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  • La dictature !!!!

    Seuls, les crédules pouvaient le croire !

     

    Bruno Larebière : "Pour le FN, il ne peut être d’alliés que vassaux"

    Rédigé le Dimanche 6 Novembre 2016 à 17:20 | 0 commentaire(s)

     

    Extrait de l'analyse de Bruno Larebière pour Atlantico. "La fiction du Rassemblement Bleu Marine vient d’être rattrapée par le rude principe de réalité avec le départ du Siel (...) Le RBM n’est plus qu’une coquille vide ou l’autre nom du Front national.


    Créé en 2012, le RBM, sous couvert de vouloir « rassembler l'ensemble des patriotes attachés à la souveraineté du peuple français et au respect des valeurs de la République française », était en fait un sas pour qui manifestait le désir de rejoindre Marine Le Pen sans vouloir adhérer au Front national. Le RBM offrait à ces transfuges l’apparence de l’autonomie par rapport au FN ; mais l’apparence seulement.

    Outre que le RBM est présidé par Marine Le Pen et que son siège n’est autre que celui du FN, il n’a jamais disposé de la moindre liberté de mouvement par rapport au FN. Le RBM a toujours été une sorte de marque commerciale du Front national, de telle sorte qu’à chaque scrutin où se présentaient des candidats ou des listes RBM, il leur était rappelé qu’ils devaient s’enregistrer à la préfecture sous l’étiquette Front national, et non pas sous celle du RBM qui n’était valable que pour le matériel de propagande. Le Rassemblement Bleu Marine, ce n’était que pour les électeurs

    Le côté amusant du départ du Siel du Rassemblement Bleu Marine est qu’il se produit sous la présidence de Karim Ouchikh, installé à ce poste par Marine Le Pen elle-même dans le but de maîtriser ce parti. Lorsque Karim Ouchikh a pris la présidence du Siel, en 2014, ce fut à l’instigation de la présidente du Front national (et avec le soutien de la totalité des plus hauts responsables du FN). Elle ne supportait plus l’indépendance de son président-fondateur, l’ancien député villiériste Paul-Marie Coûteaux, dont elle avait d’abord fait un proche conseiller avant de s’en séparer, et qui était suspecté de vouloir opérer un rapprochement avec la droite parlementaire (...)

    Face au départ annoncé du Siel du Rbm, le Front national aurait pu faire mine de s’en féliciter habilement, en s’appuyant sur le soutien renouvelé à la candidature de Marine Le Pen pour expliquer qu’il perdait certes un allié, mais y gagnait un partenaire. Au lieu de cela, le FN, par la voix du très proche entourage de Marine Le Pen, identifié ou non, a multiplié les déclarations assassines et humiliantes  (...) 

    On notera à cet égard que le FN reprend très exactement les éléments de langage et la pratique qu’il reproche à la gauche de mener à son encontre, celle de la diabolisation, allant jusqu’à propager l’idée que Karim Ouchikh, dont le patronyme indique suffisamment qu’il est d’origine kabyle, se fait le cheval de Troie du racialisme. Maintenant que Ouchikh a été rejeté dans les ténèbres de l’extrême droite, que va-t-on entendre sur Robert Ménard, qui sort la semaine prochaine un ouvrage, Abécédaire de la France qui ne veut pas mourir, où il juge "incontestable" le "grand remplacement de population en cours".

    (...) Il ne peut y avoir, auprès du FN, de Siel ni aucune autre formation, au contraire du Parti socialiste qui a su garder sous contrôle, tout en faisant preuve de souplesse, les radicaux de gauche – hormis à la présidentielle de 2002, et on sait ce qu’il lui en a coûté ! – ou des Républicains qui couvrent d’égards les petites formations comme le Cnip. Le FN est hégémonique et ne veut pas tolérer la moindre poche de résistance, comme peut en témoigner Jacques Bompard, le député-maire d’Orange, qui, faute de pouvoir être asservi, doit être liquidé. 

    Pour le FN, il ne peut être d’alliés que vassaux.(...) Après que Karim Ouchikh avait été vu sur le plateau de TF1, lors du premier débat de la primaire de la droite et du centre, parmi les invités de Jean-Frédéric Poisson, lequel avait préalablement affirmé qu’il fallait "en finir avec ce cordon sanitaire qui n'a ni sens ni raison d'être" avec le Front national, Florian Philippot a attendu le moment opportun pour déclarer qu’il ne partageait "rien" avec le président du Parti chrétien-démocrate et que celui-ci n’était "pas compatible" avec le FN.

    Comme pour clairement signifier à ceux qui, au FN, seraient tentés par des alliances à droite (...) que c’est hors de question."

    Philippe Carhon
    Le salon beige
  • Jean-Pierre STIRBOIS

    vendredi, 04 novembre 2016

    Jean-Pierre STIRBOIS, décédé le 5 novembre 1988...

    Stirbois.jpg

    Jean-Pierre STIRBOIS, né le 30 janvier 1945 à Paris, est mort accidentellement le 5 novembre 1988 à Ponchartrain (Yvelines). Politiquement engagé, il était le mari de Marie-France STIRBOIS, également engagée en politique.

    Après avoir participé en 1965 à la campagne présidentielle de Jean-Louis Tixier-Vignancour, il milite au Mouvement jeune révolution (MJR - solidariste). En 1975, il crée avec Michel Collinot l'Union Solidariste.

    En 1977, il rejoint le Front national et il en devient Secrétaire général en 1981. En septembre 1983, il est élu adjoint au maire de Dreux. Ce qui provoqua un véritable coup de tonnerre dans la vie politique de l'époque... Il est élu député européen en 1984 et député à l'Assemblée nationale en 1986.

    Après avoir effectué un voyage en Nouvelle-Calédonie pour défendre les liens entre celle-ci et la France, il trouve la mort dans un accident de voiture en revenant d'une réunion publique à Dreux.

    Il est enterré au cimetière Montparnasse à Paris.

     

    "L'avenir nous appartient, titre de son livre en 1987"

    J'ai souvent complété par "L'avenir nous appartient toujours", sa vision de la Droite Nationale est celle que nous défendons au PARTI de la FRANCE.

  • Le PDF en première ligne

    Bretteville-sur-Laize : le Parti de la France tracte contre l'installation de migrants !

    Rédigé le Vendredi 4 Novembre 2016 à 11:09 | 0 commentaire(s)

     

    En début de semaine, une équipe du Parti de la France du Calvados est allée informer les habitants de Bretteville-sur-Laize de son intention de renvoyer chez eux les migrants qui ont été déversés dans cette commune par le gouvernement socialiste actuellement en place.


    L'ensemble des riverains rencontrés s'est montré réceptif, voire même enthousiaste, à l'évocation de nos solutions, preuve que nos solutions politiques sont prises pour ce qu'elles sont : de simples solutions de bon sens !

    D'ailleurs, nous n'avons toujours pas rencontré la soi-disant majorité pro-migrants dont a récemment parlé le journal militant antinationaliste Ouest-France.

    Nous invitons d'ailleurs tous les Calvadosiens et tous les Brettevillais à nous rejoindre, afin qu'ils se retrouvent au sein de notre organisation ancrée dans la réalité, en totale opposition avec les opinions d'une presse mensongère et déconnectée des préoccupations réelles des Français.