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  • A méditer humblement ! Marine et les autres, et c'est pas fini.

    Le "grain de sel" de Jean-Claude Rolinat

    Rédigé le Vendredi 3 Février 2017 à 14:58 | 0 commentaire(s)

     

    LA MALEDICTION DES FAVORIS
    Les lecteurs de ma génération de la catégorie des « 7 à 77 ans », se souviennent certainement de l’album des aventures de TINTIN intitulé « Les sept boules de cristal ».


    Le "grain de sel" de Jean-Claude Rolinat
    Une histoire dans laquelle la malédiction de l’Inca Rascar-Capac  frappait d’un mal mystérieux les savants de retour d’une expédition au Pérou et en Bolivie. Hergé, pour trousser cette nouvelle aventure du héros à la houppette, s’inspirait sans doute de la mort mystérieuse des égyptologues qui avaient violé le tombeau du pharaon Toutankhamon. Un même mal tout autant mystérieux, sans doute moins…. « mortel », s’abattrait-il sur les candidats favoris à l’élection présidentielle française, celle de 2012 comme celle d’avril et mai prochains ?
    DE DSK à Fillon en passant par Clinton
    Il y a cinq ans, juré, craché foi de sondeur, « le meilleur économiste de France » - ça reste à prouver ! – devait entrer à l’Elysée comme une main dans un gant de toilette. Patatras, les « prouesses » sexuelles de Dominique Strauss Kahn au Sofitel de New-York l’envoyaient pour un très court temps derrière les barreaux étatsuniens et détruisaient ses chances d’accéder à la magistrature suprême. Plus près de nous dans l’échelle du temps, un autre favori incarnant le courant social-démocrate du Parti socialiste, le vindicatif Manuel Valls, mordait la poussière face à Benoit Hamon. Ce dernier, éphémère ministre de l’éducation nationale et député frondeur,  gauchiste pur poil, est l’élu de Trappes « le Molenbeek français ». En Amérique, Donald Trump , à en croire les sondages,  aurait dû être battu à plate couture par l’arrogante Hillary Clinton bénéficiant elle, de l’onction médiatique et du soutien de l’hyper classe mondialiste U.S. Que nenni, les patriotes américains ont fait mentir les sondeurs et l’ancienne secrétaire d’Etat et sénatrice de la « big apple » a jeté l’éponge et regagné son terrier new-yorkais.
    Fillon file un mauvais coton
    Qu’en sera-t-il de François Fillon, étonnant triomphateur d’Alain Juppé qui caracolait depuis près de deux ans en tête de tous les sondages ? Pour le maire de Bordeaux, la rue du Faubourg Saint-Honoré devait être pavée de roses. Elle ne fut qu’un bref chemin de croix semé d’épines….Est-ce au tour du flegmatique Fillon, empêtré dans les contradictions du « Pénélopegate » , de subir la malédiction des favoris, lui qui était assuré de devenir Président après sa nette victoire aux primaires de son camp ? Visiblement, un méchant coup de bec d’un facétieux  Canard semble l’avoir mis K.O. Définitivement ? (1). Sera-t-il contraint d’abandonner sa marche triomphale vers le forum élyséen, tel un César au front ceint de lauriers ? A son tour le jeune patricien Macron, coqueluche des gazettes et voltigeur des sondages, mordra-t-il la poussière du cirque présidentiel, dépassé par le char d’un(e) outsider ? La vie politique est pleine d’imprévus, de rebondissements, rien n’est jamais vraiment acquis. Il s’en est fallu de peu hier et jadis, que Jacques Chaban-Delmas et Edouard Balladur ne deviennent numéro un,  que le Québec et  l’Ecosse ne choisissent par la sécession le grand large, que Hofer ne l’emporte en Autriche et que le Brexit ne passe à la trappe. Un homme politique n’est jamais fini tant que la mort ne l’a pas frappé. Il y a mille et cent exemples de par le monde de résurrections qui ne doivent rien à une intervention divine ! Qui aurait imaginé en 1960 que le Vice-Président Richard Nixon tomberait face à John Kennedy à 100 000 voix près, parce qu’il était apparu à la télévision « mal rasé »,  ou que le même Nixon chuterait sur une petite affaire d’espionnage du Q.G de ses rivaux démocrates ? (2). Pouvait-on espérer que dans son propre Land d’origine, le parti de dame Merkel la CDU, serait battu par l’irruption de l’AFD lors des dernières consultations régionales ? Depuis Charles Maurras, nous savons qu’en politique « le désespoir est une sottises absolue ». Le feuilleton de l’élection présidentielle s’avère être palpitant. Rien n’est joué, tout est possible, le pire comme le meilleur. Néanmoins, il eût été plus confortable de le suivre détendu si, cette fois-ci, l’échéance n’était pas la dernière avant la chute fatale de « notre cher et vieux pays ». Mais, comme le Prince d’Orange, Stathouder des Pays-Bas au XVIIème siècle, nous pensons qu’il « n’est pas nécessaire d’espérer pour entreprendre »…
     
    Jean-Claude ROLINAT   
    (1) Sans émettre aucun jugement de fond sur cette affaire aux aspects scandaleux, il est néanmoins permis de s’interroger sur l’exceptionnelle célérité du Parquet. Il faut avoir présent à  l’esprit que  Mme Eliane Houlette a été nommée à la tête du Parquet national financier sur proposition de l’ancienne Garde des sceaux Christiane Taubira, et que Mr Jean-Louis Nadal a été placé par François Hollande lui-même à la tête de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique. (Organisme créé après la forfaiture de Jérôme Cahuzac).De la République démocratique élective, devrions-nous passer, sans transition, sous le régime de la « République des juges » ?
    (2) le fameux « Watergate »
     


     

     


      

  • Paroles ! Paroles ...... !

    Les promesses délirantes que Marine Le Pen va annoncer

    Rédigé le Jeudi 2 Février 2017 à 08:12 | 0 commentaire(s)

     

    C’est un document d’une quinzaine de pages qui circule depuis quelques jours dans le cercle très fermé des caciques du Front national. A part Marine Le Pen elle-même, ils sont une poignée à avoir eu entre les mains les 144 engagements que la candidate d’extrême-droite dévoilera le week-end prochain à Lyon. Parmi les happy few, il y a le vice-président du FN Florian Philippot, le directeur de campagne David Rachline, les députés européens Joëlle Mélin et Bernard Monot et le coordinateur du projet Jean Messiha, un haut fonctionnaire de l'Etat en disponibilité.


    La version, que Challenges s’est procurée, sera sans doute encore amendée dans les prochains jours, mais les principaux engagements sont là. Découpé en six chapitres, le programme promet « Une France libre »« Une France fière »« Une France prospère »« Une France juste »... Sur la forme, c’est un catalogue de plus de 140 promesses, plus ou moins floues, souvent coûteuses et mal financées. Marine Le Pen ne s’embarrasse guère de l’équilibre des comptes publics. Elle se contente de formules vagues sur l’assainissement des finances publiques et la chasse au gaspillage.

    Côté social, une « prime de pouvoir d’achat » serait accordée aux bas revenus et petites retraites jusqu’à 1.500 euros par mois. « Cela aurait l’avantage de toucher tous les ménages modestes, y compris les inactifs et ceux qui ne paient pas l’impôt sur le revenu, sous la forme d’un chèque versé par le trésor public », confie un membre du staff de campagne. Ce sont donc les classes moyennes qui vont encore morfler pour financer tout ça...

    Lancées par Marine Le Pen mi-janvier, la proposition de fixer un délai de deux ans aux travailleurs étrangers qui cotisent à l’assurance maladie avant de profiter du remboursement des soins et celle de leur facturer le coût de l’école publique n’ont en revanche pas été retenues. « Ce sont des pistes qui choquent les Français et on a préféré y renoncer », glisse un proche de la patronne du FN.

    A rebours des réformes menées depuis 25 ans, Marine Le Pen promet coûte que coûte le retour de l’âge de départ à la retraite à 60 ans, contre 62 ans aujourd’hui, après 40 ans de cotisations, contre 41,5 ans actuellement et 43,5 ans à l’horizon 2035. « C’est une mesure à laquelle elle tient tout particulièrement, confie un élu frontiste. Impossible de la faire changer d’avis sur ce point. » Et tant pis si cela coûterait environ 15 milliards d’euros…

    Pour l’heure, pas de trace d’un chiffrage précis du coût de cette longue liste de promesses. Quant aux économies, elles sont rares, de faible ampleur ou très hypothétiques : suppression des conseils régionaux et des intercommunalités, disparition de l’aide médicale d’État, lutte contre la fraude fiscale et sociale, etc. Un flou artistique quasi assumé par l’entourage de la candidate.

    En outre, plus un mot sur le rétablissement de la peine de mort, sur l'inversion des flux migratoires ou sur l'abrogation des lois liberticides, et encore moins bien sûr sur le droit à la vie et les parodies de mariages entre homosexuels...

    Source : http://www.challenges.fr

  • Qui paye ses dettes peut-être s'enrichit !

    FN: le parti doit 1,1 million d'euros à Bruxelles

    Rédigé le Mercredi 1 Février 2017 à 09:27 | 0 commentaire(s)

     

    Plusieurs députés du Front national sont accusés d'avoir rémunéré avec des fonds européens des assistants parlementaires qui travaillaient essentiellement pour le FN.


     
     

     
    Marine Le Pen a porté plainte contre la directrice de l'organe européen de lutte contre la fraude.
     
     
     
  • Et, ils sont où ?

    Front national : un tiers des élus municipaux ont quitté leurs postes depuis 2014

    Rédigé le Mercredi 1 Février 2017 à 09:19 | 0 commentaire(s)

     

    Au printemps 2014, Le Front national et son rassemblement bleu marine exultent. Pour la première fois, il obtient plus de 1.500 élus aux élections municipales. Deux ans et demi plus tard, combien en reste-t-il ? L’Oeil du 20h a mené l’enquête.
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    Un tiers de démissionnaires

    Appeler les quelques 500 villes où le Front National a obtenu des élus, ça nous a pris du temps : des journées entières au téléphone. Résultat : sur les 1.518 conseillers municipaux Front National élus en 2014, 32% ne le sont plus. Beaucoup sont partis pour des raisons personnelles : déménagement ou changement de travail. Le problème, c’est que les remplacer s’avère parfois compliqué.

    Un élu fantôme

    C’est le cas par exemple à Cusset, dans la banlieue de Vichy. Lors des conseils municipaux, les absents sont toujours  excusés. Tous, sauf Bruno Chabert l’unique élu Front national. Six mois que le siège est vacant. Voilà pourquoi : la tête de liste Front National élue en 2014, a siégé pendant un an. Suite à une mise en examen, il a démissionné.

    Comme le prévoit la loi, la personne suivante doit le remplacer. Elle a refusé. Le numéro 3 de la liste est resté 6 mois. Le quatrième n’a pas siégé. Le 5ème, Bruno Chabert, est introuvable alors que la municipalité continue à le convier aux réunions du conseil.

    Et si l’élu est aujourd’hui introuvable, c’est parce que la liste Front National a été faite un peu à la va-vite. Nous sommes allés voir Michel Manillère, 3ème sur la liste. Il admet ne pas bien connaître tout le monde. “Ce n’est pas une liste fantoche, mais il fallait trouver 33 personnes sur la liste. Je remercie les gars qui ont signé d’ailleurs”, explique ce dernier à notre micro.

    Des dissensions politiques ?

    Mais si autant de conseillers municipaux FN ont quitté leurs postes depuis 2014, c’est aussi que 12% d’entre eux ont renoncé à l’étiquette Front national. Dans le Var, le parti dirige la mairie du Luc en Provence.

    Patricia Zirilli, ancienne de l’UMP, rejoint le rassemblement bleu marine en 2014. Elle est élue maire pendant un an puis jette l’éponge. Dans la presse locale, elle explique : “Je démissionne à cause des pressions d’une équipe (...) qui me reproche de “ne pas être assez FN””. A la mairie, on conteste cette version. Selon le nouveau maire frontiste, l’équipe municipale fonctionne beaucoup mieux aujourd’hui.

    Au sommet du Front National, on conteste toute dissension politique. “C’est révélateur d’une construction rapide du parti”, explique Nicolas Bay, le secrétaire général du FN. Au parti à la flamme, on reconnaît néanmoins que l’objectif en 2014, c’était d’obtenir un maximum d’élus, quitte... à en perdre quelques uns en route.
    source:leblogfrancetvinfo.fr