UA-64751344-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Tour de chauffe !!!!!

SLABO, le retour ?

Encore quelques heures et la campagne pour les cantonales sera presque bouclée.

Pendant que le "coucou parachuté" pédalait dans la choucroûte avec des ratées dans l'obtention de ses documents électoraux, tracts, documents électoraux et affiches, (faut pas rire, c'est vrai), je visitais les électrices et les électeurs du canton de VALENCIENNES-NORD, celui où je travaille (encore), celui où j'habite et celui où je vote toujours.

A ce stade, j'ai deux voix d'avance sur le "COUCOU".

En effet, j'ai "toqué" à la porte des plus de 8000 habitations sur les 9000 logements individuels du canton, le "m'as-tu vu lillois" jouait les absents, comme à son habitude.

J'ai, hélàs, fait chou blanc dans les immeubles collectifs vérouillés à cause de la délinquance galopante touchant nos communes du Valenciennois.

Dans une commune, des voyous se sont acharnés sur mes malheureuses affiches indiquant "VOTEZ SLABO", il faut croire que ces délinquants ont peur du "RETOUR", ou que je gêne le branquignol lillois.

Quelle n'est pas ma surprise de voir que la photo de l'héritiaire est affichée à la place de celle de certains candidats, auraient-ils honte de leur candidature, ou ont-ils été piégé par un "COUCOU" hâbleur et  beau parleur.

Tout ça n'est que péripéties, mais qu'est-ce qu'on se marre.

De plus, ce n'est pas deux, mais cinq passages dans la Voix du Nord et un tiers de page dans l'Observateur du Valenciennois et une polémique avec l'UMPS sur le soutien de Serge THOMES à un candidat divers droite de nos amis dans un canton où le candidat officiel de l'héritiaire refuse obstinément une rencontre avec les journalistes, bizarre, vous avez dit bizarre !

Comte tenu de l'ambiance actuelle, mon souhait est de collecter au moins un % des suffrages des électrices et des électeurs de mon canton, à partir de cinq j'aurai déjà mis de côté de quoi financer les législatives de 2012.

Une chose est certaine, je n'aurai pas de dette, les huissiers de l'URSSAF ne me réclamerons pas les 200.000 euros que d'autres lui doivent.

A dimanche soir, 20 mars 2011. 

L'espoir fait vivre, l'espoir donne des forces.

Les commentaires sont fermés.