COMMUNIQUE DE PRESSE DE CARL LANG
PRESIDENT DU PARTI DE LA FRANCE
Débat à l’Assemblée sur le projet de loi
relatif à l’immigration :
La Sarnarquekozy et le grand théâtre des petits guignols
> Au-delà de quelques dispositions anecdotiques sur les mariages « gris » ou sur le rôle du juge des libertés et de la détention, ce projet de loi ne sert qu’à transposer en droit français la directive « retour » votée par le Parlement européen en 2008.
> Par ailleurs, la mesure présentée comme la plus emblématique par le gouvernement Fillon et dénoncée à grands cris d’orfraie par les belles âmes républicaines et citoyennes porte sur l’extension de la déchéance de la nationalité pour les étrangers coupables de meurtres de policiers ou de gendarmes. Il est cependant précisé par le projet de loi que cette déchéance ne pourrait pas s’appliquer si elle avait pour conséquence de « rendre apatride l’auteur des violences ». Nous voilà rassurés pour eux !
> Cette mesurette de déchéance pourtant ultra-marginale est dénoncée par Christine Boutin comme créant « une citoyenneté à deux vitesses », considérée comme « un recul de l’Etat de droit » par la Gauche et « trop sécuritaire » par le ministre du Nouveau Centre Hervé Morin. Certains députés UMP eux-mêmes éprouvent des réticences à voter ce texte.
> Alors que la France est saignée par la colonisation migratoire et l’insécurité galopante, l’insuffisance et la lâcheté du pouvoir sont criantes et l’idéologie antinationale et internationaliste de la Gauche toujours constante.
> Ces petites polémiques parlementaires autour d’un texte totalement insuffisant et inadapté ne sont que de l’esbroufe médiatique visant à cacher aux Français la réalité dramatique du processus de colonisation de notre pays et à masquer les responsabilités de la classe politique.
> Le Parti de la France qui milite pour la décolonisation de la France et de l’Europe considère que les premières mesures urgentes à mettre en œuvre pour défendre le droit du peuple français à rester lui-même sont :
> - L’arrêt immédiat de la politique de regroupement familial ;
> - La fin du renouvellement automatique des cartes de séjour pour les étrangers ;
> - Le rétablissement des contrôles à nos frontières nationales et la sortie de l’espace Schengen ;
> - L’inversion des flux migratoires extra-européens et l’expulsion systématique et réelle des clandestins ;
> - L’application de l’exclusivité nationale au profit des seuls Français pour l’ensemble des aides sociales et familiales ;
> - L’application de la préférence nationale puis européenne pour l’accès à l’emploi ;
> - L’expulsion systématique du territoire après exécution de leurs peines pour les délinquants et criminels étrangers ;
> - La réforme du code de la nationalité en supprimant l’aberrant droit du sol au profit de la transmission de la nationalité française par la filiation ou le mérite ;
> - L’interdiction de la double nationalité pour les citoyens non-européens