Débarquement de clandestins : une magistrature de collaboration
En remettant en liberté, pour d'obscurs vices de procédure, la quasi-totalité des 123 clandestins kurdes qui ont débarqué illégalement en Corse le vendredi 22 janvier, certains magistrats démontrent une fois de plus leur complicité active et militante avec l'immigration clandestine.
Il ne fait aucun doute que cette décision judiciaire, qui est un formidable appel d'air à destination de tous les candidats potentiels à l'immigration est avant tout politique.
Monsieur Besson devrait parler moins et agir plus.
Les Français n'attendent pas de leur gouvernement qu'il débatte à n'en plus finir de leur identité nationale mais qu'il la défende en mettant un terme au processus de colonisation qui détruit la France.
Le Parti de la France est favorable à une législation sans faille en matière d'immigration afin d'éviter toute interprétation judiciaire spécieuse et partisane.
La lutte contre la colonisation doit être une priorité nationale.