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Dernière ligne avant le verdict du 15 janvier 2011

A la veille du dernier congrès du FRONT NATIONAL, qui se tient à TOURS ce prochain week-end, congrès qui choisira qui de BRUNO ou MARINE aura la lourde charge de conduire ce qui reste de la grande famille nationale, je tiens à rééditer une note d'avril 2008.

En effet, la solution finale approche :

Ou BRUNO devient le nouveau PRESIDENT de FRONT NATIONAL, alors on peut de nouveau rêver au "GRAND RASSEMBLEMENT"

Ou MARINE le devance, alors la marginalisation de l'appareil de FRONT NATIONAL, sa faillite financière sera consommée.

Celles et ceux qui n'ont pas encore voté savent ce qu'elles, ou ils doivent faire, choisir BRUNO.

Si l'élection (dans des circonstances douteuses) de MARINE était confirmée, elles et ils savent que d'authentiques militants nationaux n'ont pas baissé les bras.

Allez ! quelques heures et on saura, on pourra prendre les bonnes décisions, en particulier électorales. 

 

"J'ai reçu un commentaire concernant la note "Paroles, paroles, encore des paroles", j'ai décidé de le publier en temps que tel.

Je rappelle que je me veux un homme libre.

Il me paraît évident qu'actuellement, personne, ni au Front, ni ailleurs, ne détient les clés de l'avenir.

Ce qui me semble évident, c'est que Sarkozy va droit dans le mur sur beaucoup de sujets évoqués dans ce commentaire.

Je viens de vivre une aventure exaltante ces 20 dernières années, et comme je l'ai écrit, je ne regrette rien.

Mais je ne suis pas prêt pour une aventure groupusculaire.

Quand j'ai adhéré au Front, c'est que j'avais la conviction qu'il n'était pas, ou plus, un groupuscule.

Se faire plaisir, c'est facile, rassembler les bonnes volontés, toutes les bonnes volontés, sans exclusives ni exclusions, gérer un PARTI (localement) c'est autre chose, et ça je sais de quoi je parle.

Quand j'émets des critiques, sans passer par les médias, c'est que j'ai la certitude que nous avons gagné le combat des idées, malheureusement nous perdons actuellement le combat des hommes.

Chacune ou chacun marque l'autre à la culotte sur ses ambitions, ses emplois du temps: dans le Hainaut ça a débuté le 12 octobre 2007.

Vite changeons certaines habitudes, retroussons nos manches, le problème, c'est que personnellement je n'ai pas la solution et que certains veulent imposer leurs points de vues avec l'utilisation de domestiques incapables et cireurs de pompes.

Tous ceux qui ont des compétences (dans leur domaine) sont impitoyablement écartés, car dangereux, parce qu'ils savent réfléchir, entreprendre et réussir.

Dominique SLABOLEPSZY, ancien secrétaire départemental du Hainaut de 1987 à 2007."

Commentaires

  • L'ABSENT DU HAINAUT ET AUSSI L'ABSENT DU CARRÉ

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