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  • Réinfo 18 juin, date historique s'il en est !

    Pour bien comprendre les arnaques des campagnes électorales et leur financement.

     
  • A mon ami Louis.

    Louis Noguès, maire PdF du Mans pendant quelques minutes !

    15 Juin 2018, 06:21am

    Publié par Thomas Joly

    Louis Noguès, Délégué départemental du Parti de la France pour la Sarthe et Conseiller municipal et communautaire du Mans, a présidé, en tant que doyen, la séance du 14 juin visant à élire un nouveau maire suite au décès de Jean-Claude Boulard dans l'exercice de son mandat.

    Dans son discours d'ouverture, Louis Noguès a rendu hommage à un adversaire politique respectable et toujours courtois mais a égratigné au passage l’inénarrable Marlène Schiappa.

    « L’élection du futur Maire de notre ville, et de son 1er adjoint, va bientôt s’ouvrir pour qu’un des nôtres soit le successeur de feu Jean-Claude BOULARD.

    Le bon usage est, comme vous venez de le faire, de rendre un juste hommage à celui qui vient de nous quitter et, bien qu’ayant des vues politiques différentes, d’exprimer ses mérites en-dehors de celles-ci, qui s’effacent donc.
     Ceci d’autant plus aisément que les mérites de Monsieur BOULARD étaient grands et partagés par le plus grand nombre des manceaux, puisque, réélu 3 fois il était donc Maire depuis 17 ans dans un contexte politique de plus en plus difficile par son instabilité.    

    Il était aussi Président de l’actuelle Métropole depuis 35 ans, sans doute un record de longévité difficile à égaler surtout quand on sait qu’à ses qualités relationnelles s’ajoutait son talent de gestionnaire.
    Chacun doit d’ailleurs se souvenir du plaisir justifié qu’il avait à nous rappeler chaque année qu’il nous présentait son x ème budget, un x évidemment considérable.
     
    Faut-il répéter les grandes réalisations du Tramway, du MMA qui redeviendra un emblème-phare de la ville, ou de cet ensemble immobilier où nous siégeons et de bien d’autres ? 
    Ou aussi toutes les interventions, visibles ou invisibles, qui ont été les siennes pour valoriser la Ville du MANS, témoins de l’ouvrage permanent du maître d’œuvre passionné qu’il était pour elle ?
    Il ne semble pas nécessaire, ici et maintenant, de les rappeler tant elles ont été bien exprimées depuis son départ car elles font l’unanimité.
     
    D’autant plus, qu’au-delà des faits et des chiffres, c’est l’ensemble des qualités personnelles de Jean-Claude BOULARD qui sont à retenir dans ses parcours de vie.
     
    Bien sûr, je ne rapporterai que quelques-unes d’entre elles, celles qui semblent les plus caractéristiques de sa personnalité et de son intelligence :
     
    - Enarque de formation, il n’était pas de ces promotions de ceux qui, hélas, s’imaginent tout savoir alors qu’ils « savent tout sur rien et rien sur tout ».Tout au contraire, on peut affirmer qu’il savait (presque) tout sur tout.
    Il possédait une culture classique complète et exceptionnelle parce qu’il l’avait faite sienne. Pensant par lui-même il ne lui était jamais nécessaire de citer un auteur pour étayer ou renforcer une argumentation.
    Une seule exception peut-être, et politique d’ailleurs, celle d’avoir cité une fois, le nom de Michel ROCARD, sans doute par l’amitié qui les liait.

    - Enfin, par sa loyauté, il ne s’est jamais abaissé à la médiocrité de traîner dans la boue des tribunaux un de ses conseillers. C’était là toute sa grandeur au contraire de ceux qui, pour arriver à leur fin, utilise tous les moyens que dicte leur haine.
    Parvenir fait de chaque arriviste qui est arrivé un … parvenu !

    Il avait donc retenu les meilleures leçons d’une bonne administration de toutes les institutions de l’Etat, de la commune de Saint Marceau jusqu’au plus haut sommet, celui du Conseil d’Etat. En parcourant, avec aisance et élégance, cette distance exceptionnelle entre ces deux pôles les plus éloignés d’un Etat, toujours sans se départir de la même et constante rigueur.

    Par ce parcours, celui de toute sa vie, il avait cultivé une grande capacité d’adaptation et de réalisme.
    Qu’il justifiait par le bon sens des gens de la Terre. 
    C’est-à-dire de savoir et pouvoir changer de stratégie selon les changements de circonstances.                      
    Concernant par exemple notre sécurité, avec la création de la Police Municipale, nécessaire pour compléter la défaillance d’un Etat mal géré quant aux effectifs et missions de la Police Nationale.
    Il pouvait même se mettre en péril en ajoutant la vidéo-surveillance, malgré l’opposition d’une partie de sa majorité.

    Il ne faut pas manquer de compléter cet essai sans citer tous ceux qui entouraient Jean-Claude BOULARD, ses nombreux collaborateurs qui ont été à l’image des qualités du maître qu’il était, naturellement : 
         - les plus proches, ceux de sa garde prétorienne, disciplinés et capables de le servir en tant que techniciens -de qualité,       plutôt qu’en tant que politiques politiciens empiétant sur son domaine très réservé …
         - tout l’ensemble du personnel de la Mairie et de la Métropole, sans exception, aussi remarquable que leur Maire ou leur Président.
           Sur ce dernier point, je ne manquerai pas de vous dire qu’aucun d’entre eux n’a manqué de tolérance, de respect et même de bienveillance envers notre opposition politique.

    Certes -et je reviens ici- inhabituelle pour quelques extrémistes qui osent la qualifier du même adjectif !
    Càd cette fameuse infinitésimale exception qui confirme la règle.
    A l’exemple du dernier Conseil fort bien conduit ‘’à la Boulard’’ par notre 1ère adjointe sauf à la fin, lors de l’intervention d’un des nôtres, sur la relation entre immigration et insécurité, avec le regrettable mépris des réalités -et de notre collègue par quelques-uns- ont démontré qu’il n’était pas possible de copier l’inimitable.
     
    Maintenant, nous entrons dans une nouvelle période peut-être difficile, celle de l’après-J-C BOULARD que son successeur ne devra sans doute pas copier (libre à lui) l’original étant toujours préféré à sa copie.
     
    A chacun de faire son meilleur choix, celui qui donnera à notre futur Maire une légitimité d’autant plus grande, qu’il n’aura pas été choisi ou imposé par son prédécesseur.
     
    Au contraire de certaines rumeurs qui, en 2020, et à tort chacun le sait, annonceraient alors une candidature d’une personne ou plus, choisie elle par l’ancien Maire !
    Je terminerai donc cet hommage par une phrase de Monsieur le Maire à l’adresse des colporteurs de ragots sociaux -qu’ils appellent et pensent être des réseaux sociaux- c’est-à-dire lors ma dernière conversation avec lui, à la fin de son dernier Conseil, au pied de cet escalier derrière vous, au sujet d’une personne dont j’ai oublié le nom mais qui pourrait me revenir en temps utile :  ‘’ Vous savez je me suis parfois trompé dans mes choix.’’
     
    Je vous remercie pour votre attention.
     
    Je déclare ouverte l’élection du Maire puis de son 1er adjoint ensuite, après mes chers collègues, vous avoir demandé lesquels d’entre vous veulent porter leur nom pour cette candidature. »

    Le socialiste Stéphane Le Foll a été élu maire et Président de Le Mans Métropole.

  • Et vous allez en baver !

    Danièle Obono : une bourgeoise chez Mélenchon

    Publié par Guy Jovelin le 13 juin 2018

    Rédigé par notre équipe le 12 juin 2018.

    Danièle Obono, une députée sans le sou

    Interviewée par Jean-Jacques Bourdin hier matin, la députée mélenchoniste Danièle Obono a réussi son exercice médiatique. En effet, son interview qui a enchaîné les clichés et les bêtises est finalement sortie de la triste norme politicienne habituelle. Obono a tiré la sonnette d’alarme en raison d’indemnités de député trop faibles ! On savait que les Français étaient dans la mouise, mais de là à ce que nos chers élus soient sans le sou !

    En Marche – Les Insoumis : même combat ? Alors que la presse tente de faire croire que Mélenchon est le premier des opposants à la politique macronienne, ses ouailles semblent avoir été rapidement contaminées par l’idéologie dominante sur les bancs de l’Assemblée. Le toujours plus de fric prévaut et fonctionne avec d’autant plus de facilités qu’il vient directement des impôts des Français. Ainsi l’ancienne bibliothécaire trotskiste, Danièle Obono, s’est émue de la situation intenable de ses collègues députés qui doivent se payer un toit à Paris pour pouvoir être présents sur les bancs de l’Assemblée la semaine.

    Députés – SDF : une même vie de misère

    « Vous voulez qu’on les loge où, les députés ? Ils pourraient avoir les moyens de se loger s’ils avaient une indemnité suffisante pour le faire ». La bombe est lancée par Danièle Obono. Les députés ne sont pas loin d’aller crécher dans des centres d’urgence faute de pouvoir se payer un logement dans une ville aussi chère que Paris. Que fait la mairie socialiste d’Anne Hidalgo ? Que fait l’Etat face à cette situation indécente qui plonge dans la misère l’élite de la France ? L’Etat ne donne que 7 209,74 euros bruts mensuels (au minimum) à chacun des députés. Une misère selon Obono qui est peut-être plus habituée à des sommes ronflantes avec son salaire de petite fonctionnaire et une thèse universitaire commencée en 2003 et qui attend toujours une conclusion…

    Rendez-vous compte ! L’indemnité de base n’est que de 5 599,80 euros, une indemnité de résidence de 167,99 euros est versée et une indemnité de fonction de seulement 1 441,95 euros est accordée. Comment vivre avec si peu ? Il est temps que les Français payent plus d’impôts pour que les députés puissent vivre décemment. Ce ne sont pas les 1 200 euros supplémentaires mensuels – justement pour louer un logement – que peuvent demander les députés non Franciliens qui vont changer la donne. Il leur faut un salaire décent et vite !

    Obono a vite compris le fonctionnement de la machine politique. Il faut se servir avant de songer à servir les autres. Cela concerne apparemment même les députés soit disant les plus proches du peuple… Le Front de Gauche est une véritable cour des miracles. Après le couple léniniste, voici la députée prolo-bourgeoise trotskiste. Le prochain numéro risque de détonner !

    L’Assemblée nationale ferait bien de ne pas revenir sur sa politique accommodante avec les députés sans toit. Car ce que ne dit pas non plus Obono, c’est que l’argent des Français sert aussi à rembourser les frais d’hôtel des députés lorsqu’ils sont à Paris à raison de 200 euros par nuitée maximum. Un pécule minuscule qui serait à l’origine d’une révolution de masse si jamais il venait à être supprimé. Mais que la députée se rassure, les parlementaires votent rarement des lois qui vont contre leurs intérêts… Penser aux autres d’accord, mais penser à soi c’est encore mieux.

    Une question se pose désormais à Obono et sa vocation immigrationniste. Comment accueillir des centaines de milliers de « migrants » dans des conditions décentes si la République n’est pas capable de s’occuper de ses propres parlementaires ? Autant dire à nos lecteurs que cette question ne trouvera pas de réponse même avec l’aide de son mentor Jean-Luc Mélenchon.

     

    Source : 24heuresactu

  • Un chemin de résistance

    Dans Rivarol de cette semaine : un article sur le livre de Carl Lang, "Un chemin de résistance"

     

    Rédigé le Samedi 9 Juin 2018 à 10:48 | 0 commentaire(s)

     

    Dans un livre d’entretiens avec Jean-François Touzé, Un chemin de résistance, Carl Lang raconte ces quarante années d’engagement politique, trente ans au Front national de Jean-Marie Le Pen (1978-2008) et près de dix ans à la tête du Parti de la France.


    Dans le cadre d’un dialogue sincère et à coeur ouvert, l’ancien secrétaire général du Front national expose le sens de son engagement et réaffirme sa ferme volonté de faire renaître avec d’autres une droite nationale, sociale et populaire authentique.

    Carl Lang explique que s’il a rejoint le Front national, mouvement alors jeune et groupusculaire, tandis qu’il avait à peine vingt ans, c’était essentiellement par anticommunisme et par patriotisme, par rejet du marxisme si prégnant alors à l’école, à l’université, dans les esprits et par amour de la nation et des valeurs et principes de la droite authentique : le respect du sacré et des traditions, la défense de la famille, l’amour de la patrie, la promotion des libertés : liberté de l’esprit et libertés économiques, le sens des responsabilités.

    Carl Lang raconte en détails, de manière vivante et passionnante, ses trente années d’engagement au FN, dont près de vingt à de très hautes responsabilités, au secrétariat général et à la délégation générale de 1988 à 1995, puis de 1998 à 2005. Il relate tous les combats mémorables menés au côté de Jean-Marie Le Pen, combats électoraux bien sûr, mais aussi prises de positions politiques lucides et courageuses contre la guerre du Golfe en 1990-1991, contre le traité de Maastricht en 1992 et contre la Constitution européenne en 2005.

    Le président du Parti de la France évoque les tensions montantes avec Marine Le Pen à partir de son émergence médiatique en 2002. Il rappelle qu’en tant que directrice stratégique de la campagne présidentielle de Jean-Marie Le Pen en 2007, elle avait imposé des choix aberrants comme le discours de Valmy et celui sur la dalle d’Argenteuil, ainsi que la Beurette en string sur une affiche. Et Carl Lang de préciser fort justement : « Cette orientation chevènementiste est bien antérieure à l’arrivée de Florian Philippot au Front national. […] Dans Le Figaro du 12 décembre 2006, Marine Le Pen n’hésitait pas à déclarer : “la candidature de rassemblement du peuple français, débarrassée des spécificités religieuses, ethniques ou mêmes politiques, c’est la candidature de Jean-Marie Le Pen”. Voilà une phrase qui résume à elle seule ce que pense Madame Le Pen. […] Aujourd’hui je me demande dans quelle mesure elle ne souhaitait pas l’échec de son père. »

    Carl Lang relaye également la façon dont il a été suspendu du FN en 2008 car il n’acceptait pas d’être numéro deux de la liste FN dans le Nord-Ouest pour les européennes de 2009 derrière Marine Le Pen car s’effacer derrière elle, c’était accepter son positionnement politique et stratégique et valider le fait qu’elle avait vocation à succéder à son père à la tête du FN. Sa suspension a conduit Lang et ses amis à fonder début 2009 le Parti de la France qui, bien que modeste, sans argent et sans relais médiatique, entend rester fidèle aux principes, aux valeurs et aux convictions de la droite nationale. L’infâme exclusion de Jean-Marie Le Pen, les purges successives, l’abandon du nom Front national et des fondamentaux prouvent que l’analyse de Carl Lang, comme d’ailleurs celle de RIVAROL, sur Marine Le Pen était pertinente.

    Le calamiteux débat du second tour de la présidentielle de 2017 qui a fait honte à tous les nationaux n’ayant pas un QI d’huîtres et le septennat désastreux de liquidation du FN montrent la lucidité de tous les anti-marinistes historiques. Ils étaient relativement peu nombreux, ils ont été traînés dans la boue, traités de tous les noms, mais ils avaient vu juste.

    JB

     

    Source : synthesenationale

  • FACEBOOK officiel Le Parti de la France

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    Rédigé le Lundi 11 Juin 2018 à 09:38 | 0 commentaire(s)

     


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  • CONNEXION 11 juin 2018

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    Vous trouverez le lien à droite de ce texte, rubrique AMIS.

    Dominique SLABOLEPSZY

    Membre du BP du PDF 

  • Le FN est mort, vive le Parti de la France

    Le Front National est mort… Vive le Parti de la France !

     

    Rédigé le Lundi 4 Juin 2018 à 16:37 | 0 commentaire(s)

     

    Extrait de l'Édition du 4 juin 2018
    Réinfo, journal d'information bimensuel du Parti de la France


    Le Front National est mort. Ce que l’anti-France espérait depuis 45 ans, Marine Le Pen l’a réalisé. Après avoir exclu en 2015 son père, fondateur et président d’honneur du FN, elle vient aujourd’hui de liquider le Front national. Pour Carl Lang, je cite, « Jean-Marie Le Pen a été le fondateur du Front national, Marine Le Pen, sa fille, en est la fossoyeuse ».
    Le néo-FN s'appelle officiellement, à partir de ce vendredi soir, le Rassemblement National, deux mois après un congrès au cours duquel ce nom avait été proposé par Marine Le Pen. Un changement de nom approuvé par 80,81 % des 53 % de militants FN qui se sont exprimés sur la question… c’est-à-dire moins d’un sympathisant sur deux. Le Président-fondateur du Front national, Jean-Marie Le Pen – même si, ne l’oublions pas, il reste l’un des responsables de ce qu’il appelle une trahison, en imposant en 2007 sa fille envers et contre tous – évoque, je cite, cet « honteux effacement de son identité » comme « le coup le plus rude que le Front national ait jamais reçu depuis sa fondation ».
    Celui qui n’a plus aucune fonction, ni responsabilité dans la nouvelle structure précise sa pensée dans un communiqué, je cite : « Plus qu'une étiquette, c'est aussi une longue et courageuse histoire militante que l'on renie ». Il condamne « les inspirateurs comme les exécutants » de cette décision.
    Pour le député européen qui siège dans les rangs des sans-étiquettes à Bruxelles, « rien de bon ne saurait naître d'un tel abandon, ni pour le mouvement lui-même, ni pour le service des Français […]Seuls les adversaires et les concurrents tireront bénéfice de cette trahison ».
     
    La boucle de l’imposture, du parricide, des reniements et des allégeances honteuses est bouclée. Il aura suffi de sept années à Marine le Pen pour détruire l’héritage politique et le mouvement dont elle a hérité en 2011. Pour Carl Lang, « le mythe de la dédiabolisation et la quête frénétique de la normalisation médiatique ont transformé le parti de Marine Le Pen en composante docile et caricaturale du système politique en place, auquel elle n’a cessé de donner des gages de soumission ».
    Marine Le Pen a beau avoir changé le nom de son parti, elle n’a en rien changé les situations financière, judiciaire et politique où elle a embourbé le néo-FN. Elle rebaptise donc une épave qui sombre.
     
    La situation financièrement tout d’abord. Jamais le FN n’a eu autant de financements publics, et pourtant jamais le RN n’a eu autant de dettes ! 7 millions auprès du Parlement européen. 9 millions auprès d’une banque chypriote, 2 millions de reconnaissance de dettes à l’égard de députés européens, 6 millions d’euros auprès de COTELEC… 500 000 euros, de plus, réclamés par le Parlement européen la semaine dernière. Des sources jusque-là bien placées dans l’appareil évoquent un nouveau prêt philippin de 8 millions sans que l’on puisse réellement le confirmer ou non. Tout comme on ne connaît pas l’ampleur du fameux emprunt patriotique, lancé par la diva de Montretout, où vous pouviez dîner en tête à tête avec elle, pour 75 000 euros…
    Et tout ça pour un parti mis en examen comme personne morale dans plusieurs affaires judiciaires et qui, s’il est reconnu coupable, devra s’acquitter d’amendes carabinées.
    Coup de matraque supplémentaire sur ce tableau déjà bien défraîchit, les comptes de campagne de la candidate à la présidentielle de 2017 viennent d’être retoqués de près de 900 000 euros… qui échoiront évidemment au Parti. Faudrait quand même pas déconner…
     
    Une situation judiciaire compliquée, ensuite, et c’est le moins que l’on puisse dire. Outre les mises en examen de Marine Le Pen sur son patrimoine personnel, des cadres comme Louis Alliot, Wallerand de Saint-Just, Jean-François Jalkh et des personnes morales comme le Front National, son micro-parti Jeanne et le groupe ENF au Parlement européen, des prestataires de services très liés à Marine Le Pen sont plusieurs fois mis en examen : complicité et recel d'abus de confiance, complicité d'escroquerie et recel d'abus de biens sociaux, blanchiment, emplois fictifs, surfacturations, faux et usages de faux, pour les campagnes électorales de 2011, 2012, 2014, 2015… On a du mal à appréhender la totalité de l’univers judiciaire de la nébuleuse mariniste, nous en oublions certainement. La justice russe elle-même s’intéresse au FN, puisque l'Agence d'assurance des dépôts bancaires russes (l’ASV) réclame en effet au parti de Marine Le Pen, le remboursement du prêt de 9 millions d'euros et a lancé une procédure judiciaire dans ce but.
     
    Cela commence à faire beaucoup pour certains… Le coprésident néerlandais du groupe Europe des nations et des libertés (ENL) au Parlement européen, Marcel de Graaff, a vivement critiqué les largesses de ses alliés français du néo-FN, révélées quelques heures plus tôt par le site Politico. Au nom du Parti pour la liberté (PVV) de Geert Wilders, l’eurodéputé s’est dit « offusqué » des pratiques d’« enrichissement de la part de la délégation française », et a assuré s’« en distancier totalement ». Les tables dans des restaurants à 3 étoiles pour 400 euros par couvert passent mal… et mettent à mal politiquement la pseudo-relance voulue par Marine Le Pen avec le changement de nom.
    Si l’on ajoute à tout ce qui précède, les changements de cap à répétition sur les questions européennes, la gauchisation démagogique du discours, le lamentable et honteux débat présidentiel face à Macron, comment s’étonner que les intentions de vote dans les sondages passent de 23 %, à 17 % puis à 15 %, alors que la campagne n’a pas encore commencé ?… Dernier revers en date, le refus net et catégorique de Nicolas Dupont-Aignan de faire liste commune pour les Européennes. Et oui, on ne s’amarre pas à un bateau qui coule…
     
    À la création du Parti de la France, Carl Lang déclarait n’avoir aucune confiance, ni politique, ni personnelle, ni technique en Marine Le Pen. Les faits ne cessent de lui donner raison.
    La recherche obsessionnelle de la soi-disant dédiabolisation de Marine Le Pen l’a conduite à sa perte. La diabolisation médiatique et politique est une arme psychologique utilisée en particulier par la gauche, autoproclamée morale, contre tous ses adversaires. La gauche française traite ses adversaires de racistes, d’antisémites, d'extrémistes de droite ou d’homophobes, au choix, en fonction de l’actualité. Croire que l’on peut mener le combat politique de résistance nationale, sans subir la diabolisation par les ennemis de la nation, est d’une affligeante stupidité. Dans cette naïve démarche de dédiabolisation qui conduit mécaniquement à l’allégeance, Marine Le Pen n’en fera jamais assez. Elle a exclu son père, liquidé le Front national mais elle s’appelle encore Le Pen. Afin d’aller au bout de sa logique de reniements, il faut qu’elle aussi change de nom. C’est d’ailleurs ce qu’elle devrait faire, rendre son nom et son parti à son père.
    Madame Le Pen ne croit pas aux valeurs et aux principes de la droite nationale, elle fait du souverainisme de gauche et, finalement, pour résumer, elle pense comme Chevènement.
     
    Dans un communiqué et une vidéo que vous pourrez retrouver sur notre site, Carl Lang, le président du Parti de la France, lance un appel, je cite « aux militants, aux élus et aux sympathisants de la droite nationale de conviction qui ne se reconnaissent pas dans le nouveau parti de Marine Le Pen à rejoindre le Parti de la France. Ensemble, au service de la France et du peuple français, nous porterons avec fierté les valeurs et les principes de la droite nationale, populaire et sociale. Plus que jamais notre combat de résistance et de reconquête continue ! »
  • ERDOGAN !!!!!

    Erdogan : voilà l’ennemi !

     

    Rédigé le Samedi 9 Juin 2018 à 10:44 | 0 commentaire(s)

     

    Et si l'État islamique était l'arbre qui dissimule la forêt ?

    Et si les attentats revendiqués par Daesh, aussi sanglants soient-ils, n’étaient qu'anecdotiques au regard de la menace bien plus sérieuse qui, sur le temps long, plane sur l'avenir de notre occident chrétien ?


    Et si les tueurs à la Kalachnikov, à la hache ou au marteau, les égorgeurs au couteau de cuisine, les monstres d'Allah à la camionnette-bélier, les djihadistes de Syrie et d’ailleurs n’étaient que de simples figurants mis en avant sur la scène verte et rouge de la conquête musulmane ? Des figurants qu'il appartient à l’État et à ses services de traquer et d’exterminer, mais des figurants quand même.

    Et si la vraie menace venait de cette Turquie à la longue mémoire qui jamais, même aux temps de l'occidentalisation d'apparence que fut le kémaliste, n’oublia ce qu'elle a considéré, de toute éternité, comme étant son destin : l'incarnation d'un nouveau califat ?

    La parenthèse kémaliste refermée (encore faut-il noter que la cible première du laïcisme d'Ataturk n’était pas l'islam mais les confréries soufies jugées dissidentes et rebelles à l’autorité centrale d'Ankara), la Turquie islamique d'Erdogan, mise au pas et normalisée, renoue avec sa volonté impériale d'imposer partout où cela sera possible la pax ottomana et la foi musulmane.

    Profitant de son statut d’allié fidèle des État Unis au sein de l'OTAN, de ses complicités dans les couloirs de la Commission de Bruxelles et du Parlement européen, de ses bons rapports avec Israël (même si ceux-ci se sont quelque peu dégradés ces derniers mois), du vigilant pragmatisme de la Russie confrontée à la question prégnante de ses minorités musulmanes souvent turcophones, et de sa position géographique, la Turquie, affichant un islamisme supposé moins rigoureux que le salafisme et pourtant tout aussi redoutable, avance peu à peu ses pions.

    • En Syrie, sous couvert de lutter contre l'État islamique et d’être un contrepoids aux ambitions régionales de l'Iran, elle s'empare de pans entiers du territoire et y traite à sa manière qui n'a rien de tendre la question kurde.
    • Au Maghreb, elle reconquiert peu à peu ses positions par la voie de traités économiques avantageux, d'investissements ciblés, d'aides militaires et d’échanges fructueux de renseignements. L’Algérie et la Tunisie sont ainsi l’objet de toutes les attentions. Le rétablissement du Bey d'Alger et du Dey de Tunis n’est, certes, pas pour demain. Mais peut-être pour après-demain.
    • En Europe usant de l’arme du chantage sur la question migratoire et la circulation des djihadistes, elle prend en otages l’Allemagne de Madame Merkel où vivent au bas mot plus d’un million et demi (chiffre officiel hors naturalisés) de ses ressortissants.
    • En France, plus encore qu'en Allemagne, l'AKP, le Parti quasi totalitaire d’Erdogan dispose de réseaux considérables, allant d'organes de presse écrite à la webtélé MediaFranceTV, de structures de contrôle de la diaspora comme l'Union des démocrates turcs européens très active au moment des élections et capables de mobiliser rapidement les militants comme on a pu le voir, la semaine dernière, lors de l'action menée, par menaces et pressions, contre les kiosquiers coupables d'afficher la une du magazine Le Point qui publiait un dossier consacré à Erdogan. Elle peut s'appuyer aussi sur des mouvements politiques-relais comme le Parti Égalité et Justice dont l’intention est ouvertement de peser sur les scrutins hexagonaux. À toutes ces organisations et outils de propagandes, il convient d'ajouter le contrôle absolu exercé sur les mosquées turques mais aussi de bien d'autres nationalités par le président du Conseil français du culte musulman (CFCM), Ahmed Ogras d’origine turque et ami personnel de Tayyip Erdogan.

    Comme les révolutionnaires de Lénine, la Turquie n'a pas de montre. Contrairement à l'État islamique et même à l’Arabie saoudite traversée par des lignes de hautes tensions intérieures et extérieures, le temps ne lui est pas compté. Son projet est global et sans limite.

    Le Parti de la France appelle les nations d’Europe à la plus grande fermeté vis-à-vis de la Turquie islamique. Cette fermeté implique la rupture immédiate de toute négociation en vue de l’entrée de la Turquie dans l’Union. Elle suppose également l’établissement d'un cordon sanitaire diplomatique pour mettre fin au chantage turc sur les questions migratoires et la fermeture totale des frontières européennes à toute nouvelle entrée. Elle exige la dissolution de toutes les organisations turques ou financées par la Turquie sur les sols nationaux européens. Elle impose, en France, l'interdiction de toute manifestation politique ou communautaire, le non-financement des mosquées par une puissance étrangère, l’expulsion des activistes, et la fin, sous peine de poursuites, des tentatives d'intimidation turques contre les médias et la presse.

    Il s'agit là, on l’aura compris, non pas du projet que le Parti de la France mettra en œuvre dans le cadre de l’État national, mais des mesures de sauvegarde que tout gouvernement digne de ce nom et conscient de la menace devrait appliquer sans délais.

    Jean-François Touzé - Membre du Bureau politique du Parti de la France

  • AVIS de DECES

    Appel de Carl Lang aux militants, élus et sympathisants de droite nationale et de l’ex Front National.

     

    Rédigé le Vendredi 1 Juin 2018 à 15:03 | 0 commentaire(s)

     

    Après avoir exclu en 2015 son père, fondateur et président d’honneur du FN, Marine Le Pen vient aujourd’hui de liquider le Front national.
    La boucle de l’imposture, du parricide, des reniements et des allégeances honteuses est bouclée. Il aura suffi de sept années à Marine le Pen pour détruire l’héritage politique et le mouvement dont elle a hérité en 2011.


     Appel de Carl Lang aux militants, élus et sympathisants de droite nationale et de l’ex Front National.
    Le mythe de la dédiabolisation et la quête frénétique de la normalisation médiatique ont transformé le parti de Marine Le Pen en composante docile et caricaturale du système politique en place auquel elle n’a cessé de donner des gages de soumission.
    Si l’on ajoute à tout cela les changements de cap à répétition sur les questions européennes, la gauchisation démagogique du discours, le lamentable et honteux débat présidentiel face à Macron, la gestion calamiteuse et caractérielle de ses ressources humaines, la montagne de dettes du Front national et les renvois multiples devant le tribunal correctionnel, on constate qu’elle a non seulement transformé l’extraordinaire boulevard électoral qui s’offrait à elle en 2017 en chemin de traverse, mais surtout qu’elle a réussi là où toute la classe politico médiatique avait échoué depuis 40 ans : enterrer le Front national. Jean-Marie Le Pen a été le fondateur du Front national, Marine Le Pen, sa fille, en est la fossoyeuse.
    Dans cette situation, et quelles que soient les désillusions et les déceptions compréhensibles de nombreux militants de l’ancien FN, l’heure n’est pas aux atermoiements, à la réserve ou aux renoncements. Il est au nécessaire engagement.
    J’appelle les militants, les élus et les sympathisants de la droite nationale de conviction qui ne se reconnaissent pas dans le nouveau parti de Marine Le Pen à rejoindre le Parti de la France. Ensemble, au service de la France et du peuple français, nous porterons avec fierté les valeurs et les principes de la droite nationale, populaire et sociale. Plus que jamais notre combat de résistance et de reconquête continue !



    Communiqué de presse de Carl Lang 
    Président du Parti de la France
  • Notre IDENTITE

    Expliciter et proclamer la richesse de l’identité française

     

    Rédigé le Mardi 29 Mai 2018 à 12:39 | 0 commentaire(s)

     

    Alors qu’elle devrait être un sujet de consensus, l’identité nationale est paradoxalement devenue une cause de polémique. Le Système cherche à occulter tout débat à son sujet et, quand il est contraint d’aborder la question, il réduit notre identité à un simple panel de prétendues valeurs.


    Aussi Ligne droite estime-t-elle indispensable que les Français reprennent conscience de la richesse de leur identité et que celle-ci soit dès lors clairement explicitée et proclamée. La France, c’est un peuple européen, une culture d’origine gréco-romaine, une religion chrétienne, un territoire au cœur de l’Europe, le tout sublimé par une histoire qui a fait de notre nation sinon la première sur le continent, en tout cas la synthèse la plus accomplie du monde européen.

    L’identité, un sujet tabou

    Parce que l’identité est un sujet tabou du politiquement correct, les Français ne savent plus qui ils sont. Ils ont bien sûr une conscience intuitive plus ou moins prononcée de leurs origines et de ce qu’est leur patrie. Mais il n’y a plus rien d’explicite ni de formalisé. Et pour cause, tout est fait par le Système pour occulter la réalité de l’identité française. Que ce soit à l’école, dans les médias ou chez les politiques, la France n’est plus qu’une abstraction théorique.

    Une identité réduite à de prétendues valeurs

    Pour les docteurs de la pensée unique, l’identité de notre pays se réduit en effet à un ensemble de valeurs qui représenteraient non seulement notre patrimoine commun mais aussi l’essence même de ce que nous sommes. Aussi peut-on affirmer sans beaucoup simplifier que, pour eux, la France est un territoire régi par l’état de droit, les valeurs de la République et les droits de l’homme. C’est pourquoi n’importe quel individu habitant dans l’Hexagone a vocation selon eux à être français pour peu qu’il communie dans ces prétendues valeurs.

    L’identité de la France, une réalité complexe

    Faut-il à ce stade souligner l’absurdité d’une telle conception ? Si l’identité de la France se limitait à un ensemble de valeurs, en quoi se différencierait-elle de tous les autres pays qui se réfèrent eux aussi aux droits de l’homme et à la démocratie ?

    La vérité est que l’identité de la France s’avère une réalité beaucoup plus complexe et plus exclusive. Sans doute n’est-elle pas facile à mettre en équation mais on peut tenter de l’approcher par la prise en compte de quatre données fondamentales.

    Un peuple européen

    La première donnée, ce sont les Français eux-mêmes, c’est-à-dire le peuple qu’ils forment depuis les origines de notre nation et qui, de par ses racines gallo-romaines, germaniques, celtiques et nordiques, se révèle fondamentalement européen et donc de race blanche. Une réalité ethnique demeurée inchangée jusqu’au milieu du siècle dernier et qui constitue le fonds identitaire que notre nation partage avec ses voisins européens.

    Une culture d’origine greco-latine

    La seconde composante est bien sûr la culture française, un trésor d’une incroyable richesse qui s’enracine dans son héritage grec et romain et qui s’est déployé pendant des siècles dans tous les domaines de l’art et de la science. Forgée autour de notre langue, le français, elle a rayonné dans le monde, forçant bien souvent l’admiration des étrangers.

    Une religion, le christianisme

    Quant à la troisième donnée, il s’agit du christianisme qui a été pendant quinze cents ans la religion dominante de notre nation. Aussi, que l’on soit chrétien ou non, pratiquant ou non, personne ne peut nier aujourd’hui le rôle majeur que cette religion a joué dans la formation de notre pays. N’a-t-elle pas pendant des siècles couvert notre sol d’églises et de cathédrales admirables et, au-delà, marqué la conscience, la culture et l’histoire des Français ?

    Un territoire forgé par la volonté et le sacrifice

    Enfin la dernière composante est bien sûr le territoire de notre pays qui constitue un espace privilégié au cœur de l’Europe. Un territoire d’une étonnante richesse et d’une grande beauté qui a profondément contribué à forger l’identité de ceux qui y ont vécu. Un territoire dont les frontières se sont fixées progressivement au fil des siècles par la volonté de ses rois et de ses chefs et grâce aussi au sang versé par ceux de nos ancêtres qui se sont battus pour l’agrandir ou le défendre.

    Une histoire qui a tout sublimé

    Mais ces quatre composantes ne seraient rien sans l’histoire qui, au fil des siècles, a brassé tous ces atouts culturels, territoriaux, ethniques et religieux pour façonner ce pays qui est le nôtre et dont nous avons hérité. Une histoire qui ne commence pas en 1789 mais plonge ses racines dans notre lointain passé. Tantôt douloureuse, tantôt grandiose, elle a conduit aux pires épreuves comme aux plus grandes gloires et, à la manière d’une mystérieuse alchimie, a forgé cette nation qui n’est semblable à aucune autre et dont nous devons être fiers.

    Une synthèse de la réalité européenne

    Une nation qui a de plus cette particularité étonnante d’être la synthèse de tout ce que représente l’Europe. Appartenant à la fois au Nord et au Sud, ouverte sur l’Océan comme sur le cœur du continent, elle a reçu les influences de tous les foyers culturels européens. Des apports qu’elle a su assimiler et sublimer pour édifier cette identité qui permet aujourd’hui d’affirmer que l’Europe n’existerait pas sans la France.

    Une âme, un principe spirituel

    Cette réalité de notre identité nationale, à la fois culturelle, religieuse, ethnique, territoriale et historique, est apparue pendant des siècles tellement évidente que personne ne songeait à l’expliciter. Et beaucoup considéraient comme Renan qu’à côté des réalités visibles telles « la race, la langue ou les affinités religieuses » il y avait comme « une âme, un principe spirituel » qui s’exprimait par « un fait tangible … le désir clairement exprimé de continuer la vie commune ».

    Le refus du Vivre ensemble

    Même imparfait ou incomplet, l’énoncé explicite de l’identité de notre nation se révèle capital car il permet de comprendre que c’est dans ses différentes composantes que l’identité de la France est aujourd’hui attaquée. Ainsi, la dimension ethnique du peuple français se trouve clairement mise en cause par l’afflux de populations extra européennes. La composante chrétienne de notre identité est de son côté fragilisée par la concurrence d’un islam en pleine expansion qui cherche à s’imposer. Quant à sa composante culturelle, elle est compromise par la montée migratoire mais aussi par la pression anglo-saxonne et par le processus de déconstruction des valeurs orchestré par la nouvelle gauche.

    Même la formule de Renan résonne aujourd’hui comme un sinistre avertissement. Si au bout du compte en effet notre identité nationale devait n’être qu’une volonté de vivre ensemble, elle n’existerait déjà plus puisqu’en dépit du slogan sans cesse martelé par les porte-parole du Système, il est clair qu’entre les Français d’origine et les populations immigrées il n’y a aucune volonté de vivre ensemble. Les premiers cherchent par tous les moyens à ne pas vivre avec les seconds lesquels préfèrent de leur côté vivre entre eux comme chez eux.

    Aussi, pour défendre l’identité française, Ligne droite estime-t-elle aujourd’hui indispensable de l’expliciter et de la proclamer telle qu’elle apparaît dans toute la richesse de ses différentes composantes. Les Français doivent reprendre conscience de ce qu’ils sont.
    Source : https://lignedroite.club/reprendre-conscience-de-lidentite-francaise/?utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=la_lettre_de_ligne_droite&utm_term=2018-05-29