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Les vacances ! pour qui ?

Avec Valls à l’Intérieur la France est en état d’invasion libre !

Éditorial du dernier Rivarol de l’année scolaire :
Il n’a pas fallu attendre longtemps pour que la gauche de retour au pouvoir manifeste haut et fort son immigrationnisme hystérique. Dès le 25 juillet le ministre de l’Intérieur Manuel Valls, que certains imbéciles croient être un homme de droite et le ministre le moins gauchiste du gouvernement Ayrault, s’est démarqué de son prédécesseur Claude Guéant sur l’immigration, annonçant sa décision de ne pas appliquer les nouveaux critères de naturalisation et de mettre fin au pouvoir discrétionnaire de l’adminisration en matière de régularisations. Intervenant devant la commission des Lois du Sénat, le ministre qui n’a la nationalité française que depuis 1983, ce qui ne l’habilite guère à défendre les intérêts de la France et des Français d’abord, a également écarté l’hypothèse d’un rétablissement du contrôle aux frontières pour lutter contre une «  Europe passoire » comme l’avait promis Nicolas Sarkozy lors de la campagne présidentielle. « Je suis très attaché au principe de libre circulation et je serai très scrupuleux quant à la préservation de l’acquis Schengen. Je refuse la fermeture unilatérale des frontières », a déclaré Valls, en précisant que « tout doit être décidé par le Conseil, sur proposition de la Commission ». Quand on connaît l’immigrationnisme forcené de la Commission de Bruxelles, il n’y a certes pas de quoi être rassuré.

Par ailleurs, toujours dans la même veine, un projet de loi présenté à l’automne va « mettre fin au “délit de solidarité” qui permet de poursuivre l’aide désintéressée apportée à des étrangers en situation irrégulière, sur la même base juridique utilisée pour les filières criminelles d’immigration ». Des militants de défense des immigrés “sans-papiers”, notamment dans le Pas-de-Calais, avaient été poursuivis en justice pour avoir favorisé l’installation chez nous de ces délinquants mais, rassurez-vous, ils n’avaient pas été lourdement condamnés ! Le député UMP Eric Ciotti a affirmé le 30 juillet sur Europe 1 que Manuel Valls était « de façon un peu détournée, en train de modifier profondément la politique d’immigration », évoquant « un effondrement de près de la moitié du nombre de reconduites à la frontière » depuis mai. Le directeur de la campagne de François Fillon pour la présidence de l’UMP a réclamé un débat à l’Assemblée nationale sur la modification des critères de naturalisation prônée par le ministre de l’Intérieur. « Il n’y a pas de débat à l’Assemblée nationale, il ne remet pas en cause de façon directe les lois que nous avons votées, il procède par circulaires, par annonces, il y a des instructions qui sont données qui, manifestement, sont beaucoup plus laxistes. Il y a une politique très laxiste en matière d’immigration régulière, on a rouvert de manière dangereuse les vannes de l’immigration régulière, avec les nouvelles annonces, notamment sur les étudiants », a-t-il aussi critiqué. Certes, en disant cela, le député des Alpes-Maritimes entend défendre la politique d’immigration de Nicolas Sarkozy dont les rivaroliens savent qu’elle n’était nullement satisfaisante (l’on se souvient des discours sur la discrimination positive, les quotas d’immigrés et l’immigration choisie qui s’ajoute de fait à l’immigration subie). Reste que le retour de la gauche au pouvoir aggrave considérablement les mesures en faveur de l’immigration de masse, de l’invasion et de la colonisation de notre pays.

Enfin Manuel Valls a annoncé le 31 juillet pour la fin octobre un projet de loi visant à permettre la rétention administrative pendant douze heures (seulement !) des immigrés clandestins, en réponse à la fin de la garde à vue pour les “sans-papiers” ordonnée par la Cour de cassation. Le 5 juillet, la juridiction suprême a en effet décidé que conformément à la législation européenne, très laxiste en la matière, il était désormais illégal de placer des clandestins en garde à vue (24 heures renouvelables une fois), pour le seul motif de séjour irrégulier. Les policiers ne disposaient donc plus que des quatre heures d’un contrôle d’identité ou d’une audition libre pour engager la procédure préalable à une éventuelle expulsion. Cette décision de la Cour de cassation concernait 60 000 personnes par an, selon les associations de défense des immigrés clandestins. Proposer une rétention administrative de douze heures est se moquer du monde. Ce délai est en effet beaucoup trop bref pour connaître l’identité, l’origine, la situation et les motivations du clandestin.

source : http://www.contre-info.com/avec-valls-a-l%e2%80%99interieur-la-france-est-en-etat-d%e2%80%99invasion-libre

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