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SLABO - Page 10

  • La confession de CHAUPRADE

    Marine Le Pen et Aymeric Chauprade le 21 janvier 2014 à Paris.© Bertrand Guay Marine Le Pen et Aymeric Chauprade le 21 janvier 2014 à Paris.

     

    Brouillé avec son ancien parti, l'eurodéputé accuse Marine Le Pen d'avoir directement mis en place un système d'emplois fictifs au Parlement européen.

     

    Le témoin est d’autant plus gênant qu’il parle d’expérience, et à visage découvert. Ex-figure du Front national, désormais retourné contre Marine Le Pen, l’eurodéputé Aymeric Chauprade a décidé de témoigner contre son ancien mouvement. Malversations financières, prise en main du parti par un petit «clan» d’entrepreneurs, antisémitisme persistant : c’est un véritable réquisitoire que livre le géopolitologue face à plusieurs journalistes – dans l’ouvrage Marine est au courant de tout de Marine Turchi et Mathias Destal (éditions Flammarion), devant les caméras d’Envoyé Spécial,auprès de Mediapart ou encore de l’Express.

    Celui qui siège désormais parmi les non-inscrits au Parlement européen accuse ainsi Marine Le Pen d’avoir directement contribué à un système d’emplois fictifs. Connu sous le nom d'«affaire des assistants», le dossier fait l'objet d’une information judiciaire ouverte en janvier. Plusieurs assistants des eurodéputés frontistes sont accusés d’avoir été rémunérés sur fonds européens, tout en se consacrant à des fonctions internes au Front national. Selon Chauprade, c’est Marine Le Pen qui aurait posé les bases de ce système lors d’une réunion des eurodéputés FN en juin 2014. La présidente du parti aurait demandé à ses élus une délégation lui permettant d’embaucher à leur place des assistants qui «serviront directement au parti». Pour Aymeric Chauprade, qui dit avoir refusé le marché, «tout le monde comprend, quand on a un minimum de culture générale, que l’on est dans une logique d’emplois fictifs […]. Certains ont grincé des dents, mais il y a une discipline quasi-stalinienne dans ce parti».

    Sous la menace d’une mise en examen dans ce dossier, Marine Le Pen a toujours dénoncé une cabale montée par ses adversaires politiques et visant à parasiter sa campagne présidentielle. Le parti a promis de réagir en signalant à la justice des cas similaires visant les eurodéputés d’autres partis politiques.

    Ce n’est pas tout : Chauprade souligne également l’emprise sur le parti du petit réseau d’entrepreneur concentré autour de Frédéric Chatillon, ami de Marine Le Pen et l’un des principaux prestataires du FN : «L’économie du FN, c’est ce groupe, une petite galaxie de société […] qui fait 100% de son chiffre d’affaires avec le FN et avec la manne française et européenne, assure-t-il. On ne pouvait pas faire sans ces gens-là. Et si comme moi on s’y opposait ou on rechignait, on recevait un coup de fil de la présidente [Marine Le Pen]. L’économie du FN est intégralement concentrée entre les mains de ce clan.» Un clan qu’Aymeric Chauprade accuse d’être imprégné d’antisémitisme, et toujours lié au polémiste «antisioniste» Alain Soral. «Au nom de la dédiabolisation Marine Le Pen sacrifie son père, conclut l’eurodéputé. Mais elle ne touche pas à ces gens qui sont bien plus radicaux que son père, elle les couvre quoiqu’il arrive. D’un point de vue rationnel, il n’y a pas d’explication.»

    Sur Twitter, Frédéric Chatillon a balayé les accusations d’Aymeric Chauprade, «qui a quitté le FN juste avant d’être viré suite à son implication dans l’évasion des pilotes d’Air Cocaïne», une rocambolesque affaire qui avait embarrassé le parti et précédé de peu le départ de Chauprade. Mis en cause pour les mêmes faits dans le documentaire d’Envoyé Spécial, le conseiller régional FN Axel Loustau a de son côté promis de répondre «point par point à ce tissu de mensonges, d’amalgames et de diffamations».

     

    Source : Envoyé spécial A2 + Post ORANGE du 17/03/2017

  • On cherche à comprendre

    Marine Le Pen et la réhabilitation de Robespierre…

    Lors de sa conférence présidentielle n° 4 sur la citoyenneté, ce lundi 13 mars, Marine Le Pen a démarré son propos avec cette bombe : « Nous sommes français et nous célébrons Jeanne d’Arc ou Robespierre, les madones des églises ou les soldats de l’an II, les hussards de la République et le peuple de l’ombre de la Résistance. »

    Son mensonge est évident : il n’est pas nécessaire de chercher très longtemps pour trouver un Français un brin instruit et conscient du drame national toujours prégnant qui honnit Maximilien de Robespierre, en raison de ce qu’il incarne dans la conscience d’une partie de notre peuple. Et il ne s’agit pas seulement d’historiens confinés dans l’étude de poussiéreux grimoires, mais de tous ceux qui ne se sont pas contentés de la doxa, l’Histoire rêvée par les VRP de la République sévissant au sein de l’Éducation nationale. Le « Nous » ne peut donc inclure bon nombre de gens qui ne perdraient pas la qualité de Français pour autant.

    Maximilien de Robespierre incarne le régicide, le génocide des provinces rétives, l’intolérance anticatholique poussée à son extrême, l’arbitraire judiciaire sanglant et industrialisé, bref, la Terreur. Il est l’un des ingénieurs du premier prototype de totalitarisme mis en chantier dans le monde. L’histoire officielle, celle qui a reçu le nihil obstat et l’imprimatur de la rue de Grenelle, ne s’y trompe pas : elle évite de mettre la figure contestable de Robespierre sur un piédestal dont il serait trop facile de le faire choir. Et, donc, célébrer Robespierre n’est même pas envisageable, parce que c’est indicible, c’est piègeux diraient les Québecois. Seul un Jean-Luc Mélenchon, menteur patenté et provocateur hors pair à l’instar du géniteur de Marine Le Pen, promeut un révisionnisme qui vise à substituer les sans-culottes aux Gaulois comme ancêtres de notre nation (même si les Celtes pèsent assez peu dans la composition de notre peuple, il faut aussi l’admettre). Robespierre, c’est notre plus grand diviseur commun.

    Alors, pourquoi Marine Le Pen parle-t-elle de célébrer Jeanne d’Arc ou Robespierre de la même façon, comme si nous étions une nation qui aurait vu ses plaies cicatriser, unie parce que ré-unie ? Il serait inepte d’imaginer qu’elle ignore son Histoire de France, la vraie, avec ses périodes glorieuses comme les plus honteuses. Un mot qui serait mal choisi dans un discours de campagne sur son thème de prédilection est tout aussi improbable. Il y a, certes, l’évolution d’un parti poujadiste vers un parti jacobin, mais ce n’est pas suffisant.

    Alors ? La seule explication qui me vient à l’esprit est que Marine Le Pen ne souhaite pas gagner cette élection présidentielle et qu’elle préfère, en catimini, dégoûter cette frange de l’électorat conservateur dont elle aurait besoin pour gagner. D’autres signes existent, comme le retrait des représentants du FN de la conférence de Béziers.

    Finalement, faire ronronner le fonds de commerce hérité de papa sans prendre de grosses responsabilités, ça n’a que des avantages !

    Rémy Mahoudeaux

    Source : http://www.bvoltaire

     

     

  • L'implantation continue

    Daniel Isorni, nouveau Délégué départemental du Parti de la France pour la Seine-et-Marne

    Rédigé le Jeudi 16 Mars 2017 à 08:08 | 0 commentaire(s)

     

    Daniel Isorni, 40 ans, marié (2 enfants), cadre commercial, a été nommé par le Bureau Politique du Parti de la France Délégué départemental pour la Seine-et-Marne (77).

    Il s'explique sur son engagement au Parti de la France :


    « Profondément français et patriote, admirateur depuis toujours de Jean Marie Le Pen, j’ai décidé de m’engager politiquement aux cotés de Carl Lang et du Parti de la France pour 2 principales raisons :

    La première est liée à la situation dramatique que connaît notre pays, menacé chaque jour davantage par des périls toujours plus grands et gouverné par des traitres prébendiers... Il est encore temps d ‘agir, bientôt il sera trop tard.

    La seconde est mon grand respect pour tous ces militants et cadres historiques de la droite nationale, véritables soldats de la patrie, qui se sont regroupés au sein du PARTI de la FRANCE, seul garant aujourd'hui d’une authenticité patriotique.

    Il appartient à chaque français de trouver une forme d’engagement à sa mesure pour lutter contre la destruction de notre pays. »

    Daniel Isorni aura en charge d'animer les activités militantes et de structurer le Parti de la France dans son département. Pour le contacter : pdf.seineetmarne@gmail.com

  • Le bons sens !

    Intervention de Carl Lang à la journée de Civitas

    Rédigé le Lundi 13 Mars 2017 à 19:35 | 0 commentaire(s)

     



  • MACRON ! C'est QUI ? C'est QUOI ?

    Le bilan catastrophique d’Emmanuel Macron au ministère de l’économie

    Rédigé le Lundi 13 Mars 2017 à 08:48 | 0 commentaire(s)

     

    Il est étonnant de constater qu’aucun journaliste n’interroge le candidat d’En Marche ! sur le bilan de sa seule expérience comme si Emmanuel Macron n’avait jamais eu l’occasion de faire ses preuves et qu’il tombait de nulle part.


    Le bilan catastrophique d’Emmanuel Macron au ministère de l’économie

    Pourtant, Emmanuel Macron est aux côtés de François Hollande depuis le début.

    D’abord en tant que conseiller sur les questions économiques puis en tant que ministre de l’économie.

    Le chouchou des médias a donc largement contribué au bilan économique du quinquennat et le moins que l’on puisse dire est qu’il est peu glorieux :

    Lire la suite sur info24

     


     

     

  • L'UNION pour les Législatives

    Civitas lance sa campagne pour les législatives de juin prochain

    Rédigé le Dimanche 12 Mars 2017 à 14:11 | 0 commentaire(s)

     

    Samedi s'est déroulée à l'Espace Jean Monnet à Rungis, lieu bien connu des lecteurs de Synthèse nationale, la 1ère fête du Pays réel organisée par l'Institut Civitas présidée par Alain Escada. Ce fut l'occasion pour lui de donner le coup d'envoie de la campagne du mouvement catholique et national en vue des élections législatives de juin prochain. Civitas présentera en effet des candidats comme ce sera aussi le cas du Parti de la France et des Comités Jeanne présidés par Jean-Marie Le Pen. Un accord d'unicité de candidature est donc réalisé entre ces différentes formations.


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    Alain Escada, Président de Civitas

    Cette entente s'est matérialisée dans l'après-midi par un meeting rassemblant un public nombreux au cours duquel prirent respectivement la parole Carl Lang, Président du PdF, Jean-Marie Le Pen et Alain Escada.

    Synthèse nationale était aussi invité à la fête et, toute la journée, notre stand a été visité par de nombreux amis. Ignace, le fameux dessinateur auteur de l'album Apocalypse Flamby cliquez ici  que nous avons publié en décembre dernier, et Alban d'Arguin, à qui nous devons un brillant réquisitoire contre ce scandale d'Etat que sont les éoliennes, dernièrement édités cliquez là , dédicacèrent à tour de bras leurs ouvrages respectifs.

    Bravo et merci à Alain Escada et à Civitas pour cette belle réunion amicale tenue dans l'esprit de nos journées nationales et identitaires annuelles cliquez ici . Rappelons au passage que la XIe du genre se déroulera le dimanche 1er octobre à Rungis justement...

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    Jean-Marie Le Pen arrive au stand de Synthèse nationale

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    Carl Lang et Alban d'Arguin se sont entretenus sur les ravages produits par les éoliennes

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    Amicales retrouvailles sur le stand de Synthèse

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    Un public nombreux et attentif

    Nous publierons très prochainement les interventions politiques de la journée.

    source : Synthèse nationale 

  • Et un de plus !

    Éric SAMYN, nouveau Délégué départemental du Parti de la France dans les Ardennes

    Rédigé le Samedi 11 Mars 2017 à 18:54 | 0 commentaire(s)

     

    Éric SAMYN, Conseiller municipal de Sedan, Conseiller régional de 2004 à 2015, a été nommé par le Bureau Politique du Parti de la France Délégué départemental des Ardennes.


    Cet ancien fonctionnaire de police, âgé de 65 ans (marié, un enfant), est un militant et un cadre historique du Front National dans les Ardennes. Il a décidé de poursuivre le combat politique aux côtés de Carl Lang parce qu'il ne se retrouvait plus dans la ligne politique de la direction du néo-FN de Marine Le Pen et de Florian Philippot. Il estime que ce sont désormais Carl Lang et le Parti de la France qui représentent la véritable droite nationale de conviction.

    Éric Samyn aura en charge d'animer les activités militantes et de structurer le Parti de la France dans son département. Pour le contacter : 06.41.06.04.35 ou e_samyn@orange.fr

  • Pas de CHARIA chez nous !

    Tribune libre de Carl Lang : « Pas de charia chez nous ! »

     

    Je remercie en premier lieu la revue Confrontation et Jean-François Touzé de m’offrir une possibilité d’expression dans cette tribune libre sur le thème de la galopante islamisation de notre pays et de la nécessaire résistance.

    A l’occasion de mes vœux du Nouvel An, j’ai écrit : « La terre de France n’est pas terre d’islam. Pas de charia chez nous ! ». Je considère en effet que de notre capacité ou non à refuser la colonisation islamique de notre pays dépendent nos libertés futures, notre identité, notre sécurité et notre modèle de civilisation.

    Il me parait tout d’abord nécessaire d’en finir avec l’imposture des soi-disant « valeurs de la République » et de laïcité républicaine qui devraient, par simple incantation, nous protéger du communautarisme et de l’islamisation de la société française. Cette République frelatée est non seulement incapable de préserver la France de l’islamisation, mais elle est intégralement responsable depuis 40 ans de la politique d’immigration massive ayant engendré le phénomène culturel, social, communautaire et politique d’islamisation de la France.

    Lors des élections européennes et régionales de 2004, je faisais figurer sur mes documents électoraux : « Vous avez aimé l’immigration ? Vous allez adorer l’islamisation ! ». Aujourd’hui nous pourrions ajouter : « Vous allez adorer l’islamisation, la charia et le terrorisme islamique ! ». Les militants de l’islam politique et révolutionnaire ont, quant à eux, parfaitement compris que la fameuse laïcité républicaine, c’est-à-dire la totale neutralité de la République à l’égard des religions, ainsi que les soi-disant droits de l’homme étaient le meilleur cheval de Troie leur permettant de façonner petit à petit la société française à leur image. Ils peuvent compter pour atteindre leurs objectifs sur leurs nombreux compagnons de route, adeptes de l’ouverture à l’étranger, de l’accueil des migrants et de la promotion de la diversité devenue, parait-il, une richesse de la République. 

    Les internationalistes et mondialistes de tous poils, s’acharnent à détruire l’identité française, la mémoire nationale, nos traditions, notre héritage spirituel et tout ce qui pourrait préserver l’unité française. De fait, les adeptes fanatiques de la République citoyenne et universelle des droits de l’homme font, par haine de tout ce qui est national et chrétien, le lit de la République islamique et servent objectivement les intérêts de la révolution islamique.

    Les laïcistes et droit-de-l’hommistes ne sont pas les protecteurs mais les fossoyeurs de la République française. Quant à ceux et celles, candidats et candidates à la fonction présidentielle et autres membres de la caste dirigeante qui déclarent que l’islam est compatible avec les valeurs de la République, nous pouvons les ranger au choix dans deux catégories possibles ; celle des imbéciles ou celle des traîtres. A moins qu’ils ne confondent République française et République islamique…

    Nous avons aussi le devoir de dénoncer les bêlements ininterrompus du troupeau des islamo-collabos qui s’évertuent à répéter « pas d’amalgame, pas d’amalgame… » en se convaincant eux-mêmes que le terrorisme islamique n’aurait rien à voir avec l’islam. Nous n’avons pas besoin de ces pales idiots pour constater que les musulmans ne sont pas tous des terroristes. Mais en revanche, il est bien clair que tous les terroristes islamistes sont des musulmans. Il suffit d’ailleurs de prendre connaissance des écrits et des propos des dirigeants et doctrinaires islamistes pour comprendre qu’ils se considèrent eux, comme les vrais et seuls représentants de l’islam, un islam des origines, un islam pur, un islam total.

    En conséquence, le verbiage droit-de-l’hommiste de la citoyenneté républicaine et du vivre ensemble des « ravis » du paysage audiovisuel et politique français doit provoquer chez les dirigeants de l’islam politique et révolutionnaire de grands moments d’hilarité.

    Il faudrait inviter les moutons en chef de la bien pensance islamo-compatible à lire la déclaration islamique universelle des droits de l’homme ainsi que la déclaration de 1990 sur les droits de l’homme en islam. Il est peut-être temps de comprendre que ces gens ne veulent en aucun cas se fondre dans le creuset de la nation française car ils ne reconnaissent qu’une nation, c’est la nation de l’islam. Et leurs lois sont celles établies par le coran et la charia.

    Nous avons à relever le défi d’un processus politique et historique d’action révolutionnaire basé sur une idéologie politico-religieuse qui est celle d’un islam total et conquérant ayant pour but politique ultime et affiché l’instauration du califat universel. 

    L’alternative politique qui se présente donc à nous est simple : le peuple français collabore et se soumet ou bien il s’oppose et résiste à l’islamisation de la France. 

    J’ai fait, avec les membres du Parti de la France, le choix politique de m’opposer à l’islamisation-colonisation de la France et de l’Europe. Nous sommes bien évidemment dénoncés par les chiens de garde du discours islamiquement compatible comme des islamophobes. La phobie étant une forme de peur instinctive d’origine psychologique voire psychiatrique, je réponds à ces individus que nous n’avons aucune phobie de l’islam pas plus que nous n’avions de phobie du communisme. Nous n’étions pas communistophobes mais anti-communistes.

    Nous sommes fiers aujourd’hui d’être anti-islamistes, comme nous sommes fiers d’avoir été anti-communistes. 

    L’internationale révolutionnaire communiste du 20ème siècle a été combattue et vaincue en Europe. Aujourd’hui nous devons nous engager afin de refuser chez nous l’idéologie politico-religieuse de l’internationale révolutionnaire islamique.

    Il en va de notre identité, de nos libertés et de notre sécurité. C’est d’un véritable choix de civilisation pour la France et l’Europe dont il s’agit. Aidez-nous. Aidez la résistance nationale !

    Carl Lang - Président du Parti de la France

  • LEGISLATIVES JUIN

    Pour les législatives, le Parti de la France sera présent dans les 19e et 20e circonscriptions du Nord

    Rédigé le Mardi 7 Mars 2017 à 14:11 | 0 commentaire(s)

     

    Serge Thomés et Dominique Slabolepszy vont, encore une fois, faire campagne lors des prochaines législatives. Le premier, dans le Denaisis ; le second, dans l’Amandinois.


     

    « Dans cette campagne présidentielle, tous les jours, il se passe quelque chose », commentait, vendredi après-midi, Dominique Slabolepszy. Vu la tournure actuelle des événements, les deux adhérents valenciennois du Parti de la France – qu’ils ont rejoint à sa création voilà neuf ans, en quittant le FN lorsque Marine Le Pen en a pris les commandes – ont décidé « d’y aller ».

    « Personne ne sait pour l’heure ce qu’il va advenir à la présidentielle » et, dans l’arrondissement, le non-cumul des mandats (dans le Denaisis) et la multiplication des candidats à gauche (dans l’Amandinois) ont rebattu les cartes. Certes, ni l’un ni l’autre n’ont l’ambition de jouer les trouble-fête en se hissant au second tour. Leur objectif commun est tout autre. Il faut aller le chercher du côté de l’organisation même du Parti de la France, que dirige Carl Lang. Dominique Slabolepszy a ainsi été désigné comme délégué national pour les élections législatives. « Je m’occupe de tous les aspects techniques de la campagne dans toute la France ». Et des contacts avec les candidats potentiels qui, sur leurs tracts, auront « le choix de mentionner, ou pas, le nom de nos partenaires «associés» » : les Comités Jeanne de Jean-Marie Le Pen et CIVITAS.

    Le Parti de la France s’est fixé un but : présenter entre cent et deux cents candidats, avec l’objectif qu’au moins cinquante d’entre eux franchissent la barre de 1 % des suffrages. « Cela nous permettrait d’obtenir un financement public », observe l’ancien conseiller régional. Pas négligeable quand on sait que chaque voix peut faire tomber 1,30 € dans les caisses du PDF.

    Cet objectif de 1 %, Serge Thomés et Dominique Slabolepszy estiment pouvoir l’atteindre dans la 19e et dans la 20e, les circonscriptions tenues jusqu’à présent par Anne-Lise Dufour et Alain Bocquet. « Aux départementales, nous avions envoyé 150 candidats pour «tester» nos résultats, rappelle l’ancien chef d’entreprise. J’avais fait autour de 1,5 % ; avec des pointes à 3 % dans le pays de Condé. »

    Se revendiquant du « canal historique » du Front national, les deux candidats aux législatives entendent, dans la campagne, se démarquer des idées de Marine Le Pen.

    Source : http://www.lavoixdunord.fr

  • LEGISLATIVES JUIN

    Didier Monnin candidat du Parti de la France aux législatives dans le Var

    Rédigé le Samedi 4 Mars 2017 à 16:12 | 0 commentaire(s)

     

    Lire l'article de presse de Var Matin.


    Article de Var Matin

    Article de Var Matin

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  • Les rats quittent le navire: est-ce qu'il coule ?

    En lâchant Fillon, son parti se disqualifie

     

    S’il faut reconnaître une qualité à celui qui est encore le candidat désigné de la droite et du centre, c’est bien le courage et la combativité. Combien d’hommes politiques auraient supporté l’acharnement médiatique, politique et judiciaire dont il fait l’objet depuis maintenant plusieurs semaines ? Combien d’entre eux auraient accepté de voir leur famille mise en cause et traînée dans la boue ? Très peu, certainement. Bien sûr, dans cette résistance acharnée du Sarthois, il est toujours possible de voir de l’aveuglement, et même de l’inconscience. Mais s’il est véritablement innocent des accusations portées contre lui, qui pourra lui reprocher de s’être battu jusqu’au bout, pour son droit et son honneur ?

    Mais il est vrai qu’en politique, l’honneur pèse bien peu de chose face aux enjeux du pouvoir. Rien d’étonnant, donc, à ce que sa « famille » et ses « amis » politiques aient décidé de le lâcher les uns après les autres, après une lente mise à mort.

    Cette mise à mort du candidat Fillon, soigneusement orchestrée et préparée, en signe une autre : celle de la droite parlementaire. Contrairement aux déclarations de certains caciques, évidemment sarkozistes ou juppéistes, ce n’est pas le maintien de sa candidature qui déchire son parti, mais son parti qui achève sa dislocation avec l’affaire Penelope.

    Depuis un certain Guy Mollet, nous le savions : la France a la droite la plus bête du monde.

    Grâce à l’affaire Fillon, nous savons désormais qu’elle a aussi la droite la plus lâche du monde. Incapable de rester soudée à l’issue de primaires qu’elle s’est imposée « pour faire moderne ». Incapable, alors qu’elle était donnée gagnante de la présidentielle (et certainement des législatives qui suivront), de faire taire leurs ego démesurés. Incapables de donner à leurs électeurs l’image d’une formation politique susceptible, par sa cohésion, sa détermination et son sens des responsabilités, de redresser la France et de lui redonner sa grandeur, ils ont préféré faire honte à un électorat qui paiera le prix fort pour ce qui restera un des plus grands scandales politiques de la Ve République.

    Ainsi, de la même manière que Hollande fut élu à cause du rejet de Sarkozy, Macron risque d’être élu parce que la droite n’aura pas été en mesure d’assumer ses choix, et notamment le résultat de la primaire qu’elle a pourtant voulue et organisée. Plus de quatre millions d’électeurs auront ainsi été roulés dans la farine, leurs avis ne valant pas plus, in fine, que de la roupie de sansonnet.

    Olivier Damien

    Source : http://www.bvoltaire.fr

  • François HOLLANDE : tonton flingueur !

    Le "grain de sel" de Jean-Claude Rolinat

    Rédigé le Dimanche 5 Mars 2017 à 19:20 | 0 commentaire(s)

     

    FRANCOIS HOLLANDE, UN « TONTON FLINGUEUR » ?
    Nous allons développer ci-dessous une hypothèse qui en vaut bien d’autres, et qui présente l’avantage d’avoir la logique d’un puzzle dont toutes les pièces s’emboitent parfaitement.


    Le "grain de sel" de Jean-Claude Rolinat
    « Bien joué » si je puis dire, chapeau l’artiste! Du grand art, belle séquence politique fignolée sans doute par ce lecteur du « Prince » de Machiavel. Et pourtant, avec sa mine de chien battu, son           allure d’ordonnateur des Pompes funèbres et son look de petit comptable de chef-lieu de canton, – pardon pour les ruraux dont je fais partie –, le Président de la République vient de réussir « un coup de maître », un hold-up sans précédent sur une élection majeure et, suprême subtilité, sans être lui-même candidat.
    « Je n’y serai pas, l’autre non plus »….
    ….s’est dit le Chef de l’Etat. Assuré d’être éliminé au soir du premier tour d’après tous les sondages, pire d’être défait par ses concurrents lors   d’une primaire socialiste, il a préféré renoncer à la course et adouber, secrètement, l’un de ses affidés. Car on ne me fera pas croire que l’irruption quasi magique d’un  Macron a été spontanée. Le complot remonte à loin. « Dis-moi qui te soutient, je te dirai qui tu es » : Attali, Minc, Drahi, Cohn-Bendit, Kouchner, Bayrou, rien que du beau monde….Le beau jeune homme n’est pas un perdreau de l’année comme voudrait nous le faire croire l’intelligentsia dominante. Le produit a été lancé à grands renforts de pub comme une vulgaire lessive : pas une « une » de magazine sans une photo du couple Macron sous toutes les coutures, des radios, des télés, des pages et des pages dans la presse, un martellement continu de la grosse Berta médiatique. Restait à peaufiner le scénario avec une démission à l’amiable sans que François et Emmanuel ne s’égratignent trop publiquement. Oubliés le passage à la banque Rothschild, deux ans au secrétariat-général de l’Elysée et deux autres à Bercy. Seconde phase de l’histoire, l’élimination du favori qui caracolait en tête, l’accès au  palais de l’Elysée lui étant garanti après sa victoire à l’issue des primaires de la droite et du centre. Il fallait donc neutraliser François Fillon.
    Une  République oligarchique des juges ?
    Le dossier, sous le coude depuis des lustres, était prêt : direction le « Canard enchainé » qui s’est… déchainé, au bon moment ! Et on ne peut pas dire que le pauvre Fillon se soit  défendu avec brio. Ses communicants n’ont pas été à la hauteur. Un pas en avant, un pas en arrière, un mea culpa raté et trop tardif.  Il a mis la main dans le pot de confiture, légalement, - on serait tenté d’écrire « honnêtement » - , comme nombre de ses pairs. Il n’est,  ni plus ni moins coupable que ses 576 autres collègues de l’Assemblée nationale. Chaque député dispose de trois enveloppes : une pour son indemnité personnelle, une pour ses collaborateurs dont il choisit souverainement le nombre ainsi que leur salaire et la troisième pour « arroser » sa circonscription. J’en sais quelque chose en tant qu’élu local, notre député  finance ici ou là quelques travaux indispensables dans nos communes : quel est le maire, l’adjoint au maire, le conseiller municipal qui refuserait pareille aumône ? C’est le système qui est coupable, pas les hommes qui en profitent au vu et au su de tous. Et on peut  voir dans les poursuites engagées contre Fillon un certain acharnement judiciaire. Rapide quand il le faut la justice : le lendemain même de la parution du papier dans « Le Canard », Thémis saisissait François Fillon par le cou. On connaît la suite, lente descente aux enfers avec un cruel raffinement digne d’un tourmenteur Vietminh. Une hâte incroyable, pourquoi ? C’est que le 16 février, le Parlement avait voté A L’UNANIMITE une loi de réforme de la prescription qui devrait entrer en vigueur le 28. Pas une minute à perdre pour le Parquet. Le « Pénélopegate » allait emporter, polluer, pourrir définitivement la candidature de celui qui s’était hissé à la première place dans les sondages,  paré de toutes les vertus d’un chevalier blanc. On nous dit que la justice, avec un grand « J », est indépendante, au-dessus des intérêts des uns ou des autres. Il est vrai qu’il y a bon nombre de magistrats, Dieu merci, qui appliquent la loi et instruisent les affaires en conscience, en honnêtes hommes ou femmes convaincus de l’importance de leur tâche,  mettant l’impartialité au-dessus de leurs préférences naturelles, bien compréhensibles. Mais il en est d’autres peut-être, minoritaires  sans aucun doute,  qui subissent les influences d’un engagement philosophique et  intellectuel,  ou  la pression de leur choix idéologique. Souvenons-nous du scandaleux « mur des cons » qui décorait les locaux d’un syndicat engagé à l’extrême gauche. Lorsque ses adhérents, revêtus de leurs robes et de l’hermine,   dominent de leur suffisance les justiciables recroquevillés dans le prétoire, que leur passe-t-il par la tête ? Il suffit de lire certains attendus de jugements pour se rendre compte qu’il y a une justice à plusieurs vitesses. La Fontaine, plus que jamais, est toujours d’actualité : « Selon que vous serez puissant ou misérable etc…. ». On nous dit qu’il ne faut pas critiquer la justice et que nous n’aurions pas le droit de contester un arrêt, un attendu  de Cour ? Oui, respectons la Justice, mais cette institution vieille comme nos Etats n’est qu’un instrument de la force publique, financé sur nos deniers. Ses fonctionnaires, employés, greffiers, juges, procureurs etc….vivent de nos impôts et s’ils rendent la justice « Au nom du peuple français »,  alors  ils doivent s’y soumettre. C’est-à-dire respecter une certaine hiérarchie des peines prévues par la loi,- le législateur, c’est nous et nos députés le sont  par procuration ! -, en fonction de la gravité des actes commis. Il y a trop de distorsions d’un bout à l’autre de ce pays. Par exemple, les « sauvageons » de Juvisy qui ont mis «  à feu et à sang »  une cité de cette ville,  s’en sortent trop bien par rapport à tel commentateur de l’actualité poursuivi pour ses propos  iconoclastes pour la classe dominante, parus dans la presse ou diffusés sur une antenne. Aux Etats-Unis, les juges sont ELUS par le peuple. Ici, en France, ils sont nommés. Par qui ? Je n’entamerai pas ce débat, mais la question mérite bien, un jour, d’être posée.
    Après Fillon, éliminer Valls
    François Hollande ayant choisi secrètement son dauphin, écartant désormais  sans aucun doute le ténor de la droite molle, il ne restait plus qu’à neutraliser son bouillant Premier ministre. C’était chose faite avec les primaires du PS, désignant le député frondeur Benoit Hamon,  chouchou de beaucoup d’électeurs musulmans de sa circonscription de Trappes. Le talentueux orateur Mélenchon ayant un égo disproportionné, l’alliance de la gauche avec l’extrême-gauche ne pouvait se faire. La division de cet électorat verrouillait la porte à une union des gauches, assurant ainsi à Macron un score supérieur à chacun de ces deux candidats.
    Casser la droite et saborder la Marine….
    Mais l’orfèvre du Faubourg Saint Honoré devait parachever son œuvre. Eliminer, quasiment, les rivaux potentiels de son poulain ne suffirait pas  à lui assurer avec certitude la victoire. Il  fallait diviser l’ennemi et freiner celle qui caracolait, à son tour,  en tête des sondages. Le poison de la défaite étant inoculé chez les Républicains,  - on peut  se réjouir ou se lamenter, c’est selon, de  voir les uns après les autres, tous les gnous LR quitter la réserve fillonesque  en quête de nouveaux  herbages -, on allait s’atteler à entraver la course de Marine Le Pen avec, au choix, l’affaire des emplois fictifs, des supposés démêlés avec le fisc ou une « abracadabrantesque » histoire de clichés de massacres de Dae’ch diffusés via son compte Twitter. Et le bel Emmanuel,  pur comme un éphèbe de la statuaire grecque, au programme vide comme une cervelle de moineau, émergerait avec «  sa maman » dans le halo d’une lumière mystique, anesthésiant toute défense immunitaire rationnelle. Voici le plan supposé par votre serviteur, d’un Chef de l’Etat en phase terminale de  mandat, en train de se réaliser  à moins qu’une fois encore, un grain de sable, le destin ou le hasard qui, pour les Chrétiens ne sont que les doigts de Dieu, ne contrarient le déroulé d’une élection qui était bien trop prévisible.
    La ficelle est tellement grosse que c’en est une corde à nœuds ! Macron, Juppé, Hamon, Mélenchon ? L’horreur absolue….
     
    Jean-Claude R O L I N A T
  • Il est fou ! mais c'est pas AFFLELOU !

    Macron veut faire payer un loyer aux propriétaires

    Rédigé le Vendredi 3 Mars 2017 à 08:28 | 0 commentaire(s)

     

    L’État, ou plutôt la cohorte de ses hauts fonctionnaires logés gratuitement, ont toujours des idées formidables. Ainsi, de temps à autre, l’idée de taxer les loyers que le propriétaire « se verserait à soi-même », puisqu’il vit dans son propre appartement et donc ne débourse pas de loyer, refait surface.


    Macron veut faire payer un loyer aux propriétaires

    C’est en pleine campagne électorale qu’Emmanuel Macron a proposé à nouveau l’idée géniale de la taxe des « loyers payés à soi-même ». Une idée d’ailleurs approuvée par Jean-Luc Mélenchon et la gauche en général :

    « Cela permettrait plus de justice sociale. Les petites gens et les travailleurs déboursent bien un loyer. Les propriétaires ne paient que les autres 456 taxes sur l’immobilier, mais pas un sou de loyer.

    Lire la suite

  • On ne nous dit pas tout !

    Conclusions de l’IGPN : Théo Luhaka a bien frappé en premier les policiers pour aider un trafiquant de drogue

    Rédigé le Mardi 28 Février 2017 à 07:40 | 0 commentaire(s)

     

    Près d’un mois après l’interpellation de Théo Luhaka à Aulnay-sous-Bois, la police des polices françaises – l’IGPN – a rendu ses premières conclusions au sujet des circonstances des évènements. Sans surprise, aucun élément sérieux ne vient créditer le pseudo « viol » décrit par la soi-disant victime. Mieux : « l’interpellation était justifiée » selon les enquêteurs.


    « L’interpellation était légitime, l’usage de la force était légitime, seules les conséquences de l’intervention – blessure anale – sont disproportionnées sans qu’on soit en mesure de déterminer les responsabilités, à ce stade. » Les premières conclusions de l’enquête de la police des polices sur l’intervention de quatre gardiens de la paix pour interpeller Théo Luhaka, 21 ans, le 2 février à la cité des 3.000 à Aulnay-sous-Bois confirment les premières informations du Point. Nous révélions, compte rendu de la vidéosurveillance à l’appui, que les policiers n’avaient pas pris l’initiative de « frapper » Théo, mais que celui-ci s’était bien opposé par la force à l’interpellation d’un individu suspecté par la BST (brigade spécialisée de terrain) d’être partie prenante d’un trafic de stupéfiants alors que Théo lui-même n’était pas concerné par cette affaire.

    Le Point.fr a pu par ailleurs consulter l’ensemble des rapports d’intervention en date du 2 février des policiers aujourd’hui mis en examen. À quelques détails près, leur version est corroborée par les images de la vidéosurveillance. Dans ces images, on voit près de 3 minutes de combat entre Théo et un policier, une sorte de corps-à-corps qui se termine à l’avantage du gardien de la paix. Aucune image ne laisse deviner que la victime reçoit alors une blessure anale.

    Depuis, la situation de la famille Luhaka s’est encore dégradée, avec la révélation du détournement de plus de 650.000 euros en deux ans. Théo Luhaka étant au cœur de cette escroquerie.

    Le déchaînement de la presse dominante les premiers jours de l’affaire ont abouti à des tentatives de chasse à l’homme contre des policiers sans lien avec les faits. Dynamique encore renforcée par la visite de François Hollande à Théo Luhaka. Dans le même temps, les enclaves ethniques des grandes villes hexagonales étaient le théâtre d’émeutes raciales.

    Source : http://breizatao.com

  • C'est lui qui le dit !

    Un ancien conseiller de Marine Le Pen dénonce "un système de corruption généralisé" au FN

    Rédigé le Lundi 27 Février 2017 à 08:39 | 0 commentaire(s)

     

    Gaël Nofri, conseiller de Marine Le Pen pendant la présidentielle de 2012 désormais en rupture, a dénoncé dimanche "un système de corruption généralisé au FN" au sujet du financement des campagnes de 2012.

    "En 2012, j'ai eu une rupture nette avec Marine Le Pen sur deux questions: un système de corruption généralisé que cette affaire avait révélé, et l'alliance du FN avec les identitaires à Nice", a indiqué à l'AFP ce conseiller municipal niçois désormais dans la majorité du président LR de région, Christian Estrosi.

    Il confirmait là un témoignage livré à Mediapart et Marianne au sujet de son emploi comme "conseiller aux services publics" pour la présidentielle de 2012, qui lui vaut, selon des sources judiciaires, d'être cité dans l'enquête qui a valu au FN son renvoi en correctionnelle.

    "En septembre 2011, je signe un contrat de campagne avec Marine Le Pen, qui m'a proposé de travailler avec elle. En 2012, on me dit: "il y a un problème, il faut passer sur un contrat avec le Parlement européen". Je refuse", raconte celui qui a ensuite dirigé la campagne européenne de Jean-Marie Le Pen dans le Sud-est en 2014.

    "En mai 2012, mon contrat s'arrête. Je vais pour m'inscrire au chômage. On me dit que les cotisations n'ont pas été versées. Je me dispute alors avec Marine Le Pen", poursuit-il.

    "C'est là qu'on me dit que Nicolas Crochet", expert-comptable du FN renvoyé lui aussi en correctionnelle, "allait m'envoyer un contrat pour me régulariser. J'attends, je gueule tout l'été", continue M. Nofri.

    "En septembre, Crochet me donne le contrat, je vois que ce n'est pas un contrat de campagne mais de conseil dans son cabinet d'expertise comptable. J'assume, je signe après cinq mois sans salaire ni chômage", confirme-t-il à l'AFP, alors qu'il dit n'avoir "jamais mis les pieds" dans ce cabinet.

    "J'interroge Marine Le Pen par SMS, Louis Aliot au téléphone, ils ne me répondent pas. A partir de ce moment-là, je suis en rupture totale" avec Marine Le Pen, confirme-t-il, racontant avoir rencontré les enquêteurs en septembre 2014 pour leur "apporter des éléments".

    Dans cette affaire, le FN est soupçonné d'avoir mis en place, via des kits de campagne fabriqués par Riwal, une escroquerie au préjudice de l'Etat, qui rembourse les frais de campagne, et ce par le biais notamment de surfacturations. Le parti, des dirigeants et des proches de la présidente du FN sont renvoyés en correctionnelle.

    AFP
     
    (NDLR : un arbre qui cache la foret)
     
  • Au tour de CHATILLON

    Marine Le Pen contre l’Etat de droit

    Rédigé le Samedi 25 Février 2017 à 17:55 | 0 commentaire(s)

     

    Editorial du « Monde ». Comme d’autres avant elle, Jacques Chirac ou Nicolas Sarkozy pour ne pas les nommer, Marine Le Pen est une publicité vivante pour les poêles antiadhésives. Avec elle, jusqu’à présent, rien n’accroche, aucune mise en cause ne semble l’atteindre, aucune enquête sur le financement douteux de ses activités politiques ne paraît de nature à ébranler la confiance de ses partisans.


    Au contraire même, il ne peut s’agir, à leurs yeux, que d’un vaste complot du « système » politique, judiciaire et médiatique contre la candidate du Front national  à l’élection présidentielle. Elle-même ne se prive pas de jouer  sur cette corde pour mieux se poser  en victime.

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     Lire aussi :   Le Front national, une « victime » aux affaires florissantes

    Ce ne sont pourtant pas les dossiers qui manquent. Celui des assistants parlementaires des députés européens du FN, à commencer  par sa présidente, est aujourd’hui le plus brûlant. Depuis deux ans, le parti d’extrême droite est soupçonné d’avoir fait rémunérer  certains de ces assistants par le Parlement européen alors que ceux-ci n’y mettaient pratiquement pas les pieds et se consacraient exclusivement ou presque au FN à Paris. Bref, il s’agirait d’emplois fictifs. Alerté par l’organisme antifraude de l’Union européenne, le parquet de Paris  a ouvert une enquête préliminaire puis une information judiciaire pour abus de confiance, escroquerie en bande organisée, faux et usage de faux, ainsi que travail  dissimulé.

     Lire aussi :   Front national : l’enquête sur les assistants parlementaires accélère

    C’est dans ce cadre que, après de nombreuses perquisitions et auditions, la plus proche collaboratrice de la candidate frontiste vient d’être mise en examen. C’est également pour cette raison que Mme Le Pen s’est vu réclamer  par le Parlement européen le remboursement de 340 000 euros, correspondant aux salaires de sa chef de cabinet entre 2010 et 2016. Devant son refus, une retenue sur salaire a été ordonnée.

    Lire aussi :   Le microparti de Marine Le Pen visé par un redressement fiscal


     Lire aussi :   Front national : un système de financement à l’opacité organisée L’affaire « Jeanne », du nom du microparti consacré à l’action de Mme Le Pen, n’est pas moins sulfureuse. En octobre 2016, le parquet de Paris a renvoyé en correctionnelle dix personnes physiques ou morales, dont le Front national pour complicité d’escroquerie ou recel d’abus de biens sociaux. Les responsables de Jeanne, tous très proches de la candidate, sont soupçonnés d’avoir mis en place un système opaque et frauduleux destiné à financer  illégalement les candidats frontistes aux législatives de 2012. Ce dispositif pourrait avoir  été utilisé lors de toutes les campagnes électorales du FN depuis 2012.

    Enfin, alerté par la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique, le Parquet national financier a ouvert une enquête sur le patrimoine de Marine Le Pen et de son père. L’un et l’autre sont soupçonnés d’avoir présenté des déclarations de patrimoine qui sous-évaluent fortement leurs actifs. Ces faits sont susceptibles d’être jugés au pénal et passibles, notamment, de dix ans d’inéligibilité.

    Dans tous ces dossiers, Mme Le Pen oppose un démenti catégorique aux faits qui lui sont reprochés. Il ne s’agirait, clame-t-elle haut et fort, que de machinations destinées à lui nuire. Protégée par l’immunité de parlementaire européenne dont elle bénéficie, elle rejette toute convocation par les juges ou la police  jusqu’au terme de la période électorale, présidentielle et législative. Autoproclamée « candidate du peuple » et contemptrice du « système », elle n’hésite pas à se situer hors la loi. Aspirant à devenir  chef de l’Etat, elle récuse l’Etat de droit. C’est le devoir  de la justice  de démasquer  cette imposture.

     

    En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2017/article/2017/02/25/marine-le-pen-contre-l-etat-de-droit_5085546_4854003.html#vM0CyWpgEzBDKbyD.99
     
  • On prend notre pied avec ce qui se présente

    Emplois fictifs au FN : la cheffe de cabinet mis en examen

    Rédigé le Jeudi 23 Février 2017 à 08:07 | 0 commentaire(s)

     

    Le garde du corps et la cheffe de cabinet de Marine Le Pen, visés par l'enquête sur des soupçons d'emplois fictifs des assistants du FN au Parlement européen, ont été placés en garde à vue, ce mercredi 22 février.


    Après François Fillon, Marine Le Pen est à son tour gênée par une affaire d'assistants parlementaires en pleine campagne présidentielle : son garde du corps et sa cheffe de cabinet étaient entendus par la police sur des soupçons d'emplois fictifs au Parlement européen. Selon nos informations, ils ont été placés en garde à vue, ce mercredi 22 février.

    La cheffe de cabinet de Marine Le Pen, Catherine Griset, a été mise en examen du chef de recel d'abus de confiance dans l'enquête sur des soupçons d'emplois fictifs au Parlement européen, a-t-on appris mercredi de source judiciaire. La garde à vue du garde du corps de la candidate Front national à l'élection présidentielle, Thierry Légier, a en revanche été levée sans qu'il soit présenté aux magistrats instructeurs en l'état, a précisé cette source.

    Marine Le Pen dénonce une "cabale politique"

    La candidate du Front national  pour l'élection présidentielle a aussitôt dénoncé une "cabale politique". "Les Français savent exactement faire la différence entre les vraies affaires et les cabales politiques. Ils le savent pertinemment", a-t-elle déclaré en marge d'un déplacement en Seine-et-Marne, dans une allusion directe à l'affaire qui vise le candidat de la droite sur des soupçons d'emplois fictifs de son épouse Penelope Fillon et de ses enfants quand il était député et sénateur.  

    Invitée du Journal Télévisé de TF1 ce mercredi 22 février, la présidente du Front national s'est une nouvelle fois montrée très offensive. "Je conteste formellement les faits qui nous sont reprochés (...) La justice n'est pas un pouvoir, c'est une autorité, elle ne doit pas venir perturber, pour une enquête qui pourrait se dérouler plus tard, qui aurait pu se dérouler avant, la campagne présidentielle, car c'est un moment démocratique important, fondamental dans notre pays", a encore dit la dirigeante d'extrême droite.

     

    En parallèle, le Parlement européen réclame à Marine Le Pen, élue dans ses rangs, un total de 339.946 euros de salaires qu'il considère indûment versés à Thierry Légier, en 2011, et à Catherine Griset, de 2010 à 2016, car ils n'auraient pas occupé les fonctions d'assistants pour lesquelles ils ont été payés sur des fonds publics européens. En l'absence de remboursement de la part de la candidate de l'extrême droite à la présidentielle, l'assemblée européenne devait commencer mi-février à recouvrer ces sommes en amputant de moitié l'indemnité de Marine Le Pen. Le Parlement européen avait saisi la justice française en mars 2015 après les élections européennes de 2014 remportées par le FN en France. 

    À cette époque, les soupçons portaient sur les conditions dans lesquelles étaient employés et payés 20 assistants d'élus frontistes au Parlement européen, car leurs noms apparaissaient aussi sur l'organigramme du parti en France. Des faits qui s'ajoutent à ceux concernant Thierry Légier et Catherine Griset. Le parquet de Paris avait ouvert une enquête préliminaire en mars 2015, avant de confier le dossier aux juges d'instruction. L'information judiciaire porte sur des délits présumés d'abus de confiance et recel, escroqueries en bande organisée, faux et usage de faux, et travail dissimulé. 

    source : rtl .fr

  • Fête du Pays réel

    L’événement catholique et patriote du mois de mars – De plus en plus d’exposants annoncés à la 1ère Fête du Pays Réel

    La 1ère Fête du Pays Réel se déroulera le 11 mars 2017, de 10h à 18h, sur un vaste espace couvert à Rungis, en bordure de Paris (800 places gratuites de parking et nombreux transports en commun).



    La 1ère Fête du Pays Réel se déroulera le 11 mars 2017, de 10h à 18h, sur un vaste espace couvert à Rungis, en bordure de Paris (800 places gratuites de parking et nombreux transports en commun).

    Une fête du Pays réel ? Qu’est-ce donc ? C’est la volonté, durant toute une journée, de mettre à l’honneur la France des terroirs et des clochers dans une ambiance unitaire, conviviale, joyeuse et familiale.

    D’une part, de nombreux stands illustreront l’histoire, la foi, les coutumes, le patrimoine, la culture, le savoir-faire, la gastronomie et le dynamisme de ce Pays réel : éditeurs, associations, congrégations, médias alternatifs, artisans, artistes, viticulteurs, brasseurs et petits producteurs rivaliseront de talents et de richesses à vous faire découvrir. Sans oublier, bien sûr, la longue liste d’auteurs pour petits et grands qui viendront dédicacer leurs livres ou bandes dessinées.

    D’autre part, tout au long de la journée, des intervenants de qualité se succèderont à la tribune dans une salle réservée à cet usage.

    Sont déjà inscrits : Association Catholique des Infirmières et Médecins, ADMP, Atelier des Mamans de l’Ecole N-D de l’Assomption, Brasserie du Rhin, Bulletins d’Education Populaire, Cadets de France, Capucins de Morgon, Cercle National des Combattants, Champagne Gaston Révolte, Chœur Montjoie Saint Denis, La Cotonnade (vêtements pour enfants), Cours Maria Goretti, Deus Vult, Dominicains d’Avrillé, Echoppe Formes et Ombres (objets médiévaux), échoppe Fron (porcelaine peinte, vins cuits et sucreries), Ecrits de Paris, éditions Charlemagne, éditions de Chiré, éditions des Cimes, éditions Kontre Kulture, éditions des Petits Chouans, éditions La Plume du Temps, éditions Retour aux Sources, éditions Saint-Rémi, éditions Sel de la Terre, éditions Sigest, Fédération Haute Savoie de Civitas (avec produits locaux), Fédération Lorraine de Civitas (avec produits locaux), Foies Gras du Sud Ouest, Lecture et Tradition, Lectures Françaises, Librairie Damase, Librairie Française, Livr’Arbitres, Macrobio, Nation, Parti de la France, Patrimoine et Renaissance, Peintre Le Baube (tableaux), Pèlerinages de Tradition, le journal Présent, Renaissance Catholique, Renouveau Français, Rivarol, Rosa Mystica, SOS Mamans, SOS Tout Petits, Synthèse Nationale, UNEC, Vins Domaine de Champ Fleury – Pierre Coquard, Vins Hélène Cathala

    Ont déjà annoncé venir dédicacer : Pierre-Jean Arduin, Jean-Noël Audibert, Francis Bergeron, Stéphanie Bignon, Yvan Blot, Thierry Bouzard, Anne Brassié, Jean-Pierre Dickès, Jean-Arnaud Dollié, Dr Xavier Dor, Jean-Jacques Doucet, Bernard Gantois, Laurent Glauzy, Youssef Hindi, Roger Holeindre, le dessinateur Ignace, Odile de Lacoste Lareymondie, Johan Livernette, Brigitte Lundi, Claude Meunier-Berthelot, le dessinateur Pinatel, Philippe Prévost, Leila Qadr, Marion Sigaut, Jean-Michel Vernochet, Damien Viguier

    Thèmes des interventions déjà annoncées : Union de l’Eglise et de l’Etat : question d’un autre âge ? (abbé Xavier Beauvais) – Revaloriser la France rurale (Stéphanie Bignon) – La culture au service du Bien (Anne Brassié) – Réformer l’instruction (Claude Meunier-Berthelot) – Familles en danger (Marion Sigaut, Dr Jean-Pierre Dickès) – Immigration, submersion, destruction d’une civilisation (Carl Lang, Jean-Marie Le Pen) – Sauver le Pays Réel (Alain Escada)

    Avec des discours de conclusion de Carl Lang, Jean-Marie Le Pen et Alain Escada

    Espace Jean Monnet, Rungis Silic, Rue du Sagittaire

     

    Source : medias-presse.info

  • Deux poids, deux mesures

    France: Nelly, 78 ans, violée par Mamadou lors d’un cambriolage. Aucune manifestation, aucune émeute et nos médias n’en parleront pas.

    Rédigé le Samedi 18 Février 2017 à 09:27 | 0 commentaire(s)

     

    A Créteil, le procès pour le vol et le viol d’une retraitée à Ivry en août 2014 s’est ouvert à huis clos, vendredi matin, devant la cour d’assises du Val-de-Marne, à la demande de l’avocate de la partie civile Me Vélia Volland. Deux hommes, Mamadou K. et Phan-Eric L., comparaissent l’un pour avoir violé Nelly N. sous la menace d’une arme, le second pour non-assistance à personne en danger, et tous les deux pour vol en réunion.


    Seul le second, un jeune homme de 24 ans aux cheveux mi longs, comparaît libre. Mamadou K., 24 ans également, est arrivé dans le box des accusés avec une béquille.

    La retraitée, âgée de 78 ans aujourd’hui, était présente au début de l’audience. Le 7 août 2014, cette petite dame aux cheveux courts, qui marche avec difficulté, avait été agressée chez elle dans la cité Gagarine par plusieurs personnes au visage dissimulé, peu avant 6 heures du matin.

    Un homme l’avait immobilisée et violée pendant que trois autres retournaient son appartement. Ils étaient repartis avec 70 €, des bijoux, une montre, ainsi que des affaires qui appartenaient à son mari décédé. Elle avait eu 15 jours d’ITT.

    Ce sont les nombreuses traces d’ADN prélevées dans le logement et sur le corps de la retraitée qui avait mené les policiers du SDPJ 94 jusqu’à Mamadou K., dont le profil était enregistré au fichier national des empreintes génétiques (FNAEG). Ils étaient ensuite remontés jusqu’à Eric-Phan L., qui nie avoir assisté au viol. Le procès devrait se terminer mercredi.

  • Puisqu'ils le disent, c'est peut-être vrai !

    Assistants parlementaires du FN : un rapport accable Marine Le Pen

    Rédigé le Vendredi 17 Février 2017 à 08:25 | 0 commentaire(s)

     

    Garde du corps et assistant parlementaire, les deux fonctions ne seraient pas incompatibles. Marianne et Mediapart révèlent, jeudi 16 février, un rapport de l’Office européen de lutte contre la fraude (OLAF), dans lequel Marine Le Pen est soupçonnée d’avoir établi « un faux contrat de travail » pour son ex-assistant et garde du corps Thierry Légier.


     

    La réalité du travail fourni pose également question pour une deuxième collaboratrice de Mme Le Pen : Catherine Griset. L’OLAF estime que le « préjudice total subi » par le Parlement européen s’élève à 339 946 euros.

    Le document confidentiel de 28 pages analyse minutieusement la situation des douze assistants (trois assistants accrédités et neuf assistants locaux) « embauchés successivement par la présidente du FN à Strasbourg  sous la précédente et l’actuelle mandature (2009 à 2014 et depuis 2014). Leurs contrats, rémunérations, fonctions »détaille Mediapart.Lire aussi :   Marine Le Pen refuse de restituer 300 000 euros au Parlement européen

    Si l’OLAF ne fait que des recommandations et n’a pas de pouvoir  judiciaire pour enclencher  des poursuites, il a néanmoins transmis le 26 juillet son rapport à la justice française qui, elle, enquête  depuis mars 2015 sur des soupçons d’emploi  fictif du parti d’extrême droite au Parlement européen.

    Enquête ouverte à Paris

    Le parquet de Paris a ainsi ouvert le 15 décembre une information judiciaire  pour « abus de confiance »« recel d’abus de confiance »« escroquerie en bande organisée »« faux et usage de faux » et « travail dissimulé ».

    Dans un premier temps, l’enquête concernait une quarantaine de personnes, avant d’être circonscrite. Une dizaine de perquisitions ont été menées dans ce cadre. Les soupçons qui concernent Louis Aliot et Florian Philippot « n’ont pu être  confirmés », précise notamment le rapport.

    En revanche, selon le document de l’OLAF, « les allégations initiales de conflits d’intérêts et d’emplois fictifs » concernant M. Légier et Mme Griset sont constituées. Marine Le Pen est ainsi soupçonnée d’avoir produit à l’automne 2011 « un contrat de travail apparemment faux pour l’emploi fictif de M. Légier », son garde du corps, relève le rapport.

    Concernant Catherine Griset, amie et collaboratrice de longue date de la candidate à l’élection présidentielle, l’OLAF écrit : « L’enquête a également montré que Mme Le Pen [l’]avait fait employer  par le Parlement européen sur un poste d’assistante parlementaire accréditée à Bruxelles alors qu’elle était son assistante personnelle au siège de son parti en France. »

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