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SLABO - Page 6

  • L'Histoire, toute l'Histoire, rien que l'Histoire !

    Le parjure, la trahison et la honte

     

    « L’Histoire brûle les hommes. Après, il faut recueillir les cendres et raconter » (Commandant Hélie Denoix de Saint-Marc – « Les champs de braises »)

     

                Du navire bondé de légionnaires et de parachutistes, en cet automne 1954, un haut-parleur annonça que l’on apercevait les côtes de France. Bientôt le port de Marseille fut en vue. Mal réveillés, ils montèrent tous sur le pont, serrés les uns contre les autres, appuyés à la rambarde. Le paradis dont ils avaient tellement rêvé dans les camps de prisonniers du Vietminh approchait lentement et déjà ils n’en voulaient plus. Ils rêvaient à un autre paradis perdu, l’Indochine… terre qui avait bu, plus qu’aucune autre leur sang. C’est à elle qu’ils pensaient tous à présent. Ils n’étaient pas les fils douloureux qui s’en revenaient chez eux pour faire panser leurs blessures, mais des étrangers. En eux remontaient des aigreurs.

                Ils se souvenaient avec colère et amertume de ces tonnes de médicaments régulièrement adressées au Vietminh par l’Union des Femmes Françaises (1) et leur indignation ne résultait pas de ce que l’ennemi recevait de la Métropole des colis de pénicilline, mais du fait que chaque jour des soldats français mouraient faute d’en posséder…

                En 1950, à Orange, un train de blessés d’Extrême-Orient avait été arrêté par des communistes qui avaient injurié et frappé ces hommes sur leurs civières. Un hôpital parisien qui demandait du sang pour les transfusions sanguines spécifiait que ce sang ne servirait pas pour les blessés d’Indochine. On avait refusé à Marseille, dont ils apercevaient maintenant Notre-Dame de la Garde, de débarquer les cercueils des morts…

    On les avait abandonnés, comme ces mercenaires soudains inutiles que Carthage avait fait massacrer pour ne pas payer leur solde.

    Des souvenirs terribles les hantaient… Ceux de ces partisans qu’ils avaient juré de ne jamais abandonner… Et parmi eux, la vision de ce vieux chef guerrier qui avait rallié sous le drapeau tricolore dix mille de ses hommes… alors que Diên-Biên-Phu était tombée et que tout allait mal dans le delta tonkinois. Il avait alors demandé aux officiers français s’il était vrai que la France allait livrer le Tonkin au Vietminh car rien n’avait été prévu pour replier ses partisans et leurs familles. Les divisions viets déferlaient sur le Delta. Le système de défense cédait peu à peu. Tout reposait sur ce vieux chef et sur ses hommes qui, connaissant admirablement le terrain, étaient à même de repousser mieux que quiconque les assauts des communistes.

                Alors les officiers français lui mentirent et lui assurèrent que jamais ils ne le laisseraient tomber. Il eut foi en leur parole. Ses partisans restèrent à leur poste et continuèrent à se battre jusqu’au bout alors qu’ils étaient submergés. Pendant ce temps l’armée française prépara la défense de Hanoi et de Haiphong et elle n’évacua personne. Le vieux chef fut pris par les communistes. Ils le torturèrent jusqu’à ce qu’il agonisât puis ils lui tranchèrent la tête. Les survivants parmi ses partisans subirent le même sort…

                Et, le visage tendu, les mâchoires crispées, ils se souvenaient aussi de tous ceux à qui ils avaient affirmé qu’ils resteraient toujours et en particulier les catholiques… Ils essayaient de gagner à la nage les bateaux en partance pour la France… Combien de ceux-là périrent noyés ?

                Plus tard, ces visions de cauchemar hanteront de nouveau ces hommes-là… Eux, les anciens d’Indochine, eux, les officiers qui représentaient la France dans ce pays, l’Indochine, ils la burent jusqu’à la lie. Ils connurent la défaite et l’abandon. Leur parole qui était celle de la France, ils la renièrent mille fois dans cette guerre et ils en étaient couverts de honte. Les images qui s’entrechoquaient dans leur mémoire les harcelaient sans trêve… Des familles entières menacées d’extermination par le Vietminh s’accrochaient désespérément aux ridelles des camions et, à bout de force, tombaient en pleurant dans la poussière de la route. Sept ans plus tard, ces mêmes visions apocalyptiques ressurgiront quand l’armée française abandonnera dans la honte et le déshonneur les Musulmans fidèles à la France.

    Le Commandant Hélie Denoix de Saint-Marc écrira dans « Les champs de braises » : « La plupart des Vietnamiens ne disent rien. Ils nous regardent simplement. Nous avons honte. Ils nous auraient tués à ce moment-là que nous aurions trouvé cela juste. L’un d’eux me dit : « Alors, mon capitaine, vous nous laissez tomber ? » Je ne réponds rien ! » … « Les centaines d’hommes et de femmes à qui, au nom de mon pays et en mon nom, j’avais demandé un engagement au péril de leur vie, nous les avons abandonnés en deux heures. Nous avons pris la fuite comme des malfrats. Ils ont été assassinés à cause de nous »…

                Sur cette tragédie –conséquence à ses yeux d’un parjure- qui le traumatisera jusqu’à la fin de ses jours, il ajoutera : « La simple évocation de ces souvenirs suffit, cinquante ans après, à troubler mon regard et faire trembler ma main. »

    Une fois la victoire acquise, les communistes lamineront le pays, faisant la chasse aux « collaborateurs », c'est-à-dire, ceux qui avaient pactisé avec les soldats français. Pour eux, point de pitié. Une mort atroce les attendait…

    Alors, quand en Algérie, le même processus s’engagera ; quand les officiers français se retrouveront coincés dans le même système, quand les harkis risqueront de connaître le même sort que leurs partisans indochinois… ils s’engageront… mais cette fois, personnellement, parce que le pouvoir sera trop faible, trop lâche pour tenir ses engagements. Après, plus question de partir, ce sera terminé pour eux. Ce ne sera plus la parole de la France ; ce sera la leur ! Et pour beaucoup de soldats, ce sera un engagement solennel : « La mort plutôt que le déshonneur ».

    … Et c’est cet engagement qui poussera à la révolte, en avril 1961, des soldats valeureux refusant le parjure, la trahison et la honte. Ils abandonneront ainsi leurs uniformes, sacrifieront leur carrière, seront séparés de leur famille parfois durant de longues années, connaîtront la prison, l’exil, le sarcasme de leurs vainqueurs et de ceux qui n’avaient pas osé, des poltrons, des lâches et des traîtres pour être restés fidèles à leur serment et à leur idéal.

    Le temps passera, l’oubli viendra, les légendes fleuriront, mais jamais assez l’Histoire ne mesurera la grandeur de leur sacrifice.

     

    José CASTANO

    Courriel : joseph.castano0508@orange.fr

     

    (1) – Issue des comités féminins de la Résistance, l'Union des Femmes Françaises est créée par un congrès le 21 décembre 1944. Elle se révèle rapidement liée au Parti communiste français, sous la houlette de Jeannette Vermeersch, qui en fait pendant les années de guerre froide, une organisation communiste de masse. Elle se retrouve notamment impliquée dans des actes de sabotages et de découragement à l'encontre des soldats français lors de la guerre d'Indochine.

    L'Union des femmes françaises devient Femmes solidaires en 1998

     

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  • La reconquête continue.

     

       
     

     
    ICIOININIEIXIIIOINI
    LA LETTRE ARGUMENTAIRE DU PDF
    directeur de publication : Jean-François Touzé

    7 mai 2018

     
       
     
     
     

    De mai 68…

    au mai 2018 des ultra-gauches
     
     
    Cinquante ans après le soulèvement de mai 1968 qui, s’il ne fut sur le moment, dans les faits et en apparence, qu'une révolution d’opérette, bloqua le Pays pendant quatre semaines et engendra une déstabilisation globale, politique, économique, spirituelle, structurelle et morale dont la France continue de payer le prix fort, la gauche, l’extrême gauche et une partie des libéraux se retrouvent dans la célébration de ce qui fut pour eux un acte fondateur.
    Nostalgie ? Pas seulement.
    Les  « débordements » du premier mai témoignent de la vitalité, non seulement d'une idéologie, mais d'une pratique révolutionnaire à vocation internationaliste, dont l'objectif n'est pas de remettre en cause le Système ni même d'abattre le capitalisme, mais de détruire tous les fondements de notre civilisation et d'en anéantir les valeurs et les principes.
    Personne ne doit s'y tromper et surtout pas les nationaux : il n'existe - il ne peut exister - aucune proximité entre eux et nous. Leur rébellion, leur « insoumission » ne sont pas les nôtres. Ceux qui veulent faire « la fête à Macron » n'entendent pas, en cas de succès, s’arrêter là. Leur but est l’anéantissement de l’occident Helléno-chrétien, l’occident authentique, charnel, identitaire, ancré dans ses traditions, conscient de ses origines comme du sens de son existence forgée par l’histoire. L’occident véritable, pas le monde occidental mercantile qui lui sert de substitut et dont les milices gauchistes sont au final les valets armés.
    Black blocs, No borders, antifas, zadistes, NPA,  sont bien les fils de la LCR (Ligue  Communiste Révolutionnaire) d’hier, elle-même héritière des organisations marxistes internationales, avec les mêmes pratiques, les mêmes méthodes, la même violence et le même professionnalisme dans l'exercice de la guérilla urbaine- voire rurale comme on le voit à Notre Dame des Landes- pratiques et méthodes encore perfectionnées grâce au recours massif au  réseaux sociaux.
    Ceux là sont plus que nos adversaires. Ils sont nos ennemis.
    Face à cette menace, le pouvoir joue les apprentis sorciers, en ne prenant pas la mesure de la situation créée par l'action permanente de ces groupes et en croyant pouvoir les utiliser pour servir ses intérêts. Pour le Parti de la France, la menace communiste révolutionnaire demeure une réalité d'autant plus sérieuse que la jonction entre cette mouvance et celle des organisations islamiques est en passe de se réaliser à l’intérieur et par le biais de réseaux de soutien, et que le risque de dérive terroriste est probable. Une réalité qu'un État national reconstruit devra prendre en compte pour la traiter, par un arsenal approprié de renseignement et de répression, policier et judiciaire, sans faille ni indulgence, et par une volonté politique qui devra s’exercer au moment des faits comme en amont de ceux-ci.
     

    @carllang2022

    1er mai 2018

     

    Puisque les zadistes imposent leur loi à Notre Dame des Landes, pourquoi l’extrême gauche se gênerait elle à Paris ? La faiblesse coupable du gouvernement encourage une fois de plus la violence gauchiste. A quoi sert Gérard Collomb?
     
     
     
       

    @carllang2022

    La colonisation de peuplement se porte bien : 263 000 premiers titres de séjour accordés par la France en 2017. Encore mieux que les 230 000 de 2016. Près de 500 000 immigrés légaux nouveaux en deux ans. Cette république détruit méthodiquement la France. [4 mai 2018].
     
       

    @carllang2022
    Le violeur récidiviste et assassin de la jeune Angélique mérite la peine de mort. Et une fois de plus, par laxisme idéologique, la société et la justice sont complices de fait. [30 avril 2018].
     
     
    Service national :
    inutile et coûteux
     
     
    Promesse de campagne du candidat Macron, l'instauration d'un service national obligatoire pour tous les jeunes, filles et garçons, d'une même tranche d'âge participe de ces engagements électoraux inconsidérés auxquels nous ont habitué les démagogues de droite comme de gauche.
    Depuis sa suppression décidée en 1995 par Jacques Chirac, le service militaire hante les esprits de beaucoup de nos compatriotes nostalgiques de la conscription républicaine, de la Nation en arme et du service universel.
    Universel d'apparence puisque, sans revenir aux « remplacements » des débuts de la troisième République, l'égalité devant la conscription, par le jeu de l'exemption, fut largement un mythe, particulièrement dans les vingt dernières années de l’existence du service militaire.
    Le projet Macron – un mois de service dont la moitié en internat, initiation au secourisme et aux techniques de sécurisation informatique, éducation civique de base, le tout relevant de l'autorité militaire tout en restant dans le cadre civil – s'inscrit  à tous égards dans un fourre-tout idéologique à destination incertaine.
    Le Parti de la France, attaché à la grandeur de nos armées et à leur efficacité dans l'accomplissement des missions que la France leur ordonne, souligne trois  raisons de s'opposer à ce projet.
    1. Il n'est pas dans les missions de nos armées, de nos officiers et sous-officiers de servir d’encadrement pour les pouponnières « civiques » que le gouvernement veut instituer comme classes de rattrapage d'une intégration désormais impossible. Le fameux « brassage » qu’opérait autrefois le service militaire se faisait dans un cadre national homogène et structuré, et n’était pas un but en soi. Le but était de former ses soldats pour la défense de la Patrie. Dans ce projet, aucune formation militaire réelle. Quant au brassage, les choses étant ce qu'elles sont et la réalité « sociale » de notre pays ce qu'elle est  on imagine ce qu'il en adviendra.
    2. Le coût de la mise en œuvre d'un tel projet serait exorbitant. Soit il pèserait sur le budget des Armées dont on sait l'étroitesse (la France vient de reculer d’une place dans le classement des engagements financiers consacrés à leur défense par les nations développées, ou en voie de l'être, au regard de leur PIB, et se retrouve en sixième position derrière l'Inde avec, bien sur, un écart vertigineux par rapport aux Etats Unis et à la Russie) ; soit il devrait être considéré en nouvelles dépenses, ce qui impliquerait inévitablement des charges supplémentaire pour les contribuables.
    3. La technicité de l'armée moderne, la nécessité de combattants formés, spécialisés et aguerris rend impossible le retour du service militaire à l'ancienne. Dès les années 1960, les nationaux se prononçaient pour une armée de métier. Il est, en revanche, hautement souhaitable que soit organisée, dans le cadre d’un volontariat puissamment soutenu et objet d’une incitation forte de l'Etat, une force de réserve destinée aux missions autrefois attribuées à la Défense Opérationnelle du Territoire (DOT), qui pourrait se concrétiser par la création d'une vraie garde nationale souvent évoquée par les gouvernements successifs mais toujours restée à  l’état de vœu pieux.
     
       
    Croissance :
    mensonge d’État !
     
    A en croire l’établissement politico-médiatique, la croissance économique serait de retour par le triple effet conjugué de l’avènement d'Emmanuel Macron, des réformes engagées et du contexte international, dégageant ainsi un horizon radieux vers l'emploi et la prospérité des Français.
    Hélas, ce tableau rêvé ne correspond que de très loin à la réalité comme en témoigne, outre l’écart avec l'Allemagne (prévision de croissance de 2,8% contre 1,7% pour la France), le recul important de notre progression économique au premier trimestre 2018. Recul qui rend d'ores et déjà caduques les prévisions optimistes de rentrées fiscales affichées par le gouvernement pour bâtir le budget en cours et plus encore, celui de l’année suivante.
    Deux signaux inquiétants viennent assombrir encore un peu plus les prévisions :
    • La hausse qui se profile des taux d’intérêts. La France vit à crédit et bien au dessus de ses moyens. Rappelons que le dernier budget en équilibre fut celui de 1974 et que les déficits publics atteignent aujourd’hui la somme vertigineuse de 59,3 milliards d'euros (2,6% du PIB).  Quant à l'endettement de la France, il dépasse désormais les 2200 milliards, soit 97% du PIB. Une dette qui ne peut qu’augmenter encore puisque la France aura besoin, cette année, de plus de 200 milliards pour boucler son budget sans parler des 50 milliards supplémentaires que nécessitera, le moment venu, la reprise par l’état de la dette de la SNCF. Or, lors du vote de la loi de finances 2018, le gouvernement avait établi ses prévisions en prenant en compte un taux à 1, 8%. Tout indique que celui-ci sera largement dépassé. Principal indicateur annonçant la remontée du coût de l'emprunt, le doublement en un an des taux d’État américains qui viennent de franchir la barre des 3%, tandis que monte la pression en Europe pour que la BCE suive l’exemple de la FED américaine concernant ses taux directeurs. Quand on sait que la hausse d'un point des taux d'intérêt entraînerait en France une augmentation de 5,4 milliards de la charge de la dette et engendrerait une baisse de 0,2% de la croissance, on comprend que le printemps économique promis par Emmanuel Macron risque bien de se transformer en un nouvel hiver de la stagnation.
    • Les blocages structurels de la France – poids du Public, bureaucratie, grèves et obstructions syndicales, socialisme rampant, archaïsmes des pratiques institutionnelles, retard dans la recherche et l'innovation, faiblesse de linvestissement – continuent de plomber finances publiques, compétitivité des entreprises, pouvoir d'achat des ménages et vitalité de la consommation qui, depuis le début de l'année, est en nette contraction .
    Autant d'indicateurs qui annoncent que la France n'est hélas pas sortie du tunnel qu'une nouvelle crise mondiale peut, par ailleurs, venir à tout moment obscurcir encore.
    Le PDF considère que la France ne sera remise sur les rails économiques que le jour où le poids des charges et de la fiscalité qui étouffent foyers et entreprises sera allégé, où les tracasseries administratives et les verrous bureaucratiques qui brident l'initiative et obèrent la compétitivité seront supprimés, où la part du public dans le PIB sera abaissée, où les dépenses de l'Etat seront maîtrisées et diminuées en dehors de ses devoirs régaliens, et où la protection du marché européen dans une mondialisation débridée sera assurée sans que cela ne remettre en cause l'exercice de la libre concurrence.
       
     
       
    Trump : port d’armes
    contre les terroristes
     
    En regrettant publiquement que les Français ne soient pas armés pour défendre leur vie lors d’attaques terroristes, Donald Trump vient de déclencher un tollé diplomatique et politique.
    Tout ce que la France compte de tartuffes, de bien pensants moralisateurs, de pleureuses professionnelles pour qui mieux vaut, plutôt qu’un Glock ou un Sieg Sauer pour stopper un massacre, une bougie, une peluche ou la menace d'une marche blanche,  s'est élevé, indigné et scandalisé, contre les propos du Président des Etats Unis.
    En France, il est vrai, contrairement aux USA ou à l’Etat d'Israël, par exemple, seuls les terroristes et les délinquants sont armés. Même les policiers, malgré les promesses faites au lendemain des attentats du 13 novembre 2015, restent, en fait, dans l'obligation de de se séparer de leur arme dès leur service terminé.
    Au demeurant, un policier, qu'il soit en service ou pas, s'expose, en faisant usage de son arme, aux conséquences administratives et éventuellement pénales que l'on sait.
    La défense de la population est un devoir d’État. C’est à lui qu'il appartient, par le renseignement, par l'action des services spécialisés et de l'ensemble des forces de l'ordre, par une justice exemplaire et sans indulgence dont l'arsenal doit comprendre le rétablissement de la peine de mort, de combattre et d'éradiquer les menaces et avant tout celle du terrorisme islamique.
    Avant tout ! Mais pas seulement. Au moment où crimes abominables, règlements de comptes qui mettent en danger les innocents et délinquance organisée ensanglantent nos villes et nos campagnes, il n'est plus possible de ne pas mettre en cause la société  de culpabilisation permanente et de déresponsabilisation dans laquelle sont abandonnés nos compatriotes livrés au hasard de l'insécurité chronique.
    Le Parti de la France demande que s'ouvre un débat public débouchant sur une voie législative en vue d'une réforme de la détention et du port d'armes, ainsi que de la notion légale de légitime défense pour les policiers comme pour les citoyens.
    La sécurité est la première des libertés. Elle dépend de l'Etat mais elle est aussi de la responsabilité de chacun d'entre nous.
       
     
           
     

    Reinfo, le magazine d’information

     

    @carllang2022

     

    @lepartidelafrancecompteofficiel

     
      Le journal télévisé du Pdf présenté par Sylvie Collet   Pour suivre Carl Lang, président du PdF, sur twitter   Pour suivre le Parti de la France sur FaceBook  
         
  • Argumentaire Droite Nationale

     

       
     

     
    ICIOININIEIXIIIOINI
    LA LETTRE ARGUMENTAIRE DU PDF
    directeur de publication : Jean-François Touzé
     

    30 avril 2018

     
       
     
       
    Macron…
    … en Amérique 
     
    La visite d’État qu'Emmanuel Macron vient d'effectuer aux États-Unis s’inscrit dans le circuit normal des relations diplomatiques qu’un grand pays comme la France se doit d'entretenir avec l’ensemble des nations organisées en États.
    Ce voyage, marqué par une succession de sketches et saynètes d'apparences contradictoires, n'en pose pas moins un certain nombre de questions.
    • Existe-t-il aujourd'hui une « relation spéciale » entre les États-Unis et la France, relation qui dépasserait en qualité et en importance toutes les autres ?
    • La France de Macron a-t-elle pour ambition de remplacer la Grande Bretagne dans son rôle traditionnel d’allié privilégié des États-Unis ?
    • Existe-t-il une cohérence des positions françaises en matière internationale ? Tout au long de son séjour, le président français a parlé de multilatéralisme tout en évitant soigneusement de se démarquer des lignes US. C'est ainsi que, quelques heures avant son arrivée aux États-Unis, Emmanuel Macron avait eu l'habileté, pour devancer les critiques, de faire annoncer par le Quai d'Orsay que Paris et Moscou réaffirmaient ensemble leur attachement au plan sur le nucléaire iranien… Pour s'aligner le lendemain sur les positions américaines (nécessité d'un nouvel accord), après une sortie publique inattendue, ferme et particulièrement directe de Donald Trump.
    • Le prochain voyage d'Emmanuel Macron à Moscou sera-t-il empreint de la même chaleur et marqué par la même proximité de vue que celles officiellement affichées avec Donald Trump ?
    Poser ces questions, c’est évidemment, commencer d'y répondre.
    Nul doute qu'Emmanuel Macron, sur de ses talents et de la supériorité intellectuelle qu'il s’attribue, pense qu'il ne peut que sortir gagnant de ses têtes à têtes avec le Président américain, tout en reconnaissant, par ailleurs, aux États Unis, le leadership occidental. Il n'est pas indifférent que ce soit devant le Congrès, temple de l'establishment, que Macron ait été le plus applaudi, flattant les « élites » et se montrant très critique à l’égard de Trump. Ce n’était plus là de l'alignement, c’était de la consanguinité. Macron est bien un démocrate. À la mode américaine.
    Beaucoup de naïveté pourtant dans cette tentative d'enfoncer un coin entre le président américain et les parlementaires. C'est confondre l'accessoire et l'essentiel. C’est surtout faire l'impasse sur la très grande constance de la politique internationale américaine qui relève d'un consensus marqué par le wilsonnisme, mot poli pour désigner l’impérialisme moralisateur et mercantile à visage étoilé.
    Une nation comme la nôtre, forgée par l’Histoire et rompue aux épreuves, doit savoir qu’elle n'a pas d'amis. Seulement des partenaires ou des alliés tant que convergent les intérêts. L'oublier c’est déjà entrer dans la dépendance.
    Le Parti de la France sait combien sont multiples et divers les États-Unis d’Amérique où se côtoient le meilleur et le pire. Nous nous sommes réjouis de l’élection de Donald Trump face à Hillary Clinton, candidate du Système et des élites autoproclamées. Force est de constater que, jusqu'à présent le Président américain a tenu l'essentiel de ses promesses sur le plan intérieur.
    Mais les intérêts américains ne sont pas nécessairement les nôtres. En particulier en politique internationale. En s’alignant purement et simplement sur les positions US dans l'affaire syrienne ; en ne répondant pas – ou si peu  aux mesures protectionnistes décidées par l'administration Trump par des mesures similaires pour protéger le marché français ou inciter l'Europe à le faire ; en jouant systématiquement, au-delà des divergences de façade, le jeu de l’allié fidèle, suiviste et souvent silencieux, Macron a, durant tout son séjour, agi et parlé comme un supplétif plutôt que comme un chef d’État, s'inscrivant dans la continuité d'une politique atlantiste hostile à la Russie et vassalisante pour l'Europe, que la fin de la guerre froide aurait dû rendre obsolète.
    Supplétif, mais aussi élève comme on a pu le voir lors de la conférence de presse à Washington où Donald Trump n'a pas hésité à faire la leçon, de manière particulièrement humiliante, à un Emmanuel Macron en particulier en matière de terrorisme islamique et d'immigration. Humiliation aussi quand le Président français laisse le Président américain, hilare, essuyer les pellicules de son costume sans réagir.
    Le Parti de la France considère que la voix de la France doit se faire entendre dans l’indépendance, la souveraineté et l’affirmation de son génie propre tout en œuvrant à la construction d'une Europe politique de la puissance, seule capable de répondre aux défis et de défendre notre civilisation. 
       
     
       

    @carllang2022 - 25 avril

    La nouvelle lubie de certains "intellectuels" français est de demander aux imams de réformer le Coran. Rien que cela.. Ils devraient pourtant savoir que pour les musulmans ce texte est révélé et sacré.
    Sourate 2 verset 2 : " Voici le livre! Il ne renferme aucun doute..."
     
     
     
     
    Plan Borloo pour les banlieues :
    le tonneau des Danaïdes.
    Un « big bang institutionnel », c'est ainsi que Jean Louis Borloo a voulu qualifier le rapport qu'il vient de remettre au Premier ministre qui le lui avait commandé dans les premières semaines de son arrivée à Matignon. Quelques dizaines de propositions fumeuses pour éviter, selon le mot toujours confus de l’ancien ministre de Chirac et de Sarkozy, « un nouvel apartheid en matière de mixité au nom de l'égalité républicaine ».
    Depuis 1977, de « plans banlieues » à « plan Marshall pour les quartiers », de créations d'agences dédiées comme L’ANRU (Agence Nationale pour la Rénovation Urbaine) en signatures de pactes pour la ville, de « contrats de cohésion sociale » en zones franches pour les cités, c'est près de cent milliards d’euros qui ont été investis dans cette « politique de la ville » dont le plan Borloo est la dernière mouture en date (la quatorzième !) et dont la « discrimination positive » est la finalité en même temps que le moyen d’y parvenir. Un gouffre financier pour des « quartiers » aux populations substitués, cela au détriment du reste du territoire, en particulier des zones rurales, et de l’immense majorité de nos compatriotes qui, eux, ne dégradent pas leur environnement, ne brûlent pas les voitures et n’agressent pas les forces de l'ordre.
    Incapables d'intégrer, encore moins d'assimiler les populations allogènes qui, depuis plus d'un demi-siècle, se sont installées dans les cités des périphéries urbaines, les pouvoirs successifs, de droite et de gauche, ont, en quatre décennies, répandu, en pure perte, l’argent public au bénéfice des associations et des lobbies immigrationnistes, tout à la fois par idéologie, par mauvaise conscience et par crainte d'une explosion généralisée.
    Quarante ans après le lancement du premier plan banlieues, la sécession des cités, aux mains des caïds et des imams, est une réalité que les préconisations du plan Borloo – investissement sur dix ans de 48 nouveaux milliards dont un fond permanent de 5 milliards, renforcement de l'apprentissage, objectif surréaliste de faire des banlieues une « avant-garde économique et culturelle », création d'une haute école dédiée, investissement sur le numérique – ne parviendront évidemment pas d’avantage à inverser que ne le firent les dispositions de ses treize prédécesseurs.
    Rien n'oblige le gouvernement à reprendre à son compte les propositions de Jean-Louis Borloo. Mais tout indique que, pour une bonne partie d'entre elles, ce sera le cas. Emmanuel Macron a, en effet, d'ores et déjà programme une intervention sur le sujet pour la mi-mai.
    Pour le Parti de la France, il ne peut exister qu'un seul « plan banlieues » : celui de la reconquête. Reconquête par les forces de l'ordre des cités abandonnées à la racaille et au crime organisé.
    Reconquête par la France des pans de son territoire abandonnés à l’islamisme. Reconquête des banlieues populaires par et pour les Français qui ont le droit – et le devoir- d'être maîtres chez eux.
    Un plan qui ne coûtera pas des milliards. Seulement le prix de la volonté politique. 
     

    Meurtre de la jeune Angélique

    Une fois de plus, une adolescente, presque encore une enfant, à qui la vie souriait a été violée et massacrée par un monstre multirécidiviste des attaques sexuelles.
    Avec le Parti de la France, les violeurs d'enfants ne seraient pas laissés en liberté sans contrôle extrême après l’exécution totale de leur peine qui sera d'une sévérité exemplaire.
    Avec le Parti de la France, la peine de mort sera rétablie pour les tueurs d'enfants comme pour les terroristes et les assassins de policiers ou gendarmes.
     
     
     
    Notre-Dame-des-Landes :
    le gouvernement recule !
     
    Que le projet ait été fondé ou non, en annonçant en janvier dernier sa décision — en réalité celle d'Emmanuel Macron — de ne pas donner suite à la construction d’un nouvel aéroport sur le site de Notre Dame des Landes, Édouard Philippe opérait un recul en rase campagne par rapport aux engagements de l’État, renforcés par la consultation populaire et le soutien de la plus grande partie des élus locaux.
    Dans le même temps, il tentait de camoufler cette reculade par l'affirmation affichée de sa fermeté quant à l’expulsion des zadistes.
    Trois mois ont passé, trois semaines se sont écoulées depuis le début des opérations de libération des terrains illégalement occupés. Force est de constater que la supposée fermeté n’était que posture. Les zadistes sont toujours là, gauchistes et anarchistes tiennent le terrain, posent leurs conditions aux autorités, tandis que les gendarmes mobiles, contraints par les ordres reçus, voient leurs opérations de la journée défaites au cours de la nuit suivante. Opérations qui au 25 avril avaient déjà coûté au contribuable français la modeste somme de cinq millions d'euros. Pendant ce temps, la préfète, aidée de Nicolas Hulot, dialogue et consulte. Le Premier ministre, quant à lui, temporise et fixe au 14 mai une nouvelle échéance d’évacuation.
    Avec le Parti de la France, aucune action, aucune provocation, aucune opération, aucune occupation de l'ultra gauche ne sera tolérée.
    Avec le Parti de la France, l'ordre sera restauré, maintenu et respecté. 
     
       
    Pression fiscale :
    la grande manipulation…
     
    En affirmant qu'il n'y aurait aucune augmentation d’impôts pendant son quinquennat, Emmanuel Macron joue sur les mots, témoignant ainsi du mépris dans lequel il tient les Français.
    Il est vrai que les impôts nationaux directs, que ce soient pour les foyers ou pour les sociétés, semblent, pour le moment gelés. Mais jusqu'à quand ? Alors même que la croissance fléchit à nouveau +0,3 % au premier trimestre au lieu de 0,7 %), la reprise de la dette de la SNCF par l’État tout comme la relance de la Politique de la Ville ou l'instauration d'un service national pour tous devront bien être financées, tandis que la dette colossale de la France (2 200 milliards) ne pourra demeurer éternellement sans réponse au regard des engagements de Maastricht.
    L’allégement fiscal promis par le Président de la République et censé être mis en œuvre par le Premier ministre, Édouard Philippe et le ministre des finances, Bruno Le Maire, tous deux venus de la droite libérale, est, en réalité, un leurre.
    En un an, ce sont, en effet, huit nouvelles taxes qu’a créées le gouvernement, compromettant ainsi un peu plus le pouvoir d'achat des Français comme la compétitivité des entreprises. Nouvelles taxes auxquelles s'ajoutent celles décidées en fin de mandat sous l'autorité de François Hollande et dont les effets entrent en vigueur dans le cours de l'année 2018.
    Une fiscalité aggravée par les impératifs doctrinaux de l’idéologie écologiste qui se traduisent par l’augmentation de la taxe carbone, de celles sur le diesel ou le tabac. Augmentation aussi de 1,7 % pour tous de la Contribution sociale généralisée (CSG). Augmentation probable, à terme, de la taxe foncière, effet pervers de la suppression de la taxe d'habitation qu'il faudra bien compenser, entraînant presque mécaniquement une refonte des valeurs locatives. Augmentation probable également de la taxe d'habitation sur les résidences secondaires.
    Comment ne pas considérer, par ailleurs, l'impôt sur la Fortune Immobilière (IFI) comme un nouvel impôt ? Certes, il remplace l’ancien Impôt Sur la Fortune (ISF), mais en faisant porter la pression sur les propriétaires seuls, devenus les vaches à lait du régime
    Le prélèvement à la source, enfin, s’il ne conduit pas à des augmentations, se traduira, dès 2019, par effet-retard, à une complexification fiscale menant à des remboursements différés sur plusieurs mois, par exemple des aides aux services à domicile.
    Pour le Parti de la France, il est urgent de rendre aux Français le produit de leur travail et de leur épargne, tout en permettant aux entreprises de conforter leur compétitivité. Cela passe par un allègement réel de la pression fiscale qui étouffe les familles et étrangle les entrepreneurs. Avec pour condition sine qua non la réduction drastique du train de vie de l'État et des collectivités locales, la fin de la gabegie, la chasse aux fraudes et au gaspillage, la suppression des organismes inutiles et d’au moins un des échelons administratifs de la Nation, sans même compter sur les économies réalisées par notre politique cohérente et réaliste d'immigration zéro (le coût annuel de l'immigration peut être raisonnablement évalué à 70 milliards). 
       
     
    École primaire :
    Blanquer, mission impossible
     
    Apprentissage de la lecture par le retour de la méthode syllabique, contrôle de l’écriture, utilisation d'un manuel, pratique de la dictée, cours de grammaire, maîtrise de l'orthographe et du calcul, respect des fondamentaux… Qui, sinon les idéologues marxistes et post marxistes des révolutions pédagogiques en fonction depuis des décennies pour le malheur des élèves et de générations d'enfants sacrifiés, pourrait être en désaccord avec un tel programme présenté par Jean-Michel Blanquer dans une circulaire adressée aux enseignants ?
    Nous ne mettrons en doute ni la sincérité ni la bonne volonté du ministre de l'éducation nationale, surtout lorsque ce dernier annonce parallèlement le rétablissement dans le secondaire de l’histoire chronologique et le renforcement du latin et tente d’e garer une vraie sélection dans le Supérieur.
    Il n'est pourtant pas possible de croire à la réussite de ce projet de simple bon sens.
    • Impossible, en effet, de le mettre en œuvre sans casser au préalable les forteresses syndicales et associatives révolutionnaires de l’éducation nationale, partisans de la « liberté pédagogique ».
    • Impossible de le mettre en œuvre sans en finir avec la philosophie de nivellement par le bas qui est, depuis plus trente ans, la règle de base selon laquelle seuls les « défavorisés » méritent l'attention des enseignants.
    • Impossible de le mettre en œuvre sans remettre en question la carte scolaire.
    • Impossible, enfin, de le mettre en œuvre tant que des classes entières seront composées d’enfants n’ayant ni la même culture, ni le même attachement charnel à la France, a sa langue et à son identité que les nôtres.
    Le Parti de la France veut une école de l'instruction nationale débarrassée des apprentis sorciers de la pédagogie constructiviste, où aucun enfant français ne sortira du primaire sans savoir lire, écrire et calculer, où sera enseignée l'histoire de France, de ceux qui l'ont faite et des grands événements qui l'ont forgée, où sciences fondamentales et physiques seront apprises et perfectionnées pour donner à notre Pays les ingénieurs, les scientifiques, les chercheurs, les médecins, dont il aura besoin demain pour affronter les immenses défis de ce troisième millénaire et faire face aux enjeux du monde tel qu’il est, mais où seront enseignées également littérature et philosophie selon les règles de la vision critique avec le retour des « humanités ». Une Instruction nationale juste mais sélective qui se contentera de faire apprendre et de transmettre la connaissance sans empiéter sur le domaine de l’éducation par les familles. Une Instruction nationale française. 
     
           
     

    Réinfo, le magazine d'information

     

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  • Après REINFO, Argumentaire du PDF

     

     

       
     

     
    ICIOININIEIXIIIOINI
    LA LETTRE ARGUMENTAIRE DU PDF
    directeur de publication : Jean-François Touzé
     

    23 avril 2018

     
       
     
       
    Marron l’Européen?
     Non ! Macron l'européiste. 
     
    Le mardi 17 avril, s’exprimant pour la première fois devant les élus du Parlement européen, Emmanuel Macron a appelé de ses vœux « Une nouvelle souveraineté européenne ».
    L’actuel Président de la République se serait-il soudain converti à une conception qui nous est chère, celle d’une Europe indépendante, Europe de la puissance — « rêve des sages et ambition des puissants » selon une expression fameuse — et incarnation d'une vision civilisationnelle ?
    Non, bien sûr. La volonté européenne d'Emmanuel Macron est défensive : défense du système techno-structurel de l'Union européenne. Défense de la Commission européenne, défense de l'Europe supranationale, aboulique et translucide, défense de ce qu'il nomme « démocratie européenne » qui n'est en fait que le mode d'asservissement des peuples du Continent.
    Défense contre quoi ? Contre la déferlante migratoire ? Contre l'offensive islamiste ? Contre les effets pervers du mondialisme ? Contre les pratiques inamicales des économies protégées que sont aussi bien celles des États-Unis que celle de la Chine ?
    Non ! Défense de l’Union européenne contre le « somnambulisme », selon son mot, des eurosceptiques et contre l’ennemi qu'il désigne dans son discours sous le nom de « populisme » pour ne pas prononcer celui de « Droites nationales »
    Le Parti de la France défend, lui, l’idée d'une Europe authentiquement souveraine, libérée des dépendances et des alignements, fondée sur la force et la vitalité des nations qui la composent, Europe charnelle et civilisationnelle, consciente de ce qu'elle est, enracinée dans l’histoire, fière de son héritage hellénique et de ses racines chrétiennes qu'il lui appartient de protéger en partenariat avec la Russie que tout rattache à notre conception de l'occident.
       
     
       

    @carllang2022 - 13 avril

    Nous ne désertons pas le pavé parisien. Une délégation du Parti de la France sera présente à Paris le 1er mai aux côtés de Jean-Marie Le Pen et nous participerons le dimanche 13 mai au défilé traditionnel d'hommage à Jeanne d'Arc organisé par Civitas. Semper fidelis !
     
       

    @carllang2022 - 17 avril

    70 gendarmes blessés depuis le début des opérations à Notre-Dame des Landes et très peu d'interpellations. Le ministre de l'intérieur est manifestement plus inquiet pour la sécurité des voyous zadistes que pour la sécurité de ses propres forces de l'ordre. Honteux!
     
     
     
     
    Affaire Vincent Lambert :
    le choix de la vie.
    Pour la énième fois, une décision de justice vient d'intervenir ordonnant une nouvelle expertise médicale afin de trancher entre les membres d'une même famille sur le fait de savoir si leur fils, leur frère ou leur époux, plongé dans un état végétatif mais dont de nombreux médecins dont les professeurs éminents qui viennent de publier une tribune dans le Figaro estiment que ses capacités ne sont pas anéanties, doit vivre ou mourir.
    Les souffrances des uns comme des autres ne se partagent pas et loin de nous la volonté de donner des leçons.
    Mais en tant que formation politique responsable, le Parti de la France, en restant sur le seul plan des valeurs et des principes, ne se place que sur une position unique et définitive : le respect de la vie, de son commencement à son achèvement, ce qui exclut l'euthanasie.
    La mobilisation contre le mariage pour tous a montré que, dans une large mesure, le Pays partageait notre inquiétude face aux dérives sociétales. C'est ce qu'Emmanuel Macron a bien compris. Quand il parle aux Catholiques comme il l'a fait devant les évêques de France au collège des Bernardins, c'est avant tout – en même temps que de préparer les esprits à des mesures favorisant l’islam soi-disant de France – pour tenter de désamorcer la colère qui monte devant les atteintes aux principes éternels de la vie.
    Au moment où le pouvoir se prépare à lancer une grande offensive dans le domaine des lois dites bioéthiques, avec la surenchère qui ne manquera pas de survenir de la part de la gauche et des associations constructivistes, nous nous référons à l'ordre naturel, ordre naturel qui ne s’oppose en rien à la recherche ni aux avancées médicales et scientifiques, pour refuser et condamner toutes les dérives, en particulier la Gestation pour autrui (GPA) contre laquelle nous serons en première ligne.
     

    Conseil national

    du PDF

    Le 12 mai, à Paris, le Parti de la France tiendra un Conseil National élargi. L’ordre du jour portera principalement sur les questions de formation des cadres, d’organisation du Parti de la France et de notre stratégie pour les échéances électorales à venir. Dans le contexte politique actuel Le Parti de la France a, plus que jamais, pour vocation de devenir la force politique de rassemblement de la droite nationale française.

     
     
     
    Albanie et Macédoine dans l’Union Européenne ?
    NON !
     
    La commission européenne a solennellement, le 17 avril, ouvert grand les portes à d'adhésion de l'Albanie et de la Macédoine à L’UE.
    Pays musulman, plaque tournante du crime organisé, premier exportateur de graines de cannabis vers l'Europe, minée par la corruption, le chômage et la violence endémique, l'Albanie dont l’amitié intéressée de ses dirigeants oscille entre les États-Unis et la Turquie serait, à n'en pas douter, une recrue de choix pour tous ceux qui veulent la décomposition totale du continent et l'accélération de sa marche vers le chaos.
    Le cas de la Macédoine historiquement hellénique, quoique différent et ne présentant pas les mêmes risques, ne peut être retenu en l’état, du fait de sa situation économique et de sa rivalité avec la Grèce. À noter que si une grande majorité de ses habitants est orthodoxe, une forte minorité musulmane (entre 25 et 30 %) y est très active.
    Pour le Parti de la France, l’élargissement d’une Union européenne impotente, incapable de faire face aux enjeux de la mondialisation et de s'opposer au raz de marée des migrants ne peut être envisagé. L'Europe à construire devra être basée sur les piliers de force nationaux et la cohérence interne, historique et spirituelle de ses membres.
     
       
    Sondage Paris Match :
    intox sur papier glacé…
     
    Selon un sondage IFOP publié le 19 avril par l'hebdomadaire Paris Match, si la Présidentielle avait lieu aujourd'hui, Emmanuel Macron triompherait avec 32 % (36 % en cas de candidature Wauquiez crédité de 8 %), soit au moins 9 points de plus que l’année dernière, tandis que Marine Le Pen conserverait sa deuxième place avec 23 % devant Jean-Luc Mélenchon qui reculerait avec 16,5 % des suffrages.
    Et chacun de se féliciter et s’auto-célébrer…
    Ce sondage relève évidemment de l'intox.
    Intox car une élection présidentielle, c’est avant tout une campagne, avec ses acteurs, leur créativité et leurs erreurs, avec les éléments de surprise qui font que rien n'est écrit par avance. Les élections de 2002 et de 2017 en ont suffisamment fait la démonstration.
    Intox car, même si l'hebdomadaire feint de ne voir dans cette enquête rien d’autre qu'un « arrêt sur image », il est évident qu'il s’agit là d'une volonté de crédibiliser Macron, ce qui ne peut étonner venant d'un journal qui, à longueur de pages, d'articles et de photos, ne cache qu'avec peine son soutien au locataire de l’Élysée.
    Intox car, se voulant sans le dire une projection vers 2022, ce sondage constitue un acte politique vers la réélection d'Emmanuel Macron, en tentant de figer les positions.
    Intox car, dans le même sondage, mais item traité avec moins de tambours et trompettes, on apprend que 58 % des personnes interrogées se disent mécontentes de Macron. Vous avez à dit « cohérence » ?
    Rien n'est écrit. Rien n'est ossifié. Personne ne peut dire ou en sera la France dans quatre ans. Attentats, émeutes, crise sociale ou internationale peuvent, ce que nous ne souhaitons pas, bouleverser la donne.
    Personne ne sait non plus ce qu'il adviendra de Marine Le Pen et de son Rassemblement national, entre déception, hémorragie militante et procédures judiciaires.
    Ce que sait le Parti de la France, c’est qu'il doit se tenir prêt à relever le défi lorsque, le jour venu, le grand vent de l’histoire soufflera à nouveau.
    Nous le ferons en nous organisant, en étant présent sur le terrain, en renforçant notre communication autour de notre président Carl Lang.
       
     
    Loi « Immigration » :
    nouveau tour de passe-passe
     
    La grande crainte des gouvernements républicains étant la possible cristallisation de la colère populaire face au tsunami migratoire, ils tentent depuis des années, en faisant se succéder lois cosmétiques et mesures d'artifices, de distraire le mécontentement en feignant de s'attaquer aux effets de l'immigration sans pour autant en appréhender les causes ; ce qui, il est vrai, leur serait difficile puisque tout, dans leur philosophie et leur vision de l’humanité, va dans le sens de l’immigrationnisme tandis que la peur des associations et des lobbies les paralysent.
    La loi Collomb qui vient d’être débattue à l’assemblée en première lecture n’échappe pas à cette supercherie.
    Loin de réduire les conditions de la déferlante, elle est, en effet, de nature à en aggraver la portée et à en accélérer encore et encore l’intensité tandis que, en catimini, le gouvernement, comme l'a reconnu le ministre de l’Intérieur auprès d'élus de gauche, se prépare à régulariser un grand nombre de clandestins.
    Quatre mesures phares dans cette loi :
    1. La réduction des délais de cent vingt jours à quatre-vingt-dix pour l’étude des dossiers de droit d'asile par une procédure accélérée. Censée faciliter les conditions d’expulsion des demandeurs déboutés, elle aura, de fait, un effet d’aspiration supplémentaire de candidats à l'immigration à qui les passeurs représenteront qu'en France, les dossiers vont vite et que l'asile en est facilité.
    2. Le passage de 45 à 90 jours de la durée de rétention des clandestins. Présentée comme un volet éminemment répressif de la loi et combattue comme tel par la gauche et l’extrême gauche, cette mesure est dérisoire. Il faut savoir, à titre de comparaison, que la durée de rétention est en Allemagne de quinze mois, et qu'elle est illimitée en Grande Bretagne.
    3. Le regroupement familial autour des mineurs bénéficiant du droit d'asile, non seulement ne sera pas supprimé pour ce qui concerne les ascendants, mais sera étendu aux frères et aux sœurs et pourquoi pas, les amendements jouant, aux oncles, aux tantes, aux cousins, notions parfois très larges et souvent invérifiables dans la plupart des pays d'origine. C'est donc bien une nouvelle filière d'immigration par les « mineurs » que crée la loi Collomb, voulue par Emmanuel Macron et défendue par l'actuelle majorité.
    4. L'assouplissement du délit fit de solidarité qui vise celles et ceux qui aident les clandestins à entrer dans notre pays. Un assouplissement qui ne peut que réjouir les passeurs.
    Le Parti de la France se prononce pour l'immigration zéro par l’arrêt de toutes les pompes aspirantes, le contrôle drastique de nos frontières nationales et européennes, la suppression du regroupement familial, la réforme du code de la nationalité, l'abandon du droit du sol, l’expulsion des clandestins et des délinquants étrangers, la reconquête des pans perdus du territoire français et la mise en œuvre d'une politique cohérente de rémigration.
     
     
           
     

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  • Ils attendent le "grand soir"

    En attendant le grand soir

     

    Rédigé le Lundi 16 Avril 2018 à 18:23 | 0 commentaire(s)

     

    LE REMPLACEMENT NATIONAL. Décidément, certains semblent vouloir rester fidèles à la formule « On ne change pas une équipe qui perd »... On aurait pu penser que la refondation du FN futur Rassemblement national s'accompagnât d'un retour aux fondamentaux du combat national.


     Eh bien, il n'en est rien... Vous avez certainement vu passer un visuel du FNJ s'insurgeant à raison contre la fermeture de classes dans les zones rurales au profit des banlieues de l'immigration. Or, pour incarner une Française vivant dans ces zones rurales, le FN n'a trouvé rien de mieux que de présenter une... Africaine... A croire qu'effectivement pour la direction du parti de Marine Le Pen pense que la grand remplacement n'est qu'un fantasme... Ou a fait d'un célèbre dessin de Konk « Tout le monde est français »  un slogan politique... La preuve surtout que la ligne prétendument Philippot n'est ni plus ni moins que la ligne MLP... Et que cette ligne néfaste perdure malgré le départ de l'ancien protégé de MLP,

     

    Alors le FN peut bien prétendre vouloir lutter contre l’immigration, la submersion migratoire, les faits parlent d'eux-mêmes, le FN intègre parfaitement l'idée qu'être français ne signifie pas comme le disait De Gaulle, via Peyrefitte : « C’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu’elle a une vocation universelle. Mais à condition qu’ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. » Sidérant, pour des thuriféraires du « grand homme ».

     

    Tout ceci montre surtout que le FN navigue à vue, sans colonne vertébrale. Pour en sortir, le seul avenir d'une vraie droite nationale, populaire et sociale, intransigeante sur le fond, mais faisant preuve parfois de souplesse c'est le Parti de la France.

     

    Arnaud Malnuit

     

  • Argumentaire Droite Nationale

     

     

       
     

     
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    17 avril 2018

     
       
     
       
    Notre Dame des Landes, Tolbiac, cités… zones interdites. 
     
    Censée être effective depuis une semaine, l'expulsion des quelques centaines de professionnels de l'extrême gauche qui occupent le site de Notre Dame des Landes semble loin d’être réalisée et la guérilla continue contre les gendarmes qui, ordres de modération ayant été donnés par le pouvoir politique, ne parviennent pas à se rendre maîtres des lieux.
    Occupée depuis plusieurs semaines par les gauchistes dont tirés peu d’étudiants, la faculté parisienne de Tolbiac s’est auto-rebaptisée « commune libre de Tolbiac ». Des centaines de milliers d'euros de dégradation sont d’ores et déjà à déplorer tandis que l’immense majorité des étudiants se voit empêcher de travailler, de préparer ses examens et vit sous la menace.
    Pas plus qu'à Notes Dame des Landes, la force publique ne semble capable de s’imposer à Tolbiac. Comment en serait-il autrement dans une France à l’autorité bafouée, où des centaines de cités sont interdites aux unités de police et de gendarmerie, zones dites de non droit qui sont, en réalité des zones de sécession, où règnent caïds et imams ?
    Avec le Parti de la France au pouvoir, les forces de l'ordre recevraient les ordres nécessaires à l’exécution de leurs missions, et les zones occupées - cités, ZAD, facs - seraient évacuées et nettoyées. 
    Quel qu'en soit le prix.
       
     
       

    @carllang2022 - 13 avril

    La Cour de Justice de l'Union Européenne vient d'autoriser les clandestins mineurs à être réunis avec leurs familles en Europe. C'est le droit au service de l'immigration illégale et une porte ouverte de plus à la colonisation de peuplement. Le poisson pourrit par la tête...
     
       

    @carllang2022

    Lorsque Macron assiste au dîner du CRIF ou répond à l'invitation du Conseil Français du culte musulman cela ne dérange personne, mais lorsqu'il s'exprime à la conférence des évêques de France cela fait polémique. Toujours la même haine antichrétienne...
     
     
     
     
    Syrie : frappes négociées
    et vassalité renouvelée
    En frappant la Syrie, les forces du Bien viennent, en termes de communication politique plus que sur le terrain, d’apporter à l'islamisme un soutien qui, au regard des faits et des enjeux, vaut approbation.
    Trois points méritent d’être pourtant soulignés. 
    • 1/ Une fois de plus, la « morale occidentalo-wilsonienne » met en avant l'existence ou l'utilisation d'armes prohibées- de destruction massive hier en Irak, chimiques aujourd'hui en Syrie- pour justifier une intervention en réalité liée aux réserves de pétrole ou de gaz et à la volonté de favoriser les pétro-monarchies dans leur rivalité avec l'Iran. Politique aventureuse qui, en Irak, en Lubie et en Syrie n'ont mené qu'au chaos.
    • 2/ La modestie des frappes et la sage réaction de la Russie, réaction indignée mais toute en réserve, témoignent de ce que l'attaque occidentale avait été largement négociée. Il s'agissait, en réalité, de permettre à Donald Trump et ses alliés, imprudemment engagés sur le chemin interventionniste sans en avoir mesuré les conséquences vers une confrontation avec la Russie, de céder sans, pour autant, perdre la face. En ce sens, les frappes tripartites relevaient surtout de la gesticulation.
    • 3/ En suivant Donald Trump sur cette voie absurde, Emmanuel Macron a placé la France, comme jamais, sur une position d’alignement qui fait de notre pays un vassal bien d'avantage qu’un allié. La voix de la France ne compte plus et le prochain voyage du Président de la République à Moscou, s'il est maintenu, risque bien d’être considéré par Vladimir Poutine comme un événement de bien modeste portée.
    Le Parti de la France ne soutient aucun régime étranger mais cherche à ce que soient maintenus les équilibres nécessaires à la paix mondiale et à la défense des intérêts de la France. Ces équilibres ne passent pas par la destruction de la Syrie et son abandon aux mains de l’Etat islamique. Ils ne peuvent non plus se fonder sur une politique périlleuse et aventuriste. Ils ne peuvent reposer sur le déclenchement et l'entretien d'une nouvelle guerre froide avec la Russie.
    Pour le Parti de la France dont les positions ne sont dictées que par le seul souci de notre bien national et celui, civilisationnel, d'une Europe des États libres, il n'existe pour une Nation vivante qu’une seule voie, celle de la souveraineté, de la coopération européenne et des partenariats, comme celui que nous devrons mettre en œuvre avec la Russie.

     

    Ca y est ! Macron a été promu Sherif-adjoint avec une belle responsabilité de supplétif ! À défaut de la colère, cela ne mérite que le mépris…
    @carllang2022

     

     
       
     
    SNCF : ni statu quo, ni privatisation, ni syndicalisme bolchevique
     
    La France se trouve, une fois de plus, confrontée au chantage d'une minorité syndicalo-bolchévique qui tente de paralyser le Pays et prend en otages des millions de nos compatriotes.
    Le Parti de la France condamne sans restriction les agissements de ces syndicats politisés que sont la CGT et Sud-rail pour qui la lutte des classes reste une règle d'action, et la défense de leurs intérêts claniques une priorité.
    Pour autant, le projet de réforme initié par Emmanuel Macron et défendu par l'actuelle majorité ne peut en aucune manière entraîner l’adhésion de la Droite Nationale pour qui seule compte la défense des intérêts français.
    L’intérêt de la France n'est, certes pas, dans le statu quo. Avec une dette de 50 milliards qui, si elle devait être « reprise » par l’état ruinerait un peu plus les comptes publics et obèrerait d’avantage encore le pouvoir d'achat des contribuables, la SNCF est une entreprise en lambeaux, au fonctionnement aléatoire et à la sécurité hasardeuse. C'est la conséquence de décennies d’indécisions, de laisser-faire et de procrastination. En s'interdisant, par lâcheté, de se pencher sur le statut des cheminots et d’en finir avec certains de leurs privilèges, en matière de retraite en particulier, et en créant deux entités séparées pour tenter de camoufler l'ampleur de la dette, les gouvernements successifs ont entraîné l'entreprise dans une impasse dont ils espèrent sortir par la mise en concurrence et, à terme, la privatisation voulues par l'Union européenne. 
    Ni l’une ni l'autre ne sont conformes à l’intérêt national.
    • D'abord parce que les transports - le rail en particulier - participent des nécessités stratégiques de la France.
    • Ensuite parce que le rail doit demeurer un service public. La rentabilité est une chose que la Droite nationale, soucieuse de la bonne marche de l’économie, ne conteste nullement. Mais le maillage ferroviaire qui fit jadis la fierté du Pays en un temps où les trains partaient et arrivaient à l'heure et ne se transformaient pas en coupe-gorges le soir tombé, doit être défendu. La France profonde à besoin de ses gares comme elle a besoin de ses bureaux de poste.
    • Enfin, au-delà des TGV, les TER ou Intercités gérés et financés par les Régions au bord de l'asphyxie financière seraient, sous leur forme de « service », condamnés par la mise en concurrence. 
    Une nouvelle fois, la preuve est faite que seule une politique authentiquement nationale, réaliste et courageuse, sera en mesure de s'opposer, à la fois à l'immobilisme clientéliste des syndicats, aux exigences ultra libérales et aux diktats de la Commission européenne en cassant les organisations révolutionnaires et en réformant, dans ses structures comme dans son fonctionnement, la SNCF tout en permettant aux Français de disposer d'un service public de qualité.
     
       
    Union des droites
    ou Union pour la fausse droite ?
     
    Thierry Mariani, ancien maire de Valréas, ancien député du Vaucluse, ancien élu des Français de l'étranger, ancien ministre de Nicolas Sarkozy, ancien animateur de l'ex droite populaire, club parlementaire destiné à établir des rapports de force au sein de l'UMP devenue Les Républicains afin d’y grignoter quelques postes utiles, n’étant aujourd'hui plus rien se verrait bien redevenir quelque chose en 2019. Député européen, par exemple. Cela tombe bien : à la recherche d'une nouvelle stratégie d'ouverture, Marine le Pen lui ouvre les bras.
    D'autres acteurs sont à la manœuvre pour créer les conditions d’une Union des droites supposée être l'alpha et l’oméga du renouveau politique et du relèvement de la France : Marion Maréchal Le Pen, Robert Ménard, Jean-Philippe Poisson, Nicolas Dupont Aignan ou, plus récemment, Christine Boutin.
    Une telle stratégie pourrait se défendre avec une droite nationale puissante. Ce n’est pas aujourd’hui le cas.
    Créer les conditions de cette Union, c'est à coup sûr, entrer dans le piège de la petite politique, la politique politicienne la plus détestable. C'est aussi sauver du néant les has been de la droite républicaine. C'est renoncer, à terme, à la spécificité de la droite nationale. C'est jouer le jeu du Système. C'est, au final, renforcer une droite républicaine qui a, par lâcheté ou confort, largement contribué à la situation dramatique dans laquelle se trouve le Pays.
    Le Parti de la France n'entrera pas dans ces manœuvres. Demain, une droite nationale puissante, celle que nous incarnons, pourra, le cas échéant, traiter des alliances locales, voire nationales, mais en position de force, sur nos idées, notre projet, notre identité politique, sans, à aucun moment transiger.
    L’union électorale par désistements réciproques face à la gauche est une chose dont nous ne refusons pas la logique. L'union politique en est une autre qui exige une vision et un projet commun.
    Mais pas de compromission avec ceux qui ont conduit la France au bord du gouffre.
       
     
    Réforme constitutionnelle : 
    cosmétique et perlimpinpin.
     
    Voulue par Emmanuel Macron et défendue par l’actuelle majorité parlementaire, la réforme constitutionnelle, si elle a toute les chances d’être adoptée en Congrès puisqu'un accord a, d'évidence été conclu entre une partie de la droite républicaine, dont le président Sénat, Gérard Larcher depuis plusieurs mois à la manœuvre, n'est que la énième tentative de rafistolage des Institutions bien élimées de la Cinquième République, et de réanimation d'une pratique politique pervertie et anémiée.
    Sous couvert de propositions de bon sens et de nécessité publique- réduction drastique du nombre de députés, restriction des mandats dans leur nombre et leur durée, introduction d'une dose de proportionnelle (faible, si faible…) pour les Législatives, le gouvernement fait ce que n'ont cessé de faire tous les gouvernements successifs : se forger un système politique à leur convenance. C'est ainsi, par exemple, que le redécoupage des circonscriptions indispensable à la mise en application de la réforme, en faisant de ces circonscriptions des monstres géographiques, favorisera obligatoirement le pouvoir en place.
    Rien, par ailleurs, ne sera entrepris pour rationaliser la carte administrative de la France qui, entre État, Régions, Départements, Communautés de communes, communes, par chevauchement des compétences et accumulation des (irr)responsabilités, est une des causes de l'immobilisme et de la gabegie nationale. Pas plus que ne sera initiée la suppression des sinécures comme le Conseil économique, social et environnemental, voire du Sénat.
    Pour le Parti de la France, C’est le Système tout entier qu'il conviendra de changer demain en retrouvant, en nous-mêmes le chemin de notre génie politique national, en redéfinissant les hiérarchies, en rétablissant l’autorité de l’Etat, en pourchassant esprit clanique et clientélisme, et en rendant la parole au peuple.
     
           
     

    Réinfo, le magazine d'information

     

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    @lepartidelafrancecompteofficiel

     
      Le journal télévisé du PdF
    présentée par Sylvie Collet
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    le Président du PDF, sur twitter
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  • Il paraît que c'est vrai (le grand soir)

    En attendant le grand soir

     

    Rédigé le Lundi 9 Avril 2018 à 08:29 | 0 commentaire(s)

     

    POUR UN SYNDICALISME RÉELLEMENT NATIONAL.
    Pour les amateurs de comptes ronds, surtout s’agissant des anniversaires de la droite nationale, on peut effectivement signaler qu’en 2018 on célèbre les 45 ans de la première participation du Front National à des élections (en l’espèce les élections législatives), les 40 ans de l’assassinat de François Duprat, les 30 ans du décès accidentel de Jean-Pierre Stirbois.


     C’est-à-dire lors que la droite nationale se dotait de sa propre structure et qu’elle affirmait qu’elle était aussi la droite populaire et sociale.
     
    Mais les souvenirs ne s’arrêtent pas là, en effet, à la lecture du numéro de Pour un ordre nouveau datant de décembre 1972 (et dont certains exemplaires ont été disponibles à nouveau la vente grâce à nos amis de Synthèse nationale), au-delà de l’annonce de la création du Front National est évoquée l’Union Générale des Travailleurs (UGT) qui se voulaient une réponse aux syndicats marxistes (la CGT étant sous le contrôle du PCF, FO abritait des trotskistes et la CFDT défendait l’autogestion version Yougoslavie titiste), s’inspirant  des syndicats créés en Italie à l’instigation du Mouvement Social Italien. Cette UGT n’eut jamais de réelle existence et il fallut attendre les tentatives de création de syndicats par le FN au milieu des années 1990 pour voir la droite nationale retenter de créer un syndicalisme alternatif. Tentatives tuées dans l’oeuf grâce à des lois votées en faveur des bureaucraties syndicales, avec le concours conjoint de la droite et de la gauche.
     
    Ces dernières années, le FN canal officiel a préféré défendre les centrales existantes et pire les soutenir, alors que ces dernières n’ont de cesse de proclamer qu’elles excluent leurs membres et responsables défendant des idées patriotiques…
     
    N’oublions pas non plus que ces centrales syndicales vivent de ce modèle social antifrançais que j’ai évoqué dans une précédente chronique.
     
    Sans parler de la CGT soutenant la régularisation des clandestins…
     
    Alors oui, il importe de créer un vrai syndicalisme national dont le premier mot d’ordre serait la préférence nationale à l’embauche et pour les prestations sociales. Un syndicalisme qui ne s’opposerait aux petits patrons, aux dirigeants de PME, aux indépendants. Mais qui au contraire les soutiendrait contre les multinationales et nos gouvernants qui bradent notre pays… Un syndicalisme qui proposerait d’autres modes d’actions que la grève pour ne nous nuire à ces PME et aux salariés pleinement touchés par ces conflits sociaux.
     
    Une fois de plus, l’avenir nous appartient.
     
    Arnaud Malnuit
     

     

  • Réinfo 9 avril 2018

    REINFO : le journal hebdomadaire

  • Le Parti de la France défend les français.

    Le Parti de la France : aucun consensus avec les responsables de l’invasion

     

    Rédigé le Lundi 2 Avril 2018 à 18:45 | 0 commentaire(s)

     

    Carl Lang prévient : « La République a rendu un hommage émouvant aux victimes françaises, civiles et militaires, de sa politique migratoire. Mais les mots n’effacent pas les morts et les discours ne feront pas oublier les responsabilités ».


    Jean-François Touzé, du Bureau politique, déclare : « Ils sont responsables des centaines de morts massacrés au nom d’Allah sur notre terre chrétienne de France, comme ils le seront de ceux qui, immanquablement, tomberont dans les mois et les années à venir, sous les coups des fanatiques islamiques »

    Notre combat politique est global, total et illimité jusqu’à ce que soit abattu ce Système mortifère. L’affirmation fait suite aux dernières exactions des guerriers de l’islam sur le sol de France :

    – Attaques à Trèbes et Carcassonne : le fil de la journée http://www.sudouest.fr/2018/03/23/aude-deux-hommes-font-feu-sur-des-crs-une-prise-d-otage-en-cours-4308050-7.php

    – Mireille Knoll : ce que l’on sait une semaine après le crime https://www.lci.fr/faits-divers/meurtre-de-mireille-knoll-ce-que-l-on-sait-une-semaine-apres-le-crime-2082839.html

    – Une voiture a foncé sur des chasseurs alpins du 7e BCA près d’une caserne à Varces-Allières-et-Risset  http://www.bvoltaire.fr/tentative-dattentat-a-varces-vouloir-cacher-lorigine-de-auteur-a-lopinion-publique/

    Giscard, Mitterrand, Chirac, Sarkozy, Hollande, Macron… Ça suffit !

    Jean-François Touzé, membre du Bureau politique du Parti de la France, n’y va pas par quatre chemins, il accuse :

    Ils ont, par idéologie pour les uns, par cupidité pour certains, par facilité pour les autres, organisé l’arrivée massive de millions d’immigrés sur notre sol national.

    Ils ont encouragé ou entretenu le sentiment pervers d’une culpabilité coloniale de la France.

    Ils ont détruit, les uns après les autres, les murs porteurs et les colonnes de force de notre cohésion civique que sont la famille, l’école, l’armée et la mémoire nationale.

    Ils ont, d’années en années, systématiquement affaibli nos outils de défense et de sécurité.

    Ils ont abaissé, jusqu’à les rendre inopérants, les réflexes moraux et patriotiques sans lesquels les nations se décomposent.

    Ils ont cassé l’État, érodé son autorité, renoncé à son action de volonté.

    Ils ont abdiqué toute ambition française de peser sur les affaires du monde.

    Ils se sont vautrés dans leurs jeux politiciens, claniques et partisans quand il leur aurait appartenu de se situer au dessus des calculs subalternes et des ambitions personnelles qui ne sont que passions enfantines.

    Ils ont abandonné des pans entiers de notre territoire aux bandes organisées, à la racaille et à la propagande des imams.

    Ils sont responsables des centaines de morts massacrés au nom d’Allah sur notre terre chrétienne de France, comme ils le seront de ceux qui, immanquablement, tomberont dans les mois et les années à venir, sous les coups des fanatiques islamiques.

    Mais, ces quarante dernières années, à la tête de l’État pour le servir, défendre et promouvoir la Nation, faire respecter la République, ils ont failli. Ils sont responsables et coupables.

    Notre combat politique est global, total et illimité jusqu’à ce que soit abattu ce Système mortifère.

    Aucune alliance, aucune union, aucun « consensus républicain », aucun compromis avec ces gens là, aucun compromis avec les responsables du déclin et de l’invasion!

    Jacques Chassaing

    Source : http://www.thomasjoly.fr/2018/03/aucune-alliance-aucune-union-aucun-consensus-republicain-aucun-compromis-avec-les-responsables-du-declin-et-de-l-invasion.html

    Carl Lang : « Je n’accepte pas l’idée du renoncement « 

    https://youtu.be/yKdIhs_ArkE

  • A ceux qui liront, l'oubli n'existe pas !

    « C’est l’alliance entre le trône et l’autel qui a permis la création de la France » (Carl Lang)

     

    Rédigé le Lundi 2 Avril 2018 à 11:17 | 0 commentaire(s)

     

    Voici la vidéo de l’intervention de Carl Lang, président du Parti de la France, lors de la Fête du Pays Réel organisée par CIVITAS.


     

     
     
  • Lu sur Synthèse Nationale

    Logo-LREM-noir.jpg

    Le billet de Patrick Parment

    Créer un parti politique de toute pièce, surtout quand on est devenu en l’espace d’une seule élection, le premier parti de France, pose plus de problèmes qu’il n’en résout. Venus d’horizons très différents, la République en marche (LREM) tient tout à la fois du melting pot politique et de l’auberge espagnole. Le patron furtif qu’est Christophe Castaner règne sur un mouvement dont il ne maîtrise pas l’encadrement pour la bonne raison qu’il n’est pas encadré. Ce qui revient à dire qu’il est difficile d’établir un semblant d’organigramme et que faute de connaître les cadres départementaux vraiment opérants, Castaner règne sur un monde d’incertitude.

    En veut-on quelques exemples ? En Loire-Atlantique on a assisté à quatre changement de référents depuis l’élection présidentielle. On a constaté la démission de référents dans le Tarn, les Pays de Loire, la Sarthe et dans l’Yonnne où la députée Michèle Crouzet (ex-UDI) est en froid depuis des mois avec le référent départemental Patrice-José Tampied-Azurza. Dans le Maine-et-Loire, l’investiture de l’ex LR Emmanuel Camus pour les élections sénatoriales et le choix comme référent par la direction parisienne (contre les deux tiers des adhérents) de Benjamin Kirschner, transfuge des jeunes de l’UDI et proche du député LREM Matthieu Orphelin, illustrent le malaise des militants.

    A Nice, Khaled Ben Abderrahmane, ex-PS, porte-parole d’En Marche! dans les Alpes-Maritimes, a signalé une subordination dela section locale à Christian Estrosi. Même doléances pour David Vidal-Ponsard, animateur du comité Pau-Béarn, qui, en claquant la porte avec 17 autres militants et en rejoignant Les Patriotes, a protesté contre la tutelle du MoDem dans son secteur.

    Comment interpréter, par ailleurs, la présence de François Blouvac aux côtés de Christophe Castaner ? Spécialiste du socialisme municipal, ancien collaborateur de Bertrand Delanoë à Paris et de Jean-Marc Ayrault à Nantes, la présence de Blouvac ne peut s’expliquer que dans la perspective des tractations avec les élus socialistes pour les prochaines élections municipales. Notons au passage que Christophe Castaner espère atterrir à Marseille à la faveur de la condamnation à trois ans d’inéligibilité de Dominique Tian, premier adjoint de Jean-Claude Gaudin, donné jusque-là comme potentiel successeur.

    Faute de pouvoir compter sur ses propres troupes, Christophe Castaner ne cesse de répéter qu’il faut travailler avec les président des régions de droite en vue des prochaines échéances. Et concernant les prochaines élections européennes, il espère constituer des listes élargies de Cohn-Bendit à Alain Juppé. Autrement dit, tout le spectre centriste puisque se sont déjà ralliés outre le Modem, la grande majorité des centristes, version UDI, et les dissidents des Républicains emmenés par Franck Riester.

    Face à l’opposition de Gérard Larcher et des francs-maçons de la Fraternelle parlementaire quant à la révision constitutionnelle via le Congrès, Emmanuel Macron envisage sérieusement d’avoir recours au référendum. Cette solution serait une manière de conforter sa posture gaullienne et de contourner les oppositions. D’autant que le Président a une autre idée derrière la tête. La révision adoptée, il s’agirait de l’appliquer immédiatement à l’Assemblée avec des législatives, désormais partiellement à la proportionnelle, et pour un effectif moins nombreux de députés, ce qui passerait par une dissolution. Politiquement, succéderait à l’ancienne majorité absolue LREM une coalition reposant sur différents groupes à l’Assemblée. En 2022, toujours selon ces scénario, Macron délesté de législatives déjà passées demanderait aux Français un nouveau bail de cinq ans à l’Élysée.

    Et voici comment court-circuiter la tambouille des partis politique. Le rêve de tout énarque ! Certes, ce n’est qu’un schéma théorique et l’on sait trop combien les prédictions en la matière sont hasardeuses. Les indicateurs sociaux ne sont pas au beau fixe, ça râle du haut en bas de l’échelle sociale, mais l’opposition de « droite » n’a pas dit son dernier mot. Si, à gauche, Mélenchon ne dépasse pas le stade de la figuration, que l’avenir du Front national est plus qu’incertain - mais pas mort -, en raison de la dévaluation de Marine Le Pen, Laurent Wauquiez a une carte à jouer mais son fusil n’est qu’à un coup. La politique en France, c’est quand même plus marrant que le Loto.

  • On a rien à dire, ils sont ici chez eux !

    Verdun (55) : ils s’introduisent dans un carmel pour convertir des religieuses à l’islam et perturbent les vêpres, ils sont relaxés

     

    Rédigé le Jeudi 29 Mars 2018 à 09:07 | 0 commentaire(s)

     

    DEUX HOMMES, ÂGÉS DE 26 ANS ET 28 ANS, S’ÉTAIENT INTRODUITS DANS UN CARMEL EN NOVEMBRE POUR DEMANDER AUX SŒURS CATHOLIQUES DE SE CONVERTIR, SANS QUOI ELLES IRAIENT EN ENFER.


    Le tribunal correctionnel de Verdun (Meuse) a relaxé mercredi deux hommes qui avaient exhorté les sœurs d’un carmel  à se convertir à l’islam lors d’un office.

    « Aucun lien ne peut être fait entre vos agissements et un acte terroriste. Les termes et expressions employés, s’ils ont pu perturber les religieuses, ne sont pas spécifiques à un discours radical, provocateur ou voulant faire peur à autrui », a exposé la présidente du tribunal.

    La magistrate a relevé l’altération du discernement au moment des faits des prévenus, souffrant de troubles psychiatriques. Le procureur avait requis dix mois de prison avec sursis à l’encontre des deux hommes, âgés de 26 ans et 28 ans, pour « les violences psychologiques » infligées aux carmélites.

    Le 10 novembre 2017, ils avaient sonné à la porte d’un carmel à Verdun pour « échanger sur la religion », ont-ils raconté. L’un deux avait expliqué à Sœur Marie-Josèphe que « la religion musulmane pouvait corriger ce que la religion chrétienne avait de faussé, selon lui », a-t-elle témoigné.

    « Il m’a dit deux fois que si je ne changeais pas, j’irais en enfer […] sans agressivité, mais avec une insistance répétitive », a-t-elle poursuivi. La religieuse aux cheveux blancs, qui a salué avec un grand sourire les prévenus à l’ouverture de l’audience, a affirmé ne pas avoir été impressionnée. « Ma foi chrétienne me dit qu’on ne va pas en enfer comme ça ! », s’est-elle exclamée.

    Les deux hommes avaient ensuite assisté aux vêpres dans la chapelle, déchaussés « par respect des lieux », ont-ils précisé. Ils avaient prié à voix haute, perturbant l’office.

    À la fin de l’office, « je me suis approché de Sœur Marie-Thérèse et je lui ai susurré à l’oreille :’Si vous ne vous convertissez pas, vous irez en enfer’», a relaté le plus âgé.

     

  • REINFO 26 mars 2018

    REINFO : le journal hebdomadaire

  • In Mémoriam

    Ce dimanche 11 mars, la liquidation de près de 50 ans de la vie politique de la Droite Nationale est actée.

    En dehors de quelques compagnons de route restés pour des raisons alimentaires, seuls 4 ou 5 historiques restent dans ce TITANIC qu'est maintenant le "Rassemblement National", qui se voudrait l'héritier le plus discret possible du FRONT NATIONAL.

    Un seul militant représente le pays réel du NORD, le plus peuplé des départements français en la personne de Philippe EYMERY. Et quel militant, c'est celui qui avait mené le combat dans le NORD pour faire disparaître le FRONT NATIONAL le 5 décembre 1998.

    Les candidats militants du NORD, une nouvelle fois sont jetés comme des malpropres, ce n'est pas la première fois depuis 2011.

    La vérité consiste à redire que STEEVE BRIOIS, actuel secrétaire général était pour sa part à la manœuvre dans le Pas de Calais.

    Ce que Bruno MEGRET n'a pas réussi, ses laudateurs de l'époque "DES COUCOUS" ont réalisé l'ANSCHLUSS parfait.

    Les choses sont enfin claires, les opportunistes ont pris d'assaut la maison nationale et l'ont vidé de toute sa substance.

    Les choses sont enfin claires, la liquidation du FRONT NATIONAL est actée, le Rassemblement National mis en place ne permettra pas d'oublier, de faire oublier les turpitudes des unes et des uns, au Parlement Européen et lors des campagnes électorales passées.

    Les choses sont enfin claires, à la fin d'un cycle de près de 50 ans, la justice va pouvoir se prononcer malgré les jérémiades des mis en cause. Attention aux manœuvres dilatoires tendant à ralentir les procédures en cours.

    Beaucoup d'accusations ont été portées, une mise en examen n'est pas une preuve de culpabilité.

     

     

     

  • REINFO 12 mars 2018

     
     

  • Des amateurs ! Depuis qu'on vous le dit.

    Le Front national ne pourra pas utiliser le nom "Rassemblement national"

     

    Rédigé le Lundi 12 Mars 2018 à 07:44 | 0 commentaire(s)

     

    Inimaginable. Alors que le Front national et sa présidente Marine Le Pen évoquaient depuis des semaines le Congrès de Lille qui s'est tenu ces 10 et 11 mars, ainsi que le changement de nom du parti d'extrême droite, la nouvelle appellation qui a été choisie... n'est pas disponible.


    En effet, immédiatement après la proposition de la candidate vaincue de la dernière présidentielle de rebaptiser le FN en "Rassemblement national", il est apparu que le nom avait déjà été déposé auprès de l'Institut national de la propriété intellectuelle. Et via un communiqué  diffusé sur Twitter ce dimanche, le propriétaire du nom a expliqué qu'il ne comptait absolument pas le céder au Front national.

     
  • LES LIQUIDATEURS !

    1972/2018 : LES INSTANCES 2018 DU DEFUNT FRONT NATIONAL


    Rédigé le Dimanche 11 Mars 2018 à 17:14 | 0 commentaire(s)

    Refondation ou enterrement ? Le Front national a vécu… Sa Présidente a tiré l’échelle ce week-end sur la formation politique dirigée par son père de 1972 à 2011.


    1972/2018 : LES INSTANCES 2018 DU DEFUNT FRONT NATIONAL

    BUREAU NATIONAL DU … ( ex Bureau Politique)

    11 mars 2018

    Louis ALIOT – Membre du Bureau Exécutif
    Député des Pyrénées-Orientales

    Jordan BARDELLA
    Conseiller régional d’Ile-de-France

    Nicolas BAY – Membre du Bureau Exécutif
    Député français au parlement européen

    Bruno BILDE – Membre du Bureau Exécutif
    Député du Pas-de-Calais

    Steeve BRIOIS – Vice-Président
    Maire de Hénin-Beaumont

    Sébastien CHENU – Membre du Bureau Exécutif
    Député du Nord

    Muriel COATIVY
    Conseiller régional de Rhône-Alpes-Auvergne

    Sandrine D’ANGIO
    Maire des 13 et 14ème arrondissements de Marseille

    Edwige DIAZ
    Conseiller régional de Nouvelle-Aquitaine

    Jean-Michel DUBOIS
    Conseiller régional d’Ile-de-France

    Huguette FATNA
    Conseiller régional d’Ile-de-France

    Bruno GOLLNISCH
    Député français au Parlement européen

    Catherine GRISET
    Chef de cabinet de Marine LE PEN

    Paul-Henry HANSEN-CATTA
    Conseiller régional des Hauts-de-France

    Laurent JACOBELLI
    Délégué national à la communication

    Jean-François JALKH – Membre du Bureau Exécutif
    Député français au Parlement européen

    Alain JAMET
    Membre fondateur du Front National

    France JAMET
    Député français au Parlement européen

    Virginie JORON
    Présidente du groupe FN au conseil régional du Grand Est

    Jean-Lin LACAPELLE
    Conseiller régional d’Ile-de-France

    Hélène LAPORTE
    Conseiller régional de Nouvelle-Aquitaine

    Thibaut de LA TOCNAYE
    Conseiller régional Provence-Alpes-Côte d’Azur

    Gilles LEBRETON
    Député français au Parlement européen

    Marine LE PEN – Présidente
    Député du Pas-de-Calais

    Joëlle MELIN
    Député français au Parlement européen

    Jean MESSIHA
    Porte-parole des Horaces

    Julien ODOUL
    Président du groupe FN au conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté

    Philippe OLIVIER
    Conseiller spécial de Marine LE PEN

    Ludovic PAJOT
    Député du Pas-de-Calais

    Mathilde PARIS
    Conseiller régional du Centre

    Gilles PENNELLE
    Conseiller régional de Bretagne

    Kévin PFEFFER
    Conseiller régional du Grand Est

    David RACHLINE – Membre du Bureau Exécutif
    Maire de Fréjus

    Stéphane RAVIER
    Sénateur

    Jérôme RIVIERE
    Ancien Député des Alpes-Maritimes

    Sophie ROBERT
    Conseillère régional Auvergne-Rhône-Alpes

    Wallerand de SAINT JUST – Trésorier
    Conseiller régional d’Ile-de-France

    Julien SANCHEZ
    Maire de Beaucaire

    Christopher SZCZUREK
    Conseiller départemental du Pas-de-Calais

    Philippe VARDON
    Conseiller régional Provence-Alpes-Côte d’Azur

    CONSEIL NATIONAL DU … (ex Comité Central)
    11 mars 2018

    Ont été élus :

    1 LOUIS ALIOT
    2 STEEVE BRIOIS
    3 NICOLAS BAY
    4 DAVID RACHLINE
    5 BRUNO GOLLNISCH
    6 JULIEN SANCHEZ
    7 STEPHANE RAVIER
    8 WALLERAND DE SAINT JUST
    9 SEBASTIEN CHENU
    10 MARIE CHRISTINE ARNAUTU
    11 BRUNO BILDE
    12 JEAN-LIN LACAPELLE
    13 JORDAN BARDELLA
    14 THIBAUT DE LA TOCNAYE
    15 BERNARD MONNOT
    16 GILLES PENNELLE
    17 JOELLE MELIN
    18 GAETAN DUSSAUSSAYE
    19 MYLENE TROSZCZYNSKI
    20 LUDOVIC PAJOT
    21 FABIEN ENGELMANN
    22 FRANCE JAMET
    23 PHILIPPE LOISEAU
    24 VALERIE LAUPIES
    25 CATHERINE GRISET
    26 JEAN-FRANCOIS JALKH
    27 THIERRY LEGIER
    28 OLIVIER MONTEIL
    29 CHRISTOPHER SZCZUREK
    30 GILLES LEBRETON
    31 FRANCK BRIFFAUT
    32 JULIA ABRAHAM
    33 EDWIGE DIAZ
    34 DOMINIQUE BILDE
    35 JEAN-MICHEL CADENAS
    36 PHILIPPE SANCHEZ
    37 AGNES MARION
    38 ELISABETH LALANNE DE HAUT
    39 HUGUETTE FATNA
    40 SABINE DE VILLEROCHE
    41 CHRISTOPHE BOUDOT
    42 MURIEL COATIVY
    43 ALAIN JAMET
    44 MARIE-HELENE DE LACOSTE LAREYMONDIE
    45 GONZAGUE MALHERBE
    46 MICHEL GUINIOT
    47 GILLES BALDACCHINO
    48 JEAN-MARC DE LACOSTE LAREYMONDIE
    49 SANDRINE LEROY
    50 SOPHIE ROBERT
    51 HERVE DE LEPINAU
    52 JEAN-CLAUDE PHILIPOT
    53 AUDREY GUIBERT
    54 ERIC DOMARD
    55 JACQUES COLOMBIER
    56 HERVE TOULZAC
    57 NATHALIE BETEGNIES
    58 GUILLAUME VOUZELAUD
    59 CHRISTELLE LECHEVALIER
    60 YOANN GILLET
    61 PHILIPPE VARDON
    62 JULIEN LEONARDELLI
    63 AMAURY NAVARRANE
    64 JULIE LECHANTEUX
    65 JEAN-PIERRE CHABRUT
    66 ETIENNE BOUSQUET CASSAGNE
    67 YVAN LAJEANNE
    68 SONIA LAUVARD
    69 COLINE HOUSSAYS
    70 LOUIS-ARMAND DE BEJARRY
    71 CATHERINE SALAGNAC
    72 JORIS HEBRARD
    73 ALAIN BREUIL
    74 ALAIN VIZIER
    75 THIERRY BESSON
    76 PHILIPPE EYMERY
    77 DOMINIQUE MARTIN
    78 NATHALIE PIGEOT
    79 BRUNO SUBTIL
    80 BLANCHE CHAUSSAT
    81 PASCAL FORT
    82 MARIE THOMAS DE MALEVILLE
    83 ALEXANDRA PIEL
    84 GEORGE MICHEL
    85 BERNARD MARANDAT
    86 ALINE BERTRAND
    87 CHRISTOPHE BARTHES
    88 LAURENT GUINIOT
    89 AGNES CAUDRON
    90 NATHALIE GERMAIN
    91 DORIAN MUNOZ
    92 JEAN LUC YELMA
    93 HELENE LAPORTE
    94 VIRGINE JORON
    95 DAMIEN MONCHAU
    96 NICOLE HUGON
    97 MANON BOUQUIN
    98 MURIELLE FIOL
    99 JEAN-RICHARD SULZER
    100 MARTINE CLEMENT LAUNAY

    Désignés par Marine Le Pen :

    GILBERT COLLARD
    SANDRINE D’ANGIO
    JEAN-MICHEL DUBOIS
    PAUL-HENRY HANSEN-CATTA
    LAURENT JACOBELLI
    PHILIPPE OLIVIER
    MATHILDE PARIS
    JEROME RIVIERE
    JEAN MESSIHA
    KEVIN PFEFFER
    JULIEN ODOUL
    ERIC MINARDI
    DENIS FRANCESKIN

    source : National-hebdo.net
    AURELIEN LEGRAND
    NICOLAS LESAGE
    CYRIL NAUTH
    PASCAL VERRELLE
    FRANCK ALLISIO
    AYMERIC DUROX
    PHILIPPE LOTTIAUX

  • Edito : Le grand soir !

    En attendant le grand soir

     

    Rédigé le Mercredi 7 Mars 2018 à 08:00 | 0 commentaire(s)

     

    En finir avec le modèle social (anti-)français.


    Postiers, SNCF, hôpitaux, CAF, etc. tous les politiques, y compris la candidate des patriotes lors de la dernière élection présidentielle, vantent, défendent, même lorsqu’ils affirment le réformer, le fameux modèle social français, tellement fameux que le monde entier nous l’envierait. Sauf que ce modèle social est un poison, un boulet poula France car contrairement à ce que les partisans de ce modèle affirment, il ne profite en rien aux Français…

     

    Bien au contraire, il grève d’impôts commerçants, artisans, chefs d’entreprise, il gèle la rémunération des salariés, il affaiblit les retraites, il diminue l’épargne… En effet, ce modèle – établi pour mieux répartir les richesses, mis en place pour aider précaires et nécessiteux à ne pas tomber dans la misère, conçu pour financer les services publics d’un Etat omnipotent plus efficace que le marché pour favoriser la solidarité et l’équilibre entre les territoires – n’est désormais qu’un gouffre des maigres richesses des Français, qu’un créateur d’une dette abyssale qui financent, à fonds perdus, la subversion migratoire dans des pans entiers de notre pays, sans parler de l’achat de clientèle électorale… 

     

    En effet ce fameux modèle ne se résume plus qu’en la fameuse politique de Vile qui a déversé des millions et des millions d’euros dans les quartiers de l’immigration et ce pour rien, au détriment de cette France rurale de plus en plus en périphérique, qui vide les écoles rurales au bénéfice des immigrés et pour un résultat qui sera bien entendu nul… 

     

    Ce modèle social crée aussi des comportements d’assistés qui ne comprennent pas pourquoi ils n’auraient pas autant que les immigrés qui reçoivent sans rien faire, qui encourage la triche et le mensonge pour obtenir des prestations, qui met à mal la natalité française, per exemple, en considérant que les familles françaises qui ont les moyens doivent recevoir moins voire plus du tout d’allocations et ce aux bénéfices des familles immigrées ou d’origine immigrée.

     

    Ce modèle est donc devenu parfaitement injuste et anti-français.

     

    Pour autant, il ne faut pas supprimer toute forme de solidarité publique qui passerait par l’impôt, mais il s’agit de fermer les vannes de financement de la substitution de notre peuple, de mettre fin aux logiques clientélistes des élus pro-immigration – qu’ils soient de droite ou de gauche –, de ne plus ériger le poison de l’assistanat comme modèle de société, de permettre, par le principe de subsidiarité, aux familles d’assurer la protection de leurs membres.

     

    Oui, si la droite nationale veut être populaire et sociale, elle doit dénoncer ce modèle social anti-français et mettre en place de nouvelles solidarités au profit de notre peuple.

     

    Arnaud Malnuit

  • A ceux qui liront, l'oubli n'existe pas !

    Fils de la nation – Mémoires de Jean-Marie Le Pen

     

    Rédigé le Vendredi 2 Mars 2018 à 09:25 | 0 commentaire(s)

     

    Achetez le premier volet des Mémoires de Jean-Marie LEPEN, à paraître le 28 février 2018, en précommande dès aujourd’hui sur le site les4vérités. FRAIS DE PORT OFFERTS jusqu’au 31/03/2018

    Résumé :


    «  Mes grands-parents ne savaient pas lire mais surent donner une vie décente à leurs enfants. Ma paysanne de mère était élégante et fière, mon père, patron pêcheur taciturne, avait navigué pendant la Grande guerre, à treize ans, mousse sur un cap-hornier, ces cathédrales de toile et de bois qui affrontaient les quarantièmes rugissants. A la maison, il n’y avait pas l’eau courante mais on aimait sa famille, son pays et Dieu – et la Bretagne aussi, avec ses îles, ses navires. L’instituteur et le curé nous apprenaient à les chanter ensemble. En somme, j’étais un petit Breton heureux dans la grande France.
    Puis vint la Seconde guerre mondiale. Le père est mort, la France était blessée, des curés m’ont dégoûté de Dieu. C’est alors que j’ai découvert la folie des hommes, Paris, l’université, l’Indochine, l’Assemblée nationale, l’Algérie. J’eus une épouse et des filles. La vie s’offrait, tantôt magnifique, tantôt désolante. Le petit Breton avait grandi, la France rapetissé. Pour la relever, j’ai choisi le combat politique.  »

    https://www.les4verites.com/produit/fils-de-nation?ref=2340366695
  • A ceux qui liront, avant le Congrès de la soi disant refondation du FN.

    Trop de démocratie, tue la démocratie.

    TOUS les politiques qui veulent se faire élire ont un devoir : les yeux dans les yeux, ils doivent dire la vérité, pas leur vérité.

    Personne ne peut plus rien cacher sur un parcours politique, professionnel ou personnel.

    Le poids d'internet, des réseaux sociaux, dévoile à vie les réalités individuelles.

    Pas vu, pas pris, c'est fini. Il n'y a plus d'oubli, ni d'effacement de parcours.

    Par curiosité, j'ai parcouru, sur le site du FN, la liste des quelque 400 candidats et leurs profession de foi.

    Peut-on rire de tout, comme le dit un humoriste célèbre dans son one man show.

    Un certain nombre de candidats au Comité Central du 16ème Congrès du Front National résiduel, font des impasses substentielles sur leur parcours professionnel, comme politique.  

    C'est vrai qu'ils ont comme modèles des Aurore BERGE, des Gérald DARMANIN, des Bruno LEMAIRE, des Edouard PHILIPPE, sans compter les déserteurs et renégats du PS qui veulent donner des leçons à la FRANCE.

    Judas une fois, Judas toujours.

    Des candidats au nouveau Comité Central du FN veulent qu'on oublie leurs trahisons de la Droite Nationale, comme si le fait d'avoir suivi Bruno MEGRET en 1998 était à oublier.

    Certains devraient savoir que les archives, type "Enfants de la Télé", ont laissé des traces indélébiles.

    Fidèle aux idéaux de la Droite Nationale, Sociale et Populaire, je crois avoir le droit d'ouvrir les yeux de celles et ceux qui voteront lors du Congrès, j'ai quand même 25 années de militantisme, 20 ans de secrétariat fédéral, 18 années irréprochables de mandat régional.

    Ces traitres ont des noms : Steeve BRIOIS, Bruno BILDE, Philippe EYMERY, Nicolas BAY et quelques autres.

    Toute honte bue, ils se présentent à vos suffrages.

    Ils défendent une ligne qui n'a rien à voir avec les traditions nationales.

    En fait ce sont des arrivistes carriéristes.

    Ce sont les fossoyeurs des idées nationales, ils vont tuer le FRONT NATIONAL. 

    Avec beaucoup d'anciens militants et cadres du Front National, des écartés ou des exclus par la volonté d'une soi disant présidente, qui se veut à vie comme tous les dictateurs, nous sommes déterminés à accueillir toutes celles et tous ceux qui comprendront que le Parti de la FRANCE est la seule structure politique capable de redonner l'espoir aux français.