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Soutien au PDF

Christophe STIRBOIS, fils de Jean-Pierre et Marie-France Stirbois apporte son soutien à Jean Verdon qui conduit la liste  du Parti de la France, liste d’union des nationaux dans la région Centre.

"Madame, Monsieur, chers compatriotes

Jean-Pierre et Marie-France Stirbois avaient consacré de très nombreuses années de leur vie à la défense des Drouais confrontés au chômage, à l’insécurité et l’immigration. C’est d’ailleurs parce qu’elle combattait déjà l’extrémisme islamiste que les Français d’Eure et Loir avaient élu ma mère député en 1989. Marie-France Stirbois était une battante, une femme politique courageuse et sincèrement engagée dans le combat pour la préservation de notre cadre de vie, de notre ruralité, de notre identité, appréciée de tous aussi pour sa franchise et son opiniâtreté.

C’est mon père qui a le premier confié des responsabilités politiques à Jean Verdon dans la région Centre, quand le mouvement national commençait à peine à émerger. Les hommes de talent, ayant des convictions patriotiques, et solidement installés dans la vie professionnelle comme Jean étaient alors rares. Ensuite, il a été un ami politique loyal et fidèle de ma mère, notamment dans les moments difficiles. C’est lui qui a repris le flambeau du combat patriotique dans la région Centre, et, dans l’Eure et Loir, avec Jacques Dautrême !

Aujourd’hui, dans le souvenir de mes parents Jean-Pierre et Marie-France Stirbois, je vous demande de lui faire à nouveau confiance pour qu’il puisse être votre vrai porte-parole à la Région avec les autres élus du Parti de la France.

Alors ne vous trompez pas ! Ne vous laissez pas abuser par les listes de division et parasites soutenues par le Système. Si comme moi, comme Jean-Pierre et Marie-France Stirbois en leur temps, vous voulez que notre région reste française, un seul vote, une seule solution… Jean Verdon Le Parti de la France.

À nouveau, je vous le dis : Ne nous trompons pas ! Ne nous laissons pas tromper !

Christophe Stirbois"

 

 

Lu dans le Nouveau NH-HEBDO : interwiev de Carl LANG

 

Carl LANG : "Ces élections régionales sont l’occasion de faire connaître le Parti de la France qui a été créé il y a moins d’un an et de confirmer notre stratégie de renouveau, de rassemblement et de résistance."

Appelé à la rescousse lors de la scission de 1998, sollicité, lorsque la situation semblait compromise pour trouver les parrainages de maires à la présidentielle de 2002, Carl Lang a été longtemps considéré comme "le meilleur d’entre nous" par la direction du Front national avant d’en être exclu. A moins d’un mois des élections régionales, le président du Parti de la France a bien voulu répondre à nos questions, questions qui sont peut être aussi les vôtres, sur l’avenir de la droite nationale et de son engagement à la tête du Parti de la France.

Mars 2009, Carl Lang officialisait la naissance du Parti de la France en présence d’Annick Martin représentant le MNR, de Robert Spieler pour la NDP et Jean-Claude Martinez.

NNH—Vous aviez annoncé que le Parti de la France présenterait des candidats dans au moins huit régions. Où en êtes-vous aujourd’hui ? Et qu’attendez vous de ce scrutin ?

Carl Lang— Dans sa stratégie d’union des nationaux et des patriotes français nous soutenons la liste des Lorrains contre les minarets menée par Annick Martin, secrétaire générale du MNR et la liste de la Ligue du Sud menée par Jacques Bompard en PACA. Des membres du Parti de la France figurent à titre individuel sur la liste régionale de Jean-Claude Martinez en Languedoc-Roussillon. En région Franche-Comté, la liste de la Ligue franc-comtoise contre les minarets est soutenue et dirigée par Christophe Devillers, délégué régional du Parti de la France.

Enfin, Thomas Joly, Fernand Le Rachinel, Jean Verdon et moi-même menons des listes du Parti de la France et de ses alliés en Picardie, Basse-Normandie, région Centre, et Haute-Normandie. Ces élections régionales sont l’occasion de faire connaître le Parti de la France qui a été créé il y a moins d’un an et de confirmer notre stratégie de renouveau, de rassemblement et de résistance.

Le Front national que vous avez quitté pour désaccords politiques semble se refaire une santé dans les sondages. Il est très présent dans les médias ou tout au moins Marine Le Pen qui a obtenu une page dans Le Monde ainsi qu’un "tchat" sur le Monde.fr quelques semaines plus tard, ce qui n’était jamais arrivé avec son père, un débat avec le ministre de l’Immigration Eric Besson en première partie de soirée. Alors, est-ce que vous vous seriez trompé et la stratégie de Marine Le Pen serait-elle la bonne ?

Permettez-moi d’abord de préciser que je n’ai pas démissionné du Front national, mouvement auquel j’ai appartenu pendant 30 ans, mais j’en ai été exclu. Il se trouve que j’ai été en désaccord avec la stratégie présidentielle de 2007 de la directrice de campagne Marine Le Pen. A la vérité, il faudrait plutôt dire que c’est Marine Le Pen seule qui est sous perfusion médiatique et en situation de monopole dans l’accès aux médias nationaux. Si l’on voit ou entend encore un peu Jean-Marie Le Pen, il est frappant de constater que Bruno Gollnisch est quant à lui manifestement interdit de séjour sur les plateaux. Puisque vous parlez de stratégie, il s’agit clairement d’une stratégie élaborée par les partis du système. Ce qui conforte notre analyse et renforce notre détermination à mener la vraie bataille de résistance nationale contre la colonisation migratoire, financière et économique de la France et l’islamisation de notre pays. Le fait de ne pas être médiatiquement compatible ne nous empêchera pas, au contraire, de progresser dans l’opinion. Il ne faut pas confondre la France des bobos et des plateaux télé et la France réelle. Il ne suffit pas d’avoir "open-bar" sur Canal + pour porter le discours de résistance nationale. Quant à nous, personne ne nous interdira de nous exprimer et nous empêchera de défendre nos convictions et nos valeurs. Ni les insultes d’une clique, ni les intimidations ou les menaces nous empêcherons de remplir notre mission à l’égard de la France et du peuple français. Le patriotisme est la propriété privée de personne, et personne n’a le monopole de ce combat.

Parti de la France, MNR, NDP, si le militant peut s’y reconnaître dans ses mouvances de la Droite nationale pour les électeurs, cela semble bien plus compliqué. N’y a-t-il pas un sigle un logo que vous pourriez utiliser en commun pour les élections ce qui rendrait la vie plus facile à vos électeurs ?

Notre stratégie est une stratégie de rassemblement des nationaux, c’est la raison pour laquelle nous travaillons de concert avec Annick Martin qui dirige le MNR et Robert Spieler délégué national de la NDP. Les élections régionales seront l’occasion de faire connaître et de promouvoir l’image du PdF en région Centre, Picardie, Basse et Haute Normandie, mais aussi en Lorraine, e Franche-Comté ou en PACA. Mais à ce stade, nous n’envisageons, ni les uns ni les autres de constituer une structure unique et monolithique. La nécessaire union des nationaux et des patriotes n’exige pas obligatoirement la fusion de ses structures.

Vous êtes revenu, vous implanter en Haute-Normandie. Est-ce une implantation durable ou seulement de circonstance ?

Etant Normand, né à Vernon, et ayant vécu en Normandie durant 35 ans avant d’habiter Saint-Amand-les Eaux dans le Nord, il s’agit pour moi d’un retour au pays, dans ma région natale dont j’ai été l’élu au Conseil régional de 1986 à 1992. Pour l’anecdote, lorsque j’ai pris la direction de la fédération de l’Eure du FN en 1979, à l’âge de 22 ans, nous étions 2 adhérents à jours de cotisation... Il y en a déjà beaucoup plus qui sont membres aujourd’hui du Parti de la France !

La fédération FN, principalement en Seine-Maritime, à littéralement, explosée en vol à la suite du parachutage d’un Parisien pour prendre la tête de liste aux régionales. C’était pourtant une fédération qui était restée fidèle au Front national et à Marine Le Pen lors des élections européennes de juin 2009. Nicola Bay sera l’un de vos adversaires, lors de ces élections, mais vous êtes concurrents directs. Qu’est-ce qui vous différencie, qu’est-ce que vous avez de plus que lui qui puisse inciter les électeurs à choisir le PdF et Carl Lang plutôt que le FN ?

La liste du Parti de la France et d’union des nationaux normands est composée de Normands et non pas de parachutés d’Ile-de-France. Je considère que le fait de choisir un conseiller municipal de Sartrouville, tête de liste en Seine-Maritime et un conseiller municipal d’Enghien-les-Bains, tête de liste dans l’Eure, est une marque de mépris pour les militants et sympathisants normands en général, ainsi que pour les électeurs d’Enghien-les-Bains et de Sartrouville. On se demande bien pourquoi ces conseillers municipaux d’Ile-de-France ne figurent pas sur la liste FN d’Ile-de-France...la fameuse gamelle ?? C’est la raison pour laquelle de nombreux militants du FN, canal historique de Haute-Normandie participent à notre liste d’union des nationaux normands et ont rejoint le PdF. La culture et la pratique du mépris et de l’arrogance ont leurs limites. Ma liste comprend 3 conseillers régionaux sortants de Haute-Normandie et 3 anciens conseillers régionaux, c’est une liste enracinée et fière de ses attaches normandes.

Une dernière question, Jean-Marie Le Pen a annoncé qu’il prendrait sa retraite Fin 2010 ou début 2011. Bruno Gollnisch et Marine Le Pen sont à ce jour candidats à sa succession. Les règles pour élire le nouveau président du Front national ayant été modifiées lors du congrès de Bordeaux en 2004, ce ne sont plus seulement les délégués du congrès qui votent mais tous les militants à jour de cotisation. Si Bruno Gollnisch devait l’emporter sur sa rivale, seriez-vous prêt, vous et le PdF à reconsidérer votre départ du FN ?

Notre volonté de rassemblement des nationaux s’applique évidemment à mes camarades et amis du Front National.

Il est évident que Bruno Gollnisch serait plus à même de contribuer à ce rassemblement plutôt que ceux qui ont en 2007, pour des raisons d’ambitions personnelles, délibérément torpillé la stratégie d’union patriotique initiée par Jean-Marie Le Pen. Le Parti de la France travaille déjà avec le MNR et la NDP au rassemblement des nationaux. La main est tendue à tous ceux qui veulent contribuer à notre effort de résistance nationale et de renouveau de la droite nationale.

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