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  • ALGERIE (suite, et pas fin)

    Algérie : la prudence reste de mise

    Abdelaziz Bouteflika painted portrait _DDC3057 By: thierry ehrmann - CC BY 2.0

    El Watan a raison de titrer « La dernière ruse de Bouteflika ».

    Dans une démocratie normale, ce sont d’autres candidats qui se seraient présentés et les élections auraient eu lieu.

     

    Par Jean-Baptiste Noé.

    Les réactions en France à l’annonce du président Bouteflika sur sa renonciation à un cinquième mandat montrent que beaucoup n’ont pas compris ce qui se passait dans le monde arabe.

     

    Cela semble rejouer les printemps arabes de 2011, qui ont connu les succès que l’on sait.

    Comme si l’instauration de la démocratie était la baguette magique qui allait résoudre tous les problèmes.

    En Algérie, la prudence reste de mise. Le clan Bouteflika a annoncé que celui-ci renonçait à se présenter, dans une formule audacieuse et menteuse : « Il n’y aura pas de cinquième mandat et il n’en a jamais été question pour moi […] » alors même qu’il avait annoncé sa nouvelle candidature.

    l ne se représente pas, mais les élections sont annulées et reportées sine die.

    Ce qui signifie que son mandat va se prolonger au-delà du 28 avril 2019, probablement jusqu’au début de l’année 2020, le temps que se réunisse la « Conférence nationale inclusive et indépendante » et qu’elle propose des modifications à la constitution.

    El Watan a raison de titrer « La dernière ruse de Bouteflika ».

    Dans une démocratie normale, ce sont d’autres candidats qui se seraient présentés et les élections auraient eu lieu.

     

  • BOUTEFLIKA t'es où ? Par le correspondant du POINT.

    Bouteflika : la justice suisse va-t-elle instruire une plainte pour « suspicion d'enlèvement » ?

    La question mérite d'être posée alors que, le 25 février, une Algérienne a déposé une plainte pour « suspicion d'enlèvement d'une personne incapable de discernement ».
    Par notre correspondant à Genève,
    Publié le | Le Point Afrique
    <p>,Siskia Ditisheim, présidente d'Avocats sans frontières Suisse a demandé la nomination d’un ou plusieurs curateurs en invoquant l’état de santé de M. Bouteflika.</p>
     

    ,Siskia Ditisheim, présidente d'Avocats sans frontières Suisse a demandé la nomination d’un ou plusieurs curateurs en invoquant l’état de santé de M. Bouteflika.

    © DR
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    Le lendemain de l'arrivée d'Abdelaziz Bouteflika en Suisse, une Algérienne s'est rendue au poste de police de Le Mont-sur-Lausanne, une commune du canton de Vaud. Reçue par un inspecteur, elle a déposé une plainte pour « suspicion d'enlèvement d'une personne incapable de discernement ». Pendant près de deux heures, cette résidente suisse a expliqué qu'elle considérait que le président algérien, en raison de son état de santé, était victime d'un enlèvement et d'une séquestration. Non seulement la police vaudoise a pris très au sérieux cette plainte, mais elle s'est aussitôt entretenue avec un procureur concernant l'ouverture d'une enquête préliminaire.

     

    Lire aussi : Algérie : Abdelaziz Bouteflika serait « sous menace vitale permanente »

    Seulement, voilà, Abdelaziz Bouteflika était attendu à la clinique de Genolier, où il se rend habituellement. L'établissement est situé dans la commune de Genolier, dans le canton de Vaud. Or, le président algérien, en raison d'un état « très précaire », et notamment d'une dégradation de ses réflexes neurologiques, a été transféré aux Hôpitaux universitaires de Genève (HUG), dans le canton de Genève. La plainte a donc été transmise à la justice du bout du lac Léman. Mais apparemment, les magistrats genevois se sont hâtés très lentement pour ouvrir une enquête, préférant laisser repartir dimanche 10 mars dans l'après-midi le chef de l'État à bord du Gulfstream 4SP de la République algérienne démocratique et populaire.

  • Le samedi 11 mai 2019, le PDF fête ses 10 ans.

    Samedi 11 mai, le Parti de la France célébrera ses 10 ans d'existence au cours d'un grand banquet dans un prestigieux restaurant du Paris historique.

      
     Tout au long de la journée, des personnalités qui ont contribué à la fondation et au développement de notre mouvement prendront la parole.

    Afin que le maximum de militants et de sympathisants du Parti de la France puisse participer à cet événement, le tarif est fixé à 20 € par personne, le PdF prenant le reste à sa charge.

    Vous pouvez dès maintenant envoyer votre réservation accompagnée de votre règlement par chèque (à l'ordre de Myriam BAECKEROOT) à cette adresse : PdF - Banquet des 10 ans - 6, allée des Templiers - 78 860 Saint-Nom-La-Bretèche

    Renseignements au 06.38.73.25.61 ou 10ans@parti-de-la-france.fr