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vie politique du Hainaut - Page 11

  • Est-ce honteux de dire la vérité !

     

     


    Non, Monsieur Fillon, vous n'avez pas volé les finances publiques !

    Daniel Moinier Paroles Libres 03-02-2017
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    Crédit Photo : Shutterstock
     

    20 % des députés ont donc rémunéré un membre de leur famille avec leur enveloppe parlementaire.
     
     

    Tous les médias se sont emparés de cette affaire Fillon-Pénélope comme des « rapaces » en quête d’audience sans s’occuper des conséquences politiques, ou peut-être au contraire, les fomentent.

    Ce que retient la majorité des français, c’est que François Fillon a volé les finances publiques pour enrichir sa famille, au sens large. Sans vouloir à tout prix soutenir François Fillon, je défendrai la probité de l’affaire avec des éléments concrets qui n’ont pas du tout été évoqués ou si peu.

    En France, si un employeur décide de rémunérer une personne à ne rien faire, est-ce illégal ? Rien n’apparaît dans ce sens dans le Code du Travail. Combien de personnes travaillent dans des collectivités locales ou entreprises d’État avec peu ou pas d’activité ? Je vous citerai  quatre cas :

    - Un ami travaillant dans une Communauté Urbaine était en semi-dépression car il n’avait rien à faire depuis quelques années ou des dossiers inutiles.

    - Une responsable de service d’une même collectivité sur Bordeaux, en défrayant la chronique après avoir sorti un livre, a été renvoyée, car elle écrivait qu’elle n’avait presque rien à effectuer ainsi que beaucoup de personnes de son service.

    - Deux entreprises connues, France Télécom et Renault, qui ont défrayé la chronique  suite  à des suicides d’employés  mis au placard (payés à presque rien faire ou avec des dossiers sans intérêt).

    - Alors que j’étais à Lille, une amie pourtant très dynamique travaillant aux douanes me semblait perturbée. Elle m’avoue que depuis des années, elle n’a presque rien à faire de ses journées, une heure de travail effectif. Je lui dis, il faut partir, tu vas tomber malade. Elle me répond : j’ai un beau logement de fonction, une paie honorable et beaucoup d’autres avantages, comment lâcher tout cela !

    Personnellement, j’ai eu au début de ma carrière dans un grand groupe international des périodes où nous n’avions rien du tout à faire. Le responsable nous donnait un dossier pour un mois alors qu’en moins d’une semaine nous avions terminé ! Aucun syndicat, dans ce sens ne s’est jamais manifesté !
    Autre réflexion à l’opposée : Nombre  d’artisans, commerçants, agriculteurs, de professions libérales employaient ou emploient encore leur conjoint ou même parfois leurs enfants sans les rémunérer. A-t-on vu les journaux le révéler ? Et pourtant, l’économie, l’État, la sécurité sociale pour ne citer qu’eux, ont beaucoup à y perdre en manque de rentrées fiscales, prélèvements, etc. …

    Dans le cas qui intéresse les lecteurs ou auditeurs, le problème c’est que nos députés et sénateurs perçoivent des sommes conséquentes qui peuvent être normalement dépensées sans se justifier. Certains en ont assez, d’autres n’arrivent pas à joindre les deux bouts. Certains gèrent mieux que d’autres ou sont beaucoup plus actifs en étant entre autres très présents à Paris où dans leur circonscription. Ce qui leur permet de tout dépenser. Mais dans le cas de Monsieur Fillon, qui n’a que comme seule permanence sa résidence de Sablé sur Sarthe, ses frais et collaborateurs étaient moindres.

    Depuis quelques années, sous la pression populaire et médiatique, ces élus se sont vus de plus en plus « obligés » de  trouver des justificatifs pour couvrir l’ensemble du crédit accordé.

    En 2014, une restriction a été mise en place pour les emplois familiaux. Si l’épouse (le conjoint) travaille, elle ne peut percevoir plus de la moitié du crédit (soit 4752 euros nets), qui est à ce jour de 9561 euros par mois pour un ou cinq employés maximum. (Pour Mme Fillon, l’emploi se situait avant la restriction sachant qu’elle ne percevait  toutefois, qu’un peu plus de 4000 euros nets).

    En 2015, nombre de députés ont embauché leurs proches pour « les assister dans l'exercice de leur mandat ». Selon Mediapart, « l'Assemblée a rémunéré 58 épouses, 28 fils et 32 filles de députés cette année-là. Claude Bartolone, Gilbert Collard, Nicolas Dupont-Aignan, Frédéric Lefebvre (pour n'en citer que quelques-uns) ont embauché leurs conjointes. Françoise Dubois, Philippe Vittel, Claude Goasguen ou Jacques Bompard ont, quant à eux, employé leur fils ou fille. En tout, en 2014, 20 % des députés (115 sur 577) ont donc rémunéré un membre de leur famille avec leur enveloppe parlementaire.

    Le Canard Enchaîné semble avoir volontairement omis d'indiquer que Pénélope Fillon était juriste et avocate (il la présente comme sans profession) et donc parfaitement à même de collaborer avec son mari ou avec ses collaborateurs. Je remarque que pour grossir les chiffres, on a pris le salaire brut sur huit ans, alors qu'en enlevant les charges sociales salariales en divisant par huit ans et par 12 mois, on arrive à un salaire mensuel de 4000 euros nets pour une avocate collaborant avec 1 député. (A titre d’exemple : avec simplement 3 employés payés 2500 brut plus charges, vous arrivez allègrement au 9500 euros attribués au député !)

    Ce même Mediapart dans son article du 24 novembre 2015 annonçait sur son site : « S'il veut prendre un seul collaborateur qui ne fait rien et qui est payé 9 504 euros par mois, aucun souci, c’est son choix ». Le Monde aussi dans un article du 09 juillet 2014, de Matthieu Goar affirmait : « Ces assistants ne sont pas employés par l'Assemblée, mais directement par l'élu, qui n'est pas obligé de dépenser toute son enveloppe. Pour la plupart très présents dans les coulisses du pouvoir, ils peuvent assurer un rôle de secrétariat ou de conseil ».

    Pour faire diversion et relativiser, je viens de lire un article de Challenges annonçant que « Sundar CEO de Google a reçu 199 millions de dollars de stocks options en 2015, un peu plus que les 187 millions versés par Google au fisc anglais » !!!
     
    Pour bien comprendre ce conteste financier, il faut rappeler que les députés, sénateurs, perçoivent 3 émoluments :
    -    L’Indemnité de base (soit un salaire) (pour éviter la confusion il serait bien de changer le terme indemnité par rémunération)
    -    L’Indemnité Représentative de Frais de Mandat (IRFM - Soumise uniquement à la CSG-CRDS, non imposable)
    -    Des Avantages

    1)    L’Indemnité de base :
    Le revenu des députés se divisent en trois : l'indemnité de base, l'indemnité de logement et l'indemnité de fonction :

    L'indemnité de base est le salaire du député, correspondant à une moyenne entre le plus bas et le plus haut des salaires des cadres hors-échelle (les plus hauts fonctionnaires), c'est-à-dire HEA1, soit 4 079,29 euros, et HEG1, soit 6 950,08 euros, donc l'indemnité de base se monte à 5 514,68 euros.

    L'indemnité de logement leur est attribué au même titre que pour les autres fonctionnaires et sert, en théorie, à compenser l'écart du coût de la vie entre les différentes villes de France. Les députés travaillant en Île-de-France, ils ont droit au maximum, à savoir 3 % de leur indemnité de base, soit 165,44 euros.

    L'indemnité de fonction, quant à elle, se monte à 25 % de l'indemnité de base, soit 1 420,03 euros. Elle n'est pas imposable.

    En tout, un député perçoit 7 100,15 euros brut mensuel, soit, en net mensuel 5 046,77 euros pour les députés élus pour la première fois avant juin 2012 et 5 351,65 euros pour les députés élus la première fois après juin 2012. Soit une moyenne de 5148,77 euros.

    2)    L’IRFM : 
    Elle ne fait l'objet d'aucun contrôle, n'est pas imposable et peut servir à couvrir tout type de dépense : loyer de permanence, des fournitures, habillement, restauration, (achat immobilier : terminé), voyage. Elle est virée sur un compte bancaire distinct. En 2002, un amendement voté au Sénat a interdit le contrôle par l’administration fiscale de l’utilisation de l’IRFM. En février 2015, une interdiction a été décrétée d’employer ces fonds pour investir dans l’immobilier et l’achat de leur permanence. De nombreux députés s'en servaient pour rembourser l'emprunt pour acquérir leurs locaux de permanence, un logement sur Paris ou dans leur circonscription puisque cet argent n’appartenant plus à l’État, il était libre de l’utiliser à sa guise.

    Les difficultés à réformer l’IRFM sont toujours venues du conflit d’intérêts par le fait que ce système est géré par les députés eux-mêmes. Une première tentative a été lancée en 2009 par Charles de Courson, député du Nouveau Centre, pour faire contrôler par la Cour des comptes la bonne utilisation de l’IRFM, sous forme de contrôle sur des « échantillons tirés au hasard ».

    Une deuxième tentative en 2012 a été impulsée encore par le même député (mais UDI)  sous forme d’un amendement précisant que l’IRFM soit contrôlée et surtout que la part non utilisée soit rendue imposable. Cet amendement n’a pas été adopté. Il a été évacué par ses homologues, avec une belle unanimité: sa proposition a été rejetée par 108 voix contre 24, 86 PS et 22 UMP. Seuls six PS, six UMP, dix UDI et deux FN ont voté en faveur de son texte.

    Beaucoup de détournements ont existé et son utilisation a souvent prêté à polémique. Le député socialiste de l’Ardèche, Pascal Terrasse a été accusé en 2012 d’utiliser son IRFM pour des déplacements privés pour sa famille en France mais aussi en Espagne, au Portugal, en Egypte, au Sénégal (selon Mediapart).

    3) Les Avantages ou Crédit pour les collaborateurs:

    C'est une somme allouée à la rémunération des collaborateurs du député, qui peuvent être au nombre de un à cinq. Ce montant en 2015, s'élèvait à 9 504 euros brut par mois. Le député a le statut d'employeur et fixe la rémunération et les conditions de travail de chacun de ses collaborateurs. S'il veut prendre un seul collaborateur qui ne fait rien et qui est payé 9 504 euros par mois, aucun souci, c’est son choix.

    Cette somme est toujours allouée entièrement, quoi qu'il arrive. Si le député ne l'utilise pas complètement, elle ira dans le budget de l'Assemblée ou, plus fort, il peut la léguer à son groupe politique qui s'en servira pour payer ses employés, avec les mêmes règles appliquées au député.

    En fin d'année 2012, il a été décidé que les députés peuvent reverser une part plafonnée de ce dernier budget vers l'IRFM. Comme n'importe quel fonctionnaire, ils peuvent aussi demander le supplément familial de traitement. Ce supplément mensuel est calculé en fonction du nombre d'enfants et contient une part fixe déterminée et une part proportionnelle à l'indemnité de base :

    Un enfant : 2,29 euros pour la part fixe, aucune part proportionnelle ;
    Deux enfants : 10,57 euros pour la part fixe, 3 % de l'indemnité de base pour la proportionnelle. Montant minimum : 73,04 euros. Montant maximum : 110,27 euros ;
    Trois enfants : 15,24 euros pour la part fixe, 8 % de l'indemnité de base pour la proportionnelle. Montant minimum : 181,56 euros. Montant maximum : 280,83 euros ;
    Au delà de trois enfants, par enfant supplémentaire : 4,57 euros pour la part fixe, 6 % de l'indemnité de base pour la proportionnelle. Montant minimum, par enfant supplémentaire : 129,31 euros. Montant maximum, par enfant supplémentaire : 203,77 euros. (Exemple : pour 5 enfants, on aura 24,38 euros pour la part fixe et 20 % de l'indemnité de base pour la partie proportionnelle, avec un montant minimum de 440,18 euros et un montant maximum de 688,37 euros).

    Faites des enfants ! Sachant que les députés auront le montant maximum possible, quelle que soit la situation. (C’est Mediapart qui le dit.)

    Il n'y a pas d'interdiction de cumul avec des indemnités d'autres mandats (maire, par exemple. Notez aussi les "s", il est possible de cumuler plus de 2 mandats), dans la limite d'un total d'indemnités d'une fois et demi son indemnité de base. C'est-à-dire qu'un député peut toucher au maximum 2 757,34 euros brut d'autres indemnités.

    Il existe encore d’autres avantages. Prise en charge de déplacements en train 1ère classe. 12 voitures à Paris à disposition. Taxis remboursés (plafonnés). Carte RATP. Avion ; 80 AR Circonscription-Paris et 12 AR autres. 26 AR pour l’Outremer et 8 AR en France. Bureau à disposition au Palais Bourbon pour cinq ans de mandat, enveloppe pour le parc informatique, internet, bases juridiques et économiques. Prise en charge des communications téléphoniques, fax, jusqu’à cinq lignes mobiles (téléphones ou tablettes). Un forfait d’affranchissement annuel. Couchage possible au bureau et logement payant dans la résidence de l’Assemblée nationale.

    Une assurance chômage aux députés non réélus jusqu’à 3 ans, réglé par le Fonds d’assurance mutuelle par rapport aux cotisations versées. Un système de Sécurité social FSSAN (Fond de Sécurité Sociale de l’Assemblée Nationale) qui fait partie du budget de l’Assemblée. (Assurance de base et assurance complémentaire) alimenté en parti par les cotisations des députés (couverture maladie, maternité…)

    Un système de retraite qui leur est propre (la possibilité de cotiser double a été supprimée en 2010) avec taux plein après 22,5 annuités (43 en 2033).

    En dehors de cela, il existe la réserve parlementaire qui peut permettre aux députés de donner des subventions aux associations, communes. Depuis 2012, ces versements sont rendus publiques et peuvent aller jusqu’à 130 000 euros. L’ensemble de la réserve institutionnelle de l’Assemblée nationale avait été fixée pour 2014 à 5,5 millions d’euros. Pour info, en 2012 les montant des deux réserves institutionnelles et parlementaire était de 90 millions d’euros. Par mesure d’économie, celle-ci est passée à 80 millions d’euros en 2014.

    Les communes et établissements publics de coopération intercommunale représentent 54 % des subventions, les associations 46 %. Les objets associatifs se répartissent ainsi : promotion du sport pour le plus grand nombre (8 %), soutien à la démocratisation et à l’éducation artistique et culturelle (8 %), développement de la vie associative locale (3 %).

    Pour récapituler, le budget de l’Assemblée nationale est de 520 millions d’euros, à titre de comparaison celui du Sénat est de 351 millions d’euros.

    En conclusion : Comment résoudre ce problème des indemnités fixes ? Un autre mode de paiement a été envisagé en prenant modèle sur les entreprises. L’Assemblée ne payant que sur justificatifs tous les frais avec une note mensuelle. Mais qui va gérer, contrôler toutes ces factures ? Ce serait aussi un casse-tête pour les élus, sachant que les députés et sénateurs les plus actifs, les plus éloignés pourront avoir des notes 2 à 3 fois plus élevées que d’autres ! Ce qui serait considéré comme une disparité de traitement. Ce pourrait être aussi la porte ouverte aux fausses factures, faux frais de déplacements…

    Les changements seront toujours très difficiles à mettre en place puisqu’il y a conflit d’intérêt. Ce sont les mêmes qui votent les lois et ceux qui les « utilisent ». Alors ce serait au nouveau président de mettre cela dans son programme : Mélenchon, Le Pen, Macron,… peut-être plus Fillon ?

    Un seul candidat avait dans son programme des mesures drastiques, c’était Bruno Le Maire puisqu’il proposait de réduire de 50 % le nombre d’élus (Parlement, Sénat) ce qui diminuerait la dépense publique, mais ne résoudrait toujours pas le problème des frais, pas plus que les déficits de l’état, de la Sécu, des retraites, de l’Assedic, etc…qui méritent une réforme du travail beaucoup plus importante.

    Si nos chers Français gagnaient plus, se sentaient plus heureux, ces attaques n’auraient peut-être plus cours et surtout les toucheraient beaucoup moins, car ils comparent systématiquement leurs bas revenus à ceux des élus qui leurs paraissent indus et inacceptables. Autre objectif : il serait intéressant et urgent d’arriver à changer les mentalités françaises pour atteindre celles des pays Nordiques, y compris au niveau des journalistes qui ne vont pas dans le sens de l’apaisement et de la sérénité du pays.

    www.livres.daniel-moinier.com

  • Où est l'erreur ?

    Islam et islamisme il n'y a pas de lien ?

    Rédigé le Samedi 4 Février 2017 à 12:09 | 0 commentaire(s)

     

    Alors qu'hier un Egyptien , fan de l'état islamique, commettait un attentat terroriste se tient aujourd'hui Porte Maillot le colloque de l'UOIF... on connaît pourtant la proximité de l'UOIF avec les Frères Musulmans... cela ne dérange personne ?


  • ça sent le roussi

                                               

     
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    Marine Le Pen bientôt mise en examen pour ses assistants parlementaires fictifs ?

    3 Février 2017, 06:23am

    Publié par Thomas Joly

    Marine Le Pen a indiqué que contrairement à François Fillon, empêtré dans le « Penelopegate », elle resterait candidate à la présidentielle si elle était mise en examen dans l’enquête sur l’emploi de ses assistants parlementaires.

    Une information judiciaire a été ouverte mi-décembre pour abus de confiance et recel, escroqueries en bande organisée, faux et usage de faux et travail dissimulé. Elle fait suite à une enquête conduite depuis mars 2015 par le parquet, qui avait été saisi par le Parlement européen.

    Le Parlement Européen va déclencher des retenues substantielles sur son salaire à partir de février pour procéder au recouvrement de sommes liées à l’emploi de Mme Griset, son assistante parlementaire, jugées indues.

    Le Parlement européen, qui s’appuie sur une enquête de l’Olaf, l’organisme antifraude de l’UE, considère que le salaire de Catherine Griset n’était pas justifié : elle a été embauchée comme assistante parlementaire accréditée, ce qui implique de travailler et résider dans l’un des trois lieux de travail du Parlement européen, Bruxelles, Strasbourg ou Luxembourg.

    Outre Mme Griset, les sommes perçues pour rémunérer également comme assistant Thierry Légier, son garde du corps, devraient aussi faire l’objet d’une procédure de recouvrement ultérieure, pour plus de 41.500 euros.

    Pour la défense de Marine Le Pen, son avocat dénonce une pratique courante au Parlement européen de faire travailler pour le parti des assistants parlementaires. Au FN, ce serait une habitude. Outre Marine Le Pen, son père est en train de rembourser 320.000 euros, Bruno Gollnisch 275.000, Sophie Montel 77.000, Mylène Troszczynski 56.000 et Dominique Bilde 40.000. Au total, le montant à rembourser s'élève pour le parti frontiste à 1,1 million d'euros.

    A ces soucis judiciaires, s'ajoutent ceux du micro-parti Jeanne, dont les responsables sont tous mis en examen pour escroquerie...

    La « normalisation » du néo-FN semble passer par le détournement d'argent public. Une condition essentielle pour intégrer enfin le « Système » ?

    Source : http://www.lavoixdunord.fr/112892/article/2017-02-02/meme-en-cas-de-mise-en-examen-marine-le-pen-affirme-qu-elle-resterait-candidate#utm_medium=redaction&utm_source=facebook&utm_campaign=page-fan-vdn

  • A méditer humblement ! Marine et les autres, et c'est pas fini.

    Le "grain de sel" de Jean-Claude Rolinat

    Rédigé le Vendredi 3 Février 2017 à 14:58 | 0 commentaire(s)

     

    LA MALEDICTION DES FAVORIS
    Les lecteurs de ma génération de la catégorie des « 7 à 77 ans », se souviennent certainement de l’album des aventures de TINTIN intitulé « Les sept boules de cristal ».


    Le "grain de sel" de Jean-Claude Rolinat
    Une histoire dans laquelle la malédiction de l’Inca Rascar-Capac  frappait d’un mal mystérieux les savants de retour d’une expédition au Pérou et en Bolivie. Hergé, pour trousser cette nouvelle aventure du héros à la houppette, s’inspirait sans doute de la mort mystérieuse des égyptologues qui avaient violé le tombeau du pharaon Toutankhamon. Un même mal tout autant mystérieux, sans doute moins…. « mortel », s’abattrait-il sur les candidats favoris à l’élection présidentielle française, celle de 2012 comme celle d’avril et mai prochains ?
    DE DSK à Fillon en passant par Clinton
    Il y a cinq ans, juré, craché foi de sondeur, « le meilleur économiste de France » - ça reste à prouver ! – devait entrer à l’Elysée comme une main dans un gant de toilette. Patatras, les « prouesses » sexuelles de Dominique Strauss Kahn au Sofitel de New-York l’envoyaient pour un très court temps derrière les barreaux étatsuniens et détruisaient ses chances d’accéder à la magistrature suprême. Plus près de nous dans l’échelle du temps, un autre favori incarnant le courant social-démocrate du Parti socialiste, le vindicatif Manuel Valls, mordait la poussière face à Benoit Hamon. Ce dernier, éphémère ministre de l’éducation nationale et député frondeur,  gauchiste pur poil, est l’élu de Trappes « le Molenbeek français ». En Amérique, Donald Trump , à en croire les sondages,  aurait dû être battu à plate couture par l’arrogante Hillary Clinton bénéficiant elle, de l’onction médiatique et du soutien de l’hyper classe mondialiste U.S. Que nenni, les patriotes américains ont fait mentir les sondeurs et l’ancienne secrétaire d’Etat et sénatrice de la « big apple » a jeté l’éponge et regagné son terrier new-yorkais.
    Fillon file un mauvais coton
    Qu’en sera-t-il de François Fillon, étonnant triomphateur d’Alain Juppé qui caracolait depuis près de deux ans en tête de tous les sondages ? Pour le maire de Bordeaux, la rue du Faubourg Saint-Honoré devait être pavée de roses. Elle ne fut qu’un bref chemin de croix semé d’épines….Est-ce au tour du flegmatique Fillon, empêtré dans les contradictions du « Pénélopegate » , de subir la malédiction des favoris, lui qui était assuré de devenir Président après sa nette victoire aux primaires de son camp ? Visiblement, un méchant coup de bec d’un facétieux  Canard semble l’avoir mis K.O. Définitivement ? (1). Sera-t-il contraint d’abandonner sa marche triomphale vers le forum élyséen, tel un César au front ceint de lauriers ? A son tour le jeune patricien Macron, coqueluche des gazettes et voltigeur des sondages, mordra-t-il la poussière du cirque présidentiel, dépassé par le char d’un(e) outsider ? La vie politique est pleine d’imprévus, de rebondissements, rien n’est jamais vraiment acquis. Il s’en est fallu de peu hier et jadis, que Jacques Chaban-Delmas et Edouard Balladur ne deviennent numéro un,  que le Québec et  l’Ecosse ne choisissent par la sécession le grand large, que Hofer ne l’emporte en Autriche et que le Brexit ne passe à la trappe. Un homme politique n’est jamais fini tant que la mort ne l’a pas frappé. Il y a mille et cent exemples de par le monde de résurrections qui ne doivent rien à une intervention divine ! Qui aurait imaginé en 1960 que le Vice-Président Richard Nixon tomberait face à John Kennedy à 100 000 voix près, parce qu’il était apparu à la télévision « mal rasé »,  ou que le même Nixon chuterait sur une petite affaire d’espionnage du Q.G de ses rivaux démocrates ? (2). Pouvait-on espérer que dans son propre Land d’origine, le parti de dame Merkel la CDU, serait battu par l’irruption de l’AFD lors des dernières consultations régionales ? Depuis Charles Maurras, nous savons qu’en politique « le désespoir est une sottises absolue ». Le feuilleton de l’élection présidentielle s’avère être palpitant. Rien n’est joué, tout est possible, le pire comme le meilleur. Néanmoins, il eût été plus confortable de le suivre détendu si, cette fois-ci, l’échéance n’était pas la dernière avant la chute fatale de « notre cher et vieux pays ». Mais, comme le Prince d’Orange, Stathouder des Pays-Bas au XVIIème siècle, nous pensons qu’il « n’est pas nécessaire d’espérer pour entreprendre »…
     
    Jean-Claude ROLINAT   
    (1) Sans émettre aucun jugement de fond sur cette affaire aux aspects scandaleux, il est néanmoins permis de s’interroger sur l’exceptionnelle célérité du Parquet. Il faut avoir présent à  l’esprit que  Mme Eliane Houlette a été nommée à la tête du Parquet national financier sur proposition de l’ancienne Garde des sceaux Christiane Taubira, et que Mr Jean-Louis Nadal a été placé par François Hollande lui-même à la tête de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique. (Organisme créé après la forfaiture de Jérôme Cahuzac).De la République démocratique élective, devrions-nous passer, sans transition, sous le régime de la « République des juges » ?
    (2) le fameux « Watergate »
     


     

     


      

  • Paroles ! Paroles ...... !

    Les promesses délirantes que Marine Le Pen va annoncer

    Rédigé le Jeudi 2 Février 2017 à 08:12 | 0 commentaire(s)

     

    C’est un document d’une quinzaine de pages qui circule depuis quelques jours dans le cercle très fermé des caciques du Front national. A part Marine Le Pen elle-même, ils sont une poignée à avoir eu entre les mains les 144 engagements que la candidate d’extrême-droite dévoilera le week-end prochain à Lyon. Parmi les happy few, il y a le vice-président du FN Florian Philippot, le directeur de campagne David Rachline, les députés européens Joëlle Mélin et Bernard Monot et le coordinateur du projet Jean Messiha, un haut fonctionnaire de l'Etat en disponibilité.


    La version, que Challenges s’est procurée, sera sans doute encore amendée dans les prochains jours, mais les principaux engagements sont là. Découpé en six chapitres, le programme promet « Une France libre »« Une France fière »« Une France prospère »« Une France juste »... Sur la forme, c’est un catalogue de plus de 140 promesses, plus ou moins floues, souvent coûteuses et mal financées. Marine Le Pen ne s’embarrasse guère de l’équilibre des comptes publics. Elle se contente de formules vagues sur l’assainissement des finances publiques et la chasse au gaspillage.

    Côté social, une « prime de pouvoir d’achat » serait accordée aux bas revenus et petites retraites jusqu’à 1.500 euros par mois. « Cela aurait l’avantage de toucher tous les ménages modestes, y compris les inactifs et ceux qui ne paient pas l’impôt sur le revenu, sous la forme d’un chèque versé par le trésor public », confie un membre du staff de campagne. Ce sont donc les classes moyennes qui vont encore morfler pour financer tout ça...

    Lancées par Marine Le Pen mi-janvier, la proposition de fixer un délai de deux ans aux travailleurs étrangers qui cotisent à l’assurance maladie avant de profiter du remboursement des soins et celle de leur facturer le coût de l’école publique n’ont en revanche pas été retenues. « Ce sont des pistes qui choquent les Français et on a préféré y renoncer », glisse un proche de la patronne du FN.

    A rebours des réformes menées depuis 25 ans, Marine Le Pen promet coûte que coûte le retour de l’âge de départ à la retraite à 60 ans, contre 62 ans aujourd’hui, après 40 ans de cotisations, contre 41,5 ans actuellement et 43,5 ans à l’horizon 2035. « C’est une mesure à laquelle elle tient tout particulièrement, confie un élu frontiste. Impossible de la faire changer d’avis sur ce point. » Et tant pis si cela coûterait environ 15 milliards d’euros…

    Pour l’heure, pas de trace d’un chiffrage précis du coût de cette longue liste de promesses. Quant aux économies, elles sont rares, de faible ampleur ou très hypothétiques : suppression des conseils régionaux et des intercommunalités, disparition de l’aide médicale d’État, lutte contre la fraude fiscale et sociale, etc. Un flou artistique quasi assumé par l’entourage de la candidate.

    En outre, plus un mot sur le rétablissement de la peine de mort, sur l'inversion des flux migratoires ou sur l'abrogation des lois liberticides, et encore moins bien sûr sur le droit à la vie et les parodies de mariages entre homosexuels...

    Source : http://www.challenges.fr

  • Qui paye ses dettes peut-être s'enrichit !

    FN: le parti doit 1,1 million d'euros à Bruxelles

    Rédigé le Mercredi 1 Février 2017 à 09:27 | 0 commentaire(s)

     

    Plusieurs députés du Front national sont accusés d'avoir rémunéré avec des fonds européens des assistants parlementaires qui travaillaient essentiellement pour le FN.


     
     

     
    Marine Le Pen a porté plainte contre la directrice de l'organe européen de lutte contre la fraude.
     
     
     
  • Et, ils sont où ?

    Front national : un tiers des élus municipaux ont quitté leurs postes depuis 2014

    Rédigé le Mercredi 1 Février 2017 à 09:19 | 0 commentaire(s)

     

    Au printemps 2014, Le Front national et son rassemblement bleu marine exultent. Pour la première fois, il obtient plus de 1.500 élus aux élections municipales. Deux ans et demi plus tard, combien en reste-t-il ? L’Oeil du 20h a mené l’enquête.
    loglo


    Un tiers de démissionnaires

    Appeler les quelques 500 villes où le Front National a obtenu des élus, ça nous a pris du temps : des journées entières au téléphone. Résultat : sur les 1.518 conseillers municipaux Front National élus en 2014, 32% ne le sont plus. Beaucoup sont partis pour des raisons personnelles : déménagement ou changement de travail. Le problème, c’est que les remplacer s’avère parfois compliqué.

    Un élu fantôme

    C’est le cas par exemple à Cusset, dans la banlieue de Vichy. Lors des conseils municipaux, les absents sont toujours  excusés. Tous, sauf Bruno Chabert l’unique élu Front national. Six mois que le siège est vacant. Voilà pourquoi : la tête de liste Front National élue en 2014, a siégé pendant un an. Suite à une mise en examen, il a démissionné.

    Comme le prévoit la loi, la personne suivante doit le remplacer. Elle a refusé. Le numéro 3 de la liste est resté 6 mois. Le quatrième n’a pas siégé. Le 5ème, Bruno Chabert, est introuvable alors que la municipalité continue à le convier aux réunions du conseil.

    Et si l’élu est aujourd’hui introuvable, c’est parce que la liste Front National a été faite un peu à la va-vite. Nous sommes allés voir Michel Manillère, 3ème sur la liste. Il admet ne pas bien connaître tout le monde. “Ce n’est pas une liste fantoche, mais il fallait trouver 33 personnes sur la liste. Je remercie les gars qui ont signé d’ailleurs”, explique ce dernier à notre micro.

    Des dissensions politiques ?

    Mais si autant de conseillers municipaux FN ont quitté leurs postes depuis 2014, c’est aussi que 12% d’entre eux ont renoncé à l’étiquette Front national. Dans le Var, le parti dirige la mairie du Luc en Provence.

    Patricia Zirilli, ancienne de l’UMP, rejoint le rassemblement bleu marine en 2014. Elle est élue maire pendant un an puis jette l’éponge. Dans la presse locale, elle explique : “Je démissionne à cause des pressions d’une équipe (...) qui me reproche de “ne pas être assez FN””. A la mairie, on conteste cette version. Selon le nouveau maire frontiste, l’équipe municipale fonctionne beaucoup mieux aujourd’hui.

    Au sommet du Front National, on conteste toute dissension politique. “C’est révélateur d’une construction rapide du parti”, explique Nicolas Bay, le secrétaire général du FN. Au parti à la flamme, on reconnaît néanmoins que l’objectif en 2014, c’était d’obtenir un maximum d’élus, quitte... à en perdre quelques uns en route.
    source:leblogfrancetvinfo.fr

  • Que risquent'ils ?

    Le Front national et leurs collaborateurs sont dans le viseur du Parlement européen. L'Office européen de lutte contre la fraude, l'OLAF, a mené une enquête sur l'emploi de deux assistants parlementaires de Marine Le Pen alors qu'en fait ils travaillaient pour le parti. Au moment où François Fillon est déjà empêtré dans le "Penelope Gate", Marine Le Pen pourrait également se trouver en difficulté dans la campagne présidentielle si elle ne règle pas cette somme à l'assemblée européenne.

       > Lire aussi : Les assistants parlementaires, une affaire de familles

     

    Que s'est-il passé ?

     

    En 2015, le président du Parlement européen Martin Schulz a saisi l'OLAF et avait prévenu l'ancienne ministre de la Justice Christiane Taubira sur des faits pouvant ressembler à du financement illicite de parti politique.Selon Le Monde, 29 assistants parlementaires de 23 députés européens étaient suspectés "d'emplois fictifs" dans le cadre de cette enquête.

    Il n y a pas que le cabinet de Marine Le Pen qui est concerné. Tous les membres du cabinet de Jean-Marie Le Pen ainsi que 8 cadres qui dépendent de Florian Philippot, le numéro deux du FN, sont également visés par le Parlement.

    La président du Front National doit rembourser 340.000 euros au Parlement européen.© Fournis par La Tribune La président du Front National doit rembourser 340.000 euros au Parlement européen.

    En décembre dernier, le parquet de Paris a ouvert une information judiciaire pour "abus de confiance","recel d'abus de confiance","escroquerie en bande organisée", "faux et usage de faux" et "travail dissimulé".

    Marine Le Pen au Parlement européen en janvier 2017 (Photo : Reuters/Christian Hartmann)

     

    Deux types d'assistants parlementaires

     

    Il existe deux types d'assistants parlementaires au Parlement européen. D'après le règlement du Conseil de février 2009, l'assistant parlementaire accrédité est "en poste dans l'un des trois lieux de travail du Parlement européen", à savoir Strasbourg, Bruxelles et Luxembourg. Un collaborateur local doit quant à lui assister le député européen dans son Etat d'origine. Il doit notamment aider l'élu dans sa circonscription et représente entre autres "une interface entre les électeurs, le député et les instances locales de son parti".

    Un cumul possible des fonctions est autorisé comme le souligne le site touteleurope :

    "Le règlement du Conseil du 23 février 2009 ne fait part d'aucune obligation d'exclusivité entre l'assistant parlementaire et le Parlement européen (pour un assistant accrédité) ou l'eurodéputé (pour un assistant local)."

    Mais le collaborateur parlementaire ne peut être payé que pour des tâches en lien avec l'activité de l'eurodéputé. D'après l'article 33 du code de bonne conduite du Parlement européen, "seules les dépenses nécessaires et directement liées à l'exercice du mandat parlementaire peuvent être défrayées".

     

    Que risque Marine Le Pen ?

     

    Le Parlement européen réclame au total le remboursement de plus de 340.000 euros. 298.497 euros ont été "indûment versés" à la responsable du cabinet de Mme Le Pen, Catherine Griset. Et 41.554 euros ont été versés à Thierry Légier. Ce dernier a été pendant plus de vingt ans le garde du corps de Jean-Marie Le Pen avant de devenir celui de Marine Le Pen.

    Si la première somme n'est pas réglée avant le 31 janvier à minuit, le Parlement européen devrait prélever la moitié de l'indemnité parlementaire de Marine Le Pen, à savoir 3.100 euros sur les 6.200 euros mensuels, 4.300 euros de frais généraux et la moitié de son indemnité de séjour selon Challenges qui a révélé récemment des documents de la direction générale des finances du Parlement européen adressés à Marine Le Pen.

    Concernant la somme correspondante aux salaires de Thierry Légier, la candidate à l'élection présidentielle doit verser les 41.554 euros au Parlement avant le 28 février prochain. Les retenues pourraient se prolonger jusqu'au remboursement intégral des sommes réclamées par le Parlement. Marine Le Pen pourrait également devoir rembourser des intérêts "au taux appliqué par la Banque centrale européenne à ses opérations principales de refinancement majoré de trois points et demi".

  • Il reste des patriotes.

    Il faut s'appeler Jean d'Ormesson pour avoir ce talent !!!

    Si tu savais Najat, comme on était fiers et heureux, nous les Rinaldi, les Fernández, les Ribolowski, les Sebban, les Ayache, les Piemontesi, les Van de Kerkof, nous les Bernstein, les Bogossian , les Campana, les Suchodolsky ... d’écouter, les doigts encore douloureux et engourdis par la bataille de boules de neige de la récré, notre maître d'école nous parler de nos ancêtres gaulois qui avaient combattu les armées de César à Alésia et de nos ancêtres Francs qui avaient fait de Clovis leur roi.

    Si tu savais petite Najat, ministre inculte de l’Éducation Nationale, comme c'était bon, pour les petits français de neuf ans que nous étions, de faire mordre la poussière aux Anglais aux côtés de notre ancêtre Bertrand Duguesclin, connétable de France, de chevaucher aux côtés de notre ancêtre Bayard, le chevalier sans peur et sans reproche, et l'admiration que nous portions à Jeanne d'Arc.

    Si tu savais prétentieuse Najat, toi qui reconnais ne lire qu' un livre par an mais traite les membres de l'Académie Française de "pseudo z'intellectuels", comme c'était pénible pour nous de souffrir en sonnant du cor avec notre ancêtre Roland le Preux, mortellement blessé à Ronceveaux en assurant les arrières de Charlemagne, comme c'était grisant de partir pour les Croisades avec notre ancêtre Saint Louis, sans oublier les exploits de Charles Martel arrêtant les Arabes à Poitiers...

    Évidemment que nous savions, nous qui avions des noms si difficiles à prononcer ou à écrire, que nos héros n'étaient pas nos ancêtres et que nos ancêtres avaient eu d'autres héros.... > > > > Mais c'était si bon de croire le contraire, rien qu'une heure par semaine. > > > > On était si fiers de faire partie spirituellement de cette Histoire là.

    Penses tu, inculte, haineuse et revancharde petite Najat, que ton cerveau formé dans les années Mitterand et lessivé depuis trente ans à l'eau de Javel de SOS racisme et de Terra Nova, sera capable un jour de comprendre cela ?

     

    (NDLR)

    Moi, SLABOLEPSZY Dominique, j'ai vécu tout cela, comme mon père Stanislas, né à CONDE sur l'ESCAUT en 1923, qui a opté pour la nationalité française afin de défendre notre NATION contre l'envahisseur nazi.

    Il a été récompensé par la Croix du Combattant volontaire pour faits de résistance. Nous l'avons découvert à son décès en 1995.

     

     

     

  • IRIS des HAUTS de FRANCE

     
     
     
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    Miss Univers : « Fermer nos frontières, c’est un droit que nous avons »

    31 Janvier 2017, 06:34am

    Publié par Thomas Joly

    La superbe gagnante française Iris Mittenaere affirme : « Les pays peuvent avoir le choix de fermer ou d'ouvrir leurs frontières. »

    De nombreux médias ont travesti ses propos en prétendant qu’elle a fait un plaidoyer pour l’ouverture des frontières.

    La question était : « Pendant la crise des réfugiés dans le monde entier,
    est-ce que les pays sont obligés d’accepter les réfugiés ou on-t-ils le droit de fermer leurs frontières ? »

    En répondant très clairement qu’on a le droit de fermer nos frontières, Miss Univers dit qu’on a le droit de refuser les réfugiés. Elle dit que nos frontières sont ouvertes en Europe parce qu’on souhaite le plus de mondialisation possible : le terme « mondialisation » étant connoté négativement pour à peu près 99 Français sur 100, c’est une façon très intelligente de déprécier cette ouverture des frontières avant d’affirmer la légitimité pour la France de fermer ses frontières actuellement ouvertes.

    Le traducteur n’a même pas traduit la fin, où elle dit que fermer ses frontières est un droit, et il est très difficile de trouver sur internet le passage que nous diffusons. Les médias ont préféré la partie où elle essaye de se rattraper en disant que les frontières ouvertes permettent de rencontrer ses voisins.

    La censure politique par les médias mondialistes est si forte qu’ils vont jusqu’à omettre et déformer les propos de Miss Univers. Ces quelques paroles de cette belle demoiselle ont dû les mettre en panique.

    Aucune Française n’avait remporté ce prix depuis 1953, quand Christiane Martel fut sacrée Miss Univers.

    Source : http://suavelos.eu

  • Touches pas à mes sous !

    J'ai tenu à vous donner les deux avis, j'ai le mien, mais le risque d'une plainte en diffamation m'interdit de vous l'expliquer.

    J'ai quitté le FN canal hystérique et ses "judas" en 2008, je ne regrette que le FN canal historique.

    La dame, ancienne collègue au CRNPDC de 1998 à 2004, absente le plus souvent pour des motifs divers et variés, n'a laissé que le souvenir d'une forte en "gueule" sans effet positif.  

    Orange avec AFP, publié le lundi 30 janvier 2017 à 15h57

    POLITIQUE - Le Parlement européen veut récupérer les enveloppes octroyées à l'eurodéputée frontiste pour rémunérer deux assistants qui n'auraient travaillé que pour le parti. La candidate à la présidentielle accuse Strasbourg d'agir "en violation" de l'État de droit".

    Alors que le "PenelopeGate" embarrasse François Fillon, un autre candidat la présidentielle française a des ennuis sur des présumés emplois fictifs d'assistants parlementaires. Le Parlement européen a en effet envoyé à Marine Le Pen deux lettres de recouvrement lui réclamant près de 340.000 euros, estimant que l'eurodéputée du Front national avait perçu ces sommes pour rémunérer deux assistants qui n'auraient travaillé que pour son parti.

    Une première lettre a été envoyée le 9 décembre concernant le cas, le plus sérieux, de Catherine Griset. Cette dernière était une assistante accréditée au Parlement européen de 2010 à 2016, mais qui en réalité ne travaillait pas dans les locaux de l'institution. Le Parlement estime que Catherine Griset exerçait une "activité reconnue" au siège du Front national à Nanterre, sous l'autorité directe de la présidente Marine Le Pen. 

    "Il résulte du rapport et des conclusions de l'Office européen de lutte antifraude (Olaf) que Mme Griset, dont le contrat prévoyait comme lieu de travail Bruxelles, n'a pas été en mesure de démontrer qu'elle résidait de façon continue ou avec un caractère permanent en Belgique, ni qu'elle se rendait régulièrement à son lieu de travail", écrit le haut fonctionnaire du Parlement européen, Klaus Welle, rapporte Challenges, qui a été le premier à dévoiler l'information. Marine Le Pen n'ayant fourni aucune preuve d'une activité quelconque de Catherine Griset, le Parlement lui demande de rembourser dès le 1er février les 298.400 euros de salaire de cette dernière sur un peu plus de cinq ans. 

    RISQUE DE SE VOIR PRIVER DE LA MOITIÉ DE SON INDEMNITÉ

    Le second dossier concerne un autre assistant, Thierry Légier, le garde du corps de la patronne du FN, pour un montant de plus de 41.500 euros. Dans ce cas, le recouvrement devrait commencer à une date ultérieure, car la lettre du Parlement n'aurait été envoyée que mi-janvier.

    En l'absence de remboursement dans les délais requis, Marine Le Pen pourrait se voir retirer 50% de son indemnité d'eurodéputée, soit 3.100 euros sur les 6.200 euros mensuels, la totalité de son enveloppe de 4.300 euros de frais généraux et la moitié de son indemnité de séjour. À défaut de remboursement dans les délais prévus, Marine Le Pen paiera des intérêts "au taux appliqué par la Banque centrale européenne à ses opérations principales de refinancement majoré de trois points et demi".

    LA RÉPONSE DE MARINE LE PEN

    Au lendemain de l'article de Challenges, la candidate à l'Élysée a réagi vendredi 27 janvier, lors d'une conférence de presse à Denain (Nord), en marge d'une visite sur le thème des seniors. "Je me battrai, je suis convaincue que je gagnerai contre le Parlement européen. (Il) a agi en violation de toutes les règles de l'État de droit et du droit français", a-t-elle accusé.

    "Il y a une véritable zone de non-droit. Le Parlement, de manière parfaitement unilatérale, sans s'être justifié sur les raisons de cette décision, a décidé de réclamer le remboursement du salaire de mon assistante (Catherine Griset, ndlr), qui travaille, elle", allusion à l'enquête sur l'emploi comme assistante parlementaire de Penelope Fillon, l'épouse du candidat à la présidentielle.

    Marine Le Pen s'est indignée que le recouvrement lui soit demandé "sans que la justice ait eu à se prononcer", sur cette affaire, qui fait l'objet depuis mi-décembre d'une information judiciaire et qui touche d'autres eurodéputés FN. "Le Parlement européen, sans m'avoir entendue, ni donné des arguments, décide d'opérer le remboursement d'une somme aussi considérable que celle-là", a protesté l'eurodéputée. "Quand on est un peu attaché aux droits de l'Homme et de la défense, on ne peut que s'étonner de ce genre de comportements", a-t-elle encore dénoncé.

    Selon elle, c'est "une décision politique de la part du Parlement européen, qui n'est pas une administration mais un organe politique dirigé par un socialiste (Martin Schulz, qui n'en est plus président, ndlr) qui a toujours dit qu'il ferait tout ce qui est en son pouvoir pour briser notre groupe, nous combattre politiquement". "Nous sommes jugés par des gens qui sont nos adversaires politiques", a encore critiqué la candidate du FN à la présidentielle. 

  • Carl LANG et JM le PEN sur radio courtoisie

    28 Janvier 2017, 15:13pm

    Publié par Thomas Joly

    Carl Lang et Jean-Marie Le Pen invités de Radio Courtoisie lundi 30 janvier à 12h

    Invités de Michel de Rostolan, Carl Lang, Jean-Marie Le Pen et René Bouin interviendront sur le thème de « la renaissance de la France, terre des Arts, des armes et des lois » le lundi 30 janvier de 12h à 13h30.

    Pour écouter Radio Courtoisie, cliquez ici.

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  • Au HAVRE, présence assurée

    Jean-Yves Métayer-Robbes, candidat du Parti de la France au Havre

    Jean-Yves Métayer-Robbes, candidat du Parti de la France au Havre

     
     
  • Lorient, la Bretagne aussi

    LE PDF EN BRETAGNE !  C'était hier !

    LE PDF EN BRETAGNE ! C'était hier !

     
    Compte-rendu et photos en cliquant sur l'image. Merci.
  • Carl LANG à LORIENT

    Rappel : Carl Lang à Lorient avec Lorrain de Saint-Affrique samedi 28 janvier

    Rédigé le Jeudi 26 Janvier 2017 à 08:32 | 0 commentaire(s)

     

    Carl Lang, Président du Parti de la France, et Lorrain de Saint-Affrique, Secrétaire général des Comités Jeanne, animeront un déjeuner-débat suivi d'une galette des rois samedi 28 janvier à Lorient. Réservation obligatoire au 06.85.71.98.79


  • Il a dit la vérité, il doit être fusillé, comme dans la chanson

    Paris : le préfet lie la délinquance à l'arrivée des migrants

    Rédigé le Mercredi 25 Janvier 2017 à 09:56 | 0 commentaire(s)

     

    Michel Cadot, le préfet de Paris, a présenté, lundi 23 janvier, le bilan de la délinquance en Ile-de-France en 2016. Détail frappant, il attribue l'augmentation des vols au redéploiement des effectifs policiers dans les gares de la capitale “pour mieux contrôler l'arrivée croissante des migrants”. [...]


    Selon le haut fonctionnaire, les atteintes aux personnes sont en augmentation de 2,7 % tandis que les violences sexuelles ont littéralement explosé (+ 14,9 %, à 4694 faits constatés).

    Lire la suite sur Valeurs Actuelles

    "Bravo Monsieur le Préfet, enfin un fonctionnaire réaliste qui ose"

  • Il faut le dire et le faire savoir !

    Nouvelle victoire contre la GPA : La CEDH affirme le droit des Etats à lutter contre la GPA

    Rédigé le Mercredi 25 Janvier 2017 à 09:53 | 0 commentaire(s)

     

    La décision rendue ce jour était très attendue puisque, pour la première fois, c’est la Grande Chambre de la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) qui s’est prononcée sur une affaire de GPA (Gestation Par Autrui).


    Nouvelle victoire contre la GPA : La CEDH affirme le droit des Etats à lutter contre la GPA

    Condamnée par la CEDH en janvier 2015 pour avoir retiré un enfant à un couple qui l’avait acheté 49.000 euros en Russie, l’Italie avait fait appel de cette décision aberrante qui revenait à admettre que l’achat d’un enfant peut constituer le fondement d’une famille.

    Lire la suite sur La Manif Pour Tous

  • Français et catholique

    Un Français sur deux s’inquiète des effets de la politique familiale

    Rédigé le Mercredi 18 Janvier 2017 à 12:09 | 0 commentaire(s)

     

    On le savait, les Français plébiscitent la famille. Interrogés par l’Ifop pour « La manif pour tous », ils confirment massivement cet attachement : 91 % des personnes interrogées estiment en effet que la famille est le premier lieu de solidarité, notamment entre les générations ; 89 % pensent qu’elle est le meilleur amortisseur social (38 % étant même tout à fait d’accord avec cette idée) ; 88 % (et jusqu’à 99 % pour des catholiques pratiquants) la perçoivent comme un atout pour la paix sociale et le vivre-ensemble.


    Un Français sur deux s’inquiète des effets de la politique familiale
    Lire la suite sur La Croix
     
  • Vous devez le lire, édifiant !

    L'arbre médiatique qui cache la forêt

     

    Le néo-FN de Mme Marine et des frères Philippot est-il encore viable ?

    Rédigé le Lundi 9 Janvier 2017 à 08:00 | 0 commentaire(s)

     

    Extrait de l'Édition du 9 janvier 2017
    Réinfo, journal d'information bimensuel du Parti de la France


    Le néo-FN de Madame Marine et des frères Philippot existe-t-il encore réellement, politiquement et structurellement ? La question peut se poser pour cette formation politique qui peine à trouver des financements pour ses campagnes à venir et qui n’a aucune cohérence politique.

     

    Jamais le Front National n’a disposé d’autant de financement public.

     

    Pour l’année 2014, il déclarait dix millions d’euros de recettes. Et c’est sans compter les indemnités perçues par ses élus, députés européens, députés, sénateurs, maires, conseillers régionaux, conseillers généraux, conseillers municipaux… même si 28 % d’entre-eux, selon une étude de l’AFP, auraient déjà quitté le Front National…

    En 2015, qui plus est, la création du Groupe ENF au Parlement européen a apporté 4 millions d’euros supplémentaires par an, au tonneau des danaïdes que semble être devenu ce néo-FN.

     

    Malgré toutes ces ressources financières, à la clôture de l’exercice 2014, la gestion mariniste accuse un déficit de plus d’un million d’euros, ce qui porte à 13 millions, les dettes du Parti !

     

    Nous sommes loin de la gestion saine et rigoureuse de l'ancien trésorier Jean-Pierre Reveau qui a toujours permis au Front National de Jean-Marie Le Pen de faire face aux échéances électorales, et même d’être présent au second tour de la présidentielle, en 2002, un exploit des équipes de Bruno Gollnisch et de Carl Lang. Un exploit que Madame Marine n’a encore jamais réussi.

     

    À ces financements publics, s’ajoutent des emprunts à Cotelec ou encore à une banque tchéco-russe en 2014.

     

    Un prêt de 9 millions d’euros, un prêt dont l’Agence d’assurance des dépôts bancaires russes (ASV) réclame aujourd'hui le remboursement.

     

    En effet, après la faillite de cet établissement tchéco-russe, mi-2016, l’ASV a récupéré la gestion de cette créance. Le 26 décembre, cette autorité administrative a indiqué à la RNS, l’agence de presse russe, qu'elle avait lancé une procédure judiciaire pour obtenir le remboursement du prêt de 9 millions consenti au néo-FN.

     

    Passée inaperçue, cette nouvelle a été reprise début janvier par la presse économique russe.

     

    Difficile de dire dans quelle mesure la décision de cette autorité administrative, théoriquement indépendante mais placée sous la tutelle de la Banque de Russie, relève d’un simple automatisme procédurier, ou si elle a fait l’objet d’une validation politique.

     

    Selon un spécialiste du milieu bancaire russe, je cite « il s’agit d’une mesure normale d’assainissement de la banque : l’ASV doit rembourser les déposants et cherche donc à recouvrer les créances ».

     

    Mais un autre expert estime que l’ASV, je cite : « aurait très bien pu choisir d’enterrer le dossier, si elle avait reçu des consignes politiques en ce sens. Or, elle a choisi de contester les conditions du remboursement de la créance ».

     

    Il est vrai que vu de Moscou, le double jeu atlantiste, avec l’ultra-lobby sioniste de l’AIPAC, l’assassinat symbolique du père fondateur du FN par sa fille et l’orientation très gay-friendly du néo-FN, ne sont pas à la hauteur des espoirs placés en lui…

     

    Vladimir Poutine, qui n’a jamais reçu la dirigeante néo-frontiste, n'ayant pas caché sa préférence pour François Fillon.

     

    Le néo-FN a beau jeu de se plaindre que les banques françaises ne lui accordent aucun prêt. Celles-ci peuvent constater que chaque année, malgré un budget en hausse constante, le parti n’arrive pas à épurer ses dettes et présente systématiquement un budget en déficit de plus de 10 %. Sans compter, que n'étant plus propriétaire de ses locaux, le parti n'apporte aucun bien immobilier en garantie à l'emprunteur.

     

    Par ailleurs, même si la présomption d’innocence prévaut, quelle banque aimerait associer son nom à celui d’une formation politique impliquée dans plusieurs scandales financiers, pour abus de confiance et recel, escroqueries en bande organisée, faux et usage de faux et travail dissimulé, mais aussi pour la mise en place de systèmes frauduleux pour le financement des législatives et de la présidentielle de 2012, ou encore sur le patrimoine personnel de Marine Le Pen et celui de son père…

     

    Cela fait beaucoup pour une formation qui, jadis, avait pour slogan « tête haute et main propre ». Une formation qui avec un tel bilan, a quand même la prétention d'assainir la vie politique française et les comptes de la Nation.

     

    Ce sont là des faiblesses structurelles graves, et elles se cumulent à des contradictions idéologiques qui s’épanchent, souvent dans la haine, au fil des twits ou des indiscrétions médiatiques.

     

    Combien de temps Madame Marine, totalement inféodée à la ligne jacobine, laïciste, assimilationniste des frères Philippot, pourra-t-elle encore mépriser ouvertement les derniers représentants du FN historique, comme Bruno Gollnisch ou Marion Maréchal Le Pen ?

     

    Ces derniers ne servent qu’à maintenir l’illusion, à cacher l’imposture même qu’est devenu le néo-FN, à des électeurs qui croient voter pour le FN de Jean-Marie Le Pen, alors qu’il n’est plus qu’un fantôme.

     

    Le parti tiendra-t-il jusqu’à la présidentielle ?

     

    Sa candidate sera-t-elle à même de faire campagne et de passer la barre fatidique des 5 % pour être remboursée ?

     

    Compte-tenu de son endettement croissant, ce parti sera-t-il capable de rembourser un emprunt supplémentaire ?

     

    Voilà des questions que peuvent se poser légitiment les banques françaises, avant de prêter plusieurs millions d’euros à une formation dont la gestion irresponsable est structurellement déficitaire.

     

    Et oui, la victimisation ne peut pas toujours cacher, la dure réalité des faits.