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vie politique du Hainaut - Page 5

  • Réinfo 18 juin, date historique s'il en est !

    Pour bien comprendre les arnaques des campagnes électorales et leur financement.

     
  • A mon ami Louis.

    Louis Noguès, maire PdF du Mans pendant quelques minutes !

    15 Juin 2018, 06:21am

    Publié par Thomas Joly

    Louis Noguès, Délégué départemental du Parti de la France pour la Sarthe et Conseiller municipal et communautaire du Mans, a présidé, en tant que doyen, la séance du 14 juin visant à élire un nouveau maire suite au décès de Jean-Claude Boulard dans l'exercice de son mandat.

    Dans son discours d'ouverture, Louis Noguès a rendu hommage à un adversaire politique respectable et toujours courtois mais a égratigné au passage l’inénarrable Marlène Schiappa.

    « L’élection du futur Maire de notre ville, et de son 1er adjoint, va bientôt s’ouvrir pour qu’un des nôtres soit le successeur de feu Jean-Claude BOULARD.

    Le bon usage est, comme vous venez de le faire, de rendre un juste hommage à celui qui vient de nous quitter et, bien qu’ayant des vues politiques différentes, d’exprimer ses mérites en-dehors de celles-ci, qui s’effacent donc.
     Ceci d’autant plus aisément que les mérites de Monsieur BOULARD étaient grands et partagés par le plus grand nombre des manceaux, puisque, réélu 3 fois il était donc Maire depuis 17 ans dans un contexte politique de plus en plus difficile par son instabilité.    

    Il était aussi Président de l’actuelle Métropole depuis 35 ans, sans doute un record de longévité difficile à égaler surtout quand on sait qu’à ses qualités relationnelles s’ajoutait son talent de gestionnaire.
    Chacun doit d’ailleurs se souvenir du plaisir justifié qu’il avait à nous rappeler chaque année qu’il nous présentait son x ème budget, un x évidemment considérable.
     
    Faut-il répéter les grandes réalisations du Tramway, du MMA qui redeviendra un emblème-phare de la ville, ou de cet ensemble immobilier où nous siégeons et de bien d’autres ? 
    Ou aussi toutes les interventions, visibles ou invisibles, qui ont été les siennes pour valoriser la Ville du MANS, témoins de l’ouvrage permanent du maître d’œuvre passionné qu’il était pour elle ?
    Il ne semble pas nécessaire, ici et maintenant, de les rappeler tant elles ont été bien exprimées depuis son départ car elles font l’unanimité.
     
    D’autant plus, qu’au-delà des faits et des chiffres, c’est l’ensemble des qualités personnelles de Jean-Claude BOULARD qui sont à retenir dans ses parcours de vie.
     
    Bien sûr, je ne rapporterai que quelques-unes d’entre elles, celles qui semblent les plus caractéristiques de sa personnalité et de son intelligence :
     
    - Enarque de formation, il n’était pas de ces promotions de ceux qui, hélas, s’imaginent tout savoir alors qu’ils « savent tout sur rien et rien sur tout ».Tout au contraire, on peut affirmer qu’il savait (presque) tout sur tout.
    Il possédait une culture classique complète et exceptionnelle parce qu’il l’avait faite sienne. Pensant par lui-même il ne lui était jamais nécessaire de citer un auteur pour étayer ou renforcer une argumentation.
    Une seule exception peut-être, et politique d’ailleurs, celle d’avoir cité une fois, le nom de Michel ROCARD, sans doute par l’amitié qui les liait.

    - Enfin, par sa loyauté, il ne s’est jamais abaissé à la médiocrité de traîner dans la boue des tribunaux un de ses conseillers. C’était là toute sa grandeur au contraire de ceux qui, pour arriver à leur fin, utilise tous les moyens que dicte leur haine.
    Parvenir fait de chaque arriviste qui est arrivé un … parvenu !

    Il avait donc retenu les meilleures leçons d’une bonne administration de toutes les institutions de l’Etat, de la commune de Saint Marceau jusqu’au plus haut sommet, celui du Conseil d’Etat. En parcourant, avec aisance et élégance, cette distance exceptionnelle entre ces deux pôles les plus éloignés d’un Etat, toujours sans se départir de la même et constante rigueur.

    Par ce parcours, celui de toute sa vie, il avait cultivé une grande capacité d’adaptation et de réalisme.
    Qu’il justifiait par le bon sens des gens de la Terre. 
    C’est-à-dire de savoir et pouvoir changer de stratégie selon les changements de circonstances.                      
    Concernant par exemple notre sécurité, avec la création de la Police Municipale, nécessaire pour compléter la défaillance d’un Etat mal géré quant aux effectifs et missions de la Police Nationale.
    Il pouvait même se mettre en péril en ajoutant la vidéo-surveillance, malgré l’opposition d’une partie de sa majorité.

    Il ne faut pas manquer de compléter cet essai sans citer tous ceux qui entouraient Jean-Claude BOULARD, ses nombreux collaborateurs qui ont été à l’image des qualités du maître qu’il était, naturellement : 
         - les plus proches, ceux de sa garde prétorienne, disciplinés et capables de le servir en tant que techniciens -de qualité,       plutôt qu’en tant que politiques politiciens empiétant sur son domaine très réservé …
         - tout l’ensemble du personnel de la Mairie et de la Métropole, sans exception, aussi remarquable que leur Maire ou leur Président.
           Sur ce dernier point, je ne manquerai pas de vous dire qu’aucun d’entre eux n’a manqué de tolérance, de respect et même de bienveillance envers notre opposition politique.

    Certes -et je reviens ici- inhabituelle pour quelques extrémistes qui osent la qualifier du même adjectif !
    Càd cette fameuse infinitésimale exception qui confirme la règle.
    A l’exemple du dernier Conseil fort bien conduit ‘’à la Boulard’’ par notre 1ère adjointe sauf à la fin, lors de l’intervention d’un des nôtres, sur la relation entre immigration et insécurité, avec le regrettable mépris des réalités -et de notre collègue par quelques-uns- ont démontré qu’il n’était pas possible de copier l’inimitable.
     
    Maintenant, nous entrons dans une nouvelle période peut-être difficile, celle de l’après-J-C BOULARD que son successeur ne devra sans doute pas copier (libre à lui) l’original étant toujours préféré à sa copie.
     
    A chacun de faire son meilleur choix, celui qui donnera à notre futur Maire une légitimité d’autant plus grande, qu’il n’aura pas été choisi ou imposé par son prédécesseur.
     
    Au contraire de certaines rumeurs qui, en 2020, et à tort chacun le sait, annonceraient alors une candidature d’une personne ou plus, choisie elle par l’ancien Maire !
    Je terminerai donc cet hommage par une phrase de Monsieur le Maire à l’adresse des colporteurs de ragots sociaux -qu’ils appellent et pensent être des réseaux sociaux- c’est-à-dire lors ma dernière conversation avec lui, à la fin de son dernier Conseil, au pied de cet escalier derrière vous, au sujet d’une personne dont j’ai oublié le nom mais qui pourrait me revenir en temps utile :  ‘’ Vous savez je me suis parfois trompé dans mes choix.’’
     
    Je vous remercie pour votre attention.
     
    Je déclare ouverte l’élection du Maire puis de son 1er adjoint ensuite, après mes chers collègues, vous avoir demandé lesquels d’entre vous veulent porter leur nom pour cette candidature. »

    Le socialiste Stéphane Le Foll a été élu maire et Président de Le Mans Métropole.

  • Et vous allez en baver !

    Danièle Obono : une bourgeoise chez Mélenchon

    Publié par Guy Jovelin le 13 juin 2018

    Rédigé par notre équipe le 12 juin 2018.

    Danièle Obono, une députée sans le sou

    Interviewée par Jean-Jacques Bourdin hier matin, la députée mélenchoniste Danièle Obono a réussi son exercice médiatique. En effet, son interview qui a enchaîné les clichés et les bêtises est finalement sortie de la triste norme politicienne habituelle. Obono a tiré la sonnette d’alarme en raison d’indemnités de député trop faibles ! On savait que les Français étaient dans la mouise, mais de là à ce que nos chers élus soient sans le sou !

    En Marche – Les Insoumis : même combat ? Alors que la presse tente de faire croire que Mélenchon est le premier des opposants à la politique macronienne, ses ouailles semblent avoir été rapidement contaminées par l’idéologie dominante sur les bancs de l’Assemblée. Le toujours plus de fric prévaut et fonctionne avec d’autant plus de facilités qu’il vient directement des impôts des Français. Ainsi l’ancienne bibliothécaire trotskiste, Danièle Obono, s’est émue de la situation intenable de ses collègues députés qui doivent se payer un toit à Paris pour pouvoir être présents sur les bancs de l’Assemblée la semaine.

    Députés – SDF : une même vie de misère

    « Vous voulez qu’on les loge où, les députés ? Ils pourraient avoir les moyens de se loger s’ils avaient une indemnité suffisante pour le faire ». La bombe est lancée par Danièle Obono. Les députés ne sont pas loin d’aller crécher dans des centres d’urgence faute de pouvoir se payer un logement dans une ville aussi chère que Paris. Que fait la mairie socialiste d’Anne Hidalgo ? Que fait l’Etat face à cette situation indécente qui plonge dans la misère l’élite de la France ? L’Etat ne donne que 7 209,74 euros bruts mensuels (au minimum) à chacun des députés. Une misère selon Obono qui est peut-être plus habituée à des sommes ronflantes avec son salaire de petite fonctionnaire et une thèse universitaire commencée en 2003 et qui attend toujours une conclusion…

    Rendez-vous compte ! L’indemnité de base n’est que de 5 599,80 euros, une indemnité de résidence de 167,99 euros est versée et une indemnité de fonction de seulement 1 441,95 euros est accordée. Comment vivre avec si peu ? Il est temps que les Français payent plus d’impôts pour que les députés puissent vivre décemment. Ce ne sont pas les 1 200 euros supplémentaires mensuels – justement pour louer un logement – que peuvent demander les députés non Franciliens qui vont changer la donne. Il leur faut un salaire décent et vite !

    Obono a vite compris le fonctionnement de la machine politique. Il faut se servir avant de songer à servir les autres. Cela concerne apparemment même les députés soit disant les plus proches du peuple… Le Front de Gauche est une véritable cour des miracles. Après le couple léniniste, voici la députée prolo-bourgeoise trotskiste. Le prochain numéro risque de détonner !

    L’Assemblée nationale ferait bien de ne pas revenir sur sa politique accommodante avec les députés sans toit. Car ce que ne dit pas non plus Obono, c’est que l’argent des Français sert aussi à rembourser les frais d’hôtel des députés lorsqu’ils sont à Paris à raison de 200 euros par nuitée maximum. Un pécule minuscule qui serait à l’origine d’une révolution de masse si jamais il venait à être supprimé. Mais que la députée se rassure, les parlementaires votent rarement des lois qui vont contre leurs intérêts… Penser aux autres d’accord, mais penser à soi c’est encore mieux.

    Une question se pose désormais à Obono et sa vocation immigrationniste. Comment accueillir des centaines de milliers de « migrants » dans des conditions décentes si la République n’est pas capable de s’occuper de ses propres parlementaires ? Autant dire à nos lecteurs que cette question ne trouvera pas de réponse même avec l’aide de son mentor Jean-Luc Mélenchon.

     

    Source : 24heuresactu

  • Un chemin de résistance

    Dans Rivarol de cette semaine : un article sur le livre de Carl Lang, "Un chemin de résistance"

     

    Rédigé le Samedi 9 Juin 2018 à 10:48 | 0 commentaire(s)

     

    Dans un livre d’entretiens avec Jean-François Touzé, Un chemin de résistance, Carl Lang raconte ces quarante années d’engagement politique, trente ans au Front national de Jean-Marie Le Pen (1978-2008) et près de dix ans à la tête du Parti de la France.


    Dans le cadre d’un dialogue sincère et à coeur ouvert, l’ancien secrétaire général du Front national expose le sens de son engagement et réaffirme sa ferme volonté de faire renaître avec d’autres une droite nationale, sociale et populaire authentique.

    Carl Lang explique que s’il a rejoint le Front national, mouvement alors jeune et groupusculaire, tandis qu’il avait à peine vingt ans, c’était essentiellement par anticommunisme et par patriotisme, par rejet du marxisme si prégnant alors à l’école, à l’université, dans les esprits et par amour de la nation et des valeurs et principes de la droite authentique : le respect du sacré et des traditions, la défense de la famille, l’amour de la patrie, la promotion des libertés : liberté de l’esprit et libertés économiques, le sens des responsabilités.

    Carl Lang raconte en détails, de manière vivante et passionnante, ses trente années d’engagement au FN, dont près de vingt à de très hautes responsabilités, au secrétariat général et à la délégation générale de 1988 à 1995, puis de 1998 à 2005. Il relate tous les combats mémorables menés au côté de Jean-Marie Le Pen, combats électoraux bien sûr, mais aussi prises de positions politiques lucides et courageuses contre la guerre du Golfe en 1990-1991, contre le traité de Maastricht en 1992 et contre la Constitution européenne en 2005.

    Le président du Parti de la France évoque les tensions montantes avec Marine Le Pen à partir de son émergence médiatique en 2002. Il rappelle qu’en tant que directrice stratégique de la campagne présidentielle de Jean-Marie Le Pen en 2007, elle avait imposé des choix aberrants comme le discours de Valmy et celui sur la dalle d’Argenteuil, ainsi que la Beurette en string sur une affiche. Et Carl Lang de préciser fort justement : « Cette orientation chevènementiste est bien antérieure à l’arrivée de Florian Philippot au Front national. […] Dans Le Figaro du 12 décembre 2006, Marine Le Pen n’hésitait pas à déclarer : “la candidature de rassemblement du peuple français, débarrassée des spécificités religieuses, ethniques ou mêmes politiques, c’est la candidature de Jean-Marie Le Pen”. Voilà une phrase qui résume à elle seule ce que pense Madame Le Pen. […] Aujourd’hui je me demande dans quelle mesure elle ne souhaitait pas l’échec de son père. »

    Carl Lang relaye également la façon dont il a été suspendu du FN en 2008 car il n’acceptait pas d’être numéro deux de la liste FN dans le Nord-Ouest pour les européennes de 2009 derrière Marine Le Pen car s’effacer derrière elle, c’était accepter son positionnement politique et stratégique et valider le fait qu’elle avait vocation à succéder à son père à la tête du FN. Sa suspension a conduit Lang et ses amis à fonder début 2009 le Parti de la France qui, bien que modeste, sans argent et sans relais médiatique, entend rester fidèle aux principes, aux valeurs et aux convictions de la droite nationale. L’infâme exclusion de Jean-Marie Le Pen, les purges successives, l’abandon du nom Front national et des fondamentaux prouvent que l’analyse de Carl Lang, comme d’ailleurs celle de RIVAROL, sur Marine Le Pen était pertinente.

    Le calamiteux débat du second tour de la présidentielle de 2017 qui a fait honte à tous les nationaux n’ayant pas un QI d’huîtres et le septennat désastreux de liquidation du FN montrent la lucidité de tous les anti-marinistes historiques. Ils étaient relativement peu nombreux, ils ont été traînés dans la boue, traités de tous les noms, mais ils avaient vu juste.

    JB

     

    Source : synthesenationale

  • FACEBOOK officiel Le Parti de la France

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    Rédigé le Lundi 11 Juin 2018 à 09:38 | 0 commentaire(s)

     


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  • CONNEXION 11 juin 2018

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    Vous trouverez le lien à droite de ce texte, rubrique AMIS.

    Dominique SLABOLEPSZY

    Membre du BP du PDF 

  • Le FN est mort, vive le Parti de la France

    Le Front National est mort… Vive le Parti de la France !

     

    Rédigé le Lundi 4 Juin 2018 à 16:37 | 0 commentaire(s)

     

    Extrait de l'Édition du 4 juin 2018
    Réinfo, journal d'information bimensuel du Parti de la France


    Le Front National est mort. Ce que l’anti-France espérait depuis 45 ans, Marine Le Pen l’a réalisé. Après avoir exclu en 2015 son père, fondateur et président d’honneur du FN, elle vient aujourd’hui de liquider le Front national. Pour Carl Lang, je cite, « Jean-Marie Le Pen a été le fondateur du Front national, Marine Le Pen, sa fille, en est la fossoyeuse ».
    Le néo-FN s'appelle officiellement, à partir de ce vendredi soir, le Rassemblement National, deux mois après un congrès au cours duquel ce nom avait été proposé par Marine Le Pen. Un changement de nom approuvé par 80,81 % des 53 % de militants FN qui se sont exprimés sur la question… c’est-à-dire moins d’un sympathisant sur deux. Le Président-fondateur du Front national, Jean-Marie Le Pen – même si, ne l’oublions pas, il reste l’un des responsables de ce qu’il appelle une trahison, en imposant en 2007 sa fille envers et contre tous – évoque, je cite, cet « honteux effacement de son identité » comme « le coup le plus rude que le Front national ait jamais reçu depuis sa fondation ».
    Celui qui n’a plus aucune fonction, ni responsabilité dans la nouvelle structure précise sa pensée dans un communiqué, je cite : « Plus qu'une étiquette, c'est aussi une longue et courageuse histoire militante que l'on renie ». Il condamne « les inspirateurs comme les exécutants » de cette décision.
    Pour le député européen qui siège dans les rangs des sans-étiquettes à Bruxelles, « rien de bon ne saurait naître d'un tel abandon, ni pour le mouvement lui-même, ni pour le service des Français […]Seuls les adversaires et les concurrents tireront bénéfice de cette trahison ».
     
    La boucle de l’imposture, du parricide, des reniements et des allégeances honteuses est bouclée. Il aura suffi de sept années à Marine le Pen pour détruire l’héritage politique et le mouvement dont elle a hérité en 2011. Pour Carl Lang, « le mythe de la dédiabolisation et la quête frénétique de la normalisation médiatique ont transformé le parti de Marine Le Pen en composante docile et caricaturale du système politique en place, auquel elle n’a cessé de donner des gages de soumission ».
    Marine Le Pen a beau avoir changé le nom de son parti, elle n’a en rien changé les situations financière, judiciaire et politique où elle a embourbé le néo-FN. Elle rebaptise donc une épave qui sombre.
     
    La situation financièrement tout d’abord. Jamais le FN n’a eu autant de financements publics, et pourtant jamais le RN n’a eu autant de dettes ! 7 millions auprès du Parlement européen. 9 millions auprès d’une banque chypriote, 2 millions de reconnaissance de dettes à l’égard de députés européens, 6 millions d’euros auprès de COTELEC… 500 000 euros, de plus, réclamés par le Parlement européen la semaine dernière. Des sources jusque-là bien placées dans l’appareil évoquent un nouveau prêt philippin de 8 millions sans que l’on puisse réellement le confirmer ou non. Tout comme on ne connaît pas l’ampleur du fameux emprunt patriotique, lancé par la diva de Montretout, où vous pouviez dîner en tête à tête avec elle, pour 75 000 euros…
    Et tout ça pour un parti mis en examen comme personne morale dans plusieurs affaires judiciaires et qui, s’il est reconnu coupable, devra s’acquitter d’amendes carabinées.
    Coup de matraque supplémentaire sur ce tableau déjà bien défraîchit, les comptes de campagne de la candidate à la présidentielle de 2017 viennent d’être retoqués de près de 900 000 euros… qui échoiront évidemment au Parti. Faudrait quand même pas déconner…
     
    Une situation judiciaire compliquée, ensuite, et c’est le moins que l’on puisse dire. Outre les mises en examen de Marine Le Pen sur son patrimoine personnel, des cadres comme Louis Alliot, Wallerand de Saint-Just, Jean-François Jalkh et des personnes morales comme le Front National, son micro-parti Jeanne et le groupe ENF au Parlement européen, des prestataires de services très liés à Marine Le Pen sont plusieurs fois mis en examen : complicité et recel d'abus de confiance, complicité d'escroquerie et recel d'abus de biens sociaux, blanchiment, emplois fictifs, surfacturations, faux et usages de faux, pour les campagnes électorales de 2011, 2012, 2014, 2015… On a du mal à appréhender la totalité de l’univers judiciaire de la nébuleuse mariniste, nous en oublions certainement. La justice russe elle-même s’intéresse au FN, puisque l'Agence d'assurance des dépôts bancaires russes (l’ASV) réclame en effet au parti de Marine Le Pen, le remboursement du prêt de 9 millions d'euros et a lancé une procédure judiciaire dans ce but.
     
    Cela commence à faire beaucoup pour certains… Le coprésident néerlandais du groupe Europe des nations et des libertés (ENL) au Parlement européen, Marcel de Graaff, a vivement critiqué les largesses de ses alliés français du néo-FN, révélées quelques heures plus tôt par le site Politico. Au nom du Parti pour la liberté (PVV) de Geert Wilders, l’eurodéputé s’est dit « offusqué » des pratiques d’« enrichissement de la part de la délégation française », et a assuré s’« en distancier totalement ». Les tables dans des restaurants à 3 étoiles pour 400 euros par couvert passent mal… et mettent à mal politiquement la pseudo-relance voulue par Marine Le Pen avec le changement de nom.
    Si l’on ajoute à tout ce qui précède, les changements de cap à répétition sur les questions européennes, la gauchisation démagogique du discours, le lamentable et honteux débat présidentiel face à Macron, comment s’étonner que les intentions de vote dans les sondages passent de 23 %, à 17 % puis à 15 %, alors que la campagne n’a pas encore commencé ?… Dernier revers en date, le refus net et catégorique de Nicolas Dupont-Aignan de faire liste commune pour les Européennes. Et oui, on ne s’amarre pas à un bateau qui coule…
     
    À la création du Parti de la France, Carl Lang déclarait n’avoir aucune confiance, ni politique, ni personnelle, ni technique en Marine Le Pen. Les faits ne cessent de lui donner raison.
    La recherche obsessionnelle de la soi-disant dédiabolisation de Marine Le Pen l’a conduite à sa perte. La diabolisation médiatique et politique est une arme psychologique utilisée en particulier par la gauche, autoproclamée morale, contre tous ses adversaires. La gauche française traite ses adversaires de racistes, d’antisémites, d'extrémistes de droite ou d’homophobes, au choix, en fonction de l’actualité. Croire que l’on peut mener le combat politique de résistance nationale, sans subir la diabolisation par les ennemis de la nation, est d’une affligeante stupidité. Dans cette naïve démarche de dédiabolisation qui conduit mécaniquement à l’allégeance, Marine Le Pen n’en fera jamais assez. Elle a exclu son père, liquidé le Front national mais elle s’appelle encore Le Pen. Afin d’aller au bout de sa logique de reniements, il faut qu’elle aussi change de nom. C’est d’ailleurs ce qu’elle devrait faire, rendre son nom et son parti à son père.
    Madame Le Pen ne croit pas aux valeurs et aux principes de la droite nationale, elle fait du souverainisme de gauche et, finalement, pour résumer, elle pense comme Chevènement.
     
    Dans un communiqué et une vidéo que vous pourrez retrouver sur notre site, Carl Lang, le président du Parti de la France, lance un appel, je cite « aux militants, aux élus et aux sympathisants de la droite nationale de conviction qui ne se reconnaissent pas dans le nouveau parti de Marine Le Pen à rejoindre le Parti de la France. Ensemble, au service de la France et du peuple français, nous porterons avec fierté les valeurs et les principes de la droite nationale, populaire et sociale. Plus que jamais notre combat de résistance et de reconquête continue ! »
  • ERDOGAN !!!!!

    Erdogan : voilà l’ennemi !

     

    Rédigé le Samedi 9 Juin 2018 à 10:44 | 0 commentaire(s)

     

    Et si l'État islamique était l'arbre qui dissimule la forêt ?

    Et si les attentats revendiqués par Daesh, aussi sanglants soient-ils, n’étaient qu'anecdotiques au regard de la menace bien plus sérieuse qui, sur le temps long, plane sur l'avenir de notre occident chrétien ?


    Et si les tueurs à la Kalachnikov, à la hache ou au marteau, les égorgeurs au couteau de cuisine, les monstres d'Allah à la camionnette-bélier, les djihadistes de Syrie et d’ailleurs n’étaient que de simples figurants mis en avant sur la scène verte et rouge de la conquête musulmane ? Des figurants qu'il appartient à l’État et à ses services de traquer et d’exterminer, mais des figurants quand même.

    Et si la vraie menace venait de cette Turquie à la longue mémoire qui jamais, même aux temps de l'occidentalisation d'apparence que fut le kémaliste, n’oublia ce qu'elle a considéré, de toute éternité, comme étant son destin : l'incarnation d'un nouveau califat ?

    La parenthèse kémaliste refermée (encore faut-il noter que la cible première du laïcisme d'Ataturk n’était pas l'islam mais les confréries soufies jugées dissidentes et rebelles à l’autorité centrale d'Ankara), la Turquie islamique d'Erdogan, mise au pas et normalisée, renoue avec sa volonté impériale d'imposer partout où cela sera possible la pax ottomana et la foi musulmane.

    Profitant de son statut d’allié fidèle des État Unis au sein de l'OTAN, de ses complicités dans les couloirs de la Commission de Bruxelles et du Parlement européen, de ses bons rapports avec Israël (même si ceux-ci se sont quelque peu dégradés ces derniers mois), du vigilant pragmatisme de la Russie confrontée à la question prégnante de ses minorités musulmanes souvent turcophones, et de sa position géographique, la Turquie, affichant un islamisme supposé moins rigoureux que le salafisme et pourtant tout aussi redoutable, avance peu à peu ses pions.

    • En Syrie, sous couvert de lutter contre l'État islamique et d’être un contrepoids aux ambitions régionales de l'Iran, elle s'empare de pans entiers du territoire et y traite à sa manière qui n'a rien de tendre la question kurde.
    • Au Maghreb, elle reconquiert peu à peu ses positions par la voie de traités économiques avantageux, d'investissements ciblés, d'aides militaires et d’échanges fructueux de renseignements. L’Algérie et la Tunisie sont ainsi l’objet de toutes les attentions. Le rétablissement du Bey d'Alger et du Dey de Tunis n’est, certes, pas pour demain. Mais peut-être pour après-demain.
    • En Europe usant de l’arme du chantage sur la question migratoire et la circulation des djihadistes, elle prend en otages l’Allemagne de Madame Merkel où vivent au bas mot plus d’un million et demi (chiffre officiel hors naturalisés) de ses ressortissants.
    • En France, plus encore qu'en Allemagne, l'AKP, le Parti quasi totalitaire d’Erdogan dispose de réseaux considérables, allant d'organes de presse écrite à la webtélé MediaFranceTV, de structures de contrôle de la diaspora comme l'Union des démocrates turcs européens très active au moment des élections et capables de mobiliser rapidement les militants comme on a pu le voir, la semaine dernière, lors de l'action menée, par menaces et pressions, contre les kiosquiers coupables d'afficher la une du magazine Le Point qui publiait un dossier consacré à Erdogan. Elle peut s'appuyer aussi sur des mouvements politiques-relais comme le Parti Égalité et Justice dont l’intention est ouvertement de peser sur les scrutins hexagonaux. À toutes ces organisations et outils de propagandes, il convient d'ajouter le contrôle absolu exercé sur les mosquées turques mais aussi de bien d'autres nationalités par le président du Conseil français du culte musulman (CFCM), Ahmed Ogras d’origine turque et ami personnel de Tayyip Erdogan.

    Comme les révolutionnaires de Lénine, la Turquie n'a pas de montre. Contrairement à l'État islamique et même à l’Arabie saoudite traversée par des lignes de hautes tensions intérieures et extérieures, le temps ne lui est pas compté. Son projet est global et sans limite.

    Le Parti de la France appelle les nations d’Europe à la plus grande fermeté vis-à-vis de la Turquie islamique. Cette fermeté implique la rupture immédiate de toute négociation en vue de l’entrée de la Turquie dans l’Union. Elle suppose également l’établissement d'un cordon sanitaire diplomatique pour mettre fin au chantage turc sur les questions migratoires et la fermeture totale des frontières européennes à toute nouvelle entrée. Elle exige la dissolution de toutes les organisations turques ou financées par la Turquie sur les sols nationaux européens. Elle impose, en France, l'interdiction de toute manifestation politique ou communautaire, le non-financement des mosquées par une puissance étrangère, l’expulsion des activistes, et la fin, sous peine de poursuites, des tentatives d'intimidation turques contre les médias et la presse.

    Il s'agit là, on l’aura compris, non pas du projet que le Parti de la France mettra en œuvre dans le cadre de l’État national, mais des mesures de sauvegarde que tout gouvernement digne de ce nom et conscient de la menace devrait appliquer sans délais.

    Jean-François Touzé - Membre du Bureau politique du Parti de la France

  • AVIS de DECES

    Appel de Carl Lang aux militants, élus et sympathisants de droite nationale et de l’ex Front National.

     

    Rédigé le Vendredi 1 Juin 2018 à 15:03 | 0 commentaire(s)

     

    Après avoir exclu en 2015 son père, fondateur et président d’honneur du FN, Marine Le Pen vient aujourd’hui de liquider le Front national.
    La boucle de l’imposture, du parricide, des reniements et des allégeances honteuses est bouclée. Il aura suffi de sept années à Marine le Pen pour détruire l’héritage politique et le mouvement dont elle a hérité en 2011.


     Appel de Carl Lang aux militants, élus et sympathisants de droite nationale et de l’ex Front National.
    Le mythe de la dédiabolisation et la quête frénétique de la normalisation médiatique ont transformé le parti de Marine Le Pen en composante docile et caricaturale du système politique en place auquel elle n’a cessé de donner des gages de soumission.
    Si l’on ajoute à tout cela les changements de cap à répétition sur les questions européennes, la gauchisation démagogique du discours, le lamentable et honteux débat présidentiel face à Macron, la gestion calamiteuse et caractérielle de ses ressources humaines, la montagne de dettes du Front national et les renvois multiples devant le tribunal correctionnel, on constate qu’elle a non seulement transformé l’extraordinaire boulevard électoral qui s’offrait à elle en 2017 en chemin de traverse, mais surtout qu’elle a réussi là où toute la classe politico médiatique avait échoué depuis 40 ans : enterrer le Front national. Jean-Marie Le Pen a été le fondateur du Front national, Marine Le Pen, sa fille, en est la fossoyeuse.
    Dans cette situation, et quelles que soient les désillusions et les déceptions compréhensibles de nombreux militants de l’ancien FN, l’heure n’est pas aux atermoiements, à la réserve ou aux renoncements. Il est au nécessaire engagement.
    J’appelle les militants, les élus et les sympathisants de la droite nationale de conviction qui ne se reconnaissent pas dans le nouveau parti de Marine Le Pen à rejoindre le Parti de la France. Ensemble, au service de la France et du peuple français, nous porterons avec fierté les valeurs et les principes de la droite nationale, populaire et sociale. Plus que jamais notre combat de résistance et de reconquête continue !



    Communiqué de presse de Carl Lang 
    Président du Parti de la France
  • Notre IDENTITE

    Expliciter et proclamer la richesse de l’identité française

     

    Rédigé le Mardi 29 Mai 2018 à 12:39 | 0 commentaire(s)

     

    Alors qu’elle devrait être un sujet de consensus, l’identité nationale est paradoxalement devenue une cause de polémique. Le Système cherche à occulter tout débat à son sujet et, quand il est contraint d’aborder la question, il réduit notre identité à un simple panel de prétendues valeurs.


    Aussi Ligne droite estime-t-elle indispensable que les Français reprennent conscience de la richesse de leur identité et que celle-ci soit dès lors clairement explicitée et proclamée. La France, c’est un peuple européen, une culture d’origine gréco-romaine, une religion chrétienne, un territoire au cœur de l’Europe, le tout sublimé par une histoire qui a fait de notre nation sinon la première sur le continent, en tout cas la synthèse la plus accomplie du monde européen.

    L’identité, un sujet tabou

    Parce que l’identité est un sujet tabou du politiquement correct, les Français ne savent plus qui ils sont. Ils ont bien sûr une conscience intuitive plus ou moins prononcée de leurs origines et de ce qu’est leur patrie. Mais il n’y a plus rien d’explicite ni de formalisé. Et pour cause, tout est fait par le Système pour occulter la réalité de l’identité française. Que ce soit à l’école, dans les médias ou chez les politiques, la France n’est plus qu’une abstraction théorique.

    Une identité réduite à de prétendues valeurs

    Pour les docteurs de la pensée unique, l’identité de notre pays se réduit en effet à un ensemble de valeurs qui représenteraient non seulement notre patrimoine commun mais aussi l’essence même de ce que nous sommes. Aussi peut-on affirmer sans beaucoup simplifier que, pour eux, la France est un territoire régi par l’état de droit, les valeurs de la République et les droits de l’homme. C’est pourquoi n’importe quel individu habitant dans l’Hexagone a vocation selon eux à être français pour peu qu’il communie dans ces prétendues valeurs.

    L’identité de la France, une réalité complexe

    Faut-il à ce stade souligner l’absurdité d’une telle conception ? Si l’identité de la France se limitait à un ensemble de valeurs, en quoi se différencierait-elle de tous les autres pays qui se réfèrent eux aussi aux droits de l’homme et à la démocratie ?

    La vérité est que l’identité de la France s’avère une réalité beaucoup plus complexe et plus exclusive. Sans doute n’est-elle pas facile à mettre en équation mais on peut tenter de l’approcher par la prise en compte de quatre données fondamentales.

    Un peuple européen

    La première donnée, ce sont les Français eux-mêmes, c’est-à-dire le peuple qu’ils forment depuis les origines de notre nation et qui, de par ses racines gallo-romaines, germaniques, celtiques et nordiques, se révèle fondamentalement européen et donc de race blanche. Une réalité ethnique demeurée inchangée jusqu’au milieu du siècle dernier et qui constitue le fonds identitaire que notre nation partage avec ses voisins européens.

    Une culture d’origine greco-latine

    La seconde composante est bien sûr la culture française, un trésor d’une incroyable richesse qui s’enracine dans son héritage grec et romain et qui s’est déployé pendant des siècles dans tous les domaines de l’art et de la science. Forgée autour de notre langue, le français, elle a rayonné dans le monde, forçant bien souvent l’admiration des étrangers.

    Une religion, le christianisme

    Quant à la troisième donnée, il s’agit du christianisme qui a été pendant quinze cents ans la religion dominante de notre nation. Aussi, que l’on soit chrétien ou non, pratiquant ou non, personne ne peut nier aujourd’hui le rôle majeur que cette religion a joué dans la formation de notre pays. N’a-t-elle pas pendant des siècles couvert notre sol d’églises et de cathédrales admirables et, au-delà, marqué la conscience, la culture et l’histoire des Français ?

    Un territoire forgé par la volonté et le sacrifice

    Enfin la dernière composante est bien sûr le territoire de notre pays qui constitue un espace privilégié au cœur de l’Europe. Un territoire d’une étonnante richesse et d’une grande beauté qui a profondément contribué à forger l’identité de ceux qui y ont vécu. Un territoire dont les frontières se sont fixées progressivement au fil des siècles par la volonté de ses rois et de ses chefs et grâce aussi au sang versé par ceux de nos ancêtres qui se sont battus pour l’agrandir ou le défendre.

    Une histoire qui a tout sublimé

    Mais ces quatre composantes ne seraient rien sans l’histoire qui, au fil des siècles, a brassé tous ces atouts culturels, territoriaux, ethniques et religieux pour façonner ce pays qui est le nôtre et dont nous avons hérité. Une histoire qui ne commence pas en 1789 mais plonge ses racines dans notre lointain passé. Tantôt douloureuse, tantôt grandiose, elle a conduit aux pires épreuves comme aux plus grandes gloires et, à la manière d’une mystérieuse alchimie, a forgé cette nation qui n’est semblable à aucune autre et dont nous devons être fiers.

    Une synthèse de la réalité européenne

    Une nation qui a de plus cette particularité étonnante d’être la synthèse de tout ce que représente l’Europe. Appartenant à la fois au Nord et au Sud, ouverte sur l’Océan comme sur le cœur du continent, elle a reçu les influences de tous les foyers culturels européens. Des apports qu’elle a su assimiler et sublimer pour édifier cette identité qui permet aujourd’hui d’affirmer que l’Europe n’existerait pas sans la France.

    Une âme, un principe spirituel

    Cette réalité de notre identité nationale, à la fois culturelle, religieuse, ethnique, territoriale et historique, est apparue pendant des siècles tellement évidente que personne ne songeait à l’expliciter. Et beaucoup considéraient comme Renan qu’à côté des réalités visibles telles « la race, la langue ou les affinités religieuses » il y avait comme « une âme, un principe spirituel » qui s’exprimait par « un fait tangible … le désir clairement exprimé de continuer la vie commune ».

    Le refus du Vivre ensemble

    Même imparfait ou incomplet, l’énoncé explicite de l’identité de notre nation se révèle capital car il permet de comprendre que c’est dans ses différentes composantes que l’identité de la France est aujourd’hui attaquée. Ainsi, la dimension ethnique du peuple français se trouve clairement mise en cause par l’afflux de populations extra européennes. La composante chrétienne de notre identité est de son côté fragilisée par la concurrence d’un islam en pleine expansion qui cherche à s’imposer. Quant à sa composante culturelle, elle est compromise par la montée migratoire mais aussi par la pression anglo-saxonne et par le processus de déconstruction des valeurs orchestré par la nouvelle gauche.

    Même la formule de Renan résonne aujourd’hui comme un sinistre avertissement. Si au bout du compte en effet notre identité nationale devait n’être qu’une volonté de vivre ensemble, elle n’existerait déjà plus puisqu’en dépit du slogan sans cesse martelé par les porte-parole du Système, il est clair qu’entre les Français d’origine et les populations immigrées il n’y a aucune volonté de vivre ensemble. Les premiers cherchent par tous les moyens à ne pas vivre avec les seconds lesquels préfèrent de leur côté vivre entre eux comme chez eux.

    Aussi, pour défendre l’identité française, Ligne droite estime-t-elle aujourd’hui indispensable de l’expliciter et de la proclamer telle qu’elle apparaît dans toute la richesse de ses différentes composantes. Les Français doivent reprendre conscience de ce qu’ils sont.
    Source : https://lignedroite.club/reprendre-conscience-de-lidentite-francaise/?utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=la_lettre_de_ligne_droite&utm_term=2018-05-29

  • Nouvelle Venue au PDF

    Valérie Redl rejoint le Parti de la France

     

    Rédigé le Dimanche 13 Mai 2018 à 15:34 | 0 commentaire(s)

     

    A l’occasion de la fête nationale de Jeanne d’Arc, Valérie Redl, ingénieur commerciale et conseillère régionale de Bourgogne-Franche-Comté, a rejoint les rangs du Parti de la France.


    Déçue par les dérives politiques, financières et humaines du parti de Marine Le Pen, Valérie Redl marque ainsi sa volonté de continuer à défendre ses convictions de droite nationale.
    Par ce nouvel engagement aux côtés de Carl Lang et du Parti de la France elle montre le chemin à suivre pour les militants et les élus du Front National qui ne se reconnaissent plus dans les idées, la stratégie et les méthodes de Marine Le Pen. 
     


     



  • CONNEXION 14 mai 2018

     

     

       
     

     
    ICIOININIEIXIIIOINI
    LA LETTRE ARGUMENTAIRE DU PDF
    directeur de publication : Jean-François Touzé
     

    14 mai 2018

     
       
     
       
    Mort de la jeune Naomi :
    … à qui la faute ? 
     
    Depuis une semaine, les médias ont fait de l’opératrice du Samu supposée avoir mal aiguillé la patiente, la responsable commode de la mort de celle que l'on désigne désormais comme « La jeune Naomi »
    La Justice dira les faits, sans pour autant, en expliquer les causes.
    La cause réelle de cette mort, c'est le sous-effectif chronique des personnels du Samu et la pression difficilement supportable exercée en particulier sur les opérateurs téléphoniques.
    C'est aussi l’état épouvantable de notre filière de santé et les conditions dégradées dans lesquelles s'exerce la pratique médicale en milieu hospitalier.
    C'est le recours aux urgences systématiques de certains irresponsables qui, pour éviter de payer une consultation, usent du service gratuit hospitalier pour faire soigner maux de gorges ou migraines, encombrant les couloirs et détournant les soignants de leurs tâches essentielles.
    C’est, enfin, l'immigration qui détériore chaque année d’avantage un système de santé autrefois exemplaire et qui fut une fierté française.
    Le Parti de la France considère que la restauration d’un système de santé publique performant doit être une priorité nationale. Cela passe par une revalorisation des salaires des personnels soignants, une amélioration de leurs conditions de travail, un recrutement de qualité et une sévérité exemplaire à l'encontre des fauteurs de troubles, des consultants abusifs et des profiteurs.
    Cette politique de redressement de notre système de santé aura un coût. Il sera compensé par la chasse aux fraudeurs de la sécurité sociale et par la mise en œuvre de notre plan « immigration zéro ». 
       
     
       

    @carllang2022 - 13 mai

    Valérie Redl, conseillère régionale de Bourgogne-Franche Comté quitte le parti de Marine Le Pen et rejoint le Parti de la France. C'est le chemin à suivre pour les élus et militants de la vraie droite nationale...
     
     
     
     
    Attaques islamistes à Paris :
    les coupables et les responsables
     
    Comme celles qui l'ont précédée et celles qui, malheureusement, suivront, la tuerie de la rue Monsigny a un auteur – l‘homme au couteau – un coupable – l’islamisme – et un immense collège de responsables.
    • Responsable, la faiblesse des moyens mis à la disposition des services spécialisés dans le renseignement et la surveillance des milieux islamistes.
    • Responsable, le laxisme des magistrats.
    • Responsable, la République qui a abandonné des pans entiers du sol national à la racaille d'abord, aux imams ensuite.
    • Responsable, ceux qui laissent se développer le salafisme sur notre sol français (multiplication par cinq du nombre des adeptes en quatre ans, près de trois cents mosquées recensées) et s'installer dans certaines cités et même certaines villes comme La Verrière dans les Yvelines ou, dans une moindre mesure Trappes ou Roubaix, de véritables polices des mœurs chargés d’imposer la charia par l'intimidation et la force.
    • Responsable, Georges Pompidou qui, pour faciliter le développement industriel de la France, initiait dans les années 1960 un plan de recours systématique à la main-d’œuvre étrangère venue d'au-delà de la Méditerranée, afin, comme il le reconnaîtra peu avant sa mort, de peser à la baisse sur les salaires des travailleurs français.
    • Responsables, Valéry Giscard d'Estaing et Jacques Chirac, promoteurs en 1976 du regroupement familial qui transformait la nature même de l'immigration devenant de fait une immigration d'installation et donc de peuplement.
    • Responsables, ceux qui ont anémié les défenses immunitaires de la France par la pratique systématique de la repentance et la liberté donnée aux associations anti-françaises de saper les fondements de notre cohésion nationale.
    • Responsables, les parlementaires qui ont voté les lois relatives au code de la nationalité et les pouvoirs politiques qui délivrent la nationalité française à n'importe qui.
    • Responsables, tous les gouvernements qui se sont succédé à la tête du Pays depuis cinquante ans, de droite comme de gauche, tous gouvernements de la faiblesse et de l’immigrationnisme.
    Avec le Parti de la France, l’état national mènera une lutte sans merci contre l’offensive islamiste dont le but est la destruction de notre civilisation et l'instauration de la charia, jusqu’à l’éradication totale de la menace.
    Avec le Parti de la France, tous les services spécialisés de l’État seront mobilisés, sur le sol national comme à l’extérieur de nos frontières.
    Avec le Parti de la France, les suspects seront mis hors d’État de nuire par détention administrative de précaution, les expulsions seront systématiques, la peine de mort sera rétablie pour les auteurs d'attentats, les adeptes de la charia seront traqués, tandis que l'immigration qui, selon la théorie de Mao Tsé Toung permet aux islamistes d'être en France comme des poissons dans l'eau, sera stoppée et que s'engagera une politique vigoureuse de rémigration.
    Avec le Parti de la France, le code de la nationalité sera enfin réformé. 
     

     

    @carllang2022

    Félicitations à nos forces de police qui ont abattu à Paris le tueur islamiste. La liste des victimes françaises de la politique d'immigration et de naturalisation ne cesse de s'allonger. C'est toujours le peuple qui paye le prix du sang de la trahison de ses dirigeants.
     
     
     
    Nucléaire iranien
    Retrait des États Unis de l’accord de Vienne
     
    « Provocation », « risque de guerre », « escalade »… C'est une avalanche de prises de positions hasardeuses, de slogans abrupts, d’analyses incertaines et d’explications contradictoires qui déferle par médias interposés, à grand renfort d'experts et de spécialistes autoproclamés, depuis l'annonce par Donald Trump du retrait américain de l'accord dit de Vienne sur le nucléaire iranien.
    Face à ce déchaînement et au pathos qui l'accompagne, tentons de nous extraire de la confusion, de sortir de l'opacité, de voir clair sans confondre les causes et les effets, et de dire les choses telles qu'elles sont et non comme le voudrait une approche trop rapide ou dictée par l’idéologie.
    Cet accord signé en 2015 par les cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU, par l'Allemagne, par l’Union européenne et par l'Iran est avant tout un accord Obama/Rohani, la Russie laissant faire, la Chine ayant d'autres préoccupations plus urgentes, la France, l'Allemagne et la Grande-Bretagne s’alignant passivement sur les positions US et L’UE n’existant pas.
    Très peu contraignant quant au contrôle des centrifugeuses iraniennes mais suffisamment lourd pour servir d'alibi devant les opinions publiques, cet accord oiseux n'avait que deux objectifs :
    1. Retarder une possible intervention israélienne sur les sites d'enrichissement iraniens.
    2. Permettre aux sociétés américaines de rétablir leurs relations commerciales, en particulier pétrolières, avec l'Iran sans pour autant risquer d’être entraîné vers une rupture avec l'Arabie Saoudite.
    Il suffit pour se convaincre de la réalité de ce deuxième point de constater combien s'est exercée la vigilance américaine pour conserver un quasi-monopole commercial en Iran, ne laissant à l'Europe que les miettes de contrats limités (présence de Total et d'Airbus mais au développement limité et sans grands effets).
    La décision de Donald Trump d’extraire les États-Unis de ce piteux accord correspond, il faut le lui reconnaître, à une promesse de campagne et à une position constante de l’actuel Président US qui, une fois de plus, fait ce qu'il avait annoncé.
    Elle répond, selon lui et aux regards des intérêts américains, à quatre impératifs :
    • En finir avec un accord bancal, véritable objet diplomatique non identifié, qui ne pouvait satisfaire ni ceux qui redoutent que l'Iran se dote à court terme de l'arme atomique, ni ceux qui doutent de la réalité de ce risque.
    • Éviter les frappes israéliennes qui se préparaient. Contrairement à ce qui a pu être dit, ce n'est pas le retrait des État Unis de l'accord de Vienne qui peut enclencher un processus de guerre. C’est précisément l'inverse : Israël, convaincu, à tort ou à raison que l’accord Obama/Rohani permettait, en secret, la continuation du processus nucléaire iranien, inquiet de l'implantation durable de la République islamique en Syrie et au Golan, obsédé par les succès électoraux du Hezbollah au Liban, s’apprêtait à frapper si l'accord était pérennisé.
    • Affaiblir l'Iran dans sa course au leadership régional face à l'Arabie Saoudite et rassurer cette dernière.
    • Sortir du court terme commercial et économique imaginé par Obama pour, en instituant un nouveau rapport de force, fragiliser les bases du régime iranien et substituer à terme un nouvel accord plus durable et plus favorable encore aux États-Unis. Trump entend bien, dans cette région du globe comme en Asie, être le Président de la géopolitique commerciale.
    On notera la modération des réactions iraniennes, malgré quelques tirs de roquettes sur les lignes israéliennes destinées à rassurer les conservateurs, et, en retour quelques missiles israéliens sur les bases iraniennes pour satisfaire l'ego hébreux.
    Modération également de la Russie qui s'est contentée de faire part de sa « préoccupation ».
    Et l'Europe ? L'Europe, nous l’avons dit, est inexistante là où la décision de Trump lui donnait une occasion inespérée de s'affirmer. Au-delà des incantations de Macron et de la détermination de façade de la commissaire européenne chargée des relations extérieures affirmant que l'accord de Vienne n’était pas caduc, chacun sait bien que pour Bruxelles c'est aujourd'hui « sauve qui peut », en espérant, sans trop y croire, éviter aux entreprises du vieux continent de subir les représailles américaines en cas de contrats avec l'Iran.
    Quant à Emmanuel Macron, c'est un véritable camouflet qu'il vient de subir. Lui qui affichait il y a deux semaines sa proximité avec Donald Trump et affirmait sa certitude de pouvoir créer les conditions d'un nouvel accord aura été le dupe de la farce washingtonienne.
    Pour le Parti de la France, aucune solution durable aux conflits multiples qui embrasent le Moyen Orient ne pourra être trouvée tant que l'Europe demeurera un nain politique et militaire et qu'un partenariat stratégique avec la Russie n'aura pas été établi. La construction de L’Europe de la puissance ne se fera que par le relèvement politique, moral, identitaire et économique des Nations qui la composent, et d'abord de la France qui doit en être le moteur.
    En attendant, les États Unis continueront, au rythme de leurs changements de Président et de leurs lubies, de dire la loi internationale qui n’est rien d'autre que celle que leur dictent leurs intérêts. 
     
       
    Europe de Macron…
    ou Europe de Charlemagne ?
     
    En recevant à Aix la Chapelle le prix Charlemagne destiné à récompenser une personnalité « œuvrant pour l'unification européenne », Emmanuel Macron, prononçant ainsi rien de moins que son cinquième discours européen en un an, a exhorté la Chancelière Merkel à accepter ses propositions de réformes de l’union européenne, et a appelé les Européens à être « les gardiens du multilatéralisme ».
    Deux vœux pieux qui n'ont aucune chance d’être exaucés.
    Affaiblie face au Bundestag et contestée par l’opinion publique allemande de plus en plus sensible aux discours identitaires, eurosceptiques et anti-immigration, Angela Merkel n'a, en effet, aucunement l’intention de s’aventurer sur la voie que lui propose Emmanuel Macron.
    Quant au concept d'Europe garante du multilatéralisme, il prête à sourire tant l'immobilisme, l’impotence et la tétanie de l’Union face aux États Unis relèvent d’une réalité structurelle et indissociable de son existence depuis la signature du traité du charbon et de l'acier en 1951.
    Ce que veut Emmanuel Macron, ce n'est pas bâtir une autre Europe, c’est sauver cette Union européenne défaillante en opérant un tour de bonneteau institutionnel qui en permettra la continuation, à la manière dont le plan du chef du KGB, Andropov, en partie repris par Gorbatchev dans les années 1980, entendait sauver le régime soviétique et sa nomenklatura sous couvert de réformes profondes.
    On ne bâtit pas sur du sable mouvant. L’union européenne n’est réformable qu’à la condition de rebâtir entièrement le socle de sa construction.
    Cela ne pourra se faire ni par incantation ni par verbalisme, pratiques dont use sans parcimonie l'actuel Président de la République française
    Seules les droites nationales européennes, par la cohérence de leur vision et la convergence de leurs positions, seront en mesure, le moment venu de construire le bloc civilisationnel européen.
    Un projet qui passe dès 2019 par un succès de notre camp aux élections européennes pour lesquelles le Parti de la France entend bien se mobiliser. 
       
     
    Blocage des Universités :
    annulation des examens universitaires
     
    Sous la pression de quelques dizaines de gauchistes renforcés d’une escouade de syndicalistes cheminots et postiers, et encadrés par les professionnels du Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA) venus bloquer le centre d'Arceuil ou devaient se dérouler les partielles de Sciences Po et de la fac de Nanterre, le Président de cette dernière – avec l’accord du gouvernement – a décidé vendredi 11 mai d’annuler cette session d'examens.
    Cette reculade qui ne peut qu'en entraîner d’autres, pose une nouvelle fois la question de l’autorité de l’État, mais aussi celle de sa volonté de faire respecter la loi et de défendre l’ordre public.
    Était-il si compliqué pour les services de sécurité d’anticiper les événements, alors que l’appel à la mobilisation gauchiste circulait en boucle sur les réseaux sociaux, et d’affecter à la surveillance de la maison des examens d’Arcueil les effectifs de police nécessaire pour assurer l’accès aux salles et le bon déroulement des partielles ?
    Mais la question majeure reste celle de la doctrine d'engagement des forces de l'ordre, comme on a pu le voir, ces dernières semaines à Toulouse, à Notre Dame des Landes ou lors de la manifestation du 1er mai à Paris : une doctrine que l'on peut résumer par la formule suivante : « Intervenir modérément, refuser le contact direct, ne jamais user de la force même légitime, ne pas risquer de faire des blessés ».
    Cette doctrine édictée au lendemain de la mort de Malik Oussekine en 1986 lors des manifestations étudiantes contre la loi Devaquet, reprise par tous les gouvernements depuis trente ans et encore consolidée depuis la mort de Rémi Fraysse lors d’une manifestation contre le barrage de Sivens en 2014, conduit à tous les abandons d'autorité, à tous les renoncements à la répression, et à tous les compromis.
    Un renoncement à l'autorité à l'exercice de la force qui se manifeste sous le regard attentif des organisations islamiques qui étudient avec intérêt le comportement des forces de l’ordre contraintes, par le pouvoir politique, à un quasi-immobilisme face aux émeutes. Des organisations islamistes qui sauront en tirer toutes les conséquences lorsque leur temps sera venu.
    Pour le Parti de la France, tous les moyens dont disposent les forces de police et de gendarmerie peuvent et doivent être mis en œuvre en cas d’émeutes. Leur utilisation doit certes être réfléchie et graduée, mais aucun moyen ne doit être exclu y compris les plus répressifs. Contre les professionnels de l’émeute, contre les gauchistes révolutionnaires dont l'objectif est la destruction de notre société, le Parti de la France appliquera demain une tout autre doctrine que celle aujourd'hui en vigueur : celle de la tolérance zéro. 
     
           
     

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  • CONNEXION

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    Pour cela, il est nécessaire de s'inscrire à l'adresse suivante :

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    Je reste, bien sûr à la disposition de chacun pour toute précision complémentaire.

    Dominique SLABOLEPSZY

    Membre du BP du PDF

  • L'Histoire, toute l'Histoire, rien que l'Histoire !

    Le parjure, la trahison et la honte

     

    « L’Histoire brûle les hommes. Après, il faut recueillir les cendres et raconter » (Commandant Hélie Denoix de Saint-Marc – « Les champs de braises »)

     

                Du navire bondé de légionnaires et de parachutistes, en cet automne 1954, un haut-parleur annonça que l’on apercevait les côtes de France. Bientôt le port de Marseille fut en vue. Mal réveillés, ils montèrent tous sur le pont, serrés les uns contre les autres, appuyés à la rambarde. Le paradis dont ils avaient tellement rêvé dans les camps de prisonniers du Vietminh approchait lentement et déjà ils n’en voulaient plus. Ils rêvaient à un autre paradis perdu, l’Indochine… terre qui avait bu, plus qu’aucune autre leur sang. C’est à elle qu’ils pensaient tous à présent. Ils n’étaient pas les fils douloureux qui s’en revenaient chez eux pour faire panser leurs blessures, mais des étrangers. En eux remontaient des aigreurs.

                Ils se souvenaient avec colère et amertume de ces tonnes de médicaments régulièrement adressées au Vietminh par l’Union des Femmes Françaises (1) et leur indignation ne résultait pas de ce que l’ennemi recevait de la Métropole des colis de pénicilline, mais du fait que chaque jour des soldats français mouraient faute d’en posséder…

                En 1950, à Orange, un train de blessés d’Extrême-Orient avait été arrêté par des communistes qui avaient injurié et frappé ces hommes sur leurs civières. Un hôpital parisien qui demandait du sang pour les transfusions sanguines spécifiait que ce sang ne servirait pas pour les blessés d’Indochine. On avait refusé à Marseille, dont ils apercevaient maintenant Notre-Dame de la Garde, de débarquer les cercueils des morts…

    On les avait abandonnés, comme ces mercenaires soudains inutiles que Carthage avait fait massacrer pour ne pas payer leur solde.

    Des souvenirs terribles les hantaient… Ceux de ces partisans qu’ils avaient juré de ne jamais abandonner… Et parmi eux, la vision de ce vieux chef guerrier qui avait rallié sous le drapeau tricolore dix mille de ses hommes… alors que Diên-Biên-Phu était tombée et que tout allait mal dans le delta tonkinois. Il avait alors demandé aux officiers français s’il était vrai que la France allait livrer le Tonkin au Vietminh car rien n’avait été prévu pour replier ses partisans et leurs familles. Les divisions viets déferlaient sur le Delta. Le système de défense cédait peu à peu. Tout reposait sur ce vieux chef et sur ses hommes qui, connaissant admirablement le terrain, étaient à même de repousser mieux que quiconque les assauts des communistes.

                Alors les officiers français lui mentirent et lui assurèrent que jamais ils ne le laisseraient tomber. Il eut foi en leur parole. Ses partisans restèrent à leur poste et continuèrent à se battre jusqu’au bout alors qu’ils étaient submergés. Pendant ce temps l’armée française prépara la défense de Hanoi et de Haiphong et elle n’évacua personne. Le vieux chef fut pris par les communistes. Ils le torturèrent jusqu’à ce qu’il agonisât puis ils lui tranchèrent la tête. Les survivants parmi ses partisans subirent le même sort…

                Et, le visage tendu, les mâchoires crispées, ils se souvenaient aussi de tous ceux à qui ils avaient affirmé qu’ils resteraient toujours et en particulier les catholiques… Ils essayaient de gagner à la nage les bateaux en partance pour la France… Combien de ceux-là périrent noyés ?

                Plus tard, ces visions de cauchemar hanteront de nouveau ces hommes-là… Eux, les anciens d’Indochine, eux, les officiers qui représentaient la France dans ce pays, l’Indochine, ils la burent jusqu’à la lie. Ils connurent la défaite et l’abandon. Leur parole qui était celle de la France, ils la renièrent mille fois dans cette guerre et ils en étaient couverts de honte. Les images qui s’entrechoquaient dans leur mémoire les harcelaient sans trêve… Des familles entières menacées d’extermination par le Vietminh s’accrochaient désespérément aux ridelles des camions et, à bout de force, tombaient en pleurant dans la poussière de la route. Sept ans plus tard, ces mêmes visions apocalyptiques ressurgiront quand l’armée française abandonnera dans la honte et le déshonneur les Musulmans fidèles à la France.

    Le Commandant Hélie Denoix de Saint-Marc écrira dans « Les champs de braises » : « La plupart des Vietnamiens ne disent rien. Ils nous regardent simplement. Nous avons honte. Ils nous auraient tués à ce moment-là que nous aurions trouvé cela juste. L’un d’eux me dit : « Alors, mon capitaine, vous nous laissez tomber ? » Je ne réponds rien ! » … « Les centaines d’hommes et de femmes à qui, au nom de mon pays et en mon nom, j’avais demandé un engagement au péril de leur vie, nous les avons abandonnés en deux heures. Nous avons pris la fuite comme des malfrats. Ils ont été assassinés à cause de nous »…

                Sur cette tragédie –conséquence à ses yeux d’un parjure- qui le traumatisera jusqu’à la fin de ses jours, il ajoutera : « La simple évocation de ces souvenirs suffit, cinquante ans après, à troubler mon regard et faire trembler ma main. »

    Une fois la victoire acquise, les communistes lamineront le pays, faisant la chasse aux « collaborateurs », c'est-à-dire, ceux qui avaient pactisé avec les soldats français. Pour eux, point de pitié. Une mort atroce les attendait…

    Alors, quand en Algérie, le même processus s’engagera ; quand les officiers français se retrouveront coincés dans le même système, quand les harkis risqueront de connaître le même sort que leurs partisans indochinois… ils s’engageront… mais cette fois, personnellement, parce que le pouvoir sera trop faible, trop lâche pour tenir ses engagements. Après, plus question de partir, ce sera terminé pour eux. Ce ne sera plus la parole de la France ; ce sera la leur ! Et pour beaucoup de soldats, ce sera un engagement solennel : « La mort plutôt que le déshonneur ».

    … Et c’est cet engagement qui poussera à la révolte, en avril 1961, des soldats valeureux refusant le parjure, la trahison et la honte. Ils abandonneront ainsi leurs uniformes, sacrifieront leur carrière, seront séparés de leur famille parfois durant de longues années, connaîtront la prison, l’exil, le sarcasme de leurs vainqueurs et de ceux qui n’avaient pas osé, des poltrons, des lâches et des traîtres pour être restés fidèles à leur serment et à leur idéal.

    Le temps passera, l’oubli viendra, les légendes fleuriront, mais jamais assez l’Histoire ne mesurera la grandeur de leur sacrifice.

     

    José CASTANO

    Courriel : joseph.castano0508@orange.fr

     

    (1) – Issue des comités féminins de la Résistance, l'Union des Femmes Françaises est créée par un congrès le 21 décembre 1944. Elle se révèle rapidement liée au Parti communiste français, sous la houlette de Jeannette Vermeersch, qui en fait pendant les années de guerre froide, une organisation communiste de masse. Elle se retrouve notamment impliquée dans des actes de sabotages et de découragement à l'encontre des soldats français lors de la guerre d'Indochine.

    L'Union des femmes françaises devient Femmes solidaires en 1998

     

    -o-o-o-o-o-o-o-o-o-o-

  • La reconquête continue.

     

       
     

     
    ICIOININIEIXIIIOINI
    LA LETTRE ARGUMENTAIRE DU PDF
    directeur de publication : Jean-François Touzé

    7 mai 2018

     
       
     
     
     

    De mai 68…

    au mai 2018 des ultra-gauches
     
     
    Cinquante ans après le soulèvement de mai 1968 qui, s’il ne fut sur le moment, dans les faits et en apparence, qu'une révolution d’opérette, bloqua le Pays pendant quatre semaines et engendra une déstabilisation globale, politique, économique, spirituelle, structurelle et morale dont la France continue de payer le prix fort, la gauche, l’extrême gauche et une partie des libéraux se retrouvent dans la célébration de ce qui fut pour eux un acte fondateur.
    Nostalgie ? Pas seulement.
    Les  « débordements » du premier mai témoignent de la vitalité, non seulement d'une idéologie, mais d'une pratique révolutionnaire à vocation internationaliste, dont l'objectif n'est pas de remettre en cause le Système ni même d'abattre le capitalisme, mais de détruire tous les fondements de notre civilisation et d'en anéantir les valeurs et les principes.
    Personne ne doit s'y tromper et surtout pas les nationaux : il n'existe - il ne peut exister - aucune proximité entre eux et nous. Leur rébellion, leur « insoumission » ne sont pas les nôtres. Ceux qui veulent faire « la fête à Macron » n'entendent pas, en cas de succès, s’arrêter là. Leur but est l’anéantissement de l’occident Helléno-chrétien, l’occident authentique, charnel, identitaire, ancré dans ses traditions, conscient de ses origines comme du sens de son existence forgée par l’histoire. L’occident véritable, pas le monde occidental mercantile qui lui sert de substitut et dont les milices gauchistes sont au final les valets armés.
    Black blocs, No borders, antifas, zadistes, NPA,  sont bien les fils de la LCR (Ligue  Communiste Révolutionnaire) d’hier, elle-même héritière des organisations marxistes internationales, avec les mêmes pratiques, les mêmes méthodes, la même violence et le même professionnalisme dans l'exercice de la guérilla urbaine- voire rurale comme on le voit à Notre Dame des Landes- pratiques et méthodes encore perfectionnées grâce au recours massif au  réseaux sociaux.
    Ceux là sont plus que nos adversaires. Ils sont nos ennemis.
    Face à cette menace, le pouvoir joue les apprentis sorciers, en ne prenant pas la mesure de la situation créée par l'action permanente de ces groupes et en croyant pouvoir les utiliser pour servir ses intérêts. Pour le Parti de la France, la menace communiste révolutionnaire demeure une réalité d'autant plus sérieuse que la jonction entre cette mouvance et celle des organisations islamiques est en passe de se réaliser à l’intérieur et par le biais de réseaux de soutien, et que le risque de dérive terroriste est probable. Une réalité qu'un État national reconstruit devra prendre en compte pour la traiter, par un arsenal approprié de renseignement et de répression, policier et judiciaire, sans faille ni indulgence, et par une volonté politique qui devra s’exercer au moment des faits comme en amont de ceux-ci.
     

    @carllang2022

    1er mai 2018

     

    Puisque les zadistes imposent leur loi à Notre Dame des Landes, pourquoi l’extrême gauche se gênerait elle à Paris ? La faiblesse coupable du gouvernement encourage une fois de plus la violence gauchiste. A quoi sert Gérard Collomb?
     
     
     
       

    @carllang2022

    La colonisation de peuplement se porte bien : 263 000 premiers titres de séjour accordés par la France en 2017. Encore mieux que les 230 000 de 2016. Près de 500 000 immigrés légaux nouveaux en deux ans. Cette république détruit méthodiquement la France. [4 mai 2018].
     
       

    @carllang2022
    Le violeur récidiviste et assassin de la jeune Angélique mérite la peine de mort. Et une fois de plus, par laxisme idéologique, la société et la justice sont complices de fait. [30 avril 2018].
     
     
    Service national :
    inutile et coûteux
     
     
    Promesse de campagne du candidat Macron, l'instauration d'un service national obligatoire pour tous les jeunes, filles et garçons, d'une même tranche d'âge participe de ces engagements électoraux inconsidérés auxquels nous ont habitué les démagogues de droite comme de gauche.
    Depuis sa suppression décidée en 1995 par Jacques Chirac, le service militaire hante les esprits de beaucoup de nos compatriotes nostalgiques de la conscription républicaine, de la Nation en arme et du service universel.
    Universel d'apparence puisque, sans revenir aux « remplacements » des débuts de la troisième République, l'égalité devant la conscription, par le jeu de l'exemption, fut largement un mythe, particulièrement dans les vingt dernières années de l’existence du service militaire.
    Le projet Macron – un mois de service dont la moitié en internat, initiation au secourisme et aux techniques de sécurisation informatique, éducation civique de base, le tout relevant de l'autorité militaire tout en restant dans le cadre civil – s'inscrit  à tous égards dans un fourre-tout idéologique à destination incertaine.
    Le Parti de la France, attaché à la grandeur de nos armées et à leur efficacité dans l'accomplissement des missions que la France leur ordonne, souligne trois  raisons de s'opposer à ce projet.
    1. Il n'est pas dans les missions de nos armées, de nos officiers et sous-officiers de servir d’encadrement pour les pouponnières « civiques » que le gouvernement veut instituer comme classes de rattrapage d'une intégration désormais impossible. Le fameux « brassage » qu’opérait autrefois le service militaire se faisait dans un cadre national homogène et structuré, et n’était pas un but en soi. Le but était de former ses soldats pour la défense de la Patrie. Dans ce projet, aucune formation militaire réelle. Quant au brassage, les choses étant ce qu'elles sont et la réalité « sociale » de notre pays ce qu'elle est  on imagine ce qu'il en adviendra.
    2. Le coût de la mise en œuvre d'un tel projet serait exorbitant. Soit il pèserait sur le budget des Armées dont on sait l'étroitesse (la France vient de reculer d’une place dans le classement des engagements financiers consacrés à leur défense par les nations développées, ou en voie de l'être, au regard de leur PIB, et se retrouve en sixième position derrière l'Inde avec, bien sur, un écart vertigineux par rapport aux Etats Unis et à la Russie) ; soit il devrait être considéré en nouvelles dépenses, ce qui impliquerait inévitablement des charges supplémentaire pour les contribuables.
    3. La technicité de l'armée moderne, la nécessité de combattants formés, spécialisés et aguerris rend impossible le retour du service militaire à l'ancienne. Dès les années 1960, les nationaux se prononçaient pour une armée de métier. Il est, en revanche, hautement souhaitable que soit organisée, dans le cadre d’un volontariat puissamment soutenu et objet d’une incitation forte de l'Etat, une force de réserve destinée aux missions autrefois attribuées à la Défense Opérationnelle du Territoire (DOT), qui pourrait se concrétiser par la création d'une vraie garde nationale souvent évoquée par les gouvernements successifs mais toujours restée à  l’état de vœu pieux.
     
       
    Croissance :
    mensonge d’État !
     
    A en croire l’établissement politico-médiatique, la croissance économique serait de retour par le triple effet conjugué de l’avènement d'Emmanuel Macron, des réformes engagées et du contexte international, dégageant ainsi un horizon radieux vers l'emploi et la prospérité des Français.
    Hélas, ce tableau rêvé ne correspond que de très loin à la réalité comme en témoigne, outre l’écart avec l'Allemagne (prévision de croissance de 2,8% contre 1,7% pour la France), le recul important de notre progression économique au premier trimestre 2018. Recul qui rend d'ores et déjà caduques les prévisions optimistes de rentrées fiscales affichées par le gouvernement pour bâtir le budget en cours et plus encore, celui de l’année suivante.
    Deux signaux inquiétants viennent assombrir encore un peu plus les prévisions :
    • La hausse qui se profile des taux d’intérêts. La France vit à crédit et bien au dessus de ses moyens. Rappelons que le dernier budget en équilibre fut celui de 1974 et que les déficits publics atteignent aujourd’hui la somme vertigineuse de 59,3 milliards d'euros (2,6% du PIB).  Quant à l'endettement de la France, il dépasse désormais les 2200 milliards, soit 97% du PIB. Une dette qui ne peut qu’augmenter encore puisque la France aura besoin, cette année, de plus de 200 milliards pour boucler son budget sans parler des 50 milliards supplémentaires que nécessitera, le moment venu, la reprise par l’état de la dette de la SNCF. Or, lors du vote de la loi de finances 2018, le gouvernement avait établi ses prévisions en prenant en compte un taux à 1, 8%. Tout indique que celui-ci sera largement dépassé. Principal indicateur annonçant la remontée du coût de l'emprunt, le doublement en un an des taux d’État américains qui viennent de franchir la barre des 3%, tandis que monte la pression en Europe pour que la BCE suive l’exemple de la FED américaine concernant ses taux directeurs. Quand on sait que la hausse d'un point des taux d'intérêt entraînerait en France une augmentation de 5,4 milliards de la charge de la dette et engendrerait une baisse de 0,2% de la croissance, on comprend que le printemps économique promis par Emmanuel Macron risque bien de se transformer en un nouvel hiver de la stagnation.
    • Les blocages structurels de la France – poids du Public, bureaucratie, grèves et obstructions syndicales, socialisme rampant, archaïsmes des pratiques institutionnelles, retard dans la recherche et l'innovation, faiblesse de linvestissement – continuent de plomber finances publiques, compétitivité des entreprises, pouvoir d'achat des ménages et vitalité de la consommation qui, depuis le début de l'année, est en nette contraction .
    Autant d'indicateurs qui annoncent que la France n'est hélas pas sortie du tunnel qu'une nouvelle crise mondiale peut, par ailleurs, venir à tout moment obscurcir encore.
    Le PDF considère que la France ne sera remise sur les rails économiques que le jour où le poids des charges et de la fiscalité qui étouffent foyers et entreprises sera allégé, où les tracasseries administratives et les verrous bureaucratiques qui brident l'initiative et obèrent la compétitivité seront supprimés, où la part du public dans le PIB sera abaissée, où les dépenses de l'Etat seront maîtrisées et diminuées en dehors de ses devoirs régaliens, et où la protection du marché européen dans une mondialisation débridée sera assurée sans que cela ne remettre en cause l'exercice de la libre concurrence.
       
     
       
    Trump : port d’armes
    contre les terroristes
     
    En regrettant publiquement que les Français ne soient pas armés pour défendre leur vie lors d’attaques terroristes, Donald Trump vient de déclencher un tollé diplomatique et politique.
    Tout ce que la France compte de tartuffes, de bien pensants moralisateurs, de pleureuses professionnelles pour qui mieux vaut, plutôt qu’un Glock ou un Sieg Sauer pour stopper un massacre, une bougie, une peluche ou la menace d'une marche blanche,  s'est élevé, indigné et scandalisé, contre les propos du Président des Etats Unis.
    En France, il est vrai, contrairement aux USA ou à l’Etat d'Israël, par exemple, seuls les terroristes et les délinquants sont armés. Même les policiers, malgré les promesses faites au lendemain des attentats du 13 novembre 2015, restent, en fait, dans l'obligation de de se séparer de leur arme dès leur service terminé.
    Au demeurant, un policier, qu'il soit en service ou pas, s'expose, en faisant usage de son arme, aux conséquences administratives et éventuellement pénales que l'on sait.
    La défense de la population est un devoir d’État. C’est à lui qu'il appartient, par le renseignement, par l'action des services spécialisés et de l'ensemble des forces de l'ordre, par une justice exemplaire et sans indulgence dont l'arsenal doit comprendre le rétablissement de la peine de mort, de combattre et d'éradiquer les menaces et avant tout celle du terrorisme islamique.
    Avant tout ! Mais pas seulement. Au moment où crimes abominables, règlements de comptes qui mettent en danger les innocents et délinquance organisée ensanglantent nos villes et nos campagnes, il n'est plus possible de ne pas mettre en cause la société  de culpabilisation permanente et de déresponsabilisation dans laquelle sont abandonnés nos compatriotes livrés au hasard de l'insécurité chronique.
    Le Parti de la France demande que s'ouvre un débat public débouchant sur une voie législative en vue d'une réforme de la détention et du port d'armes, ainsi que de la notion légale de légitime défense pour les policiers comme pour les citoyens.
    La sécurité est la première des libertés. Elle dépend de l'Etat mais elle est aussi de la responsabilité de chacun d'entre nous.
       
     
           
     

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    @carllang2022

     

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  • Argumentaire Droite Nationale

     

       
     

     
    ICIOININIEIXIIIOINI
    LA LETTRE ARGUMENTAIRE DU PDF
    directeur de publication : Jean-François Touzé
     

    30 avril 2018

     
       
     
       
    Macron…
    … en Amérique 
     
    La visite d’État qu'Emmanuel Macron vient d'effectuer aux États-Unis s’inscrit dans le circuit normal des relations diplomatiques qu’un grand pays comme la France se doit d'entretenir avec l’ensemble des nations organisées en États.
    Ce voyage, marqué par une succession de sketches et saynètes d'apparences contradictoires, n'en pose pas moins un certain nombre de questions.
    • Existe-t-il aujourd'hui une « relation spéciale » entre les États-Unis et la France, relation qui dépasserait en qualité et en importance toutes les autres ?
    • La France de Macron a-t-elle pour ambition de remplacer la Grande Bretagne dans son rôle traditionnel d’allié privilégié des États-Unis ?
    • Existe-t-il une cohérence des positions françaises en matière internationale ? Tout au long de son séjour, le président français a parlé de multilatéralisme tout en évitant soigneusement de se démarquer des lignes US. C'est ainsi que, quelques heures avant son arrivée aux États-Unis, Emmanuel Macron avait eu l'habileté, pour devancer les critiques, de faire annoncer par le Quai d'Orsay que Paris et Moscou réaffirmaient ensemble leur attachement au plan sur le nucléaire iranien… Pour s'aligner le lendemain sur les positions américaines (nécessité d'un nouvel accord), après une sortie publique inattendue, ferme et particulièrement directe de Donald Trump.
    • Le prochain voyage d'Emmanuel Macron à Moscou sera-t-il empreint de la même chaleur et marqué par la même proximité de vue que celles officiellement affichées avec Donald Trump ?
    Poser ces questions, c’est évidemment, commencer d'y répondre.
    Nul doute qu'Emmanuel Macron, sur de ses talents et de la supériorité intellectuelle qu'il s’attribue, pense qu'il ne peut que sortir gagnant de ses têtes à têtes avec le Président américain, tout en reconnaissant, par ailleurs, aux États Unis, le leadership occidental. Il n'est pas indifférent que ce soit devant le Congrès, temple de l'establishment, que Macron ait été le plus applaudi, flattant les « élites » et se montrant très critique à l’égard de Trump. Ce n’était plus là de l'alignement, c’était de la consanguinité. Macron est bien un démocrate. À la mode américaine.
    Beaucoup de naïveté pourtant dans cette tentative d'enfoncer un coin entre le président américain et les parlementaires. C'est confondre l'accessoire et l'essentiel. C’est surtout faire l'impasse sur la très grande constance de la politique internationale américaine qui relève d'un consensus marqué par le wilsonnisme, mot poli pour désigner l’impérialisme moralisateur et mercantile à visage étoilé.
    Une nation comme la nôtre, forgée par l’Histoire et rompue aux épreuves, doit savoir qu’elle n'a pas d'amis. Seulement des partenaires ou des alliés tant que convergent les intérêts. L'oublier c’est déjà entrer dans la dépendance.
    Le Parti de la France sait combien sont multiples et divers les États-Unis d’Amérique où se côtoient le meilleur et le pire. Nous nous sommes réjouis de l’élection de Donald Trump face à Hillary Clinton, candidate du Système et des élites autoproclamées. Force est de constater que, jusqu'à présent le Président américain a tenu l'essentiel de ses promesses sur le plan intérieur.
    Mais les intérêts américains ne sont pas nécessairement les nôtres. En particulier en politique internationale. En s’alignant purement et simplement sur les positions US dans l'affaire syrienne ; en ne répondant pas – ou si peu  aux mesures protectionnistes décidées par l'administration Trump par des mesures similaires pour protéger le marché français ou inciter l'Europe à le faire ; en jouant systématiquement, au-delà des divergences de façade, le jeu de l’allié fidèle, suiviste et souvent silencieux, Macron a, durant tout son séjour, agi et parlé comme un supplétif plutôt que comme un chef d’État, s'inscrivant dans la continuité d'une politique atlantiste hostile à la Russie et vassalisante pour l'Europe, que la fin de la guerre froide aurait dû rendre obsolète.
    Supplétif, mais aussi élève comme on a pu le voir lors de la conférence de presse à Washington où Donald Trump n'a pas hésité à faire la leçon, de manière particulièrement humiliante, à un Emmanuel Macron en particulier en matière de terrorisme islamique et d'immigration. Humiliation aussi quand le Président français laisse le Président américain, hilare, essuyer les pellicules de son costume sans réagir.
    Le Parti de la France considère que la voix de la France doit se faire entendre dans l’indépendance, la souveraineté et l’affirmation de son génie propre tout en œuvrant à la construction d'une Europe politique de la puissance, seule capable de répondre aux défis et de défendre notre civilisation. 
       
     
       

    @carllang2022 - 25 avril

    La nouvelle lubie de certains "intellectuels" français est de demander aux imams de réformer le Coran. Rien que cela.. Ils devraient pourtant savoir que pour les musulmans ce texte est révélé et sacré.
    Sourate 2 verset 2 : " Voici le livre! Il ne renferme aucun doute..."
     
     
     
     
    Plan Borloo pour les banlieues :
    le tonneau des Danaïdes.
    Un « big bang institutionnel », c'est ainsi que Jean Louis Borloo a voulu qualifier le rapport qu'il vient de remettre au Premier ministre qui le lui avait commandé dans les premières semaines de son arrivée à Matignon. Quelques dizaines de propositions fumeuses pour éviter, selon le mot toujours confus de l’ancien ministre de Chirac et de Sarkozy, « un nouvel apartheid en matière de mixité au nom de l'égalité républicaine ».
    Depuis 1977, de « plans banlieues » à « plan Marshall pour les quartiers », de créations d'agences dédiées comme L’ANRU (Agence Nationale pour la Rénovation Urbaine) en signatures de pactes pour la ville, de « contrats de cohésion sociale » en zones franches pour les cités, c'est près de cent milliards d’euros qui ont été investis dans cette « politique de la ville » dont le plan Borloo est la dernière mouture en date (la quatorzième !) et dont la « discrimination positive » est la finalité en même temps que le moyen d’y parvenir. Un gouffre financier pour des « quartiers » aux populations substitués, cela au détriment du reste du territoire, en particulier des zones rurales, et de l’immense majorité de nos compatriotes qui, eux, ne dégradent pas leur environnement, ne brûlent pas les voitures et n’agressent pas les forces de l'ordre.
    Incapables d'intégrer, encore moins d'assimiler les populations allogènes qui, depuis plus d'un demi-siècle, se sont installées dans les cités des périphéries urbaines, les pouvoirs successifs, de droite et de gauche, ont, en quatre décennies, répandu, en pure perte, l’argent public au bénéfice des associations et des lobbies immigrationnistes, tout à la fois par idéologie, par mauvaise conscience et par crainte d'une explosion généralisée.
    Quarante ans après le lancement du premier plan banlieues, la sécession des cités, aux mains des caïds et des imams, est une réalité que les préconisations du plan Borloo – investissement sur dix ans de 48 nouveaux milliards dont un fond permanent de 5 milliards, renforcement de l'apprentissage, objectif surréaliste de faire des banlieues une « avant-garde économique et culturelle », création d'une haute école dédiée, investissement sur le numérique – ne parviendront évidemment pas d’avantage à inverser que ne le firent les dispositions de ses treize prédécesseurs.
    Rien n'oblige le gouvernement à reprendre à son compte les propositions de Jean-Louis Borloo. Mais tout indique que, pour une bonne partie d'entre elles, ce sera le cas. Emmanuel Macron a, en effet, d'ores et déjà programme une intervention sur le sujet pour la mi-mai.
    Pour le Parti de la France, il ne peut exister qu'un seul « plan banlieues » : celui de la reconquête. Reconquête par les forces de l'ordre des cités abandonnées à la racaille et au crime organisé.
    Reconquête par la France des pans de son territoire abandonnés à l’islamisme. Reconquête des banlieues populaires par et pour les Français qui ont le droit – et le devoir- d'être maîtres chez eux.
    Un plan qui ne coûtera pas des milliards. Seulement le prix de la volonté politique. 
     

    Meurtre de la jeune Angélique

    Une fois de plus, une adolescente, presque encore une enfant, à qui la vie souriait a été violée et massacrée par un monstre multirécidiviste des attaques sexuelles.
    Avec le Parti de la France, les violeurs d'enfants ne seraient pas laissés en liberté sans contrôle extrême après l’exécution totale de leur peine qui sera d'une sévérité exemplaire.
    Avec le Parti de la France, la peine de mort sera rétablie pour les tueurs d'enfants comme pour les terroristes et les assassins de policiers ou gendarmes.
     
     
     
    Notre-Dame-des-Landes :
    le gouvernement recule !
     
    Que le projet ait été fondé ou non, en annonçant en janvier dernier sa décision — en réalité celle d'Emmanuel Macron — de ne pas donner suite à la construction d’un nouvel aéroport sur le site de Notre Dame des Landes, Édouard Philippe opérait un recul en rase campagne par rapport aux engagements de l’État, renforcés par la consultation populaire et le soutien de la plus grande partie des élus locaux.
    Dans le même temps, il tentait de camoufler cette reculade par l'affirmation affichée de sa fermeté quant à l’expulsion des zadistes.
    Trois mois ont passé, trois semaines se sont écoulées depuis le début des opérations de libération des terrains illégalement occupés. Force est de constater que la supposée fermeté n’était que posture. Les zadistes sont toujours là, gauchistes et anarchistes tiennent le terrain, posent leurs conditions aux autorités, tandis que les gendarmes mobiles, contraints par les ordres reçus, voient leurs opérations de la journée défaites au cours de la nuit suivante. Opérations qui au 25 avril avaient déjà coûté au contribuable français la modeste somme de cinq millions d'euros. Pendant ce temps, la préfète, aidée de Nicolas Hulot, dialogue et consulte. Le Premier ministre, quant à lui, temporise et fixe au 14 mai une nouvelle échéance d’évacuation.
    Avec le Parti de la France, aucune action, aucune provocation, aucune opération, aucune occupation de l'ultra gauche ne sera tolérée.
    Avec le Parti de la France, l'ordre sera restauré, maintenu et respecté. 
     
       
    Pression fiscale :
    la grande manipulation…
     
    En affirmant qu'il n'y aurait aucune augmentation d’impôts pendant son quinquennat, Emmanuel Macron joue sur les mots, témoignant ainsi du mépris dans lequel il tient les Français.
    Il est vrai que les impôts nationaux directs, que ce soient pour les foyers ou pour les sociétés, semblent, pour le moment gelés. Mais jusqu'à quand ? Alors même que la croissance fléchit à nouveau +0,3 % au premier trimestre au lieu de 0,7 %), la reprise de la dette de la SNCF par l’État tout comme la relance de la Politique de la Ville ou l'instauration d'un service national pour tous devront bien être financées, tandis que la dette colossale de la France (2 200 milliards) ne pourra demeurer éternellement sans réponse au regard des engagements de Maastricht.
    L’allégement fiscal promis par le Président de la République et censé être mis en œuvre par le Premier ministre, Édouard Philippe et le ministre des finances, Bruno Le Maire, tous deux venus de la droite libérale, est, en réalité, un leurre.
    En un an, ce sont, en effet, huit nouvelles taxes qu’a créées le gouvernement, compromettant ainsi un peu plus le pouvoir d'achat des Français comme la compétitivité des entreprises. Nouvelles taxes auxquelles s'ajoutent celles décidées en fin de mandat sous l'autorité de François Hollande et dont les effets entrent en vigueur dans le cours de l'année 2018.
    Une fiscalité aggravée par les impératifs doctrinaux de l’idéologie écologiste qui se traduisent par l’augmentation de la taxe carbone, de celles sur le diesel ou le tabac. Augmentation aussi de 1,7 % pour tous de la Contribution sociale généralisée (CSG). Augmentation probable, à terme, de la taxe foncière, effet pervers de la suppression de la taxe d'habitation qu'il faudra bien compenser, entraînant presque mécaniquement une refonte des valeurs locatives. Augmentation probable également de la taxe d'habitation sur les résidences secondaires.
    Comment ne pas considérer, par ailleurs, l'impôt sur la Fortune Immobilière (IFI) comme un nouvel impôt ? Certes, il remplace l’ancien Impôt Sur la Fortune (ISF), mais en faisant porter la pression sur les propriétaires seuls, devenus les vaches à lait du régime
    Le prélèvement à la source, enfin, s’il ne conduit pas à des augmentations, se traduira, dès 2019, par effet-retard, à une complexification fiscale menant à des remboursements différés sur plusieurs mois, par exemple des aides aux services à domicile.
    Pour le Parti de la France, il est urgent de rendre aux Français le produit de leur travail et de leur épargne, tout en permettant aux entreprises de conforter leur compétitivité. Cela passe par un allègement réel de la pression fiscale qui étouffe les familles et étrangle les entrepreneurs. Avec pour condition sine qua non la réduction drastique du train de vie de l'État et des collectivités locales, la fin de la gabegie, la chasse aux fraudes et au gaspillage, la suppression des organismes inutiles et d’au moins un des échelons administratifs de la Nation, sans même compter sur les économies réalisées par notre politique cohérente et réaliste d'immigration zéro (le coût annuel de l'immigration peut être raisonnablement évalué à 70 milliards). 
       
     
    École primaire :
    Blanquer, mission impossible
     
    Apprentissage de la lecture par le retour de la méthode syllabique, contrôle de l’écriture, utilisation d'un manuel, pratique de la dictée, cours de grammaire, maîtrise de l'orthographe et du calcul, respect des fondamentaux… Qui, sinon les idéologues marxistes et post marxistes des révolutions pédagogiques en fonction depuis des décennies pour le malheur des élèves et de générations d'enfants sacrifiés, pourrait être en désaccord avec un tel programme présenté par Jean-Michel Blanquer dans une circulaire adressée aux enseignants ?
    Nous ne mettrons en doute ni la sincérité ni la bonne volonté du ministre de l'éducation nationale, surtout lorsque ce dernier annonce parallèlement le rétablissement dans le secondaire de l’histoire chronologique et le renforcement du latin et tente d’e garer une vraie sélection dans le Supérieur.
    Il n'est pourtant pas possible de croire à la réussite de ce projet de simple bon sens.
    • Impossible, en effet, de le mettre en œuvre sans casser au préalable les forteresses syndicales et associatives révolutionnaires de l’éducation nationale, partisans de la « liberté pédagogique ».
    • Impossible de le mettre en œuvre sans en finir avec la philosophie de nivellement par le bas qui est, depuis plus trente ans, la règle de base selon laquelle seuls les « défavorisés » méritent l'attention des enseignants.
    • Impossible de le mettre en œuvre sans remettre en question la carte scolaire.
    • Impossible, enfin, de le mettre en œuvre tant que des classes entières seront composées d’enfants n’ayant ni la même culture, ni le même attachement charnel à la France, a sa langue et à son identité que les nôtres.
    Le Parti de la France veut une école de l'instruction nationale débarrassée des apprentis sorciers de la pédagogie constructiviste, où aucun enfant français ne sortira du primaire sans savoir lire, écrire et calculer, où sera enseignée l'histoire de France, de ceux qui l'ont faite et des grands événements qui l'ont forgée, où sciences fondamentales et physiques seront apprises et perfectionnées pour donner à notre Pays les ingénieurs, les scientifiques, les chercheurs, les médecins, dont il aura besoin demain pour affronter les immenses défis de ce troisième millénaire et faire face aux enjeux du monde tel qu’il est, mais où seront enseignées également littérature et philosophie selon les règles de la vision critique avec le retour des « humanités ». Une Instruction nationale juste mais sélective qui se contentera de faire apprendre et de transmettre la connaissance sans empiéter sur le domaine de l’éducation par les familles. Une Instruction nationale française. 
     
           
     

    Réinfo, le magazine d'information

     

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  • Après REINFO, Argumentaire du PDF

     

     

       
     

     
    ICIOININIEIXIIIOINI
    LA LETTRE ARGUMENTAIRE DU PDF
    directeur de publication : Jean-François Touzé
     

    23 avril 2018

     
       
     
       
    Marron l’Européen?
     Non ! Macron l'européiste. 
     
    Le mardi 17 avril, s’exprimant pour la première fois devant les élus du Parlement européen, Emmanuel Macron a appelé de ses vœux « Une nouvelle souveraineté européenne ».
    L’actuel Président de la République se serait-il soudain converti à une conception qui nous est chère, celle d’une Europe indépendante, Europe de la puissance — « rêve des sages et ambition des puissants » selon une expression fameuse — et incarnation d'une vision civilisationnelle ?
    Non, bien sûr. La volonté européenne d'Emmanuel Macron est défensive : défense du système techno-structurel de l'Union européenne. Défense de la Commission européenne, défense de l'Europe supranationale, aboulique et translucide, défense de ce qu'il nomme « démocratie européenne » qui n'est en fait que le mode d'asservissement des peuples du Continent.
    Défense contre quoi ? Contre la déferlante migratoire ? Contre l'offensive islamiste ? Contre les effets pervers du mondialisme ? Contre les pratiques inamicales des économies protégées que sont aussi bien celles des États-Unis que celle de la Chine ?
    Non ! Défense de l’Union européenne contre le « somnambulisme », selon son mot, des eurosceptiques et contre l’ennemi qu'il désigne dans son discours sous le nom de « populisme » pour ne pas prononcer celui de « Droites nationales »
    Le Parti de la France défend, lui, l’idée d'une Europe authentiquement souveraine, libérée des dépendances et des alignements, fondée sur la force et la vitalité des nations qui la composent, Europe charnelle et civilisationnelle, consciente de ce qu'elle est, enracinée dans l’histoire, fière de son héritage hellénique et de ses racines chrétiennes qu'il lui appartient de protéger en partenariat avec la Russie que tout rattache à notre conception de l'occident.
       
     
       

    @carllang2022 - 13 avril

    Nous ne désertons pas le pavé parisien. Une délégation du Parti de la France sera présente à Paris le 1er mai aux côtés de Jean-Marie Le Pen et nous participerons le dimanche 13 mai au défilé traditionnel d'hommage à Jeanne d'Arc organisé par Civitas. Semper fidelis !
     
       

    @carllang2022 - 17 avril

    70 gendarmes blessés depuis le début des opérations à Notre-Dame des Landes et très peu d'interpellations. Le ministre de l'intérieur est manifestement plus inquiet pour la sécurité des voyous zadistes que pour la sécurité de ses propres forces de l'ordre. Honteux!
     
     
     
     
    Affaire Vincent Lambert :
    le choix de la vie.
    Pour la énième fois, une décision de justice vient d'intervenir ordonnant une nouvelle expertise médicale afin de trancher entre les membres d'une même famille sur le fait de savoir si leur fils, leur frère ou leur époux, plongé dans un état végétatif mais dont de nombreux médecins dont les professeurs éminents qui viennent de publier une tribune dans le Figaro estiment que ses capacités ne sont pas anéanties, doit vivre ou mourir.
    Les souffrances des uns comme des autres ne se partagent pas et loin de nous la volonté de donner des leçons.
    Mais en tant que formation politique responsable, le Parti de la France, en restant sur le seul plan des valeurs et des principes, ne se place que sur une position unique et définitive : le respect de la vie, de son commencement à son achèvement, ce qui exclut l'euthanasie.
    La mobilisation contre le mariage pour tous a montré que, dans une large mesure, le Pays partageait notre inquiétude face aux dérives sociétales. C'est ce qu'Emmanuel Macron a bien compris. Quand il parle aux Catholiques comme il l'a fait devant les évêques de France au collège des Bernardins, c'est avant tout – en même temps que de préparer les esprits à des mesures favorisant l’islam soi-disant de France – pour tenter de désamorcer la colère qui monte devant les atteintes aux principes éternels de la vie.
    Au moment où le pouvoir se prépare à lancer une grande offensive dans le domaine des lois dites bioéthiques, avec la surenchère qui ne manquera pas de survenir de la part de la gauche et des associations constructivistes, nous nous référons à l'ordre naturel, ordre naturel qui ne s’oppose en rien à la recherche ni aux avancées médicales et scientifiques, pour refuser et condamner toutes les dérives, en particulier la Gestation pour autrui (GPA) contre laquelle nous serons en première ligne.
     

    Conseil national

    du PDF

    Le 12 mai, à Paris, le Parti de la France tiendra un Conseil National élargi. L’ordre du jour portera principalement sur les questions de formation des cadres, d’organisation du Parti de la France et de notre stratégie pour les échéances électorales à venir. Dans le contexte politique actuel Le Parti de la France a, plus que jamais, pour vocation de devenir la force politique de rassemblement de la droite nationale française.

     
     
     
    Albanie et Macédoine dans l’Union Européenne ?
    NON !
     
    La commission européenne a solennellement, le 17 avril, ouvert grand les portes à d'adhésion de l'Albanie et de la Macédoine à L’UE.
    Pays musulman, plaque tournante du crime organisé, premier exportateur de graines de cannabis vers l'Europe, minée par la corruption, le chômage et la violence endémique, l'Albanie dont l’amitié intéressée de ses dirigeants oscille entre les États-Unis et la Turquie serait, à n'en pas douter, une recrue de choix pour tous ceux qui veulent la décomposition totale du continent et l'accélération de sa marche vers le chaos.
    Le cas de la Macédoine historiquement hellénique, quoique différent et ne présentant pas les mêmes risques, ne peut être retenu en l’état, du fait de sa situation économique et de sa rivalité avec la Grèce. À noter que si une grande majorité de ses habitants est orthodoxe, une forte minorité musulmane (entre 25 et 30 %) y est très active.
    Pour le Parti de la France, l’élargissement d’une Union européenne impotente, incapable de faire face aux enjeux de la mondialisation et de s'opposer au raz de marée des migrants ne peut être envisagé. L'Europe à construire devra être basée sur les piliers de force nationaux et la cohérence interne, historique et spirituelle de ses membres.
     
       
    Sondage Paris Match :
    intox sur papier glacé…
     
    Selon un sondage IFOP publié le 19 avril par l'hebdomadaire Paris Match, si la Présidentielle avait lieu aujourd'hui, Emmanuel Macron triompherait avec 32 % (36 % en cas de candidature Wauquiez crédité de 8 %), soit au moins 9 points de plus que l’année dernière, tandis que Marine Le Pen conserverait sa deuxième place avec 23 % devant Jean-Luc Mélenchon qui reculerait avec 16,5 % des suffrages.
    Et chacun de se féliciter et s’auto-célébrer…
    Ce sondage relève évidemment de l'intox.
    Intox car une élection présidentielle, c’est avant tout une campagne, avec ses acteurs, leur créativité et leurs erreurs, avec les éléments de surprise qui font que rien n'est écrit par avance. Les élections de 2002 et de 2017 en ont suffisamment fait la démonstration.
    Intox car, même si l'hebdomadaire feint de ne voir dans cette enquête rien d’autre qu'un « arrêt sur image », il est évident qu'il s’agit là d'une volonté de crédibiliser Macron, ce qui ne peut étonner venant d'un journal qui, à longueur de pages, d'articles et de photos, ne cache qu'avec peine son soutien au locataire de l’Élysée.
    Intox car, se voulant sans le dire une projection vers 2022, ce sondage constitue un acte politique vers la réélection d'Emmanuel Macron, en tentant de figer les positions.
    Intox car, dans le même sondage, mais item traité avec moins de tambours et trompettes, on apprend que 58 % des personnes interrogées se disent mécontentes de Macron. Vous avez à dit « cohérence » ?
    Rien n'est écrit. Rien n'est ossifié. Personne ne peut dire ou en sera la France dans quatre ans. Attentats, émeutes, crise sociale ou internationale peuvent, ce que nous ne souhaitons pas, bouleverser la donne.
    Personne ne sait non plus ce qu'il adviendra de Marine Le Pen et de son Rassemblement national, entre déception, hémorragie militante et procédures judiciaires.
    Ce que sait le Parti de la France, c’est qu'il doit se tenir prêt à relever le défi lorsque, le jour venu, le grand vent de l’histoire soufflera à nouveau.
    Nous le ferons en nous organisant, en étant présent sur le terrain, en renforçant notre communication autour de notre président Carl Lang.
       
     
    Loi « Immigration » :
    nouveau tour de passe-passe
     
    La grande crainte des gouvernements républicains étant la possible cristallisation de la colère populaire face au tsunami migratoire, ils tentent depuis des années, en faisant se succéder lois cosmétiques et mesures d'artifices, de distraire le mécontentement en feignant de s'attaquer aux effets de l'immigration sans pour autant en appréhender les causes ; ce qui, il est vrai, leur serait difficile puisque tout, dans leur philosophie et leur vision de l’humanité, va dans le sens de l’immigrationnisme tandis que la peur des associations et des lobbies les paralysent.
    La loi Collomb qui vient d’être débattue à l’assemblée en première lecture n’échappe pas à cette supercherie.
    Loin de réduire les conditions de la déferlante, elle est, en effet, de nature à en aggraver la portée et à en accélérer encore et encore l’intensité tandis que, en catimini, le gouvernement, comme l'a reconnu le ministre de l’Intérieur auprès d'élus de gauche, se prépare à régulariser un grand nombre de clandestins.
    Quatre mesures phares dans cette loi :
    1. La réduction des délais de cent vingt jours à quatre-vingt-dix pour l’étude des dossiers de droit d'asile par une procédure accélérée. Censée faciliter les conditions d’expulsion des demandeurs déboutés, elle aura, de fait, un effet d’aspiration supplémentaire de candidats à l'immigration à qui les passeurs représenteront qu'en France, les dossiers vont vite et que l'asile en est facilité.
    2. Le passage de 45 à 90 jours de la durée de rétention des clandestins. Présentée comme un volet éminemment répressif de la loi et combattue comme tel par la gauche et l’extrême gauche, cette mesure est dérisoire. Il faut savoir, à titre de comparaison, que la durée de rétention est en Allemagne de quinze mois, et qu'elle est illimitée en Grande Bretagne.
    3. Le regroupement familial autour des mineurs bénéficiant du droit d'asile, non seulement ne sera pas supprimé pour ce qui concerne les ascendants, mais sera étendu aux frères et aux sœurs et pourquoi pas, les amendements jouant, aux oncles, aux tantes, aux cousins, notions parfois très larges et souvent invérifiables dans la plupart des pays d'origine. C'est donc bien une nouvelle filière d'immigration par les « mineurs » que crée la loi Collomb, voulue par Emmanuel Macron et défendue par l'actuelle majorité.
    4. L'assouplissement du délit fit de solidarité qui vise celles et ceux qui aident les clandestins à entrer dans notre pays. Un assouplissement qui ne peut que réjouir les passeurs.
    Le Parti de la France se prononce pour l'immigration zéro par l’arrêt de toutes les pompes aspirantes, le contrôle drastique de nos frontières nationales et européennes, la suppression du regroupement familial, la réforme du code de la nationalité, l'abandon du droit du sol, l’expulsion des clandestins et des délinquants étrangers, la reconquête des pans perdus du territoire français et la mise en œuvre d'une politique cohérente de rémigration.
     
     
           
     

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  • Ils attendent le "grand soir"

    En attendant le grand soir

     

    Rédigé le Lundi 16 Avril 2018 à 18:23 | 0 commentaire(s)

     

    LE REMPLACEMENT NATIONAL. Décidément, certains semblent vouloir rester fidèles à la formule « On ne change pas une équipe qui perd »... On aurait pu penser que la refondation du FN futur Rassemblement national s'accompagnât d'un retour aux fondamentaux du combat national.


     Eh bien, il n'en est rien... Vous avez certainement vu passer un visuel du FNJ s'insurgeant à raison contre la fermeture de classes dans les zones rurales au profit des banlieues de l'immigration. Or, pour incarner une Française vivant dans ces zones rurales, le FN n'a trouvé rien de mieux que de présenter une... Africaine... A croire qu'effectivement pour la direction du parti de Marine Le Pen pense que la grand remplacement n'est qu'un fantasme... Ou a fait d'un célèbre dessin de Konk « Tout le monde est français »  un slogan politique... La preuve surtout que la ligne prétendument Philippot n'est ni plus ni moins que la ligne MLP... Et que cette ligne néfaste perdure malgré le départ de l'ancien protégé de MLP,

     

    Alors le FN peut bien prétendre vouloir lutter contre l’immigration, la submersion migratoire, les faits parlent d'eux-mêmes, le FN intègre parfaitement l'idée qu'être français ne signifie pas comme le disait De Gaulle, via Peyrefitte : « C’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu’elle a une vocation universelle. Mais à condition qu’ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. » Sidérant, pour des thuriféraires du « grand homme ».

     

    Tout ceci montre surtout que le FN navigue à vue, sans colonne vertébrale. Pour en sortir, le seul avenir d'une vraie droite nationale, populaire et sociale, intransigeante sur le fond, mais faisant preuve parfois de souplesse c'est le Parti de la France.

     

    Arnaud Malnuit

     

  • Argumentaire Droite Nationale

     

     

       
     

     
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    17 avril 2018

     
       
     
       
    Notre Dame des Landes, Tolbiac, cités… zones interdites. 
     
    Censée être effective depuis une semaine, l'expulsion des quelques centaines de professionnels de l'extrême gauche qui occupent le site de Notre Dame des Landes semble loin d’être réalisée et la guérilla continue contre les gendarmes qui, ordres de modération ayant été donnés par le pouvoir politique, ne parviennent pas à se rendre maîtres des lieux.
    Occupée depuis plusieurs semaines par les gauchistes dont tirés peu d’étudiants, la faculté parisienne de Tolbiac s’est auto-rebaptisée « commune libre de Tolbiac ». Des centaines de milliers d'euros de dégradation sont d’ores et déjà à déplorer tandis que l’immense majorité des étudiants se voit empêcher de travailler, de préparer ses examens et vit sous la menace.
    Pas plus qu'à Notes Dame des Landes, la force publique ne semble capable de s’imposer à Tolbiac. Comment en serait-il autrement dans une France à l’autorité bafouée, où des centaines de cités sont interdites aux unités de police et de gendarmerie, zones dites de non droit qui sont, en réalité des zones de sécession, où règnent caïds et imams ?
    Avec le Parti de la France au pouvoir, les forces de l'ordre recevraient les ordres nécessaires à l’exécution de leurs missions, et les zones occupées - cités, ZAD, facs - seraient évacuées et nettoyées. 
    Quel qu'en soit le prix.
       
     
       

    @carllang2022 - 13 avril

    La Cour de Justice de l'Union Européenne vient d'autoriser les clandestins mineurs à être réunis avec leurs familles en Europe. C'est le droit au service de l'immigration illégale et une porte ouverte de plus à la colonisation de peuplement. Le poisson pourrit par la tête...
     
       

    @carllang2022

    Lorsque Macron assiste au dîner du CRIF ou répond à l'invitation du Conseil Français du culte musulman cela ne dérange personne, mais lorsqu'il s'exprime à la conférence des évêques de France cela fait polémique. Toujours la même haine antichrétienne...
     
     
     
     
    Syrie : frappes négociées
    et vassalité renouvelée
    En frappant la Syrie, les forces du Bien viennent, en termes de communication politique plus que sur le terrain, d’apporter à l'islamisme un soutien qui, au regard des faits et des enjeux, vaut approbation.
    Trois points méritent d’être pourtant soulignés. 
    • 1/ Une fois de plus, la « morale occidentalo-wilsonienne » met en avant l'existence ou l'utilisation d'armes prohibées- de destruction massive hier en Irak, chimiques aujourd'hui en Syrie- pour justifier une intervention en réalité liée aux réserves de pétrole ou de gaz et à la volonté de favoriser les pétro-monarchies dans leur rivalité avec l'Iran. Politique aventureuse qui, en Irak, en Lubie et en Syrie n'ont mené qu'au chaos.
    • 2/ La modestie des frappes et la sage réaction de la Russie, réaction indignée mais toute en réserve, témoignent de ce que l'attaque occidentale avait été largement négociée. Il s'agissait, en réalité, de permettre à Donald Trump et ses alliés, imprudemment engagés sur le chemin interventionniste sans en avoir mesuré les conséquences vers une confrontation avec la Russie, de céder sans, pour autant, perdre la face. En ce sens, les frappes tripartites relevaient surtout de la gesticulation.
    • 3/ En suivant Donald Trump sur cette voie absurde, Emmanuel Macron a placé la France, comme jamais, sur une position d’alignement qui fait de notre pays un vassal bien d'avantage qu’un allié. La voix de la France ne compte plus et le prochain voyage du Président de la République à Moscou, s'il est maintenu, risque bien d’être considéré par Vladimir Poutine comme un événement de bien modeste portée.
    Le Parti de la France ne soutient aucun régime étranger mais cherche à ce que soient maintenus les équilibres nécessaires à la paix mondiale et à la défense des intérêts de la France. Ces équilibres ne passent pas par la destruction de la Syrie et son abandon aux mains de l’Etat islamique. Ils ne peuvent non plus se fonder sur une politique périlleuse et aventuriste. Ils ne peuvent reposer sur le déclenchement et l'entretien d'une nouvelle guerre froide avec la Russie.
    Pour le Parti de la France dont les positions ne sont dictées que par le seul souci de notre bien national et celui, civilisationnel, d'une Europe des États libres, il n'existe pour une Nation vivante qu’une seule voie, celle de la souveraineté, de la coopération européenne et des partenariats, comme celui que nous devrons mettre en œuvre avec la Russie.

     

    Ca y est ! Macron a été promu Sherif-adjoint avec une belle responsabilité de supplétif ! À défaut de la colère, cela ne mérite que le mépris…
    @carllang2022

     

     
       
     
    SNCF : ni statu quo, ni privatisation, ni syndicalisme bolchevique
     
    La France se trouve, une fois de plus, confrontée au chantage d'une minorité syndicalo-bolchévique qui tente de paralyser le Pays et prend en otages des millions de nos compatriotes.
    Le Parti de la France condamne sans restriction les agissements de ces syndicats politisés que sont la CGT et Sud-rail pour qui la lutte des classes reste une règle d'action, et la défense de leurs intérêts claniques une priorité.
    Pour autant, le projet de réforme initié par Emmanuel Macron et défendu par l'actuelle majorité ne peut en aucune manière entraîner l’adhésion de la Droite Nationale pour qui seule compte la défense des intérêts français.
    L’intérêt de la France n'est, certes pas, dans le statu quo. Avec une dette de 50 milliards qui, si elle devait être « reprise » par l’état ruinerait un peu plus les comptes publics et obèrerait d’avantage encore le pouvoir d'achat des contribuables, la SNCF est une entreprise en lambeaux, au fonctionnement aléatoire et à la sécurité hasardeuse. C'est la conséquence de décennies d’indécisions, de laisser-faire et de procrastination. En s'interdisant, par lâcheté, de se pencher sur le statut des cheminots et d’en finir avec certains de leurs privilèges, en matière de retraite en particulier, et en créant deux entités séparées pour tenter de camoufler l'ampleur de la dette, les gouvernements successifs ont entraîné l'entreprise dans une impasse dont ils espèrent sortir par la mise en concurrence et, à terme, la privatisation voulues par l'Union européenne. 
    Ni l’une ni l'autre ne sont conformes à l’intérêt national.
    • D'abord parce que les transports - le rail en particulier - participent des nécessités stratégiques de la France.
    • Ensuite parce que le rail doit demeurer un service public. La rentabilité est une chose que la Droite nationale, soucieuse de la bonne marche de l’économie, ne conteste nullement. Mais le maillage ferroviaire qui fit jadis la fierté du Pays en un temps où les trains partaient et arrivaient à l'heure et ne se transformaient pas en coupe-gorges le soir tombé, doit être défendu. La France profonde à besoin de ses gares comme elle a besoin de ses bureaux de poste.
    • Enfin, au-delà des TGV, les TER ou Intercités gérés et financés par les Régions au bord de l'asphyxie financière seraient, sous leur forme de « service », condamnés par la mise en concurrence. 
    Une nouvelle fois, la preuve est faite que seule une politique authentiquement nationale, réaliste et courageuse, sera en mesure de s'opposer, à la fois à l'immobilisme clientéliste des syndicats, aux exigences ultra libérales et aux diktats de la Commission européenne en cassant les organisations révolutionnaires et en réformant, dans ses structures comme dans son fonctionnement, la SNCF tout en permettant aux Français de disposer d'un service public de qualité.
     
       
    Union des droites
    ou Union pour la fausse droite ?
     
    Thierry Mariani, ancien maire de Valréas, ancien député du Vaucluse, ancien élu des Français de l'étranger, ancien ministre de Nicolas Sarkozy, ancien animateur de l'ex droite populaire, club parlementaire destiné à établir des rapports de force au sein de l'UMP devenue Les Républicains afin d’y grignoter quelques postes utiles, n’étant aujourd'hui plus rien se verrait bien redevenir quelque chose en 2019. Député européen, par exemple. Cela tombe bien : à la recherche d'une nouvelle stratégie d'ouverture, Marine le Pen lui ouvre les bras.
    D'autres acteurs sont à la manœuvre pour créer les conditions d’une Union des droites supposée être l'alpha et l’oméga du renouveau politique et du relèvement de la France : Marion Maréchal Le Pen, Robert Ménard, Jean-Philippe Poisson, Nicolas Dupont Aignan ou, plus récemment, Christine Boutin.
    Une telle stratégie pourrait se défendre avec une droite nationale puissante. Ce n’est pas aujourd’hui le cas.
    Créer les conditions de cette Union, c'est à coup sûr, entrer dans le piège de la petite politique, la politique politicienne la plus détestable. C'est aussi sauver du néant les has been de la droite républicaine. C'est renoncer, à terme, à la spécificité de la droite nationale. C'est jouer le jeu du Système. C'est, au final, renforcer une droite républicaine qui a, par lâcheté ou confort, largement contribué à la situation dramatique dans laquelle se trouve le Pays.
    Le Parti de la France n'entrera pas dans ces manœuvres. Demain, une droite nationale puissante, celle que nous incarnons, pourra, le cas échéant, traiter des alliances locales, voire nationales, mais en position de force, sur nos idées, notre projet, notre identité politique, sans, à aucun moment transiger.
    L’union électorale par désistements réciproques face à la gauche est une chose dont nous ne refusons pas la logique. L'union politique en est une autre qui exige une vision et un projet commun.
    Mais pas de compromission avec ceux qui ont conduit la France au bord du gouffre.
       
     
    Réforme constitutionnelle : 
    cosmétique et perlimpinpin.
     
    Voulue par Emmanuel Macron et défendue par l’actuelle majorité parlementaire, la réforme constitutionnelle, si elle a toute les chances d’être adoptée en Congrès puisqu'un accord a, d'évidence été conclu entre une partie de la droite républicaine, dont le président Sénat, Gérard Larcher depuis plusieurs mois à la manœuvre, n'est que la énième tentative de rafistolage des Institutions bien élimées de la Cinquième République, et de réanimation d'une pratique politique pervertie et anémiée.
    Sous couvert de propositions de bon sens et de nécessité publique- réduction drastique du nombre de députés, restriction des mandats dans leur nombre et leur durée, introduction d'une dose de proportionnelle (faible, si faible…) pour les Législatives, le gouvernement fait ce que n'ont cessé de faire tous les gouvernements successifs : se forger un système politique à leur convenance. C'est ainsi, par exemple, que le redécoupage des circonscriptions indispensable à la mise en application de la réforme, en faisant de ces circonscriptions des monstres géographiques, favorisera obligatoirement le pouvoir en place.
    Rien, par ailleurs, ne sera entrepris pour rationaliser la carte administrative de la France qui, entre État, Régions, Départements, Communautés de communes, communes, par chevauchement des compétences et accumulation des (irr)responsabilités, est une des causes de l'immobilisme et de la gabegie nationale. Pas plus que ne sera initiée la suppression des sinécures comme le Conseil économique, social et environnemental, voire du Sénat.
    Pour le Parti de la France, C’est le Système tout entier qu'il conviendra de changer demain en retrouvant, en nous-mêmes le chemin de notre génie politique national, en redéfinissant les hiérarchies, en rétablissant l’autorité de l’Etat, en pourchassant esprit clanique et clientélisme, et en rendant la parole au peuple.
     
           
     

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  • Il paraît que c'est vrai (le grand soir)

    En attendant le grand soir

     

    Rédigé le Lundi 9 Avril 2018 à 08:29 | 0 commentaire(s)

     

    POUR UN SYNDICALISME RÉELLEMENT NATIONAL.
    Pour les amateurs de comptes ronds, surtout s’agissant des anniversaires de la droite nationale, on peut effectivement signaler qu’en 2018 on célèbre les 45 ans de la première participation du Front National à des élections (en l’espèce les élections législatives), les 40 ans de l’assassinat de François Duprat, les 30 ans du décès accidentel de Jean-Pierre Stirbois.


     C’est-à-dire lors que la droite nationale se dotait de sa propre structure et qu’elle affirmait qu’elle était aussi la droite populaire et sociale.
     
    Mais les souvenirs ne s’arrêtent pas là, en effet, à la lecture du numéro de Pour un ordre nouveau datant de décembre 1972 (et dont certains exemplaires ont été disponibles à nouveau la vente grâce à nos amis de Synthèse nationale), au-delà de l’annonce de la création du Front National est évoquée l’Union Générale des Travailleurs (UGT) qui se voulaient une réponse aux syndicats marxistes (la CGT étant sous le contrôle du PCF, FO abritait des trotskistes et la CFDT défendait l’autogestion version Yougoslavie titiste), s’inspirant  des syndicats créés en Italie à l’instigation du Mouvement Social Italien. Cette UGT n’eut jamais de réelle existence et il fallut attendre les tentatives de création de syndicats par le FN au milieu des années 1990 pour voir la droite nationale retenter de créer un syndicalisme alternatif. Tentatives tuées dans l’oeuf grâce à des lois votées en faveur des bureaucraties syndicales, avec le concours conjoint de la droite et de la gauche.
     
    Ces dernières années, le FN canal officiel a préféré défendre les centrales existantes et pire les soutenir, alors que ces dernières n’ont de cesse de proclamer qu’elles excluent leurs membres et responsables défendant des idées patriotiques…
     
    N’oublions pas non plus que ces centrales syndicales vivent de ce modèle social antifrançais que j’ai évoqué dans une précédente chronique.
     
    Sans parler de la CGT soutenant la régularisation des clandestins…
     
    Alors oui, il importe de créer un vrai syndicalisme national dont le premier mot d’ordre serait la préférence nationale à l’embauche et pour les prestations sociales. Un syndicalisme qui ne s’opposerait aux petits patrons, aux dirigeants de PME, aux indépendants. Mais qui au contraire les soutiendrait contre les multinationales et nos gouvernants qui bradent notre pays… Un syndicalisme qui proposerait d’autres modes d’actions que la grève pour ne nous nuire à ces PME et aux salariés pleinement touchés par ces conflits sociaux.
     
    Une fois de plus, l’avenir nous appartient.
     
    Arnaud Malnuit