Didier Monnin candidat du Parti de la France aux législatives dans le Var
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Didier Monnin candidat du Parti de la France aux législatives dans le Var
En lâchant Fillon, son parti se disqualifie
S’il faut reconnaître une qualité à celui qui est encore le candidat désigné de la droite et du centre, c’est bien le courage et la combativité. Combien d’hommes politiques auraient supporté l’acharnement médiatique, politique et judiciaire dont il fait l’objet depuis maintenant plusieurs semaines ? Combien d’entre eux auraient accepté de voir leur famille mise en cause et traînée dans la boue ? Très peu, certainement. Bien sûr, dans cette résistance acharnée du Sarthois, il est toujours possible de voir de l’aveuglement, et même de l’inconscience. Mais s’il est véritablement innocent des accusations portées contre lui, qui pourra lui reprocher de s’être battu jusqu’au bout, pour son droit et son honneur ?
Mais il est vrai qu’en politique, l’honneur pèse bien peu de chose face aux enjeux du pouvoir. Rien d’étonnant, donc, à ce que sa « famille » et ses « amis » politiques aient décidé de le lâcher les uns après les autres, après une lente mise à mort.
Cette mise à mort du candidat Fillon, soigneusement orchestrée et préparée, en signe une autre : celle de la droite parlementaire. Contrairement aux déclarations de certains caciques, évidemment sarkozistes ou juppéistes, ce n’est pas le maintien de sa candidature qui déchire son parti, mais son parti qui achève sa dislocation avec l’affaire Penelope.
Depuis un certain Guy Mollet, nous le savions : la France a la droite la plus bête du monde.
Grâce à l’affaire Fillon, nous savons désormais qu’elle a aussi la droite la plus lâche du monde. Incapable de rester soudée à l’issue de primaires qu’elle s’est imposée « pour faire moderne ». Incapable, alors qu’elle était donnée gagnante de la présidentielle (et certainement des législatives qui suivront), de faire taire leurs ego démesurés. Incapables de donner à leurs électeurs l’image d’une formation politique susceptible, par sa cohésion, sa détermination et son sens des responsabilités, de redresser la France et de lui redonner sa grandeur, ils ont préféré faire honte à un électorat qui paiera le prix fort pour ce qui restera un des plus grands scandales politiques de la Ve République.
Ainsi, de la même manière que Hollande fut élu à cause du rejet de Sarkozy, Macron risque d’être élu parce que la droite n’aura pas été en mesure d’assumer ses choix, et notamment le résultat de la primaire qu’elle a pourtant voulue et organisée. Plus de quatre millions d’électeurs auront ainsi été roulés dans la farine, leurs avis ne valant pas plus, in fine, que de la roupie de sansonnet.
Olivier Damien
Source : http://www.bvoltaire.fr
Le "grain de sel" de Jean-Claude Rolinat
Macron veut faire payer un loyer aux propriétaires
C’est en pleine campagne électorale qu’Emmanuel Macron a proposé à nouveau l’idée géniale de la taxe des « loyers payés à soi-même ». Une idée d’ailleurs approuvée par Jean-Luc Mélenchon et la gauche en général :
« Cela permettrait plus de justice sociale. Les petites gens et les travailleurs déboursent bien un loyer. Les propriétaires ne paient que les autres 456 taxes sur l’immobilier, mais pas un sou de loyer.
Conclusions de l’IGPN : Théo Luhaka a bien frappé en premier les policiers pour aider un trafiquant de drogue
« L’interpellation était légitime, l’usage de la force était légitime, seules les conséquences de l’intervention – blessure anale – sont disproportionnées sans qu’on soit en mesure de déterminer les responsabilités, à ce stade. » Les premières conclusions de l’enquête de la police des polices sur l’intervention de quatre gardiens de la paix pour interpeller Théo Luhaka, 21 ans, le 2 février à la cité des 3.000 à Aulnay-sous-Bois confirment les premières informations du Point. Nous révélions, compte rendu de la vidéosurveillance à l’appui, que les policiers n’avaient pas pris l’initiative de « frapper » Théo, mais que celui-ci s’était bien opposé par la force à l’interpellation d’un individu suspecté par la BST (brigade spécialisée de terrain) d’être partie prenante d’un trafic de stupéfiants alors que Théo lui-même n’était pas concerné par cette affaire.
Le Point.fr a pu par ailleurs consulter l’ensemble des rapports d’intervention en date du 2 février des policiers aujourd’hui mis en examen. À quelques détails près, leur version est corroborée par les images de la vidéosurveillance. Dans ces images, on voit près de 3 minutes de combat entre Théo et un policier, une sorte de corps-à-corps qui se termine à l’avantage du gardien de la paix. Aucune image ne laisse deviner que la victime reçoit alors une blessure anale.
Depuis, la situation de la famille Luhaka s’est encore dégradée, avec la révélation du détournement de plus de 650.000 euros en deux ans. Théo Luhaka étant au cœur de cette escroquerie.
Le déchaînement de la presse dominante les premiers jours de l’affaire ont abouti à des tentatives de chasse à l’homme contre des policiers sans lien avec les faits. Dynamique encore renforcée par la visite de François Hollande à Théo Luhaka. Dans le même temps, les enclaves ethniques des grandes villes hexagonales étaient le théâtre d’émeutes raciales.
Source : http://breizatao.com
Un ancien conseiller de Marine Le Pen dénonce "un système de corruption généralisé" au FN
"En 2012, j'ai eu une rupture nette avec Marine Le Pen sur deux questions: un système de corruption généralisé que cette affaire avait révélé, et l'alliance du FN avec les identitaires à Nice", a indiqué à l'AFP ce conseiller municipal niçois désormais dans la majorité du président LR de région, Christian Estrosi.
Il confirmait là un témoignage livré à Mediapart et Marianne au sujet de son emploi comme "conseiller aux services publics" pour la présidentielle de 2012, qui lui vaut, selon des sources judiciaires, d'être cité dans l'enquête qui a valu au FN son renvoi en correctionnelle.
"En septembre 2011, je signe un contrat de campagne avec Marine Le Pen, qui m'a proposé de travailler avec elle. En 2012, on me dit: "il y a un problème, il faut passer sur un contrat avec le Parlement européen". Je refuse", raconte celui qui a ensuite dirigé la campagne européenne de Jean-Marie Le Pen dans le Sud-est en 2014.
"En mai 2012, mon contrat s'arrête. Je vais pour m'inscrire au chômage. On me dit que les cotisations n'ont pas été versées. Je me dispute alors avec Marine Le Pen", poursuit-il.
"C'est là qu'on me dit que Nicolas Crochet", expert-comptable du FN renvoyé lui aussi en correctionnelle, "allait m'envoyer un contrat pour me régulariser. J'attends, je gueule tout l'été", continue M. Nofri.
"En septembre, Crochet me donne le contrat, je vois que ce n'est pas un contrat de campagne mais de conseil dans son cabinet d'expertise comptable. J'assume, je signe après cinq mois sans salaire ni chômage", confirme-t-il à l'AFP, alors qu'il dit n'avoir "jamais mis les pieds" dans ce cabinet.
"J'interroge Marine Le Pen par SMS, Louis Aliot au téléphone, ils ne me répondent pas. A partir de ce moment-là, je suis en rupture totale" avec Marine Le Pen, confirme-t-il, racontant avoir rencontré les enquêteurs en septembre 2014 pour leur "apporter des éléments".
Dans cette affaire, le FN est soupçonné d'avoir mis en place, via des kits de campagne fabriqués par Riwal, une escroquerie au préjudice de l'Etat, qui rembourse les frais de campagne, et ce par le biais notamment de surfacturations. Le parti, des dirigeants et des proches de la présidente du FN sont renvoyés en correctionnelle.
Marine Le Pen contre l’Etat de droit
Lire aussi : Le Front national, une « victime » aux affaires florissantes
Ce ne sont pourtant pas les dossiers qui manquent. Celui des assistants parlementaires des députés européens du FN, à commencer par sa présidente, est aujourd’hui le plus brûlant. Depuis deux ans, le parti d’extrême droite est soupçonné d’avoir fait rémunérer certains de ces assistants par le Parlement européen alors que ceux-ci n’y mettaient pratiquement pas les pieds et se consacraient exclusivement ou presque au FN à Paris. Bref, il s’agirait d’emplois fictifs. Alerté par l’organisme antifraude de l’Union européenne, le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire puis une information judiciaire pour abus de confiance, escroquerie en bande organisée, faux et usage de faux, ainsi que travail dissimulé.
Lire aussi : Front national : l’enquête sur les assistants parlementaires accélère
C’est dans ce cadre que, après de nombreuses perquisitions et auditions, la plus proche collaboratrice de la candidate frontiste vient d’être mise en examen. C’est également pour cette raison que Mme Le Pen s’est vu réclamer par le Parlement européen le remboursement de 340 000 euros, correspondant aux salaires de sa chef de cabinet entre 2010 et 2016. Devant son refus, une retenue sur salaire a été ordonnée.
Lire aussi : Le microparti de Marine Le Pen visé par un redressement fiscal
Lire aussi : Front national : un système de financement à l’opacité organisée L’affaire « Jeanne », du nom du microparti consacré à l’action de Mme Le Pen, n’est pas moins sulfureuse. En octobre 2016, le parquet de Paris a renvoyé en correctionnelle dix personnes physiques ou morales, dont le Front national pour complicité d’escroquerie ou recel d’abus de biens sociaux. Les responsables de Jeanne, tous très proches de la candidate, sont soupçonnés d’avoir mis en place un système opaque et frauduleux destiné à financer illégalement les candidats frontistes aux législatives de 2012. Ce dispositif pourrait avoir été utilisé lors de toutes les campagnes électorales du FN depuis 2012.
Enfin, alerté par la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique, le Parquet national financier a ouvert une enquête sur le patrimoine de Marine Le Pen et de son père. L’un et l’autre sont soupçonnés d’avoir présenté des déclarations de patrimoine qui sous-évaluent fortement leurs actifs. Ces faits sont susceptibles d’être jugés au pénal et passibles, notamment, de dix ans d’inéligibilité.
Dans tous ces dossiers, Mme Le Pen oppose un démenti catégorique aux faits qui lui sont reprochés. Il ne s’agirait, clame-t-elle haut et fort, que de machinations destinées à lui nuire. Protégée par l’immunité de parlementaire européenne dont elle bénéficie, elle rejette toute convocation par les juges ou la police jusqu’au terme de la période électorale, présidentielle et législative. Autoproclamée « candidate du peuple » et contemptrice du « système », elle n’hésite pas à se situer hors la loi. Aspirant à devenir chef de l’Etat, elle récuse l’Etat de droit. C’est le devoir de la justice de démasquer cette imposture.
Emplois fictifs au FN : la cheffe de cabinet mis en examen
Après François Fillon, Marine Le Pen est à son tour gênée par une affaire d'assistants parlementaires en pleine campagne présidentielle : son garde du corps et sa cheffe de cabinet étaient entendus par la police sur des soupçons d'emplois fictifs au Parlement européen. Selon nos informations, ils ont été placés en garde à vue, ce mercredi 22 février.
La cheffe de cabinet de Marine Le Pen, Catherine Griset, a été mise en examen du chef de recel d'abus de confiance dans l'enquête sur des soupçons d'emplois fictifs au Parlement européen, a-t-on appris mercredi de source judiciaire. La garde à vue du garde du corps de la candidate Front national à l'élection présidentielle, Thierry Légier, a en revanche été levée sans qu'il soit présenté aux magistrats instructeurs en l'état, a précisé cette source.
La candidate du Front national pour l'élection présidentielle a aussitôt dénoncé une "cabale politique". "Les Français savent exactement faire la différence entre les vraies affaires et les cabales politiques. Ils le savent pertinemment", a-t-elle déclaré en marge d'un déplacement en Seine-et-Marne, dans une allusion directe à l'affaire qui vise le candidat de la droite sur des soupçons d'emplois fictifs de son épouse Penelope Fillon et de ses enfants quand il était député et sénateur.
Invitée du Journal Télévisé de TF1 ce mercredi 22 février, la présidente du Front national s'est une nouvelle fois montrée très offensive. "Je conteste formellement les faits qui nous sont reprochés (...) La justice n'est pas un pouvoir, c'est une autorité, elle ne doit pas venir perturber, pour une enquête qui pourrait se dérouler plus tard, qui aurait pu se dérouler avant, la campagne présidentielle, car c'est un moment démocratique important, fondamental dans notre pays", a encore dit la dirigeante d'extrême droite.
En parallèle, le Parlement européen réclame à Marine Le Pen, élue dans ses rangs, un total de 339.946 euros de salaires qu'il considère indûment versés à Thierry Légier, en 2011, et à Catherine Griset, de 2010 à 2016, car ils n'auraient pas occupé les fonctions d'assistants pour lesquelles ils ont été payés sur des fonds publics européens. En l'absence de remboursement de la part de la candidate de l'extrême droite à la présidentielle, l'assemblée européenne devait commencer mi-février à recouvrer ces sommes en amputant de moitié l'indemnité de Marine Le Pen. Le Parlement européen avait saisi la justice française en mars 2015 après les élections européennes de 2014 remportées par le FN en France.
À cette époque, les soupçons portaient sur les conditions dans lesquelles étaient employés et payés 20 assistants d'élus frontistes au Parlement européen, car leurs noms apparaissaient aussi sur l'organigramme du parti en France. Des faits qui s'ajoutent à ceux concernant Thierry Légier et Catherine Griset. Le parquet de Paris avait ouvert une enquête préliminaire en mars 2015, avant de confier le dossier aux juges d'instruction. L'information judiciaire porte sur des délits présumés d'abus de confiance et recel, escroqueries en bande organisée, faux et usage de faux, et travail dissimulé.
source : rtl .fr
L’événement catholique et patriote du mois de mars – De plus en plus d’exposants annoncés à la 1ère Fête du Pays Réel
La 1ère Fête du Pays Réel se déroulera le 11 mars 2017, de 10h à 18h, sur un vaste espace couvert à Rungis, en bordure de Paris (800 places gratuites de parking et nombreux transports en commun).
Une fête du Pays réel ? Qu’est-ce donc ? C’est la volonté, durant toute une journée, de mettre à l’honneur la France des terroirs et des clochers dans une ambiance unitaire, conviviale, joyeuse et familiale.
D’une part, de nombreux stands illustreront l’histoire, la foi, les coutumes, le patrimoine, la culture, le savoir-faire, la gastronomie et le dynamisme de ce Pays réel : éditeurs, associations, congrégations, médias alternatifs, artisans, artistes, viticulteurs, brasseurs et petits producteurs rivaliseront de talents et de richesses à vous faire découvrir. Sans oublier, bien sûr, la longue liste d’auteurs pour petits et grands qui viendront dédicacer leurs livres ou bandes dessinées.
D’autre part, tout au long de la journée, des intervenants de qualité se succèderont à la tribune dans une salle réservée à cet usage.
Sont déjà inscrits : Association Catholique des Infirmières et Médecins, ADMP, Atelier des Mamans de l’Ecole N-D de l’Assomption, Brasserie du Rhin, Bulletins d’Education Populaire, Cadets de France, Capucins de Morgon, Cercle National des Combattants, Champagne Gaston Révolte, Chœur Montjoie Saint Denis, La Cotonnade (vêtements pour enfants), Cours Maria Goretti, Deus Vult, Dominicains d’Avrillé, Echoppe Formes et Ombres (objets médiévaux), échoppe Fron (porcelaine peinte, vins cuits et sucreries), Ecrits de Paris, éditions Charlemagne, éditions de Chiré, éditions des Cimes, éditions Kontre Kulture, éditions des Petits Chouans, éditions La Plume du Temps, éditions Retour aux Sources, éditions Saint-Rémi, éditions Sel de la Terre, éditions Sigest, Fédération Haute Savoie de Civitas (avec produits locaux), Fédération Lorraine de Civitas (avec produits locaux), Foies Gras du Sud Ouest, Lecture et Tradition, Lectures Françaises, Librairie Damase, Librairie Française, Livr’Arbitres, Macrobio, Nation, Parti de la France, Patrimoine et Renaissance, Peintre Le Baube (tableaux), Pèlerinages de Tradition, le journal Présent, Renaissance Catholique, Renouveau Français, Rivarol, Rosa Mystica, SOS Mamans, SOS Tout Petits, Synthèse Nationale, UNEC, Vins Domaine de Champ Fleury – Pierre Coquard, Vins Hélène Cathala
Ont déjà annoncé venir dédicacer : Pierre-Jean Arduin, Jean-Noël Audibert, Francis Bergeron, Stéphanie Bignon, Yvan Blot, Thierry Bouzard, Anne Brassié, Jean-Pierre Dickès, Jean-Arnaud Dollié, Dr Xavier Dor, Jean-Jacques Doucet, Bernard Gantois, Laurent Glauzy, Youssef Hindi, Roger Holeindre, le dessinateur Ignace, Odile de Lacoste Lareymondie, Johan Livernette, Brigitte Lundi, Claude Meunier-Berthelot, le dessinateur Pinatel, Philippe Prévost, Leila Qadr, Marion Sigaut, Jean-Michel Vernochet, Damien Viguier
Thèmes des interventions déjà annoncées : Union de l’Eglise et de l’Etat : question d’un autre âge ? (abbé Xavier Beauvais) – Revaloriser la France rurale (Stéphanie Bignon) – La culture au service du Bien (Anne Brassié) – Réformer l’instruction (Claude Meunier-Berthelot) – Familles en danger (Marion Sigaut, Dr Jean-Pierre Dickès) – Immigration, submersion, destruction d’une civilisation (Carl Lang, Jean-Marie Le Pen) – Sauver le Pays Réel (Alain Escada)
Avec des discours de conclusion de Carl Lang, Jean-Marie Le Pen et Alain Escada
Espace Jean Monnet, Rungis Silic, Rue du Sagittaire
Source : medias-presse.info
France: Nelly, 78 ans, violée par Mamadou lors d’un cambriolage. Aucune manifestation, aucune émeute et nos médias n’en parleront pas.
Seul le second, un jeune homme de 24 ans aux cheveux mi longs, comparaît libre. Mamadou K., 24 ans également, est arrivé dans le box des accusés avec une béquille.
La retraitée, âgée de 78 ans aujourd’hui, était présente au début de l’audience. Le 7 août 2014, cette petite dame aux cheveux courts, qui marche avec difficulté, avait été agressée chez elle dans la cité Gagarine par plusieurs personnes au visage dissimulé, peu avant 6 heures du matin.
Un homme l’avait immobilisée et violée pendant que trois autres retournaient son appartement. Ils étaient repartis avec 70 €, des bijoux, une montre, ainsi que des affaires qui appartenaient à son mari décédé. Elle avait eu 15 jours d’ITT.
Ce sont les nombreuses traces d’ADN prélevées dans le logement et sur le corps de la retraitée qui avait mené les policiers du SDPJ 94 jusqu’à Mamadou K., dont le profil était enregistré au fichier national des empreintes génétiques (FNAEG). Ils étaient ensuite remontés jusqu’à Eric-Phan L., qui nie avoir assisté au viol. Le procès devrait se terminer mercredi.
Assistants parlementaires du FN : un rapport accable Marine Le Pen
La réalité du travail fourni pose également question pour une deuxième collaboratrice de Mme Le Pen : Catherine Griset. L’OLAF estime que le « préjudice total subi » par le Parlement européen s’élève à 339 946 euros.
Le document confidentiel de 28 pages analyse minutieusement la situation des douze assistants (trois assistants accrédités et neuf assistants locaux) « embauchés successivement par la présidente du FN à Strasbourg sous la précédente et l’actuelle mandature (2009 à 2014 et depuis 2014). Leurs contrats, rémunérations, fonctions », détaille Mediapart.Lire aussi : Marine Le Pen refuse de restituer 300 000 euros au Parlement européen
Si l’OLAF ne fait que des recommandations et n’a pas de pouvoir judiciaire pour enclencher des poursuites, il a néanmoins transmis le 26 juillet son rapport à la justice française qui, elle, enquête depuis mars 2015 sur des soupçons d’emploi fictif du parti d’extrême droite au Parlement européen.
Le parquet de Paris a ainsi ouvert le 15 décembre une information judiciaire pour « abus de confiance », « recel d’abus de confiance », « escroquerie en bande organisée », « faux et usage de faux » et « travail dissimulé ».
Dans un premier temps, l’enquête concernait une quarantaine de personnes, avant d’être circonscrite. Une dizaine de perquisitions ont été menées dans ce cadre. Les soupçons qui concernent Louis Aliot et Florian Philippot « n’ont pu être confirmés », précise notamment le rapport.
En revanche, selon le document de l’OLAF, « les allégations initiales de conflits d’intérêts et d’emplois fictifs » concernant M. Légier et Mme Griset sont constituées. Marine Le Pen est ainsi soupçonnée d’avoir produit à l’automne 2011 « un contrat de travail apparemment faux pour l’emploi fictif de M. Légier », son garde du corps, relève le rapport.
Concernant Catherine Griset, amie et collaboratrice de longue date de la candidate à l’élection présidentielle, l’OLAF écrit : « L’enquête a également montré que Mme Le Pen [l’]avait fait employer par le Parlement européen sur un poste d’assistante parlementaire accréditée à Bruxelles alors qu’elle était son assistante personnelle au siège de son parti en France. »
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2017/article/2017/02/16/assistants-parlementaires-du-fn-au-parlement-europeen-un-rapport-accable-marine-le-pen_5080761_4854003.html#SqBjcmXr1MM2Cfb5.99
Débile dérision anti catholique du sieur Philippot sous prétexte de se gausser de l'exécrable Macron
Ce dernier, avec l’humour gloussant qui le caractérise, a proféré ceci : « avec En Marche sur l’eau, le christique Macron veut multiplier les visas d’Algérie vers la France comme son ancêtre multipliait les pains ».
C’est donc tout ce que monsieur Philippot a trouvé à dire pour répliquer aux insultes macroniennes contre l’œuvre de la France en Algérie !
On demeure pantois devant une telle débilité de sarcasme anti-chrétien. Philippot se vautre là dans le registre des grosses plaisanteries qui émaillaient les « agapes fraternelles » où les frangins du Grand Orient sous la III° République s’esbaudissaient en s’empiffrant de lard le Vendredi Saint.
Malgré tout ce que je jugeais d’insatisfaisant dans un certain nombre des trop nombreux 144 engagements du programme de gouvernement de Marine Le Pen, notre a priori était de convier l’Institut du Pays Libre à décider d’un vote pour le « moindre mal » politique qu’elle semble incarner. Il va de soi que si elle ne sanctionnait pas le dérapage anti catholique de son vice-président et porte-parole, comme elle l’a fait pour d’autres dérapages, nous serions au regret d’envisager une autre attitude.
Car Philippot et Macron injurient de même notre identité française et chrétienne.
Communiqué de Bernard Antony, président de l’AGRIF
Le "grain de sel" de Jean-Claude Rolinat
Face à Face
Carl Lang en Midi-Pyrénées le 11 février 2017
Après la prise de parole de Guy Jovelin afin de remercier Le président Carl Lang pour sa venue dans le Sud-ouest ainsi qu’aux personnes présentes venue de tout Midi-Pyrénées Languedoc-Roussillon (Occitanie) et même d’Aquitaine, de confirmer l’implantation du parti de la France dans la région, de faire passer le message de nos valeurs de civilisation françaises et européennes, et de mettre l’accent sur la nécessité de s’impliquer dans les futures élections législatives, ce fut le Président Carl Lang qui pendant une heure s’évertua à passer au crible la politique générale française, tant sur le point économique, sociale, identitaire, internationale, il présenta le Pdf comme la seule force de droite nationale sociale et populaire dans notre pays, il donna son avis sur les prochaines élections et insista sur le devoir que nous avons au PdF de nous mobiliser pour les législatives de juin pour faire passer le message auprès de la population : seul notre parti est à même de conduire la meilleure politique dont la France et les Français ont besoin.
L’assistance fut conquise par le pragmatisme, la lucidité et la clairvoyance des propos de notre Président, et les questions pertinentes qui lui furent posées en fin de discours ont reçues des réponses très explicites.
La matinée s’est terminée par un apéritif militant chaleureux et un déjeuner où la convivialité fut de mise.
Encore merci à notre Président, aux militants et aux amis du Parti de la France qui se sont déplacés.
Marine Le Pen dans l'"Emission politique" : les 5 intox de la candidate du FN
La dirigeante frontiste a débattu jeudi soir sur France 2 avec Patrick Buisson et Najat Vallaud-Belkacem.
Très attendue, la prestation de Marine Le Pen, jeudi soir sur France 2, dans "L'Emission politique", a permis à la candidate de dérouler ses thèmes de prédilection habituels : immigration, protectionnisme, laïcité... La frontiste a aussi pris quelques libertés avec les faits. Passage en revue (non exhaustif) de ses petits et gros mensonges.
# "Le Parlement européen veut nous faire la guerre !"
Comme l'a révélé "l'Obs" la semaine passée, le Parlement européen réclame 1,1 million d’euros à six eurodéputés du FN, dont Marine Le Pen. Une somme engloutie par des assistants parlementaires fictifs. Payés par l’institution européenne, ils travaillaient en réalité en France…
Sur le plateau de "L'Émission politique", Marine Le Pen a clamé son innocence en adoptant une posture victimaire récurrente au FN. "Le Parlement européen veut nous faire la guerre !", a-t-elle lancé à David Pujadas pour déplacer sur le terrain politique cette affaire pour le moins compromettante…
Une stratégie qui peut s’avérer payante. "Il y a au sein de l’électorat frontiste le sentiment d'être des parias, des sans grade. Face aux accusations, ils se voient comme une citadelle assiégée”, nous confiait récemment Jérôme Fourquet, directeur du département Opinion de l’Ifop. Les affaires peuvent être interprétées comme une tentative du 'système' de les bâillonner eux et le parti qu'ils soutiennent". C'est sur cette corde là que la candidate frontiste a cherché à jouer jeudi soir.
# Sur le "muslim ban" de Donald Trump
Interrogée sur le "muslim ban" de Donald Trump, Marine Le Pen assure que Barack Obama avait lui aussi, en son temps, interdit de territoire les ressortissants d'un pays ciblé – l'Irak. En réalité, la présidente du Front national reprend une désinformation de Kellyanne Conway, la proche conseillère du président américain.
Comme l'explique la revue américaine "Foreign Policy", l'administration Obama avait effectivement ordonné un réexamen de la situation des 58.000 Irakiens installés aux Etats-Unis. Une décision qui a été prise après l'arrestation de deux Irakiens et qui a accru les contrôles des demandeurs de visa d'Irak. Cependant, contrairement à ce que dit Marine Le Pen, elle n'a jamais empêché à l'ensemble des ressortissants irakiens d'entrer aux Etats-Unis...
# Sur la nationalité française accordée en cas de mariage
Interrogée en début d'émission sur l'immigration, Marine Le Pen a affirmé que, si elle était élue, "la naturalisation par mariage ne sera plus automatique" :
"Nous renforcerons les critères pour obtenir la nationalité. Je trouve qu’on accorde la nationalité française trop facilement."
La présidente du Front national se trompe. La naturalisation est loin d’être automatique en cas de mariage. Les candidats doivent remplir un certain nombre de conditions : au moins quatre ans de mariage, séjour régulier en France, connaissance de la langue française, etc.
Par ailleurs, en défendant l'interdiction des doubles nationalités, hors Union européenne, Marine Le Pen a prétendu s'inspirer de l'Allemagne : "C'est le cas en Allemagne, je crois". Et bien non. Comme le relève "Le Monde", la binationalité est autorisée en Allemagne depuis 2000 (y compris pour les nationalités extracommunautaires, car cette réforme a surtout concerné les Turcs).
# Les dérapages des cadres du FN, une exception ?
Marine Le Pen fait valoir que les dérapages sont une exception dans la bouche de personnalités du Front national. Elle était questionnée sur le tweet de Jérôme Cochet, chargé de communication de David Rachline, sénateur-maire FN de Frejus. C’est faux.
En 2015, "l'Obs" avait recensé une série de propos racistes, antisémites et homophobes dans la bouche de candidats aux départementales. Que montrait notre article ? Des frontistes qui détestent les immigrés, haïssent les musulmans, vomissent Christiane Taubira, distillent des préjugés antisémites ou regrettent le maréchal Pétain. Des profils que le FN s'efforce de masquer pour dédiaboliser son image. Non, le FN n'a pas changé...
# Protectionnisme, sortie de l'euro : un discours imprécis
Avec l'immigration, l'économie est désormais l'un des sujets sur le. Au nom de la lutte "contre le mondialisme", la frontiste a défendu bec et ongles un tournant protectionnisme. Comment relocaliser ? En faisant comme Donald Trump, a-t-elle répondu, promettant que les entreprises qui délocalisent seront frappées de droits de douane. Mais la frontiste fut bien en peine d'apporter le moindre chiffre. Résultat ? Un discours fait de phrases incantatoires pour afficher son volontarisme. Mais assez peu convaincant tant il était marqué d'imprécisions et de zones floues.
Ce fut particulièrement criant lorsqu'elle fut interpellée au sujet d'une éventuelle sortie de l'euro. "Pour nous l’Europe, la monnaie unique, c’est un atout extraordinaire. En cas de sortie, on ferait face à une augmentation des coûts de 16 à 20%. Je ne doute pas que vous vouliez aider les PME, mais, en l'occurrence, pour moi ce serait une mesure grave qui a priori mettrait fin à mon entreprise", lui a répété une chef d'entreprise. Approximative, visiblement en difficulté, la candidate s'est contentée de balayer d'un revers de main ces inquiétudes : "Les Français ne verront aucune différence", a-t-elle plaidé. Un peu court...
Sébastien Billard et Paul Laubacher
Pour se conformer aux règles du Parlement européen tout en s'en arrangeant, certains eurodéputés FN font embaucher leurs proches par d'autres élus européens membres du parti.
L'affaire Penelope Fillon a mis en lumière une pratique commune à tous les partis et très courante: l'embauche des conjoints ou des proches par les politiques, souvent comme assistants parlementaires. En la matière, le Front national n'échappe pas à la règle, tout comme il n'échappe d'ailleurs pas non plus à des soupçons d'emplois fictifs, non pas dans l'hémicycle français mais au Parlement européen.
Mais les règles des institutions européennes sont plus restrictives que celles ayant court dans l'Hexagone. Le Parlement européen interdit ainsi à ses députés d'embaucher un proche parent, un époux ou une épouse. "Les députés ne peuvent pas engager de parents proches comme assistants. Leurs assistants doivent éviter les activités externes susceptibles de créer un conflit d'intérêts", précise en effet le Parlement européen dans ses dispositions relatives au personnel.
Marine Le Pen a embauché Louis Aliot
Cela n'a pas empêché Marine Le Pen d'employer son concubin, Louis Aliot, comme assistant parlementaire, arguant du fait qu'ils ne sont ni mariés ni pacsés, même si leur relation est connue de tous et vécue au grand jour. Mediapart révélait ainsi en 2013 que Louis Aliot touchait 5006,95 euros brut par mois pour un temps partiel de 17,5 heures par semaine.
Mais comme l'a révélé Buzzfeed mercredi, le Front national dans son ensemble a trouvé une manière de s'accommoder des règles du Parlement européen: comme le constate le site d'informations, plusieurs élus font embaucher un proche par un autre député européen du même groupe, au sein de l'Europe des nations et des libertés (ENL), qui regroupe l'extrême droite européenne au Parlement.
Une forme d'"entraide"?
Cela concerne ou a concerné notamment trois eurodéputées frontistes: Mylene Troszczynski, qui est aussi conseillère régionale de Picardie-Nord-Pas-de-Calais. Son époux, Laurent Guiniot, est l'assistant parlementaire de sa collègue Joëlle Mélin, eurodéputée et conseillère municipale d'Aubagne. Mylene Troszczynski emploie elle-même Grégoire Faugeron comme assistant parlementaire, originaire de la région PACA lui aussi.
"Je n’ai pas à vous répondre. Si vous voulez que votre profession de journaliste trouve de la hauteur, ne vous lancez pas dans ce genre d’investigation", se défend Joëlle Mélin, contactée par Buzzfeed.
L'élue précise aussi qu'au FN, il n'est parfois pas facile de trouver des collaborateurs, "après votre réputation est détruite", pointe-t-elle. L'entraide serait donc courante entre élus du parti.
Dans les clous du Parlement
Autres élues concernées, Marie-Christine Boutonnet, qui emploie Philippe Chevrier, l'époux de sa collègue Marie-Christine Arnautu, vice-présidente du FN chargée des affaires internes, mais aussi Dominique Bilde, conseillère régionale Grand Est, qui a fait embaucher son fils Bruno Bilde par l'eurodéputée Sophie Montel, conseillère régionale de Bourgogne-France Comté, avant que celui-ci démissionne.
Même si la pratique interpelle, rien à redire du côté du Parlement européen, pour qui ces arrangements sont légaux. "La règle en vigueur depuis 2009 ne vaut que pour les proches d’un député. Je ne sais pas si c’est un vide réglementaire, mais tant qu’il n’y a pas de conflit d’intérêts, les eurodéputés qui embauchent un membre de la famille d’un autre député sont dans les clous", explique à Buzzfeed un membre de l'institution.
Extraits du programme de MLP qui m'interpellent, et exprimés dans l'analyse des "4 vérités".
"De façon générale, ce qui est troublant dans ce programme économique, c’est que les questions macro-économiques, voire géopolitiques, s’y taillent la part du lion, mais que la vie concrète de l’entrepreneur et de son entreprise ne semble pas prise en compte.
On notera tout de même la volonté de refondre le RSI, cauchemar de beaucoup de chefs d’entreprise, ainsi que la volonté de revenir à la défiscalisation des heures supplémentaires.
En revanche, pourquoi diable vouloir restaurer la retraite à 60 ans, gouffre financier imposé par la démagogie socialo-communiste ?
Là aussi, la liberté ferait merveille : pourquoi ne pas décider une fois pour toutes que chacun peut partir à la retraite quand il le souhaite, avec une décote ou une surcote de cette retraite en fonction du nombre d’annuités ?
En un mot, ce programme me semble bien moins bon que celui que défendait naguère Jean-Marie Le Pen, mais bien meilleur que ce que je craignais après avoir assisté à l’évolution étatiste du FN !"
Pour ma part, les intentions, même bonnes, sont irréalisables et sont imposées par des énarques n'ayant jamais travaillé, surtout dans le privé ou à leur compte.
Robert figure sur la photo de la campagne régionale de 1998, il a été exclus du FRONT NATIONAL par Marine Le PEN, comme tous les autres qui figurent sur la photo, Christian BAECKEROOT, Dominique SLABOLEPSZY et Carl LANG.
Hommage à Robert Moreau
J’ai appris avec une grande tristesse le décès en début d’année de Robert Moreau. Robert, qui fut conseiller régional du Nord-Pas de Calais à mes côtés, de 1992 à 2004, avait été, comme chacun le sait, une immense star du catch européen, sous le pseudonyme du « Bourreau de Béthune ».
J’ai rencontré pour la première fois Robert, que les anciens appelaient Freddy, en 1984, lorsqu’il a pris en charge la sécurité personnelle de Jean-Marie Le Pen.
Durant près de 10 ans, Robert Moreau a été le garde du corps, le compagnon et l’ami de tous les instants, du président du Front national, à une époque où les risques et les menaces étaient considérables.
Robert Moreau a rempli sa mission avec un dévouement exceptionnel, une discrétion, un professionnalisme et une efficacité qui n’ont jamais été pris en défaut.
Il était un homme du Nord, fervent défenseur de la cause animale, polyglotte parlant 4 langues, fils d’un chef d’orchestre flamand, il était particulièrement attaché à la langue et à la culture flamandes.
Il était aussi titulaire de la médaille d’argent de la ville de Paris.
Il a siégé pendant 12 ans au Conseil régional du Nord pas de Calais où ce grand sportif et cette force de la nature, cet homme d’une grande culture et d’une grande humanité, a suscité le respect et la sympathie de nombreux élus, de tous horizons politiques.
Il fut aussi durant plusieurs années le responsable de la fédération Nord-Flandre du Front national.
Il figure parmi les membres fondateurs du Parti de la France.
J’ai eu le privilège et le plaisir de faire partie de ses amis. J’avais pour Robert une grande amitié et un immense respect. Il fut un ami et un camarade.
Lors de mon mariage Robert nous avait offert un éléphant en jade si lourd que l’on ne peut le tenir qu’à deux mains et il m’a dit en me le remettant : « il est lourd et solide comme l’amitié ».
J’adresse en mon nom et au nom de tous nos amis communs du combat national, toutes mes condoléances et toute mon affection, à son épouse Gina et à sa famille.
Mon cher Robert, tes amis ne t’oublieront pas.
Carl Lang
Ce dimanche 5 février, Madame Marine Le Pen a lancé sa campagne à Lyon. Dans son discours, elle a vilipendé "les idiots utiles" à la cause islamiste, et a rappelé son opposition aux "mosquées-cathédrales".
Ceci est intéressant, car si ce message est à même de sécuriser un électorat FN qui n'y regarde pas de trop près, il est en revanche très inquiétant pour ceux qui se donnent la peine de lire entre les lignes.
Si Madame Marine se donne la peine d'expliquer qu'elle est contre les mosquées-cathédrales, on doit en déduire qu'elle ne s'oppose pas aux mosquées "ordinaires" (si l'on peut dire), conformément à ce qui a commencé à se mettre en place dans deux municipalités frontistes, à savoir Hénin-Beaumont et Le Pontet.
Car, dans ces deux communes, les deux maires FN semblent avoir voulu ardemment leur mosquée, le maire du Pontet ayant même participé à la pose de la première pierre, au nom "de l'union et du respect de tous".
Cette dérive du Néo-Front National, qui constitue un événement politique majeur, est pourtant soigneusement passée sous silence par les médias.
Il est pourtant essentiel que le grand public soit informé de ce qu'un FN au pouvoir ne s'opposera pas à la multiplication des mosquées, qu'il ne s'opposera donc pas à une islamisation progressive de la société française.
Il faut que cela se sache !
Eric Pinel
Membre du BP du PDF