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  • SENATORIALES, nous voilà !

    Vous pourriez croire que j'ai pris goût aux échéances électorales.

    Ce n'est pas vraiment la réalité, comme ASTERIX, je suis tombé dedans quand j'étais beaucoup plus jeune.

    En 1951, mon grand-père maternel, ancien prisonnier de guerre de 1914 à 1919, m'avait initié à l'acte civique qu'est le dépôt d'un bulletin dans l'urne.

    C'est lui qui m'avait initié à la bonne pratique républicaine : au premier tour on choisit, au deuxième on élimine.

    J'ai eu, à de nombreuses reprises, à appliquer ce qu'il m'avait appris.

    J'ai envisagé, à de nombreuses reprises, être un élu de la Nation.

    Je l'ai été avec une certaine satisfaction, celle d'avoir servi la FRANCE, nos concitoyens, mes idées.

    Conseiller municipal d'Escautpont, de Condé sur l'Escaut et de Valenciennes, conseiller régional de 1992 à 2010.

    Les gaulois n'avaient qu'une peur, que le ciel leur tombe sur la tête.

    Je n'ai qu'une appréhension, ne plus pouvoir être candidat.

    J'ai participé à toutes les élections, sauf la présidentielle.

    Une nouvelle élection se tiendra le 24 septembre 2017 : les sénatoriales, en particulier dans le NORD.

    Avec l'accord de Carl LANG, Président du PARTI de la FRANCE, j'y retourne, comme en 2011, pas spécialement pour gagner, mais pour continuer le combat des idées.

    Ce sont donc 6 hommes et 6 femmes du Nord, élus ou anciens élus fidèles à des principes qui me feront l'honneur de participer à ce nouveau tour de piste en attendant 2019 et 2020, européennes, municipales et régionales.

    Je suis à l'écoute de toutes celles et tous ceux qui ne veulent pas mourir, que notre France ne meure pas. 

  • Assez de mensonges !!!!!!

    Quand le FN met en avant une fausse victime des attentats de Nice

     

    Rédigé le Vendredi 7 Juillet 2017 à 13:15 | 0 commentaire(s)

     

    Vendredi 30 juin, le député Front National et adjoint au maire d’Hénin-Beaumont Bruno Bilde, a fait intervenir au conseil municipal Sophie Fessard, qui se prétendait victime des attentats de Nice. Une intervention qui a suscité le scandale.


    Je suis une rescapée de l’attentat de Nice. J’ai perdu ma famille, mes amis. Avant j’étais normale, aujourd’hui je suis paralysée des membres inférieurs.” C’est ainsi que Sophie Fessard a commencé son intervention au conseil municipal d’Hénin-Beaumont où Bruno Bilde et Steeve Briois, respectivement adjoint et maire de la commune du Pas-de-Calais, avaient exceptionnellement fait appel à une personne du public. Le sujet à l’ordre du jour ? L’armement des policiers municipaux, une revendication récurrente des élus du Front National.

    Face à une opposition médusée qui dénonce avec fracas une instrumentalisation orchestrée par Bruno Bilde, la “victime” des attentats de Nice poursuit : “Si les policiers municipaux avaient été armés à Nice, le terroriste ne m’aurait pas roulé dessus. C’est indigne et irrespectueux pour nous, les victimes, de demander le désarmement”. 

    Elle se prétendait déjà victime du Bataclan

    Seulement voilà, la Voix du Nord  rapporte que Sophie Fessard, originaire de Rouen, s’était déjà présentée par le passé comme une victime des attentats du Bataclan. Contactée par le journal, la police judiciaire de la ville de Rouen a confirmé qu’elle n’apparaissait pas dans le registre national des victimes… Le quotidien régional cite ensuite une source anonyme de Rouen qui achève de jeter le discrédit sur ce témoignage :

    Elle s’était déjà présentée en victime de l’attaque du Bataclan. Encore auparavant, elle se disait handicapée à cause de mauvais soins. Elle se présentait déjà en fauteuil roulant avant les attentats de Paris et de Nice. J’ai en ma possession des documents médicaux qu’elle a clairement falsifiés.”

    On trouve en effet trace d’un témoignage de Sophie Fessard paru en 2007 dans Le Parisien  où elle raconte avoir entamé une grève de la faim d’une douzaine de jours devant l’hôpital où elle aurait été victime d’une erreur médicale, sans que l’on sache ce qu’est devenue la procédure qu’elle avait engagée en justice.

    La police judiciaire de Rouen précise enfin qu’elle utilise aussi deux autres identités, Sophie Lescamure et Sophie Martin, nom sous lequel elle est impliquée dans une affaire de diffamation et d’atteinte à la vie privée.

    Les élus Front National étaient-ils au courant des incohérences dans le discours de Sophie Fessard ? Pas besoin en effet de chercher très longtemps pour trouver les premières contradictions entre son récit sur les attentats et ce qu’elle affirme autre part. Ainsi, elle certifiait dans son intervention devant le conseil municipal d’Hénin-Beaumont avoir perdu sa famille dans les attentats du 14 juillet 2016 à Nice. Pourtant dans l’autobiographie qu’elle a écrite, elle raconte avoir été placée à la DDASS après avoir été abandonnée à la naissance, en parallèle elle affirme au Parisien que son mari policier serait décédé en 2004 et que son fils aurait été à son tour placé à la DDASS suite à ça… Comment dès lors croire à son récit sur l’attentat de Nice ?

    La Voix du Nord ajoute que celle qui déclarait avoir été grièvement blessée lors des attentats, n’en était pas moins très active sur Twitter moins de 24h après l’attaque. Le quotidien affirme en effet qu’elle postait et répondait aux tweets avec assiduité. Son compte a été désactivé il y a quelques jours.
    source : la voix du Nord via les inrocks

  • Serait-ce le début de la fin ?

    Assistants parlementaires du FN: Marine Le Pen mise en examen pour abus de confiance

     

    Rédigé le Vendredi 30 Juin 2017 à 20:34 | 0 commentaire(s)

     

    La présidente du Front national, Marine Le Pen, mise en cause dans une enquête sur les assistants parlementaires d'eurodéputés FN, était convoquée cet après-midi chez les juges. Elle a été mise en examen pour abus de confiance, selon son avocat.


    "Conformément à ses engagements pris pendant la campagne présidentielle, Marine Le Pen s'est rendue aujourd'hui à la convocation des juges qui l'ont, comme envisagé, mise en examen" (inculpée, ndlr), a indiqué l'avocat Rodolphe Bosselut. Il a ajouté que sa cliente allait déposer un recours "dès lundi" contre cette inculpation qui viole le principe de la séparation des pouvoirs.

    Mme Le Pen, élue eurodéputée en 2004, a été mise en examen pour abus de confiance "en sa qualité de députée européenne de 2009 à 2016 pour utilisation de fonds du Parlement européen" au profit de sa cheffe de cabinet au FN Catherine Griset et de son garde du corps Thierry Légier, a précisé une source judiciaire.

    La nouvelle députée à l'Assemblée nationale a également été mise en examen pour "complicité d'abus de confiance" de 2014 à 2016 en sa qualité de présidente du parti d'extrême droite, a ajouté cette source.

    Convoquée en début d'après-midi au pôle financier du tribunal de Paris, Marine Le Pen a lu une déclaration et n'a pas, comme la loi l'y autorise, répondu aux questions, a précisé son avocat.

    Jusqu'ici, la patronne du FN, 48 ans, avait refusé de rencontrer les juges: elle avait mis en avant son immunité d'eurodéputée pour rejeter une première convocation le 10 mars, puis indiqué qu'elle répondrait favorablement à leur demande après les élections présidentielle et législatives.

    Le préjudice pour le Parlement européen s'élèverait à près de cinq millions d'euros de 2012 à 2017, d'après des chiffres communiqués par l'institution européenne. Dix-sept élus FN européens, dont Marine Le Pen et son père Jean-Marie Le Pen, sont visés par l'enquête en France, ouverte en 2015, qui porte sur au moins une quarantaine d'assistants.
    source : lefigaro.fr