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  • On nous aurait menti !

    mercredi, 21 juin 2017

    LA NOUVELLE ASSEMBLEE NATIONALE EST ILLEGITIME !

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    Jean-Claude Rolinat

    Le 18 juin 2017, l’appel aux urnes n’a pas fait recette auprès de l’électeur : les sollicitations diverses sont demeurées vaines et les citoyens sont massivement restés chez eux ou sont partis à la pèche ! En effet, seulement 47 % des inscrits ont cru bon de se déplacer pour accomplir, comme on dit, leur « devoir »…Résultats des courses , des députés élus au rabais qui représentent mal, très mal, le peuple, tant en scores qu’en catégories socio-professionnelles mais, sur ce dernier point, ce n’est pas un fait nouveau. Prenons par exemple quelques chiffres pour étayer notre affirmation. Le parti du Président, la secte des marcheurs, des« start-upers » et autres gauchos- bobos ayant l’étiquette « En Marche », obtient 7 826 434 voix, soit 44,06 % des exprimés, mais seulement 16,54 % des inscrits. Ce qui donne tout de même à LREM 308 députés ou 53,3 % des sièges. Si l’on ajoute à ces chiffres ceux des alliés du Modem – pour combien de temps ? – il y a une coalition de 8 924 649 suffrages et 350 députés, soit 18,87 % des votants donnant 60,65 % des sièges ! Mieux, le Parti communiste – et oui, malgré les crimes contre l’humanité, le Goulag, les révélations sur Katyn et le génocide Khmer, ça existe encore !- avec 217 832 voix au second tour soit 1,20 % des exprimés, il obtient 10 sièges, alors que, à titre de comparaison, les rescapés du néo-FN qui recueillent 1 564 252 voix, 8,61 %, n’auront que 8 parlementaires. On pourrait multiplier la démonstration, le scrutin majoritaire à deux tours est injuste, anti-démocratique.

    Le « cocu magnifique »

    Celui qui se sentait « faiseur de roi », François Bayrou - de fait, son ralliement à Macron a poussé les lignes en faveur de ce dernier - se retrouve coincé, pris à son propre piège. A force de clamer « urbi et orbi » qu’il voulait une moralisation de la vie publique, il a attiré la foudre sur lui et les siens. Thémis s’intéressant désormais de près au sort des députés européens du Modem et à leurs assistants parlementaires, plus exactement aux tâches qui leur étaient confiées. Travaillaient-ils vraiment pour les mandats européens de leur élu, ou étaient-ils mis à la disposition du parti ? C’est la même accusation «  d’emploi fictif » qui pèse sur le groupe Front national, la même qui avait conduit Juppé, condamné à s’exiler au Canada, pour se faire oublier. Et,  dans le cas précis qui nous occupe, la justice, semble-t-il, ne fera pas la politique du « deux poids, deux mesures ». Emmanuel Macron à l’aube de son mandat, lui qui se réclame d’une probité sans faille – attendons toutefois, là aussi, les résultats de l’investigation en cours concernant son raout à Las Vegas de l’an dernier- ne pouvait pas conserver à un poste ministériel de premier plan un dignitaire susceptible d’être mis en examen. Après un mois de résidence place Vendôme pour François Bayrou, ce n’est tout de même pas « Adieu veaux, vaches, cochons », car il retrouvera bientôt en même temps que son fauteuil de maire, les bovidés du Béarn. Pas de pot pour le Maire de Pau ! D’autant que dames Goulard et de Sarnez, deux poids lourds du Mouvement démocrate, le suivent dans cette démission sans doute un peu « forcée ». Le Président de la République, avec une majorité absolue de 308 parlementaires, soit 19 de plus que nécessaire a-t-il encore besoin de cet allié encombrant ? D’autant qu’il pourrait compter sur le renfort d’un nouveau groupe issu de dissidents des Républicains et des membres de l’UDI. On le voit, si la politique n’est pas un « long fleuve tranquille », les astres sont toujours au beau fixe pour le jeune locataire élyséen. Qu’il en profite, ça ne durera pas, Mélanchon et ses idées du XIXe siècle arrivent !

    Une droite classique sonnée et menacée de scission

    Ils ont beau crier haut et fort qu’ils n’ont pas subi une défaite irréversible, les Républicains à qui on aurait volé « une élection imperdable », la présidentielle, ressortent du scrutin de dimanche dernier « lessivés » : leur groupe, en effet, a rétréci au « lavage » électoral ! Non seulement ils perdent une centaine des leurs avec de cruelles défaites à Paris, en province ou en Corse et, en plus, ils vont siéger au Palais Bourbon dans deux groupes différents l’un, les « continuateurs » toujours présidé par le député-maire de Provins, l’autre rallié d’avance à Macron et pouvant servir de substitution à un Modem chancelant.

    Et nous dans tout ça ? Ne boudons pas notre plaisir

    Nous devons garder espoir. Rien, surtout pas en politique, n’est jamais définitif. De Gaulle et son RPF furent remerciés comme des malpropres au lendemain de la Libération, pour mieux revenir triomphants en mai 1958. L’Union et Défense des Commerçants et Artisans, l’UDCA de Pierre Poujade, avait fait irruption dans la chambre en 1956 avec une grosse cinquantaine de députés, parmi lesquels un jeune talent, Jean-Marie Le Pen, pour mieux disparaitre deux ans plus tard. François Mitterrand,  initiateur de son propre attentat bidon de l’Observatoire, aurait dû être effacé de l’échiquier politique, couvert de ridicule, alors qu’en 1981 et pour deux mandats, il devenait Président de la République. Qui aurait parié sur les victoires du FLN à Alger et de Mandela en Afrique du Sud, sur les succès du « Brexit » et de Donald Trump ? Qui aurait prédit qu’en décembre 1991 le drapeau rouge frappé du marteau et de la faucille d’or serait amené au Kremlin, symbolisant la mort de l ‘URSS, ou que la Pologne renaitrait de ses cendres au lendemain de la IIème Guerre mondiale ? Nous avons la foi, des évènements imprévisibles dont nous ignorons encore tout, nous donneront raison, à terme. Le peuple français, en fait, ne s’est pas prononcé. Les deux-tiers se sont abstenus. Il a adopté une attitude « so british » : « Wait and see », attendre et voir venir. Nous, nous sommes des acteurs qui refusons la décadence de notre pays, qui n’acceptons pas son invasion, son avilissement. Il nous faudra, sans doute, trouver des alliés. L’alliance électorale nouée à l’occasion de ces dernières législatives n’est qu’une première tentative. Il faudra sans doute élargir ce spectre politique, se perfectionner, s’ouvrir à d’autres sensibilités de proximité. Et puis, ne boudons pas notre plaisir de voir tomber à terre des adversaires et des ennemis qui ont mordu la poussière et qui perdent de leur superbe. Dieu fasse qu’un certain nombre d’entre eux connaissent, à leur tour, les joies des queues à Pôle Emploi. C’est, en guise de conclusion, tout le « bien » que je leur souhaite !

     
  • 55 ans, déjà !

    Et les clameurs se sont tues !...

     

    « Le souvenir du bonheur n'est plus du bonheur ; le souvenir de la douleur est de la douleur encore » (George Gordon, Lord Byron)

     

                Il était environ onze heures en ce mois de juillet 1962. Le ciel était pur, avec de légers flocons de nuages, très espacés. Une lumière douce et éclatante baignait les immeubles du Front de Mer, à Oran. Le « Kairouan » s’était rempli en un temps record… Il y avait du monde partout, dans les cales, sur le pont, dans les entreponts et si, sur les quais, c’était la panique, à bord, les malheureux « vacanciers » (comme les avaient surnommé Robert BOULIN et Gaston DEFFERRE) ne demandaient plus rien. Ils s’affalaient, prostrés, et regardaient les contours de leur terre. Ils voulaient s’imprégner une dernière fois de cette vision qui avait été le cadre de leur enfance, se souvenir de chaque mot, de chaque geste, pour être enfin dignes de s’envelopper du linceul immuable des choses définitives. Ils entraient en exil par de honteuses poternes, traînant derrière eux, comme un fardeau et un tourment, le manteau d’apparat de leurs souvenirs rebrodés de mirages.

                L’Algérie, tant servie, tant chantée, tant aimée, c’était le passé de bonheur, d’héroïsme et d’espérance, et ce n’était plus en cet instant tragique, que le désespoir de milliers de cœurs calcinés au fond de milliers de poitrines humaines…

    Il n’est pas de douleur plus grande que de se souvenir des jours de bonheur dans la misère !...

                En l’instant, tout à leur chagrin, ils ne savaient pas encore qu’une fois arrivés en France, épuisés et malheureux, ils y seraient accueillis comme des étrangers, qu’on les jugerait, qu’on les montrerait du doigt, qu’on les traiterait de parias, de pestiférés, qu’on dirait que « leur misère est un juste châtiment » et qu’on rirait de leur désespoir.

    Quel douloureux instant que celui où l’on quitte sa maison, son site aimé, ses amis, sa famille, tout ce qui tient au cœur, avec la conviction, plein l’âme, que plus jamais on ne les reverra. Et l’on pense aussi, sans le dire, à toutes les profanations de tous ces êtres chers qui seront faites après le départ…

    « Notre église, ce petit bijou, a été décapitée. Notre cimetière a été saccagé… Tous les cercueils ont été ouverts… J’aurais préféré être aveugle ! » C’est un prêtre français qui parle…

    Aujourd’hui, il ne reste plus comme vestiges qu’un grand rêve, des souvenirs douloureux, des milliers de morts et de disparus, des milliers de déracinés dépossédés, humiliés, violés, des ruines, une odeur de sang caillé, un reniement immense, et, sous le soleil de « là-bas », une déréliction de plaines rases rendues à l’abandon et le vent de la mer dans sa morne complainte sur les vignobles et les vergers en friches…

                Cinquante cinq ans « après », les rangs se sont « éclaircis » mais des milliers d’âmes déracinées ne font, encore, que survivre loin des paysages dorés qui ont émerveillé leur enfance. De cette terre douce et triste, tombeau de leurs aïeux et nid de leurs amours, un immense vide les sépare, fait de sable, de regrets, de mirages, de promesses et de serments révolus, où s’irréalisent les oasis perdues de leurs souvenirs.

                Algérie qui leur a donné la vie et qui a pris leur cœur, rongée par le désordre,  la pauvreté, la prévarication et l’immoralité d’apparatchiks, que triste est ton sort aujourd’hui !...

    De-ci de-là, les mousses recouvrant les murs joignent leur lèpre rouille à l’ombre des palmiers aux branches mutilées. Les grands arbres sous la lune, frissonnent de nostalgie et renouvellent chaque nuit leurs appels éplorés dans l’espoir que l’amour voudra bien y renaître. Et dans leurs branches désolées, les lettres qu’on déchiffre avouent aux voyageurs que d’autres en ces lieux ont connu des bonheurs dont les traces ne sont point effacées…

    Le temps a pu faire son office, jouer au sacrificateur, il n’a pas eu le front de dévorer ces noms des heures familières. Pourtant à notre départ nous n’avons rien inscrit. Nous n’avons pas voulu que s’y fixent nos cœurs. Mais nous n’avons pas trahi nos secrètes tendresses afin que reste bien à nous cette gerbe de fleurs qu’on respire à genoux parmi les souvenirs de toutes nos ivresses.

    Des souvenirs… Voilà ce qui reste désormais : des souvenirs merveilleux et cruels qui subsistent à jamais dans les mémoires… Avec le temps, les vagues murmureront longtemps autour de ces souvenirs là… Dans les tempêtes, elles bondiront comme pour venir lécher leurs pieds, ou les matins de printemps, quand les voiles blanches se déploieront et que l’hirondelle arrivera d’au-delà des mers, longues et douces, elles leur apporteront la volupté mélancolique des horizons et la caresse des larges brises. Et les jours ainsi s’écoulant, pendant que les flots de la grève natale iront se balançant toujours entre leur berceau et leur tombeau, le cœur de ces exilés devenu froid, lentement, s’éparpillera dans le néant, au rythme sans fin de cette musique éternelle.

     

    José CASTANO

                                                               Courriel : joseph.castano0508@orange.fr

     

    « O mes amis Pieds-Noirs, ne pleurez plus la terre et le sol tant chéris qui vous ont rejetés ; laissez les vains regrets et les larmes amères ; ce pays n’a plus d’âme, vous l’avez emportée » (Camille Bender – 1962)

     

     

    Isabella chante « les naufragés d’Algérie »

     

    Cliquez sur : les Pieds Noirs quittent l'Algérie - YouTube

  • On vous avait prévenus

    FN : PLUS DUR SERA LA CHUTE

    Quel avenir pour le Front national, Marine Le Pen et Florian Philippot après la désastreuse séquence des présidentielles et des législatives 2017 ?


    FN : PLUS DUR SERA LA CHUTE

    Pour en débattre, Carl Lang, Président du Parti de la France participait à  l'émission ça vous regarde sur la chaine parlementaire (LCP) en compagnie de François d'Orcival de Valeurs Actuelles, de Jérome Fourquet de l'Ifop et Marie Labat, co-auteur du livre « Philippot 1er » et journaliste sur LCP.

     
     
    Source : national-hebdo

     

  • Campagne de l'Union des Patriotes

    mercredi, 07 juin 2017

    À QUELQUES JOURS DES ÉLECTIONS LÉGISLATIVES, CARL LANG EXPLIQUE LA CAMPAGNE DES PATRIOTES

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    Carl Lang, Président du Parti de la France, a répondu aux questions de Pierre Cassen pour Riposte laïque cliquez ici

    Riposte Laïque : Vous êtes le président du Parti de la France, qui sera présent dans 56 circonscriptions aux élections législatives. Quel est votre objectif, en présentant ces candidats ?

    Carl Lang : Nous ne sommes présents que dans 56 circonscriptions du fait du coût des campagnes électorales. Ce sont nos candidats, nos militants et le Parti de la France qui financent les bulletins de vote et les circulaires. Nous ne bénéficions pas du financement public des partis politiques et toute notre action est le fruit du militantisme. Je suis fier des candidates et candidats du PdF, de leur courage, de la force de leurs convictions et de leur engagement au service de notre France.

    Notre objectif est de faire entendre la voix de la Droite nationale, de la droite des valeurs, de la droite des libertés économiques, de la droite sociale. Nous menons campagne contre la colonisation et l’islamisation de la France et pour la défense de notre identité, de nos traditions, de nos libertés et de notre sécurité.

    Nous avons par ailleurs contribué à la mise en place d’une alliance électorale dans le cadre de ces élections législatives avec les comités Jeanne présidés par Jean-Marie Le Pen et avec Civitas.

    La résistance nationale doit se faire entendre.

    Riposte Laïque : Et vous-même, vous vous présentez ?

    Carl Lang : Je suis candidat dans la 5eme circonscription de l’Eure, qui comprend Vernon, ma ville natale.

    Riposte Laïque : Vous avez mis en avant, dans vos tracts, le refus de l’islamisation de la France, et cela a été accepté. Vous n’avez pas craint, dans le climat actuel, des excès de zèle de quelque commission, estimant que cela pouvait constituer une incitation à la haine ?

    Carl Lang : Sur les bulletins de vote de nos candidats figure en plus des noms des candidats et du logo du Parti de la France, le slogan suivant : Pas d’islamisation chez nous : Défendons nos familles, nos traditions, nos libertés.

    Il s’est trouvé un magistrat président de la commission de propagande du Calvados pour, de manière totalement arbitraire et contraire au code électoral et à la jurisprudence, décider de rejeter nos bulletins de vote au motif totalement fallacieux de risque de trouble à l’ordre public. On croit rêver…

    Selon le même principe totalitaire, on pourrait aussi censurer le contenu des circulaires électorales et pourquoi pas refuser tout simplement les candidatures de l’opposition nationale comme étant en elles-mêmes un risque de trouble à l’ordre public. Il n’y a malheureusement pas de recours possible avant l’élection face aux décisions arbitraires et militantes de ce genre de commissaire politique. Nos candidats vont donc devoir livrer leurs bulletins de vote dans chacune des mairies de la circonscription et nos bulletins ne seront pas dans les enveloppes envoyées à chaque électeur.

    Partout ailleurs et conformément au code électoral et aux compétences des commissions de propagande, nos documents ont été validés. Nous serons donc en mesure de proposer aux Français un vote de refus de l’islamisation de leur pays. Mener cette bataille de défense de nos valeurs de civilisation est déjà en soi une victoire.

    Riposte Laïque : Vous étiez à Calais, il y a quelques jours, aux côtés de la candidate de Civitas Marie-Jeanne Vincent. Que vous inspire la campagne qui est menée contre elle ?

    Carl Lang : Les habituels donneurs de leçon de démocratie, de droits de l’homme, de tolérance et de respect des différences font tomber les masques et montrent leur vrai visage, celui de la haine de la France française. Ils affichent leur esprit sectaire, violent et totalitaire. J’espère que les électeurs de Calais récompenseront par leur vote le remarquable courage de Madame Vincent qui est par ailleurs enseignante dans le public.

    Le camp de la haine est chez ceux d’en face : pas chez les nôtres.

    Riposte Laïque : Depuis des années, vous critiquez très vivement le Front national, et sa présidente. Quel est votre regard sur sa campagne, son résultat au premier tour, le débat entre les deux tours, le score du 2e tour, et la situation interne de ce parti ? Considérez-vous que ces événements valident vos reproches passés ?

    Carl Lang : J’ai pu exposer, dans vos colonnes et avant le premier tour mon analyse de la campagne présidentielle. Je n’y retire rien. Par sa stratégie, sa ligne politique, son caractère et ses insuffisances, madame Le Pen a ruiné ses chances de victoire alors qu’elle disposait d’une situation politique qui ne se représentera peut-être jamais et d’un contexte historique extraordinairement favorable. Je pense que madame Le Pen n’est pas digne du Front National dont a hérité, qu’elle n’est pas digne de son père et qu’elle n’est pas digne de ceux qui ont voté pour elle.

    Riposte Laïque : Mais pourtant, elle a réalisé un score jamais atteint…

    Carl Lang : Et le bilan de tout cela est la confusion dans les idées et la ligne politique, le discrédit personnel, les dettes et les querelles internes. Dans l’attente des rendez-vous judiciaires…

    Riposte Laïque : La victoire de Macron inquiète de nombreux patriotes, certains voyant même dans cette élection la mort annoncée de la France. Vous partagez ce pessimisme ?

    Carl Lang : Je crois toujours au sursaut vital du peuple français et je me refuse à sombrer dans le pessimisme, le fatalisme et le renoncement. Je crois aux vertus de l’engagement et à la valeur de l’action. Nous menons une action de résistance difficile, avec des moyens dérisoires, mais nous savons que les minorités agissantes peuvent peser sur l’histoire. Ne soyons pas les spectateurs de l’abaissement de la France et de la fin de la nation française.

     
  • Dans quatre jours, les résultats.

    T1_59_20_2_N.pdf.pdf

    Comme moi, il faut vous y faire, je ne suis pas devenu un spécialiste de la communication. Pour lire notre circulaire, cliquez sur le lien ci-dessus.

    J'avais la responsabilité technique des candidats du PARTI de la FRANCE, mission quasi réussie.

    Je ne suis pas totalement satisfait, mais seul celui qui ne fait rien ne se trompe jamais.  

    Merci à celles et ceux qui ont subi les nombreuses notes.

    Merci à Josyane, Nicolas, Louis, Louis, Christian, Réjane, Caroline, Michèle, Laurence, Bruno, Guy, Frédéric, Eric, Aurélie, Elisabeth et tous les autres, j'en oublie, elles et ils m'ont déjà pardonné 

    Gérer devant son écran une centaine de camarades, plus ceux qui nous accompagnent dans l'UNION des PATRIOTES, ne fût pas un sinécure.

    Merci à toutes celles et tous ceux qui participent, toutes et tous des bénévoles.

    Elles et ils sont les candidats de la FRANCE.

    Que les résultats nous permettent de continuer notre combat.

    Dominique SLABOLEPSZY

  • A Dieu, notre ami

    Décès de Daniel Duhamel

    Le Parti de la France a la tristesse de vous annoncer le décès de Daniel Duhamel. Commandeur de la légion d'honneur, commandeur de l'ordre national du mérite, membre du Cercle National des Combattants et membre fondateur du Parti de la France, Daniel Duhamel, officier médaillé et homme du Nord, a été conseiller régional du Nord-Pas-de-Calais de 1992 à 2004 au sein du groupe Front national alors présidé par Carl Lang.


    Le Parti de la France et Carl LANG adressent leurs condoléances et leurs amitiés à  l'épouse de Daniel et sa nombreuse famille.
    La cérémonie religieuse aura lieu vendredi 9 juin à 10h30 à L'institut Religieux de la sainte croix de Riaumont, village d'enfants de Riaumont, rue Thiers à  LIEVIN, dans le Pas de Calais.

    A Dieu Daniel.
     

     

     

  • Le clip du Parti de la France

    REINFO : le journal hebdomadaire

    Clip officiel du Parti de la France - Elections législatives 2017