UA-64751344-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Lu sur Synthèse Nationale

    Logo-LREM-noir.jpg

    Le billet de Patrick Parment

    Créer un parti politique de toute pièce, surtout quand on est devenu en l’espace d’une seule élection, le premier parti de France, pose plus de problèmes qu’il n’en résout. Venus d’horizons très différents, la République en marche (LREM) tient tout à la fois du melting pot politique et de l’auberge espagnole. Le patron furtif qu’est Christophe Castaner règne sur un mouvement dont il ne maîtrise pas l’encadrement pour la bonne raison qu’il n’est pas encadré. Ce qui revient à dire qu’il est difficile d’établir un semblant d’organigramme et que faute de connaître les cadres départementaux vraiment opérants, Castaner règne sur un monde d’incertitude.

    En veut-on quelques exemples ? En Loire-Atlantique on a assisté à quatre changement de référents depuis l’élection présidentielle. On a constaté la démission de référents dans le Tarn, les Pays de Loire, la Sarthe et dans l’Yonnne où la députée Michèle Crouzet (ex-UDI) est en froid depuis des mois avec le référent départemental Patrice-José Tampied-Azurza. Dans le Maine-et-Loire, l’investiture de l’ex LR Emmanuel Camus pour les élections sénatoriales et le choix comme référent par la direction parisienne (contre les deux tiers des adhérents) de Benjamin Kirschner, transfuge des jeunes de l’UDI et proche du député LREM Matthieu Orphelin, illustrent le malaise des militants.

    A Nice, Khaled Ben Abderrahmane, ex-PS, porte-parole d’En Marche! dans les Alpes-Maritimes, a signalé une subordination dela section locale à Christian Estrosi. Même doléances pour David Vidal-Ponsard, animateur du comité Pau-Béarn, qui, en claquant la porte avec 17 autres militants et en rejoignant Les Patriotes, a protesté contre la tutelle du MoDem dans son secteur.

    Comment interpréter, par ailleurs, la présence de François Blouvac aux côtés de Christophe Castaner ? Spécialiste du socialisme municipal, ancien collaborateur de Bertrand Delanoë à Paris et de Jean-Marc Ayrault à Nantes, la présence de Blouvac ne peut s’expliquer que dans la perspective des tractations avec les élus socialistes pour les prochaines élections municipales. Notons au passage que Christophe Castaner espère atterrir à Marseille à la faveur de la condamnation à trois ans d’inéligibilité de Dominique Tian, premier adjoint de Jean-Claude Gaudin, donné jusque-là comme potentiel successeur.

    Faute de pouvoir compter sur ses propres troupes, Christophe Castaner ne cesse de répéter qu’il faut travailler avec les président des régions de droite en vue des prochaines échéances. Et concernant les prochaines élections européennes, il espère constituer des listes élargies de Cohn-Bendit à Alain Juppé. Autrement dit, tout le spectre centriste puisque se sont déjà ralliés outre le Modem, la grande majorité des centristes, version UDI, et les dissidents des Républicains emmenés par Franck Riester.

    Face à l’opposition de Gérard Larcher et des francs-maçons de la Fraternelle parlementaire quant à la révision constitutionnelle via le Congrès, Emmanuel Macron envisage sérieusement d’avoir recours au référendum. Cette solution serait une manière de conforter sa posture gaullienne et de contourner les oppositions. D’autant que le Président a une autre idée derrière la tête. La révision adoptée, il s’agirait de l’appliquer immédiatement à l’Assemblée avec des législatives, désormais partiellement à la proportionnelle, et pour un effectif moins nombreux de députés, ce qui passerait par une dissolution. Politiquement, succéderait à l’ancienne majorité absolue LREM une coalition reposant sur différents groupes à l’Assemblée. En 2022, toujours selon ces scénario, Macron délesté de législatives déjà passées demanderait aux Français un nouveau bail de cinq ans à l’Élysée.

    Et voici comment court-circuiter la tambouille des partis politique. Le rêve de tout énarque ! Certes, ce n’est qu’un schéma théorique et l’on sait trop combien les prédictions en la matière sont hasardeuses. Les indicateurs sociaux ne sont pas au beau fixe, ça râle du haut en bas de l’échelle sociale, mais l’opposition de « droite » n’a pas dit son dernier mot. Si, à gauche, Mélenchon ne dépasse pas le stade de la figuration, que l’avenir du Front national est plus qu’incertain - mais pas mort -, en raison de la dévaluation de Marine Le Pen, Laurent Wauquiez a une carte à jouer mais son fusil n’est qu’à un coup. La politique en France, c’est quand même plus marrant que le Loto.

  • On a rien à dire, ils sont ici chez eux !

    Verdun (55) : ils s’introduisent dans un carmel pour convertir des religieuses à l’islam et perturbent les vêpres, ils sont relaxés

     

    Rédigé le Jeudi 29 Mars 2018 à 09:07 | 0 commentaire(s)

     

    DEUX HOMMES, ÂGÉS DE 26 ANS ET 28 ANS, S’ÉTAIENT INTRODUITS DANS UN CARMEL EN NOVEMBRE POUR DEMANDER AUX SŒURS CATHOLIQUES DE SE CONVERTIR, SANS QUOI ELLES IRAIENT EN ENFER.


    Le tribunal correctionnel de Verdun (Meuse) a relaxé mercredi deux hommes qui avaient exhorté les sœurs d’un carmel  à se convertir à l’islam lors d’un office.

    « Aucun lien ne peut être fait entre vos agissements et un acte terroriste. Les termes et expressions employés, s’ils ont pu perturber les religieuses, ne sont pas spécifiques à un discours radical, provocateur ou voulant faire peur à autrui », a exposé la présidente du tribunal.

    La magistrate a relevé l’altération du discernement au moment des faits des prévenus, souffrant de troubles psychiatriques. Le procureur avait requis dix mois de prison avec sursis à l’encontre des deux hommes, âgés de 26 ans et 28 ans, pour « les violences psychologiques » infligées aux carmélites.

    Le 10 novembre 2017, ils avaient sonné à la porte d’un carmel à Verdun pour « échanger sur la religion », ont-ils raconté. L’un deux avait expliqué à Sœur Marie-Josèphe que « la religion musulmane pouvait corriger ce que la religion chrétienne avait de faussé, selon lui », a-t-elle témoigné.

    « Il m’a dit deux fois que si je ne changeais pas, j’irais en enfer […] sans agressivité, mais avec une insistance répétitive », a-t-elle poursuivi. La religieuse aux cheveux blancs, qui a salué avec un grand sourire les prévenus à l’ouverture de l’audience, a affirmé ne pas avoir été impressionnée. « Ma foi chrétienne me dit qu’on ne va pas en enfer comme ça ! », s’est-elle exclamée.

    Les deux hommes avaient ensuite assisté aux vêpres dans la chapelle, déchaussés « par respect des lieux », ont-ils précisé. Ils avaient prié à voix haute, perturbant l’office.

    À la fin de l’office, « je me suis approché de Sœur Marie-Thérèse et je lui ai susurré à l’oreille :’Si vous ne vous convertissez pas, vous irez en enfer’», a relaté le plus âgé.

     

  • REINFO 26 mars 2018

    REINFO : le journal hebdomadaire

  • In Mémoriam

    Ce dimanche 11 mars, la liquidation de près de 50 ans de la vie politique de la Droite Nationale est actée.

    En dehors de quelques compagnons de route restés pour des raisons alimentaires, seuls 4 ou 5 historiques restent dans ce TITANIC qu'est maintenant le "Rassemblement National", qui se voudrait l'héritier le plus discret possible du FRONT NATIONAL.

    Un seul militant représente le pays réel du NORD, le plus peuplé des départements français en la personne de Philippe EYMERY. Et quel militant, c'est celui qui avait mené le combat dans le NORD pour faire disparaître le FRONT NATIONAL le 5 décembre 1998.

    Les candidats militants du NORD, une nouvelle fois sont jetés comme des malpropres, ce n'est pas la première fois depuis 2011.

    La vérité consiste à redire que STEEVE BRIOIS, actuel secrétaire général était pour sa part à la manœuvre dans le Pas de Calais.

    Ce que Bruno MEGRET n'a pas réussi, ses laudateurs de l'époque "DES COUCOUS" ont réalisé l'ANSCHLUSS parfait.

    Les choses sont enfin claires, les opportunistes ont pris d'assaut la maison nationale et l'ont vidé de toute sa substance.

    Les choses sont enfin claires, la liquidation du FRONT NATIONAL est actée, le Rassemblement National mis en place ne permettra pas d'oublier, de faire oublier les turpitudes des unes et des uns, au Parlement Européen et lors des campagnes électorales passées.

    Les choses sont enfin claires, à la fin d'un cycle de près de 50 ans, la justice va pouvoir se prononcer malgré les jérémiades des mis en cause. Attention aux manœuvres dilatoires tendant à ralentir les procédures en cours.

    Beaucoup d'accusations ont été portées, une mise en examen n'est pas une preuve de culpabilité.

     

     

     

  • REINFO 12 mars 2018

     
     

  • Des amateurs ! Depuis qu'on vous le dit.

    Le Front national ne pourra pas utiliser le nom "Rassemblement national"

     

    Rédigé le Lundi 12 Mars 2018 à 07:44 | 0 commentaire(s)

     

    Inimaginable. Alors que le Front national et sa présidente Marine Le Pen évoquaient depuis des semaines le Congrès de Lille qui s'est tenu ces 10 et 11 mars, ainsi que le changement de nom du parti d'extrême droite, la nouvelle appellation qui a été choisie... n'est pas disponible.


    En effet, immédiatement après la proposition de la candidate vaincue de la dernière présidentielle de rebaptiser le FN en "Rassemblement national", il est apparu que le nom avait déjà été déposé auprès de l'Institut national de la propriété intellectuelle. Et via un communiqué  diffusé sur Twitter ce dimanche, le propriétaire du nom a expliqué qu'il ne comptait absolument pas le céder au Front national.

     
  • LES LIQUIDATEURS !

    1972/2018 : LES INSTANCES 2018 DU DEFUNT FRONT NATIONAL


    Rédigé le Dimanche 11 Mars 2018 à 17:14 | 0 commentaire(s)

    Refondation ou enterrement ? Le Front national a vécu… Sa Présidente a tiré l’échelle ce week-end sur la formation politique dirigée par son père de 1972 à 2011.


    1972/2018 : LES INSTANCES 2018 DU DEFUNT FRONT NATIONAL

    BUREAU NATIONAL DU … ( ex Bureau Politique)

    11 mars 2018

    Louis ALIOT – Membre du Bureau Exécutif
    Député des Pyrénées-Orientales

    Jordan BARDELLA
    Conseiller régional d’Ile-de-France

    Nicolas BAY – Membre du Bureau Exécutif
    Député français au parlement européen

    Bruno BILDE – Membre du Bureau Exécutif
    Député du Pas-de-Calais

    Steeve BRIOIS – Vice-Président
    Maire de Hénin-Beaumont

    Sébastien CHENU – Membre du Bureau Exécutif
    Député du Nord

    Muriel COATIVY
    Conseiller régional de Rhône-Alpes-Auvergne

    Sandrine D’ANGIO
    Maire des 13 et 14ème arrondissements de Marseille

    Edwige DIAZ
    Conseiller régional de Nouvelle-Aquitaine

    Jean-Michel DUBOIS
    Conseiller régional d’Ile-de-France

    Huguette FATNA
    Conseiller régional d’Ile-de-France

    Bruno GOLLNISCH
    Député français au Parlement européen

    Catherine GRISET
    Chef de cabinet de Marine LE PEN

    Paul-Henry HANSEN-CATTA
    Conseiller régional des Hauts-de-France

    Laurent JACOBELLI
    Délégué national à la communication

    Jean-François JALKH – Membre du Bureau Exécutif
    Député français au Parlement européen

    Alain JAMET
    Membre fondateur du Front National

    France JAMET
    Député français au Parlement européen

    Virginie JORON
    Présidente du groupe FN au conseil régional du Grand Est

    Jean-Lin LACAPELLE
    Conseiller régional d’Ile-de-France

    Hélène LAPORTE
    Conseiller régional de Nouvelle-Aquitaine

    Thibaut de LA TOCNAYE
    Conseiller régional Provence-Alpes-Côte d’Azur

    Gilles LEBRETON
    Député français au Parlement européen

    Marine LE PEN – Présidente
    Député du Pas-de-Calais

    Joëlle MELIN
    Député français au Parlement européen

    Jean MESSIHA
    Porte-parole des Horaces

    Julien ODOUL
    Président du groupe FN au conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté

    Philippe OLIVIER
    Conseiller spécial de Marine LE PEN

    Ludovic PAJOT
    Député du Pas-de-Calais

    Mathilde PARIS
    Conseiller régional du Centre

    Gilles PENNELLE
    Conseiller régional de Bretagne

    Kévin PFEFFER
    Conseiller régional du Grand Est

    David RACHLINE – Membre du Bureau Exécutif
    Maire de Fréjus

    Stéphane RAVIER
    Sénateur

    Jérôme RIVIERE
    Ancien Député des Alpes-Maritimes

    Sophie ROBERT
    Conseillère régional Auvergne-Rhône-Alpes

    Wallerand de SAINT JUST – Trésorier
    Conseiller régional d’Ile-de-France

    Julien SANCHEZ
    Maire de Beaucaire

    Christopher SZCZUREK
    Conseiller départemental du Pas-de-Calais

    Philippe VARDON
    Conseiller régional Provence-Alpes-Côte d’Azur

    CONSEIL NATIONAL DU … (ex Comité Central)
    11 mars 2018

    Ont été élus :

    1 LOUIS ALIOT
    2 STEEVE BRIOIS
    3 NICOLAS BAY
    4 DAVID RACHLINE
    5 BRUNO GOLLNISCH
    6 JULIEN SANCHEZ
    7 STEPHANE RAVIER
    8 WALLERAND DE SAINT JUST
    9 SEBASTIEN CHENU
    10 MARIE CHRISTINE ARNAUTU
    11 BRUNO BILDE
    12 JEAN-LIN LACAPELLE
    13 JORDAN BARDELLA
    14 THIBAUT DE LA TOCNAYE
    15 BERNARD MONNOT
    16 GILLES PENNELLE
    17 JOELLE MELIN
    18 GAETAN DUSSAUSSAYE
    19 MYLENE TROSZCZYNSKI
    20 LUDOVIC PAJOT
    21 FABIEN ENGELMANN
    22 FRANCE JAMET
    23 PHILIPPE LOISEAU
    24 VALERIE LAUPIES
    25 CATHERINE GRISET
    26 JEAN-FRANCOIS JALKH
    27 THIERRY LEGIER
    28 OLIVIER MONTEIL
    29 CHRISTOPHER SZCZUREK
    30 GILLES LEBRETON
    31 FRANCK BRIFFAUT
    32 JULIA ABRAHAM
    33 EDWIGE DIAZ
    34 DOMINIQUE BILDE
    35 JEAN-MICHEL CADENAS
    36 PHILIPPE SANCHEZ
    37 AGNES MARION
    38 ELISABETH LALANNE DE HAUT
    39 HUGUETTE FATNA
    40 SABINE DE VILLEROCHE
    41 CHRISTOPHE BOUDOT
    42 MURIEL COATIVY
    43 ALAIN JAMET
    44 MARIE-HELENE DE LACOSTE LAREYMONDIE
    45 GONZAGUE MALHERBE
    46 MICHEL GUINIOT
    47 GILLES BALDACCHINO
    48 JEAN-MARC DE LACOSTE LAREYMONDIE
    49 SANDRINE LEROY
    50 SOPHIE ROBERT
    51 HERVE DE LEPINAU
    52 JEAN-CLAUDE PHILIPOT
    53 AUDREY GUIBERT
    54 ERIC DOMARD
    55 JACQUES COLOMBIER
    56 HERVE TOULZAC
    57 NATHALIE BETEGNIES
    58 GUILLAUME VOUZELAUD
    59 CHRISTELLE LECHEVALIER
    60 YOANN GILLET
    61 PHILIPPE VARDON
    62 JULIEN LEONARDELLI
    63 AMAURY NAVARRANE
    64 JULIE LECHANTEUX
    65 JEAN-PIERRE CHABRUT
    66 ETIENNE BOUSQUET CASSAGNE
    67 YVAN LAJEANNE
    68 SONIA LAUVARD
    69 COLINE HOUSSAYS
    70 LOUIS-ARMAND DE BEJARRY
    71 CATHERINE SALAGNAC
    72 JORIS HEBRARD
    73 ALAIN BREUIL
    74 ALAIN VIZIER
    75 THIERRY BESSON
    76 PHILIPPE EYMERY
    77 DOMINIQUE MARTIN
    78 NATHALIE PIGEOT
    79 BRUNO SUBTIL
    80 BLANCHE CHAUSSAT
    81 PASCAL FORT
    82 MARIE THOMAS DE MALEVILLE
    83 ALEXANDRA PIEL
    84 GEORGE MICHEL
    85 BERNARD MARANDAT
    86 ALINE BERTRAND
    87 CHRISTOPHE BARTHES
    88 LAURENT GUINIOT
    89 AGNES CAUDRON
    90 NATHALIE GERMAIN
    91 DORIAN MUNOZ
    92 JEAN LUC YELMA
    93 HELENE LAPORTE
    94 VIRGINE JORON
    95 DAMIEN MONCHAU
    96 NICOLE HUGON
    97 MANON BOUQUIN
    98 MURIELLE FIOL
    99 JEAN-RICHARD SULZER
    100 MARTINE CLEMENT LAUNAY

    Désignés par Marine Le Pen :

    GILBERT COLLARD
    SANDRINE D’ANGIO
    JEAN-MICHEL DUBOIS
    PAUL-HENRY HANSEN-CATTA
    LAURENT JACOBELLI
    PHILIPPE OLIVIER
    MATHILDE PARIS
    JEROME RIVIERE
    JEAN MESSIHA
    KEVIN PFEFFER
    JULIEN ODOUL
    ERIC MINARDI
    DENIS FRANCESKIN

    source : National-hebdo.net
    AURELIEN LEGRAND
    NICOLAS LESAGE
    CYRIL NAUTH
    PASCAL VERRELLE
    FRANCK ALLISIO
    AYMERIC DUROX
    PHILIPPE LOTTIAUX

  • Edito : Le grand soir !

    En attendant le grand soir

     

    Rédigé le Mercredi 7 Mars 2018 à 08:00 | 0 commentaire(s)

     

    En finir avec le modèle social (anti-)français.


    Postiers, SNCF, hôpitaux, CAF, etc. tous les politiques, y compris la candidate des patriotes lors de la dernière élection présidentielle, vantent, défendent, même lorsqu’ils affirment le réformer, le fameux modèle social français, tellement fameux que le monde entier nous l’envierait. Sauf que ce modèle social est un poison, un boulet poula France car contrairement à ce que les partisans de ce modèle affirment, il ne profite en rien aux Français…

     

    Bien au contraire, il grève d’impôts commerçants, artisans, chefs d’entreprise, il gèle la rémunération des salariés, il affaiblit les retraites, il diminue l’épargne… En effet, ce modèle – établi pour mieux répartir les richesses, mis en place pour aider précaires et nécessiteux à ne pas tomber dans la misère, conçu pour financer les services publics d’un Etat omnipotent plus efficace que le marché pour favoriser la solidarité et l’équilibre entre les territoires – n’est désormais qu’un gouffre des maigres richesses des Français, qu’un créateur d’une dette abyssale qui financent, à fonds perdus, la subversion migratoire dans des pans entiers de notre pays, sans parler de l’achat de clientèle électorale… 

     

    En effet ce fameux modèle ne se résume plus qu’en la fameuse politique de Vile qui a déversé des millions et des millions d’euros dans les quartiers de l’immigration et ce pour rien, au détriment de cette France rurale de plus en plus en périphérique, qui vide les écoles rurales au bénéfice des immigrés et pour un résultat qui sera bien entendu nul… 

     

    Ce modèle social crée aussi des comportements d’assistés qui ne comprennent pas pourquoi ils n’auraient pas autant que les immigrés qui reçoivent sans rien faire, qui encourage la triche et le mensonge pour obtenir des prestations, qui met à mal la natalité française, per exemple, en considérant que les familles françaises qui ont les moyens doivent recevoir moins voire plus du tout d’allocations et ce aux bénéfices des familles immigrées ou d’origine immigrée.

     

    Ce modèle est donc devenu parfaitement injuste et anti-français.

     

    Pour autant, il ne faut pas supprimer toute forme de solidarité publique qui passerait par l’impôt, mais il s’agit de fermer les vannes de financement de la substitution de notre peuple, de mettre fin aux logiques clientélistes des élus pro-immigration – qu’ils soient de droite ou de gauche –, de ne plus ériger le poison de l’assistanat comme modèle de société, de permettre, par le principe de subsidiarité, aux familles d’assurer la protection de leurs membres.

     

    Oui, si la droite nationale veut être populaire et sociale, elle doit dénoncer ce modèle social anti-français et mettre en place de nouvelles solidarités au profit de notre peuple.

     

    Arnaud Malnuit

  • A ceux qui liront, l'oubli n'existe pas !

    Fils de la nation – Mémoires de Jean-Marie Le Pen

     

    Rédigé le Vendredi 2 Mars 2018 à 09:25 | 0 commentaire(s)

     

    Achetez le premier volet des Mémoires de Jean-Marie LEPEN, à paraître le 28 février 2018, en précommande dès aujourd’hui sur le site les4vérités. FRAIS DE PORT OFFERTS jusqu’au 31/03/2018

    Résumé :


    «  Mes grands-parents ne savaient pas lire mais surent donner une vie décente à leurs enfants. Ma paysanne de mère était élégante et fière, mon père, patron pêcheur taciturne, avait navigué pendant la Grande guerre, à treize ans, mousse sur un cap-hornier, ces cathédrales de toile et de bois qui affrontaient les quarantièmes rugissants. A la maison, il n’y avait pas l’eau courante mais on aimait sa famille, son pays et Dieu – et la Bretagne aussi, avec ses îles, ses navires. L’instituteur et le curé nous apprenaient à les chanter ensemble. En somme, j’étais un petit Breton heureux dans la grande France.
    Puis vint la Seconde guerre mondiale. Le père est mort, la France était blessée, des curés m’ont dégoûté de Dieu. C’est alors que j’ai découvert la folie des hommes, Paris, l’université, l’Indochine, l’Assemblée nationale, l’Algérie. J’eus une épouse et des filles. La vie s’offrait, tantôt magnifique, tantôt désolante. Le petit Breton avait grandi, la France rapetissé. Pour la relever, j’ai choisi le combat politique.  »

    https://www.les4verites.com/produit/fils-de-nation?ref=2340366695
  • A ceux qui liront, avant le Congrès de la soi disant refondation du FN.

    Trop de démocratie, tue la démocratie.

    TOUS les politiques qui veulent se faire élire ont un devoir : les yeux dans les yeux, ils doivent dire la vérité, pas leur vérité.

    Personne ne peut plus rien cacher sur un parcours politique, professionnel ou personnel.

    Le poids d'internet, des réseaux sociaux, dévoile à vie les réalités individuelles.

    Pas vu, pas pris, c'est fini. Il n'y a plus d'oubli, ni d'effacement de parcours.

    Par curiosité, j'ai parcouru, sur le site du FN, la liste des quelque 400 candidats et leurs profession de foi.

    Peut-on rire de tout, comme le dit un humoriste célèbre dans son one man show.

    Un certain nombre de candidats au Comité Central du 16ème Congrès du Front National résiduel, font des impasses substentielles sur leur parcours professionnel, comme politique.  

    C'est vrai qu'ils ont comme modèles des Aurore BERGE, des Gérald DARMANIN, des Bruno LEMAIRE, des Edouard PHILIPPE, sans compter les déserteurs et renégats du PS qui veulent donner des leçons à la FRANCE.

    Judas une fois, Judas toujours.

    Des candidats au nouveau Comité Central du FN veulent qu'on oublie leurs trahisons de la Droite Nationale, comme si le fait d'avoir suivi Bruno MEGRET en 1998 était à oublier.

    Certains devraient savoir que les archives, type "Enfants de la Télé", ont laissé des traces indélébiles.

    Fidèle aux idéaux de la Droite Nationale, Sociale et Populaire, je crois avoir le droit d'ouvrir les yeux de celles et ceux qui voteront lors du Congrès, j'ai quand même 25 années de militantisme, 20 ans de secrétariat fédéral, 18 années irréprochables de mandat régional.

    Ces traitres ont des noms : Steeve BRIOIS, Bruno BILDE, Philippe EYMERY, Nicolas BAY et quelques autres.

    Toute honte bue, ils se présentent à vos suffrages.

    Ils défendent une ligne qui n'a rien à voir avec les traditions nationales.

    En fait ce sont des arrivistes carriéristes.

    Ce sont les fossoyeurs des idées nationales, ils vont tuer le FRONT NATIONAL. 

    Avec beaucoup d'anciens militants et cadres du Front National, des écartés ou des exclus par la volonté d'une soi disant présidente, qui se veut à vie comme tous les dictateurs, nous sommes déterminés à accueillir toutes celles et tous ceux qui comprendront que le Parti de la FRANCE est la seule structure politique capable de redonner l'espoir aux français.

     

  • Vérité sur le FLN par CASTANO

    Et revoilà « La torture en Algérie » !…

     

    « Les moralistes ressemblent aux chimistes. Ils préparent des remèdes pour les autres, et s’en servent rarement. » (Pigault-Lebrun – « L’homme à projets »)

     

                Dans le premier tome de ses Mémoires (éditions Muller) récemment paru, Jean-Marie Le Pen évoque, de nouveau, la pratique de la torture durant la guerre d’Algérie. Il a fallu pas plus à certains journalistes, emmitouflés dans leur bure de moralistes, de s’intéresser soudainement à « la question », dans l’attente de la petite phrase scandaleuse bien juteuse qui les propulserait aux nues de la gloire médiatique.

                Sur cette torture pratiquée –on l’oublie trop souvent- dans le but exclusif d’obtenir des renseignements permettant la mise hors d’état de nuire de dangereux criminels ou visant à neutraliser des bombes prêtes à exploser, JMLP s’explique :

    « L'armée française revenait d'Indochine. Là-bas, elle avait vu des violences horribles qui passent l'imagination et font paraître l'arrachage d'un ongle pour presque humain. (…) Cette horreur, notre mission était d'y mettre fin. Alors, oui, l'armée française a bien pratiqué « la question » pour obtenir des informations durant la bataille d'Alger, mais les moyens qu'elle y employa furent les moins violents possibles. Y figuraient les coups, la gégène et la baignoire, mais nulle mutilation, rien qui touche à l'intégrité physique.»

                Le 26 février, Interrogé au micro de RTL sur son éventuelle participation à la torture si on le lui avait ordonné, il répondait :

    « Sans douteJ'aurais fait mon devoir, préférant la vie d'une petite fille innocente à celle d'un tueur qui pose la bombe. Les consignes qui étaient données étaient d'éradiquer à n'importe quel prix la menace terrible que faisait peser le terrorisme, qui a fait des centaines de morts, de blessés et de mutilés, dont personne ne parle. Et c'était justement à la recherche de ces réseaux de bombes qu'un certain nombre de procédés ont été utilisés, beaucoup plus humains que de déchiqueter les jambes d'une petite fille. »

                Il n’en fallut pas plus pour que cette justification de la torture entraînât la réaction d’un journaliste : « Comme à son habitude, le président d’honneur du Front national s’est fait remarquer par des propos particulièrement polémiques. »

    En quoi ces propos sont-ils « polémiques » ?...

                Dans « Mille et une pensées », Philippe Bouvard écrivait : « Le propre du moraliste est de tenir pour immorales les saletés qu’il a toujours rêvé de faire »…

                Dans cette guerre sale, bestiale, cruelle et écœurante, l’ennemi (FLN) n’était pas franc et ne s’embarrassait pas de scrupules… Il était partout à la fois et on ne le voyait nulle part. Ce n’était pas un adversaire loyal, ne s’attaquant qu’aux militaires ou à leur matériel ; tout au contraire, ces terroristes étaient des criminels de droit commun, des gangsters de l’espèce la plus ignoble, et leur gang avait ses ramifications secrètes dans toutes les classes de la société française. Il fallait donc agir rapidement et impitoyablement à leur endroit et, pour cela, utiliser des moyens appropriés, fussent-ils, eux aussi, révolutionnaires.

                Cependant, c’est grâce au silence et au secret dont ils s’entouraient que ces tueurs pouvaient opérer et porter les coups les plus dévastateurs. Le secret rompu permettrait de les interpeller et mettre la main sur les bombes, les armes de toute sorte, interdirait toute velléité d’attentat. C’était donc au secret qu’il fallait s’attaquer si l’on voulait éviter un bain de sang…

    Mais comment s’y prendre ?

    Imaginons être en face d’un homme pris alors qu’il vient de déposer une bombe et qui, seul, sait en quel lieu, à quelle heure elle explosera, tuant et mutilant à jamais des dizaines et des dizaines d’innocents. Si cet homme, s’enfermant dans son secret ne veut rien dire quand on l’interroge humainement, réglementairement, alors, que faut-il faire ? Et il faut faire vite car le temps presse ! Quelque part dans la ville, le tic-tac s’égrène lentement et c’est pour de nombreux êtres humains, une question de vie ou de mort. A tout prix il faut désarmer ce bandit, le faire parler quels que soient les moyens afin qu’il livre son secret… et de toutes les méthodes, seule la torture paraît être la plus efficace et, surtout, la plus rapide. C’est ça ou se contenter de ramasser des innocents déchiquetés par la bombe qui va exploser dans un instant et de les conduire à la morgue.

                En Algérie, l’armée française dut, pour faire face au danger sans cesse croissant du terrorisme et afin de le mieux combattre, utiliser les mêmes arguments que l’ennemi : La torture.

                Par celle-ci, cependant –et par elle seule- elle arriva à prévenir le harcèlement imminent d’un poste, l’embuscade tendue à une patrouille, l’explosion d’une bombe dans un stade, un café ou un cinéma, l’attaque d’une ferme, l’enlèvement ou l’assassinat d’une personne.

                On a fait à ce sujet, au lendemain de la « bataille d’Alger », le procès de la torture. Si ses plus violents proscripteurs n’avaient pas été animés, souvent, plus par des arrière-pensées politiques que par des sentiments humanitaires, leurs appels auraient eu une autre résonance. Mais combien songeaient à condamner en même temps, et peut-être d’abord, la cause : Le terrorisme ignoble et aveugle ?

              Durant ce conflit, les « moralistes à la conscience pure » n’ont eu de cesse de vilipender les parachutistes français pour leurs « opérations de police musclées » lors de cette bataille en leur opposant la « charité chrétienne ».

                Mais où est la « charité chrétienne » dans ces visions apocalyptiques : Visages lacérés où les yeux manquaient, nez et lèvres tranchés, gorges béantes, corps mutilés, alignements de femmes et d’enfants éventrés, la tête fracassée, le sexe tailladé dont les tueurs du FLN se repaissaient avec un plaisir sadique ?

                La révolution, la lutte pour l’indépendance de son pays justifient-elles de telles abominations ? « On dirait que les moralistes ont envie que les gens soient malheureux, afin de donner respectivement raison à leurs sentences » écrivait Charles Dantzig dans son « Dictionnaire égoïste de la littérature française »…

                Les âmes chagrines disent que la conscience se révolte au spectacle de certains crimes. Hier, le FLN ; aujourd’hui, l’Etat Islamique et ses séides… Dans les deux cas, nous avons été -et sommes, de nouveau- en présence du plus monstrueux florilège du crime qui puisse se concevoir. Les images qui représentent les milliers d’hommes égorgés, les visages mutilés au couteau, les têtes tranchées, les fillettes violées ou déchiquetées par les bombes, les femmes lapidées ou vitriolées, reculent les limites assignées à l’horreur. Cependant, ces atrocités, répliques de tant d’autres commises en Algérie ne révoltent pas les consciences contre les criminels mais contre ceux qui les pourchassent et tentent de les neutraliser…

                La conscience se corrompt dans ces contradictions parce que pardonnant là (l’assassin) et condamnant ici (le soldat), elle cesse d’être conscience pour se faire complice. La supercherie naît de ce qu’elle continue à se parer des attributs de la conscience et exige d’être reconnue comme telle. La complicité dissimulée sous le vocabulaire de la conscience, c’est la subversion. Les mots deviennent fausse monnaie.

     

                                                                                                                                  José CASTANO

                                                                     Courriel : joseph.castano0508@orange.fr

     

    Cycle de conférences données par José CASTANO

     

    « ISLAM, RELIGION CONQUERANTE »

     

    Organisée par le Cercle Algérianiste de MONTPELLIER, cette conférence sera donnée LUNDI 19 MARS, à 15H, MAISON DES RAPATRIES, 31 rue Émile Chartier (Mas Drevon) - 34070 MONTPELLIER

    Renseignements au : 06 81 95 00 89 - Courriel : gruvira@numericable.fr 

     

  • BP du Parti de la France le 10 février 2018

    BP 10 02 2018.jpg

    Avec nos collègues Carl LANG, Myriam BAECKEROOT, Thomas JOLY, Fernand Le RACHINEL, Jean-Claude FRAPPA, Christian BAECKEROOT, Bruno HIROUT, tous anciens cadres du FRONT NATIONAL canal historique. Depuis 10 ans, nous tenons allumée la flamme française.

    D'autres photos sont disponibles sur le site du Parti de la France.