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  • Une élection en cache toujours une autre !

     

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    Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

    Alors que tous les regards étaient, à juste titre, braqués sur les scores des uns et des autres aux élections européennes, tant en France même que chez ses voisins, deux autres consultations électorales sont passées, presque, inaperçues.

    La première, c’est l’élection du nouveau Congrès de Nouvelle-Calédonie et des trois assemblées provinciales de ce territoire d’outre-mer. La seconde, est l’élection municipale à Barcelone où Manuel Valls s’est fait durement rosser.

    A Nouméa, dimanche 12 mai, dans la foulée du référendum du 4 novembre 2018 où le « oui » à l’indépendance a frôlé les 44 %, les indépendantistes pensaient gagner la compétition électorale pour le renouvellement du Congrès de Nouvelle Calédonie et des trois assemblées provinciales nées des accords de Matignon. Pari raté, ce sont les « loyalistes » qui continueront de détenir la majorité territoriale. Ce qui est intéressant à noter, c’est le basculement qui s’est opéré au sein de la majorité, redessinant la carte politique de « La Grande terre ».

    C’est ainsi que la coalition « L’Avenir en confiance » regroupant  3 partis, les Républicains calédoniens, le Rassemblement « les Républicains » et le Mouvement populaire calédonien, a emporté 16 sièges sur 54. Elle pourra compter, toutefois, sur l’appui de groupes minoritaires, comme par exemple, l’Eveil océanien, 2 élus, issu des communautés wallisiennes et futuriennes, ou de Calédonie ensemble, 7 élus (-8 !). Le FLNKS, le cartel indépendantiste, totalisant pour sa part  26 conseillers, pas suffisant, à deux voix près,  pour construire une majorité. Un basculement s’est opéré au sein du camp « pro-Français » où la coalition « l’Avenir en Confiance », conduite par la blonde Sonia Backès, 43 ans, une syndicaliste aux ascendants portugais, a quasiment remplacé les sortants de « Calédonie ensemble » dirigés par Philippe Gomes. Un glissement inquiétant pour cette formation dont se réclament la présidence du Congrès, celle de la province sud (Nouméa), ainsi que les 2 députés et un sénateur sur 2 de l’île ! Dans la province du Sud, « l’Avenir en confiance » est désormais  seule à la manœuvre avec 21 sièges sur 40 postes d’élus locaux. Dans la province du nord, acquise aux séparatistes, « Calédonie ensemble » n’obtient aucun siège, tandis que le PALIKA de Néaoutyne obtient 38,5 % des suffrages, et que son rival au sein du FLN KS , l’Union calédonienne, en enregistre 36 %, pourcentages assurant à ces deux formations l’assurance de gouverner ensemble contre les « loyalistes ». Lesquels, conduits notamment par Alcide Ponga, maire de Kaouaoua, 12,2% , ont amélioré leurs résultats de +3 points . La province des îles, - Ouvéa, Lifou, Maré-, totalement acquise aux  séparatiste,- on se souvient de la tragédie de la grotte d’Ouvéa-, restant totalement, elle, entre les mains du FLNKS.

    Les méthodes de gouvernement et l’usure du pouvoir auront eu raison des sortants. Sonia Backès, désormais la « grande prêtresse » du camp loyaliste, s’est félicitée de ces résultats qui mettent sa formation en position de force pour négocier avec Paris et le FLNKS les suites des accords de Matignon et de Nouméa. Il parait évident que l’on s’oriente, à terme, vers un nouveau référendum, jusqu’à ce que les sécessionnistes du FLNKS le gagnent ! C’est la maladie des « démocrates », faire voter les peuples jusqu’à obtenir satisfaction ! Mais, comme on le voit en Grande-Bretagne, ça ne marche pas toujours ! Question de temps, comme en métropole avec l’immigration musulmane, la démographie jouant sa partition. A propos de partition, compte-tenu de la carte électorale et de la répartition des populations, c’est probablement la solution qui émergera du dossier calédonien, à moins que le gouvernement français contemporain, comme son prédécesseur gaulliste dans les années 1960, n’impose le bradage de TOUTE cette ancienne colonie française.

    Economiquement, ce serait une solution suicidaire pour toutes les parties, le nickel étant un enjeu stratégique et Nouméa, capitale de ce territoire de 240 000 âmes, étant la vitrine de la France dans le Pacifique : prendre un café crème et des croissants place des cocotiers, est une amusante expérience pour le métropolitain fraichement débarqué, de même que photographier de belles vaches normandes à la robe noire et blanche, s’ébattant dans une végétation tropicale !

    (Enfants, petits-enfants en Nouvelle-Calédonie, trois voyages ces dernières années, je confirme l'analyse de Jean-Claude ROLINAT)

    Une autre solution semble pointer son nez, souvent discrètement évoquée, le statut « d’État associé », comme les îles Cook ou Niue par exemple, par rapport à la Nouvelle-Zélande. Mais, quel que soit le menu qui s’imposera, l’essentiel à notre sens, est que l’on ne nous fasse pas revivre un autre scénario algérien, et que la solution retenue soit la plus « française » !

  • Le réveil ! Peut-être ?

     

       
     

     
    ICIOININIEIXIIIOINI
    LA LETTRE ARGUMENTAIRE DU PDF
    directeur de publication : Jean-François Touzé
     

    27 mai 2019

     
       
     
    Élections européennes :    
    Premier bilan et quelques perspectives.
     
     
    Au terme d'une campagne atone, terne, et aux enjeux détournés tant il est vrai que, par un accord tacite entre les deux principaux protagonistes, parrains des listes que les sondages donnaient gagnantes, ce n'est pas d'Europe que l'on a parlée mais de stratégies nationales en vue de 2022.
    Les électeurs se sont exprimés. Comme ce fut le cas lors des précédentes Européennes, ils l'ont fait sans grand enthousiasme, malgré une participation en très forte hausse (52 % de votants) par rapport à 2014, 2009 et 2004 (en moyenne 40 %), hausse sans doute induite par le retour à un scrutin national dans une circonscription unique. Les abstentionnistes, pour autant, constituent toujours le premier parti de France, plus par dégoût, rejet et mépris de la classe politicienne et du Système, que par désintéressement de la chose publique.
    En obtenant 24,5 % des suffrages et en finissant la course en tête comme ce fut le cas en 2014 avec 24,86 % (aucune progression donc), la liste du Rassemblement national, favorisée pourtant par le vote utile anti Macron et servie par l’idée que quelque chose pourrait peut être changé dans les rapports de force au sein du Parlement européen, confirme sans plus son audience, d'autant que celle-ci demeure de circonstance et correspond essentiellement à un vote par défaut. On notera à cet égard que, compte tenu du taux d’abstention, le score réel de la liste conduite par Jordan Bardella ne représente qu'un peu plus de 10 % des inscrits ce qui, dans un contexte de rejet du gouvernement et d’accélération des menaces migratoires, économiques, sociales et sécuritaires, ne saurait être considéré comme un succès.
    Avec plus de 22 % la liste de la République en marche, malgré l’hystérie de la propagande européiste de ces derniers jours, se situe très nettement en deçà du résultat obtenu par Emmanuel Macron lors du premier tour de la Présidentielle de 2017 (24,1 %). Il s'agit donc clairement d'un revers pour le parti présidentiel qui réussit néanmoins à maintenir l'essentiel de son électorat et conserve donc un socle fort pour les prochaines échéances. Là encore, le vote utile de la droite molle et de la gauche bobo contre le totem brandi du « risque d’extrême droite » a joué en faveur de la liste gouvernementale et a permis de limiter les dégâts. Macron conforte ainsi sa stratégie confiscatoire du choix des électeurs en imposant l'idée du seul duel possible à la future Présidentielle entre Marine le Pen et lui.
    Les Républicains, quant à eux, malgré la nouveauté talentueuse et l’image « droitière » de leur tête de liste François-Xavier Bellamy essuient en n’arrivant avec moins de 10 % qu'en quatrième position derrière les Verts un échec cuisant qui ne sera pas sans conséquences et sont loin, très loin, de retrouver leurs électeurs perdus après le naufrage Fillon. Le « centre droit républicain » paye ainsi des décennies de mensonges, d’ambiguïté, de laxisme, de faux-semblants, de renoncements, d’aveuglement et d'erreurs tactiques. Ce n'est que justice.
    La gauche, toute tendance confondue, Verts mis à part qui bénéficiaient de la mobilisation bobo sur le climat, est en pleine déroute et aujourd’hui en pleine atomisation. La France insoumise est au point mort, le PS sombre même s’il sauve les meubles en dépassant la barre des 5 %, et Hamon disparaît corps et biens… Mais attention ! Que personne ne se réjouisse pour autant. Un jour ou l’autre et peut-être plus tôt qu'on ne le croit, la gauche saura se retrouver au-delà de ses différences et redevenir une force d'autant plus redoutable quelle n'aura rien appris de ses échecs, qu’elle saura s’appuyer sur les mouvements sociaux et que son regroupement se fera nécessairement autour de la radicalité.
    Les souverainistes… Nicolas Dupont Aignan n’enverra aucun député à Strasbourg et perd, à l'issue d'une campagne brouillonne, son pari, à vrai dire bien hasardeux, d'incarner une union des droites dont, à aucun moment, il ne s'est donné les moyens de la réaliser, multipliant les erreurs, les signes de faiblesse à l’égard du Système et faisant parfois preuve d'égotisme et de déloyauté à l’égard de ceux qui l'avaient soutenu. En politique, on est jamais mort. Mais il arrive que l'on soit très durablement blessé.
    Florian Philippot, quant à lui tout comme son concurrent en frexit, François Asselineau conserveront sans doute, malgré leurs résultats dérisoires, l'espoir d'entretenir le dernier pré carré de leurs amis et l’illusion d'une gauche chevènementiste sans avenir, sans base militante ni réalité politique. Nous sommes là, il est vrai, dans l'infinitésimal…
    Jean Christophe Lagarde et l'UDI, enfin, se ridiculisent.
    Les listes virtuelles obtiennent pour ce qui les concerne - et très naturellement - les résultats qui leur étaient promis.
     
    Au lendemain de ces élections, rien, absolument rien ne changera ni d'un point de vue national où les vrais combats politiques sont à venir, ni de celui de l'Europe ou, quels que soient les rapports de force nouvellement créés au sein des futurs groupes parlementaires, la Commission et le Conseil continueront de régner en maîtres au nom de l'immigrationnisme, du mondialisme et de la financiarisation de la planète.
    Le Parti de la France, pour des raisons financières aisément compréhensibles, n'avait pas souhaité concourir. Il n'en ira pas de même lors des prochaines consultations électorales de ces trois prochaines années. Plus que jamais notre pays a besoin d'un parti de convictions, national et identitaire, patriote et européen, structuré, inscrivant son action dans la durée avec le recul que donnent expérience et maturation, mais habité de l’ambition de parvenir aux responsabilités.
    Les mois qui viennent seront ceux de l’organisation du Parti et de l’affirmation de ce que nous sommes avec la tenue d'un Congrès décisif à la fin de l'automne.
    Dans une semaine, personne ne parlera plus de ces élections européennes, sinon pour s’intéresser à la constitution des groupes parlementaires, à l’élection du Président du Parlement, celui surtout de la Commission et au choix du directeur de la Banque centrale européenne.
    Le combat politique, lui, continue. Le Parti de la France doit devenir le pôle de rassemblement de la vraie droite nationale.
    Alors, forçons le pas sur notre pente de Sisyphe et poussons encore et encore notre rocher : c'est le bon.
     
     
    UNEF :            
    du gauchisme au racisme anti blanc..
     
    Longtemps syndicat unitaire regroupant, depuis sa création en 1907, les étudiants de gauche comme de droite (Jean-Marie Le Pen en fut un responsable dans le même temps que Michel Rocard), devenu dans les années 60 le fer de lance de la contestation gauchiste puis, dès le début des années 1980, un foyer trotskiste en même temps que le centre de formation utérine des jeunesses socialistes, l'Union Nationale des Étudiants de France (UNEF), parallèlement à la décomposition du PS, est majoritairement devenue, au fil des années et au-delà de ses différentes fractions allant de la gauche à l’ultra gauche regroupées sous des acronymes opaques (AGE, BN, TUAS issue de la TMAS et de la TUUD), une secte anti française, indigéniste, communautariste et anti blanche noyautée par les tenants de l'intersectionnalité (théorie racialiste développée par l'universitaire afro-féministe américaine Kimberlé Crenshaw en 1989 qui entend lutter contre le « sexisme et le racisme subi par les femmes afro américaines »).
    On ne compte plus ni les provocations ni les interventions médiatiques de ses responsables qui témoignent de cette dérive largement inspirée par Houria Boutelja, porte-parole des Indigènes de la République.
    C’est ainsi que Hafsa Askar, membre du Bureau national a cru bon, après l'incendie de Notre Dame de Paris et l'intense émotion française que cet événement a suscité de dénoncer un "délire de petits blancs".
    On se souvient, par ailleurs, de la location en 2015 par l'Unef de salles de prière pour des étudiants musulmans.
    Personne n'a oublié non plus l'élection de sa présidente, Maryam Pougetoux, arborant le hijab, à l'AGE de Paris-IV en mai 2018.
    Sans parler des listes communes avec l'association des Étudiants musulmans de France (EMF), qui gravite dans la sphère des Frères musulmans, ou de la participation récente de militants UNEF, aux côtés de ceux du CRAN (Conseil représentatif des associations noires de France), à la censure de la pièce d'Eschyle, Les suppliantes, pour cause de masques noirs portés par les acteurs conformément aux traditions du théâtre grec antique, masques considérés comme une preuve de racisme.
    Quelque 86 militants appartenant à la direction et se revendiquant de l'aile gauche de l'UNEF (comme s’il y existait aujourd’hui une aile droite), ont annoncé dimanche 19 mai leur démission et leur intention de former un nouveau syndicat dissident de celui qui fut, de loin, le premier syndicat étudiant, avant de se voir nettement dépassé pour la première fois depuis des décennies par la FAGE, syndicat « modéré » lors des élections au CROUS de 2016.
    Pourquoi cette scission ? En raison des dérives pro islamistes, africano-racialistes et indigénistes (terme que nous utilisons dans son acceptation actuelle mais objectivement erronée car les indigènes de France, ce n'est pas Eux, c'est Nous.) ? Non ! Seulement pour des querelles de tendances, les partants qui pourraient au final représenter jusqu’à 25 % des effectifs, accusant la direction, dans un pathos qui n’appartient qu’à eux, de "figer les clivages et éloigner les individus des objectifs communs de l’organisation", les "enjeux de pouvoir interne" étant pointés comme la source de "divisions stériles"
    Une nouvelle secte syndicale étudiante verra donc le jour bientôt. Elle ne sera pas moins anti nationale que celle dont elle est issue
     
     
     
     
    Le billet de Franck Timmermans
    Macron, une leçon de pouvoir et de manipulation
     
     
    À moins d’un rebondissement social, le chapitre des Gilets jaunes sera bientôt clos. Il aura été très instructif, formateur même. Un moment décontenancé par l’ampleur du soulèvement à ses débuts, le Pouvoir jupitérien aura réussi à reprendre la main dans tous les domaines. Une grande leçon de machiavélisme et de cynisme !
    Le ras-le-bol de manifestants inorganisés a très tôt dégénéré en saccages, ce qui est très banal dans le cadre d’une jacquerie. Faute de direction politique et stratégique, les révoltés se sont mis à dos les classes moyennes des grandes villes ; et la droite molle n’a pas tardé à lâcher les manifestants. Puis sont venus les prédateurs attirés par la casse et manipulés par des officines expertes ; les blacks-block ont fait le job et ont donné au Pouvoir une légitimité répressive. L’absence sérieuse de toute arrestation en amont des manifestations indique une volonté de pourrissement et d’escalade. Ce fut donc au détriment principal des Gilets jaunes, et non des racailles en noir, comme prévu. La répression fut importante, voire disproportionnée : il faut remonter à 70 ans pour assister à un tel zèle. Déjà, en 1948, c’est un gouvernement hétéroclite Radical-MRP et SFIO qui doit réprimer une révolte des mineurs. Il faudra seulement 2 mois au ministre socialiste Jules Moch pour rétablir l’ordre. Les fusils sont chargés à balles réelles et tirent après sommation, c’est l’époque de l’emploi généralisé des gaz lacrymogène, c’est aussi le lancement du slogan « CRS = SS », 20 ans avant mai 1968 ! Le Premier Ministre est Henri Queuille, son bras droit un certain Mitterrand qui ne condamnera à aucun moment les violences policières. Le Ministre du Travail est le socialiste Daniel Mayer, qui deviendra en 1958 Président de la Ligue des Droits de l’Homme, vous ne rêvez pas !
    Et l’adjoint de Jules Moch est un certain Raymond Marcellin du CNI, qui officiera aussi en 1968, puis plus tard. Le bilan est lourd : 7 morts, près de 3000 arrestations, 1073 prisons fermes, des milliers de licenciements. Ni la CGT ni le PC ne seront dissous, trop utiles au Régime comme épouvantails de service. Mais ils n’étaient pas seuls, les travailleurs chrétiens étaient aussi en révolte. Le scenario n’est pas très différent en 2019. Certes la France n’a plus de mineurs (et pour cause, merci la CEE !) mais la détresse des gueules blanches a pris le relais. Grâce au zèle d’un Ministre ex-socialiste lui aussi, M. Castaner, on dénombre une quinzaine de morts (dues il est vrai parfois à des « accidents » sur les ronds-points) mais surtout 23 éborgnés à cause des grenades de « dés-encerclement » tirées au visage sur ordre, 4 mains arrachées, 160 blessures à la tête. La Justice est également expéditive car pour une fois l’État doit donner la leçon ! Pour autant, il faut dévier les projecteurs de l’aspect répressif et Macron lance ensuite le « grand débat » qui sera le grand déballage de ses one-man shows. Quel talent ! Sous le couvert de la concertation, il va réussir à imposer un menu unique non sans avoir réussi le tour de force d’en éliminer le plat principal : l’immigration !
    Dès janvier 2019, les remontées des mécontentements attestaient de la réelle prééminence du sujet, confirmée par les révélations des fonctionnaires de l’Élysée (VA 17/01/19), au point d’en alarmer le Président. Celui-ci a besoin lui aussi d’un épouvantail (!) pour se faire réélire, la Marinagrobis de Nanterre, mais pas au risque de lui servir les Gilets jaunes sur un plateau !
    Il faut donc désamorcer le sujet de l’immigration et enfumer le débat sur d’autres thèmes : la planète en danger, un peu de social, un zest de fiscal et basta ! Il préfère encore refiler la patate jaune et chaude à la CGT et à l’extrême-gauche qui savent parfaitement absorber et dissoudre les jacqueries populistes. Durant plusieurs mois, il s’emploiera donc à animer des « débats » et à diviser les GJ, à accentuer leur impopularité, et à les dissocier du RN.
    Pas compliqué, Madame Le Pen est incapable de toute façon de récupérer quoique ce soit comme ce fut le cas en 2012 avec la Manif pour tous. Fifille veut la vedette, dont acte.
     
    En mai 2019, les résultats de cette politique confiscatoire, répressive et récupératrice est éloquent : le Mouvement des Gilets jaunes est dévitalisé complètement, ses éléments les plus tenaces sont récupérés par les manifs de la CGT et le RN occupe une place de premier plan suffisante pour réserver à Fraü Le Pen sa place au 2e tour et assurer la réélection de Jupiter.
    Tout le reste n’est que comédie ! Macron incarne désormais à lui seul le Front républicain tant ses détracteurs, à droite comme à gauche, ont été, pour ce faire, divisés et marginalisés.
    Les velléités de Hollandouille à vouloir se représenter en 2022 n’en sont que plus affligeantes dans ce concert de dupes où ne manque plus que le retour de Sarkozy !
    Mais c’est l’utilisation de Marine Le Pen qui est la plus brillante. Patronne incompétente et omnipotente d’un mouvement fantomatique dont les résultats électoraux se virtualisent au fil des années, l’ectoplasme de l’ancien FN est non seulement incapable de prendre ou de garder le pouvoir mais est aujourd’hui privé de son autonomie financière et politique. Réduit au rôle de marionnette faute de moyens et en sursis judiciaire continuel, il se trouvera demain en danger de mort même si ses résultats du 26 juin sont bons ! Quand Macron sera réélu en 2022, il ne lui restera plus qu’à laisser la Justice faire son travail et même Steve Bannon ne pourra rien faire contre l’atavisme familial ni contre les infractions commises. Il faudrait un miracle pour que Bardella, Marion ou Mariani imposent au RN un sursaut, un recadrage.
    Comme disait le Président historique « Comment feront-ils demain ce qu’ils n’ont pas su faire hier ? » et, devrions-nous ajouter, « et surtout avec aux pieds le boulet tutélaire » ?
    Pour le reste, cette jacquerie nous aura confirmé que les Ministres socialistes de l’Intérieur seront toujours les plus répressifs de l’Histoire. Jules Moch, Mitterrand, Castaner mais aussi Valls dont personne n’a oublié les ordres scandaleux contre la Manif pour tous ! Nous avons aussi pu mesurer le légitimisme des dirigeants des forces de l’ordre. Légitimisme au Régime, pas aux détresses citoyennes. Quand les évènements enclencheront la Grande Partition annoncée par Hollande, les Français seront bien seuls à défendre leurs terres. On comprend mieux maintenant pourquoi le Chef d’État-Major De Villiers était devenu trop gênant.
     
           
     

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  • Lu et approuvé !

    mardi, 21 mai 2019

    Jordan Bardella en tête des sondages

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    En ce qui concerne la campagne et les propositions de Jordan Bardella, tête de liste du Rassemblement national qui ne manque d'ailleurs pas de talent, nous pensons que les lecteurs de Synthèse nationale ont suffisamment d'informations grâce aux moyens officiels, ce qui n'est pas le cas des autres listes patriotiques. 

    Cependant, dans un souci d'équité, nous reprenons ici l'appel lancé sur les réseaux sociaux par Véronique Péan, la dynamique responsable du RN en Touraine :

    "Un seul tour le dimanche 26. Proportionnelle intégrale plus nous aurons de voix plus nous aurons de députés. Notre ennemi, c’est l’abstention. Contacter les membres de votre famille, vos amis, vos relations professionnelles… Consacrez les jours qui viennent à convaincre vos proches d’aller voter pour la liste de Jordan Bardella. Un impératif : arriver en tête le dimanche 26 mai. Il faut gagner, pour l'Europe, pour la France !"

    Chacun fera donc en son âme et conscience...
     
    Site de Jordan Bardella cliquez là
     
    L'appel de Jean-Marie Le Pen cliquez ici
     
  • Le jeu de MACRON

    L'ÉDITO de Didier MICOINE

    Le PARISIEN lundi 20 mai 2019

      de Didier Micoine  
     
      Le jeu de Macron  
     
     

    Emmanuel Macron poursuit « sa » campagne. À six jours des élections européennes, le chef de l’Etat s’implique une nouvelle fois en donnant une interview à plusieurs quotidiens régionaux – dont Le Parisien. Dans cette dernière ligne droite, l’objectif est de mobiliser les électeurs pour que la liste du Rassemblement national n’arrive pas en tête dimanche soir en France. Dans le camp de Macron, on dénonce une extrême droite « cheval de Troie » des plans de Trump et Poutine pour affaiblir l’Europe. On connaît la volonté de Macron de jouer dans cette campagne les progressistes contre les nationalistes, mais on peut s’interroger sur le choix de dramatiser les enjeux et de focaliser ainsi sur le score de dimanche. L’hypothèse que la liste lepéniste devance celle des Marcheurs n’aurait rien d’extraordinaire dans le contexte actuel et vu l’impopularité de l’exécutif. Marine Le Pen était d’ailleurs arrivée en tête lors des européennes de 2014. L’expérience montre par ailleurs que le résultat des précédents scrutins européens n’a pas eu d’impact direct sur la politique nationale. Alors pourquoi une telle dramatisation ? Jusqu’ici, les déclarations de Macron, censées mobiliser les électeurs de la liste Renaissance, ont surtout eu pour conséquence de faire monter les intentions de vote pour le RN ! Un effet contre-productif, donc. À moins que ce soit l’effet recherché par le chef de l’Etat de façon à préparer les conditions d’un match retour contre Marine Le Pen à la présidentielle de 2022. On n’ose croire à un tel calcul…

     

    Dans l'état actuel, comme en 2017, celui ou celle qui se retrouvera au deuxième tour face à Marine Le PEN, croit que son élection sera assurée et facile.

    On peut continuer de rêver, le peuple de France saura t'il se réveiller ?

     
     
  • En mai, fais ce qu'il te plaît !

    lundi, 20 mai 2019

    Tribune libre : En mai, fais ce qu'il te plaît...

    9051659-14383462.jpgJean-François Touzé
    Délégué national du Parti de la France aux Études et Argumentaires
     
    Les élections européennes du 26 mai auraient pu être l'occasion d'un vaste débat national invitant les Français à réfléchir à ce que devait être ou ne pas être la construction continentale, et à décider, dans la clarté, de leur avenir, avenir dont le Parti de la France estime qu'il est indissociable de celui des autres peuples de notre civilisation.
     
    Les éléments de cette réflexion tenaient en quatre questions essentielles.
    • L'Europe réunie doit-elle l’être sous un mode fédéral régi par une autorité centrale de nature nécessairement technocratique ou relever d'une coopération toujours plus étroite des Nations libres coordonnée par le Conseil des Chefs d'États et de Gouvernements ?
    • L'Europe réunie doit-elle se constituer en puissance politique, économique, diplomatique et militaire en se donnant les moyens moraux, financiers, matériels et structurels de l'affirmation et de la réalisation de cette ambition ou demeurer une entité molle, sans force ni volonté, aboulique et impuissante, soumise aux mille vents mauvais de la globalisation, de l’immigrationnisme, du nouvel ordre mondial et de la spéculation ?
    • L'Europe réunie doit-elle rompre avec l'utopie mondialiste et la soumission à d’autres intérêts que les siens, en créant les conditions de son indépendance et de sa protection économique, identitaire et sécuritaire ou rester un vassal ballotté au gré du bon vouloir de Washington ?
    • L'Europe réunie doit-elle travailler à la mise en œuvre d'un partenariat civilisationnel avec la Russie, partenariat qui, par la nécessité des choses et la force de l'entraînement soudera Russie et monde occidental face aux menaces que constitue l’émergence de grandes puissances régionales aujourd’hui, mondiales demain, en particulier la Chine, ou laisser Moscou se tourner définitivement vers Pékin ?
    Au lieu de cela, chacune des formations politiques décidées à concourir à cette consultation a pris soin d’éluder le fond et de se cantonner dans des enjeux subalternes pour notre Nation et pour notre civilisation, mais prioritaires pour elles : la défense et la promotion de leurs intérêts alimentaires.
     
    • Pour La République En Marche, deux mots d'ordre qui n'en font qu'un : battre le « populisme » et arriver en tête devant la liste Bardella tout en ménageant Marine Le Pen sélectionnée comme meilleure chance pour Macron de l'emporter en 2022, et donc instituée comme opposante privilégiée par la propagande gouvernementale.
    • La liste du Rassemblement national quant à elle, radeau de la Méduse des anciens UMP/Républicains en mal de mandat, et des apparatchiks marinistes les plus dociles, oscillant d'une stratégie à une autre, d'une droitisation à une re-gauchisation au gré des circonstances, des sondages, des humeurs et des rencontres de sa Présidente, aura tout au long de la campagne, confirmé son incohérence stratégique et son incapacité à naviguer autrement qu'à vue, tout en mettant en lumière son jeu clanique.
    • Les Républicains, malgré quelques bonnes dispositions de leur tête de liste (sur l'immigration, sur les valeurs ou sur les racines chrétiennes de L’Europe), restent ce qu'ils sont et ce que la bien-pensance leur dicte d’être : le dernier îlot d'un centre droit systémique ayant depuis longtemps perdu tout sens des réalités et tout contact avec le monde extérieur.
    • Pour la gauche, l'enjeu était ce qu'il est de toute éternité : celui d'un congrès dont chacun espère sortir en tête de la grande valse des motions.
    • Nicolas Dupont Aignan, enfin, aura, pour exister, fait beaucoup d’efforts désordonnés, erratiques et parfois déloyaux à l’égard de ceux qui le soutenaient avec, au final, la perspective dérisoire d’une bataille de titans lilliputiens pour savoir qui, de lui-même, de Philippot ou d'Asselineau l'emportera en dépassant les 2 %.
    • Nous n'évoquerons ici aucune des listes virtuelles, tout en comprenant que tel ou tel veuille se faire connaître, car nous considérons que la politique est chose sérieuse qui doit être traitée avec rigueur.
    Dans un message diffusé sur les réseaux sociaux, Carl Lang a précisé la position du Parti de la France conformément aux décisions prises lors du Bureau politique du mois d'avril : Le PdF qui n'a pu concourir pour des raisons financières (un million minimum pour financer la campagne officielle était requis) laisse donc à ses militants une totale liberté de vote.
     
    Liberté de vote car le Parti de la France, considérant ses adhérents et sympathisants comme aptes à faire leur choix en toute connaissance de cause, selon leur conscience et en accord avec leurs convictions, il n’était pas nécessaire de leur dicter leur choix.
     
    Il est néanmoins évident que pas une de nos voix ne se portera sur les listes directement systémiques, non plus que sur l'une ou l'autre de celle de la gauche. Pour le reste, chacun décidera en fonction de ce qui est utile au Pays et peut être réalisable ou pas au sein du Parlement européen. Pour cette élection, dont nous savons déjà que, comme ce fut le cas de tous les scrutins européens, elle ne sera en aucune façon structurante de la vie politique française, chacun n'aura donc le choix qu'entre des inconvénients multiples.
     
    « En mai, fais ce qu'il te plaît » dit le proverbe. Chacun sera donc juge de ce qui lui plaît : porter son suffrage sur telle ou telle liste nationale ou de droite, ou voter Jeanne d'Arc et célébrer pleinement la fête des mères.
  • Pas une voix pour MACRON !

    Carl LANG @carllang2022

    Compte tenu de son coût financier et ne souhaitant pas faire une campagne électorale virtuelle sans bulletins de vote ni circulaires, le Parti de la France ne présente pas de liste à l'élection européenne. Le PdF laisse donc à ses militants une totale liberté de vote.

     

    Pour ma part, je voterai utile le 26 mai prochain.

    Voter utile, c'est voter contre MACRON. Il ne doit pas gagner.

    Toute voix égarée sur des groupuscules sera une voix de perdue pour la France.

    Dominique SLABOLEPSZY

    Conseiller régional honoraire - Membre du BP du Parti de la France

  • NON à MACRON !

    Elections européennes : non à Macron !

    MNR.jpgUn communiqué du MNR :

    A quelques jours des élections européennes le M.N.R. se déclare profondément inquiet de la situation de l'Europe dans le monde multipolaire d'aujourd'hui où prévaut le choc des civilisations.

    Il préconise en conséquence d'ériger l'Europe  en un pôle de puissance capable de défendre son identité, son indépendance et sa souveraineté.

    Pour rendre ce projet possible le M.N.R. appelle en conséquence a émettre un vote qui pénalise M. MACRON et son projet clairement mondialiste
  • Ce sera eux ou nous !

     

     

       
     

     
    ICIOININIEIXIIIOINI
    LA LETTRE ARGUMENTAIRE DU PDF
    directeur de publication : Jean-François Touzé
     

    6 mai 2019

     
       
     
    Islamisme :  
    ce sera nous ou eux.
     
     
     
    En 18 ans, depuis le 11 septembre 2001, l'islamisme politique à commis 32 000 attentats de par le monde et fait plus de 150 000 morts, des centaines de milliers de blessés et mutilés, sans parler des combattants Syriens, irakiens, Kurdes tombés l'arme à la main ou massacrés après leur capture, et les innombrables victimes civiles des guerres qu'il a menées au nom d'Allah. Le quotidien allemand Die Welt vient d'en publier la longue liste sanglante. Elle parle d'elle-même.
    Face à cette offensive qui n'est que la continuité d'une lutte millénaire menée contre l’Occident, sa civilisation et ses valeurs dans une volonté de conquête et de soumission à la fois terrestre et eschatologique, nos vieilles nations chrétiennes et principalement notre continent européen sont démunis.
    Les trois causes de notre faiblesse sont connues :
    • Le renoncement à ce que nous sommes, c’est-à-dire des peuples chrétiens, porteurs d'une longue et glorieuse Histoire, d'une construction humaniste éclairée par le Divin autant que par la raison, détenteurs de cette clarté qui ordonne la complexité du monde, et comptables d'une destinée ; l'oubli de nos valeurs et de nos principes qui portèrent longtemps le sceau lumineux de l’honneur, du courage et de l’héroïsme ; la perte de la foi en nous-mêmes.
    • La désunion continentale et l'angélisme millénariste qui ont conduit nos États d'une part à croire au mythe de la fin de l'Histoire et à la paix éternelle, d'autre part à s'en remettre peu à peu pour leur sécurité à la seule puissance américaine, se condamnant ainsi à n’être que des jouets dans un jeu stratégique planétaire.
    • Le juridisme, le culte du légalisme appliqué au nom de l'humanisme universel et le carcan de l'État de droit.
    Pour le Parti de la France, le combat doit être simultanément mené à trois niveaux différents.
    1. À l'extérieur de nos frontières. Par des actions de renseignement et de traitement ponctuel des résultats en termes d’élimination des chefs islamistes par nos services spéciaux. Par des actions d'envergure mais limitée dans le temps afin d’éviter l'embourbement de nos unités militaires (cf. le Mali), chaque fois que nos intérêts sont menacés ou que des ressortissants français sont en danger. Par une coopération efficace avec nos partenaires européens, avec nos alliés et avec la Russie.
    2. Sur le territoire national. Par un regroupement administratif préventif dans des centres de rétention, d'examen et d'interrogatoire par les agents de la Direction Générale de la Sécurité Intérieure, de tous les suspects, avant, le cas échéant, incrimination judiciaire pour Intelligence avec l’ennemi en vertu de l'Article 411-4 du Code pénal. Celui-ci dispose que « le fait d'entretenir des intelligences avec une puissance étrangère, avec une entreprise ou organisation étrangère ou sous contrôle étranger ou avec leurs agents, en vue de susciter des hostilités ou des actes d'agression contre la France, est puni de trente ans de détention criminelle et de 450 000 euros d'amende » ; par l'expulsion de tous les tenants avérés de l’islam radical, expulsion immédiate pour les étrangers, après déchéance de la nationalité française pour les binationaux ; par la reconstitution d'une cour de sûreté de l'État compétente pour toute entreprise terroriste avec rétablissement de la peine de mort ; par la Reconquista des cités perdues et la lutte sans merci contre la pègre des quartiers, terreau fécond et soutien logistique de l’islamisation ; par l'application du principe d'immigration zéro et la mise en œuvre progressive d'une politique concertée ou pas de retour au pays.
    3. Sur le sol européen. Par la constitution d'une Europe des Nations libres et indépendantes dotée des moyens du contrôle de ses frontières extérieures et d'un outil efficace de renseignement coopératif.
    Toutes les périodes de guerre qu'a traversées la France ont vu se mettre en place des mesures dérogatoires au droit commun afin de palier les vides ou les creux juridiques.
    Ces mesures, le Système, par faiblesse et par idéologie, ne les prendra jamais.
    Dès lors l'alternative est claire : ou la vraie droite française parvient aux responsabilités et fonde l'État national, ou le Pays et notre civilisation sombreront, vaincus sans avoir combattu par un ennemi impitoyable.
     
     
    Cités éducatives :          
    le puits sans fond de la politique immigrationniste de la ville.
     
    On les croyait mortes et enterrées. Il n'en est rien.
    Les recommandations formulées voici un an par l'ancien ministre de la ville Jean-Louis Borloo dans le cadre de son plan banlieues resurgissent petit à petit, les unes après les autres, discrètement, presque en catimini, faisant mentir ceux qui affirmaient qu’Emmanuel Macron, commanditaire et destinataire du rapport, en avait balayé les conclusions d'un revers de main.
    Ce n'est une bonne nouvelle ni pour notre cohésion nationale ni pour nos finances publiques.
     
    Au moment où le gouvernement cherche désespérément le moyen de financer les promesses du Président de la République, ce n'est, en effet, pas moins de 100 millions d'euros qui seront jetés par la fenêtre entre 2020 et 2022 pour mettre en place les cités éducatives dont la création constituait un des points majeurs du plan Borloo destiné à remédier aux dysfonctionnements urbains et à développer la mixité sociale (sic).
    On l'aura compris, nous sommes dans le cadre de la ruineuse, désastreuse et anti nationale politique de la ville qui, depuis 1970 a coûté plus de 90 milliards d'euros aux contribuables français dans le seul but de favoriser les populations issues de l'immigration en prétendant entretenir en pure perte leurs quartiers séparatistes dans une optique de préférence étrangère.
     
    Le ministre de la ville et du logement, Julien Denormandie, s'est ainsi rendu jeudi à Arras et à Lens pour dévoiler officiellement la liste des quartiers présélectionnés. Premiers de la liste, outre les deux villes visitées : Le Val-Fourré à Mantes la Jolie, La Grande Borne à Grigny, Les Tarterêts à Corbeil Essonne… Autant de cités plus souvent présentes dans les colonnes des journaux pour les trafics divers qui s'y déroulent (toutes trois sont considérées comme des quartiers pivots de la drogue), pour le taux de déscolarisation (40 % en moyenne), pour une forte imprégnation salafiste, pour la violence des bandes qui y règnent, et pour les règlements de comptes qui en découlent.
    Porté par des technocrates aveugles à ces réalités et encouragé par des politiques idéologues adeptes de la « discrimination positive » qui n’est, au fond, que la discrimination tout court à l'encontre des nationaux de souche, le concept de Cités éducatives vise pourtant à « intensifier les prises en charges éducatives des enfants à partir de 3 ans et des jeunes jusqu'à 25 ans, avant, pendant, autour et après le cadre scolaire », rappelle le dossier de presse du ministre. L'ambition « n'est pas d'être un dispositif de plus mais l'occasion de mieux coordonner et renforcer les dispositifs existants » (scolarisation obligatoire dès 3 ans, dédoublement des classes, dispositif « devoirs faits », petits-déjeuners à l'école, repas à la cantine à 1 euro). Discours connu, tenu depuis des décennies avec pour seule conséquence le développement des zones perdues de la souveraineté nationale. Ce plan fumeux prétend ainsi s'appuyer, comme tous ceux qui l'ont précédé, sur des actions concrètes déjà existantes dans des domaines divers, qu'il s'agisse de la petite enfance, de la formation ou du décrochage scolaire dans une soixantaine de « quartiers » qui recevront ce label à partir de juillet, attribué aux territoires « qui montrent leur détermination à faire de l'éducation une grande priorité partagée ».
    Cette grande « priorité partagée » n'est évidemment pas celle de l'instruction publique dans une perspective nationale de la cohésion territoriale. Elle n'est pas celle de la reconstruction de notre école dans une vision globale de la formation de nos enfants dans un souci du bien commun, de l’intérêt général et du relèvement de la Nation.
    Elle est la « grande priorité non partagée » par l'immense majorité de nos compatriotes mais délibérément choisie par la caste immigrationniste, donnée au développement du processus remplaciste et colonisateur.
     
     
     
     
    Le billet de Franck Timmermans
     
    Les dinosaures se portent bien
     
     
    Mars 1983, le 1er tour des municipales à Paris est terminé et la campagne du second est acharnée. Un ami à moi, qui avait été tête de liste FN dans le 18e arrondissement, a l’idée d’inviter chez lui Alain Juppé pour une réunion de quartier. Par pure curiosité, mais dans le but de savoir s’il mérite nos suffrages contre le PS. Je lui déconseille cette idée, non par rigidité d’appareil mais parce que « je ne sens décidément pas ce Juppé ». « On va bien voir ! » me répond-t-il, têtu, et il invite dans cette perspective les militants FN de sa campagne, ses amis, les commerçants du coin. Il appelle le secrétariat de Juppé, ne cache rien de son pedigree politique et propose une date pour une réunion d’échanges et un apéritif.
    Juppé accepte. Le jour dit, j’arrive en avance à l’appartement où je retrouve nos amis mais aussi des voisins, un dentiste, un curé en soutane, le boucher du coin, le libraire, plusieurs mères de famille, et quelques couples du quartier, en tout une quarantaine de personnes, un panel assez complet des âges et conditions sociales du tout Montmartre. Flanqué d’un cadre de la Mairie de Paris, Juppé arrive en retard et s’excuse à peine. Il reste debout, un peu tendu, décline le verre de mousseux et ne se lance même pas dans le serrage des mains habituel. Il va déclarer alors mots pour mots « Bonjour à tous, pardonnez mon retard mais j’avais une réunion de quartier qui a traîné… Merci à notre ami pour son invitation. Vous connaissez les enjeux de ce 2e tour, c’est important. Je vous préviens tout de suite, je ne suis pas nazi… Mais ceux qui souhaiteraient participer à ma campagne du 2e tour peuvent s’adresser à mon adjoint M. Y qui va rester un moment avec vous. Il est à votre disposition. Je suis désolé mais je dois partir, l’emploi du temps est chargé, vous vous en doutez, et j’ai d’autres réunions sur le feu. Au revoir ». Les gens étaient sidérés et sans voix. Puis ce fut le brouhaha, « c'est honteux ! C’est ça Juppé ??? ». L’adjoint du candidat ne resta pas longtemps et mon ami lui fit part de son indignation sur le palier.
    Juppé considérait comme « nazis » les gens du FN en général et ceux qui l’avaient invité mais, pour autant, il ne refusait pas leur invitation ni leur aide militante à condition que ce fût organisé par un intermédiaire. Discuter politique, mieux connaître les gens, écouter leurs questions ? Totalement inutile puisqu’ils sont « réputés » nazis.
     
    L’hypocrisie des chiraquiens, nous l’avons bien connue aussi, surtout quand les élus régionaux RPR venaient s’épancher à la buvette en surenchères racistes tout à fait malvenues puisque leurs patrons étaient directement responsables du Regroupement familial et leurs amis du CNPF de l’embauche de travailleurs immigrés à prix cassés. Leurs clins d’œil, leurs confidences étaient pitoyables.
    Que dire aujourd’hui de la reconversion inverse et spectaculaire de Jacques Toubon ? Lui aussi ose tout ! Mais surtout dans la discipline olympique du tout-reniement. Il est vrai que la mission à lui confiée par Hollande en 2014 beurre les épinards et qu’il a, grâce à la Gauche, rattrapé tous ses copains dans les promotions. Évalués entre 21 000 et 30 000 euros mensuels, ses appointements justifient le zèle qu’il met à pourfendre les écarts de la Police, le machisme, le racisme (sauf anti-français), l’anti-islamisme, l’antisémitisme, l’état d’urgence etc.
    L’explication d’un tel revirement ? Sans doute, disent-ils à Gauche, le besoin de rédemption (!) après ses outrances du passé. Comme tout Chiraquien, il en commit effectivement sous le prétexte de vouloir contenir le FN ; dans les années 80, il prononça même un discours en partie en dialecte africain histoire d’en rajouter sur les « odeurs » des cités si incommodantes pour son Patron… Humour pitoyable, humour RPR. En 87, devant les Clubs Avenir et Liberté, il condamna les « contraintes mises en place par 40 ans de sociale-démocratie » !!! Autant dire que De Gaulle, Mollet, Coty, Blum, Herriot et même Lebrun devaient se retourner dans leurs tombes ! Mais qu’importe le Général, il fallait rivaliser avec les populistes !!!
    Depuis que Chirac a avalisé l’Acte Unique Européen en 1984 et sans cesse mis ses pas dans ceux de la Gauche radsoc, sans oublier sa brillante réélection en 2002 devant une marée de drapeaux algériens reconnaissants, lui et sa bande auront trahi leurs électeurs pendant plus de 40 ans et à contribué largement à dégoûter l’ensemble des citoyens de la vie politique.
    De celle-ci, il a fait un « milieu » où l’opportunisme, le mensonge, les coups tordus et la corruption forment le modus operandi. De l’Appel de Cochin en 1978 il ne reste rien si ce n’est son exacte antithèse dans tous les actes du grand Patron pendant 25 ans. Y compris quand il s’agit de diaboliser Le Pen de 83 à 88, puis de le rencontrer en catimini entre les deux tours de l’élection présidentielle de 1988 pour tenter d’obtenir un soutien indirect, moins de 8 mois après le « Détail » ??? Pour comprendre la chiraquie jusque dans ses soubresauts, il suffit d’attendre les conséquences du mensonge ou du reniement. Juppé savonne la planche de son propre camp depuis plusieurs années ? Sincère car tout le monde le croit indéfectible à Bordeaux Il suffit que la récompense tombe, bingo, et tout le monde croira aussi qu’il a bien pesé en conscience le poids de son ancienne condamnation avant d’accepter de siéger au Conseil constitutionnel. Foutaises, hypocrisie, tartufferie !!!
    En attendant un fauteuil similaire de Sage ou de Juste, Toubon soigne son image de marque, retourne toutes ses vestes et palpe. Leur sincérité n’existe pas, seul leur intérêt personnel subsiste. Sarkozy a beau traîner derrière lui une quantité de casseroles dignes des cuisines de Chambord, il n’aura de cesse de crier à chaque fois son innocence, comme Tapie la sienne, car ces gens-là ont pour seule devise de survie de n’avouer jamais. Insatiable, l’ancien Maire de Neuilly n’écarte pas non plus l’idée de se représenter, sans même passer comme Hollande par la case « mémoires best-seller ».
     
    Un comble. Enfin, Raffarin, dont vous pourriez vous inquiéter du sort, va bien. Ses échecs au Sénat sont cicatrisés. Il n’a de cesse de donner des leçons de morale (à Wauquiez surtout), il a pour étendard lui aussi les Droits de l’Homme et pour leitmotiv « l’Humanisme » qu’il prononce toujours avec componction comme un Archevêque devant une dinde rôtie. Et où croyez-vous qu’il mène ses affaires et reconversions ? Dans le pays par excellence des Droits de l’Homme et de l’humanisme, la Chine populaire évidemment où il se rend très souvent avec désintéressement et sacrifice de sa personne, comme Chirac le fit de son côté pour le Japon où il se rendit 5 fois plus souvent que notre ami Gollnisch pendant des années pour l’amour du sumo !!! Mais n’était-ce pas aux frais du contribuable ? Je vous le disais, les Chiraquiens ont tous la même trame mais pas au point d’être « impayables ».
     
           
     

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      Le journal télévisé du PdF
    présentée par Sylvie Collet
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  • Puisqu'on vous le dit !

    C'est pourtant une évidence...sauf, évidemment, pour les tenants de la pensée dominante

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