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  • Voeux 2018

    Nous venons de vivre une année exceptionnelle, pas tellement agréable politiquement, mais ça on en a l'habitude.

    Election présidentielle tronquée, une élection de dupes, dans tous les sens du terme.

    Elections législatives, où les tenants de la France profonde et éternelle ont fait ce qu'ils pouvaient contre la dure loi de certaines réalités électorales et médiatiques.

    Pour ma part, j'ai pris mes responsabilités, comme beaucoup d'autres, à cette élection présidentielle, qui nous laisse un goût amer de frustration.

    Frustré aussi à l'occasion des législatives, où malgré l'engagement de nos amis, seuls 150 candidats furent en lice, dont une centaine qui se décident moins de 15 jours avant le dépôt des candidatures. La barre de 50 candidats à plus de 1% n'est pas atteinte. Ce sera pour les prochains scrutins.

    L'année qui vient, nous propose, normalement, d'être calme en terme de scrutins, élection européenne en vue pour juin 2019, mais avec quel mode de scrutin ? Seul Jupiter le sait, peut-être !

    Ce dernier mot de l'année qui s'achève me permets de souhaiter le meilleur à toutes celles et tous ceux qui me sont chers, mes enfants, leur familles, mes petits-enfants pour qui je continue de m'investir.

    De cette partie de France à 20.000 kms, la Nouvelle-Calédonie qui restera, quoi qu'il arrive Francophone, bonne année 2018 à toutes et tous.

    DADOU pour eux, SLABO pour les autres.

     

  • L'Avenir nous appartient toujours !

    CARL LANG son livre d’entretiens : UN CHEMIN DE RÉSISTANCE

     

    Rédigé le Jeudi 21 Décembre 2017 à 09:38 | 0 commentaire(s)

     

    Article de National-hebdo.net. Il n’est pas nécessaire d’espérer pour entreprendre, tel pourrait être le sous-titre du livre d’entretiens entre Carl Lang, Président du Parti de la France (PdF) et Jean-François Touzé. L’ex secrétaire général du Front national, qui a pris dès 2008 ses distances avec Marine Le Pen, y expose le sens de son engagement.


    Il y affirme qu’il est possible de faire renaître une véritable Droite nationale, sociale, populaire, identitaire et européenne capable de défendre la France et ses valeurs de civilisation, sans en dissimuler la difficulté, tant l’omniprésence du FN dans les médias et l’opinion occulte tout autre message.

    En prenant la tête du Front national, Marine Le Pen ambitionnait d’en faire un instrument pour sa conquête du pouvoir. On allait voir, ce qu’on allait voir ! Dehors les vieilles badernes, à commencer par son vieux père de Président d’Honneur, qui selon elle, prenait un malin plaisir à freiner son ascension grandiose. Las, trois fois hélas, que reste-t-il, six ans après de ce « désir d’avenir ». Peu de chose en vérité. Un groupe de parlementaires européens qui se délite au gré des ambitions des uns et des autres (Le point d’orgue pourrait être atteint, si d’aventure les députés du FPÖ décidaient, dans un souci de respectabilité, à quitter le groupe l’Europe des nations et des liberté après son entrée dans le gouvernement autrichien.).
    Un tiers des personnes élues aux municipales et régionales ont déjà mis les pouces ou scissionné mettant à mal la fameuse implantation synonyme, selon Marine Le Pen et son ex bras droit Philippot, de la professionnalisation du parti. A l’Assemblée, celle qui se voulait la principale opposante au macronisme en est encore à chercher sa place, si jamais, elle la trouve.
    Ne parlons même pas des affaires judiciaires, elles sont si nombreuses et variées, que même le Petit Poucet en perdrait son chemin. Quant aux finances : le congrès dit de la refondation et du changement de nom, il s’apparente plutôt à celui de la dernière chance avant le dépôt de bilan. La disparition du néo-FN, maintenant que Marine le Pen sait qu’elle ne sera jamais Présidente de la République, serait la meilleure des choses qui puisse arriver à la Droite national, si elle veut se relever du champs de ruines idéologiques où l’a laissée l’expérience Marine le Pen/Philippot. Il n’est pas nécessaire d’espérer pour entreprendre, c’est en quelque sorte le message que porte ce livre d’entretiens.

    UN CHEMIN DE RÉSISTANCE
    Carl Lang
    190 pages
    20,00 € (+ 4,00 € de port)
    Cahier photo
    Les Bouquins de Synthèse nationale
    ISBN 978-2-36798-043-0

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  • L'Envie d'avoir envie, merci FRED.

    www.youtube.com/watch?v=HayZLEv0AYI

    En décembre 2013, mon ami Frédéric DELPLACE m'a donné l'envie de continuer le combat national.

    Je venais de voir une émission ou Johnny interprétait son tube, celui que je préfère : l'envie.

    En cliquant sur le lien YouTube, vous comprendrez pourquoi, né le même mois, la même année que notre monstre sacré, j'ai décidé de participer aux municipales de 2014, et surtout participer aux élections suivantes dans mon valenciennois.

    Je remercie le BP du Parti de le France et son président, Carl LANG, de leur confiance.

    Dominique SLABOLEPSZY

  • Adieu l'ami !

    JOHNNY, UN HEROS ? AVEC MACRON ON EST TOUJOURS DANS L'OUTRANCE !

     

    Rédigé le Mercredi 6 Décembre 2017 à 21:32 | 0 commentaire(s)

     

    Le Président de la République a qualifié « de héros » mercredi 6 décembre depuis Alger où il se trouve en visite, l’immense vedette Johnny Hallyday, après l’annonce de sa disparition au terme d’une longue lutte contre le cancer. Non, notre Johnny national n’est pas un héros, c’est un monstre sacré du « showbiz », « l’idole des jeunes et des moins jeunes », un talentueux « rocker » qui a électrisé les foules pendant plusieurs décennies. Et nous ferons bien souvent appel à notre mémoire, pour fredonner une ou deux de ses chansons qui ont marqué notre temps.


    Mais un héros, c’est un Darnand, celui de 1940, pas de 1943, qui ramène sur son dos, depuis les lignes ennemies, le corps de son officier, c’est un passant qui sauve de la noyade un inconnu ou un pompier qui, se jetant dans les flammes pour en retirer une personne, fait honneur à sa devise, « sauver ou périr ». Emmanuel Macron cultive l’outrance verbale, comme le prouve, coïncidence, sa brutale analyse délivrée  aussi à Alger, lorsqu’il était candidat à la fonction présidentielle, qualifiant la colonisation française de « crime contre l’humanité ». Comme quoi des études très supérieures ne donnent pas forcément un bon brevet en sémantique.

    Certains ont même évoqué comme sépulture carrément, le…Panthéon ! Qu’un hommage national soit rendu à ce « gratte guitare » de génie, soit. Mais là encore, sachons mesure et raison garder. Et le signataire de ce court papier est d’autant plus à l’aise pour l’écrire qu’il se trouve qu’il était, naguère et jadis, il y a longtemps, au siècle dernier, en 1965, dans la même caserne d’Offenbourg (FFA) que le sergent Smet du 43 ème RBIma.

    Et je me souviens d’une folle soirée où, sur le plateau des couleurs, Johnny et Sylvie, hissés sur un châssis de VTT ou d’AMX, je ne sais plus, chantaient en duo devant un public fraternellement mêlé d’Allemands et de Français, de jeunes appelés et de cadres de carrière, képis ou bérets en bataille, bousculés par l’ardeur des spectateurs.

    C’est, je l’avoue, un souvenir inoubliable. Et, avec la mort du célèbre chanteur, avec la disparition du soldat Smet, c’est aussi, pour nous ses contemporains qui partagions les mêmes chambrées, les mêmes réfectoires, un peu à notre propre effacement auquel nous assistons.

    Soldat/guitariste Smet : « présent » !

     

     

    Jean-Claude ROLINAT