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  • Corrèze emblématique

    Marie-Thérèse Roche, nouvelle Chargée de mission du Parti de la France pour la Corrèze

    Rédigé le Vendredi 29 Mai 2015 à 09:24 | 1 commentaire(s)

     

    Marie-Thérèse Roche (mariée, un enfant), 63 ans, consultante emploi/formation, est la nouvelle Chargée de mission du Parti de la France pour le département de la Corrèze.


    Marie-Thérèse Roche, nouvelle Chargée de mission du Parti de la France pour la Corrèze
    Cette fervente catholique, membre de l'Institut Civitas, ne se retrouvait plus dans la ligne politique du néo-Front National dont elle était la secrétaire départementale adjointe.

    Marie-Thérèse Roche aura en charge d'animer les activités militantes du PdF en Corrèze. Pour la contacter : 06.81.99.87.58  ou mtroche19@orange.fr

     
  • Encore merci, José

     

    Le parjure, la trahison et la honte

     

    « L’Histoire brûle les hommes. Après, il faut recueillir les cendres et raconter » (Commandant Hélie Denoix de Saint-Marc – « Les champs de braises »)

     

                Du navire bondé de légionnaires et de parachutistes, en cet automne 1954, un haut-parleur annonça que l’on apercevait les côtes de France. Bientôt le port de Marseille fut en vue. Mal réveillés, ils montèrent tous sur le pont, serrés les uns contre les autres, appuyés à la rambarde. Le paradis dont ils avaient tellement rêvé dans les camps de prisonniers du Vietminh approchait lentement et déjà ils n’en voulaient plus. Ils rêvaient à un autre paradis perdu, l’Indochine… terre qui avait bu, plus qu’aucune autre leur sang. C’est à elle qu’ils pensaient tous à présent. Ils n’étaient pas les fils douloureux qui s’en revenaient chez eux pour faire panser leurs blessures, mais des étrangers. En eux remontaient des aigreurs.

                Ils se souvenaient avec colère et amertume de ces tonnes de médicaments régulièrement adressées au Vietminh par l’Union des Femmes Françaises (1) et leur indignation ne résultait pas de ce que l’ennemi recevait de la Métropole des colis de pénicilline, mais du fait que chaque jour des soldats français mouraient faute d’en posséder…

                En 1950, à Orange, un train de blessés d’Extrême-Orient avait été arrêté par des communistes qui avaient injurié et frappé ces hommes sur leurs civières. Un hôpital parisien qui demandait du sang pour les transfusions sanguines spécifiait que ce sang ne servirait pas pour les blessés d’Indochine. On avait refusé à Marseille, dont ils apercevaient maintenant Notre-Dame de la Garde, de débarquer les cercueils des morts…

    On les avait abandonnés, comme ces mercenaires soudains inutiles que Carthage avait fait massacrer pour ne pas payer leur solde.

    Des souvenirs terribles les hantaient… Ceux de ces partisans qu’ils avaient juré de ne jamais abandonner… Et parmi eux, la vision de ce vieux chef guerrier qui avait rallié sous le drapeau tricolore dix mille de ses hommes… alors que Diên-Biên-Phu était tombée et que tout allait mal dans le delta tonkinois. Il avait alors demandé aux officiers français s’il était vrai que la France allait livrer le Tonkin au Vietminh car rien n’avait été prévu pour replier ses partisans et leurs familles. Les divisions viets déferlaient sur le Delta. Le système de défense cédait peu à peu. Tout reposait sur ce vieux chef et sur ses hommes qui, connaissant admirablement le terrain, étaient à même de repousser mieux que quiconque les assauts des communistes.

                Alors les officiers français lui mentirent et lui assurèrent que jamais ils ne le laisseraient tomber. Il eut foi en leur parole. Ses partisans restèrent à leur poste et continuèrent à se battre jusqu’au bout alors qu’ils étaient submergés. Pendant ce temps l’armée française prépara la défense de Hanoi et de Haiphong et elle n’évacua personne. Le vieux chef fut pris par les communistes. Ils le torturèrent jusqu’à ce qu’il agonisât puis ils lui tranchèrent la tête. Les survivants parmi ses partisans subirent le même sort…

                Et, le visage tendu, les mâchoires crispées, ils se souvenaient aussi de tous ceux à qui ils avaient affirmé qu’ils resteraient toujours et en particulier les catholiques… Ils essayaient de gagner à la nage les bateaux en partance pour la France… Combien de ceux-là périrent noyés ?

                Plus tard, ces visions de cauchemar hanteront de nouveau ces hommes-là… Eux, les anciens d’Indochine, eux, les officiers qui représentaient la France dans ce pays, l’Indochine, ils la burent jusqu’à la lie. Ils connurent la défaite et l’abandon. Leur parole qui était celle de la France, ils la renièrent mille fois dans cette guerre et ils en étaient couverts de honte. Les images qui s’entrechoquaient dans leur mémoire les harcelaient sans trêve… Des familles entières menacées d’extermination par le Vietminh s’accrochaient désespérément aux ridelles des camions et, à bout de force, tombaient en pleurant dans la poussière de la route. Sept ans plus tard, ces mêmes visions apocalyptiques ressurgiront quand l’armée française abandonnera dans la honte et le déshonneur les Musulmans fidèles à la France.

    Le Commandant Hélie Denoix de Saint-Marc écrira dans « Les champs de braises » : « La plupart des Vietnamiens ne disent rien. Ils nous regardent simplement. Nous avons honte. Ils nous auraient tués à ce moment-là que nous aurions trouvé cela juste. L’un d’eux me dit : « Alors, mon capitaine, vous nous laissez tomber ? » Je ne réponds rien ! » … « Les centaines d’hommes et de femmes à qui, au nom de mon pays et en mon nom, j’avais demandé un engagement au péril de leur vie, nous les avons abandonnés en deux heures. Nous avons pris la fuite comme des malfrats. Ils ont été assassinés à cause de nous »…

                Sur cette tragédie –conséquence à ses yeux d’un parjure- qui le traumatisera jusqu’à la fin de ses jours, il ajoutera : « La simple évocation de ces souvenirs suffit, cinquante ans après, à troubler mon regard et faire trembler ma main. »

    Une fois la victoire acquise, les communistes lamineront le pays, faisant la chasse aux « collaborateurs », c'est-à-dire, ceux qui avaient pactisé avec les soldats français. Pour eux, point de pitié. Une mort atroce les attendait…

    Alors, quand en Algérie, le même processus s’engagera ; quand les officiers français se retrouveront coincés dans le même système, quand les harkis risqueront de connaître le même sort que leurs partisans indochinois… ils s’engageront… mais cette fois, personnellement, parce que le pouvoir sera trop faible, trop lâche pour tenir ses engagements. Après, plus question de partir, ce sera terminé pour eux. Ce ne sera plus la parole de la France ; ce sera la leur ! Et pour beaucoup de soldats, ce sera un engagement solennel : « La mort plutôt que le déshonneur ».

    … Et c’est cet engagement qui poussera à la révolte, en avril 1961, des soldats valeureux refusant le parjure, la trahison et la honte. Ils abandonneront ainsi leurs uniformes, sacrifieront leur carrière, seront séparés de leur famille parfois durant de longues années, connaîtront la prison, l’exil, le sarcasme de leurs vainqueurs et de ceux qui n’avaient pas osé, des poltrons, des lâches et des traîtres pour être restés fidèles à leur serment et à leur idéal.

    Le temps passera, l’oubli viendra, les légendes fleuriront, mais jamais assez l’Histoire ne mesurera la grandeur de leur sacrifice.

     

    José CASTANO

    Courriel : joseph.castano0508@orange.fr

     

    (1) – Issue des comités féminins de la Résistance, l'Union des Femmes Françaises est créée par un congrès le 21 décembre 1944. Elle se révèle rapidement liée au Parti communiste français, sous la houlette de Jeannette Vermeersch, qui en fait pendant les années de guerre froide, une organisation communiste de masse. Elle se retrouve notamment impliquée dans des actes de sabotages et de découragement à l'encontre des soldats français lors de la guerre d'Indochine.

    L'Union des femmes françaises devient Femmes solidaires en 1998

  • NON au socialisme !

    Les enseignants : nouveaux dindons de la farce socialiste

    Rédigé le Vendredi 22 Mai 2015 à 08:11 | 0 commentaire(s)

     

    Véronique Bouzou Boulevard Voltaire.

    Le décret de la réforme du collège publié en catimini durant la nuit, quelques heures à peine après la grève des professeurs, traduit une fois de plus le mépris du gouvernement socialiste à l’égard des enseignants.


    Les enseignants : nouveaux dindons de la farce socialiste

    Rien d’étonnant, néanmoins, de la part d’un exécutif responsable d’un accouchement au forceps des rythmes scolaires à l’école primaire ! Rien d’étonnant quand on connaît la mauvaise foi des apôtres socialistes de cette réforme du collège – que je qualifierai pour ma part de projet nuisible – qui considèrent qu’eux seuls sont du côté du progrès, qu’eux seuls œuvrent pour la « réussite de tous les élèves ». 
     

    Au mieux, les caciques du PS jugent comme des abrutis ceux qui s’opposent à la vertu de cette « réussite pour tous » (en réalité un échec pour le plus grand nombre et un égalitarisme néfaste à l’élitisme républicain). Au pire, ils les discréditent en les qualifiant de vilains réactionnaires préoccupés par le seul devenir des élites. Rien ne les arrête, ces « progressistes » autoproclamés – des apprentis sorciers, devrais-je dire – pour faire montre de pédagogie et expliquer aux enseignants et aux parents d’élèves le bien-fondé d’un projet qu’ils sont bien les seuls à défendre contre un bon nombre de philosophes, d’historiens et même d’enseignants !
     

    Car même si la grève des professeurs n’a pas obtenu le succès escompté (27,6 % des enseignants dans les collèges publics, selon le ministère, 50 %, d’après les syndicats), cela ne veut pas dire pour autant que les professeurs applaudissent à tout rompre leur ministre. Pour quelle raison, alors, le gouvernement socialiste prend-il le risque de faire passer une réforme impopulaire auprès du corps enseignant ? Ces derniers auraient-il réagi plus vigoureusement si un gouvernement de droite avait tenté le même passage en force ? Peu probable…

    Alors, quoi ? Certains professeurs dépités sont plus ou moins conscients qu’ils ne seront pas entendus. Inutile, donc, d’offrir une journée de grève à l’État. D’autres, sceptiques, restent encore dans le flou et se disent qu’ils pourront, le moment venu, adapter la réforme et rester libres de leur pédagogie. D’autres, encore, se refusent à croire que ce qui vient de la gauche peut être néfaste. N’ont-ils pas toujours cru – à défaut de voter – à cette gauche qu’ils idéalisent ?
     

    Mais le PS croit-il encore aux enseignants ? Ne préfère-t-il pas aux classes moyennes laborieuses les « minorités visibles » qui constituent son nouvel électorat ? La réforme du collège se fera donc « quoi qu’il arrive » (dixit Valls), et tant pis si les profs sont mécontents…
    source boulevard voltaire via :
    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Nouvelle-Calédonie, je connais.

     

    8000 personnes manifestent pour la Calédonie dans la France à Nouméa

    • Elif Kayi (avec Angélique Souche)
    • Publié le 24/04/2015 | 17:16, mis à jour le 24/04/2015 | 17:52

    Entre 8.000 et 10.000 personnes ont manifesté vendredi à Nouméa, pour le maintien de la Nouvelle-Calédonie dans la France. Elles répondaient à l'appel lancé par plusieurs partis non-indépendantistes.  

    Image de la manifestation du 24 avril 2015 © NC1ère
    © NC1ère Image de la manifestation du 24 avril 2015
     
    8.200 personnes selon les estimations du Haut-Commissariat - plus de 10.000 pour les organisateurs -, avaient répondu présentes à la manifestation de vendredi midi, pour le maintien de la Nouvelle-Calédonie dans la France.
     
    Le Front pour l’Unité (FPU), qui était un des initiateurs de la manifestation aux côtés de l’Union pour la Calédonie dans la France (UCF), était absent au discours du président de l’Assemblée nationale, Claude Bartolone, au Congrès, préférant rester à la manifestation qui s’est déroulée au centre-ville de Nouméa, près du Congrès et du Haut-Commissariat. 
     
    « Non au largage de la Nouvelle-Calédonie », « Non à la marche vers l’indépendance » ou « Non à l’apartheid électoral », peut-on lire sur les banderoles portées par les manifestants.   
     
    Une même volonté exprimée par les manifestants : restez Français et dire non à l’indépendance. Un autre sujet est sur toutes les lèvres : être né ici et avoir le droit de voter ici. La question du droit de vote est en effet une préoccupation majeure chez les manifestants. 
     
    « Je suis de la cinquième génération ici », commente Steve. « Je pense à toute la génération qui n’a pas pu voter en 1998, qui a plus de dix-huit ans maintenant. Je ne vois pas pourquoi ces gens-là devraient effectuer toutes les démarches qui vont sans doute être très lourdes ». 
     
    « Je suis là aussi pour dire non à l’indépendance », poursuit-il. « Parce que c’est mon pays et j’en suis fier, et je ne me vois pas vivre ailleurs ».
     
    Pour de nombreux participants, cette manifestation ne doit pas rester la dernière et beaucoup se disent prêts à redescendre dans la rue si il le faut.   
     
    « Je pense qu’il faut continuer », insiste une autre participante. « Il y a une pétition qui circule sur Internet, il faudrait que tout le monde aille la signer ». 
     
    Certains se montrent toutefois un peu plus pessimistes quant aux chances de faire entendre leur voix. « Moi, je ne crois pas grand-chose », commente Guy, un autre manifestant. « Ce sont les députés qui vont voter. Alors, on est là mais je ne sais pas si le nombre de personnes avec un drapeau bleu, blanc, rouge va faire quelque chose ». 


     

  • Puisqu'on vous le dit !

    La crise au FN ne fait que commencer

    Rédigé le Mercredi 6 Mai 2015 à 07:56 | 0 commentaire(s)

     

    Lu dans Minute :


    "Où Marine Le Pen prend un grand risque, c’est si elle pense qu’en écartant Le Pen, elle va parachever son grand œuvre de dédiabolisation. La mise à l’écart de Jean-Marie Le Pen risque plutôt de produire l’effet inverse de celui recherché.


    La crise au FN ne fait que commencer
    Jusqu’alors, Marine Le Pen pouvait arguer de ses divergences avec le grand méchant Le Pen. Désormais, elle sera la cible. La volonté de diabolisation va se focaliser sur elle. Sur son entourage. Sur ses soutiens. Sur ses alliés. Jusqu’à ce que soient gommées toutes les aspérités.

    Selon un sondage BVA-Orange- iTélé publié samedi dernier, près d’un Français sur trois (32 %) souhaite que Marine Le Pen ait davantage d’influence dans la vie politique, son record dans ce baromètre. Oui mais cela, c’est avant. Avant que ne se déchaîne la nouvelle phase de la diabolisation qui va la viser directement et qui l’amènera inéluctablement à couper d’autres têtes. Le congrès par lequel le Front national opèrera sa mue s’annonce comme celui de toutes les espérances... et de tous les risques. Pour que l’opération soit crédible, il faut que le parti qui en sortira n’ait plus rien à voir avec le FN. Que les éléments dits « radicaux » n’y aient plus de responsabilités. Où le radicalisme des idées va-t-il commencer ? Marie-Christine Arnautu, seul membre de l’actuel bureau exécutif à avoir accompagné Le Pen au pied de la statue de Jeanne d’Arc, fera-t-elle partie de la prochaine direction ? Poser la question... Et ce n’est qu’un exemple. La crise au FN ne fait que commencer."
    Michel Janva
    Le salon beige

  • Juste retour des choses ?

    Jean-Marie Le Pen suspendu du FN : "J'ai honte que la présidente du parti porte mon nom"

    Rédigé le Mardi 5 Mai 2015 à 08:00 | 0 commentaire(s)

     

    Désormais suspendu de sa qualité d'adhérent, Jean-Marie Le Pen a dénoncé "une félonie" et s'en remet aux adhérents "indignés". Pas de couvre-feu au FN, les balles entre les deux camps continuent de siffler. Cette fois-ci c'est le président d'honneur, tout juste suspendu de sa qualité d'adhérent qui envoie un "Scud" de représailles à sa fille.


    Jean-Marie Le Pen suspendu du FN : "J'ai honte que la présidente du parti porte mon nom"
    "C'est une félonie. J'ai exprimé le souhait que Marine Le Pen me rende mon nom", a indiqué le co-fondateur du parti d'extrême-droite. Allez-vous entamer des recours juridiques contre les décisions prises par le bureau exécutif du Front national ? "Ils doivent s'attendre à tous les moyens", a-t-il poursuivi. 

    J'ai honte que la présidente du parti porte mon nom
    Jean-Marie Le Pen

    Invité d'Europe 1, le président d'honneur a déclaré avoir "honte que la présidente du FN porte mon nom". "Je souhaiterais d'ailleurs qu'elle le change le plus vite possible. Elle peut le faire en se mariant avec son concubin ou quelqu'un d'autre. Qu'elle fasse campagne sous le nom de Marine Aliot ou Marine Philippot, peux-être que ça marchera mieux, vu qu'elle traite son père et le président fondateur du Front national de manière scandaleuse."
    http://www.rtl.fr/actu/politique/j-m-le-pen-j-ai-honte-que-la-presidente-du-fn-porte-mon-nom-7777915660