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  • Prostitution fiscale

    Prostitution fiscale

    Rédigé le Mardi 8 Décembre 2015 à 11:55 | 0 commentaire(s)

     

    La république exemplaire de monsieur Hollande, celle qui a accouché des CAHUZAC, THEVENOUD et consorts, celle qui prend ses ministres comme TAUBIRA ou FIORASO la main dans le sac à mensonges, celle qui se renie en permanence, celle du scooter et des courbes, cette république vient d’inventer la prostitution fiscale.


    Prostitution fiscale
    Vous dénoncez votre voisin que vous soupçonnez de fraude fiscale et vous touchez un pourboire, ou un pourcentage de la somme récupérée, on parle de 10%.

    Lire la suite sur Boulevard Voltaire

     


     

     

  • Et le Vaucluse

    Émile Cavasino, nouveau Délégué du Parti de la France pour le Vaucluse

    Rédigé le Vendredi 4 Décembre 2015 à 17:46 | 0 commentaire(s)

     

    Émile Cavasino, Conseiller municipal de L'Isle sur la Sorgue, ex-Secrétaire départemental du Front National du Vaucluse, succède à son ami Olivier Ballet au poste de Délégué départemental du Parti de la France pour le Vaucluse.


    Ce dynamique chef d'entreprise de 53 ans, ancien sous-officier, marié et père de deux enfants, aura en charge d'animer et de développer les activités militantes du Parti de la France dans le Vaucluse.

    Pour le contacter : 06.19.65.06.88 ou e.cavasino@gmail.com

     
  • Premier tour des régionales

    Consignes du Parti de la France pour le scrutin de dimanche

    Rédigé le Vendredi 4 Décembre 2015 à 22:07 | 0 commentaire(s)

     

    Dans le cadre du 1er tour des élections régionales du dimanche 6 décembre, le Parti de la France appelle ses sympathisants à voter pour les listes auxquelles participent ses cadres et ses militants : celle menée par Jacques Bompard en PACA et celle menée par Jean-Claude Martinez en Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon.


    Dans les autres régions, le Parti de la France ne donne aucune consigne de vote et laisse ses militants et sympathisants libres de leur choix afin qu'ils puissent s'exprimer au cas par cas en leur âme et conscience.
     
    *
    Pour ma part, respectant ces consignes, j'ai eu la possibilité d'exprimer mon choix "PERSONNEL", dans les colonnes de la VOIX du NORD du mercredi 2 décembre dernier.
     
    Dominique SLABOLEPSZY
    Conseiller régional honoraire NPDC
  • Après ANZIN et d'autres, CHARTRES

    Campagne des régionales : un élu suspend sa participation au RBM/FN

    Rédigé le Vendredi 4 Décembre 2015 à 09:53 | 0 commentaire(s)

     

    Depuis 2014, Thibaut BRIERE-SAUNIER est le seul conseiller municipal RBM/FN de Chartres. Il est également conseiller communautaire. Devant les événements qui secouent quelques fédérations départementales FN de la région Centre, et plus particulièrement celle d''Eure-et-Loir, il prend ses distances avec le mouvement.


    Mes  collègues  du  bureau  de  la  fédération  départementale  du  FN  ont  convoqué  la  presse  il  y  a quelques  semaines.  Je  n''y  reviendrai  pas  car la réponse  apportée  par le principal  concerné  suffit  à situer le niveau du débat auquel il l''abaisse.  En effet, monsieur Loiseau n''apporte  aucun argument concret. Pire, il dénigre les propres personnes qu''il a lui-même proposées pour les précédentes élections. Cela démontre sa volatilité et son inconsistance.
     
    Le déroulement de la campagne électorale pose également des questions. Aucune réponse concrète n''est  avancée sur  les  problèmes  auxquels  sera  confrontée  la  région. Les  électeurs  attendent  plus que des incantations ou des vœux pieux. Les interventions médiatiques de monsieur Loiseau sont plus décevantes les unes que les autres. On ne peut pas parler constamment de ruralité pour masquer l''absence de maîtrise des autres sujets.
     
    Les élus locaux sont les premiers écœurés. Il n''est pas question de place sur une liste comme se plaît à le justifier monsieur Loiseau mais de présence sur le terrain, d''implication, d''ancrage local. Il est d''ailleurs  étonnant  que  l''argument de  l''ancrage  local  soit  utilisé.  Combien  d''élus  municipaux, de  conseiller  régional  sortant  ou  d''élu  communautaire  sur  la  liste  d''Eure-et-Loir?  En  faisant rapidement le calcul on mesure toute l''estime que porte monsieur Loiseau aux élus!
     
    L''excuse de  monsieur  Loiseau  d''être  souvent  à  Bruxelles  est  facile. Il  brille par  son  absence  sur ses  mandats  locaux.  On  ne  court  pas  deux  lièvres  à  la  fois.  Il  faut  choisir.  Sinon  c''est  tromper l''électorat.  Je  me  débrouille  seul  depuis  mon  élection  mais  j''assiste  aux  conseils.  C''est  la  moindre des choses, c''est une preuve de respect que je porte à mes électeurs.
     
    Je  remplirai  mes  obligations  citoyennes  en  allant  voter  le  6  décembre.  Je  le  ferai  en  mon  âme  et conscience. Je ne donne aucune consigne de vote. J'invite simplement les électeurs à se poser les bonnes  questions  et  à  en  tirer  toutes  les  conséquences. Je  ne  fais  le  jeu  d''aucun  parti.
    Seules  la moralité et ma conscience guident mes propos.
     
    Communiqué de presse de :
    Thibaut BRIERE-SAUNIER Conseiller municipal de Chartres Conseiller communautaire de l''agglomération de Chartres Métropole
  • DAESH ! Islam radical.

    4 décembre 2015

    SOURCE Les atrocités que commet Daesh en Syrie lui rapporte de l’argent, qu’il s’agisse du trafic d’êtres humains ou de l’esclavage sexuel des femmes. RT a parlé à des personnes qui sont parvenues à fuir ces violences.

    «Ils coupaient des têtes, enlevaient des filles et des femmes et les emmenaient à Raqqa.

    De quoi les esclaves étaient-elles coupables ? De pécher», se rappelle une femme.

    Un homme évoque l’hypocrisie de l’Etat islamique qui d’une part souhaite que les femmes restent discrètes, mais de l’autre, les déshabillent pour mieux les vendre en tant qu’esclaves. «Ils forçaient des femmes à être totalement couvertes et à ne jamais montrer aucune partie de leur corps.

    Cependant, ils faisaient se déshabiller leurs esclaves pour les vendre alors que les femmes ne sont pas autorisées à montrer quoi que ce soit», a-t-il confié à RT.

     
     
    "Ils coupent des têtes"

    Un autre homme s’est rappelé que des femmes et des filles chrétiennes étaient enlevées et que les églises étaient détruites. «Ils volaient la propriété et détruisaient les églises.

    Nos sœurs chrétiennes ont été faites prisonnières. Quelques-unes d’entre elles ont été prises otages et détenues en vue d'une rançon», a-t-il dit.

     

    L’esclavage sexuel et le trafic d’êtres humains sont des méthodes qui illustrent la façon dont Daesh procède pour augmenter ses revenus.

    En novembre, les restes de 80 femmes yézidis ont été découverts en Irak.

    Elles étaient âgée de 40 à 80 ans, ce qui laisse croire que l’organisation terroriste ne s’intéresse qu’aux femmes plus jeunes.

    En savoir plus : Un charnier contenant 80 corps de femmes yézidis tuées par Daesh découvert en Irak

    Une liste de prix vérifiée par l’ONU comme authentique confirme le fait que les jeunes filles rapportent plus aux terroristes. Les enfants de un à neufs ans se vendent 165 dollars, alors que le prix des femmes plus de 40 ans n’est que de 41 dollars.
     

    Mais nombreuses sont les femmes qui, malgré cela, luttent contre Daesh. Ainsi, une femme irakienne courageuse a fait la une des journaux en septembre dernier après avoir tué un commandant de l’EI qui l’avait enlevée et forcée à être une esclave sexuelle.

    En savoir plus : Une Yézidie tue le commandant de Daesh qui l’a forcée à l’esclavage sexuel

    D’autres femmes ont été moins heureuses et ont péri en luttant contre l’organisation terroriste. En août dernier, les combattants auraient exécuté 15 femmes sur la base aérienne de Ghazlani, près de Mossoul en Irak, après qu’elles aient refuser d’épouser des terroristes. 19 autres femmes avaient déjà été exécutées à Mossoul en juillet dernier pour la même raison

  • Pourquoi pas !

    A Béziers, Ménard veut une "garde républicaine" composée d'anciens policiers

    Rédigé le Mercredi 2 Décembre 2015 à 08:46 | 0 commentaire(s)

     

    A l'instar de Carl Lang et du Parti de la France qui réclament la création d'une garde républicaine nationale afin d'assurer la protection des français dans ces périodes dangereuses pour leur sécurité, Robert Ménard, Maire de Béziers, annonce la future création d'une garde républicaine dans sa ville. Félicitations pour son courage politique.


    Après le très polémique armement de la police municipale, une "garde républicaine" pour assurer la protection des habitants pendant l'état d'urgence. C'est la nouvelle mesure qu'espère mettre en place Robert Ménard à Béziers, en réponse aux attentats de Paris du 13 novembre dernier. "Il est important que les Biterrois voient des gens dans la ville en charge de leur sécurité si il y a un problème" a expliqué l'édile au cours d'une conférence de presse ce mardi, comme le rapporte France 3.  
    Selon Robert Ménard, cette "garde" sera composée d'anciens gendarmes, militaires ou policiers, non armés et bénévoles, qui circuleront en uniforme devant les écoles et les bâtiments publics. Cette patrouille imaginée par le maire de Béziers sera en lien avec le PC sécurité de la Ville. Comme l'indique 20 Minutes, le personnel devrait être recruté dans les prochains jours via un appel à volontaires. Les candidats, placés sous le statut de collaborateurs occasionnels du service public, feront l'objet d'un "entretien individuel avec le directeur de la police municipale et l'adjoint à la sécurité de la ville", rapporte le quotidien. 

    "Le pire de l'extrême-droite bientôt dans vos rues"

    Ce n'est pas la première fois que le maire de Béziers envisage de mettre en place une "garde biterroise". Dans un entretien accordé à la télévision identitaire TV Libertés, Robert Ménard avait expliqué qu'il souhaitait "des gardes municipales, qu'on puisse mobiliser les anciens gendarmes, les anciens militaires à la retraite, les anciens policiers pour assurer tout un tas de tâches de sécurité, les fouilles par exemple, pour dégager la police nationale et municipale de ces tâches chronophages qui ne leur permettent pas d'être là où il faut."  

    Une nouvelle décision polémique qui ne manque pas de faire réagir sur les réseaux sociaux.  
    Retrouver cet article sur L'Express.fr

  • KITS ! Vous avez dit KITS !

    Désolé, même si ça vient de "LIBE", je ne peux pas faire autrement que de publier.

    Kits

    Affaire «Jeanne» : des élus FN accusent leur parti

    Par Dominique Albertini
    Conférence de presse, dans un café au centre de Valenciennes, d'élus du FN pour parler de l' affaire Jeanne. De gauche à droite, Jean-Luc Laurent, conseiller municipal de Valenciennes, Francis Boudrenghien, conseiller municipal d'Anzin, Nadine Fournard, conseillère municipale d'Anzin, le 1er décembre 2015.Zoom
    Conférence de presse, dans un café au centre de Valenciennes, d'élus du FN pour parler de l' affaire Jeanne. De gauche à droite, Jean-Luc Laurent, conseiller municipal de Valenciennes, Francis Boudrenghien, conseiller municipal d'Anzin, Nadine Fournard, conseillère municipale d'Anzin, le 1er décembre 2015. Photo Aimée Thirion pour Libération

    Trois conseillers municipaux frontistes du Nord ont mis en cause ce mardi les «kits de campagne» en usage au Front national, et qui se trouvent au centre d'une enquête ouverte par la justice en avril 2014.

    L’affaire «Jeanne» s’invite dans la campagne des régionales. Lors d’une conférence de presse organisée ce mardi à Valenciennes, trois élus FN du Nord ont dénoncé une «escroquerie» de la part du mouvement. Tous trois candidats aux départementales de mars 2015, ils contestent l’usage au sein du parti d’un «kit de campagne» conçu par la société Riwal. Utilisé par le FN depuis plusieurs scrutins, ce kit est un lot de matériel comprenant affiches, bulletins de votes ou encore conception d’un site Internet. Censé faciliter la vie des candidats, le système est pourtant au cœur d’une enquête judiciaire depuis avril 2014. Les juges du pôle financier cherchent notamment à déterminer si l’achat de ce kit était obligatoire pour la plupart des candidats FN, et si le prix de certaines prestations n’a pas été surévalué.

    «On nous a dit dans une réunion que, si on ne prenait pas les kits, on ne serait pas candidats», assure Francis Boudrenghien, conseiller municipal FN à Anzin, qui dit avoir été contraint de commander un supplément d’affiches électorales. De son côté, Jean-Luc Laurent, conseiller municipal de Valenciennes, critique le prix et le format des prestations du kit : «Lorsqu’il m’a été proposé, pour un montant total de 8 000 euros, j’ai voulu y prendre quelques pièces et en refuser d’autres. La prestation de l’expert-comptable, par exemple, était facturée 1 400 euros alors qu’un professionnel local ne me demandait que 600 euros pour le même travail. J’ai également refusé la facturation de 28 000 cartes postales, livrées si tardivement que je n’aurai pas eu le temps de les distribuer.»

    Selon Jean-Luc Laurent, ces réticences lui auraient valu d’être sermonné par le responsable local du FN, Guy Cannie. Dans un échange de courriels entre les deux hommes, exhibé par M. Laurent, Guy Cannie qualifie le kit d’«obligatoire». Ce terme apparaît également sur des documents adressés aux candidats du FN lors des municipales de 2014. «Sur ces kits, vous n’êtes pas sans savoir qu’il y a une enquête en cours, je n’ai donc rien à dire», réagit Guy Cannie auprès de Libération. Tout en concédant que leur usage était «fortement conseillé» par la direction du FN : «Mais certains l’ont refusé, d’autres n’en ont pris qu’une partie, et il n’y a pas eu de problèmes. Les gens dont vous parlez n’ont commencé à protester qu’après avoir appris qu’ils ne seraient pas investis pour les élections régionales, comme M. Laurent en raison d’une attitude lamentable.»

    De son côté, Marine Le Pen avait dénoncé le 11 novembre des accusations «parfaitement fantaisistes et diffamatoires», et promis «une plainte en diffamation contre ces élus qui cherchent en réalité en pleine campagne électorale à nuire au parti qui les a fait élire».

    Des prestations «surévaluées»

    Ces éléments pourraient tout de même renforcer dans leurs soupçons les juges d’instruction Renaud Van Ruymbeck et Aude Buresi. Les deux magistrats se concentrent sur la campagne législative de 2012, lors de laquelle le système des kits était déjà en place. Dans la double hypothèse d’un achat obligatoire et «surfacturé», le système ferait un perdant : l’Etat lui-même, qui rembourse aux candidats leurs dépenses de campagne en vertu du code électoral. Et deux gagnants. La société Riwal d’une part : productrice du kit, elle est dirigée par le très radical Frédéric Chatillon, un ami de Marine Le Pen. Le microparti Jeanne d’autre part : piloté par des proches de cette dernière, il propose aux candidats FN des prêts leur permettant d’acheter le kit, à un taux d’intérêt de 6,5%. Neuf personnes ont déjà été mises en examen, dont Frédéric Chatillon, le vice-président du FN Jean-François Jalkh, son trésorier Wallerand de Saint-Just, ainsi que Jeanne et le FN eux-mêmes en tant que personnes morales.

    Si l’issue de la procédure reste incertaine, la Commission nationale des comptes de campagne semble de son côté avoir acté certains débordements. «Il ressort de la procédure contradictoire et des informations recueillies auprès du parti et de son fournisseur que certaines de ces prestations apparaissent surévaluées», écrit l’institution, sur plusieurs avis adressés aux candidats frontistes, et consultés par Libération. La commission conteste notamment «une somme de 600 euros [correspondant] à la personnalisation» des documents de campagne. Un «montant élevé [qui] n’est justifié ni par la nature de la prestation, qui consiste seulement en la reproduction de la photographie des candidats du binôme, de leurs noms et de celui de la circonscription, ni par des difficultés techniques particulières».

    Qui plus est, «la facturation du même montant forfaitaire à la quasi-totalité des binômes [FN] procure au parti Jeanne une économie d’échelle très importante qui, loin de bénéficier aux candidats, est la source d’une surévaluation significative». Conséquence : la commission retranche 300 euros sur le remboursement de cette prestation, une décision qui, selon nos informations, concernerait la quasi-totalité des candidats FN. D’autres prestations font l’objet de tels retranchements, notamment l’impression d’un journal de campagne de 8 pages, ou encore les intérêts demandés par Jeanne, correspondant à une durée plus longue que celle du versement effectif des capitaux aux candidats.

    Interrogé fin octobre par l'AFP, Jean-François Jalkh indiquait cependant qu'il y aurait «1900 recours» contre ces décisions de la CNCCFP, soit le nombre de binômes FN engagés dans les départementales, pour déterminer «si c’est à la CNCCFP de fixer le tarif des prestations». «Je vais demander officiellement à la CNCCFP de me fixer point par point les grilles de tarifs sur tous les grands chapitres de dépense», poursuivait celui qui est chargé du contentieux électoral au FN. «C’est la première fois que la CNCCFP se lance-là dedans. On est dans l’arbitraire», ajoutait, toujours auprès de l'AFP, Wallerand de Saint Just. Ajoutant cependant que Riwal devrait peut-être «rabattre son prix»

    Dominique Albertini
  • TURQUIE !!!!!!!

    Mieux que Gribouille, l’Union Européenne !

    Rédigé le Mardi 1 Décembre 2015 à 09:23 | 0 commentaire(s)

     

    Par Bernard Antony. La Turquie islamiste recevra donc 3 milliards d’euros de l’Union Européenne pour financer ses camps de réfugiés.


    Simultanément, cette dernière a accordé à ce distingué humaniste qu’est M. Erdogan la reprise du processus d’intégration de son pays. Ainsi les turcs pourront-ils plus facilement encore s’installer dans les pays européens : plus besoin de visas !

    Or la Turquie n’en impose pas aux ressortissants des peuples ottomans. Elle leur accorde « ipso facto » la nationalité turque s’ils émigrent dans un premier temps sur son sol. Mais ce sont par dizaines de millions que pourront s’implanter à leur tour chez nous les descendants de Gengis Khan immigrant depuis l’un des cinq autres pays turcophones !

    Lire la suite sur le blog de Bernard Antony