus lâche du monde. Incapable de rester soudée à l’issue de primaires qu’elle s’est imposée « pour faire moderne ». Incapable, alors qu’elle était donnée gagnante de la présidentielle (et certainement des législatives qui suivront), de faire taire leurs ego démesurés. Incapables de donner à leurs électeurs l’image d’une formation politique susceptible, par sa cohésion, sa détermination et son sens des responsabilités, de redresser la France et de lui redonner sa grandeur, ils ont préféré faire honte à un électorat qui paiera le prix fort pour ce qui restera un des plus grands scandales politiques de la Ve République.

    Ainsi, de la même manière que Hollande fut élu à cause du rejet de Sarkozy, Macron risque d’être élu parce que la droite n’aura pas été en mesure d’assumer ses choix, et notamment le résultat de la primaire qu’elle a pourtant voulue et organisée. Plus de quatre millions d’électeurs auront ainsi été roulés dans la farine, leurs avis ne valant pas plus, in fine, que de la roupie de sansonnet.

    Olivier Damien

    Source : http://www.bvoltaire.fr

  • François HOLLANDE : tonton flingueur !

    Le "grain de sel" de Jean-Claude Rolinat

    Rédigé le Dimanche 5 Mars 2017 à 19:20 | 0 commentaire(s)

     

    FRANCOIS HOLLANDE, UN « TONTON FLINGUEUR » ?
    Nous allons développer ci-dessous une hypothèse qui en vaut bien d’autres, et qui présente l’avantage d’avoir la logique d’un puzzle dont toutes les pièces s’emboitent parfaitement.


    Le "grain de sel" de Jean-Claude Rolinat
    « Bien joué » si je puis dire, chapeau l’artiste! Du grand art, belle séquence politique fignolée sans doute par ce lecteur du « Prince » de Machiavel. Et pourtant, avec sa mine de chien battu, son           allure d’ordonnateur des Pompes funèbres et son look de petit comptable de chef-lieu de canton, – pardon pour les ruraux dont je fais partie –, le Président de la République vient de réussir « un coup de maître », un hold-up sans précédent sur une élection majeure et, suprême subtilité, sans être lui-même candidat.
    « Je n’y serai pas, l’autre non plus »….
    ….s’est dit le Chef de l’Etat. Assuré d’être éliminé au soir du premier tour d’après tous les sondages, pire d’être défait par ses concurrents lors   d’une primaire socialiste, il a préféré renoncer à la course et adouber, secrètement, l’un de ses affidés. Car on ne me fera pas croire que l’irruption quasi magique d’un  Macron a été spontanée. Le complot remonte à loin. « Dis-moi qui te soutient, je te dirai qui tu es » : Attali, Minc, Drahi, Cohn-Bendit, Kouchner, Bayrou, rien que du beau monde….Le beau jeune homme n’est pas un perdreau de l’année comme voudrait nous le faire croire l’intelligentsia dominante. Le produit a été lancé à grands renforts de pub comme une vulgaire lessive : pas une « une » de magazine sans une photo du couple Macron sous toutes les coutures, des radios, des télés, des pages et des pages dans la presse, un martellement continu de la grosse Berta médiatique. Restait à peaufiner le scénario avec une démission à l’amiable sans que François et Emmanuel ne s’égratignent trop publiquement. Oubliés le passage à la banque Rothschild, deux ans au secrétariat-général de l’Elysée et deux autres à Bercy. Seconde phase de l’histoire, l’élimination du favori qui caracolait en tête, l’accès au  palais de l’Elysée lui étant garanti après sa victoire à l’issue des primaires de la droite et du centre. Il fallait donc neutraliser François Fillon.
    Une  République oligarchique des juges ?
    Le dossier, sous le coude depuis des lustres, était prêt : direction le « Canard enchainé » qui s’est… déchainé, au bon moment ! Et on ne peut pas dire que le pauvre Fillon se soit  défendu avec brio. Ses communicants n’ont pas été à la hauteur. Un pas en avant, un pas en arrière, un mea culpa raté et trop tardif.  Il a mis la main dans le pot de confiture, légalement, - on serait tenté d’écrire « honnêtement » - , comme nombre de ses pairs. Il n’est,  ni plus ni moins coupable que ses 576 autres collègues de l’Assemblée nationale. Chaque député dispose de trois enveloppes : une pour son indemnité personnelle, une pour ses collaborateurs dont il choisit souverainement le nombre ainsi que leur salaire et la troisième pour « arroser » sa circonscription. J’en sais quelque chose en tant qu’élu local, notre député  finance ici ou là quelques travaux indispensables dans nos communes : quel est le maire, l’adjoint au maire, le conseiller municipal qui refuserait pareille aumône ? C’est le système qui est coupable, pas les hommes qui en profitent au vu et au su de tous. Et on peut  voir dans les poursuites engagées contre Fillon un certain acharnement judiciaire. Rapide quand il le faut la justice : le lendemain même de la parution du papier dans « Le Canard », Thémis saisissait François Fillon par le cou. On connaît la suite, lente descente aux enfers avec un cruel raffinement digne d’un tourmenteur Vietminh. Une hâte incroyable, pourquoi ? C’est que le 16 février, le Parlement avait voté A L’UNANIMITE une loi de réforme de la prescription qui devrait entrer en vigueur le 28. Pas une minute à perdre pour le Parquet. Le « Pénélopegate » allait emporter, polluer, pourrir définitivement la candidature de celui qui s’était hissé à la première place dans les sondages,  paré de toutes les vertus d’un chevalier blanc. On nous dit que la justice, avec un grand « J », est indépendante, au-dessus des intérêts des uns ou des autres. Il est vrai qu’il y a bon nombre de magistrats, Dieu merci, qui appliquent la loi et instruisent les affaires en conscience, en honnêtes hommes ou femmes convaincus de l’importance de leur tâche,  mettant l’impartialité au-dessus de leurs préférences naturelles, bien compréhensibles. Mais il en est d’autres peut-être, minoritaires  sans aucun doute,  qui subissent les influences d’un engagement philosophique et  intellectuel,  ou  la pression de leur choix idéologique. Souvenons-nous du scandaleux « mur des cons » qui décorait les locaux d’un syndicat engagé à l’extrême gauche. Lorsque ses adhérents, revêtus de leurs robes et de l’hermine,   dominent de leur suffisance les justiciables recroquevillés dans le prétoire, que leur passe-t-il par la tête ? Il suffit de lire certains attendus de jugements pour se rendre compte qu’il y a une justice à plusieurs vitesses. La Fontaine, plus que jamais, est toujours d’actualité : « Selon que vous serez puissant ou misérable etc…. ». On nous dit qu’il ne faut pas critiquer la justice et que nous n’aurions pas le droit de contester un arrêt, un attendu  de Cour ? Oui, respectons la Justice, mais cette institution vieille comme nos Etats n’est qu’un instrument de la force publique, financé sur nos deniers. Ses fonctionnaires, employés, greffiers, juges, procureurs etc….vivent de nos impôts et s’ils rendent la justice « Au nom du peuple français »,  alors  ils doivent s’y soumettre. C’est-à-dire respecter une certaine hiérarchie des peines prévues par la loi,- le législateur, c’est nous et nos députés le sont  par procuration ! -, en fonction de la gravité des actes commis. Il y a trop de distorsions d’un bout à l’autre de ce pays. Par exemple, les « sauvageons » de Juvisy qui ont mis «  à feu et à sang »  une cité de cette ville,  s’en sortent trop bien par rapport à tel commentateur de l’actualité poursuivi pour ses propos  iconoclastes pour la classe dominante, parus dans la presse ou diffusés sur une antenne. Aux Etats-Unis, les juges sont ELUS par le peuple. Ici, en France, ils sont nommés. Par qui ? Je n’entamerai pas ce débat, mais la question mérite bien, un jour, d’être posée.
    Après Fillon, éliminer Valls
    François Hollande ayant choisi secrètement son dauphin, écartant désormais  sans aucun doute le ténor de la droite molle, il ne restait plus qu’à neutraliser son bouillant Premier ministre. C’était chose faite avec les primaires du PS, désignant le député frondeur Benoit Hamon,  chouchou de beaucoup d’électeurs musulmans de sa circonscription de Trappes. Le talentueux orateur Mélenchon ayant un égo disproportionné, l’alliance de la gauche avec l’extrême-gauche ne pouvait se faire. La division de cet électorat verrouillait la porte à une union des gauches, assurant ainsi à Macron un score supérieur à chacun de ces deux candidats.
    Casser la droite et saborder la Marine….
    Mais l’orfèvre du Faubourg Saint Honoré devait parachever son œuvre. Eliminer, quasiment, les rivaux potentiels de son poulain ne suffirait pas  à lui assurer avec certitude la victoire. Il  fallait diviser l’ennemi et freiner celle qui caracolait, à son tour,  en tête des sondages. Le poison de la défaite étant inoculé chez les Républicains,  - on peut  se réjouir ou se lamenter, c’est selon, de  voir les uns après les autres, tous les gnous LR quitter la réserve fillonesque  en quête de nouveaux  herbages -, on allait s’atteler à entraver la course de Marine Le Pen avec, au choix, l’affaire des emplois fictifs, des supposés démêlés avec le fisc ou une « abracadabrantesque » histoire de clichés de massacres de Dae’ch diffusés via son compte Twitter. Et le bel Emmanuel,  pur comme un éphèbe de la statuaire grecque, au programme vide comme une cervelle de moineau, émergerait avec «  sa maman » dans le halo d’une lumière mystique, anesthésiant toute défense immunitaire rationnelle. Voici le plan supposé par votre serviteur, d’un Chef de l’Etat en phase terminale de  mandat, en train de se réaliser  à moins qu’une fois encore, un grain de sable, le destin ou le hasard qui, pour les Chrétiens ne sont que les doigts de Dieu, ne contrarient le déroulé d’une élection qui était bien trop prévisible.
    La ficelle est tellement grosse que c’en est une corde à nœuds ! Macron, Juppé, Hamon, Mélenchon ? L’horreur absolue….
     
    Jean-Claude R O L I N A T
  • Il est fou ! mais c'est pas AFFLELOU !

    Macron veut faire payer un loyer aux propriétaires

    Rédigé le Vendredi 3 Mars 2017 à 08:28 | 0 commentaire(s)

     

    L’État, ou plutôt la cohorte de ses hauts fonctionnaires logés gratuitement, ont toujours des idées formidables. Ainsi, de temps à autre, l’idée de taxer les loyers que le propriétaire « se verserait à soi-même », puisqu’il vit dans son propre appartement et donc ne débourse pas de loyer, refait surface.


    Macron veut faire payer un loyer aux propriétaires

    C’est en pleine campagne électorale qu’Emmanuel Macron a proposé à nouveau l’idée géniale de la taxe des « loyers payés à soi-même ». Une idée d’ailleurs approuvée par Jean-Luc Mélenchon et la gauche en général :

    « Cela permettrait plus de justice sociale. Les petites gens et les travailleurs déboursent bien un loyer. Les propriétaires ne paient que les autres 456 taxes sur l’immobilier, mais pas un sou de loyer.

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