vie politique du Hainaut - Page 6
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CONNEXION 14 mai 2018
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CONNEXION
CONNEXION, la LETTRE ARGUMENTAIRE du PDF rédigée par Jean-François TOUZE est disponible automatiquement à tous ceux qui le souhaitent.
Cette lettre hebdomadaire reprend les positions officielles du Parti de la FRANCE sur tous les grands sujets politiques.
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Je reste, bien sûr à la disposition de chacun pour toute précision complémentaire.
Dominique SLABOLEPSZY
Membre du BP du PDF
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L'Histoire, toute l'Histoire, rien que l'Histoire !
Le parjure, la trahison et la honte
« L’Histoire brûle les hommes. Après, il faut recueillir les cendres et raconter » (Commandant Hélie Denoix de Saint-Marc – « Les champs de braises »)
Du navire bondé de légionnaires et de parachutistes, en cet automne 1954, un haut-parleur annonça que l’on apercevait les côtes de France. Bientôt le port de Marseille fut en vue. Mal réveillés, ils montèrent tous sur le pont, serrés les uns contre les autres, appuyés à la rambarde. Le paradis dont ils avaient tellement rêvé dans les camps de prisonniers du Vietminh approchait lentement et déjà ils n’en voulaient plus. Ils rêvaient à un autre paradis perdu, l’Indochine… terre qui avait bu, plus qu’aucune autre leur sang. C’est à elle qu’ils pensaient tous à présent. Ils n’étaient pas les fils douloureux qui s’en revenaient chez eux pour faire panser leurs blessures, mais des étrangers. En eux remontaient des aigreurs.
Ils se souvenaient avec colère et amertume de ces tonnes de médicaments régulièrement adressées au Vietminh par l’Union des Femmes Françaises (1) et leur indignation ne résultait pas de ce que l’ennemi recevait de la Métropole des colis de pénicilline, mais du fait que chaque jour des soldats français mouraient faute d’en posséder…
En 1950, à Orange, un train de blessés d’Extrême-Orient avait été arrêté par des communistes qui avaient injurié et frappé ces hommes sur leurs civières. Un hôpital parisien qui demandait du sang pour les transfusions sanguines spécifiait que ce sang ne servirait pas pour les blessés d’Indochine. On avait refusé à Marseille, dont ils apercevaient maintenant Notre-Dame de la Garde, de débarquer les cercueils des morts…
On les avait abandonnés, comme ces mercenaires soudains inutiles que Carthage avait fait massacrer pour ne pas payer leur solde.
Des souvenirs terribles les hantaient… Ceux de ces partisans qu’ils avaient juré de ne jamais abandonner… Et parmi eux, la vision de ce vieux chef guerrier qui avait rallié sous le drapeau tricolore dix mille de ses hommes… alors que Diên-Biên-Phu était tombée et que tout allait mal dans le delta tonkinois. Il avait alors demandé aux officiers français s’il était vrai que la France allait livrer le Tonkin au Vietminh car rien n’avait été prévu pour replier ses partisans et leurs familles. Les divisions viets déferlaient sur le Delta. Le système de défense cédait peu à peu. Tout reposait sur ce vieux chef et sur ses hommes qui, connaissant admirablement le terrain, étaient à même de repousser mieux que quiconque les assauts des communistes.
Alors les officiers français lui mentirent et lui assurèrent que jamais ils ne le laisseraient tomber. Il eut foi en leur parole. Ses partisans restèrent à leur poste et continuèrent à se battre jusqu’au bout alors qu’ils étaient submergés. Pendant ce temps l’armée française prépara la défense de Hanoi et de Haiphong et elle n’évacua personne. Le vieux chef fut pris par les communistes. Ils le torturèrent jusqu’à ce qu’il agonisât puis ils lui tranchèrent la tête. Les survivants parmi ses partisans subirent le même sort…
Et, le visage tendu, les mâchoires crispées, ils se souvenaient aussi de tous ceux à qui ils avaient affirmé qu’ils resteraient toujours et en particulier les catholiques… Ils essayaient de gagner à la nage les bateaux en partance pour la France… Combien de ceux-là périrent noyés ?
Plus tard, ces visions de cauchemar hanteront de nouveau ces hommes-là… Eux, les anciens d’Indochine, eux, les officiers qui représentaient la France dans ce pays, l’Indochine, ils la burent jusqu’à la lie. Ils connurent la défaite et l’abandon. Leur parole qui était celle de la France, ils la renièrent mille fois dans cette guerre et ils en étaient couverts de honte. Les images qui s’entrechoquaient dans leur mémoire les harcelaient sans trêve… Des familles entières menacées d’extermination par le Vietminh s’accrochaient désespérément aux ridelles des camions et, à bout de force, tombaient en pleurant dans la poussière de la route. Sept ans plus tard, ces mêmes visions apocalyptiques ressurgiront quand l’armée française abandonnera dans la honte et le déshonneur les Musulmans fidèles à la France.
Le Commandant Hélie Denoix de Saint-Marc écrira dans « Les champs de braises » : « La plupart des Vietnamiens ne disent rien. Ils nous regardent simplement. Nous avons honte. Ils nous auraient tués à ce moment-là que nous aurions trouvé cela juste. L’un d’eux me dit : « Alors, mon capitaine, vous nous laissez tomber ? » Je ne réponds rien ! » … « Les centaines d’hommes et de femmes à qui, au nom de mon pays et en mon nom, j’avais demandé un engagement au péril de leur vie, nous les avons abandonnés en deux heures. Nous avons pris la fuite comme des malfrats. Ils ont été assassinés à cause de nous »…
Sur cette tragédie –conséquence à ses yeux d’un parjure- qui le traumatisera jusqu’à la fin de ses jours, il ajoutera : « La simple évocation de ces souvenirs suffit, cinquante ans après, à troubler mon regard et faire trembler ma main. »
Une fois la victoire acquise, les communistes lamineront le pays, faisant la chasse aux « collaborateurs », c'est-à-dire, ceux qui avaient pactisé avec les soldats français. Pour eux, point de pitié. Une mort atroce les attendait…
Alors, quand en Algérie, le même processus s’engagera ; quand les officiers français se retrouveront coincés dans le même système, quand les harkis risqueront de connaître le même sort que leurs partisans indochinois… ils s’engageront… mais cette fois, personnellement, parce que le pouvoir sera trop faible, trop lâche pour tenir ses engagements. Après, plus question de partir, ce sera terminé pour eux. Ce ne sera plus la parole de la France ; ce sera la leur ! Et pour beaucoup de soldats, ce sera un engagement solennel : « La mort plutôt que le déshonneur ».
… Et c’est cet engagement qui poussera à la révolte, en avril 1961, des soldats valeureux refusant le parjure, la trahison et la honte. Ils abandonneront ainsi leurs uniformes, sacrifieront leur carrière, seront séparés de leur famille parfois durant de longues années, connaîtront la prison, l’exil, le sarcasme de leurs vainqueurs et de ceux qui n’avaient pas osé, des poltrons, des lâches et des traîtres pour être restés fidèles à leur serment et à leur idéal.
Le temps passera, l’oubli viendra, les légendes fleuriront, mais jamais assez l’Histoire ne mesurera la grandeur de leur sacrifice.
José CASTANO
Courriel : joseph.castano0508@orange.fr
(1) – Issue des comités féminins de la Résistance, l'Union des Femmes Françaises est créée par un congrès le 21 décembre 1944. Elle se révèle rapidement liée au Parti communiste français, sous la houlette de Jeannette Vermeersch, qui en fait pendant les années de guerre froide, une organisation communiste de masse. Elle se retrouve notamment impliquée dans des actes de sabotages et de découragement à l'encontre des soldats français lors de la guerre d'Indochine.
L'Union des femmes françaises devient Femmes solidaires en 1998
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La reconquête continue.
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Argumentaire Droite Nationale
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Après REINFO, Argumentaire du PDF
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Ils attendent le "grand soir"
En attendant le grand soir
Rédigé le Lundi 16 Avril 2018 à 18:23 | 0 commentaire(s)LE REMPLACEMENT NATIONAL. Décidément, certains semblent vouloir rester fidèles à la formule « On ne change pas une équipe qui perd »... On aurait pu penser que la refondation du FN futur Rassemblement national s'accompagnât d'un retour aux fondamentaux du combat national.
Eh bien, il n'en est rien... Vous avez certainement vu passer un visuel du FNJ s'insurgeant à raison contre la fermeture de classes dans les zones rurales au profit des banlieues de l'immigration. Or, pour incarner une Française vivant dans ces zones rurales, le FN n'a trouvé rien de mieux que de présenter une... Africaine... A croire qu'effectivement pour la direction du parti de Marine Le Pen pense que la grand remplacement n'est qu'un fantasme... Ou a fait d'un célèbre dessin de Konk « Tout le monde est français » un slogan politique... La preuve surtout que la ligne prétendument Philippot n'est ni plus ni moins que la ligne MLP... Et que cette ligne néfaste perdure malgré le départ de l'ancien protégé de MLP,
Alors le FN peut bien prétendre vouloir lutter contre l’immigration, la submersion migratoire, les faits parlent d'eux-mêmes, le FN intègre parfaitement l'idée qu'être français ne signifie pas comme le disait De Gaulle, via Peyrefitte : « C’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu’elle a une vocation universelle. Mais à condition qu’ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. » Sidérant, pour des thuriféraires du « grand homme ».
Tout ceci montre surtout que le FN navigue à vue, sans colonne vertébrale. Pour en sortir, le seul avenir d'une vraie droite nationale, populaire et sociale, intransigeante sur le fond, mais faisant preuve parfois de souplesse c'est le Parti de la France.
Arnaud Malnuit
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Argumentaire Droite Nationale
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Il paraît que c'est vrai (le grand soir)
En attendant le grand soir
Rédigé le Lundi 9 Avril 2018 à 08:29 | 0 commentaire(s)POUR UN SYNDICALISME RÉELLEMENT NATIONAL.
Pour les amateurs de comptes ronds, surtout s’agissant des anniversaires de la droite nationale, on peut effectivement signaler qu’en 2018 on célèbre les 45 ans de la première participation du Front National à des élections (en l’espèce les élections législatives), les 40 ans de l’assassinat de François Duprat, les 30 ans du décès accidentel de Jean-Pierre Stirbois.
C’est-à-dire lors que la droite nationale se dotait de sa propre structure et qu’elle affirmait qu’elle était aussi la droite populaire et sociale.
Mais les souvenirs ne s’arrêtent pas là, en effet, à la lecture du numéro de Pour un ordre nouveau datant de décembre 1972 (et dont certains exemplaires ont été disponibles à nouveau la vente grâce à nos amis de Synthèse nationale), au-delà de l’annonce de la création du Front National est évoquée l’Union Générale des Travailleurs (UGT) qui se voulaient une réponse aux syndicats marxistes (la CGT étant sous le contrôle du PCF, FO abritait des trotskistes et la CFDT défendait l’autogestion version Yougoslavie titiste), s’inspirant des syndicats créés en Italie à l’instigation du Mouvement Social Italien. Cette UGT n’eut jamais de réelle existence et il fallut attendre les tentatives de création de syndicats par le FN au milieu des années 1990 pour voir la droite nationale retenter de créer un syndicalisme alternatif. Tentatives tuées dans l’oeuf grâce à des lois votées en faveur des bureaucraties syndicales, avec le concours conjoint de la droite et de la gauche.
Ces dernières années, le FN canal officiel a préféré défendre les centrales existantes et pire les soutenir, alors que ces dernières n’ont de cesse de proclamer qu’elles excluent leurs membres et responsables défendant des idées patriotiques…
N’oublions pas non plus que ces centrales syndicales vivent de ce modèle social antifrançais que j’ai évoqué dans une précédente chronique.
Sans parler de la CGT soutenant la régularisation des clandestins…
Alors oui, il importe de créer un vrai syndicalisme national dont le premier mot d’ordre serait la préférence nationale à l’embauche et pour les prestations sociales. Un syndicalisme qui ne s’opposerait aux petits patrons, aux dirigeants de PME, aux indépendants. Mais qui au contraire les soutiendrait contre les multinationales et nos gouvernants qui bradent notre pays… Un syndicalisme qui proposerait d’autres modes d’actions que la grève pour ne nous nuire à ces PME et aux salariés pleinement touchés par ces conflits sociaux.
Une fois de plus, l’avenir nous appartient.
Arnaud Malnuit -
Réinfo 9 avril 2018
REINFO : le journal hebdomadaire -
Le Parti de la France défend les français.
Le Parti de la France : aucun consensus avec les responsables de l’invasion
Rédigé le Lundi 2 Avril 2018 à 18:45 | 0 commentaire(s)Carl Lang prévient : « La République a rendu un hommage émouvant aux victimes françaises, civiles et militaires, de sa politique migratoire. Mais les mots n’effacent pas les morts et les discours ne feront pas oublier les responsabilités ».
Jean-François Touzé, du Bureau politique, déclare : « Ils sont responsables des centaines de morts massacrés au nom d’Allah sur notre terre chrétienne de France, comme ils le seront de ceux qui, immanquablement, tomberont dans les mois et les années à venir, sous les coups des fanatiques islamiques »
Notre combat politique est global, total et illimité jusqu’à ce que soit abattu ce Système mortifère. L’affirmation fait suite aux dernières exactions des guerriers de l’islam sur le sol de France :
– Attaques à Trèbes et Carcassonne : le fil de la journée http://www.sudouest.fr/2018/
03/23/aude-deux-hommes-font- feu-sur-des-crs-une-prise-d- otage-en-cours-4308050-7.php – Mireille Knoll : ce que l’on sait une semaine après le crime https://www.lci.fr/faits-
divers/meurtre-de-mireille- knoll-ce-que-l-on-sait-une- semaine-apres-le-crime- 2082839.html – Une voiture a foncé sur des chasseurs alpins du 7e BCA près d’une caserne à Varces-Allières-et-Risset http://www.bvoltaire.fr/
tentative-dattentat-a-varces- vouloir-cacher-lorigine-de- auteur-a-lopinion-publique/ Giscard, Mitterrand, Chirac, Sarkozy, Hollande, Macron… Ça suffit !
Jean-François Touzé, membre du Bureau politique du Parti de la France, n’y va pas par quatre chemins, il accuse :
Ils ont, par idéologie pour les uns, par cupidité pour certains, par facilité pour les autres, organisé l’arrivée massive de millions d’immigrés sur notre sol national.
Ils ont encouragé ou entretenu le sentiment pervers d’une culpabilité coloniale de la France.
Ils ont détruit, les uns après les autres, les murs porteurs et les colonnes de force de notre cohésion civique que sont la famille, l’école, l’armée et la mémoire nationale.
Ils ont, d’années en années, systématiquement affaibli nos outils de défense et de sécurité.
Ils ont abaissé, jusqu’à les rendre inopérants, les réflexes moraux et patriotiques sans lesquels les nations se décomposent.
Ils ont cassé l’État, érodé son autorité, renoncé à son action de volonté.
Ils ont abdiqué toute ambition française de peser sur les affaires du monde.
Ils se sont vautrés dans leurs jeux politiciens, claniques et partisans quand il leur aurait appartenu de se situer au dessus des calculs subalternes et des ambitions personnelles qui ne sont que passions enfantines.
Ils ont abandonné des pans entiers de notre territoire aux bandes organisées, à la racaille et à la propagande des imams.
Ils sont responsables des centaines de morts massacrés au nom d’Allah sur notre terre chrétienne de France, comme ils le seront de ceux qui, immanquablement, tomberont dans les mois et les années à venir, sous les coups des fanatiques islamiques.
Mais, ces quarante dernières années, à la tête de l’État pour le servir, défendre et promouvoir la Nation, faire respecter la République, ils ont failli. Ils sont responsables et coupables.
Notre combat politique est global, total et illimité jusqu’à ce que soit abattu ce Système mortifère.
Aucune alliance, aucune union, aucun « consensus républicain », aucun compromis avec ces gens là, aucun compromis avec les responsables du déclin et de l’invasion!
Jacques Chassaing
Carl Lang : « Je n’accepte pas l’idée du renoncement «
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A ceux qui liront, l'oubli n'existe pas !
« C’est l’alliance entre le trône et l’autel qui a permis la création de la France » (Carl Lang)
Rédigé le Lundi 2 Avril 2018 à 11:17 | 0 commentaire(s)Voici la vidéo de l’intervention de Carl Lang, président du Parti de la France, lors de la Fête du Pays Réel organisée par CIVITAS.
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Lu sur Synthèse Nationale
Le billet de Patrick Parment
Créer un parti politique de toute pièce, surtout quand on est devenu en l’espace d’une seule élection, le premier parti de France, pose plus de problèmes qu’il n’en résout. Venus d’horizons très différents, la République en marche (LREM) tient tout à la fois du melting pot politique et de l’auberge espagnole. Le patron furtif qu’est Christophe Castaner règne sur un mouvement dont il ne maîtrise pas l’encadrement pour la bonne raison qu’il n’est pas encadré. Ce qui revient à dire qu’il est difficile d’établir un semblant d’organigramme et que faute de connaître les cadres départementaux vraiment opérants, Castaner règne sur un monde d’incertitude.
En veut-on quelques exemples ? En Loire-Atlantique on a assisté à quatre changement de référents depuis l’élection présidentielle. On a constaté la démission de référents dans le Tarn, les Pays de Loire, la Sarthe et dans l’Yonnne où la députée Michèle Crouzet (ex-UDI) est en froid depuis des mois avec le référent départemental Patrice-José Tampied-Azurza. Dans le Maine-et-Loire, l’investiture de l’ex LR Emmanuel Camus pour les élections sénatoriales et le choix comme référent par la direction parisienne (contre les deux tiers des adhérents) de Benjamin Kirschner, transfuge des jeunes de l’UDI et proche du député LREM Matthieu Orphelin, illustrent le malaise des militants.
A Nice, Khaled Ben Abderrahmane, ex-PS, porte-parole d’En Marche! dans les Alpes-Maritimes, a signalé une subordination dela section locale à Christian Estrosi. Même doléances pour David Vidal-Ponsard, animateur du comité Pau-Béarn, qui, en claquant la porte avec 17 autres militants et en rejoignant Les Patriotes, a protesté contre la tutelle du MoDem dans son secteur.
Comment interpréter, par ailleurs, la présence de François Blouvac aux côtés de Christophe Castaner ? Spécialiste du socialisme municipal, ancien collaborateur de Bertrand Delanoë à Paris et de Jean-Marc Ayrault à Nantes, la présence de Blouvac ne peut s’expliquer que dans la perspective des tractations avec les élus socialistes pour les prochaines élections municipales. Notons au passage que Christophe Castaner espère atterrir à Marseille à la faveur de la condamnation à trois ans d’inéligibilité de Dominique Tian, premier adjoint de Jean-Claude Gaudin, donné jusque-là comme potentiel successeur.
Faute de pouvoir compter sur ses propres troupes, Christophe Castaner ne cesse de répéter qu’il faut travailler avec les président des régions de droite en vue des prochaines échéances. Et concernant les prochaines élections européennes, il espère constituer des listes élargies de Cohn-Bendit à Alain Juppé. Autrement dit, tout le spectre centriste puisque se sont déjà ralliés outre le Modem, la grande majorité des centristes, version UDI, et les dissidents des Républicains emmenés par Franck Riester.
Face à l’opposition de Gérard Larcher et des francs-maçons de la Fraternelle parlementaire quant à la révision constitutionnelle via le Congrès, Emmanuel Macron envisage sérieusement d’avoir recours au référendum. Cette solution serait une manière de conforter sa posture gaullienne et de contourner les oppositions. D’autant que le Président a une autre idée derrière la tête. La révision adoptée, il s’agirait de l’appliquer immédiatement à l’Assemblée avec des législatives, désormais partiellement à la proportionnelle, et pour un effectif moins nombreux de députés, ce qui passerait par une dissolution. Politiquement, succéderait à l’ancienne majorité absolue LREM une coalition reposant sur différents groupes à l’Assemblée. En 2022, toujours selon ces scénario, Macron délesté de législatives déjà passées demanderait aux Français un nouveau bail de cinq ans à l’Élysée.
Et voici comment court-circuiter la tambouille des partis politique. Le rêve de tout énarque ! Certes, ce n’est qu’un schéma théorique et l’on sait trop combien les prédictions en la matière sont hasardeuses. Les indicateurs sociaux ne sont pas au beau fixe, ça râle du haut en bas de l’échelle sociale, mais l’opposition de « droite » n’a pas dit son dernier mot. Si, à gauche, Mélenchon ne dépasse pas le stade de la figuration, que l’avenir du Front national est plus qu’incertain - mais pas mort -, en raison de la dévaluation de Marine Le Pen, Laurent Wauquiez a une carte à jouer mais son fusil n’est qu’à un coup. La politique en France, c’est quand même plus marrant que le Loto.
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On a rien à dire, ils sont ici chez eux !
Verdun (55) : ils s’introduisent dans un carmel pour convertir des religieuses à l’islam et perturbent les vêpres, ils sont relaxés
Rédigé le Jeudi 29 Mars 2018 à 09:07 | 0 commentaire(s)DEUX HOMMES, ÂGÉS DE 26 ANS ET 28 ANS, S’ÉTAIENT INTRODUITS DANS UN CARMEL EN NOVEMBRE POUR DEMANDER AUX SŒURS CATHOLIQUES DE SE CONVERTIR, SANS QUOI ELLES IRAIENT EN ENFER.
Le tribunal correctionnel de Verdun (Meuse) a relaxé mercredi deux hommes qui avaient exhorté les sœurs d’un carmel à se convertir à l’islam lors d’un office.
« Aucun lien ne peut être fait entre vos agissements et un acte terroriste. Les termes et expressions employés, s’ils ont pu perturber les religieuses, ne sont pas spécifiques à un discours radical, provocateur ou voulant faire peur à autrui », a exposé la présidente du tribunal.
La magistrate a relevé l’altération du discernement au moment des faits des prévenus, souffrant de troubles psychiatriques. Le procureur avait requis dix mois de prison avec sursis à l’encontre des deux hommes, âgés de 26 ans et 28 ans, pour « les violences psychologiques » infligées aux carmélites.
Le 10 novembre 2017, ils avaient sonné à la porte d’un carmel à Verdun pour « échanger sur la religion », ont-ils raconté. L’un deux avait expliqué à Sœur Marie-Josèphe que « la religion musulmane pouvait corriger ce que la religion chrétienne avait de faussé, selon lui », a-t-elle témoigné.
« Il m’a dit deux fois que si je ne changeais pas, j’irais en enfer […] sans agressivité, mais avec une insistance répétitive », a-t-elle poursuivi. La religieuse aux cheveux blancs, qui a salué avec un grand sourire les prévenus à l’ouverture de l’audience, a affirmé ne pas avoir été impressionnée. « Ma foi chrétienne me dit qu’on ne va pas en enfer comme ça ! », s’est-elle exclamée.
Les deux hommes avaient ensuite assisté aux vêpres dans la chapelle, déchaussés « par respect des lieux », ont-ils précisé. Ils avaient prié à voix haute, perturbant l’office.
À la fin de l’office, « je me suis approché de Sœur Marie-Thérèse et je lui ai susurré à l’oreille :’Si vous ne vous convertissez pas, vous irez en enfer’», a relaté le plus âgé.
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REINFO 26 mars 2018
REINFO : le journal hebdomadaire -
In Mémoriam
Ce dimanche 11 mars, la liquidation de près de 50 ans de la vie politique de la Droite Nationale est actée.
En dehors de quelques compagnons de route restés pour des raisons alimentaires, seuls 4 ou 5 historiques restent dans ce TITANIC qu'est maintenant le "Rassemblement National", qui se voudrait l'héritier le plus discret possible du FRONT NATIONAL.
Un seul militant représente le pays réel du NORD, le plus peuplé des départements français en la personne de Philippe EYMERY. Et quel militant, c'est celui qui avait mené le combat dans le NORD pour faire disparaître le FRONT NATIONAL le 5 décembre 1998.
Les candidats militants du NORD, une nouvelle fois sont jetés comme des malpropres, ce n'est pas la première fois depuis 2011.
La vérité consiste à redire que STEEVE BRIOIS, actuel secrétaire général était pour sa part à la manœuvre dans le Pas de Calais.
Ce que Bruno MEGRET n'a pas réussi, ses laudateurs de l'époque "DES COUCOUS" ont réalisé l'ANSCHLUSS parfait.
Les choses sont enfin claires, les opportunistes ont pris d'assaut la maison nationale et l'ont vidé de toute sa substance.
Les choses sont enfin claires, la liquidation du FRONT NATIONAL est actée, le Rassemblement National mis en place ne permettra pas d'oublier, de faire oublier les turpitudes des unes et des uns, au Parlement Européen et lors des campagnes électorales passées.
Les choses sont enfin claires, à la fin d'un cycle de près de 50 ans, la justice va pouvoir se prononcer malgré les jérémiades des mis en cause. Attention aux manœuvres dilatoires tendant à ralentir les procédures en cours.
Beaucoup d'accusations ont été portées, une mise en examen n'est pas une preuve de culpabilité.
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REINFO 12 mars 2018
REINFO : le journal hebdomadaireLe journal par chapitre -
Des amateurs ! Depuis qu'on vous le dit.
Le Front national ne pourra pas utiliser le nom "Rassemblement national"
Rédigé le Lundi 12 Mars 2018 à 07:44 | 0 commentaire(s)Inimaginable. Alors que le Front national et sa présidente Marine Le Pen évoquaient depuis des semaines le Congrès de Lille qui s'est tenu ces 10 et 11 mars, ainsi que le changement de nom du parti d'extrême droite, la nouvelle appellation qui a été choisie... n'est pas disponible.
En effet, immédiatement après la proposition de la candidate vaincue de la dernière présidentielle de rebaptiser le FN en "Rassemblement national", il est apparu que le nom avait déjà été déposé auprès de l'Institut national de la propriété intellectuelle. Et via un communiqué diffusé sur Twitter ce dimanche, le propriétaire du nom a expliqué qu'il ne comptait absolument pas le céder au Front national.
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LES LIQUIDATEURS !
1972/2018 : LES INSTANCES 2018 DU DEFUNT FRONT NATIONAL
Rédigé le Dimanche 11 Mars 2018 à 17:14 | 0 commentaire(s)
Refondation ou enterrement ? Le Front national a vécu… Sa Présidente a tiré l’échelle ce week-end sur la formation politique dirigée par son père de 1972 à 2011.
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Edito : Le grand soir !
En attendant le grand soir
Rédigé le Mercredi 7 Mars 2018 à 08:00 | 0 commentaire(s)En finir avec le modèle social (anti-)français.
Postiers, SNCF, hôpitaux, CAF, etc. tous les politiques, y compris la candidate des patriotes lors de la dernière élection présidentielle, vantent, défendent, même lorsqu’ils affirment le réformer, le fameux modèle social français, tellement fameux que le monde entier nous l’envierait. Sauf que ce modèle social est un poison, un boulet pour la France car contrairement à ce que les partisans de ce modèle affirment, il ne profite en rien aux Français…
Bien au contraire, il grève d’impôts commerçants, artisans, chefs d’entreprise, il gèle la rémunération des salariés, il affaiblit les retraites, il diminue l’épargne… En effet, ce modèle – établi pour mieux répartir les richesses, mis en place pour aider précaires et nécessiteux à ne pas tomber dans la misère, conçu pour financer les services publics d’un Etat omnipotent plus efficace que le marché pour favoriser la solidarité et l’équilibre entre les territoires – n’est désormais qu’un gouffre des maigres richesses des Français, qu’un créateur d’une dette abyssale qui financent, à fonds perdus, la subversion migratoire dans des pans entiers de notre pays, sans parler de l’achat de clientèle électorale…
En effet ce fameux modèle ne se résume plus qu’en la fameuse politique de Vile qui a déversé des millions et des millions d’euros dans les quartiers de l’immigration et ce pour rien, au détriment de cette France rurale de plus en plus en périphérique, qui vide les écoles rurales au bénéfice des immigrés et pour un résultat qui sera bien entendu nul…
Ce modèle social crée aussi des comportements d’assistés qui ne comprennent pas pourquoi ils n’auraient pas autant que les immigrés qui reçoivent sans rien faire, qui encourage la triche et le mensonge pour obtenir des prestations, qui met à mal la natalité française, per exemple, en considérant que les familles françaises qui ont les moyens doivent recevoir moins voire plus du tout d’allocations et ce aux bénéfices des familles immigrées ou d’origine immigrée.
Ce modèle est donc devenu parfaitement injuste et anti-français.
Pour autant, il ne faut pas supprimer toute forme de solidarité publique qui passerait par l’impôt, mais il s’agit de fermer les vannes de financement de la substitution de notre peuple, de mettre fin aux logiques clientélistes des élus pro-immigration – qu’ils soient de droite ou de gauche –, de ne plus ériger le poison de l’assistanat comme modèle de société, de permettre, par le principe de subsidiarité, aux familles d’assurer la protection de leurs membres.
Oui, si la droite nationale veut être populaire et sociale, elle doit dénoncer ce modèle social anti-français et mettre en place de nouvelles solidarités au profit de notre peuple.
Arnaud Malnuit