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vie politique du Hainaut - Page 9

  • Deuxième tour

    Le Parti de la France appelle à faire battre la gauche mondialiste et affairiste incarnée par Emmanuel Macron

    Rédigé le Lundi 24 Avril 2017 à 08:17 | 0 commentaire(s)

     

    Sur Twitter, Carl Lang, Président du Parti de la France, annonce que le Parti de la France appelle à faire battre le candidat de Hollande et des Rothschild au 2nd tour des élections présidentielles : « Le Parti de la France appelle à faire battre Macron, ancien ministre de Hollande et candidat de la gauche affairiste et antinationale. »


     
     
  • Dimanche 23 avril 2017, 20 heures ! Quel deuxième tour ?

    MACRON OU LA FIN PROGRAMMÉE...

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    Roland Hélie

    Directeur de Synthèse nationale

    Editorial du n°45 (Printemps 2017)

    Publié le 25 mars 2017

    Il ne reste plus que quelques semaines avant cette élection présidentielle dont la pré-campagne, et la campagne, nous réservent bien des surprises. Certes, depuis le début de la Ve République, nous savons que les jeux ne sont jamais faits d’avance. Ce qui semble évident six mois avant le scrutin s’avère toujours faux le moment venu. Preuve de la versatilité de notre peuple s’offusqueront les uns ou de l’aveuglement des médias s’exclameront les autres… qu’importe. Il n’y qu’une chose qui est constante, c’est que, de Présidentielle en Présidentielle, le gagnant a toujours été pire que le sortant.

    Cette année, nous sommes devant un cas de figure assez curieux. Soucieux que sont les partis institutionnalisés de vouloir accentuer leur image démocratique et voulant sans doute singer l’Amérique, ceux-ci nous ont imposé, à gauche comme à droite, le spectacle pathétique des « primaires ». Car il n’y a rien de tel qu’une primaire pour introduire les divisions dans un parti politique. Regardez-les, ils se sont tous entretués pendant six mois et, maintenant, les disqualifiés passent leur temps à en savonner la planche de ceux qui ont gagné.

    Des primaires qui tournent au vinaigre

    En plus, c’est hasardeux car dans les deux cas, chez les Républicains comme chez les socialistes, les vainqueurs ne sont pas ceux que le Système aurait voulu. Ni Juppé, ni Sarkozy, ni Valls, ni Montebourg, ces petits valets serviles de l’idéologie dominante n’ont réussit à l’emporter. À chaque fois, c’est un « outsider » qui est arrivé en tête. Benoît Hamon chez les socialistes (mais cela n’a pas beaucoup d’importance vu l’état actuel du PS) et, à « droite », François Fillon, personnage réputé pusillanime qui a été cinq ans Premier ministre de Sarkozy sans que personne ou presque ne s’en souvienne.

    Maudite primaire ! Si les gogos commencent à ne plus faire ce que l’oligarchie leur demande, où va-t-on ?

    Mais, rassurez-vous, le Système avait son joker : Emmanuel Macron évidemment… Un ancien de la Banque Rothschild reconverti dans le « politique buisness attrape tout » qui, avec sa prudence de banquier, avait justement pris soin d’éviter de passer la case risquée des primaires. Il se retrouve donc promu comme étant le candidat chéri des mondialistes de tous bord. Car avec lui, les mondialistes pourront dormir tranquilles. Il est bien dressé, il saura accélérer le processus de désintégration nationale et de reniement identitaire engagé. Il saura défendre les intérêts des multinationales apatrides et ceux de la haute-finance spéculative aux dépens des peuples et des nations.

    Haro sur le Sarthois

    Pour les fins stratèges de l’intelligentsia en place (ceux qui jouaient Clinton gagnante, le refus du Brexit et la chute de Bachar…), le calcul est simple : celui qui se retrouvera en deuxième position au premier tour derrière Marine Le Pen (à condition bien sûr que celle-ci soit en tête) à toutes les chances de l’emporter au second. Comme Fillon, par son côté notable provincial et certaines de ses prises de positions iconoclastes, ne répond pas aux critères de la bien-pensance, tout doit donc être mis en œuvre pour qu’il soit recalé en troisième position. Macron contre Marine Le Pen, c’est forcément Macron qui l’emportera croient-ils. Un duel Fillon-Le Pen, dans lequel Macron serait hors jeu, vous n’y pensez pas… Voilà pourquoi, depuis le début janvier, une campagne de presse reposant sur des abus plus ou moins avérés est lancée afin de déstabiliser Fillon. Je ne prétends pas que le Sarthois soit un modèle de vertu, mais force est de constater que ce qui lui est reproché est somme toute assez banal pour un politicien qui a vécu toute sa vie aux crochets de la République.

    Mais n’allez surtout pas imaginer que je cherche à le défendre. Même si je lui reconnais un certain panache dans le fait qu’il se soit maintenu en vers et contre tous, à commencer ceux de son propre camp, comme candidat des Républicains, la compassion s’arrêtera là. La manière avec laquelle il a snobé récemment certaines personnalités non conformistes de droite (comme Charles Million et Charles Beigbeder par exemple) qui souhaitaient le soutenir est significative de l’état d’esprit du personnage. En bon gaulliste qu’il est, Fillon a peur d’être classé trop à droite. Il espère sans doute se faire une place au soleil au centre ou ailleurs, mais pas de chance Macron l’occupe déjà.

    Et la droite nationale dans tout cela ?

    Paradoxalement, c’est au moment où une partie de plus en plus importante de nos compatriotes commence à ouvrir les yeux et à se rendre compte que tout ce que les nationalistes annonçaient depuis des décennies est en train de s’avérer vrai que la candidate qui est sensée représenter notre famille politique adopte un positionnement de plus en plus « clean ». Ce qui est plutôt regrettable.

    L’obsession de « la dédiabolisation » a conduit le Font national depuis quelques années à aller à l’encontre des aspirations de son électorat. Heureusement pour lui, ceux qui placent leur dernier espoir en Marine Le Pen ne se sont pas encore vraiment rendus compte de la dérive de son mouvement. C’est d ‘ailleurs peut être mieux ainsi.

    Notre peuple, aseptisé par des décennies de culpabilisation et de repentance visant à le rendre honteux de son identité, conditionné par des médias aux ordres champions de la désinformation et accablé par les contraintes d’une existence de plus en plus précaire commence à s’interroger sur l’avenir que lui propose le Système. Il voit dans le FN l’alternative à celui-ci car il ne sait pas que la direction actuelle du FN ne pense qu’à être reconnue par ce Système. On peut toujours rêver…

    Quoiqu’il en soit, nous estimons que le vote Marine (additionné à celui en faveur des autres candidats en marges comme Jean Lassalle ou Nicolas Dupont-Aignan) devra être considéré comme un « vote baromètre » qui prouvera le refus grandissant de cette classe politique usée et ternie. Il montrera que les Français sont à la recherche d’une autre voie que celles, éculées, que veut leur imposer le Système.

    Vous l’avez compris, Synthèse nationale, en tant que revue, ne donnera pas de consigne à ses lecteurs et amis. Nous savons que la candidate « officielle » de la droite nationale est loin de faire l’unanimité dans notre camp. Cependant, nous sommes aussi conscients de l’enjeu de cette présidentielle. L’élection programmée de Macron serait la pire des choses qui puisse arriver à la France car elle scellerait son asservissement total et définitif au parti de la finance, ce qui, en termes clairs, signifierait la fin de son existence. Et cela nous ne pouvons l’accepter. Eliminer Macron dès le premier tour est donc une priorité absolue, un acte de résistance patriotique et identitaire. Chacun saura, en son âme et conscience, ce qu’il lui reste à faire…

    Au-delà de la Présidentielle…

    Quel que soit le gagnant du second tour, même et surtout si c’est Macron, nous devrons continuer notre combat. Plus que jamais la France et les Français auront besoin d’une forces nationaliste digne de ce nom. En ce qui nous concerne, à Synthèse nationale, nous continuerons à œuvrer pour l’émergence d’un véritable pôle de rassemblement, fidèle aux fondamentaux qui font la spécificité de notre famille d’idées, résolument tourné vers l’avenir.

    Pour l’heure, nous vous donnons à tous rendez-vous comme chaque année à Rungis (94) le dimanche 1er octobre prochain pour notre XIe Journée nationale et identitaire.

    Comme l'a bien exprimé Roger HELIE, ce 23 avril 2017, après 20 heures, chacun devra faire son examen de conscience et prendre ses responsabilités.

    Le Bureau Politique du PARTI de la FRANCE prendra le samedi 29 avril 2017 sa décision pour le deuxième tour.

    Quoi qu'il arrive, je prendrai le parti de la FRANCE.

    Quoi qu'il arrive, je serai engagé jusqu'aux législatives des 11 et 18 juin prochain.

    Dominique SLABOLEPSZY

    Conseiller régional honoraire NPDC

    Membre du BP du PARTI de la FRANCE, secrétaire du  FN 59-HAINAUT de 1987 à 2007

  • Les dés sont jetés ! Ils roulent !

    Présidentielle : l’oligarchie médiatique va-t-elle subir un nouvel échec ?

     
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    « Ils avaient annoncé le maintien du Royaume-Uni dans l’Union Européenne et la victoire d’Hillary Clinton à l’élection présidentielle américaine », écrivait une plume de France TV info au lendemain de l’élection de Donald Trump à la Maison Blanche. « Une fois de plus, les instituts de sondages se sont trompés », continuait-on dans les colonnes du site d’information. Après la victoire du Leave et la cuisante défaite de Clinton, l’omission maladroite du journaliste résonne comme un aveu d’échec. S’il est vrai que « les sondages ne peuvent plus prédire le fonctionnement de la démocratie moderne », comme le soulignait le journal britannique The Independant au sortir de l’élection américaine, force est de constater que les médias de l’oligarchie se sont particulièrement mépris sur les résultats des dernières campagnes politiques.

    Le soir du 8 novembre, les grands médias se réjouissaient déjà du passage de la candidate démocrate. D’un ton badin, les plumes de Libération rapportaient avec délectation les propos ironiques du New York Times : «Les chances qu’Hillary Clinton perde l’élection sont équivalentes à la probabilité qu’un joueur de la NFL [le championnat national de football américain, ndlr] manque une transformation à 37 yards [33 mètres] soit environ 15% ». Le lendemain, la une désolée du quotidien, sous-titrée « Trumpapocalypse », était nettement moins triomphante.

    A l’aube de l’élection présidentielle française, c’est un écueil similaire qui semble se profiler à l’horizon. Agglutinés aux sondages, les hâbleurs médiatiques s’enchainent, décryptent, présument, de l’issue d’une élection dont ils n’ont guère réussi à deviner les candidats. De « Benoît Hamon, vainqueur inattendu de la primaire à gauche » (Le Monde) à la très « grosse surprise de la victoire de Fillon » (Sud Ouest), les journalistes ont encore surestimé leur capacité d’influence. A la veille des primaires de la droite, les grandes unes de la presse se prononçaient largement en faveur d’un Alain Juppé devenu pour certains d’entre eux le « papy cool » plébiscité, pour d’autres le garant d’une « Juppémania » sortie de l’invention des exégètes redoutant le retour de Nicolas Sarkozy chez Les Républicains.

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    Malgré ces défaites répétées, les médias de l’oligarchie ne renoncent pas à leur pouvoir d’influence, qu’ils croient encore doué de redoutables facultés. Matraquage médiatique massif, à l’égard des « affaires » de François Fillon, dont on néglige de souligner qu’elles sont le lot commun des officines partisanes. Un battage tonitruant, à l’intention de tout ce qui pourra nuire aux prétendants supposés incapables de faire triompher les mesures plébiscitées par la bien-pensance… Ou aptes à pérenniser la mangeoire nécessaire à la survie du racolage médiatique. Beaucoup de bruit pour rien, en somme, alors que de l’immigration au Bien commun disparaissent du débat les éléments qui devraient jalonner les discours du prochain président de la République…

    Les dernières nouvelles de la campagne présidentielle s’annoncent de mauvais aloi pour la grande presse. Versatiles, les scribouillards du « soft power » ont changé de chouchou à la dernière minute. Des unes amourachées d’un Emmanuel Macron annoncé comme le messager du changement, le penchant médiatique se tourne désormais vers le candidat des Communistes. Là, on salue ses réunions rameutant les foules, ici, les hologrammes « audacieux » et l’esbroufe bruyante. A l’heure où grondent les échos sourds d’une colère française légitime, il se pourrait bien que leurs présages ambitieux se révèlent un nouvel échec de la pensée médiatique « bon-ton ». Un discours dont les Français, de plus en plus soupçonneux à l’égard de cette presse aux ordres, ne supportent plus le diktat. Bon vent !

  • Comme aurait dit "Marchais", plus c'est gros, mieux ça passe !

    Comme chacun a pu le lire, le directeur de campagne de Marine le PEN se voit reprocher d'avoir été salarié au Conseil Régional NPDC de janvier à mars 2010. C'est lui qui donne ces dates.

    En dehors des montants que nous ne jugerons pas, il est un fait incontournable :

    Il n'a pas pu être salarié du groupe FN au Conseil Régional du Nord Pas de Calais aux date indiquées.

    Il n'y avait pas de groupe FN à cette époque.

    Un groupe existait, le groupe REUNIR, présidé par Carl LANG qui n'était plus au FN depuis de nombreux mois.

    J'étais le trésorier du groupe depuis le 5 décembre 2009.

    En toute logique, c'est Carl LANG, président du groupe qui aurait pu lui octroyer un contrat, avec l'assentiment du Président PS PERCHERON.

    Aucun d'eux n'a établi, ni fait enregistrer un quelconque contrat.

    Au pays des mensonges, David RACHLINE est le roi, Madame MARINE est l'impératrice.

    La justice est saisie, il ne lui reste qu'à demander les levées d'immunité parlementaire des deux affabulateurs.

    Dominique SLABOLEPSZY

    Conseiller régional NPDC de 1992 à 2010

  • Les candidats de l'Union des Patriotes

    Didier Monnin, votre candidat sur la 4ème du Var

    Rédigé le Mardi 18 Avril 2017 à 07:37 | 0 commentaire(s)

     

    Chantal Gaschet est sa suppléante. mail: c.gaschet06@gmail.com

    Soutenu par le Comité Jeanne, le Parti de la France, Fédération Nationale des Harkis, et Rapatriés d’Algérie.

    – Secrétaire Départemental du Comité Jeanne 83.
    – Délégué Départemental du Parti de la France 83 .


  • Le FN lave plus blanc que blanc !

    Le programme du FN : rendre les pauvres plus pauvres

     
    Marine Le Pen en meeting en Eure-et-Loir le 3 avril.© JEAN-FRANCOIS MONIER Marine Le Pen en meeting en Eure-et-Loir le 3 avril.

     

    Le parti d’extrême droite, autoproclamé proche du peuple, ne cherche en aucun cas à réduire les inégalités. Son projet, en matière d'éducation, de fiscalité, de politique familiale, etc. aura pour conséquence de favoriser les classes aisées.

    Alors que, depuis sa fondation, la stigmatisation de l’étranger constitue le principal ressort du Front national, le parti d’extrême droite cherche désormais à se présenter comme «la voix du peuple» et le défenseur des plus faibles en investissant les questions économiques et sociales. L’incapacité des gouvernements successifs à apporter des réponses convaincantes à la montée des inégalités, à l’absence de mobilité sociale et aux effets de la mondialisation sur l’emploi et les qualifications a indéniablement contribué à faire progresser le vote frontiste parmi les classes populaires : ainsi, aux élections européennes de 2014, il a recueilli, chez les votants, 43% des voix des ouvriers et 38% de celles des employés.

    Pourtant, le programme de Marine Le Pen ne défend pas les plus défavorisés. Un grand nombre de ses propositions économiques et sociales vont même directement à l’encontre de leurs intérêts. La légèreté de ses propositions, voire son silence presque total, sur plusieurs sujets incontournables dans la lutte contre les inégalités, notamment l’éducation et la formation, la fiscalité, les questions environnementales, les droits des femmes, l’accès à la santé ou encore les conséquences de la sortie de l’euro, fait douter sérieusement de sa réelle volonté et de sa capacité à agir en faveur des plus démunis.

    Suppression du collège unique

    La sortie de l’euro et de l’Union européenne, pierre angulaire du projet du FN, aurait, on le sait, des effets très défavorables sur le pouvoir d’achat des classes populaires. Tant l’inflation que l’augmentation des taxes et droits de douane pénaliseraient le pouvoir d’achat des revenus modestes, dont une part importante est consacrée à l’achat de produits importés de première nécessité (énergie, produits alimentaires, vêtements). La mise en avant par les médias de la sortie de l’euro occulte, en outre, d’autres points essentiels de son programme qu’il nous semble important de souligner ici.

    Ainsi d’autres propositions du FN ou le quasi-vide programmatique sur des sujets majeurs révèlent que la réduction des inégalités n’est pas réellement sa priorité. L’éducation en est un bon exemple. Sur ce sujet, le programme du Front national est réduit à la portion congrue, et les seules mesures précises envisagées, comme la suppression du collège unique et le rétablissement de l’apprentissage à 14 ans, auront tendance à renforcer la reproduction sociale en faveur des familles dont le capital culturel et financier est plus élevé. Une politique ambitieuse supposerait au contraire un investissement massif dès la petite enfance pour réduire les inégalités sociales.

    Défiscalisation de la donation

    Sa position sur la défiscalisation de la donation en est un autre exemple : le FN propose d’augmenter le montant des donations non imposées de 50 000 à 100 000 euros tous les cinq ans par parent et par enfant, mesure qui ne profite pas aux plus démunis. Le rehaussement du plafond du quotient familial inscrit dans le programme va dans le même sens, puisque cette mesure accorde une réduction fiscale d’autant plus grande que les familles sont nombreuses et disposent d’un revenu élevé.

    S’agissant de la santé, de la famille et des droits des femmes, les propositions du FN ne sont pas plus favorables aux plus modestes. Le FN prétend lutter contre les déserts médicaux, mais la hausse du numerus clausus envisagée ne règle en rien ce problème, car même en plus grand nombre, les médecins pourront toujours s’installer dans la région de leur choix (et donc dans les régions les plus attractives). Si le FN a mis en sourdine pendant la campagne ses positions habituelles sur la famille et les droits des femmes, il demeure un parti extrêmement conservateur et les mesures qu’il défend (salaire maternel, aucun développement des politiques de garde, suppression du partage du congé parental entre les deux parents) impliquent un retour des femmes à la maison et seraient particulièrement préjudiciables aux femmes des milieux modestes. Quant à l’IVG, même si Marine Le Pen défend maintenant son maintien, les divergences au sein du parti laissent supposer que la question de son déremboursement, qui induirait une terrible inégalité d’accès selon le milieu social, peut resurgir. Quelle serait donc la politique effective du FN si celui-ci accédait à la présidence de la République ?

    Recettes miraculeuses

    Autant de sujets disparates, donc, qui illustrent à quel point le FN recourt à des arguments populistes en proposant des mesures qui contribueront à renforcer la reproduction sociale. En outre, un point d’inquiétude supplémentaire vient du prétendu chiffrage du programme du FN. Si le parti frontiste vantait sans vraiment l’assumer en 2012 les mérites des budgets équilibrés (via la très critiquable règle d’or), le programme de 2017 n’a aucun bouclage budgétaire clair. Il ne fait qu’invoquer des recettes miraculeuses comme par exemple celle liée au coût supposé de l’immigration pour les finances publiques, qu’il estime à des dizaines de milliards d’euros, montant totalement décorrélé de tous les chiffrages sérieux existants. D’autres recettes, tout aussi fantasques, seraient tirées de la mise en place de droits de douanes, de la sortie de l’euro et de l’Europe, de l’exclusion de l’accès à la santé, à l’éducation et aux minima sociaux des étrangers résidents en France, et à une lutte contre une fraude «sociale» d’une ampleur très largement fantasmée.

    Comment peut-on encore croire, à la lecture de ce qui précède, que le parti de Marine Le Pen serait comme elle le prétend au service des plus démunis ?

    Ecolinks a publié Petit manuel économique anti-FN, éditions Le Cavalier Bleu (2017).

  • Marion, c'est dégueulasse ce que dit Marine

    En public, elle a gardé le sourire, mais en privé, Marion Maréchal-Le Pen n'a pas apprécié les propos de sa tante à son égard. Dans une interview vidéo à Femme actuelle, dont des extraits ont été publiés la semaine dernière, Marine Le Pen ne se montrait pas tendre à l'égard de sa cadette. Elle expliquait ne pas vouloir la nommer au gouvernement si elle remportait la présidentielle.

    © Fournis par BFMNews

    "La place de ma nièce? Elle est députée. Voilà. Je ne lui dois rien, ni à personne d’ailleurs. Je n’ai pas d’ascenseur à renvoyer", expliquait la présidente du Front national.

    "Elle exagère"

    Mais elle disait aussi la trouver trop "inexpérimentée" pour un poste de ministre, ajoutant qu'elle était "un peu raide".

    "Je ne suis pas traumatisée de ne pas avoir un poste que je n'ai pas réclamé. J'avais dit à plusieurs reprises que je ne cherchais pas un poste de ministre", a répondu officiellement Marion Maréchal-Le Pen mardi. "J'ai très mauvais caractère, c'est de notoriété publique", avait-elle ajouté avec humour. 

    Malgré tout, le terme "inexpérimentée" n'a visiblement pas plu à Marion Maréchal-Le Pen, élue députée en juin 2012 et conseillère régionale de PACA depuis décembre 2015.

    "Ministre, je m'en fous, mais inexpérimentée, elle exagère. C'est dégueulasse, je fais le job", s'est emportée la députée du Vaucluse en coulisses, comme le rapportait dimanche le JDD. 

    Arrivée 1ère au Congrès du parti en 2014

    Le lendemain de la parution des propos de Marine Le Pen, Marion Maréchal-Le Pen avait annulé ses rendez-vous avec les médias "pour ne pas avoir à commenter", précise un proche au journal. Pour apaiser le climat en interne, David Rachline, le directeur de campagne de la présidente du Front national, a envoyé un mail mardi dernier aux membres du conseil stratégique du parti.

    "Le montage réalisé par Femme actuelle sur la composition de son gouvernement dénature complètement les propos tenus par notre candidate (...) Il n'y avait évidemment aucune agressivité à l'égard de quiconque dans les réponses de Marine", assurait David Rachline. 

    Marion Maréchal-Le Pen est très appréciée par une grande partie des militants frontistes. Un succès qui s'était concrétisé notamment en 2014 par son arrivée en tête du Congrès du parti, lors des élections du Comité central. Florian Philippot, bras-droit de Marine Le Pen parfois surnommé le numéro 1 bis, était quant à lui arrivé quatrième. 

  • Au tour de la VIENNE

    Jacques Soulis, nouveau Délégué départemental du Parti de la France pour la Vienne (86)

    29 Mars 2017, 05:40am

    Publié par Thomas Joly

    Le Bureau politique du Parti de la France a procédé à la nomination de Jacques Soulis au poste de Délégué départemental pour la Vienne.

    Ce retraité de 65 ans, exclu du Front National après 36 ans de militantisme, responsable du DPS dans la Vienne pendant 30 ans, a décidé de rejoindre son ami de toujours, Carl Lang, au sein du Parti de la France où il a retrouvé la véritable droite nationale incarnée jadis par le FN de Jean-Marie Le Pen.

    Jacques Soulis aura en charge d'animer les activités militantes et de structurer le Parti de la France dans son département. Pour le contacter : 06.03.27.37.11 ou jacquessoulis@gmail.com

  • Le parlé vrai de Jean-Marie

    Politique

    Législatives 2017 : Jean-Marie Le Pen à Rivery pour soutenir les nationalistes

    Par Rosalie Lafarge et Elodie Touchais, France Bleu Picardie dimanche 26 mars 2017 à 8:56

    Jean-Marie Le Pen à Rivery aux côtés du Parti de la France
    Jean-Marie Le Pen à Rivery aux côtés du Parti de la France © Radio France - Elodie Touchais

    Jean-Marie Le Pen était à Rivery, dans la Somme, ce samedi pour un "déjeuner patriotique" à l'initiative du Parti de la France. Ce mouvement nationaliste présente cinq candidats aux législatives dans le département : ils bénéficieront du soutien du président d'honneur du FN.

    Trois femmes et deux hommes porteront les couleurs de la droite nationaliste aux élections législatives dans la Somme au mois de juin. Jean-Marie Le Pen, le président d'honneur du Front National, est venu en personne ce samedi à Rivery pour les soutenir officiellement. Il a partagé un "déjeuner patriotique" avec près de 200 militants au restaurant du magasin Motoland.

    Les noms de ces cinq candidats, un dans chaque circonscription du département, n'ont pas été dévoilés, mais ils seront issus de l'alliance du mouvement catholique Civitas et du Parti de la France. Et ils bénéficieront du label "Comité Jeanne", un mouvement lancé par Jean-Marie Le Pen. Le visage du président d'honneur du Front National apparaîtra sur les bulletins de campagne des candidats nationalistes.
     

    Le label Comité Jeanne, un "repère de valeurs"

    Jean-Marie Le Pen l'assure, ce label "Comité Jeanne" sera un "repère de valeurs" pour les électeurs. "L'électeur saura que celui qui est soutenu par le Comité Jeanne aura le soutien de Jean-Marie Le Pen et de ses amis", précise le président d'honneur du FN. "J'ai une faiblesse, je n'ai pas changé d'idées, poursuit Jean-Marie Le Pen, je reste attaché aux idées fondamentales du courant national".

    "Je crois de mon devoir d'annoncer aux Français que des épreuves les attendent" - Jean-Marie Le Pen

    "Les gens se rendent compte que le discours que nous tenions, et qui était dénoncé comme extrémiste, était en fait un discours lucide et courageux (...). Je crois de mon devoir d'annoncer aux Français que des épreuves les attendent et qu'il est nécessaire de resserrer les rangs. Je ne vais pas contredire ma réputation de lanceur d'alerte car je sais que les vérités sont bonnes à dire, difficiles à entendre, et toujours très coûteuses pour celui qui les exprime" ajoute encore le fondateur du FN, en référence à la "submersion migratoire" qu'il considère toujours comme le fléau de la France.

     

     

    "Je crois de mon devoir d'annoncer aux Français les épreuves qui les attendent" - Jean-Marie Le Pen à Rivery

     

    Le Parti de la France ravi du soutien de Jean-Marie Le Pen

    Ce soutien est en tout cas important pour le Parti de la France d'après son secrétaire général. "Nous souhaitons l'union de la droite nationale que Jean-Marie Le Pen était toujours parvenu à faire quand il était président du Front National", explique Thomas Joly.

    "Par l'intermédiaire de ces candidatures communes aux législatives, nous voulons retrouver l'unité nationale, poursuit-il, parce que, malheureusement, la direction du FN aujourd'hui n'est pas capable de rassembler sa propre famille politique et nous le regrettons, car si nous sommes actuellement à l'extérieur du FN, ce n'est pas de notre fait, ni de celui de Jean-Marie Le Pen qui a lui même subi les foudres de l'exclusion avant d'être réintégré par voie de justice".

    Quand Jean-Marie Le Pen défend François Fillon

    Dans son discours à la presse ce samedi, Jean-Marie Le Pen a également dénoncé "l'acharnement" dont serait victime François Fillon, candidat de la droite à la présidentielle. Un "adversaire politique dont on ne peut pas chaque jour mettre en cause la largeur des chaussures, le bracelet de sa femme ou le poids de son alliance, cela devient ridicule" a lancé l'homme politique aux journalistes. 

  • Législatives avec le soutien de Jean-Marie Le PEN

    Un label aux législatives

    Jean-Marie Le Pen soutiendra aux législatives ceux qui partagent ses idées, celles de ses comités « Jeanne, au secours ! ». « Ce sera une sorte de label qui pourra être attribué à un candidat Bleu Marine, pourquoi pas, mais aussi à des indépendants ». En fait, ils seront essentiellement issus des rangs des deux co-organisateurs du déjeuner d’hier, le très nationaliste Parti de la France et Civitas, association catholique intégriste. « Nous annoncerons bientôt le nom de nos cinq candidats dans la Somme », annonce Thomas Joly, secrétaire général du PDF.

  • FLAMBY pas tout blanc !

    Hollande aurait fait surveiller ses adversaires politiques

    Rédigé le Jeudi 23 Mars 2017 à 10:43 | 0 commentaire(s)

     

    Et un scandale de plus, un ! Alors qu’Hollande ne cesse de répéter qu’il est attaché aux libertés fondamentales et aux valeurs de la démocratie, un livre de journalistes d’investigation au Canard enchaîné, suggère que le président use de méthodes de barbouze pour surveiller ses adversaires politiques.


    Trouvé sur FDS : François Hollande est-il pour quelque chose dans la déconfiture de certains de ses adversaires politiques ? C’est ce que suggère un livre à paraître, Bienvenue Place Beauvau, Police : les secrets inavouables d’un quinquennat (éd. Robert Laffont), des journalistes d’investigation au Canard enchaîné.
    Que contient cet ouvrage ? D’après les bonnes feuilles publiées par l’hebdomadaire Valeurs Actuelles, il décrit un vaste système de surveillance de ses adversaires mis en place par François Hollande depuis son arrivée à l’Élysée.
    Ce “cabinet noir” aurait eu pour objectif de discréditer les concurrents du président à l’élection présidentielle, en particulier Nicolas Sarkozy et  Manuel Valls, son propre Premier ministre.
    Les auteurs écrivent ainsi, de manière éloquente, à propos des “affaires” et révélations sur la vie privée des candidats : “Derrière ces ennuis à répétition qui ciblent les principaux rivaux du président sortant, difficile de ne pas voir la patte de Hollande”. D’après les auteurs, il existe bien une orchestration des affaires judiciaires, dont le point de départ se situe au service de renseignement financier de Bercy (dont le ministre, Michel Sapin, est un vieil ami de Hollande), TRACFIN.
    Après avoir récolté des informations dans les comptes en banque de responsables politiques, cet organisme peut transmettre le dossier à la Direction des affaires criminelles et des grâces (DACG), dont le directeur, Robert Gelli, est aussi un proche de François Hollande.
    Hollande lui-même a été prolixe à ce sujet, confiant par mégarde devant dix-neuf députés socialistes, le 17 février 2014 : “Sarkozy, je le surveille, je sais tout ce qu’il fait”. 
    Simple manière de parler ? Selon les témoignages recueillis, pas vraiment.
    Un routard de la police judiciaire évoque en effet la constitution de “blancs”, c’est-à-dire d’informations récoltées clandestinement, et qui remonteraient “en haut lieu”. […] Ces coups bas ne concernent pas que Sarkozy, mais aussi Manuel Valls, selon les allégations de ce livre. Ainsi la rumeur selon laquelle le Premier ministre aurait eu une liaison avec sa ministre de l’Éducation aurait été ébruitée en haut lieu, de même que les conditions de financement de l’orchestre de sa femme, Anne Gravoin.
    A Matignon, on fait ainsi remarquer que l’enquête a été “conduite par une société d’intelligence économique proche de l’Élysée, qui travaille en sous-main avec la DGSE”. Les Inrocks  
     
  • La vrai droite nationale

    Présidentielle : ils sont tous islamiquement corrects et islamiquement compatibles

    Rédigé le Lundi 20 Mars 2017 à 08:48 | 0 commentaire(s)

     

    Entretien de Carl Lang avec Pierre Cassen président de Riposte Laïque. En cette période marquée par l’élection présidentielle, il nous a paru intéressant de discuter avec Carl Lang, président du Parti de la France, qui ne se présente pas à cette élection, ce qui ne signifie pas qu’il n’en pense rien…


    Riposte Laïque : Comment le président du Parti de la France juge-t-il l’élection présidentielle française, ses multiples rebondissements, à six semaines du premier tour ?

    Carl Lang : En premier lieu, je tiens à vous remercier de me permettre d’exprimer mon point de vue dans vos colonnes et à vous apporter mon soutien pour votre engagement persévérant et courageux de résistance à l’islamisation de la France.

    Concernant cette campagne présidentielle un peu folle, elle est la résultante de plusieurs surprises. Tout d’abord, à droite, le schéma initial et programmé par la nomenklatura médiatique appuyée par les instituts de sondages était la candidature d’Alain Juppé. Il se trouve que malgré une participation active d’une partie de la gauche en faveur d’Alain Juppé, les électeurs de la primaire de la droite et du centre ont déjoué tous les pronostics et assuré la victoire surprise de François Fillon. Voilà ce qui peut se passer lorsqu’on laisse la parole au peuple : il arrive que le pays réel se rebelle contre la caste médiatique et le pays virtuel. Ce résultat fut une très mauvaise surprise pour les maîtres et gourous de la république « d’en haut », celle qui méprise et déteste la France « d’en bas ». Juppé était en effet, au centre droit de l’échiquier, l’homme choisi par les réseaux mondialistes.

    A gauche, la surprise est venue de la non candidature à sa réélection de François Hollande qui a ainsi laissé une partie de la gauche gouvernementale en état de choc. Par ailleurs, malgré sa morgue habituelle et son ambition frénétique, le calamiteux bilan gouvernemental n’a pas permis à l’ancien Premier ministre Manuel Valls de s’imposer à la primaire de la gauche. Résultat : il n’y a plus personne pour défendre le bilan du quinquennat socialiste et le PS se divise entre le frondeur Hamon et le lâcheur Macron, eux-mêmes concurrencés par l’agitateur agité, Mélenchon.

    Dans cette bataille à gauche la nomenklatura médiatique et les réseaux qui la contrôlent ont fait clairement le choix d’Emmanuel Macron. Il incarne parfaitement leur rêve de nouvelle société philosophiquement et économiquement ultra-libérale, mondialiste, cosmopolite et antinationale.

    Pour résumer, la caste dominante avait au départ deux cordes à son arc ; une de centre droit avec Juppé et une de centre gauche avec Macron. Il ne reste plus dans la course que Macron. L’étape suivante du scénario consiste donc à assurer son élection en éliminant le concurrent qui est pour lui le plus dangereux au deuxième tour de l’élection présidentielle, c’est-à-dire François Fillon.

    L’ancien Premier ministre de Nicolas Sarkozy qui a fourni lui-même un certain nombre de bâtons pour se faire battre avec le contrat de son épouse a de surcroît fait une déclaration qui le condamne au lynchage politico-médiatico-judiciaire : il a déclaré qu’il était « gaulliste et chrétien ». Nous avons tous bien compris que ce n’était pas son gaullisme qui posait problème… Par ailleurs, il se trouve qu’il n’est pas un ennemi de Poutine.

    Cela fait beaucoup et fait de lui l’homme politique à abattre.

    Fillon est donc devenu, pour des raisons politiques, géopolitiques et tactiques la principale cible de ceux qui veulent la victoire de Macron. Il me parait clair que l’Elysée est directement à la manœuvre dans cette affaire. Comment expliquer autrement toutes les fuites et l’extraordinaire célérité du parquet financier qui, 48 heures après l’article du Canard enchaîné auditionnait les premiers témoins. Quelle remarquable efficacité !

    Grâce à cette stratégie, la gauche social-libérale espère réussir le tour de force de rester au pouvoir et ce malgré le renoncement du président sortant et son fiasco gouvernemental. Ce serait ainsi leur divine surprise.

    Pour le reste, nous assistons à une surenchère dans la démagogie électoraliste comme si la situation économique, démographique, financière et sociale de la France était celle de 1960. Je trouve cette démagogie lamentable et honteuse car, au bout du compte, ce sont toujours les Français qui en font les frais. Quant aux enjeux de civilisation et au processus révolutionnaire et politique d’islamisation de la France, c’est un sujet tabou. Afin de rester médiatiquement compatibles, tous ces gens répètent à l’envi que l’islam est compatible avec la République et que l’islamisme n’a, bien sûr, rien à voir avec l’islam. L’internationale révolutionnaire islamique n’a donc rien à craindre de la campagne présidentielle française. Les candidats et candidates sont tous islamiquement corrects et islamiquement compatibles.

    Riposte Laïque : Contrairement à d’autres petits candidats, comme le Général Tauzin, Jacques Nikonoff, Renaud Camus et quelques autres, vous n’avez jamais affirmé vouloir postuler à cette présidentielle, pour faire parler de vous, quitte à renoncer au dernier moment.  Pourquoi ?

    Carl Lang : Afin d’avoir une chance d’obtenir les 500 parrainages nécessaires à une candidature présidentielle, il aurait fallu engager quelques centaines de milliers d’euros, somme, dont ne dispose pas le Parti de la France. Nous avons donc décidé d’utiliser les moyens financiers du Parti de la France dans le cadre des élections législatives de Juin. Je rappelle que le Parti de la France ne bénéficie pas de financement public et que nous menons campagne grâce aux soutiens financiers de nos adhérents et de nos donateurs.

    Je préside une organisation politique de résistance nationale qui se doit « d’être et durer ». Sans organisation il n’y a pas de résistance possible. La participation électorale n’est pour nous qu’un moyen d’action, un instant au service d’un engagement politique plus large qui doit impérativement s’inscrire dans la durée. Nous n’engageons dans les batailles électorales que les moyens dont nous disposons.

    Riposte Laïque Le Parti de la France, que vous présidez, a la réputation d’avoir la dent très dure contre l’évolution du Front national, et sa présidente. Pourtant, à ce jour, le FN est en tête dans les sondages. Pensez-vous, comme d’autres composantes de la mouvance patriotiques, qu’il y a une chance historique, et qu’il faut, le temps de cette présidentielle, ne pas la gâcher par des critiques qui seraient contre-productives ?

    suite : http://ripostelaique.com/presidentielle-ils-sont-tous-islamiquement-corrects-et-islamiquement-compatibles.html

  • La confession de CHAUPRADE

    Marine Le Pen et Aymeric Chauprade le 21 janvier 2014 à Paris.© Bertrand Guay Marine Le Pen et Aymeric Chauprade le 21 janvier 2014 à Paris.

     

    Brouillé avec son ancien parti, l'eurodéputé accuse Marine Le Pen d'avoir directement mis en place un système d'emplois fictifs au Parlement européen.

     

    Le témoin est d’autant plus gênant qu’il parle d’expérience, et à visage découvert. Ex-figure du Front national, désormais retourné contre Marine Le Pen, l’eurodéputé Aymeric Chauprade a décidé de témoigner contre son ancien mouvement. Malversations financières, prise en main du parti par un petit «clan» d’entrepreneurs, antisémitisme persistant : c’est un véritable réquisitoire que livre le géopolitologue face à plusieurs journalistes – dans l’ouvrage Marine est au courant de tout de Marine Turchi et Mathias Destal (éditions Flammarion), devant les caméras d’Envoyé Spécial,auprès de Mediapart ou encore de l’Express.

    Celui qui siège désormais parmi les non-inscrits au Parlement européen accuse ainsi Marine Le Pen d’avoir directement contribué à un système d’emplois fictifs. Connu sous le nom d'«affaire des assistants», le dossier fait l'objet d’une information judiciaire ouverte en janvier. Plusieurs assistants des eurodéputés frontistes sont accusés d’avoir été rémunérés sur fonds européens, tout en se consacrant à des fonctions internes au Front national. Selon Chauprade, c’est Marine Le Pen qui aurait posé les bases de ce système lors d’une réunion des eurodéputés FN en juin 2014. La présidente du parti aurait demandé à ses élus une délégation lui permettant d’embaucher à leur place des assistants qui «serviront directement au parti». Pour Aymeric Chauprade, qui dit avoir refusé le marché, «tout le monde comprend, quand on a un minimum de culture générale, que l’on est dans une logique d’emplois fictifs […]. Certains ont grincé des dents, mais il y a une discipline quasi-stalinienne dans ce parti».

    Sous la menace d’une mise en examen dans ce dossier, Marine Le Pen a toujours dénoncé une cabale montée par ses adversaires politiques et visant à parasiter sa campagne présidentielle. Le parti a promis de réagir en signalant à la justice des cas similaires visant les eurodéputés d’autres partis politiques.

    Ce n’est pas tout : Chauprade souligne également l’emprise sur le parti du petit réseau d’entrepreneur concentré autour de Frédéric Chatillon, ami de Marine Le Pen et l’un des principaux prestataires du FN : «L’économie du FN, c’est ce groupe, une petite galaxie de société […] qui fait 100% de son chiffre d’affaires avec le FN et avec la manne française et européenne, assure-t-il. On ne pouvait pas faire sans ces gens-là. Et si comme moi on s’y opposait ou on rechignait, on recevait un coup de fil de la présidente [Marine Le Pen]. L’économie du FN est intégralement concentrée entre les mains de ce clan.» Un clan qu’Aymeric Chauprade accuse d’être imprégné d’antisémitisme, et toujours lié au polémiste «antisioniste» Alain Soral. «Au nom de la dédiabolisation Marine Le Pen sacrifie son père, conclut l’eurodéputé. Mais elle ne touche pas à ces gens qui sont bien plus radicaux que son père, elle les couvre quoiqu’il arrive. D’un point de vue rationnel, il n’y a pas d’explication.»

    Sur Twitter, Frédéric Chatillon a balayé les accusations d’Aymeric Chauprade, «qui a quitté le FN juste avant d’être viré suite à son implication dans l’évasion des pilotes d’Air Cocaïne», une rocambolesque affaire qui avait embarrassé le parti et précédé de peu le départ de Chauprade. Mis en cause pour les mêmes faits dans le documentaire d’Envoyé Spécial, le conseiller régional FN Axel Loustau a de son côté promis de répondre «point par point à ce tissu de mensonges, d’amalgames et de diffamations».

     

    Source : Envoyé spécial A2 + Post ORANGE du 17/03/2017

  • On cherche à comprendre

    Marine Le Pen et la réhabilitation de Robespierre…

    Lors de sa conférence présidentielle n° 4 sur la citoyenneté, ce lundi 13 mars, Marine Le Pen a démarré son propos avec cette bombe : « Nous sommes français et nous célébrons Jeanne d’Arc ou Robespierre, les madones des églises ou les soldats de l’an II, les hussards de la République et le peuple de l’ombre de la Résistance. »

    Son mensonge est évident : il n’est pas nécessaire de chercher très longtemps pour trouver un Français un brin instruit et conscient du drame national toujours prégnant qui honnit Maximilien de Robespierre, en raison de ce qu’il incarne dans la conscience d’une partie de notre peuple. Et il ne s’agit pas seulement d’historiens confinés dans l’étude de poussiéreux grimoires, mais de tous ceux qui ne se sont pas contentés de la doxa, l’Histoire rêvée par les VRP de la République sévissant au sein de l’Éducation nationale. Le « Nous » ne peut donc inclure bon nombre de gens qui ne perdraient pas la qualité de Français pour autant.

    Maximilien de Robespierre incarne le régicide, le génocide des provinces rétives, l’intolérance anticatholique poussée à son extrême, l’arbitraire judiciaire sanglant et industrialisé, bref, la Terreur. Il est l’un des ingénieurs du premier prototype de totalitarisme mis en chantier dans le monde. L’histoire officielle, celle qui a reçu le nihil obstat et l’imprimatur de la rue de Grenelle, ne s’y trompe pas : elle évite de mettre la figure contestable de Robespierre sur un piédestal dont il serait trop facile de le faire choir. Et, donc, célébrer Robespierre n’est même pas envisageable, parce que c’est indicible, c’est piègeux diraient les Québecois. Seul un Jean-Luc Mélenchon, menteur patenté et provocateur hors pair à l’instar du géniteur de Marine Le Pen, promeut un révisionnisme qui vise à substituer les sans-culottes aux Gaulois comme ancêtres de notre nation (même si les Celtes pèsent assez peu dans la composition de notre peuple, il faut aussi l’admettre). Robespierre, c’est notre plus grand diviseur commun.

    Alors, pourquoi Marine Le Pen parle-t-elle de célébrer Jeanne d’Arc ou Robespierre de la même façon, comme si nous étions une nation qui aurait vu ses plaies cicatriser, unie parce que ré-unie ? Il serait inepte d’imaginer qu’elle ignore son Histoire de France, la vraie, avec ses périodes glorieuses comme les plus honteuses. Un mot qui serait mal choisi dans un discours de campagne sur son thème de prédilection est tout aussi improbable. Il y a, certes, l’évolution d’un parti poujadiste vers un parti jacobin, mais ce n’est pas suffisant.

    Alors ? La seule explication qui me vient à l’esprit est que Marine Le Pen ne souhaite pas gagner cette élection présidentielle et qu’elle préfère, en catimini, dégoûter cette frange de l’électorat conservateur dont elle aurait besoin pour gagner. D’autres signes existent, comme le retrait des représentants du FN de la conférence de Béziers.

    Finalement, faire ronronner le fonds de commerce hérité de papa sans prendre de grosses responsabilités, ça n’a que des avantages !

    Rémy Mahoudeaux

    Source : http://www.bvoltaire

     

     

  • L'implantation continue

    Daniel Isorni, nouveau Délégué départemental du Parti de la France pour la Seine-et-Marne

    Rédigé le Jeudi 16 Mars 2017 à 08:08 | 0 commentaire(s)

     

    Daniel Isorni, 40 ans, marié (2 enfants), cadre commercial, a été nommé par le Bureau Politique du Parti de la France Délégué départemental pour la Seine-et-Marne (77).

    Il s'explique sur son engagement au Parti de la France :


    « Profondément français et patriote, admirateur depuis toujours de Jean Marie Le Pen, j’ai décidé de m’engager politiquement aux cotés de Carl Lang et du Parti de la France pour 2 principales raisons :

    La première est liée à la situation dramatique que connaît notre pays, menacé chaque jour davantage par des périls toujours plus grands et gouverné par des traitres prébendiers... Il est encore temps d ‘agir, bientôt il sera trop tard.

    La seconde est mon grand respect pour tous ces militants et cadres historiques de la droite nationale, véritables soldats de la patrie, qui se sont regroupés au sein du PARTI de la FRANCE, seul garant aujourd'hui d’une authenticité patriotique.

    Il appartient à chaque français de trouver une forme d’engagement à sa mesure pour lutter contre la destruction de notre pays. »

    Daniel Isorni aura en charge d'animer les activités militantes et de structurer le Parti de la France dans son département. Pour le contacter : pdf.seineetmarne@gmail.com

  • MACRON ! C'est QUI ? C'est QUOI ?

    Le bilan catastrophique d’Emmanuel Macron au ministère de l’économie

    Rédigé le Lundi 13 Mars 2017 à 08:48 | 0 commentaire(s)

     

    Il est étonnant de constater qu’aucun journaliste n’interroge le candidat d’En Marche ! sur le bilan de sa seule expérience comme si Emmanuel Macron n’avait jamais eu l’occasion de faire ses preuves et qu’il tombait de nulle part.


    Le bilan catastrophique d’Emmanuel Macron au ministère de l’économie

    Pourtant, Emmanuel Macron est aux côtés de François Hollande depuis le début.

    D’abord en tant que conseiller sur les questions économiques puis en tant que ministre de l’économie.

    Le chouchou des médias a donc largement contribué au bilan économique du quinquennat et le moins que l’on puisse dire est qu’il est peu glorieux :

    Lire la suite sur info24

     


     

     

  • L'UNION pour les Législatives

    Civitas lance sa campagne pour les législatives de juin prochain

    Rédigé le Dimanche 12 Mars 2017 à 14:11 | 0 commentaire(s)

     

    Samedi s'est déroulée à l'Espace Jean Monnet à Rungis, lieu bien connu des lecteurs de Synthèse nationale, la 1ère fête du Pays réel organisée par l'Institut Civitas présidée par Alain Escada. Ce fut l'occasion pour lui de donner le coup d'envoie de la campagne du mouvement catholique et national en vue des élections législatives de juin prochain. Civitas présentera en effet des candidats comme ce sera aussi le cas du Parti de la France et des Comités Jeanne présidés par Jean-Marie Le Pen. Un accord d'unicité de candidature est donc réalisé entre ces différentes formations.


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    Alain Escada, Président de Civitas

    Cette entente s'est matérialisée dans l'après-midi par un meeting rassemblant un public nombreux au cours duquel prirent respectivement la parole Carl Lang, Président du PdF, Jean-Marie Le Pen et Alain Escada.

    Synthèse nationale était aussi invité à la fête et, toute la journée, notre stand a été visité par de nombreux amis. Ignace, le fameux dessinateur auteur de l'album Apocalypse Flamby cliquez ici  que nous avons publié en décembre dernier, et Alban d'Arguin, à qui nous devons un brillant réquisitoire contre ce scandale d'Etat que sont les éoliennes, dernièrement édités cliquez là , dédicacèrent à tour de bras leurs ouvrages respectifs.

    Bravo et merci à Alain Escada et à Civitas pour cette belle réunion amicale tenue dans l'esprit de nos journées nationales et identitaires annuelles cliquez ici . Rappelons au passage que la XIe du genre se déroulera le dimanche 1er octobre à Rungis justement...

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    Jean-Marie Le Pen arrive au stand de Synthèse nationale

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    Carl Lang et Alban d'Arguin se sont entretenus sur les ravages produits par les éoliennes

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    Amicales retrouvailles sur le stand de Synthèse

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    Un public nombreux et attentif

    Nous publierons très prochainement les interventions politiques de la journée.

    source : Synthèse nationale 

  • Et un de plus !

    Éric SAMYN, nouveau Délégué départemental du Parti de la France dans les Ardennes

    Rédigé le Samedi 11 Mars 2017 à 18:54 | 0 commentaire(s)

     

    Éric SAMYN, Conseiller municipal de Sedan, Conseiller régional de 2004 à 2015, a été nommé par le Bureau Politique du Parti de la France Délégué départemental des Ardennes.


    Cet ancien fonctionnaire de police, âgé de 65 ans (marié, un enfant), est un militant et un cadre historique du Front National dans les Ardennes. Il a décidé de poursuivre le combat politique aux côtés de Carl Lang parce qu'il ne se retrouvait plus dans la ligne politique de la direction du néo-FN de Marine Le Pen et de Florian Philippot. Il estime que ce sont désormais Carl Lang et le Parti de la France qui représentent la véritable droite nationale de conviction.

    Éric Samyn aura en charge d'animer les activités militantes et de structurer le Parti de la France dans son département. Pour le contacter : 06.41.06.04.35 ou e_samyn@orange.fr

  • Pas de CHARIA chez nous !

    Tribune libre de Carl Lang : « Pas de charia chez nous ! »

     

    Je remercie en premier lieu la revue Confrontation et Jean-François Touzé de m’offrir une possibilité d’expression dans cette tribune libre sur le thème de la galopante islamisation de notre pays et de la nécessaire résistance.

    A l’occasion de mes vœux du Nouvel An, j’ai écrit : « La terre de France n’est pas terre d’islam. Pas de charia chez nous ! ». Je considère en effet que de notre capacité ou non à refuser la colonisation islamique de notre pays dépendent nos libertés futures, notre identité, notre sécurité et notre modèle de civilisation.

    Il me parait tout d’abord nécessaire d’en finir avec l’imposture des soi-disant « valeurs de la République » et de laïcité républicaine qui devraient, par simple incantation, nous protéger du communautarisme et de l’islamisation de la société française. Cette République frelatée est non seulement incapable de préserver la France de l’islamisation, mais elle est intégralement responsable depuis 40 ans de la politique d’immigration massive ayant engendré le phénomène culturel, social, communautaire et politique d’islamisation de la France.

    Lors des élections européennes et régionales de 2004, je faisais figurer sur mes documents électoraux : « Vous avez aimé l’immigration ? Vous allez adorer l’islamisation ! ». Aujourd’hui nous pourrions ajouter : « Vous allez adorer l’islamisation, la charia et le terrorisme islamique ! ». Les militants de l’islam politique et révolutionnaire ont, quant à eux, parfaitement compris que la fameuse laïcité républicaine, c’est-à-dire la totale neutralité de la République à l’égard des religions, ainsi que les soi-disant droits de l’homme étaient le meilleur cheval de Troie leur permettant de façonner petit à petit la société française à leur image. Ils peuvent compter pour atteindre leurs objectifs sur leurs nombreux compagnons de route, adeptes de l’ouverture à l’étranger, de l’accueil des migrants et de la promotion de la diversité devenue, parait-il, une richesse de la République. 

    Les internationalistes et mondialistes de tous poils, s’acharnent à détruire l’identité française, la mémoire nationale, nos traditions, notre héritage spirituel et tout ce qui pourrait préserver l’unité française. De fait, les adeptes fanatiques de la République citoyenne et universelle des droits de l’homme font, par haine de tout ce qui est national et chrétien, le lit de la République islamique et servent objectivement les intérêts de la révolution islamique.

    Les laïcistes et droit-de-l’hommistes ne sont pas les protecteurs mais les fossoyeurs de la République française. Quant à ceux et celles, candidats et candidates à la fonction présidentielle et autres membres de la caste dirigeante qui déclarent que l’islam est compatible avec les valeurs de la République, nous pouvons les ranger au choix dans deux catégories possibles ; celle des imbéciles ou celle des traîtres. A moins qu’ils ne confondent République française et République islamique…

    Nous avons aussi le devoir de dénoncer les bêlements ininterrompus du troupeau des islamo-collabos qui s’évertuent à répéter « pas d’amalgame, pas d’amalgame… » en se convaincant eux-mêmes que le terrorisme islamique n’aurait rien à voir avec l’islam. Nous n’avons pas besoin de ces pales idiots pour constater que les musulmans ne sont pas tous des terroristes. Mais en revanche, il est bien clair que tous les terroristes islamistes sont des musulmans. Il suffit d’ailleurs de prendre connaissance des écrits et des propos des dirigeants et doctrinaires islamistes pour comprendre qu’ils se considèrent eux, comme les vrais et seuls représentants de l’islam, un islam des origines, un islam pur, un islam total.

    En conséquence, le verbiage droit-de-l’hommiste de la citoyenneté républicaine et du vivre ensemble des « ravis » du paysage audiovisuel et politique français doit provoquer chez les dirigeants de l’islam politique et révolutionnaire de grands moments d’hilarité.

    Il faudrait inviter les moutons en chef de la bien pensance islamo-compatible à lire la déclaration islamique universelle des droits de l’homme ainsi que la déclaration de 1990 sur les droits de l’homme en islam. Il est peut-être temps de comprendre que ces gens ne veulent en aucun cas se fondre dans le creuset de la nation française car ils ne reconnaissent qu’une nation, c’est la nation de l’islam. Et leurs lois sont celles établies par le coran et la charia.

    Nous avons à relever le défi d’un processus politique et historique d’action révolutionnaire basé sur une idéologie politico-religieuse qui est celle d’un islam total et conquérant ayant pour but politique ultime et affiché l’instauration du califat universel. 

    L’alternative politique qui se présente donc à nous est simple : le peuple français collabore et se soumet ou bien il s’oppose et résiste à l’islamisation de la France. 

    J’ai fait, avec les membres du Parti de la France, le choix politique de m’opposer à l’islamisation-colonisation de la France et de l’Europe. Nous sommes bien évidemment dénoncés par les chiens de garde du discours islamiquement compatible comme des islamophobes. La phobie étant une forme de peur instinctive d’origine psychologique voire psychiatrique, je réponds à ces individus que nous n’avons aucune phobie de l’islam pas plus que nous n’avions de phobie du communisme. Nous n’étions pas communistophobes mais anti-communistes.

    Nous sommes fiers aujourd’hui d’être anti-islamistes, comme nous sommes fiers d’avoir été anti-communistes. 

    L’internationale révolutionnaire communiste du 20ème siècle a été combattue et vaincue en Europe. Aujourd’hui nous devons nous engager afin de refuser chez nous l’idéologie politico-religieuse de l’internationale révolutionnaire islamique.

    Il en va de notre identité, de nos libertés et de notre sécurité. C’est d’un véritable choix de civilisation pour la France et l’Europe dont il s’agit. Aidez-nous. Aidez la résistance nationale !

    Carl Lang - Président du Parti de la France

  • LEGISLATIVES JUIN

    Pour les législatives, le Parti de la France sera présent dans les 19e et 20e circonscriptions du Nord

    Rédigé le Mardi 7 Mars 2017 à 14:11 | 0 commentaire(s)

     

    Serge Thomés et Dominique Slabolepszy vont, encore une fois, faire campagne lors des prochaines législatives. Le premier, dans le Denaisis ; le second, dans l’Amandinois.


     

    « Dans cette campagne présidentielle, tous les jours, il se passe quelque chose », commentait, vendredi après-midi, Dominique Slabolepszy. Vu la tournure actuelle des événements, les deux adhérents valenciennois du Parti de la France – qu’ils ont rejoint à sa création voilà neuf ans, en quittant le FN lorsque Marine Le Pen en a pris les commandes – ont décidé « d’y aller ».

    « Personne ne sait pour l’heure ce qu’il va advenir à la présidentielle » et, dans l’arrondissement, le non-cumul des mandats (dans le Denaisis) et la multiplication des candidats à gauche (dans l’Amandinois) ont rebattu les cartes. Certes, ni l’un ni l’autre n’ont l’ambition de jouer les trouble-fête en se hissant au second tour. Leur objectif commun est tout autre. Il faut aller le chercher du côté de l’organisation même du Parti de la France, que dirige Carl Lang. Dominique Slabolepszy a ainsi été désigné comme délégué national pour les élections législatives. « Je m’occupe de tous les aspects techniques de la campagne dans toute la France ». Et des contacts avec les candidats potentiels qui, sur leurs tracts, auront « le choix de mentionner, ou pas, le nom de nos partenaires «associés» » : les Comités Jeanne de Jean-Marie Le Pen et CIVITAS.

    Le Parti de la France s’est fixé un but : présenter entre cent et deux cents candidats, avec l’objectif qu’au moins cinquante d’entre eux franchissent la barre de 1 % des suffrages. « Cela nous permettrait d’obtenir un financement public », observe l’ancien conseiller régional. Pas négligeable quand on sait que chaque voix peut faire tomber 1,30 € dans les caisses du PDF.

    Cet objectif de 1 %, Serge Thomés et Dominique Slabolepszy estiment pouvoir l’atteindre dans la 19e et dans la 20e, les circonscriptions tenues jusqu’à présent par Anne-Lise Dufour et Alain Bocquet. « Aux départementales, nous avions envoyé 150 candidats pour «tester» nos résultats, rappelle l’ancien chef d’entreprise. J’avais fait autour de 1,5 % ; avec des pointes à 3 % dans le pays de Condé. »

    Se revendiquant du « canal historique » du Front national, les deux candidats aux législatives entendent, dans la campagne, se démarquer des idées de Marine Le Pen.

    Source : http://www.lavoixdunord.fr