Voici deux nouveaux autocollants du Parti de la France
UA-64751344-1
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Voici deux nouveaux autocollants du Parti de la France
L'élection législative partielle est passée, nous nous tournons résolument vers l'avenir, 2015 pour les territoriales et 2017 pour les législatives. Des objectifs sont fixés : 8 candidates et candidats sur 8 dans le HAINAUT.
Dominique SLABOLEPSZY
Membre du BP du PARTI de la FRANCE
Personne n'a gagné, seuls les 75% de pêcheurs à la ligne, les promeneurs du dimanche, les égoïstes, tirent leur épingle du jeu.
Pour notre part, sans être satisfaits du résultat final à 1,14%, nous enregistrons avec satisfaction les 3,10% de THIVENCELLE, les 2,89% de QUAROUBLE, les 2,80% de CONDE sur l'ESCAUT.
Ces communes avaient été traitées spécialement, avec nos moyens limités.
Cette campagne électorale qui suivait les municipales nous a permis de constituer un noyau d'une trentaine de militants décidés à ne pas laisser mourir notre PAYS, la FRANCE.
Ce n'est qu'un début, courage et confiance, l'avenir nous appartient toujours, il suffit d'y croire et de persévérer.
En tout état de cause, le PARTI de la FRANCE sera présent pour les prochaines échéances : élections territoriales de décembre 2015, législatives de 2017.
Qui peut savoir comment les "affaires" touchant TOUS les partis vont évoluer.
Dominique SLABOLEPSZY
Dans le cadre de la campagne de l'élection législative partielle dans la 21ème circonscription du Nord, en remplacement de JLB démissionnaire, nous recevons :
Carl LANG
Président du PARTI de la FRANCE
Maison des Associations, angle de la rue du Quesnoy
et du Boulevard WATTEAU à Valenciennes à partir de 18 heures 30.
Le verre de l'amitié clôturera cette manifestation.
Venez nombreux.
Le 22 juin 2014, un seul mot d'ordre :
VOTEZ SLABO
Ce jour, Jean-Philippe Tanguy, tête de liste "Debout la France ! Ni système, ni extrêmes, avec Nicolas Dupont-Aignan" dans la circonscription Nord-Ouest, qui a obtenu 4,16% des suffrages, a déposé un recours en annulation de l’élection européenne dans cette circonscription.
Cette action se fonde sur un double constat :
- Les graves manquements constatés dans l'organisation du scrutin et le non respect des règles démocratiques qui ont caractérisé cette élection.
- Les mensonges et manipulations sciemment orchestrés autour de la candidature de Jérôme Lavrilleux (UMP), de telle nature que la sincérité du scrutin, principe constitutionnel, est mise en cause.
1) Manquements à la démocratie et désorganisation du scrutin Panneaux d’affichage absents ou manquants, non respect de l’égalité des candidats en commission de propagande, absence de bulletins de vote, propagande électorale erronée ou non parvenue à l’électeur, diffusion de mauvais bulletins de vote entrainant nullité, absence totale de bulletins de vote (pourtant dument livrés par DLR) dans les bureaux le jour du scrutin, communication illicite des candidats, publicité illégale par leur objet et leur financement…, les manquements essentiels à l’organisation de l’élection du 25 mai sont nombreux et importants. L’ensemble des éléments se trouve dans le recours fourni en pièce jointe. Les éléments documentés en annexe sont à la disposition de la presse.
2) Insincérité volontaire de la candidature de Jérôme Lavrilleux faussant la nature du scrutin. Durant la campagne, Jean-Philippe Tanguy a dénoncé, seul, sans relâche les scandales dans lesquels Jérôme Lavrilleux était empêtré, dont certains déjà avérés et reconnus par lui, sans jamais outrepassé la présomption d’innocence. L'absence de publicité de ces faits n'est pas contraire à la loi électorale.
En revanche, la dissimulation volontaire mise en oeuvre par M. Lavrilleux et le président de l'UMP, Jean-François Copé, l'est ! Dans la semaine précédant le scrutin, Jérôme Lavrilleux a nié les faits qui lui étaient reprochés pour finalement les avouer à 23h le dimanche 25 mai, soit une heure après la fermeture officielle des bureaux de vote en Europe, selon l’interview réalisée par Ruth Elkrief le lundi 26 mai. C’est d'ailleurs lors de cette interview le lendemain qu’il rendra ses aveux publics. De la même façon, cette vérité a été sciemment cachée par le président de l’UMP, Jean-François Copé, qui a reconnu attendre volontairement le 26 mai pour donner des informations cruciales. De ce fait, aucun électeur du Nord-Ouest n’a pu disposer des informations lui permettant de savoir qui était vraiment Jérôme Lavrilleux, vérité que l'on découvre une fois ce candidat élu et doté d’une immunité parlementaire.
Or le code électoral interdit et punit toute manipulation ou manœuvre visant à cacher des informations essentielles au vote éclairé des électeurs. Ainsi, Jérôme Lavrilleux rend le scrutin du 25 mai dans le Nord-Ouest, insincère. Jean-Philippe Tanguy sort inquiet de cette campagne. La démocratie est beaucoup plus fragile qu’elle n’y paraît, ses conditions d’exercice se dégradent, malmenées par des machines électorales sans scrupule. Le dénoncer et le combattre est tout le sens de ce recours.
- See more at: http://www.debout-la-republique.fr/communique/recours-en-annulation-des-elections-europeennes-dans-le-nord-ouest#sthash.BLl9H2MU.dpuf
TOUS mouillés ? ça vous étonne, pas nous !
Cyril Brun, candidat Force Vie pour la région Nord Ouest, dénonce les pratiques occultes de l’UMP, organisées par Jean-François Copé et Jérôme Lavrilleux
Selon les révélations du magazine Le Point, relayées ce matin par Libération puis par le Monde, c’est toute une filière de détournement de l’argent public par l’UMP qui apparaît désormais au grand jour, avec Jean-François Copé en grand ordonnateur et Jérôme Lavrilleux, son directeur de cabinet, comme exécutant des basses besognes.
Tout un système de fausses factures, surpayées par l’UMP à une société évènementielle, Bygmalion, contrôlée par des proches de Jean-François Copé, a été décelé… Certains cadres de l’UMP, comme le député Pierre Lellouche, utilisé comme caution morale d’une prestation n’ayant jamais eu lieu (mais payées 300 000 euros !), se désolidarisent déjà de la direction du parti.
Interrogé ce matin sur le coût exorbitant de ces événements fictifs, Jérôme Lavrilleux, directeur de cabinet de Jean-François Copé et accessoirement tête de liste UMP aux Européennes dans la région Nord-Ouest, préfère tout simplement expliquer que « les partis peuvent administrer leurs finances comme bon leur semble. Si l’on veut payer 4 à 5 fois le prix, rien ne nous en empêche. »
Ce serait ainsi près de 20 millions d’euros qui depuis 2012 auraient été détournés.
Voilà où va l’argent du contribuable ! Car il faut savoir que depuis la loi de moralisation de la vie politique, en France le financement des partis politiques se fait presque intégralement par dotation publique, à proportion de leurs résultats électoraux. Ainsi, en 2013, l’Etat a « aidé » le PS à hauteur de 28 millions d’euros, l’UMP pour 19 millions d’euros et le FN pour 5,5 millions d’euros. En comparaison, les différentes listes Force Vie sont intégralement financées sur dons privés et fonds propres des têtes de liste, pour quelques dizaines de milliers d’euros !
Autant dire que ce système, qui interdit l’émergence de toute nouvelle donne politique, est également un excellent moyen de détournement de fonds, les partis politiques n’étant soumis qu’à des contrôles très légers.
Cyril Brun, tête de liste Force Vie aux Européennes pour la circonscription Nord Ouest, dénonce avec force ces pratiques illégales, malheureusement trop courantes dans la vie politique, et qui ne visent qu’à l’enrichissement de quelques-uns, au détriment de tous.
L’UMP, comme le PS et le FN ne sont que des machines à sous pour leurs dirigeants respectifs ! Pour une véritable réforme de la vie politique.
mercredi 4 juin 2014, par
Dominique Slabolepszy sera candidat pour le Parti de la France à la législative partielle dans 21e circonscription du Nord (Valenciennes, Saint-Saulve, Condé-sur-l’Escaut...). Cette élection, qui se déroulera les 22 et 29 juin, fait suite à la démission de Jean-Louis Borloo pour raison de santé le 30 avril dernier. L’ancien avocat centriste était député de la circonscription nordiste, depuis 1993.
Neuf candidats seront en lice pour tenter de remporter le siège que le président de l’UDI a dû abandonner pour des problèmes de santé.
Enfant du pays, né et ayant toujours vécu et travaillé dans cette circonscription, Dominique Slabolepszy a siégé au conseil municipal de Condé sur Escaut et au conseil municipal de Valenciennes.
Le candidat du Parti de la France entend défendre à l’occasion de cette élection partielle les valeurs politiques de la droite nationale de conviction.
En 2012, lors des dernières élections, Jean-Louis Borloo l’avait emporté au second tour contre le candidat du Front de Gauche Fabien Thiémé avec 55,83% des voix.
COMMUNIQUE DE PRESSE DU PARTI DE LA FRANCE
Suite à la démission de Jean-Louis Borloo, député sortant, les électeurs de la circonscription de Valenciennes seront appelés à élire leur nouveau député les 22 et 29 juin prochains.
Enfant du pays, né et ayant toujours vécu et travaillé dans cette circonscription, Dominique Slabolepszy a par ailleurs siégé au conseil municipal de Condé sur Escaut et au conseil municipal de Valenciennes.
Conseiller régional honoraire du Nord-Pas-de-Calais, il a consacré sa vie politique au service des habitants du Valenciennois.
Le 22 juin, il défendra les valeurs politiques de la droite nationale de conviction sous les couleurs du Parti de la France.
Si vous souhaitez participer à la campagne de Dominique Slabolepszy ou aider le Parti de la France, contactez-nous à l’adresse suivante : contact@parti-de-la-france.fr
Article de la Voix du Nord du 01/06/14 :
Il doit aimer les campagnes électorales, Dominique Slabolepszy. Après avoir tenté les municipales, les cantonales et les législatives à plusieurs reprises au cours de sa longue vie, c’est sous les couleurs du Parti de la France qu’il se présente à la députation.
Il fait donc partie des neuf candidats aux législatives partielles des 22 et 29 juin. Dominique Slabolepszy n’a pas tardé à se décider. Pas avant, bien sûr, d’en avoir discuté avec son ami Carl Lang, fondateur dudit parti. Sa remplaçante est une femme, Katy Basseux : lors des municipales de mars, elle était déjà en deuxième position sur la liste de celui que ses proches appellent Slabo.
Connu comme le loup blanc dans le paysage politique valenciennois, copain avec un grand nombre de politiques de tout bord dans l’arrondissement, Slabo est un enfant du pays de Condé. « Un avantage » aux yeux de Carl Lang, venu soutenir « un homme de proximité et de fidélité ». Dominique Slabolepszy ancien secrétaire départemental du Front National a en effet rejoint Carl Lang, lui aussi ancien du FN, dans sa dissidence, survenue au cours des années 2000. C’est, du coup, son troisième parti : il y a bien longtemps, Slabo était à l’UDR.
Infatigable candidat, Dominique Slabolepszy ? Il y a des chances. À 70 ans, l’ancien frontiste, qui fut un temps conseiller régional, entame là son énième campagne. Absolument pas refroidi par ses très maigres scores aux municipales à Valenciennes, surtout la dernière, brouillée par « la présence au dernier moment de Jean-Luc François Laurent (FN) et celle de Didier Legrand », explique-t-il.
Sauf qu’avec le Parti de la France, on a l’impression de voir double. Bref, l’organisation ressemble au front National, s’en approche au niveau des couleurs, des slogans et des postulats mais ce n’est pas le Front National. Pourquoi ? Parce que « Marine Le Pen n’affirme pas son appartenance à la droite, mais fait de la démagogie économique », en tenant « le même discours que Mélenchon ». Pour Carl Lang, son parti représente « la nouvelle droite populaire et nationale » et s’appuie sur un atout, « la défense de la force active de notre économie ».
Pour l’heure, le parti de la France, fondé en 2009 après la rupture de Carl Lang avec le FN ne dispose d’aucun financement public, ni d’aucun député à l’assemblée. Malgré tout, Carl Lang y croit : son parti « a vocation à devenir une grande force politique ».
LES COMMUNISTES FRANÇAIS DURANT LA GUERRE D’INDOCHINE
« Félicitations au succès du Vietminh. Nous sommes de cœur avec lui. Nous envoyons aux troupes du Vietminh notre fraternel salut et notre témoignage de solidarité agissante. » (Journal communiste « L’Humanité » du 6 mars 1952)
Après le bombardement du port de Haiphong, le 23 novembre 1946, par la Marine française, le Viet Minh, dirigé par Hô Chi Minh, président de la République démocratique du Viêt Nam (dont l'indépendance a été proclamée à Hanoi le 2 septembre 1945), décide de lancer, le 19 décembre 1946, une offensive ayant pour but la « libération » de la ville de Hanoï. À 20 heures, une explosion dans la centrale électrique de la ville annonce le début de l'insurrection. De nombreux ressortissants français sont massacrés et des maisons pillées. Hô Chi Minh appelle tout le peuple vietnamien à se soulever contre la présence française : « Que celui qui a un fusil se serve de son fusil, que celui qui a une épée se serve de son épée… Que chacun combatte le colonialisme ! ». C’est le début de la guerre d’Indochine. Elle va durer huit ans.
La France avait engagé sa parole auprès du Viêt-Nam, dirigé alors par Bao Daï. Elle n’était plus un pays affrontant une rébellion nourrie par la Chine et l’URSS, elle était la représentante d’un système, le « monde libre », face à un détachement d’un régime ennemi, le « communisme ». Et le général Catroux, ancien gouverneur général de l’Indochine, d’écrire dans Le Figaro du 21 juillet 1953 : « Il n’est pas en effet loisible à la France de rompre à sa convenance le combat, parce que la guerre d’Indochine n’est pas seulement sa guerre contre le seul Hô Chi Minh, mais celle du monde libre, auquel elle est liée, contre le communisme ».
Dès le début de ce conflit, les communistes français n’eurent de cesse de procéder à une critique et à une condamnation de cette « sale guerre » qu’ils appréciaient, à l’instar d’Etienne Fajon « comme une guerre injuste, réactionnaire, menée contre la liberté d’un peuple ». Dès lors, tout fut mis en œuvre pour venir en aide au « peuple vietnamien opprimé » et la consigne émise par la direction centrale du PCF : « Refus de la fabrication, du transport et du chargement du matériel de guerre destiné à l’Indochine », immédiatement appliquée, notamment par les syndicalistes de la CGT.
La presse communiste devenait quotidiennement plus incisive en stigmatisant à outrance la présence française en Indochine, la qualifiant de « poison colonialiste » et Léon Feix d’écrire dans L’Humanité du 24 mars 1952 : « De larges masses participeront effectivement à la lutte anticolonialiste dans la mesure où nous saurons extirper de l’esprit des Français, en premier lieu des ouvriers, le poison colonialiste »… tandis que Jean-Paul Sartre, n’avait de cesse de fustiger dans la revue « Temps Modernes », « l’action criminelle des soldats français ». Dès lors, les communistes français allaient, à leur façon, participer activement à ce conflit…
Dans les usines d’armement, les armes et les munitions destinées aux soldats de l’Union Française étaient systématiquement sabotées… « L’effet retard » des grenades était volontairement supprimé, ce qui entraînait leur explosion immédiate dès qu’elles étaient dégoupillées, la plupart du temps, dans les mains de leurs servants… Les canons des pistolets mitrailleurs et des fusils étaient obturés avec une balle, ce qui entraînait souvent leur explosion… Les munitions étaient sous chargées ou ne l’étaient pas du tout… Les obus de mortier explosaient dès leur percussion ou s’avéraient inertes… Les moteurs des véhicules de terrains comme ceux des avions subissaient également toutes sortes de sabotage : Joints de culasse limés et limaille de fer dans les carters à huile… Ce fut le cas, entre autres, des moteurs de l’hydravion « Catalina » de la 8F où furent impliqués des ouvriers des ateliers de la base de Cuers-Pierrefeu… Même le porte-avions d’escorte « Dixmude », n’échappa pas aux dégradations : Ligne d’arbre endommagé. L’enquête permit d’identifier le saboteur en la personne du quartier-maître mécanicien Heimburger, membre du Parti Communiste Français.
Tout cela, pourtant, n’était rien d’autre que de la haute trahison et les ouvriers comme leurs commanditaires qui envoyaient chaque jour à une mort certaine des soldats français, auraient dû être traduits devant des Tribunaux d’exception pour « intelligence avec l’ennemi ». Ils ne furent jamais inquiétés ! Et cette strophe du poème du capitaine Borelli, officier de Légion, adressé à ses hommes morts au combat, prennent ici, un sens particulier :« Quant à savoir, si tout s’est passé de la sorte, si vous n’êtes pas restés pour rien là-bas, si vous n’êtes pas morts pour une chose morte, Ô, mes pauvres amis, ne le demandez pas ! »
Sur les quais, les aérodromes et les gares tenus par la CGT, la mobilisation communiste était identique. Les acheminements de troupes et de matériels subissaient de graves perturbations… Les navires et les trains étaient immobilisés, les détériorations ne se comptaient plus, les grèves se multipliaient… A Grenoble, une pièce d’artillerie fut jetée à bas du train. En gare de Saint-Pierre-des-Corps, à Tours, une militante communiste, Raymonde Dien, devint une héroïne nationale pour s’être couchée en travers d’une voie. Cette violence atteignit son point culminant dans la nuit du 2 au 3 décembre 1947. A la suite du sabotage d'une voie ferrée par un commando de la cellule communiste d’Arras, l'express Paris-Lille dérailla, faisant 16 morts et 30 blessés...
Quant aux blessés rapatriés, généralement débarqués de nuit à Marseille, ils étaient acheminés secrètement en région parisienne où ils arrivaient au matin à la gare de l’Est. Mais cette discrétion ne les épargnait pas des manifestations hostiles des cheminots CGT. Les blessés étaient injuriés et frappés sur leurs civières. Un hôpital parisien qui demandait du sang pour les transfusions sanguines spécifiait « que ce sang ne servirait pas pour les blessés d’Indochine » car, à l’Assemblée Nationale, les députés communistes avaient exigé que « la collecte publique de sang ne soit jamais destinée aux blessés d’Indochine qui peuvent crever (sic) ». A Noël un député suggéra qu’un colis de Noël soit envoyé aux combattants d’Extrême Orient. Une député du PCF s’exclama aussitôt : « Le seul cadeau qu’ils méritent, c’est douze balles dans la peau ! ».
Par ailleurs, outre les armes et les fonds adressés régulièrement au « grand frère vietminh », des tonnes de médicaments lui étaient également acheminés par l’Union des Femmes Françaises (1) et l’indignation de nos soldats ne résultait pas tellement de ce que l’ennemi recevait de la Métropole des colis de pénicilline, mais du fait que, chaque jour, des soldats français mouraient, faute d’en posséder.
Pour nos soldats enlisés dans ce conflit, la guerre prenait un parfum amer teintée de colère et de découragement… La prise de conscience fut rapide et brutale : Désormais l’ennemi n’était plus le Viêt-Minh mais les communistes français...
La fin tragique de la bataille de Diên Biên Phu scella la défaite de la France et l'obligea à se retirer de l'Indochine mais le PCF demeura actif et poursuivit son action dévastatrice au sein du contingent et de ses réseaux de « porteurs de valises », durant la guerre d’Algérie. Combien de nos jeunes soldats sont morts sous les balles des communistes français livrées aux tortionnaires du FLN ?...
José CASTANO
courriel : joseph.castano0508@orange.fr
(1) Issue des comités féminins de la Résistance, l'Union des Femmes Françaises est créée par un congrès le 21 décembre 1944. Elle se révèle rapidement liée au Parti communiste français, sous la houlette de Jeannette Vermeersch, qui en fait pendant les années de guerre froide, une organisation communiste de masse. Elle se retrouve notamment impliquée dans des actes de sabotages et de découragement à l'encontre des soldats français lors de la guerre d'Indochine.
L'Union des femmes françaises devient Femmes solidaires en 1998.
« Les Justes meurent comme des chiens ; les crapules ont leur chance. C’est un monde totalitaire déserté par toute transcendance. Le Mal n’y est pas un scandale mais la règle commune » (Commandant Hélie Denoix de Saint Marc, officier putschiste du 1er REP)
Soldats français prisonniers du Vietminh
Ces hommes mourant sur des civières ne sont pas des déportés à Buchenwald ou Mauthausen et pourtant, avec des milliers d'autres camarades, ils ont rejoint la longue cohorte des ombres et des martyrs de l'Histoire qui appellent à un « devoir de mémoire » éternel et à l'indignation la plus vive, car le crime, ici, est resté impuni.
Rappelons une ultime fois l’ignominie de ces camps de la mort et la véritable nature du Viêt-Minh et de ses collaborateurs. La guerre d’Indochine ne fut pas une guerre comme les autres. Contre des soldats prisonniers -en principe, couverts et protégés par la Convention de Genève- le Viêt-Minh et ses sbires français, tels que des monstres de la trempe de Boudarel ont perpétré un génocide qui n’a d’équivalent au XXème siècle que celui effectué par les nazis.
Dans ces antichambres de la mort, en plus des brimades et des privations communes à tous les centres d’internement, nos soldats furent soumis aux fantaisies machiavéliques d’un professeur de philosophie français qui avait déserté pour devenir « Commissaire Politique » (Can Bô pour les viets) à la solde de l’ennemi.
Cet individu de basse besogne, vil et lâche, profita de l’appui du PCF pour retrouver un poste de leader syndicaliste en Tchécoslovaquie et, à la chute du mur de Berlin, revenir sans la moindre inquiétude en France pour y retrouver, avec l’appui d’intellectuels communistes, une chaire universitaire et usurper une retraite « bien méritée » (dixit le PCF). Protégé par l’intelligentsia de gauche, ce criminel de guerre, finira ses jours tranquillement dans son lit avec la satisfaction du « devoir accompli », notamment au camp 113. Boudarel, de par ses multiples protections, a échappé au châtiment des hommes et ses victimes ne connaîtront jamais la paix.
Les amis français des « Can Bô » siègent toujours au Parlement et leur objectif demeure le même depuis la fin de la première guerre mondiale : La destruction de la Nation française...
Nos soldats ne furent pas les seuls à connaître les sévices du goulag rouge. De nombreux vietnamiens furent également soumis à la torture, au lavage de cerveau et à l’extermination. Le Viêt-Minh de l’oncle « Hô » traqua aussi les montagnards Moï, Lao, Hmong, Rhadés, Thaï ou Nung dans le but avoué d’éradiquer le pays de leur existence et de les punir (comme, plus tard, le seront les harkis en Algérie), de leur fidélité à la France. Ne les oublions jamais !
|
Adieu l'Indochine........... |
- A mes Hommes qui sont morts -
[… ]
Soldats qui reposez sous la terre lointaine,
Et dont le sang versé me laisse des remords,
Dites vous simplement : « C'est notre Capitaine
Qui se souvient de nous et qui compte ses morts ».
Dernière strophe du poème du Vicomte de BORELLI, Capitaine de la Légion Étrangère.
-o-o-o-o-o-o-o-
A l’occasion du 60ème anniversaire de la fin de la guerre d’Indochine, l'ANAI 31 (Association des Anciens et des Amis de l'Indochine) organise une journée commémorative le Samedi 14 juin à TOULOUSE de 10H à 17H.
Journée d'hommage, de mémoire et d'amitié ouverte à tous pour découvrir trois siècles de présence française en Indochine, pour rendre hommage aux anciens combattants et donner un témoignage d'amitié aux communautés asiatiques issues de l'ancienne Indochine qui ont payé si cher leur engagement aux côtés de la France.
Renseignements : Contact – ANAI 31 : 06 95 16 07 77
-o-o-o-o-o-o-o-o-o-
A l’occasion du soixantenaire de la fin de la guerre d’Indochine, une brochure (90 pages couleurs) intitulée « Il y a 60 ans, DIEN BIEN PHU » à laquelle ont participé le Colonel Jean Luciani et Roger Holeindre, entre autres, a été éditée. Prix : 15 euros (franco de port).
Adresser commande au Cercle National des Combattants - 38, rue des Entrepreneurs 75015 Paris – Tél. 01 40 59 07 66 – Courriel : cerclenationalcombattants@orange.fr – Site : http://www.cncombattants.org
-o-o-o-o-o-o-o-
FLN et Việt Cộng sur les Champs-Élysées le 14 juillet : merci François !Vous voyez les États-Unis inviter Al-Qaïda à défiler dans les rues de New York ou Washington en 2061 ? |
||||
|
Bien que je sois en Vendée désormais je soutiens Dominique que
j'ai bien connu alors que j'étais directeur adjoint à l'hôpital de
Maubeuge. Nous avons toujours eu des rencontres de qualité.
Bon courage pour cette partielle.
J'adresse aussi mon bonjour à Claude Deresnes dont je garde un
excellent souvenir.
Je suis maintenant en retraite après avoir soigné un cancer. Tout
va bien maintenant.
Je consacre mon temps aux enfants toujours seul et ils sont
maintenant en études sup. ( Master 2droit des affaires et compta. pour
la fille et électricité pour le fils (là je ne suis plus compétent).
Je suis un viré du FN pour avoir oser perdre mes cheveux lors des
chimios. au motif que Marine n'aime pas les holligans. Il est vrai
aussi que le FN niortais n'a jamais brillé par sa lumière et mon 5,62/
aux cantonales sur un secteur où Charbonneau fais habituellement 1/ a
été mal interprété. Je suis passé devant le chef !
Cordialement.
Philippe GOUILHERS (0628364231)
COMMUNIQUE DE PRESSE DU PARTI DE LA FRANCE
Suite à la démission de Jean-Louis Borloo, député sortant, les électeurs de la circonscription de Valenciennes seront appelés à élire leur nouveau député les 22 et 29 juin prochains.
Enfant du pays, né et ayant toujours vécu et travaillé dans cette circonscription, Dominique Slabolepszy a par ailleurs siégé au conseil municipal de Condé sur Escaut et au conseil municipal de Valenciennes.
Conseiller régional honoraire du Nord-Pas-de-Calais, il a consacré sa vie politique au service des habitants du Valenciennois.
Le 22 juin, il défendra les valeurs politiques de la droite nationale de conviction sous les couleurs du Parti de la France.
Si vous souhaitez participer à la campagne de Dominique Slabolepszy ou aider le Parti de la France, contactez-nous à l’adresse suivante : contact@parti-de-la-france.fr
Région > Valenciennes et ses environs > Valenciennes
Par pour La Voix du Nord, Publié le 01/06/2014
Il doit aimer les campagnes électorales, Dominique Slabolepszy. Après avoir tenté les municipales, les cantonales et les législatives à plusieurs reprises au cours de sa longue vie, c’est sous les couleurs du Parti de la France qu’il se présente à la députation.
Il fait donc partie des neuf candidats aux législatives partielles des 22 et 29 juin. Dominique Slabolepszy n’a pas tardé à se décider. Pas avant, bien sûr, d’en avoir discuté avec son ami Carl Lang, fondateur dudit parti. Sa remplaçante est une femme, Katy Basseux : lors des municipales de mars, elle était déjà en deuxième position sur la liste de celui que ses proches appellent Slabo.
Connu comme le loup blanc dans le paysage politique valenciennois, copain avec un grand nombre de politiques de tout bord dans l’arrondissement, Slabo est un enfant du pays de Condé. « Un avantage » aux yeux de Carl Lang, venu soutenir « un homme de proximité et de fidélité ». Dominique Slabolepszy ancien secrétaire départemental du Front National a en effet rejoint Carl Lang, lui aussi ancien du FN, dans sa dissidence, survenue au cours des années 2000. C’est, du coup, son troisième parti : il y a bien longtemps, Slabo était à l’UDR.
La différence est dans l’économie
Infatigable candidat, Dominique Slabolepszy ? Il y a des chances. À 70 ans, l’ancien frontiste, qui fut un temps conseiller régional, entame là son énième campagne. Absolument pas refroidi par ses très maigres scores aux municipales à Valenciennes, surtout la dernière, brouillée par « la présence au dernier moment de Jean-Luc François Laurent (FN) et celle de Didier Legrand », explique-t-il.
Sauf qu’avec le Parti de la France, on a l’impression de voir double. Bref, l’organisation ressemble au front National, s’en approche au niveau des couleurs, des slogans et des postulats mais ce n’est pas le Front National. Pourquoi ? Parce que « Marine Le Pen n’affirme pas son appartenance à la droite, mais fait de la démagogie économique », en tenant « le même discours que Mélenchon ». Pour Carl Lang, son parti représente « la nouvelle droite populaire et nationale » et s’appuie sur un atout, « la défense de la force active de notre économie ».
Pour l’heure, le parti de la France, fondé en 2009 après la rupture de Carl Lang avec le FN ne dispose d’aucun financement public, ni d’aucun député à l’assemblée. Malgré tout, Carl Lang y croit : son parti « a vocation à devenir une grande force politique ».
L’annonce de ce matin de l’arrestation d’un Français , à Marseille , fortement présumé être l’auteur des assassinats , est malheureusement la preuve qu’il n’existe pas de sécurité parfaite malgré le professionalisme reconnu de nos services .
Cette nouvelle menace exige de prendre à la fois des mesures préventives et de répression fortes , car aujourd’hui on assiste à un jihadisme pour la Syrie sans entrave qui profite de nos libertés et de surtout de notre laxisme du politiquement correct !
La libre circulation rend difficile tout contrôle , mais l’une des solutions pourrait être le rétablissement d’un visa pour les pays proches du conflit syrien , à savoir la Turquie , le Liban . Il va de soit qu’il faut trouver un accord avec ces pays à cette fin et renforcer notre coopération avec tous ces pays .
De plus il faut criminaliser toute participation de Français à un conflit du type syrien, Jacques Myard rappelle qu’il a déposé le 16 juillet 2013 sur le bureau de l’Assemblée Nationale une proposition de loi allant dans ce sens ( PPL No 1263 )
La question du jihadisme n’est pas une question sociale de fils des banlieues en mal de souffrance sociale , on fait face à des combattants qui haïssent la France conformément à leur fanatisme religieux et sectaire .
Il est urgent d’en être conscient et de prendre toutes les mesures pour neutraliser ces fanatiques qui rejettent et vomissent la France ainsi que tous les non croyants . Ils ne se considèrent plus comme Français et bien qu’ils soient déchus de notre nationalité et expulsés !
A défaut, c’est la guerre civile qui nous attend !
Est-ce le "coucou" ?
Toujours est-il que ce "BLOG" vient de subir une copie presque intégrale.
Je prends tellement de précautions afin de ne pas tomber sous les coups d'intrigants, et leurs menaces de dépôt de plainte, qu'il faut faire de gros efforts et d'imagination pour comprendre certains acharnements.
Si ça les intéressent, c'est qu'ils n'ont rien d'autre à faire, ah si, se faire élire et ne pas assumer leurs mandats, le système qu'ils dénoncent à juste titre les a déjà corrompus.
Vive les élections libres, pourvu que ça dure !
Dominique SLABOLEPSZY
Lu dans le Parisien Alertes.
A propos de l'arrestation d'un suspect présumé responsable du meurtre de 4 personnes à Bruxelles.
"Cet homme âgé de 29 ans, Mehdi Nemmouche, originaire de Roubaix (Nord), est soupçonné de s'être rendu rendu en Syrie en 2013 auprès de jihadistes. Il était fiché pour ces raisons par la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). Il a été arrêté à la gare routière Saint-Charles à Marseille par les douaniers, lors d'un simple contrôle, alors qu'il se trouvait dans un autocar en provenance d'Amsterdam, via Bruxelles. Selon BFMTV, il s'apprêtait à prendre le chemin de l'Algérie."
Ah bon ! un soi disant français qui fuit en Algérie, serait-ce donc ça un retour au pays ?