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  • Continuons le combat

    Sarko-show : une réaction de Carl LANG

     

    france,crise,austérité,sarkozy,immigration,droite nationaleCommuniqué de Carl Lang : candidat de la droite nationale aux élections présidentielles

    Lors de son allocution télévisée, le président Sarkozy a confirmé que les prévisions de croissance seraient revues à la baisse, entrainant un besoin d’économies de 6 à 8 milliards d’Euros.

    Qui va payer ? Où va-t-on trouver l’argent ? A quoi s’attendre cette fois-ci ? Jamais, au cours de son intervention, le président Sarkozy n’a envisagé comme source d’économies le poste de dépenses sans doute le plus coûteux de notre pays : L’immigration.

    La seule certitude est de voir s’aggraver encore les politiques de persécution fiscale des contribuables et le refus du pouvoir de s’attaquer aux gaspillages publics, aux dépenses indécentes de fonctionnement, au train de vie de l’Etat et à la politique d’immigration qui ruine la France.

    C’est pourquoi Carl LANG et le Parti de la France réclament qu’un chiffrage du coût réel de l’immigration soit rendu public. Les Français ont le droit de savoir que la suppression des dépenses annuelles en matière d’immigration permettrait non seulement de trouver les 8 milliards du jour, mais aussi de combler l’essentiel des déficits publics de l’année.

    Il est urgent d’instaurer dans notre pays le patriotisme social afin que l’ensemble des aides sociales, familiales et publiques Françaises soient réservées exclusivement aux Français.

    Il est temps de rendre la France aux Français !

     

  • Qu'en dit l'héritiaire ?

    SUCCES DE LA MANIFESTATION CONTRE LA « CHRISTIANOPHOBIE »

    samedi 29 octobre 2011, par Michel Dantan

     

    PhotoDR

    Précédés d’une banderole sur laquelle on pouvait lire « La France est chrétienne et doit le rester », environ 3000 catholiques (5000 selon les porganisateurs) à l’appel de l’Institut Civitas, sont descendus dans les rues de la capitale ce samedi 29 octobre pour manifester contre la montée en puissance de la christianophobie en France, illustrée aujourd’hui par la présentation du spectacle blasphématoire de Roméo Castelluci sur la scène du Théatre de la Ville à Paris. 3000 catholiques sans complexes, mais qualifiés par la presse de gauche et certaines radios de « fondamentalistes », car aujourd’hui s’indigner contre les insultes et les humiliations infligées au visage du fils de Dieu, est devenu synonyme d’extrémisme. Dans cette foule unie dans une même ferveur autour de leur foi catholique, et dans laquelle des jeunes et des moins jeunes se retrouvaient au coude à coude avec des polonais, des chrétiens d’Orient, et de nombreux prêtres, bien malin qui aurait pu distinguer des fous furieux, des illuminés, que sais-je encore. Cette marche pacifique d’une foule d’où ne s’élevaient que des cris hostiles à la christianophobie et qu’aucun incident ne viendra perturbé, n’avait pas d’autre ambition que de démontrer que les catholiques ne se laisseraient plus impunément insultés sans réagir. Ce que le secrétaire général de l’Institut Civitas Alain Escada devait proclamer avec conviction lors de son intervention à la fin de la manifestation Place André Malraux prés de la Comédie Française.

    Portefolio : Photos DR

     

    Portfolio

  • Slabo soutient ce combat !

    Communiqué de Civitas

                                                                   

     

    Institut Civitas
    17, rue des Chasseurs

     

    Paris, le 29 octobre à 12 H 30

    Halte aux mensonges et à la désinformation

    Contrairement aux bruits malveillants qui courent aucun des manifestants interpelés place du Châtelet  à Paris n'a été condamné à quoi que ce soit.

    Essayer d'apeurer les « indignés » catholiques ne prendra pas : ce sont là  des méthodes de barbouzes qui ont fait leur temps et qui retombent toujours sur leurs auteurs.

    Civitas a une dizaine d'avocats qui se sont volontairement portés au secours des jeunes qui ont été placés en garde à vue comme s'il s'agissait de  terribles terroristes qui avaient commis d'horribles actes de violence.

    Cette soi-disant violence est un mensonge montée de toutes pièces par le système qui commence à paniquer. Le premier à tomber dans le panneau a été Mgr Vingt-Trois dont la référence suprême semble être le journal Le Monde ou son autre avatar La croix.

    Il devrait plutôt prendre conseil auprès de ses pairs, entre autres Mgr Centène, évêque de Vannes, qui a déclaré :

    « Je félicite et j'encourage tous ceux qui, en cohérence avec leur foi, n'hésitent pas à agir publiquement, et qui, bien que n'usant pas de violence, aussi bien verbale que physique, sont emmenés par les forces de police et placés en garde à vue, alors qu'ils manifestent, en toute justice, leur désapprobation face à des spectacles dont l'ignominie dépasse l'entendement même. »

    Alain Escada, secrétaire Général de Civitas

    Civitas
    17, rue des Chasseurs - 95100 Argenteuil
    01.34.11.16.94
    secretariat@civitas-institut.com
    www.francejeunessecivitas.com


     



  • C'est comme ça !!!!

    Paris, le lundi 24 octobre 2011.

    Bernard Antony, président de l’Institut du Pays Libre, communique :

    Le « printemps arabe » a désormais un nom : « sharia » !
    La proclamation à Benghazi de la sharia comme désormais source principale du droit en Lybie, c’est vraiment le très beau, le superbe résultat de la politique, approuvée à droite comme à gauche, de messieurs Bernard-Henri Lévy, Sarkozy et Juppé et des bombardements protecteurs de l’OTAN !
    Pour beaucoup, que n’abreuvent que les informations ou la désinformation des médias, la sharia c’est simplement le retour à la législation de la polygamie et l’on ne saurait prendre cela au tragique. Les imbéciles ignorants feront sur cela des quolibets salaces.
    Or la sharia, c’est ni plus ni moins l’ensemble du code islamique intégrant et régissant la totalité des actes humains. L’islam, c’est la sharia, la sharia, c’est l’islam. C’est le socle de la théocratie totalitaire dont le modèle a été établi à Médine par Mahomet.
    Cent fois le Coran rappelle qu’obéir à Dieu, c’est obéir à son prophète. La sharia, c’est la codification aux premiers siècles de l’islam de ce qui est prescrit dans le Coran et de tout ce que le prophète, selon la tradition (sunna), aurait fait et enseigné (hadiths). C’est la perfection d’une théocratie totalitaire régissant tout le monde et toutes choses dans tous les ordres de la religion, de la morale, de la politique, de la culture, en résumé de la vie individuelle et sociale sous tous leurs aspects et sous le contrôle de tous par tous.
    Avec les phénomènes résultant de l’effondrement de l’empire ottoman et de la domination des puissances européennes, les peuples de plusieurs pays d’islam avaient connu plus ou moins de distanciation avec le système sharaïque. Mais nous assistons partout en islam à son retour en force.
    La sharia, ce n’est pas seulement le mariage possible avec quatre épouses simultanément et l’achat d’autant de concubines que l’on peut en avoir, avec toutes les facilités d’un divorce avec les unes, prononcé en trois répétitions de la phrase de répudiation, ou d’une simple expulsion pour les autres.
    La sharia, ce n’est pas seulement le statut d’infériorité et de soumission de la femme sur bien des plans. C’est encore notamment, comme le rappelle le dictionnaire du Coran (Robert Laffont) sous l’éminente direction de Mohammed Ali Amin-Moezzi, grand universitaire de la Sorbonne, une affirmation de la stratification de l’humanité qui, idéologiquement, légitime l’esclavage.
    - Au haut de la hiérarchie est le mâle musulman, parmi lesquels la sharia distingue le commun (al-âmma) et l’élite (al-khâssa).
    - Au bas de l’échelle, il y a les hommes sans religion, les « adamiens ». Selon la sharia, ils sont « sans foi ni loi ». « S’ils ne se convertissent pas, affirme la sharia, leur sang est licite ».
    - Au milieu sont « les gens du Livre », les juifs et les chrétiens, gens inférieurs mais que l’on peut laisser vivre selon le statut de « dhimmi », ses tolérances et ses contraintes, mais que l’on a souvent persécutés quand ils refusent la conversion.
    C’est un dogme de l’islam et de sa sharia que d’affirmer que tous les non-musulmans païens ou gens du Livre iront en enfer.
    La sharia est aujourd’hui le code proclamé de l’ordre totalitaire islamique dans la plupart des grands pays d’islam, chiites ou sunnites, Iran, Arabie, Pakistan, Afghanistan, Soudan, Nigéria du Nord, etc… D’autres pays la rétablissent progressivement dans les faits selon le rideau de fumée de l’islamisme « modéré ». (Turquie-Égypte-Irak)
    En Lybie, grâce à l’OTAN, grâce à la France, la sharia est donc proclamée. En Tunisie, avec la victoire électorale des dits « islamistes », elle va être d’abord imposée dans les faits.
    Mais la vérité, partout, c’est que l’islamisme, c’est l’islam réel fondé sur la sharia.
    Hélas, chez nous, tous les responsables des grands partis politiques, sans exception aucune, et aussi presque tous les responsables religieux, et encore la plupart des enseignants et des journalistes ne veulent voir dans l’islam qu’une religion.
    Soit ils sont des ignorants, soit des dissimulateurs de la vérité.


  • EDITORIAL réaliste

    COMMUNIQUE DE PRESSE DE CARL LANG

    PRESIDENT DU PARTI DE LA FRANCE

     

    Exécutions sommaires et Charia : Premiers succès de Bernard Henry Lévy et de l'OTAN en Lybie !

     

    L'OTAN et BHL, grand gourou de la politique étrangère française et autorité morale, médiatiquement proclamée, de la République universelle, citoyenne et laïque, viennent d'obtenir une double victoire historique en Lybie : d'une part, le lynchage et l'exécution sommaire de Khadafi et d'autre part, la proclamation par le nouveau pouvoir de la Charia comme socle du modèle social lybien.

    C'est dire si les droits de l'homme et les valeurs démocratiques vont pouvoir s'exprimer dans toute leur plénitude !

    Par ailleurs, un "bonheur" ne venant jamais seul et grâce au "Printemps arabe", le parti islamiste vient de remporter les élections en Tunisie.

    Enfin, en Egypte et dans l'indifférence générale de la Communauté internationale, les persécutions et les assassinats des Chrétiens coptes s'organisent maintenant avec la participation active de la télévision d'Etat et du régime en place.

    En vérité, le soi-disant "Printemps arabe" a été un véritable Printemps islamiste.

    L'effondrement du mythe des régimes laïcs dans ces sociétés musulmanes devrait faire réfléchir les idiots utiles, collaborateurs et compagnons de route de l'idéologie coranique qui expliquent en France que l'islam est compatible avec les valeurs de la République ou encore que l'islam serait acceptable mais pas la Charia. Comme si l'on pouvait séparer l'une de l'autre!

    Ces événements dans le monde arabe devraient servir d'avertissement à tous ceux qui, depuis quarante ans, militent pour une immigration active au nom d'un prétendu anti-racisme, véritable faux nez de l'anti France, et à tous ceux qui pensent que l'idéologie coranique va se dissoudre dans le plastique de notre carte nationale d'identité.

    Ils ont aimé l'immigration et aiment la colonisation ?

    Ils vont adorer l'islamisation et la Charia !

     

  • Et ils sont où ? au Parti de la France, bien sûr.

    MARINE LE PEN OU L’ART DU VIDE…

    mardi 7 décembre 2010, par Pierre Picace

    Dans l’optique de l’élection présidentielle de 2012, Marine Le Pen voudrait "réunir le peuple français tout entier", mais pour l’instant elle a du mal à conserver les membres de son comité de soutien.

    Quatre d’entre eux ont choisi de rejoindre le camp de son concurrent. Sur le nombre de personnes qui ont signé pour la vice-présidente, c’est peu, mais d’autres auraient également l’intention de franchir le pas ou de s’abstenir de voter pour elle lors du congrès. En cause, les "pressions insistantes" exercées par la candidate et son entourage, ainsi que certaines de ses déclarations livrées à la presse et perçues comme remettant en cause l’unité du mouvement. D’autres encore se sont rendus compte que la jeune femme souriante de la télévision pouvait se révéler non seulement plus autoritaire que son père mais surtout terriblement cassante.

    Autre signe perceptible de la nervosité qui règne dans les rangs des "marinistes" et plus particulièrement parmi la branche jeune du Front national, le secrétaire départemental du FNJ des Alpes-Maritimes a été " débarqué" de ses fonctions. Selon Amaury Navarranne, très actif dans la campagne de Bruno Gollnisch et lui-même suspendu il y a trois semaines : "Il lui est reproché un commentaire politique critique, effectué sur sa page facebook, à propos d’un jugement politique prononcé par un soutien de Marine Le Pen lors d’un passage médiatique de la candidate."Les jeunes avec Gollnisch auront payé un lourd tribut durant la campagne pour la succession de Jean-Marie Le Pen donnant raison à ceux qui accusait Marine Le Pen de vouloir faire le vide dans les rangs de ses opposants.

    1 Message

    • MARINE LE PEN OU L’ART DU VIDE…13 décembre 2010 17:30, par martin

      On ne réuni pas en divisant comme jamais.

      Bruno Gollnisch au moins n’a viré ou écoeuré personne. Marine LP, par contre :

      Bernard ANTONY : parti dégoûté par les déclarations de Marine Le Pen sur la loi Simone Veil. • Alexandre AYROULET : Ancien Directeur national du FNJ • Gilles ARNAUD : Conseiller régional• Marion Auffray : Conseiller régional du Nord/Pas de Calais. • Christian BAECKEROOT : Ancien Député, Conseiller Régional et ancien membre du Bureau Politique du FN. • Myriam BAECKEROOT : Conseiller Régional, SD des Yvelines et ancien membre du Bureau Politique du FN. • Michelle Béal : Conseiller régional du Nord/Pas de Calais. • Philippe de BEAUREGARD : Con-seiller Régional. • Louis-Armand de BÉJARRY : Ancien directeur national du FNJ, membre du Bureau Politique, secrétaire département du FN44. • Philippe BERNARD : Conseiller Régional, ancien SD du Nord-Flandre et victime de dénonciation calomnieuse, exclu en 2008. • Marie-Christine BIGNON : Conseiller Régional et Maire de Chauffailles. • Martial BILD : Ancien Délégué Général adjoint et ancien SD de Paris, Conseiller Régional. • Patrice de BLIGNIÈRES : Ancien membre du Bureau Politique du FN, Président de la Commission de Discipline. • Jacques BOMPARD : Ancien Député et Conseiller Régional, Conseiller Général, Maire d’Orange, ancien membre du Bureau Politique du FN, « suspendu » 6 mois en 2004. • Marie-Claude BOMPARD : Ancien Conseiller Régional, Conseiller Général. • René-Marie BOUIN : Ancien Secrétaire Régional et ancien membre du Bureau politique du FN. • Sylvie BUTEZ-LANGLOIS : Conseiller Régional, exclue en 2008. • Michelle CARAYON : Conseiller Régional. • Sylvie COLLET : Assistante de Direction de Carl Lang, Conseiller Régional. • Jacques DAUTREME : Conseiller Régional, cadre historique du Front National depuis 1973, camarade de combat de Jean-Pierre Stirbois à Dreux, ancien assistant parlementaire de Marie-France Stirbois. • Marie-Paule DARCHICOURT : Con-seiller Régional, exclue en 2008. • Monique DELEVALLE : Conseiller Régional, exclue en 2008. • Jean-Marc DENIER : Conseiller Régional et SD de la Manche, « suspendu » en 2008. • Claude DERESNES : Conseiller Régional, exclue en 2008. • Pierre DESCAVES : Ancien Député, ancien Conseiller Régional et Général, ancien membre du Bureau Politique du FN. • Mélanie Disdier : Conseiller régional du Nord/Pas de Calais. • Patrick DORDAIN : Ancien Conseiller Régional et ancien SD. • François DUBOUT : Conseiller Régional. • François FERRIER : Conseiller Régional et ancien SD des Vosges, • Jean-Claude FRAPPA : Ancien Conseiller Régional. • Alain GALLAIS : Conseiller Régional et ancien SD des Hauts-de-Seine. • Maurice GROS : Conseiller Régional et ancien membre du Bureau politique du FN. • Eric IORIO : Cadre historique du Front et ancien époux de Marine Le Pen. • Pierre JABOULET-VERCHERRE : Ancien Secrétaire Régional, Conseiller Régional et ancien membre du Bureau politique du FN. • Claude GUITTON : Conseiller Régional et SD de l’Orne, « suspendu » en 2008. • Carl LANG : Cadre historique, Député Européen, Con-seiller Régional, ancien Secrétaire Général du FN, ancien membre du Bureau Exécutif, « suspendu » en 2008. • Jean-Marie LEBRAUD : Responsable Grand Ouest du DPS. • Fernand LERACHINEL : Député Européen, ancien Conseiller Régional et Général, ancien Secrétaire Régional et ancien membre du Bureau Politique du FN, démissionnaire en 2008. • Guy MACARY : Conseiller Régional, tête de liste FN de la région PACA en 2004. • Thierry MARTIN : Rédacteur du Programme du Front National en 1993 et 2001, rédacteur du discours de JMLP le 1er mai 2002 place de l’Opéra, ancien Pdt du groupe des élus municipaux FN de Metz, Conseiller technique de JMLP pour les campagnes présidentielles de 1995 et 2002, Chargé de mission auprès du groupe FN au CR d’Ile-de-France jusqu’en 2004. • Jean-Claude MARTINEZ : Député Européen, ancien Député, Conseiller Régional, ancien Directeur de Campagne des européennes de 1999, ancien membre du Bureau Exécutif, « suspendu » en 2008. • Ronald PERDOMO : Ancien Député, Conseiller Régional. • Eric PINEL : Ancien Député Européen, Conseiller Régional et SD du Calvados, ancien membre du Bureau Politique du FN, « suspendu » en 2008. • Yves ROBERT : Conseiller régional de Haute-Normandie, adhérent depuis 1972. • Michel de ROSTOLAN : Ancien Député, Conseiller Régional et ancien membre du Bureau Politique du FN. • Dominique SLABOLEPSZY : Con-seiller Régional et ancien SD du Nord-Hainaut, exclu en 2008. • Marie-France STIRBOIS : Ancien Député, Député Européen et Conseiller Régional, Ancien membre du Bureau Politique du FN, « suspendue » 6 mois en 2004. • Alain Taillepied : Directeur régional du DPS Normandie • Jean-François TOUZÉ : Conseiller Régional et ancien SD de Seine-Maritime. • Elisabeth TOUZOT : Assistante de Direction des secrétaires généraux Stirbois, Lang et Gollnisch, Conseiller Régional, « suspendue » en 2008. • Dominique TOUZOT : Secrétaire National de la Commission de Discipline, Trésorer national du CNPR. • Jean-Philippe WAGNER : Conseiller Régional et ancien SD de Moselle. • • Michel BAYVET : Cadre dans les Yvelines, Chef de file FN de Versailles, Conseiller Régional et ancien membre du Bureau Politique du FN. • Michel HUBAULT : Conseiller régional du Centre, Secrétaire départemental de l’Indre, ancien Directeur de Cabinet du Secrétariat général et membre du Bureau Politique du FN. • Patrick LE GUILLOU : Secrétaire département de l’Ille et Vilaine, ancienne tête de liste FN pour les européennes 2009 dans les Dom-Tom. • Martine LEHIDEUX : Conseiller régional. Martine a été : Vice-Présidente du FN, Député, Député européen, Présidente du Cercle National des Femmes d’Europe, etc… • Loïc LE MARINIER : Le dernier Directeur National du FNJ. À notre connaissance, aucun ancien directeur du FNJ (sur une dizaine) ne soutient Marine Le Pen. Tous ont quitté le Front. • Jean d’OGNY : Secrétaire département du Cher. • Bernard TOUCHAGUES : Président du Groupe FN au Conseil régional de « Haute »-Normandie, Secrétaire département de l’Eure. • Jean VERDON : Conseiller Régional du Centre, ancien Président de groupe, Secrétaire département de l’Indre et Loire et membre du Bureau politique.

      • … ainsi que les dizaines de Secrétaires départementaux débarqués pour des raisons de politique interne depuis la nomination de Louis ALIOT au Secrétariat Général, en remplacement de Carl LANG. ...et des équipes complètes de fédérations départementales pourtant performantes comme celle du FN78, mais aussi tant d’autres...

  • Foutage de "g......" !!!!!

    Ça la fiche mal…

    MARINE LE PEN ET LES FAUX LAMY : UNE "ÉNARQUERIE" ?

    mercredi 19 octobre 2011, par Pierre Picace

    Interrogée à propos de la primaire du PS, sur RTL, la présidente du Front national s’est pris les pieds dans ses fiches en confondant le patron de l’OMC, Pascal Lamy et le député-maire de Palaiseau (Essonne), François Lamy.

    Très en verve au micro de Christophe Hondelatte lundi soir, Marine Le Pen a cru pouvoir révéler au Français les’"accointances" entre un "pape de l’ultralibéralisme et du mondialisme" et la candidate socialiste à la primaire : "Je vous rappelle quand même, parce que les Français ne le savent pas, que le directeur de campagne de Mme Aubry, c’était Pascal Lamy, le directeur de l’OMC, le pape de l’ultralibéralisme et du mondialisme." "Alors si Martine Aubry est vraiment très à gauche en matière économique, alors Hollande c’est Madelin".

    Si Christophe Hondelatte n’a pas relevé la bourde à l’antenne, elle n’a pas tardé toutefois à faire le tour des rédactions parisiennes qui s’en sont fait rapidement l’écho.

  • EDITO SOS ECOLE

    Survol des causes originelles du désordre scolaire

    Par Gilles Sibillat, Proviseur à la retraite,

    Ex professeur de mathématiques,

    Ex président de l’association SOS ÉCOLE, laquelle vient de cesser ses activités, Membre du Parti de la France,

     

    Voici qu’il advint, à Béziers, ce qui devait arriver nécessairement dans un établissement scolaire, en conséquence de la décadence issue de mai 68 : un professeur s’est immolé par le feu, devant les élèves et dans la cour du lycée. Prions pour le repos de l’âme de cette dame qui enseignait les mathématiques.

     

     

    Mais remercions rétrospectivement Edgar Faure pour sa « déforme » du système scolaire, en 68-69, qui éleva les soixante-huitarderies au niveau de la Loi, merci à la Gauche qui dénatura l’École, par le biais syndical, en en faisant un enclos idéologique, merci aussi à Pompidou qui, premier ministre en ce temps-là et apprenant que les « Con-Banditistes » occupaient la Sorbonne, eut cette répartie historique : « Eh bien ! Qu’ils la gardent ! », merci à Charles De Gaulle qui, alors chef d’État en perdition, pris la poudre d’escampette vers Baden-Baden au lieu d’assumer ses responsabilités en affrontant, à la tête de ses troupes, les semeurs de désordre.

    Car les anarcho-trotsko-léninistes bouleversèrent la société en ruinant l’ordre naturel des choses, sûrs d’instaurer ainsi le triomphe de la Liberté. Éternelle utopie de tous les révolutionnaires puisque la Liberté n’est pas le contraire de l’ordre : le contraire de l’ordre, c’est le désordre.

    Au cours des quarante années qui suivirent, tous nos gouvernants, toutes tendances politiques confondues, de la fausse droite gaulliste à la vraie gauche socialo-marxiste, en passant par les faux-culs du centrisme libéral et du « progressisme » soi-disant chrétien, poussèrent les conséquences de la dévastation libertaire jusqu’à sa conclusion funeste : la ruine du principe d’autorité.

    Et ceci dans toute la société, mais particulièrement dans l’éducation dite « nationale ». C’est alors que le « pédagogisme », considéré comme un vecteur de la révolution, y fit ses ravages. L’ Institut National de la Recherche Pédagogique en fut le centre de commandement sous la houlette du pernicieux Meyrieu, aujourd’hui conseiller régional Rhône-Alpes, qui fut imposé, pendant vingt-cinq ans, comme pape de la subversion culturelle en milieu scolaire. Ainsi l’ « enseigné » devint l’égal, voire le suzerain, de l’ « enseignant ». L’élève, enfant-roi, fut « placé au centre du système scolaire ». L’Instituteur et le Professeur ne furent plus désormais reconnus comme des Maîtres prestigieux et respectables. La discipline donc la punition, l’autorité professorale, le respect dû par les élèves et par leurs parents aux enseignants, la hiérarchisation naturelle des écoliers en « bons », « moyens » et « médiocres », l’évaluation exacte donc sévère des compétences et des comportements, devinrent autant de critères honnis et exécrés.

    Les suites graves ne se firent pas attendre dès lors que, l’immigration « tiers-mondaine » submergeant l’Europe, des attitudes et des mentalités venues d’ailleurs altérèrent radicalement le public scolaire, avec la bénédiction des puissants syndicats de gauche. Les élèves contestèrent puis, habituellement, rabrouèrent, agressèrent, fustigèrent de plus en plus leurs professeurs jusqu’à ce que, à Béziers, mort s’en suivit. On peut prévoir d’autres tragédies analogues : le professorat exigera bientôt la vocation du martyre.

    Lire la suite

  • Visite de Carl LANG aux patriotes de PACA

    jeudi 20 octobre 2011

    Var : Succès du dîner-débat avec Carl Lang

     


    Après le succès du passage de Carl Lang dans les Alpes-Maritimes, c’était au tour de Var d’accueillir le président du Parti de la France, candidat de l’Union de la Droite Nationale et européenne à l’élection présidentielle de 2012.

     

    Au cours d’un dîner-débat, Carl Lang a exposé les grandes lignes de son programme et a répondu à de nombreuses questions devant les militants, sympathisants adhérents et amis dont Michèle Carayon, déléguée régionale PACA et membre du bureau politique du PDF, Jean-Claude Frappa, délégué régional du PDF, le délégué varois du CNC et le responsable régional de l'ADIMAD.

    Le passage dans le Var de Carl Lang a été suivi par une équipe de journalistes de Canal + qui a filmé également le dîner. Le reportage sera diffusé sur Canal + le dimanche 6 novembre à partir de 12h45.

     
     

  • FN HALAL ??? EH OUI Madame la marquise

    Paul LAMOITIER, ce doyen d'âge FN du Conseil Régional Nord Pas de Calais, ce chevalier blanc, comme d'autres au groupe FN, ce personnage douteux qui éructait le 3 octobre 2008 au FEU AU LAC à Valenciennes, accusant Carl LANG de ne pas avoir les couilles de s'opposer à Marine LE PEN et de créer son parti, vient de se signaler professionnellement et financièrement par son penchant à servir l'ISLAM.

    Petite question : quelle est la situation juridique de Monsieur PAUL ?

    Après le sieur MOMO d'ARRAS !!!!!!! Est-il plus grave de s'opposer à la présidente que de vivre d'expédients divers ? 

    Vous en saurez plus, et c'est édifiant, en vous connectant par l'intermédiaire du lien suivant :

     

    http://www.al-kanz.org/2011/10/17/halal-front-national/

     

    Nous vous souhaitons bonne lecture.

    Et comme le disent certains : "Faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais".

    Pendant ce temps là, le "coucou" se cherche un successeur, un bénévole à qui on promet une candidature aux prochaines législatives, un mandat de conseiller régional qui n'existera plus en 2014, un très jeune militant de préférence, inconnu au bataillon, un Guy MOCQUET à faire flinguer par l'adversaire, et cela sans aucun scrupule.