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  • Nouvelle Venue au PDF

    Valérie Redl rejoint le Parti de la France

     

    Rédigé le Dimanche 13 Mai 2018 à 15:34 | 0 commentaire(s)

     

    A l’occasion de la fête nationale de Jeanne d’Arc, Valérie Redl, ingénieur commerciale et conseillère régionale de Bourgogne-Franche-Comté, a rejoint les rangs du Parti de la France.


    Déçue par les dérives politiques, financières et humaines du parti de Marine Le Pen, Valérie Redl marque ainsi sa volonté de continuer à défendre ses convictions de droite nationale.
    Par ce nouvel engagement aux côtés de Carl Lang et du Parti de la France elle montre le chemin à suivre pour les militants et les élus du Front National qui ne se reconnaissent plus dans les idées, la stratégie et les méthodes de Marine Le Pen. 
     


     



  • CONNEXION 14 mai 2018

     

     

       
     

     
    ICIOININIEIXIIIOINI
    LA LETTRE ARGUMENTAIRE DU PDF
    directeur de publication : Jean-François Touzé
     

    14 mai 2018

     
       
     
       
    Mort de la jeune Naomi :
    … à qui la faute ? 
     
    Depuis une semaine, les médias ont fait de l’opératrice du Samu supposée avoir mal aiguillé la patiente, la responsable commode de la mort de celle que l'on désigne désormais comme « La jeune Naomi »
    La Justice dira les faits, sans pour autant, en expliquer les causes.
    La cause réelle de cette mort, c'est le sous-effectif chronique des personnels du Samu et la pression difficilement supportable exercée en particulier sur les opérateurs téléphoniques.
    C'est aussi l’état épouvantable de notre filière de santé et les conditions dégradées dans lesquelles s'exerce la pratique médicale en milieu hospitalier.
    C'est le recours aux urgences systématiques de certains irresponsables qui, pour éviter de payer une consultation, usent du service gratuit hospitalier pour faire soigner maux de gorges ou migraines, encombrant les couloirs et détournant les soignants de leurs tâches essentielles.
    C’est, enfin, l'immigration qui détériore chaque année d’avantage un système de santé autrefois exemplaire et qui fut une fierté française.
    Le Parti de la France considère que la restauration d’un système de santé publique performant doit être une priorité nationale. Cela passe par une revalorisation des salaires des personnels soignants, une amélioration de leurs conditions de travail, un recrutement de qualité et une sévérité exemplaire à l'encontre des fauteurs de troubles, des consultants abusifs et des profiteurs.
    Cette politique de redressement de notre système de santé aura un coût. Il sera compensé par la chasse aux fraudeurs de la sécurité sociale et par la mise en œuvre de notre plan « immigration zéro ». 
       
     
       

    @carllang2022 - 13 mai

    Valérie Redl, conseillère régionale de Bourgogne-Franche Comté quitte le parti de Marine Le Pen et rejoint le Parti de la France. C'est le chemin à suivre pour les élus et militants de la vraie droite nationale...
     
     
     
     
    Attaques islamistes à Paris :
    les coupables et les responsables
     
    Comme celles qui l'ont précédée et celles qui, malheureusement, suivront, la tuerie de la rue Monsigny a un auteur – l‘homme au couteau – un coupable – l’islamisme – et un immense collège de responsables.
    • Responsable, la faiblesse des moyens mis à la disposition des services spécialisés dans le renseignement et la surveillance des milieux islamistes.
    • Responsable, le laxisme des magistrats.
    • Responsable, la République qui a abandonné des pans entiers du sol national à la racaille d'abord, aux imams ensuite.
    • Responsable, ceux qui laissent se développer le salafisme sur notre sol français (multiplication par cinq du nombre des adeptes en quatre ans, près de trois cents mosquées recensées) et s'installer dans certaines cités et même certaines villes comme La Verrière dans les Yvelines ou, dans une moindre mesure Trappes ou Roubaix, de véritables polices des mœurs chargés d’imposer la charia par l'intimidation et la force.
    • Responsable, Georges Pompidou qui, pour faciliter le développement industriel de la France, initiait dans les années 1960 un plan de recours systématique à la main-d’œuvre étrangère venue d'au-delà de la Méditerranée, afin, comme il le reconnaîtra peu avant sa mort, de peser à la baisse sur les salaires des travailleurs français.
    • Responsables, Valéry Giscard d'Estaing et Jacques Chirac, promoteurs en 1976 du regroupement familial qui transformait la nature même de l'immigration devenant de fait une immigration d'installation et donc de peuplement.
    • Responsables, ceux qui ont anémié les défenses immunitaires de la France par la pratique systématique de la repentance et la liberté donnée aux associations anti-françaises de saper les fondements de notre cohésion nationale.
    • Responsables, les parlementaires qui ont voté les lois relatives au code de la nationalité et les pouvoirs politiques qui délivrent la nationalité française à n'importe qui.
    • Responsables, tous les gouvernements qui se sont succédé à la tête du Pays depuis cinquante ans, de droite comme de gauche, tous gouvernements de la faiblesse et de l’immigrationnisme.
    Avec le Parti de la France, l’état national mènera une lutte sans merci contre l’offensive islamiste dont le but est la destruction de notre civilisation et l'instauration de la charia, jusqu’à l’éradication totale de la menace.
    Avec le Parti de la France, tous les services spécialisés de l’État seront mobilisés, sur le sol national comme à l’extérieur de nos frontières.
    Avec le Parti de la France, les suspects seront mis hors d’État de nuire par détention administrative de précaution, les expulsions seront systématiques, la peine de mort sera rétablie pour les auteurs d'attentats, les adeptes de la charia seront traqués, tandis que l'immigration qui, selon la théorie de Mao Tsé Toung permet aux islamistes d'être en France comme des poissons dans l'eau, sera stoppée et que s'engagera une politique vigoureuse de rémigration.
    Avec le Parti de la France, le code de la nationalité sera enfin réformé. 
     

     

    @carllang2022

    Félicitations à nos forces de police qui ont abattu à Paris le tueur islamiste. La liste des victimes françaises de la politique d'immigration et de naturalisation ne cesse de s'allonger. C'est toujours le peuple qui paye le prix du sang de la trahison de ses dirigeants.
     
     
     
    Nucléaire iranien
    Retrait des États Unis de l’accord de Vienne
     
    « Provocation », « risque de guerre », « escalade »… C'est une avalanche de prises de positions hasardeuses, de slogans abrupts, d’analyses incertaines et d’explications contradictoires qui déferle par médias interposés, à grand renfort d'experts et de spécialistes autoproclamés, depuis l'annonce par Donald Trump du retrait américain de l'accord dit de Vienne sur le nucléaire iranien.
    Face à ce déchaînement et au pathos qui l'accompagne, tentons de nous extraire de la confusion, de sortir de l'opacité, de voir clair sans confondre les causes et les effets, et de dire les choses telles qu'elles sont et non comme le voudrait une approche trop rapide ou dictée par l’idéologie.
    Cet accord signé en 2015 par les cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU, par l'Allemagne, par l’Union européenne et par l'Iran est avant tout un accord Obama/Rohani, la Russie laissant faire, la Chine ayant d'autres préoccupations plus urgentes, la France, l'Allemagne et la Grande-Bretagne s’alignant passivement sur les positions US et L’UE n’existant pas.
    Très peu contraignant quant au contrôle des centrifugeuses iraniennes mais suffisamment lourd pour servir d'alibi devant les opinions publiques, cet accord oiseux n'avait que deux objectifs :
    1. Retarder une possible intervention israélienne sur les sites d'enrichissement iraniens.
    2. Permettre aux sociétés américaines de rétablir leurs relations commerciales, en particulier pétrolières, avec l'Iran sans pour autant risquer d’être entraîné vers une rupture avec l'Arabie Saoudite.
    Il suffit pour se convaincre de la réalité de ce deuxième point de constater combien s'est exercée la vigilance américaine pour conserver un quasi-monopole commercial en Iran, ne laissant à l'Europe que les miettes de contrats limités (présence de Total et d'Airbus mais au développement limité et sans grands effets).
    La décision de Donald Trump d’extraire les États-Unis de ce piteux accord correspond, il faut le lui reconnaître, à une promesse de campagne et à une position constante de l’actuel Président US qui, une fois de plus, fait ce qu'il avait annoncé.
    Elle répond, selon lui et aux regards des intérêts américains, à quatre impératifs :
    • En finir avec un accord bancal, véritable objet diplomatique non identifié, qui ne pouvait satisfaire ni ceux qui redoutent que l'Iran se dote à court terme de l'arme atomique, ni ceux qui doutent de la réalité de ce risque.
    • Éviter les frappes israéliennes qui se préparaient. Contrairement à ce qui a pu être dit, ce n'est pas le retrait des État Unis de l'accord de Vienne qui peut enclencher un processus de guerre. C’est précisément l'inverse : Israël, convaincu, à tort ou à raison que l’accord Obama/Rohani permettait, en secret, la continuation du processus nucléaire iranien, inquiet de l'implantation durable de la République islamique en Syrie et au Golan, obsédé par les succès électoraux du Hezbollah au Liban, s’apprêtait à frapper si l'accord était pérennisé.
    • Affaiblir l'Iran dans sa course au leadership régional face à l'Arabie Saoudite et rassurer cette dernière.
    • Sortir du court terme commercial et économique imaginé par Obama pour, en instituant un nouveau rapport de force, fragiliser les bases du régime iranien et substituer à terme un nouvel accord plus durable et plus favorable encore aux États-Unis. Trump entend bien, dans cette région du globe comme en Asie, être le Président de la géopolitique commerciale.
    On notera la modération des réactions iraniennes, malgré quelques tirs de roquettes sur les lignes israéliennes destinées à rassurer les conservateurs, et, en retour quelques missiles israéliens sur les bases iraniennes pour satisfaire l'ego hébreux.
    Modération également de la Russie qui s'est contentée de faire part de sa « préoccupation ».
    Et l'Europe ? L'Europe, nous l’avons dit, est inexistante là où la décision de Trump lui donnait une occasion inespérée de s'affirmer. Au-delà des incantations de Macron et de la détermination de façade de la commissaire européenne chargée des relations extérieures affirmant que l'accord de Vienne n’était pas caduc, chacun sait bien que pour Bruxelles c'est aujourd'hui « sauve qui peut », en espérant, sans trop y croire, éviter aux entreprises du vieux continent de subir les représailles américaines en cas de contrats avec l'Iran.
    Quant à Emmanuel Macron, c'est un véritable camouflet qu'il vient de subir. Lui qui affichait il y a deux semaines sa proximité avec Donald Trump et affirmait sa certitude de pouvoir créer les conditions d'un nouvel accord aura été le dupe de la farce washingtonienne.
    Pour le Parti de la France, aucune solution durable aux conflits multiples qui embrasent le Moyen Orient ne pourra être trouvée tant que l'Europe demeurera un nain politique et militaire et qu'un partenariat stratégique avec la Russie n'aura pas été établi. La construction de L’Europe de la puissance ne se fera que par le relèvement politique, moral, identitaire et économique des Nations qui la composent, et d'abord de la France qui doit en être le moteur.
    En attendant, les États Unis continueront, au rythme de leurs changements de Président et de leurs lubies, de dire la loi internationale qui n’est rien d'autre que celle que leur dictent leurs intérêts. 
     
       
    Europe de Macron…
    ou Europe de Charlemagne ?
     
    En recevant à Aix la Chapelle le prix Charlemagne destiné à récompenser une personnalité « œuvrant pour l'unification européenne », Emmanuel Macron, prononçant ainsi rien de moins que son cinquième discours européen en un an, a exhorté la Chancelière Merkel à accepter ses propositions de réformes de l’union européenne, et a appelé les Européens à être « les gardiens du multilatéralisme ».
    Deux vœux pieux qui n'ont aucune chance d’être exaucés.
    Affaiblie face au Bundestag et contestée par l’opinion publique allemande de plus en plus sensible aux discours identitaires, eurosceptiques et anti-immigration, Angela Merkel n'a, en effet, aucunement l’intention de s’aventurer sur la voie que lui propose Emmanuel Macron.
    Quant au concept d'Europe garante du multilatéralisme, il prête à sourire tant l'immobilisme, l’impotence et la tétanie de l’Union face aux États Unis relèvent d’une réalité structurelle et indissociable de son existence depuis la signature du traité du charbon et de l'acier en 1951.
    Ce que veut Emmanuel Macron, ce n'est pas bâtir une autre Europe, c’est sauver cette Union européenne défaillante en opérant un tour de bonneteau institutionnel qui en permettra la continuation, à la manière dont le plan du chef du KGB, Andropov, en partie repris par Gorbatchev dans les années 1980, entendait sauver le régime soviétique et sa nomenklatura sous couvert de réformes profondes.
    On ne bâtit pas sur du sable mouvant. L’union européenne n’est réformable qu’à la condition de rebâtir entièrement le socle de sa construction.
    Cela ne pourra se faire ni par incantation ni par verbalisme, pratiques dont use sans parcimonie l'actuel Président de la République française
    Seules les droites nationales européennes, par la cohérence de leur vision et la convergence de leurs positions, seront en mesure, le moment venu de construire le bloc civilisationnel européen.
    Un projet qui passe dès 2019 par un succès de notre camp aux élections européennes pour lesquelles le Parti de la France entend bien se mobiliser. 
       
     
    Blocage des Universités :
    annulation des examens universitaires
     
    Sous la pression de quelques dizaines de gauchistes renforcés d’une escouade de syndicalistes cheminots et postiers, et encadrés par les professionnels du Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA) venus bloquer le centre d'Arceuil ou devaient se dérouler les partielles de Sciences Po et de la fac de Nanterre, le Président de cette dernière – avec l’accord du gouvernement – a décidé vendredi 11 mai d’annuler cette session d'examens.
    Cette reculade qui ne peut qu'en entraîner d’autres, pose une nouvelle fois la question de l’autorité de l’État, mais aussi celle de sa volonté de faire respecter la loi et de défendre l’ordre public.
    Était-il si compliqué pour les services de sécurité d’anticiper les événements, alors que l’appel à la mobilisation gauchiste circulait en boucle sur les réseaux sociaux, et d’affecter à la surveillance de la maison des examens d’Arcueil les effectifs de police nécessaire pour assurer l’accès aux salles et le bon déroulement des partielles ?
    Mais la question majeure reste celle de la doctrine d'engagement des forces de l'ordre, comme on a pu le voir, ces dernières semaines à Toulouse, à Notre Dame des Landes ou lors de la manifestation du 1er mai à Paris : une doctrine que l'on peut résumer par la formule suivante : « Intervenir modérément, refuser le contact direct, ne jamais user de la force même légitime, ne pas risquer de faire des blessés ».
    Cette doctrine édictée au lendemain de la mort de Malik Oussekine en 1986 lors des manifestations étudiantes contre la loi Devaquet, reprise par tous les gouvernements depuis trente ans et encore consolidée depuis la mort de Rémi Fraysse lors d’une manifestation contre le barrage de Sivens en 2014, conduit à tous les abandons d'autorité, à tous les renoncements à la répression, et à tous les compromis.
    Un renoncement à l'autorité à l'exercice de la force qui se manifeste sous le regard attentif des organisations islamiques qui étudient avec intérêt le comportement des forces de l’ordre contraintes, par le pouvoir politique, à un quasi-immobilisme face aux émeutes. Des organisations islamistes qui sauront en tirer toutes les conséquences lorsque leur temps sera venu.
    Pour le Parti de la France, tous les moyens dont disposent les forces de police et de gendarmerie peuvent et doivent être mis en œuvre en cas d’émeutes. Leur utilisation doit certes être réfléchie et graduée, mais aucun moyen ne doit être exclu y compris les plus répressifs. Contre les professionnels de l’émeute, contre les gauchistes révolutionnaires dont l'objectif est la destruction de notre société, le Parti de la France appliquera demain une tout autre doctrine que celle aujourd'hui en vigueur : celle de la tolérance zéro. 
     
           
     

    Réinfo, le magazine d'information

     

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  • CONNEXION

    CONNEXION, la LETTRE ARGUMENTAIRE du PDF rédigée par Jean-François TOUZE est disponible automatiquement à tous ceux qui le souhaitent.

    Cette lettre hebdomadaire reprend les positions officielles du Parti de la FRANCE sur tous les grands sujets politiques.

    Pour cela, il est nécessaire de s'inscrire à l'adresse suivante :

    diffusion@parti-de-la-france.fr

    Je reste, bien sûr à la disposition de chacun pour toute précision complémentaire.

    Dominique SLABOLEPSZY

    Membre du BP du PDF

  • L'Histoire, toute l'Histoire, rien que l'Histoire !

    Le parjure, la trahison et la honte

     

    « L’Histoire brûle les hommes. Après, il faut recueillir les cendres et raconter » (Commandant Hélie Denoix de Saint-Marc – « Les champs de braises »)

     

                Du navire bondé de légionnaires et de parachutistes, en cet automne 1954, un haut-parleur annonça que l’on apercevait les côtes de France. Bientôt le port de Marseille fut en vue. Mal réveillés, ils montèrent tous sur le pont, serrés les uns contre les autres, appuyés à la rambarde. Le paradis dont ils avaient tellement rêvé dans les camps de prisonniers du Vietminh approchait lentement et déjà ils n’en voulaient plus. Ils rêvaient à un autre paradis perdu, l’Indochine… terre qui avait bu, plus qu’aucune autre leur sang. C’est à elle qu’ils pensaient tous à présent. Ils n’étaient pas les fils douloureux qui s’en revenaient chez eux pour faire panser leurs blessures, mais des étrangers. En eux remontaient des aigreurs.

                Ils se souvenaient avec colère et amertume de ces tonnes de médicaments régulièrement adressées au Vietminh par l’Union des Femmes Françaises (1) et leur indignation ne résultait pas de ce que l’ennemi recevait de la Métropole des colis de pénicilline, mais du fait que chaque jour des soldats français mouraient faute d’en posséder…

                En 1950, à Orange, un train de blessés d’Extrême-Orient avait été arrêté par des communistes qui avaient injurié et frappé ces hommes sur leurs civières. Un hôpital parisien qui demandait du sang pour les transfusions sanguines spécifiait que ce sang ne servirait pas pour les blessés d’Indochine. On avait refusé à Marseille, dont ils apercevaient maintenant Notre-Dame de la Garde, de débarquer les cercueils des morts…

    On les avait abandonnés, comme ces mercenaires soudains inutiles que Carthage avait fait massacrer pour ne pas payer leur solde.

    Des souvenirs terribles les hantaient… Ceux de ces partisans qu’ils avaient juré de ne jamais abandonner… Et parmi eux, la vision de ce vieux chef guerrier qui avait rallié sous le drapeau tricolore dix mille de ses hommes… alors que Diên-Biên-Phu était tombée et que tout allait mal dans le delta tonkinois. Il avait alors demandé aux officiers français s’il était vrai que la France allait livrer le Tonkin au Vietminh car rien n’avait été prévu pour replier ses partisans et leurs familles. Les divisions viets déferlaient sur le Delta. Le système de défense cédait peu à peu. Tout reposait sur ce vieux chef et sur ses hommes qui, connaissant admirablement le terrain, étaient à même de repousser mieux que quiconque les assauts des communistes.

                Alors les officiers français lui mentirent et lui assurèrent que jamais ils ne le laisseraient tomber. Il eut foi en leur parole. Ses partisans restèrent à leur poste et continuèrent à se battre jusqu’au bout alors qu’ils étaient submergés. Pendant ce temps l’armée française prépara la défense de Hanoi et de Haiphong et elle n’évacua personne. Le vieux chef fut pris par les communistes. Ils le torturèrent jusqu’à ce qu’il agonisât puis ils lui tranchèrent la tête. Les survivants parmi ses partisans subirent le même sort…

                Et, le visage tendu, les mâchoires crispées, ils se souvenaient aussi de tous ceux à qui ils avaient affirmé qu’ils resteraient toujours et en particulier les catholiques… Ils essayaient de gagner à la nage les bateaux en partance pour la France… Combien de ceux-là périrent noyés ?

                Plus tard, ces visions de cauchemar hanteront de nouveau ces hommes-là… Eux, les anciens d’Indochine, eux, les officiers qui représentaient la France dans ce pays, l’Indochine, ils la burent jusqu’à la lie. Ils connurent la défaite et l’abandon. Leur parole qui était celle de la France, ils la renièrent mille fois dans cette guerre et ils en étaient couverts de honte. Les images qui s’entrechoquaient dans leur mémoire les harcelaient sans trêve… Des familles entières menacées d’extermination par le Vietminh s’accrochaient désespérément aux ridelles des camions et, à bout de force, tombaient en pleurant dans la poussière de la route. Sept ans plus tard, ces mêmes visions apocalyptiques ressurgiront quand l’armée française abandonnera dans la honte et le déshonneur les Musulmans fidèles à la France.

    Le Commandant Hélie Denoix de Saint-Marc écrira dans « Les champs de braises » : « La plupart des Vietnamiens ne disent rien. Ils nous regardent simplement. Nous avons honte. Ils nous auraient tués à ce moment-là que nous aurions trouvé cela juste. L’un d’eux me dit : « Alors, mon capitaine, vous nous laissez tomber ? » Je ne réponds rien ! » … « Les centaines d’hommes et de femmes à qui, au nom de mon pays et en mon nom, j’avais demandé un engagement au péril de leur vie, nous les avons abandonnés en deux heures. Nous avons pris la fuite comme des malfrats. Ils ont été assassinés à cause de nous »…

                Sur cette tragédie –conséquence à ses yeux d’un parjure- qui le traumatisera jusqu’à la fin de ses jours, il ajoutera : « La simple évocation de ces souvenirs suffit, cinquante ans après, à troubler mon regard et faire trembler ma main. »

    Une fois la victoire acquise, les communistes lamineront le pays, faisant la chasse aux « collaborateurs », c'est-à-dire, ceux qui avaient pactisé avec les soldats français. Pour eux, point de pitié. Une mort atroce les attendait…

    Alors, quand en Algérie, le même processus s’engagera ; quand les officiers français se retrouveront coincés dans le même système, quand les harkis risqueront de connaître le même sort que leurs partisans indochinois… ils s’engageront… mais cette fois, personnellement, parce que le pouvoir sera trop faible, trop lâche pour tenir ses engagements. Après, plus question de partir, ce sera terminé pour eux. Ce ne sera plus la parole de la France ; ce sera la leur ! Et pour beaucoup de soldats, ce sera un engagement solennel : « La mort plutôt que le déshonneur ».

    … Et c’est cet engagement qui poussera à la révolte, en avril 1961, des soldats valeureux refusant le parjure, la trahison et la honte. Ils abandonneront ainsi leurs uniformes, sacrifieront leur carrière, seront séparés de leur famille parfois durant de longues années, connaîtront la prison, l’exil, le sarcasme de leurs vainqueurs et de ceux qui n’avaient pas osé, des poltrons, des lâches et des traîtres pour être restés fidèles à leur serment et à leur idéal.

    Le temps passera, l’oubli viendra, les légendes fleuriront, mais jamais assez l’Histoire ne mesurera la grandeur de leur sacrifice.

     

    José CASTANO

    Courriel : joseph.castano0508@orange.fr

     

    (1) – Issue des comités féminins de la Résistance, l'Union des Femmes Françaises est créée par un congrès le 21 décembre 1944. Elle se révèle rapidement liée au Parti communiste français, sous la houlette de Jeannette Vermeersch, qui en fait pendant les années de guerre froide, une organisation communiste de masse. Elle se retrouve notamment impliquée dans des actes de sabotages et de découragement à l'encontre des soldats français lors de la guerre d'Indochine.

    L'Union des femmes françaises devient Femmes solidaires en 1998

     

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  • La reconquête continue.

     

       
     

     
    ICIOININIEIXIIIOINI
    LA LETTRE ARGUMENTAIRE DU PDF
    directeur de publication : Jean-François Touzé

    7 mai 2018

     
       
     
     
     

    De mai 68…

    au mai 2018 des ultra-gauches
     
     
    Cinquante ans après le soulèvement de mai 1968 qui, s’il ne fut sur le moment, dans les faits et en apparence, qu'une révolution d’opérette, bloqua le Pays pendant quatre semaines et engendra une déstabilisation globale, politique, économique, spirituelle, structurelle et morale dont la France continue de payer le prix fort, la gauche, l’extrême gauche et une partie des libéraux se retrouvent dans la célébration de ce qui fut pour eux un acte fondateur.
    Nostalgie ? Pas seulement.
    Les  « débordements » du premier mai témoignent de la vitalité, non seulement d'une idéologie, mais d'une pratique révolutionnaire à vocation internationaliste, dont l'objectif n'est pas de remettre en cause le Système ni même d'abattre le capitalisme, mais de détruire tous les fondements de notre civilisation et d'en anéantir les valeurs et les principes.
    Personne ne doit s'y tromper et surtout pas les nationaux : il n'existe - il ne peut exister - aucune proximité entre eux et nous. Leur rébellion, leur « insoumission » ne sont pas les nôtres. Ceux qui veulent faire « la fête à Macron » n'entendent pas, en cas de succès, s’arrêter là. Leur but est l’anéantissement de l’occident Helléno-chrétien, l’occident authentique, charnel, identitaire, ancré dans ses traditions, conscient de ses origines comme du sens de son existence forgée par l’histoire. L’occident véritable, pas le monde occidental mercantile qui lui sert de substitut et dont les milices gauchistes sont au final les valets armés.
    Black blocs, No borders, antifas, zadistes, NPA,  sont bien les fils de la LCR (Ligue  Communiste Révolutionnaire) d’hier, elle-même héritière des organisations marxistes internationales, avec les mêmes pratiques, les mêmes méthodes, la même violence et le même professionnalisme dans l'exercice de la guérilla urbaine- voire rurale comme on le voit à Notre Dame des Landes- pratiques et méthodes encore perfectionnées grâce au recours massif au  réseaux sociaux.
    Ceux là sont plus que nos adversaires. Ils sont nos ennemis.
    Face à cette menace, le pouvoir joue les apprentis sorciers, en ne prenant pas la mesure de la situation créée par l'action permanente de ces groupes et en croyant pouvoir les utiliser pour servir ses intérêts. Pour le Parti de la France, la menace communiste révolutionnaire demeure une réalité d'autant plus sérieuse que la jonction entre cette mouvance et celle des organisations islamiques est en passe de se réaliser à l’intérieur et par le biais de réseaux de soutien, et que le risque de dérive terroriste est probable. Une réalité qu'un État national reconstruit devra prendre en compte pour la traiter, par un arsenal approprié de renseignement et de répression, policier et judiciaire, sans faille ni indulgence, et par une volonté politique qui devra s’exercer au moment des faits comme en amont de ceux-ci.
     

    @carllang2022

    1er mai 2018

     

    Puisque les zadistes imposent leur loi à Notre Dame des Landes, pourquoi l’extrême gauche se gênerait elle à Paris ? La faiblesse coupable du gouvernement encourage une fois de plus la violence gauchiste. A quoi sert Gérard Collomb?
     
     
     
       

    @carllang2022

    La colonisation de peuplement se porte bien : 263 000 premiers titres de séjour accordés par la France en 2017. Encore mieux que les 230 000 de 2016. Près de 500 000 immigrés légaux nouveaux en deux ans. Cette république détruit méthodiquement la France. [4 mai 2018].
     
       

    @carllang2022
    Le violeur récidiviste et assassin de la jeune Angélique mérite la peine de mort. Et une fois de plus, par laxisme idéologique, la société et la justice sont complices de fait. [30 avril 2018].
     
     
    Service national :
    inutile et coûteux
     
     
    Promesse de campagne du candidat Macron, l'instauration d'un service national obligatoire pour tous les jeunes, filles et garçons, d'une même tranche d'âge participe de ces engagements électoraux inconsidérés auxquels nous ont habitué les démagogues de droite comme de gauche.
    Depuis sa suppression décidée en 1995 par Jacques Chirac, le service militaire hante les esprits de beaucoup de nos compatriotes nostalgiques de la conscription républicaine, de la Nation en arme et du service universel.
    Universel d'apparence puisque, sans revenir aux « remplacements » des débuts de la troisième République, l'égalité devant la conscription, par le jeu de l'exemption, fut largement un mythe, particulièrement dans les vingt dernières années de l’existence du service militaire.
    Le projet Macron – un mois de service dont la moitié en internat, initiation au secourisme et aux techniques de sécurisation informatique, éducation civique de base, le tout relevant de l'autorité militaire tout en restant dans le cadre civil – s'inscrit  à tous égards dans un fourre-tout idéologique à destination incertaine.
    Le Parti de la France, attaché à la grandeur de nos armées et à leur efficacité dans l'accomplissement des missions que la France leur ordonne, souligne trois  raisons de s'opposer à ce projet.
    1. Il n'est pas dans les missions de nos armées, de nos officiers et sous-officiers de servir d’encadrement pour les pouponnières « civiques » que le gouvernement veut instituer comme classes de rattrapage d'une intégration désormais impossible. Le fameux « brassage » qu’opérait autrefois le service militaire se faisait dans un cadre national homogène et structuré, et n’était pas un but en soi. Le but était de former ses soldats pour la défense de la Patrie. Dans ce projet, aucune formation militaire réelle. Quant au brassage, les choses étant ce qu'elles sont et la réalité « sociale » de notre pays ce qu'elle est  on imagine ce qu'il en adviendra.
    2. Le coût de la mise en œuvre d'un tel projet serait exorbitant. Soit il pèserait sur le budget des Armées dont on sait l'étroitesse (la France vient de reculer d’une place dans le classement des engagements financiers consacrés à leur défense par les nations développées, ou en voie de l'être, au regard de leur PIB, et se retrouve en sixième position derrière l'Inde avec, bien sur, un écart vertigineux par rapport aux Etats Unis et à la Russie) ; soit il devrait être considéré en nouvelles dépenses, ce qui impliquerait inévitablement des charges supplémentaire pour les contribuables.
    3. La technicité de l'armée moderne, la nécessité de combattants formés, spécialisés et aguerris rend impossible le retour du service militaire à l'ancienne. Dès les années 1960, les nationaux se prononçaient pour une armée de métier. Il est, en revanche, hautement souhaitable que soit organisée, dans le cadre d’un volontariat puissamment soutenu et objet d’une incitation forte de l'Etat, une force de réserve destinée aux missions autrefois attribuées à la Défense Opérationnelle du Territoire (DOT), qui pourrait se concrétiser par la création d'une vraie garde nationale souvent évoquée par les gouvernements successifs mais toujours restée à  l’état de vœu pieux.
     
       
    Croissance :
    mensonge d’État !
     
    A en croire l’établissement politico-médiatique, la croissance économique serait de retour par le triple effet conjugué de l’avènement d'Emmanuel Macron, des réformes engagées et du contexte international, dégageant ainsi un horizon radieux vers l'emploi et la prospérité des Français.
    Hélas, ce tableau rêvé ne correspond que de très loin à la réalité comme en témoigne, outre l’écart avec l'Allemagne (prévision de croissance de 2,8% contre 1,7% pour la France), le recul important de notre progression économique au premier trimestre 2018. Recul qui rend d'ores et déjà caduques les prévisions optimistes de rentrées fiscales affichées par le gouvernement pour bâtir le budget en cours et plus encore, celui de l’année suivante.
    Deux signaux inquiétants viennent assombrir encore un peu plus les prévisions :
    • La hausse qui se profile des taux d’intérêts. La France vit à crédit et bien au dessus de ses moyens. Rappelons que le dernier budget en équilibre fut celui de 1974 et que les déficits publics atteignent aujourd’hui la somme vertigineuse de 59,3 milliards d'euros (2,6% du PIB).  Quant à l'endettement de la France, il dépasse désormais les 2200 milliards, soit 97% du PIB. Une dette qui ne peut qu’augmenter encore puisque la France aura besoin, cette année, de plus de 200 milliards pour boucler son budget sans parler des 50 milliards supplémentaires que nécessitera, le moment venu, la reprise par l’état de la dette de la SNCF. Or, lors du vote de la loi de finances 2018, le gouvernement avait établi ses prévisions en prenant en compte un taux à 1, 8%. Tout indique que celui-ci sera largement dépassé. Principal indicateur annonçant la remontée du coût de l'emprunt, le doublement en un an des taux d’État américains qui viennent de franchir la barre des 3%, tandis que monte la pression en Europe pour que la BCE suive l’exemple de la FED américaine concernant ses taux directeurs. Quand on sait que la hausse d'un point des taux d'intérêt entraînerait en France une augmentation de 5,4 milliards de la charge de la dette et engendrerait une baisse de 0,2% de la croissance, on comprend que le printemps économique promis par Emmanuel Macron risque bien de se transformer en un nouvel hiver de la stagnation.
    • Les blocages structurels de la France – poids du Public, bureaucratie, grèves et obstructions syndicales, socialisme rampant, archaïsmes des pratiques institutionnelles, retard dans la recherche et l'innovation, faiblesse de linvestissement – continuent de plomber finances publiques, compétitivité des entreprises, pouvoir d'achat des ménages et vitalité de la consommation qui, depuis le début de l'année, est en nette contraction .
    Autant d'indicateurs qui annoncent que la France n'est hélas pas sortie du tunnel qu'une nouvelle crise mondiale peut, par ailleurs, venir à tout moment obscurcir encore.
    Le PDF considère que la France ne sera remise sur les rails économiques que le jour où le poids des charges et de la fiscalité qui étouffent foyers et entreprises sera allégé, où les tracasseries administratives et les verrous bureaucratiques qui brident l'initiative et obèrent la compétitivité seront supprimés, où la part du public dans le PIB sera abaissée, où les dépenses de l'Etat seront maîtrisées et diminuées en dehors de ses devoirs régaliens, et où la protection du marché européen dans une mondialisation débridée sera assurée sans que cela ne remettre en cause l'exercice de la libre concurrence.
       
     
       
    Trump : port d’armes
    contre les terroristes
     
    En regrettant publiquement que les Français ne soient pas armés pour défendre leur vie lors d’attaques terroristes, Donald Trump vient de déclencher un tollé diplomatique et politique.
    Tout ce que la France compte de tartuffes, de bien pensants moralisateurs, de pleureuses professionnelles pour qui mieux vaut, plutôt qu’un Glock ou un Sieg Sauer pour stopper un massacre, une bougie, une peluche ou la menace d'une marche blanche,  s'est élevé, indigné et scandalisé, contre les propos du Président des Etats Unis.
    En France, il est vrai, contrairement aux USA ou à l’Etat d'Israël, par exemple, seuls les terroristes et les délinquants sont armés. Même les policiers, malgré les promesses faites au lendemain des attentats du 13 novembre 2015, restent, en fait, dans l'obligation de de se séparer de leur arme dès leur service terminé.
    Au demeurant, un policier, qu'il soit en service ou pas, s'expose, en faisant usage de son arme, aux conséquences administratives et éventuellement pénales que l'on sait.
    La défense de la population est un devoir d’État. C’est à lui qu'il appartient, par le renseignement, par l'action des services spécialisés et de l'ensemble des forces de l'ordre, par une justice exemplaire et sans indulgence dont l'arsenal doit comprendre le rétablissement de la peine de mort, de combattre et d'éradiquer les menaces et avant tout celle du terrorisme islamique.
    Avant tout ! Mais pas seulement. Au moment où crimes abominables, règlements de comptes qui mettent en danger les innocents et délinquance organisée ensanglantent nos villes et nos campagnes, il n'est plus possible de ne pas mettre en cause la société  de culpabilisation permanente et de déresponsabilisation dans laquelle sont abandonnés nos compatriotes livrés au hasard de l'insécurité chronique.
    Le Parti de la France demande que s'ouvre un débat public débouchant sur une voie législative en vue d'une réforme de la détention et du port d'armes, ainsi que de la notion légale de légitime défense pour les policiers comme pour les citoyens.
    La sécurité est la première des libertés. Elle dépend de l'Etat mais elle est aussi de la responsabilité de chacun d'entre nous.
       
     
           
     

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