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vie politique du Hainaut - Page 4

  • Anniversaire de la disparition de Jean-Pierre STIRBOIS

    SAMEDI APRÈS-MIDI, LA DROITE NATIONALE A RENDU HOMMAGE À JEAN-PIERRE STIRBOIS

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    A l'initiative du Parti de la France, une forte délégation de responsables et militants nationaux et nationalistes s'est rendue samedi après-midi au cimetière Montparnasse à Paris sur la tombe de Jean-Pierre Stirbois, secrétaire général du Front national, prématurément décédé il y a 30 ans, dans la nuit du samedi 5 novembre 1988 à Pontchartrain dans les Yvelines, en revenant de Dreux où il venait de tenir un ultime meeting pour la défense de la Calédonie française.

    Au cours de cette émouvante cérémonie, Carl Lang, Président du Parti de la France, qui, rappelons-le, lui succéda au secrétariat général du FN, souligna le rôle éminent joué par Jean-Pierre Stirbois, aux côtés de Jean-Marie Le Pen, dans l'émergence au début des années 80 du Front national. Il rappela aussi que Jean-Pierre fut l'un des premiers à dénoncer ce danger grandissant que représente pour notre peuple l'immigration incontrôlée et à réaliser, lors de l'élection municipale partielle de Dreux en septembre 1983, l'union victorieuse de la droite contre la liste socialo-communiste.

    Notons la présence de nombreux anciens proches collaborateurs et amis de Jean-Pierre à cet acte hautement symbolique ce qui prouve, s'il en était encore besoin, que dans notre camp la fidélité n'est pas un vain mot...

    S.N.

  • Circulez ! Y a rien à voir !

    Un proche conseiller de Hollande a dit à Éric Zemmour : « Quand t’es à l’Elysée et que tu vois remonter les infos sur l’insécurité, tu as l’impression d’être dans un pays en guerre »

     

    #Zemmour : "Il y aurait 1000 agressions gratuites par jour en France. Un proche conseillé de Hollande m'a dit: "quand tu es à l'Elysée et que tu vois remonter les infos sur l'insécurité tu as l'impression d'être dans un pays en guerre"


     
     


     

     

  • Un papa, une maman, c'est quoi les "transgenres" ?

    Deux cheftaines scouts virées parce qu'elles ont refusé que des transexuels fréquentent les douches des fille

  • A l'insu de notre plein gré !

    vendredi, 19 octobre 2018

    Européennes : Jean-Marie Le Pen demande à figurer sur la liste RN

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    Source Le Figaro.fr cliquez ici

    LE SCAN POLITIQUE - Le cofondateur du FN aimerait voir Bruno Gollnisch tête de la liste RN aux prochaines européennes, sur laquelle il figurerait également

    Coucou, le revoilà. On le devinait exténué après un énième séjour à l'hôpital dont il n'est sorti qu'il y a une quinzaine de jours. Jean-Marie Le Pen, 90 ans, se sent pourtant encore la force de battre campagne pour les prochaines européennes. Si le Rassemblement national n'a pas encore arrêté sa liste de candidats, et garde jalousement le nom de celui, ou celle, qui la conduira, le patriarche, lui, a sa petite idée et n'entend pas le moins du monde la garder pour lui.

    Dans la dernière édition de son traditionnel journal de bord, publié ce vendredi matin sur les réseaux sociaux, Jean-Marie Le Pen glisse ainsi à sa fille, Marine Le Pen, le nom de celui qui serait, à son goût, le plus à même de conduire la future liste du RN: son lieutenant historique, l'eurodéputé Bruno Gollnisch. L'homme, qui a fêté le 12 octobre dernier ses trente ans de vie parlementaire, « paraît de loin le plus qualifié, appuie Jean-Marie Le Pen. Les élections européennes sont des élections capitales [...] elles seront considérablement en faveur du Rassemblement national, surtout si la personnalité qui en est la tête de liste est capable de gouverner un groupe parlementaire de plus d'une centaine de membres. »

    Le « menhir » ne s'arrête pas là. Puisque dans la même lancée, il réclame également et pour son compte une place sur la liste de l'ex Front national. De quoi entamer, non sans appétit, un huitième mandat à Bruxelles. « J'accepterai moi-même d'y figurer [...] je serai le doyen des doyens, même si l'âge ne compte pas. Il faut que les anciens soient représentés », justifie-t-il.

    Si ces requêtes, teintées de provocation, n'ont rien d'une boutade dans la bouche de Jean-Marie Le Pen, peu de chance qu'elles soient exaucées pour autant. Le clan Le Pen a beau s'être réconcilié en privé, le 1er juillet dernier, la présidente du parti entend circonscrire ces bonnes relations au plan strictement familial. En marge d'un donné entretien au Figaro, Marine Le Pen avait d'ailleurs réaffirmé cet été qu' « il n'y aurait jamais plus de relations politiques » entre son père et elle. Du moins, l'espérait-elle.

  • Yvan BLOT, le conteur de la France

    Nous étions avec Michelle BEAL, mon épouse et quelques uns de nos amis à ORANGE, pour un séminaire de formation.

    Lors d'une après-midi d'évasion à Fontaine de Vaucluse, Yvan nous avait subjugué avec ses connaissances historiques et littéraires.

    C'était un national, comme on en trouve presque plus.

    Nous espérons qu'il a quitté cette terre apaisé.

    Dominique SLABOLEPSZY

     

    IVAN BLOT: CINQUANTE ANS DE COMBAT INTELLECTUEL ET POLITIQUE

     

    Rédigé le Dimanche 14 Octobre 2018 à 14:33 | 0 commentaire(s)

     

    Ivan Blot est mort mercredi 10 octobre. Quelques jours plus tôt, il travaillait encore à la parution de son prochain – dernier – livre, La Nouvelle Lutte des classes, celle qui oppose les oligarques mondialistes aux peuples. Combattant intellectuel infatigable, il continuait à écrire depuis son lit d’hôpital. Du moins quand sa chimiothérapie, à l’efficacité douteuse comme souvent, lui laissait du répit. Ses enfants Franck et Delphine transmettant ensuite à Boulevard Voltaire ou Polémia ses articles.


    Ivan Blot a poursuivi une triple activité : d’homme politique, de haut fonctionnaire et surtout d’essayiste.

    Homme politique, il a livré bien des batailles. Comme conseiller général de Calais (siège pris au Parti communiste en 1983), puis comme député du Pas-de-Calais de 1986 à 1988 sous l’étiquette RPR. Il a siégé, ensuite, au conseil régional d’Alsace puis au Parlement européen, de 1989 à 1999, comme élu FN.

    Pris dans la tourmente des conflits internes au FN, il a quitté la vie électorale et a achevé sa carrière comme inspecteur général de l’administration au ministère de l’Intérieur. Malgré un passé que certains pouvaient trouver « sulfureux », il put néanmoins conduire de nombreuses missions dans le domaine régalien : sécurité civile, sécurité publique, terrorisme, sûreté des aéroports. Il copublia avec Roger Marion Le Terrorisme islamiste, une menace révolutionnaire. Il présida même l’amicale de son corps de hauts fonctionnaires.

    Mais l’essentiel, pour Ivan Blot, a toujours été le combat des idées. Du Cercle Pareto, cercle correspondant du GRECE, à Agir pour la démocratie directe. Du Club de l’Horloge, dont il fut l’un des fondateurs, au Club Valdaï, où il fut coopté.

    Ses centres d’intérêt furent nombreux. L’économie avec une thèse et un livre sur Spencer et un remarquable numéro de Nouvelle École (de 1972) sur L’Histoire des théories économiques. La sociologie, aussi, avec L’Oligarchie au pouvoir, paru chez Economica.

    Ivan Blot avait une approche très originale de la science politique. Très pragmatique. Il avait ainsi étudié de près – sujet par sujet – les thèmes des référendums d’initiative populaire, en particulier en Suisse et en Californie. Il était incontestablement le meilleur connaisseur français de la démocratie directe qu’il a largement contribué à faire connaître. Et qu’il enseignait aux auditeurs de l’Institut de formation politique (IFP).

    Ivan Blot craignait l’Europe colonisée. Beaucoup de ses écrits et de ses livres ont tourné autour de l’identité française et de l’identité européenne. Il s’attachait aux racines. Et tout particulièrement aux racines grecques.

    Depuis une dizaine d’années, Ivan Blot s’était rapproché de la Russie de Vladimir Poutine dont il s’attachait à donner une image plus empathique et plus proche de la réalité que celle de la doxa médiatique. Le monde orthodoxe l’intéressait. Et le modèle russe, mélange de traditions patriotiques et religieuses, le passionnait. Il admirait l’acceptation par la Grande Russie de toute son histoire. De la commémoration du Staline de la grande guerre patriotique à la réhabilitation du dernier tsar Nicolas II. Une démarche exemplaire pour l’Europe de l’Ouest, confite en repentance et honteuse de son passé.

    Ce patriote français n’hésitait pas à regarder ailleurs. Ses trois sources d’inspiration furent la Grèce antique, la Suisse et la Russie. Quel point commun ? L’enracinement. Et une certaine verticalité. La verticalité suisse où le peuple tente de faire prévaloir ses vues sur une oligarchie qui s’en éloigne. La verticalité russe où le président incarne 1.000 ans d’histoire face à des oligarques aux intérêts plus immédiats, sinon étrangers.

    Voici, en quelques lignes, le résumé de cinquante ans de la vie d’Ivan Blot. Cinquante ans de combat intellectuel et politique.

    Sa famille, ses amis, ses proches, ceux qui ont partagé ses luttes ou l’ont simplement croisé pourront lui rendre un dernier hommage, mercredi 17 octobre, 10 heures, en l’église Saint-Germain-l’Auxerrois.

     

     

    Jean-Yves Le Gallou – Boulevard Voltaire

  • ISLAM, puisqu'on vous le dit !

    « L’islamisation de la France est parfaitement programmée par le monde musulman »

     

    Rédigé le Lundi 8 Octobre 2018 à 18:40 | 0 commentaire(s)

     

    François Billot de Lochner, haut fonctionnaire président de la Fondation de Service politique, vient de publier, aux éditions Pierre Guillaume De Roux, une Chronique de l’islamisation ordinaire de la France dans laquelle il dresse un constat sans appel. Il a été interrogé par Breizh Info. Voici cet entretien. Polémia


    Breizh Info : Pouvez vous vous présenter à nos lecteurs ?

     

    François de Lochner : En tant que président de la Fondation de service politique, je dénonce sans relâche le déclin continu de la France, qui risque de s’achever par sa disparition si nous n’y prenons garde. A cet égard, la dizaine de livres que j’ai écrits depuis 15 ans pointe tous les affaissements politiques, économiques, sociaux, moraux, religieux ou culturels de notre pays, mettant en exergue les forces de déconstruction à la manœuvre, analyse les gigantesques problèmes auxquels nous somment confrontés et tente d’apporter des solutions à un déclin qui n’est pas irrémédiable.

    Breizh Info : Il y a eu de nombreux ouvrages, ces dix dernières années, traitant de « l’islamisation de la France ». Qu’est ce que le vôtre souhaite apporter de plus ?

    François de Lochner : Mon livre ne ressemble pas aux ouvrages que vous évoquez. En effet, il a pour objectif de dévoiler la pensée des leaders musulmans français, européens ou mondiaux, en partant de ce qu’ils disent sur l’islamisation du monde. Depuis plus d’un demi-siècle, tout ce qu’ils disent ou écrivent va dans le même sens : la France deviendra islamique dans un court délai.

    En même temps, ces leaders indiquent aux musulmans du monde entier la meilleure façon d’opérer pour qu’il en soit ainsi. Je démontre donc que l’islamisation de la France est parfaitement programmée par le monde musulman, qui s’appuie sur la lâcheté et la compromission des élites politico-médiatiques, ainsi que sur la soumission pour le moins surprenante du peuple français.

    Breizh Info : Nous avons publié une étude du très sérieux Pew Research Center concernant la progression de l’islam en France et en Europe. Vous la jugez sous-évaluée. Pourquoi ? Sur quoi vous basez-vous pour faire une telle affirmation ?

    François de Lochner : Je vous renvoie à de multiples études, infiniment plus sérieuses que celle que vous signalez. Il suffit de projeter quelques chiffres pour savoir que nous serons un pays majoritairement musulman dans une trentaine d’années. Parmi les chiffres qu’il faut avoir en tête, en voici quelques-uns : la population immigrée sur plusieurs générations est comprise entre 15 et 20 millions de personnes ; le taux de fécondité des femmes blanches est de 1,6, contre le double environ pour les populations immigrées ; nous accueillons chaque année 400.000 personnes environ, dont l’immense majorité est musulmane.

    La projection de ces quelques chiffres, qui peuvent être affinés par d’autres chiffres qui vont dans le même sens, aboutissent à un résultat non contestable : la France sera majoritairement musulmane dans une trentaine d’années. L’étude que vous citez est donc complètement erronée. Pour mémoire, je vous rappelle qu’il y a quelques mois, Alain Juppé affirmait à la télévision que l’immigration concernait moins de 100 000 personnes… A ce niveau de mensonge, les bras nous en tombent.

    Breizh Info : Dans votre livre, vous citez des exemples de pays, notamment musulmans, qui ont pris des mesures pour endiguer l’islamisation de leur société. Pouvez-vous revenir dessus ?

    François de Lochner : Certains pays musulmans, en effet, ont compris que l’islam politico-religieux pouvait aboutir à détruire les valeurs traditionnelles de leur société. Ainsi, le Tadjikistan, musulman dans sa quasi-totalité et dirigé par un musulman, a pris des mesures coercitives pour contrer l’islamisation de la société. Par exemple, le port du voile ou la barbe islamique ne sont pas les bienvenus.

    Il n’est pas inutile, en complément de cet exemple, de citer les positions de certains musulmans ayant des postes de responsabilité en Occident. A cet égard, le maire de Rotterdam, musulman convaincu, refuse catégoriquement l’islamisation de sa ville et agit en conséquence : si les musulmans ne veulent pas respecter les valeurs fondamentales des Pays-Bas, qu’ils s’en aillent… À l’inverse, le maire de Londres, musulman très proche de l’organisation terroriste des Frères musulmans, organise en sous-main l’islamisation de la Grande-Bretagne.

    Breizh Info : Alain Wagner a récemment livré une interview dans laquelle il confirme la thèse d’Eurabia, qui accable l’Union européenne qui aurait « vendu » l’Europe aux organisations islamiques et au monde musulman. Accréditez-vous cette thèse ?

    François de Lochner : Comme je le disais tout à l’heure, la compromission et la lâcheté des « élites » politico-médiatiques, de l’Union européenne en général et de la France en particulier, correspondent objectivement à une sorte de « vente » de l’Occident au monde musulman. La soumission est partout et rend le combat particulièrement difficile.

    Breizh Info : Finalement, votre constat est très long, mais votre « Que faire ? » est assez court. N’avez-vous donc pas un message d’espoir à faire passer ?

    François de Lochner : Le message d’espoir est dans mon livre, et notamment dans le « Que faire », qui me semble suffisamment long. En effet, ce « Que faire » n’a aucunement l’intention d’être exhaustif, mais donne quelques coups de projecteur sur l’action que chacun d’entre nous peut mener pour ne pas se retrouver un jour en République française islamique. Je préfère quelques actions ciblées et menées, à une litanie d’actions exhaustives mais restant lettres mortes. Mon livre a pour objectif d’éveiller les consciences, de chacun d’entre nous comme de celles des « élites politico-médiatiques ».

    François de Lochner
    07/12/2017

    Propos recueillis par Yann Vallerie

    Source : Breizh Info

  • Pourquoi pas !!!!

    Le Parti de la France : Préparons les lendemains !

     

    Rédigé le Lundi 17 Septembre 2018 à 09:19 | 0 commentaire(s)

     

    Le billet de Franck Timmermans. Zapping le 12 septembre : sur BFM-TV, un reportage dans le Var avec pour titre « Marine Le Pen dans le Var : la dynamique brisée ? ». Extraordinaire. Depuis un an, il y aurait donc eu une dynamique au RN dont j’ignorais tout.


    Je bats ma coulpe, et je regarde la suite. Une poignée de gauchistes qui hurle à l’approche de la Présidente du RN flanquée de ses caciques habituels. Une scène que son père a vécue un peu partout en France des centaines de fois en plus de 30 ans. Vraiment pas de quoi casser trois pattes à un canard et c’est à se demander si le journalisme émotionnel, évidemment calqué sur le grand frère d’outre-Atlantique, ne sombre pas davantage dans l’insignifiant, au-delà des excuses estivales. Et les seconds couteaux de la Tzarine d’en remettre une couche quitte à démontrer involontairement le manque total de l’organisation de leur réunion car on était loin, très loin d’une confrontation à la mode de Chemnitz ! Le lendemain, un cadre du RN du Languedoc m’appelle pour me donner nouvelles et impressions. Sur le psychodrame varois, même opinion, l’affliction en plus. Mais les autres déconvenues sont d’un tout autre tonneau.
    La communication du Siège du RN de Nanterre s’enfonce dans le déni et la caricature car les dons attendus et reçus pour sauver « le premier parti d’opposition » sont en réalité très inférieurs en nombre et en montants à ce qui était espéré. Les renouvellements d’adhésion sont le symptôme le plus alarmant et les adhésions nouvelles proches de l’inexistant. Pire, le RN ne couvre plus depuis plusieurs mois la France en fédérations, des départements sont artificiellement dotés d’un responsable qui, parfois, n’est même plus adhérent ; pire encore, une très grosse fédération est, pour la première fois, en dépôt de bilan, incapable de régler dettes et fournisseurs, engagements que le Siège national n’est pas disposé à honorer. D’autres sombrent dans la zizanie permanente et les règlements de comptes. Et nous n’évoquerons pas les déboires judiciaires et financiers de la Présidente, en majeure partie dus à l’irresponsabilité de sa gestion, à ses méthodes cavalières comme à ses dépenses et embauches irraisonnables. L’extrême lassitude a emboîté le pas à l’extrême déception dans les rangs militants car il ne s’est rien passé de concret durant un an, ni rebond nécessaire ni autocritique évidemment.
    Il est bien difficile de prétendre à l’honneur du premier rôle d’opposant quand, alors que vous pérorez contre la gabegie, le même qualificatif résume votre gestion ; quand, alors que vous pourfendez le fiscalisme, vos services harcèlent les fichiers de relances et ponctionnent les candidats ; quand, alors que vous préconisez de réduire les personnels de l’État, les vôtres enflent démesurément de fonctionnaires ou de courtisans. Le slogan « tête haute et mains propres » est bien loin.
    Que faire ? Notre générosité et notre aide ne peuvent que soutenir un mouvement dont la gestion a été efficace et irréprochable, et c’est bien le cas du PDF *. Aucune solidarité des idées ne nous oblige donc à entretenir le tonneau des Danaïdes de Nanterre. Car, en plus, il ne faut pas oublier que la responsable de ces pitoyables résultats s’acharne sur le plan des idées justement depuis des années à dévier son mouvement des repères et enjeux fondamentaux de notre camp, notamment - et c’est la faute absolue - en niant l’existence d’un grand remplacement. C’est là une somme d’incompétences, de nuisances et de disqualifications. Mais que faire ??? Persévérer dans notre combat contre le Système, contre les gauches, car Mélenchon a désormais un boulevard, et contre ce grand remplacement ; mais aussi tendre la main aux militants locaux et sincères qui seraient tentés de tout abandonner, y compris un combat vital pour notre Pays, celui de la Résistance.
    Les désaccords passés ne sauraient supplanter les obligations des mobilisations futures.
    Si vous organisez des activités dans votre secteur, n’hésitez pas à y inviter des ex-adhérents du RN et des militants ou élus locaux abandonnés. Constituez-vous un fichier de prospection d’après vos propres archives et contacts évidemment, mais aussi en utilisant les listes FN des deux dernières élections municipales (donc depuis 13 ans environ). Ces listes, figurant sur les bulletins de vote, vous aideront à reconstituer certaines adresses d’anciens candidats de base en consultant la liste électorale en Mairie ou au Service des Élections de la Préfecture.
    Le reste proviendra des relations personnelles par l’effet boule de neige. Dans vos relations avec les déçus, je vous recommande de ne pas rouvrir les plaies inutilement ni d’insister lourdement sur les erreurs commises. Ils n’y sont en fait pour rien. La convivialité et l’action seront vos arguments les plus décisifs pour les amarrer à nous. Vos choix et vos décisions reposeront donc sur l’urgence de l’union, sur la confiance rétablie et le travail militant.
    Ne soyez jamais rancunier ni méprisant avec les militants, toujours respectables pour leur engagement patriotique fût-il parfois atteint de cécité à l’égard de leur hiérarchie.
    Retrouver la vue est un bonheur à partager, à entretenir et à préserver. Je sais de quoi je parle.
     
    * Pour donner utile, donnez au PDF.
    • par chèque à l’ordre de “Mme Myriam BAECKEROOT mandataire financier du P.D.F.” en adressant votre courrier au Parti de la France 6 allée des Templiers, 78 860 Saint-Nom-la-Bretèche
    • par virement à l’ordre de “Mme Myriam BAECKEROOT, mandataire financier du P.D.F.” sur le compte bancaire LCL 30002 00453 0000691807 F 22 Paris Anjou 
  • Billet de FRANCK

    Le Parti de la France : Préparons les lendemains !

     

    Rédigé le Lundi 17 Septembre 2018 à 09:19 | 0 commentaire(s)

     

    Le billet de Franck Timmermans. Zapping le 12 septembre : sur BFM-TV, un reportage dans le Var avec pour titre « Marine Le Pen dans le Var : la dynamique brisée ? ». Extraordinaire. Depuis un an, il y aurait donc eu une dynamique au RN dont j’ignorais tout.


    Je bats ma coulpe, et je regarde la suite. Une poignée de gauchistes qui hurle à l’approche de la Présidente du RN flanquée de ses caciques habituels. Une scène que son père a vécue un peu partout en France des centaines de fois en plus de 30 ans. Vraiment pas de quoi casser trois pattes à un canard et c’est à se demander si le journalisme émotionnel, évidemment calqué sur le grand frère d’outre-Atlantique, ne sombre pas davantage dans l’insignifiant, au-delà des excuses estivales. Et les seconds couteaux de la Tzarine d’en remettre une couche quitte à démontrer involontairement le manque total de l’organisation de leur réunion car on était loin, très loin d’une confrontation à la mode de Chemnitz ! Le lendemain, un cadre du RN du Languedoc m’appelle pour me donner nouvelles et impressions. Sur le psychodrame varois, même opinion, l’affliction en plus. Mais les autres déconvenues sont d’un tout autre tonneau.
    La communication du Siège du RN de Nanterre s’enfonce dans le déni et la caricature car les dons attendus et reçus pour sauver « le premier parti d’opposition » sont en réalité très inférieurs en nombre et en montants à ce qui était espéré. Les renouvellements d’adhésion sont le symptôme le plus alarmant et les adhésions nouvelles proches de l’inexistant. Pire, le RN ne couvre plus depuis plusieurs mois la France en fédérations, des départements sont artificiellement dotés d’un responsable qui, parfois, n’est même plus adhérent ; pire encore, une très grosse fédération est, pour la première fois, en dépôt de bilan, incapable de régler dettes et fournisseurs, engagements que le Siège national n’est pas disposé à honorer. D’autres sombrent dans la zizanie permanente et les règlements de comptes. Et nous n’évoquerons pas les déboires judiciaires et financiers de la Présidente, en majeure partie dus à l’irresponsabilité de sa gestion, à ses méthodes cavalières comme à ses dépenses et embauches irraisonnables. L’extrême lassitude a emboîté le pas à l’extrême déception dans les rangs militants car il ne s’est rien passé de concret durant un an, ni rebond nécessaire ni autocritique évidemment.
    Il est bien difficile de prétendre à l’honneur du premier rôle d’opposant quand, alors que vous pérorez contre la gabegie, le même qualificatif résume votre gestion ; quand, alors que vous pourfendez le fiscalisme, vos services harcèlent les fichiers de relances et ponctionnent les candidats ; quand, alors que vous préconisez de réduire les personnels de l’État, les vôtres enflent démesurément de fonctionnaires ou de courtisans. Le slogan « tête haute et mains propres » est bien loin.
    Que faire ? Notre générosité et notre aide ne peuvent que soutenir un mouvement dont la gestion a été efficace et irréprochable, et c’est bien le cas du PDF *. Aucune solidarité des idées ne nous oblige donc à entretenir le tonneau des Danaïdes de Nanterre. Car, en plus, il ne faut pas oublier que la responsable de ces pitoyables résultats s’acharne sur le plan des idées justement depuis des années à dévier son mouvement des repères et enjeux fondamentaux de notre camp, notamment - et c’est la faute absolue - en niant l’existence d’un grand remplacement. C’est là une somme d’incompétences, de nuisances et de disqualifications. Mais que faire ??? Persévérer dans notre combat contre le Système, contre les gauches, car Mélenchon a désormais un boulevard, et contre ce grand remplacement ; mais aussi tendre la main aux militants locaux et sincères qui seraient tentés de tout abandonner, y compris un combat vital pour notre Pays, celui de la Résistance.
    Les désaccords passés ne sauraient supplanter les obligations des mobilisations futures.
    Si vous organisez des activités dans votre secteur, n’hésitez pas à y inviter des ex-adhérents du RN et des militants ou élus locaux abandonnés. Constituez-vous un fichier de prospection d’après vos propres archives et contacts évidemment, mais aussi en utilisant les listes FN des deux dernières élections municipales (donc depuis 13 ans environ). Ces listes, figurant sur les bulletins de vote, vous aideront à reconstituer certaines adresses d’anciens candidats de base en consultant la liste électorale en Mairie ou au Service des Élections de la Préfecture.
    Le reste proviendra des relations personnelles par l’effet boule de neige. Dans vos relations avec les déçus, je vous recommande de ne pas rouvrir les plaies inutilement ni d’insister lourdement sur les erreurs commises. Ils n’y sont en fait pour rien. La convivialité et l’action seront vos arguments les plus décisifs pour les amarrer à nous. Vos choix et vos décisions reposeront donc sur l’urgence de l’union, sur la confiance rétablie et le travail militant.
    Ne soyez jamais rancunier ni méprisant avec les militants, toujours respectables pour leur engagement patriotique fut-il parfois atteint de cécité à l’égard de leur hiérarchie.
    Retrouver la vue est un bonheur à partager, à entretenir et à préserver. Je sais de quoi je parle.
     
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  • CONNEXION 17 09 2018

     

       
     

     
    ICIOININIEIXIIIOINI
    LA LETTRE ARGUMENTAIRE DU PDF
    directeur de publication : Jean-François Touzé
     

    17 septembre 2018

     
       
     
     
     

    Plan « Pauvreté" :

     
    et une arnaque de plus !
     
    Plan pauvreté : Et une arnaque de plus…
    Emmanuel Macron, l’ex-banquier d'affaires, l'homme des désormais célèbres « les aides sociales ça coûte un fric fou », « ceux qui ne sont rien » ou « ces fainéants », se penchant sur le sort des plus démunis, voilà qui est aussi crédible que d'imaginer Olivier Besancenot appelant à la solidarité avec les patrons du CAC 40…
    C'est pourtant ce que vient de faire le Président de la République en déclinant les principaux points de son « plan pauvreté » censé lutter, par un investissement de 8 milliards sur quatre ans financé sur monnaie de singe, contre les iniquités sociales.
    Une arnaque de plus du macronisme qui tente, en bon Gribouille, par des mots vides et des incantations stériles d’opérer un virage vers sa gauche pour compenser les pertes que son incohérence et son incompétence ont suscité sur sa droite.
    • Arnaque du renforcement des contrats d'insertion qui ne sont que la énième mouture des emplois aidés, coûteux cautères sur jambe de bois destinés non pas à enrayer le chômage mais à en dissimuler l'ampleur.
    • Arnaque de l’obligation de formation qui, en passant de 16 à 18 ans, ne fait que retarder les effets inévitables d’échecs scolaires programmés.
    • Arnaque du revenu universel d’activité qui n'est en fait qu'une refonte plus restrictive des minima sociaux.
    • Arnaque surtout des aides aux enfants pauvres (crèches nouvelles, petits-déjeuners gratuits, cantine à un euro) qui seront réservés aux « quartiers prioritaires », C’est-à-dire aux supposés petits défavorisés issus de l'immigration. Nous sommes, une fois de plus en pleine « discrimination positive », traduction politiquement correcte du racisme anti français.
    Rien pour les familles françaises pour qui les difficultés de fin de mois commencent souvent bien avant le 15.
    Rien sur le logement authentiquement social c’est-à-dire destiné à loger les Français qui en ont réellement besoin
    Rien pour les sans abris français laissés pour compte d’une société basée sur le mercantilisme et ouverte aux mille vents fétides du mondialisme.
    Rien pour les foyers ruraux promis au démantèlement.
    Rien pour les vieillards miséreux trop dignes pour se plaindre.
    Pour le Parti de la France, une vraie lutte contre la pauvreté destinée à extraire 8 millions et demi de nos compatriotes de l'exil intérieur auquel ils sont condamnés, passe par la relance de l'emploi par une politique de défense des petites et moyennes entreprises françaises et de réindustrialisation européenne, par un renforcement de l'apprentissage et une redéfinition de la formation professionnelle adaptée aux réalités et aux besoins, par une relance du pouvoir d’achat, par le retour des vraies structures de solidarité – la famille, les corps intermédiaires - et surtout par la fin de l’immigration et la réservation des aides sociales aux Français et à eux seuls.
    La lutte contre la pauvreté, c’est d'abord la préférence nationale.
     
     
     
       

    @carllang2022

    Guerre d'Algérie: Macron se garde bien de rappeler les massacres par le FLN algérien de dizaines de milliers de harkis, les attentats contre les civils, les égorgements de masse et le terrorisme sanglant contre les français. Mais dans quel camp est-il ?
     (13/09/2018).
     
       

    @carllang2022

    Macron réécrit donc l'histoire de la guerre d' Algérie en choisissant le camp du FLN.  Hommage, honneur et reconnaissance aux unités françaises de la 10 ème division parachutiste qui ont mené à Alger en 1957  le légitime et nécessaire combat contre les terroristes.
    (013/09/2018).
     
     
     
    Sanctions contre la Hongrie : 
    le système a peur…
     
    En votant le 12 septembre (448 voix pour, 197 contre) pour l'ouverture d’une procédure pouvant, en vertu de l'article 7 du règlement de l'Union, déboucher, si elle allait jusqu’à son terme, sur des sanctions contre la Hongrie, le Parlement européen a voulu faire la démonstration de sa détermination à lutter contre ce qu’Emmanuel Macron qualifiait récemment de lèpre nationaliste et de crispation populiste, et que la députée Vert Judith Sargentini, rapporteur du texte, a décrit comme un « risque systémique contre les valeurs de l'UE ». Autrement dit, la volonté des peuples européens à résister à la submersion migratoire et à demeurer ce qu’ils sont chez eux, droit inaliénable volontiers reconnu, voire prôné, par l’ONU quand il s'applique à telle ou telle peuplade aborigène (« Droits des peuples autochtones »), mais fermement condamné quand il est revendiqué par les nations historiques européennes.
    En réalité, les députés « progressistes » de gauche et d’extrême gauche comme ceux du centre et d'une bonne partie de la prétendue droite n'ont fait la démonstration que de leur couardise et de leur fuite en avant sur la route fatale de l’immigrationnisme. Il est aussi permis de voir dans ce vote la marque d'un début de panique, grande peur des bien-pensants de tous bords face à la montée de la vague des résistances nationales.
    Cette procédure dont les chances d'aboutir sont heureusement quasiment nulles malgré l'appui insistant de la Commission de Bruxelles, n'a, en effet, pu être adopté que grâce à la complicité de la pseudo-droite européenne regroupée au sein du très mal nommé Parti Populaire Européen (PPE) auquel appartient pourtant le Fidesz hongrois de Victor Orban.
    Au cours de son intervention, solennelle et déterminée, devant les eurodéputés, ce dernier n’a pas cherché à convaincre son auditoire, dont il estimait que l'opinion était « déjà faite ». Combattif et véhément, il a dénoncé une « vengeance » de ses opposants et martelé qu'il ne céderait à aucun « chantage ». « Je n'accepterai pas que les forces pro-immigration nous menacent, fassent un chantage et calomnient la Hongrie sur la base de fausses accusations ».
    Si ces forces pro immigration qu'évoquait Victor Orban, ont engagé le combat contre l'axe de la résistance qui se dessine en Europe et que la rencontre Orban/Salvini vient d'illustrer de manière emblématique, c'est que l'enjeu des prochaines élections européennes est pour eux vital : il s'agit pour les eurocrates immigrationnistes et mondialistes d'empêcher la diffusion salutaire de la substance réactive chimique naturelle qui pousse les peuples à ne pas mourir, et de dissuader d'autres pays de suivre les traces de la Hongrie, de l'Italie et de l'Autriche.
    Il y va, en effet, de la survie du Système. Un Système qu'il nous faut abattre avant qu'il ne soit trop tard.
    Le Parti de la France, incarnation politique de la vraie Droite nationale française, héritier de tant de combats menés pour les libertés, l'identité nationale et les valeurs civilisationnelles, s'inscrit dans ce grand renouveau populaire qui, de Rome à Berlin, de Stockholm à Vienne, de Budapest à Amsterdam, s’organise et peut demain embraser l'ensemble du continent dans le grand feu du réveil européen.
    Et nous, nous ne céderons rien.
     
     
    Responsabilité de la France dans la mort de Maurice Audin : 
    scélératesse…
     
    Sur la grande toile nauséabonde de la repentance, Macron qui, en février 2017, à Alger, qualifiait la colonisation française de « crime contre l'humanité » vient d’ajouter un crachat supplémentaire à la mémoire nationale en affirmant la responsabilité de l’État dans la mort de Maurice Audin.
    Traître communiste et complice des terroristes du FLN, ce mathématicien avait été arrêté et interrogé par les parachutistes de la 10e DP du général Massu dans le cadre de la mission qui leur avait été confiée par le gouvernement socialiste de Guy Mollet, en vertu des pouvoirs spéciaux que lui avait accordés l’assemblée nationale en mars 1956. La bataille d'Alger fut la bataille d'une France qui ne courbait pas encore totalement le dos. En quelques semaines, la 10e DP, par son action exemplaire, mit fin aux attentats arabes qui dévastaient Alger et frappaient la population.
    Audin soutenait ces attentats puisqu’il en aidait les auteurs qu'il lui arriva même de cacher. Audin était un traître. Un renégat. Un terroriste par personnes interposées. Son sort fut celui réservé aux traîtres, aux renégats et aux terroristes
    En lui rendant un hommage détourné, en demandant « pardon » à sa veuve, Macron vient de donner un écœurant satisfecit à la trahison d'hier et d'ouvrir les portes à celles de demain.
    • Pour les communistes, cette « reconnaissance » est celle de leur action scélérate tout au long des guerres d’Indochine et d’Algérie, eux qui n'eurent pendant soixante ans d'autre patrie que la terre soviétique.
    • Pour les gauchistes d’aujourd’hui, elle est un signe et un encouragement.
    • Pour l’Algérie, elle est un pas de plus vers l’agenouillement total de la France.
    • Pour les familles de Français nés en Algérie, elle est une offense et une souffrance par la réouverture de plaies encore fraîches.
    • Pour les harkis et leurs fils que l’État feignait d’honorer le mois dernier, il s'agit d'un abandon de plus.
    • Pour l’armée Française, il s'agit d'un désaveu cinglant et d'un camouflet, infligés par celui qui s'en prétend le chef.
    • Pour les membres des forces de l'ordre, civiles et militaires, sur les épaules desquels reposent la sécurité de la France et des Français, à l’intérieur comme, en opérations, à l’extérieur de nos frontières, il s'agit d'un coup de couteau dans le dos et d'un acte de démoralisation.
    • Pour les islamistes, elle s’apparente à un coup de pouce donné aux réseaux de soutien au terrorisme d'aujourd'hui comme ceux de Curiel ou Audin hier.
    Le Parti de la France rend hommage à tous ceux qui ont construit l’Algérie française et à ceux qui l'ont défendue, souvent jusqu’à la mort, face aux massacreurs du FLN et à leurs complices communistes, puis, quand vint le temps de la trahison et de la félonie, en résistant à un abandon dont ils savaient qu'il serait suivi de bien d’autres.
    Macron, dès son élection, avait tenu à placer son mandat sous le signe de De Gaulle. On en mesure les raisons aujourd'hui.
     
    Procès Méric : 
     
    c'est Thémis qu'on assassine.
     
    En droit français – et singulièrement lors d'une comparution devant une cour d'assises – le doute doit bénéficier à l'accusé.
    Tout au long du procès Méric, le doute - c'est une litote - a plané sur les débats.
    • Doute quant aux coups portés. Par qui, à quel moment et de quelle manière ?
    • Doute quant aux vrais responsables de la rixe.
    • Doute quant à la notion de légitime défense qui, à l’évidence, aurait pu s'appliquer aux actes des accusés.
    • Doute quant à l'utilisation d'un poing américain.
    Les deux seules certitudes étant que la mort de l’activiste gauchiste antifa Méric était due à la percussion de sa tête contre un poteau que le hasard avait planté là, et que cette mort, aucun des accusés ne l’avait voulue.
    Pour mémoire, rappelons les termes du serment que tout juré doit prêter avant l’ouverture des débats d'une cour d'assises : "Vous jurez et promettez d'examiner avec l'attention la plus scrupuleuse les charges qui seront portées contre X…, de ne trahir ni les intérêts de l'accusé, ni ceux de la société qui l'accuse, ni ceux de la victime ; de ne communiquer avec personne jusqu'après votre déclaration ; de n'écouter ni la haine ou la méchanceté, ni la crainte ou l'affection ; de vous rappeler que l'accusé est présumé innocent et que le doute doit lui profiter ; de vous décider d'après les charges et les moyens de défense, suivant votre conscience et votre intime conviction, avec l'impartialité et la fermeté qui conviennent à un homme probe et libre, et de conserver le secret des délibérations, même après la cessation de vos fonctions".
    Moyennant quoi Estéban Morillo vient d’être condamné à 11 ans de prison et Samuel Dufour à 7 ans.
    Quand la Justice se fait le bras armé de la vengeance d'une faction révolutionnaire, quand elle se trouve en grande partie aux mains de l’extrême gauche, quand le glaive ne s’abat que lorsque l'idéologie le décide, quand la balance ne penche que d'un côté, alors il est permis de dire « Non. Je ne fais pas confiance à ce qu'est devenue la Justice de mon pays ».
     
     
    Le billet de Franck Timmermans
    Préparons les lendemains !
     
    Zapping le 12 septembre : sur BFM-TV, un reportage dans le Var avec pour titre « Marine Le Pen dans le Var : la dynamique brisée ? ». Extraordinaire. Depuis un an, il y aurait donc eu une dynamique au RN dont j’ignorais tout. Je bats ma coulpe, et je regarde la suite. Une poignée de gauchistes qui hurle à l’approche de la Présidente du RN flanquée de ses caciques habituels. Une scène que son père a vécue un peu partout en France des centaines de fois en plus de 30 ans. Vraiment pas de quoi casser trois pattes à un canard et c’est à se demander si le journalisme émotionnel, évidemment calqué sur le grand frère d’outre-Atlantique, ne sombre pas davantage dans l’insignifiant, au-delà des excuses estivales. Et les seconds couteaux de la Tzarine d’en remettre une couche quitte à démontrer involontairement le manque total de l’organisation de leur réunion car on était loin, très loin d’une confrontation à la mode de Chemnitz ! Le lendemain, un cadre du RN du Languedoc m’appelle pour me donner nouvelles et impressions. Sur le psychodrame varois, même opinion, l’affliction en plus. Mais les autres déconvenues sont d’un tout autre tonneau.
    La communication du Siège du RN de Nanterre s’enfonce dans le déni et la caricature car les dons attendus et reçus pour sauver « le premier parti d’opposition » sont en réalité très inférieurs en nombre et en montants à ce qui était espéré. Les renouvellements d’adhésion sont le symptôme le plus alarmant et les adhésions nouvelles proches de l’inexistant. Pire, le RN ne couvre plus depuis plusieurs mois la France en fédérations, des départements sont artificiellement dotés d’un responsable qui, parfois, n’est même plus adhérent ; pire encore, une très grosse fédération est, pour la première fois, en dépôt de bilan, incapable de régler dettes et fournisseurs, engagements que le Siège national n’est pas disposé à honorer. D’autres sombrent dans la zizanie permanente et les règlements de comptes. Et nous n’évoquerons pas les déboires judiciaires et financiers de la Présidente, en majeure partie dus à l’irresponsabilité de sa gestion, à ses méthodes cavalières comme à ses dépenses et embauches irraisonnables. L’extrême lassitude a emboîté le pas à l’extrême déception dans les rangs militants car il ne s’est rien passé de concret durant un an, ni rebond nécessaire ni autocritique évidemment.
    Il est bien difficile de prétendre à l’honneur du premier rôle d’opposant quand, alors que vous pérorez contre la gabegie, le même qualificatif résume votre gestion ; quand, alors que vous pourfendez le fiscalisme, vos services harcèlent les fichiers de relances et ponctionnent les candidats ; quand, alors que vous préconisez de réduire les personnels de l’État, les vôtres enflent démesurément de fonctionnaires ou de courtisans. Le slogan « tête haute et mains propres » est bien loin.
    Que faire ? Notre générosité et notre aide ne peuvent que soutenir un mouvement dont la gestion a été efficace et irréprochable, et c’est bien le cas du PDF *. Aucune solidarité des idées ne nous oblige donc à entretenir le tonneau des Danaïdes de Nanterre. Car, en plus, il ne faut pas oublier que la responsable de ces pitoyables résultats s’acharne sur le plan des idées justement depuis des années à dévier son mouvement des repères et enjeux fondamentaux de notre camp, notamment - et c’est la faute absolue - en niant l’existence d’un grand remplacement. C’est là une somme d’incompétences, de nuisances et de disqualifications. Mais que faire ??? Persévérer dans notre combat contre le Système, contre les gauches, car Mélenchon a désormais un boulevard, et contre ce grand remplacement ; mais aussi tendre la main aux militants locaux et sincères qui seraient tentés de tout abandonner, y compris un combat vital pour notre Pays, celui de la Résistance.
    Les désaccords passés ne sauraient supplanter les obligations des mobilisations futures.
    Si vous organisez des activités dans votre secteur, n’hésitez pas à y inviter des ex-adhérents du RN et des militants ou élus locaux abandonnés. Constituez-vous un fichier de prospection d’après vos propres archives et contacts évidemment, mais aussi en utilisant les listes FN des deux dernières élections municipales (donc depuis 13 ans environ). Ces listes, figurant sur les bulletins de vote, vous aideront à reconstituer certaines adresses d’anciens candidats de base en consultant la liste électorale en Mairie ou au Service des Élections de la Préfecture.
    Le reste proviendra des relations personnelles par l’effet boule de neige. Dans vos relations avec les déçus, je vous recommande de ne pas rouvrir les plaies inutilement ni d’insister lourdement sur les erreurs commises. Ils n’y sont en fait pour rien. La convivialité et l’action seront vos arguments les plus décisifs pour les amarrer à nous. Vos choix et vos décisions reposeront donc sur l’urgence de l’union, sur la confiance rétablie et le travail militant.
    Ne soyez jamais rancunier ni méprisant avec les militants, toujours respectables pour leur engagement patriotique fut-il parfois atteint de cécité à l’égard de leur hiérarchie.
    Retrouver la vue est un bonheur à partager, à entretenir et à préserver. Je sais de quoi je parle.
     
    * Pour donner utile, donnez au PDF.
    • par chèque à l’ordre de “Mme Myriam BAECKEROOT mandataire financier du P.D.F.” en adressant votre courrier au Parti de la France 6 allée des Templiers, 78 860 Saint-Nom-la-Bretèche
    • par virement à l’ordre de “Mme Myriam BAECKEROOT, mandataire financier du P.D.F.” sur le compte bancaire LCL 30002 00453 0000691807 F 22 Paris Anjou 
     
           
     

    Réinfo, le magazine d'information

     

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      Le journal télévisé du PdF
    présentée par Sylvie Collet
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  • Nouvelle droite nationale

    Journée d’amitié et d’action française

    le 6 octobre en Avignon

     

    Rédigé le Vendredi 14 Septembre 2018 à 08:00 | 0 commentaire(s)

     

    Lors de cette journée qui a pour thème « rebâtir la cité », Carl Lang interviendra ainsi que de nombreux autres patriotes.


    Voici donc le programme de la journée :
    10h00://2    Messe pour la France célébrée par l'abbé Vella
    12h00://3    Apéritif puis repas d'Amitié française
    14h30://4    Conférences
     
    .Discours de Marie-Gabrielle Pujo
    .Abbé Vella : "Pour servir le Bien Commun"
    .Hugues Petit : "Pour en finir avec le Droit-de-l'hommisme"
    .Catherine Rouvier : "Pour un mouvement civilisationniste"
    .Carl Lang : "Pratiquer le compromis nationaliste"
    .Stéphanie Bignon : "S'enraciner pour s'élever"
    .Jacques Bompard : "Le localisme"
    .Robert Mestelan : "L'appel de Saint-Hilaire"
    .Elie Hatem : "l'Action française pour sauver la France"
    .Conclusion par S.A.R le Prince Sixte-Henri de Bourbon Parme


    Un grand choix de livres sera à vote disposition (vous trouverez des ouvrages de Charles Maurras, Jacques Bainville, Robert Brasillach, Jean Madiran, Gérard Bedel, Carl Lang sans oublier les Mémoires de Jean-Marie le Pen etc.).
    Marion Sigaut sera présente et dédicacera ces nombreux ouvrages.
     
    Les tarifs sont les suivants:
    -Journée complète : 32 euros (Repas et conférences)
    -Tarif de soutien- journée complète : 38 euros (Repas et conférences)
    -Conférences : 10 euros
    -Tarif de soutien - conférences : 12 euros.
     
    Réservations sur notre site www.amitieactionfrancaise.com  ou par mail à contact@amitieactionfrancaise.com  AVANT le 30 septembre 2018://11 .
  • IMMIGRATION-INVASION !

    L'État islamique menace d'envoyer 500.000 migrants en Europe depuis la Libye

     

    Rédigé le Lundi 27 Août 2018 à 08:34 | 0 commentaire(s)

     

    La nouvelle arme des terroristes : utiliser cyniquement la menace d'un «chaos en Méditerranée» pour empêcher l'Europe d'intervenir en Libye.


    «Si vous engagez des forces armées en Libye, nous vous envoyons 500.000 migrants»: tel est en substance le message envoyé par les djihadistes de la franchise libyenne de Daech au gouvernement italien. 

    Le ministre italien des affaires étrangères Angelino Alfano avait affirmé lundi dernier que la Libye devait être la «priorité absolue» pour la communauté internationale, et qu'il n'y avait «pas une minute à perdre». «Si les milices du Califat avancent plus vite que les décisions de la communauté internationale, nous avons le risque d'un exode sans précédent», avait-il . Plus prudent, Matteo Renzi  avait fait savoir que «ce n'était pas le moment pour l'intervention militaire», le ministre de la défense a lui affirmé que le pays était prêt à mobiliser 5000 soldats pour lutter contre Daech en Libye. L'Italie est en première ligne, à 350 kilomètres seulement des côtes libyennes. Sur la séquence vidéo de l'assassinat des 21 coptes, avant que leur sang ne baigne dans la Méditérannée, un des djihadistes avertit: «Nous sommes au sud de Rome». Le dossier libyen est désormais au cœur de l'actualité médiatique en Italie: le pays est sous extrême tension, craignant à tout moment une attaque. 

    La Libye «porte d'entrée stratégique» vers l'Europe

    D'après des écoutes téléphoniques que le quotidien italien Il Messagero a pu se procurer, l'État islamique envisagerait de recourir aux migrants comme une «arme psychologique» contre l'Europe, et en particulier contre l'Italie si celle-ci intervenait en Libye. Dans ces conversations téléphoniques interceptées par la police italienne, les djihadistes menacent d'envoyer des milliers de barques remplies de migrants vers les côtes italiennes. Ils parlent de «500.000 migrants» soit la majorité des 700.000 qui attendent d'embarquer sur les côtes libyennes. «Les djihadistes émettent l'hypothèse d'envoyer à la dérive direction l'Italie, des centaines de barques remplies de migrants, dès le moment où notre pays évoquerait une intervention armée en Libye», écrit le quotidien romain. 

    Plus de 170.000 migrants sont arrivés en Italie par bateau l'an dernier. Les passeurs de migrants utilisent une nouvelle technique, celle des «bateaux-fantômes»: il s'agit de lancer des cargos d'occasion ou des bateaux attendant la casse remplis à ras-bord de migrants, et envoyés à la dérive dans la Méditerranée, sans conducteur, pour obliger les équipes de sauvetage à intervenir. 

    En occasionnant un désastre humanitaire, l'objectif de l'État islamique serait de créer le «chaos» en Méditerranée prédit par le colonel Kadhafi avant sa mort. Comme le rappelle le Daily Mail , lors de sa dernière interview en mars 2011, l'ancien dictateur libyen Mouamar Kadhafi, renversé en 2011 grâce à l'appui des occidentaux, avait fait cette funeste prédiction: sans lui, la Méditerranée deviendrait «la mer du chaos». «L'Occident a le choix entre moi ou le chaos terroriste» avait également prévenu l'autocrate dans une interview au JDD

    «La Libye est une porte d'entrée stratégique, une rampe de lancement pour couper la route maritime aux ‘croisés' et un moyen de semer la ‘pandémie' dans les villes méridionales de l'Europe» écrit, dans le Telegraph,  le chercheur Charlie Winter, du think-thank britannique Quilliam, qui a publié un rapport sur le sujet.
    source: lefigaro.fr

  • AQUARIUS

    Immigration-colonisation : Aquarius, l’éternel retour

     

    Rédigé le Lundi 20 Août 2018 à 22:32 | 0 commentaire(s)

     

    Comme des dizaines d'autres bâtiments néo-négriers affrétés par les organisations complices des passeurs comme SOS Méditerranée (label « grande cause » décerné par le Premier ministre en 2017 permettant de bénéficier de campagnes publicitaires gratuites dans les médias), agissant sous pavillon de complaisance humanitaire et en partie subventionnées sur fonds publics ou régionaux (Occitanie par exemple), l’Aquarius, jouant de sa proximité phonétique avec l'Exodus à fin de production lacrymale optimum, poursuit ses allées-venues, véritable navette de l’ingression migratoire en Méditerranée.


    Qu'au final le gouvernement français n'ait cédé ni aux demandes pressantes du communiste Gayssot (ex-ministre des transports de Mitterrand et auteur de la loi que l’on sait interdisant l’expression non conforme), d’accueillir le vaisseau pirate dans le port de Sète qu'il préside et d'en faire une plate-forme de débarquement pour les nouveaux colons, ni aux mises en demeure du chœur immigrationniste des vierges internationalistes, ne change rien à l'affaire.
    Qu'ils débarquent à Malte, en Espagne, au Portugal ou en France comme hier – et peut-être hélas à nouveau demain - en Italie, c'est vers le continent tout entier, à l'exception des pays ayant su retrouver leur dignité nationale comme la Hongrie de Victor Orban, que, par la grâce de Schengen et des quotas de répartition imposée par la Commission européenne, en vagues successives et incessantes, déferle l’écume invasive. Un flux à long terme destructeur de notre civilisation, et à court terme porteur des futurs acteurs de « faits divers » comme ceux – meurtres, viols ou agressions, qui se sont multipliés cet été en France, en Allemagne et ailleurs, sans même parler de la menace islamiste. On notera à ce propos que les demandes d'asile connaissent en France une très forte hausse (+ 17,8 % depuis le 1://5 er://5  janvier://5 ) et sont en passe de devenir une des formes les plus usitées d'immigration économique. Nul besoin, on le voit, d'accoster à Sète puisque, de toute façon, ils finissent toujours par échouer chez nous.
    • Rien pourtant qui ne pourrait être stoppé si existait une volonté politique.
    • Rien que ne pourraient bloquer en quelques heures quatre ou cinq frégates des marines nationales européennes par coups de semonce voire plus si nécessaire, et opérations d’arraisonnements avant retour vers la Libye ou la Tunisie.
    • Rien qui ne pourrait être traité par la liquidation physique des réseaux de passeurs et l’arrestation de leurs complices.
    • Rien qui ne pourrait être inversé par une politique de contrôle drastique des frontières maritimes comme terrestres, d'immigration zéro et de rémigration.
    Cela, nous l'avons dit, exigerait une volonté sans faille et une détermination radicale.
    Cette volonté et cette détermination que possède le Parti de la France.

    par Jean-François  Touzé 
    membre du bureau politique du PdF
  • Faut-il copier ou imiter ?

    Pour beaucoup de nos compatriotes, c'est oui.

    Pour moi, 2 fois OUI.

    Australie: Morrison, l'homme de la tolérance zéro vis-à-vis des clandestins

     

    Rédigé le Vendredi 24 Août 2018 à 10:21 | 0 commentaire(s)

     

    Scott Morrison, choisi vendredi pour former un nouveau gouvernement en Australie, est un conservateur qui s'est illustré dans la mise en oeuvre d'une politique de tolérance zéro contre les boat people tentant de gagner l'île-continent.


    Ministre des Finances depuis septembre 2015, ce chrétien évangélique de 50 ans a été désigné comme successeur du Premier ministre Malcolm Turnbull, dont il est l'allié, à la faveur du "putsch" fomenté au sein du Parti libéral (centre-droit) par le désormais ancien ministre de l'Intérieur, le très droitier Peter Dutton.

    M. Morrison se décrit comme un homme de foi et de famille qui tient ses engagements. Il en veut pour preuve son action aussi énergique que controversée à partir de septembre 2013 au gouvernement, quand l'Australie avait verrouillé ses frontières à double tour.

    Alors que l'île-continent faisait face à une recrudescence d'arrivée de clandestins sur ses côtes, et de naufrages dramatiques, le chef de l'opposition libérale Tony Abbott avait remporté contre les travaillistes les élections en promettant d'"arrêter les bateaux".

    M. Morrison avait été propulsé à la tête du ministère de l'Immigration qui était aussi devenu celui "de la Protection des frontières".

    Et c'est sous sa direction qu'avait été lancée l'"Opération Frontières souveraines" pour décourager les réfugiés d'arriver par la mer.

    Les bateaux de migrants étaient systématiquement refoulés par les bâtiments de la marine australienne et le plus grand secret régnait sur ces opérations en haute mer.

    - Contre le mariage gay -

    Ceux qui parvenaient quand même à passer à travers les mailles du filet étaient exilés dans des camps de rétention reculés du Pacifique, à Nauru et en Papouasie-Nouvelle-Guinée. Même si leur demande d'asile était jugée fondée, ils n'étaient pas acceptés sur le sol australien.

    Cette politique a été couronnée de succès, en ce que le nombre des arrivées s'est réduit à peau de chagrin, mais elle a divisé l'opinion publique et terni la réputation internationale du pays et s'est attirée les foudres des organisations de défense des droits de l'Homme.

    M. Morrison s'était déjà singularisé sur le sujet en 2010 après un naufrage de réfugiés au large de l'Île Christmas qui avait fait 48 morts. Il avait déploré le fait que le gouvernement travailliste paie à certaines familles de victimes le voyage jusqu'à Sydney pour les funérailles, des remarques qui lui avaient valu de vives critiques.

    Né en mai 1968 à Bronte, banlieue balnéaire de Sydney, M. Morrison est le cadet de deux enfants dont les parents animaient des programmes religieux pour les jeunes.

    M. Morrisson s'est toujours décrit lui-même comme un membre actif de son église. C'est d'ailleurs par la religion qu'il a rencontré Jenny, avec laquelle il s'est marié à 21 ans. Le couple a deux enfants.

    Après avoir longtemps travaillé dans le secteur du tourisme en Australie et en Nouvelle-Zélande, il est élu à la chambre des Représentants en 2007 dans une circonscription de Sydney.

    Il avait attribué cette victoire "aux deux sources d'influence les plus importantes de ma vie: ma famille et ma foi".

    Après son année au ministère de l'Immigration, il est nommé en décembre 2014 aux Affaires sociales puis au Trésor après le "putsch" de Malcolm Turnbull en septembre 2015 contre Tony Abbott.

    Il a dirigé l'économie à un moment où le gouvernement a bataillé pour renouer avec l'excédent budgétaire, tout en réduisant notamment l'imposition des petites entreprises.

    Il passe comme étant beaucoup moins progressiste que M. Turnbull sur les questions sociales. Il s'est notamment opposé à la légalisation du mariage gay l'année dernière.

    Mais il a aussi tenté d'adoucir son image en participant à la télévision à une émission de cuisine impliquant des hommes politiques.

     

    afp

  • RN finances, ça se passe de commentaires !

    Dépenses élevées, charges de personnel énormes… Le RN est-il bien géré ?


    Rédigé le Lundi 6 Août 2018 à 13:48 | 0 commentaire(s)

    Nous reprenons ci-dessous un article concernant la gestion financière du parti politique Rassemblement national publié sur le site de Polémia. Par André Murawski, conseiller régional ex-Rassemblement national des Hauts-de-France.


    Dépenses élevées, charges de personnel énormes… Le RN est-il bien géré ?

    La décision de justice visant à bloquer 2 millions d’euros de financement public destinés au Rassemblement national (ex-Front national) a provoqué les réactions indignées de quelques cadres dirigeants de ce parti où l’on est allé jusqu’à parler « d’assassinat politique ». Pourtant, cette décision est parfaitement légale étant même, comme l’écrivait l’universitaire Didier Rebut dans le Figaro, « un des outils de plus en plus utilisés par les juges d’instruction dans les domaines économique et financier ».

    Une procédure légale donc, mais exceptionnelle dans la mesure où c’est la première fois qu’elle est appliquée à un parti politique, en l’occurrence dans le cadre de l’affaire des assistants parlementaires présumés fictifs de plusieurs eurodéputés FN. Une affaire dans laquelle pas moins de 14 mises en examen ont été prononcées. Mais au-delà de l’instruction judiciaire en cours, c’est aussi la question de la situation financière de l’ex-FN qui se pose en termes simples : le parti est-il bien géré ?

    Les comptes des partis politiques sont publiés chaque année au Journal officiel de la République française. Si les chiffres 2017 ne sont pas encore accessibles, il est intéressant de consulter ceux qui sont disponibles pour la période de 2011 à 2016, c’est-à-dire depuis l’arrivée de Madame Le Pen à la tête de la formation auparavant dirigée par son père pendant 39 ans, afin de déterminer si oui ou non Madame Le Pen s’est inspirée des principes de bonne gestion dont elle dénonce régulièrement la mauvaise application par ses adversaires.

    L’examen des comptes de résultat permet de constater l’évolution dans le temps des principaux postes de produits et de les comparer à l’évolution des principaux postes de charges. Le passif du bilan permet de mesurer l’évolution des emprunts souscrits et leur poids relatif comparé aux ressources disponibles.

    Des ressources en augmentation régulière

    Les ressources des partis politiques sont diverses. Les cotisations des adhérents constituent un marqueur intéressant dans la mesure où elles indiquent l’attractivité du parti et le succès ou l’insuccès de son image aux yeux des Français. On peut y ajouter les dons des personnes physiques qui sont un autre indicateur de confiance. Les reversements des élus et le financement public constituent en principe des ressources plus stables pendant une période de plusieurs années correspondant à la durée entre diverses échéances électorales.

    Entre 2011 et 2016, les cotisations des adhérents ont connu une croissance importante, passant de 1 406 035 euros en 2011 à 2 406 679 euros en 2016, soit une progression de 71,2 %. Cependant, l’existence de « paliers » en 2014, puis en 2016 ne permet pas de parler d’une croissance régulière.
     

    Cotisations des adhérents
    Année Montant Variation
    2011 1 406 035 €  
    2012 1 576 027 € 10,79%
    2013 2 061 394 € 23,55%
    2014 2 098 347 € 1,76%
    2015 2 370 040 € 11,46%
    2016 2 406 679 € 1,52%
    2011-2016 71,17%

    Les dons des personnes physiques sont également intéressants dans la mesure où leur variation indique une volonté forte de soutenir le parti politique. Là encore, l’écart entre 2016 et 2011 est fort (+ 226,3 %), traduisant une confiance accrue au cours de la période de 6 ans. Cependant, l’examen détaillé fait ressortir un effet très conjoncturel marqué par les succès relatifs aux élections cantonales et régionales de 2015 et à l’approche des élections présidentielles de 2017.
     

    Dons de personnes physiques
    Année Montant Variation
    2011 262 666 €  
    2012 260 796 € -0,72%
    2013 258 250 € -0,99%
    2014 305 773 € 15,54%
    2015 492 047 € 37,86%
    2016 857 038 € 42,59%
    2011-2016 226,28%

    Il ressort de ces indicateurs que Madame Le Pen a bénéficié d’un capital de sympathie important dans l’opinion entre 2011 et 2016, même si l’évolution par paliers des cotisations des adhérents révèle les faiblesses d’une progression irrégulière.

    Les contributions des élus constituent une autre ressource non négligeable des partis politiques, même si elles dépendent évidemment du résultat des élections. Concernant le Front national, elles ont plus que doublé en 2016 par rapport à leur niveau de 2011 (+ 120,1 %), ce qui s’explique par les progressions aux élections départementales et régionales de 2015. Toutefois, l’évolution entre 2011 et 2015, en constante diminution, est caractéristique d’un problème interne : certains élus ne reversent plus soit qu’ils ont quitté le parti, soit qu’ils sont en désaccord ou en rupture avec lui. La capacité du parti à préserver sa cohésion interne et à entretenir la motivation des élus apparaît ici clairement insuffisante : entre démissions, mises à l’écart et exclusions, c’est la compétence à diriger un parti politique qui trouve ici sa traduction comptable.
     

    Contributions des élus
    Année Montant Variation
    2011 577 760 €  
    2012 535 018 € -7,99%
    2013 499 475 € -7,12%
    2014 465 803 € -7,23%
    2015 451 089 € -3,26%
    2016 1 271 950 € 64,54%
    2011-2016 120,15%

    Le financement public dépend du nombre de suffrages obtenus par le parti politique à certaines élections. A ce titre, le Front national a bénéficié d’un financement en nette augmentation après les échéances électorales de 2012, le montant du financement public étant passé de 1 800 000 euros par an à 5 millions d’euros par an. Une augmentation de presque de 176,3 % en 2016 par rapport à 2011. Cette croissance a été bien plus forte que celle des cotisations des adhérents, et a fait du financement public la première ressource du Front national, représentant près de la moitié du total des ressources.
     

    Financement public
    Année Montant Variation
    2011 1 835 199 €  
    2012 1 744 403 € -5,20%
    2013 5 543 646 € 68,53%
    2014 4 997 614 € -10,93%
    2015 5 071 695 € 1,46%
    2016 5 070 355 € -0,03%
    2011-2016 176,28%

    Le total des ressources du Front national, malgré une diminution sensible entre 2011 et 2012 expliquée par des produits exceptionnels de plus de 5 500 000 euros en 2011, a connu une croissance régulière de 2012 à 2016 qui aurait dû permettre à ce parti politique d’envisager l’avenir avec confiance. Toutefois, l’examen des charges montre que les dépenses ont toujours été plus importantes que les recettes, ce qui a conduit le parti à équilibrer ses comptes en recourant toujours plus à l’emprunt.
     

    Total des produits
    Année Montant Variation
    2011 11 865 179 €  
    2012 6 220 357 € -90,75%
    2013 9 419 760 € 33,96%
    2014 10 247 760 € 8,08%
    2015 11 062 955 € 7,37%
    2016 12 449 064 € 11,13%
    2011-2016 4,92%

    Mais des dépenses toujours plus élevées

    Les dépenses des partis politiques sont réparties sur plusieurs lignes budgétaires. Les principales sont les dépenses de propagande et de communication et les charges de personnel, qui permettent au parti de fonctionner. Au Front national, on observe aussi deux lignes particulièrement significatives : les charges financières qui sont liées à l’endettement et les « autres charges externes » où l’on trouve notamment les loyers et les frais de voyage et de déplacement.

    Les dépenses de propagande et de communication du Front national en 2016 ont été plus élevées de 93 % par rapport à ce qu’elles étaient en 2011. L’évolution a été supérieure à celle des recettes de cotisations des adhérents (+ 71,1 %), mais inférieure aux dons des personnes physiques (+ 226,3 %), aux contributions des élus (+ 120,1 %) et surtout au financement public (+ 176,3 %). Si l’on note une forte croissance de ce poste de dépenses entre 2011 et 2012, que la préparation des élections présidentielles et législatives de 2012 peut expliquer, puis une progression régulière en 2013 et 2014, on constate un essoufflement en 2015 et un effondrement en 2016. Cette tendance observée à propos d’une activité essentielle pour un parti politique peut laisser sous entendre des difficultés financières un an avant les élections présidentielles de 2017.
     

    Propagande et communication
    Année Montant Variation
    2011 658 450 €  
    2012 1 163 936 € 43,43%
    2013 1 508 994 € 22,87%
    2014 2 039 747 € 26,02%
    2015 2 358 785 € 13,53%
    2016 1 270 658 € -85,63%
    2011-2016 92,98%

    Les charges de personnel du Front national entre 2011 et 2016 ont connu une croissance considérable, la dépense de 2016 ayant progressé de près de 439,3 % par rapport à ce qu’elle était en 2011. Le rapport entre les charges de personnel et les recettes du financement public est un indicateur parlant : les charges de personnel représentaient 37,5 % du financement public en 2011 ; elles en représentaient 73,2 % en 2016. Cette évolution est très préoccupante dans la mesure où elle limite les marges de manœuvre du parti, mais aussi si l’on se remémore les critiques formées sur le niveau de rémunération pour le moins particulièrement confortable de certains cadres.
     

    Charges de personnel
    Année Montant Variation
    2011 687 973 €  
    2012 1 921 200 € 64,19%
    2013 2 913 678 € 34,06%
    2014 3 129 624 € 6,90%
    2015 3 288 214 € 4,82%
    2016 3 710 033 € 11,37%
    2011-2016 439,27%

    Les charges financières constituent un autre poste de dépense significatif. Leur montant en 2016 est inférieur de 44,9 % à ce qu’il était en 2011. Toutefois, après une forte diminution en 2012, on observe une augmentation continue à partir de 2013 et jusqu’en 2016.
     

    Charges financières
    Année Montant Variation
    2011 1 212 354 €  
    2012 140 710 € -761,60%
    2013 155 429 € 9,47%
    2014 241 860 € 35,74%
    2015 627 550 € 61,46%
    2016 667 985 € 6,05%
    2011-2016 -44,90%

    Entre 2011 et 2016, le poste des « autres charges externes » a connu une évolution tout à fait significative, passant de 2 213 699 euros en 2011 à 5 050 935 euros en 2016, soit une variation de + 128,2 %. Ce poste porte sur les loyers, mais aussi sur les voyages et déplacements. En 2016, son montant était pratiquement identique à celui des recettes de financement public.
     

    Autres charges externes
    Année Montant Variation
    2011 2 213 699 €  
    2012 2 947 185 € 24,89%
    2013 3 775 866 € 21,95%
    2014 4 677 946 € 19,28%
    2015 5 112 108 € 8,49%
    2016 5 050 935 € -1,21%
    2011-2016 128,17%

    Pour des résultats déficitaires et un endettement accru

    Les comptes du Front national sous la présidence de Marine Le Pen présentent une fragilité nettement perceptible à travers le résultat comptable, mais aussi à travers le montant des emprunts dont le remboursement limitera inévitablement les marges de manœuvre de ce parti politique, notamment après les échecs des présidentielles et des législatives de 2017 qui ont mis en évidence les faiblesses de la présidente du Front national à travers sa méconnaissance des dossiers et un comportement inapproprié, et qui ont durablement écorné son image.

    Le total des produits du Front national s’élevait à 11 865 179euros en 2011 (avec cependant plus de 5 500 000 euros de produits exceptionnels) et à 12 449 064 euros en 2016, ce qui représente une différence de près de 5 %. Du côté des charges, on comptait des dépenses à hauteur de 5 908 569 euros en 2011 et à hauteur de 13 771 462 euros en 2016. Ici, la différence est de 133 %. Même si l’on prend en compte l’évolution de 2012 à 2016 pour ne pas tenir compte des produits exceptionnels particulièrement élevés en 2011, on constate que les recettes augmentent de 52 % tandis que les dépenses augmentent de 81,3 %. Le Front national a donc dépensé plus qu’il ne gagnait, ce qui va à l’encontre des principes de bonne gestion professés par ce parti politique, et ce qui s’est traduit par des résultats toujours déficitaires entre 2012 et 2016.
     

    Année Total des charges Total des produits Excédent Perte
    2011 5 908 569 € 11 865 179 5 956 610 €  
    2012 8 964 433 € 6 220 357 €   -2 744 076 €
    2013 10 070 886 9 419 760 €   -651 126 €
    2014 11 382 400 10 247 760   -1 134 640 €
    2015 13 968 408 11 062 955   -2 905 453 €
    2016 13 771 462 12 449 064   -1 322 398 €

    L’équilibre des comptes exigeant que les pertes soient compensées, le Front national a recouru à l’emprunt au cours de la période 2011-2016. Là encore, l’évolution du total des emprunts figurant au passif du bilan est significative.

    Le total des emprunts en 2011 s’élevait à 2 741 436 euros. En 2016, il avait atteint 12 092 939 euros, soit une différence de + 341 %. Même si les recettes ont augmenté au cours de la même période, il est clair que l’endettement a augmenté de façon beaucoup plus rapide, ce qui ne manque pas de laiss
    er songeur.
     

    Année Total des emprunts Variation
    2011 2 741 436 €  
    2012 4 000 799 € 45,94%
    2013 5 066 006 € 26,62%
    2014 10 905 748 € 115,27%
    2015 12 736 723 € 16,79%
    2016 12 092 939 € -5,05%
    Variation 2011 – 2016 341%

    Depuis sa création en 1972, le Front national a constamment tenu un discours selon lequel les deniers publics devaient être gérés « en bon père de famille ». Traditionnellement, un bon père de famille ne dépense pas plus qu’il ne gagne, et ne recourt à l’emprunt que de façon raisonnable.

    L’examen des comptes du Front national entre 2011 et 2016, qui coïncide avec la présidence de Marine Le Pen, montre que si les ressources de ce parti ont considérablement augmenté pendant cette période, les charges ont augmenté plus rapidement ce qui a conduit à des résultats constamment déficitaires entre 2012 et 2016, et à un endettement sans cesse accru.

    Cette gestion a placé le Front national dans une situation financière délicate dans la mesure où ce parti est désormais étroitement dépendant non seulement du financement public, mais aussi des cotisations de ses adhérents et des contributions de ses élus dont on constate qu’elles vont en s’amenuisant au fur et à mesure du déroulement des mandats électifs et des dissensions internes dont les médias montrent la persistance et la récurrence.

    Dans ce contexte, peut-on soutenir que le Front national de Marine Le Pen est bien géré ? Il est permis d’en douter comme il est permis de craindre ce qui surviendrait si ce parti accédait un jour aux responsabilités du pouvoir en France.

    André Murawski
    26/07/2018

    Source : Correspondance Polémia

    Crédit photo : Pixabay (CC0/Public Domain Pictures)
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  • Benalla-Macron = Macron-Benalla : même combat !

    Affaire Benalla ? Non ! Affaire Macron et affaire « Ve République »

     

    Rédigé le Mardi 31 Juillet 2018 à 18:07 | 0 commentaire(s)

     

    Contrairement à ce qu’il est de bon ton d'affirmer, l'affaire Macron/Benalla sur les péripéties quotidiennes de laquelle il n'est pas utile de revenir ici, ne constitue pas, factuellement et par elle-même, une affaire de première importance. Elle est, en revanche et à coup sûr, sinon une affaire d'État (pour cela il faudrait qu'il y en ait un), une affaire de régime. Une de plus.


    Au-delà de l’étrange personnalité du principal protagoniste, de sa proximité avec Emmanuel Macron et de la protection qui en découlait, cette affaire resterait subalterne si elle ne confirmait pas ce que nous savions de la Cinquième République, ce que nous pressentions de celui qui en est aujourd'hui le Président, et ce que nous ne cessons d'affirmer de la piteuse condition de la classe politique française.

    Conçue dans l'imposture et le mensonge, entrée en pratique dans la trahison et l'illusion, pérennisée dans l'aveuglement, la lâcheté, la procrastination et les scandales, cette Cinquième République a, depuis soixante ans, opéré une triple confiscation. Confiscation de la souveraineté populaire par une caste tentaculaire. Confiscation de L’État par une oligarchie consanguine. Confiscation de nos libertés par des institutions bancales mais totalitaires.

    Élu par défaut sur la base de promesses de renouveau n'engageant que ceux qui voulaient les entendre, Emmanuel Macron qui prétendait à la fois incarner l’autorité gaullienne de la fonction et la proximité « moderne » avec les Français ne pouvait que s’épuiser rapidement dans cette recherche de l'impossible, à la manière d’un caméléon parcourant en tous sens un tissu écossais. Instabilité personnelle et fragilité sont depuis le début de ce quinquennat la marque d'une présidence hasardeuse, brouillonne et incertaine. Une grille de lecture qui met en lumière la faiblesse clinique et la puérilité politique d’un Président immature et paranoïaque que le besoin d’être rassuré conduit à jeter les bases d'une police parallèle et à resserrer toujours au plus près son réseau de fidèles dont faisait partie Alexandre Benalla, Rastignacaille ébroïcienne issue de la « diversité », éblouie par les lumières du Palais et enivrée de sa trop rapide ascension assurée par la grâce du Prince, apparemment friand de petites frappes.

    Spectacle pathétique, enfin, que celui donné une fois de plus par la classe politique, majorité comme opposition, dans l’agitation et l’emballement de la chaleur estivale. De commission d’enquête pittoresque à l’Assemblée nationale, en dépôts de deux motions de censure folkloriques, en passant par la respectueuse frilosité des questions posées à la hiérarchie élyséenne et ministérielle contrairement à celles, bien plus inquisitrices, posées aux responsables policiers, la nomenklatura, par sa prudence et sa servilité d'une part, son agitation artificielle et stérile de l'autre, consolide ainsi l’opinion de nos compatriotes sur sa déconnexion d’avec la réalité des factions partisanes.

    Il faut en finir avec cette Ve République, ses pratiques, ses méthodes, ses mystifications. Et d'abord en refusant de composer avec elle.

    Pour le Parti de la France dont l'honneur est la constance de son combat, la fierté, son refus du Système et la force, sa cohérence politique, seule la fin de ce régime dépravé permettra à la France de se relever, dans ses forces reconstituées, ses libertés retrouvées et son identité reconquise.

    Objectif : l’État national.

    Jean-François Touzé - Membre du Bureau politique du Parti de la France

  • Au titre de la fidélité à la nation

    Maubeuge

    Michel Prissette remet la légion d’honneur à Claude Deresnes

    Michel Prissette remet la légion d'honneur à Claude Deresnes.
    Michel Prissette remet la légion d'honneur à Claude Deresnes.

    Claude Deresnes est né à Hautmont le 5 janvier 1961. Il est appelé sous les drapeaux. Affecté en Algérie dans la 9e  DI-PMAH avions, hélicoptères. Il sera grièvement blessé par balles le 20 avril 1962 à Orléanville après les accords d’Évian. Il recevra la croix de la valeur militaire, le diplôme de la médaille commémorative des opérations de sécurité et maintien de l’ordre, la croix du combattant, la croix du combattant de l’Europe, le mérite interallié, l’étoile civique... Il a reçu la légion d’honneur des mains de Michel Prissette, président de la légion d’honneur.

  • BENALLA ! On en apprend tous les jours.

    Benalla est l’illustration ahurissante d’une constance chez Macron : son goût prononcé pour la racaille

     

    Rédigé le Mercredi 25 Juillet 2018 à 08:43 | 0 commentaire(s)

     

    Comme le montre Minutes : "[...] Il suffit de tirer le fil Benalla pour voir apparaître une kyrielle de profils bien étranges pour un entourage de président. A commencer par les duettistes Makao et Jawad. Makao, de son vrai nom Alain-Gloirdy Bakwa Malary, le garde du corps fétiche de Macron durant la campagne présidentielle de 2017, un géant congolais devenu depuis vedette d’une émission de télé-réalité et de boîtes de nuit ; Jawad Bendaoud, le logeur des terroristes du 13 novembre 2015 et trafiquant de drogue, parce qu’il faut bien vivre. Une photo de Makao et Jawad, copains comme cochons, a défrayé la chronique voici seulement quelques semaines : ils jouaient ensemble à un jeu vidéo... A peu près au même moment, Brigitte Macron se prêtait tout sourire à des séances de pose avec Makao dans les jardins de l’Elysée.


    Quel rapport avec Benalla ? Dans un entretien publié en mars dernier par « La Nouvelle République », le quotidien régional du Centre-ouest, Makao expliquait comment il était devenu le garde du corps du candidat Macron (mais il y en avait combien ?) : « J’ai fait les concerts Booba et la tournée de French Montana [Ndlr : deux rappeurs français]. Comme j’étais trop grand, ce dernier a dû louer une grosse voiture pour que je puisse suivre la tournée. » Et donc ? « C’est après qu’Alexandre Benalla m’a contacté. » Okay okay...

    Mais ce n’est pas tout. Durant deux ans, et cela compte dans la vie d’un homme qui n’en a que 26, Benalla a entretenu une relation étroite avec Karim Achoui. Ce nom ne dit rien au grand public. Il est, en revanche, connu dans le Tout-Paris de la police et du grand banditisme. A partir de 1999, Me Achoui a défendu les plus gros parrains du milieu français – ou pas. Poursuivi à de nombreuses reprises, il a toujours été relaxé jusqu’à ce jour de 2005 où il a été mis en examen pour complicité d’évasion du braqueur Antonio Ferrara. Après trois ans de détention, Achoui sera finalement acquitté, libéré et indemnisé d’un million d’euros par l’Etat. Pour autant, il est interdit d’exercer le métier d’avocat en France depuis 2011 et s’en allé exercer en Algérie... et au Maroc.

    En septembre 2013, Achoui a fondé la Ligue de défense judiciaire des musulmans. Une association à l’existence éphémère et dont le but est moins la défense des musulmans vivant en France que la recherche d’affaires fructueuses pour un Achoui qui, à cette date, espérait encore faire annuler son interdiction d’exercer. C’est à cette époque que sa route croise celle de Benalla. Que fait Benalla dans cette Ligue ? On ne sait pas trop. Achoui affirme que le jeune Marocain ne lui a jamais servi de garde du corps. Alors quoi ? Militant dans une association qui ne milite guère ? En service commandé pour le Parti socialiste ? En quête de lumière ? A en croire Achoui, Benalla « était très sensible à la cause musulmane ». Apparemment pas au point de ne pas avoir francisé son prénom – et, tant qu’on y est, « italianisé » son patronyme ? Même le préfet de police de Paris avoue ne pas savoir quelle est la véritable identité d’« Alexandre Benalla »... [...]

    Revenons-en à Benalla. Chargé de diriger la sécurité du président en juin 2017, il crée alors une équipe parallèle en puisant parmi les agents du Service de la Protection (SDLP), issu de fraîche date (2013) du Service de protection des hautes personnalités (SPHP). Et qui choisit-il ? Des officiers de police qui, selon notre confrère Aziz Zemouri, du « Point », escortaient Hacène Chalghoumi, imam de Drancy, cible des islamistes pour ses positions « républicaines » et « sionistes ». Pourquoi eux ? En quoi seraient-ils plus qualifiés que leurs collègues ? Qu’est-ce qui peut les en distinguer ? Il est impossible de ne pas songer que, pour accompagner au jour le jour et partout un imam, mieux vaut des hommes de sa confession. Alors ? Si Benalla ne les connaissait pas auparavant, sur quels critères les a-t-il embauchés ? Et s’il les connaissait, depuis quand et d’où ?

    Il n’y a pas d’affaire Benalla. Benalla n’existe que par Macron. Il n’y a donc qu’une affaire Macron. Benalla est juste un révélateur. Il permet d’entrevoir qui les Français se sont donné pour président. Un immature, narcissique, qui n’aime que si on l’aime, et qui, pour ce reflet, est prêt à tout. Un tout petit bourgeois passé directement de l’enfance au Diable au corps, qui n’a connu que les bancs des écoles et les immeubles de l’upper-class avant de devenir ministre puis, deux ans plus tard, président. Un homme qui n’est pas fait, et donc encore moins fini, taillé à la mesure de la matrone stérile qu’est devenue notre république."

    Michel Janva
  • BENALLA. Suite et fin !

    Scandale d’État : De quoi Benalla est-il le nom ?

     

    Rédigé le Lundi 23 Juillet 2018 à 08:43 | 0 commentaire(s)

     

    Alexandre Benalla est une racaille. Une racaille comme il y en a tant dans les milieux de la sécurité au grand dam des vrais professionnels. Une racaille entrée dans la lumière du Président de la République sans, pour autant, quitter l'ombre des basses besognes de la mafia institutionnelle.


    Scandale d’État :  De quoi Benalla est-il le nom ?
    En soixante ans d'existence la Ve République nous a habitués à ces « chargés de mission » qui, par la grâce du SAC gaulliste, des réseaux giscardiens, des cellules mitterrandiennes ou des cabinets noirs chiraco-sarkozistes, bénéficiaient, pour les uns de cartes barrées de tricolore, pour les autres de coupe-file officiels, pour tous de l'impunité d’État.
    Benalla n'est même pas une barbouze comme on a pu le lire ici ou là. Tout juste un ex-gros bras socialo mué en porte-flingue (à 10 000 euros par mois, appartement de fonction, voiture à deux tons et gyrophare, permis de port d'arme, badge d'accès à l'hémicycle de l'Assemblée nationale, voie entrouverte vers la Préfectorale) du roitelet de régime bananier qui, depuis un an, s'est installé rue du Faubourg Saint Honoré.
    Savoir, dans ces conditions ce que faisaient Benalla et son comparse en coups tordus Vincent Crasse le 1er mai place de la Contrescarpe dans le cinquième arrondissement de Paris, et qui leur a fourni le brassard « police » qu'ils arboraient fièrement ce jour-là en tabassant un manifestant gauchiste – sur les petits bobos duquel il va de soi que nous ne verserons pas de larmes –, importe finalement assez peu. Nous le devinons aisément. Tout comme reste relativement indifférent l'éclairage qui sera donné (ou pas) par la Commission des lois transformée avec une étonnante rapidité en commission d'enquête. Nous en pressentons les conclusions.
    Des sanctions seront prononcées par la Justice. Des têtes tomberont au sein de l’Élysée et de la haute administration policière. Des démissions « spontanées », peut être même au niveau ministériel seront présentées et acceptées. Des lampistes paieront. Des fusibles sauteront. Nos compatriotes, écœurés, approuveront tandis que le pouvoir et celui qui l'incarne au plus haut niveau trouveront les boucs émissaires nécessaires à leur survie en laissant dans l'ombre ce qui constitue l'essentiel de l'affaire : les étranges protections jupitériennes dont bénéficiait ce très curieux chargé de mission à la si étonnante proximité avec Emmanuel Macron qu'il tutoyait…
    Et puis ?
    Nous sommes, à l’évidence, en présence d'une affaire d’État qui, dans tout autre pays occidental, causerait la chute de l’Exécutif. Mais, de ces scandales, la République a une si grande habitude…
    La vraie question est de savoir si le peuple de France veut reconduire et reconduire à l'infini ce régime de confiscation totalitaire de ses droits, de ses libertés et de son identité. Un régime, par delà les alternances trompe l'œil et de pure forme, fait de mépris clanique, de prébendes, de détournement partisan des affaires de l'État et de coups bas
    La vraie question est de savoir combien de temps encore les Français, une nouvelle fois instruits de la réalité de la République pourrie des coquins et des copains, continueront-ils à s'en remettre à ce Système dépravé.
    La question est de savoir combien de temps encore ils accepteront, par habitude, résignation et résilience, les méthodes et les mœurs de cette classe politicienne moralement dissolue. La question est de savoir combien de temps encore ils reculeront le jour de l'échéance ultime qui permettra l’émergence d'un pouvoir de force et d'autorité ouvertement assumées en se tournant enfin vers la Droite nationale ?
     
    Jean-François Touzé
    Membre du Bureau politique du PdF
     
     


     

     

  • ZEMMOUR le PARIA, et pourtant !

    Eric Zemmour évincé de la matinale de RTL !

     

    Rédigé le Lundi 16 Juillet 2018 à 08:54 | 0 commentaire(s)

     

    Quand le politiquement correct l'emporte sur les ondes et la liberté d'expression recule encore un peu plus encore…


    Actualités

    Eric Zemmour évincé de la matinale de RTL !

     Télé-Loisirs.fr sam. 14 juil. 10:20 UTC+2 

    Condamné en 2011 pour provocation à la haine raciale, Eric Zemmour avait tenu des propos qui avaient choqué en 2016 : "Je prends l’Islam au sérieux, je ne le méprise pas ! Je ne pense pas que les djihadistes soient des abrutis ou des fous. […] Et je respecte des gens qui meurent pour ce en quoi ils croient", avait-il affirmé dans le journal le Causeur. La Société des journalistes de RTL (...) Cliquez ici pour voir la suite