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  • Vive la retraite !

    Pour assurer une retraite à tous les Français une grande politique familiale est nécessaire.


     

    Notre système de retraite par répartition est en faillite à cause du déséquilibre croissant entre le nombre d'actifs le finançant et le nombre de retraités qui augmente. Ce déséquilibre a trois causes :
    - le vieillissement de la population française lié à l'allongement de la durée de la vie mais aussi hélas à une natalité trop faible depuis 30 ans ;
    - un chômage de masse qui réduit considérablement le nombre de cotisants ;
    - l'entrée dans la vie active de plus en plus tardive des jeunes Français.
     
    La politique gouvernementale consistant depuis vingt ans soit à augmenter les cotisations, soit à diminuer le montant des retraites, soit à retarder l'âge de la retraite, réduit le niveau de vie des Français, actifs et retraités.

    L'autre solution de l'UMP et de la gauche est l'immigration justifiée par le fait que les immigrés paieraient les retraites des Français.

    C'est une illusion reposant sur une double imposture économique dans un pays comptant plusieurs millions de chômeurs :
    - la main d'oeuvre immigrée issue du Tiers-Monde est inadaptée aux besoins de notre économie moderne ;
    - l'immigration actuelle de peuplement constitue en termes notamment d'allocations sociales et familiales une charge financière de plus en plus lourde.

     
    Pour assurer à tous les Français, quel que soit leur âge, une retraite décente, Le Parti de la France et Carl Lang proposent une politique fondée sur :
    - une entrée dans la vie active plus rapide par la revalorisation de l'apprentissage et de l'enseignement professionnel, mais aussi des diplômes universitaires grâce au rétablissement de la sélection dans les facultés ;
    - le retour au plein emploi par l'instauration d'un protectionnisme économique français et européen permettant à nos entreprises d'affronter la concurrence mondiale ;
    - une grande politique nataliste en faveur des familles françaises pour assurer le renouvellement des générations.

     

    Ce qui est sûr, c'est que des commentaires obséquieux, me concernant, vont fleurir dans les jours qui viennent.

    Les chiens vont aboyer, la caravane passera !

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  • Stop ou encore !

    Débarquement de clandestins : une magistrature de collaboration

    Lundi 25.01.2010

    Eremettant en liberté, pour d'obscurs vices de procédure, la quasi-totalité des 123 clandestins kurdes qui ont débarqué illégalement en Corse le vendredi 22 janvier, certains magistrats démontrent une fois de plus leur complicité active et militante avec l'immigration clandestine.

     

    Il ne fait aucun doute que cette décision judiciaire, qui est un formidable appel d'air à destination de tous les candidats potentiels à l'immigration est avant tout politique.

     

    Monsieur Besson devrait parler moins et agir plus.

    Les Français n'attendent pas de leur gouvernement qu'il débatte à n'en plus finir de leur identité nationale mais qu'il la défende en mettant un terme au processus de colonisation qui détruit la France.


    Le Parti de la France est favorable à une législation sans faille en matière d'immigration afin d'éviter toute interprétation judiciaire spécieuse et partisane.

    La lutte contre la colonisation doit être une priorité nationale.

     

     

     

  • Identité nationale et droit de vote

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    Communiqué du Parti de la France

    Suite à la proposition de loi initiée par le parti socialiste, la question du droit de vote pour les étrangers non européens aux élections locales revient dans l'actualité. Ce débat artificiel entre l'UMP, qui feint de vouloir s'y opposer, et un PS aux abois qui, pour des raisons purement politiciennes, se cherche un réservoir électoral, est destiné à manipuler les Français une fois de plus.

     

    Il faut savoir que, d'ores et déjà, un nombre considérable d'électeurs binationaux peuvent voter en France ainsi que dans leur pays d'origine et que les résidents en France, membres d'un des 27 pays membres de l'Union européenne peuvent voter aux élections locales et européennes.

     

    Le Parti de la France rappelle que le droit de vote devrait appartenir exclusivement aux nationaux français en France et que la question du droit de vote des étrangers ne se poserait pas aujourd'hui si, depuis trois décennies, la France ne subissait pas une politique d'abandon du principe national et de négation des droits du peuple français.

    Par Thomas Joly
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  • Toujours là, présent comme toujours !

    Dans leurs commentaires, non publiés, des lecteurs assidus, plus de 100 par jour, alors qu'on me reproche un certain effacement sur le net, s'inquiétent de mon supposé silence, jusqu'à me reprocher de ne plus indiquer mes amis.

     

    Qu'ils se rassurent, pris par de grosses obligations professionnelles, car je n'ai jamais été un obligé de la politique, et malgré un presque départ en retraite, je prendrai des initiatives dans les quelques jours qui viennent.

     

    Après 30 années de services à une clientèle fidèle, j'ai opté, depuis le début de cette année 2010, pour une remise en cause informatique et un passage à de nouvelles méthodes de travail professionnel, avec un transfert informatique lourd.

     

    Cependant, en décembre 2009 et depuis le 1er janvier 2010, j'ai assumé tous mes devoirs d'élu régional, avec la constance que d'autres n'ont jamais eu et n'auront pas plus après le 21 mars prochain.

     

    Malgré les injures, j'ai pris des initiatives politiques afin de sauvegarder les acquis de la droite nationale dans le Nord Pas de Calais.

     

    Je ne sais toujours pas si je serai candidat en mars prochain, pour moi la date limite de décision est fixée au 28 janvier 2010, après ce sera sans moi.

     

     

    Dominique SLABOLEPSZY

    Conseiller régional Nord Pas de Calais

  • Silence ! on tue !

     

    Attention! le "devoir de réserve" atteint ses limites, dans la Police comme dans l'Armée. "Quand ils cesseront d'estimer, ils cesseront d'obéir" (Antoine de Rivarol). Comme nous tous ! Faites suivre.

     

    LA MORT D'UN POLICIER AUX OUBLIETTES...
    IL N'A FAIT QUE SON DEVOIR...

     

    à diffuser le plus largement possible, merci pour nous.

     

    Patrice Point est mort le 30 décembre 2009 des suites de blessures provoquées par un véhicule qui l’a volontairement écrasé contre un mur. Le véhicule était volé et conduit par des délinquants surpris en flagrant délit de cambriolage.
    Patrice était un fonctionnaire de police compétent, loyal et intègre.
    Et je ne dis pas ça parce qu’il est mort, mais parce que c’est vrai.
    Il était à quelques mois d’une retraite bien méritée.
    Les risques du métier, me direz-vous. C’est exact. Et vous aurez raison de le penser puisque tous les jours, nous y pensons aussi.
    On prend notre service, on va à l’appel, et on ne peut jamais jurer que quelques heures plus tard, aucun nom ne manquera. C’est ainsi et on le sait.
    Mais notre problème n’est pas vraiment celui-ci, voyez-vous.

    Notre problème est que tout le monde s’en fout.
    La mort d’un flic semble inutile, insignifiante, tant l’écho qui y est fait est inexistant.

    Tant ça semble faire partie d’un jeu de société. Ou de rôles.
    C’est consternant, absurde, mais l’unité de mesure de la valeur des vies humaines, l’ordre de priorité des faits quotidiens supposés intéresser, l’importance donnée à l’un de ces faits, eh bien c’est la presse qui la définit.

    Et la presse, elle ressemble à l’opinion publique.

    Elle est là pour la satisfaire, lui plaire, et lui servir ce qui la met en appétit.

    On ne peut même pas accabler les médias en fait, ils ont une mission d’audience, la distorsion de l’information à caler entre deux plages de pub, n’est pas vraiment leur problème.

    C’est la loi la plus souveraine qui soit, bien au-delà du bon sens, de la pédagogie, de l’information authentique et utile, qui dicte tout. La loi du marché.
    Et puis, la mort - donc la vulnérabilité - d’un flic, c’est anxiogène pour une population qui a déjà peur de son ombre, et il ne faudrait pas que l’audimat déserte vers des programmes encore plus creux et dissimulateurs que la messe quotidienne de l’information.
    La mort de Patrice a monopolisé moins de temps d’antenne radio ou télé, moins de lignes dans la presse que la météo. Là ! Ça vous parle, ça ?
    Et je ne vous dis rien de Johnny Hallyday et de ses petits bobos de star shootée et expertisée, un flic ça ne chante pas.
    Je ne vous parle pas non plus des sportives milliardaires qui prennent leur retraite à vingt-cinq ans, à grand renfort d’interviews pour décérébrés.

    Un flic attend la date limite de péremption - quand il y arrive – et il y va avec ses séquelles de blessures en service, et ses petites arthroses d’avoir trop bossé dehors et dans le froid.

    Mais il est content quand il y arrive, oui !
    Rien non plus sur la grippe H1N1 qui risque bien moins de vous tuer qu’un accident de la route. Là, c’est nous qui vous ramassons.
    Et encore moins de ces micros-trottoirs qui vous racontent la version mongoloïde débilisante de l’actualité à longueur de journaux télévisés, jusqu’à une exaspérante saturation, et qui pourtant recueillent toute votre empathie, tant la médiocrité devient le langage universel.

    Il neige en hiver, qu’en pensez-vous ? Noël est en décembre, c’est sans précédent depuis l’année dernière, rendez-vous compte…
    Patrice, rien. Sa mort qui a duré trois jours s’est comptée en secondes dans la somme de ce qui est censé vous informer.
    Personne n’y a trouvé un sens particulier, ou quelque chose à redire.

    Une fatalité. Une insignifiance médiatique.

    À classer dans les pertes et profits de la République.
    On en a assez.

    Assez des morts de flics, on en a tous plein le cœur et les tripes, vous ne savez pas ça, vous qui n’êtes pas confrontés à la violence. Et à la mort des autres.
    L’intégrité physique d’un flic est exposée en permanence.
    La mort d’un flic, c’est un sacrifice.
    Pour vous. Pour votre sécurité.
    Pour que vous dormiez tranquille, sans forcément investir dans une porte blindée, sans milice ou vigiles à chaque coin de rue, parce qu’on est jamais loin.

    Parce que ce pays sur lequel on chie au quotidien, il n’est pas si mal que ça.

    La violence et l’insécurité y sont bien moindres qu’ailleurs.

    Grâce à nous et grâce à la Loi.

    La police est républicaine, et il se pourrait que ça ne dure pas, et que vos gardiens de la paix et autres Compagnies Républicaines de Sécurité, vous les regrettiez quand le privé s’en mêlera.
    Je vous vois venir, là. On n’est jamais là quand il faut, c’est ça ? Et toujours là quand il ne faut pas, aussi ? Facile.

    Un grand classique de la rhétorique anti-flic culturellement correcte.
    Vous me faites rire. Si nous cessions le travail ne serait-ce que quelques heures, vous resteriez calfeutrés chez vous, morts de peur.

    Mais par défaut, vous auriez une juste mesure de notre rôle.

    Ça n’arrivera jamais, rassurez-vous, il ne vous reste qu’à l’imaginer. Si vous pouvez.

    De notre côté, on a le sens du service public. Et du service rendu.
    On ne demande pas grand-chose.
    On ne fait pas ce métier pour être aimés, c’est impossible.
    Mais si le respect... le respect...
    Les policiers ne l’attendent raisonnablement pas des délinquants.

    Ni même des petits merdeux des cités qui expriment violement leurs crises d’adolescence et autres révoltes de futurs petits beaufs consuméristes.

    À cet âge là, on est toujours plus ou moins con et colérique, même si ces temps-ci on approche les très hautes fréquences.
    Non, le respect et la reconnaissance, on l’attend de tous les autres.

    Ceux qui ne nous voient pas, ne nous remarquent pas, et trouvent tout à fait normal de vivre en sécurité dans un pays libre.

    Ceux que l’on indiffère parce qu’on fait partie d’un système.

    Ceux dont le manque de considération n’est rien moins que du mépris.
    Ceux-là, c’est vous et vos médias.
    Vous devant vos télés et vos journaux, qui n’avez pas cherché à savoir pourquoi, comment et pour qui, un flic peut mourir écrasé par des malfrats, vous qui avez eu une phrase idiote et prévisible sur l’insécurité, et qui êtes vite passés à autre chose. Qui avez oublié que quand la sécurité est un dû pour certains, elle demeure un devoir pour d’autres.
    Vous qui ne comprendrez jamais que la sécurité a un prix, et que ce prix c’est du matériel humain qui s’abime, qui se fêle, qui se casse ou qu’on démolit.

    Le 30 décembre, le prix de la sécurité, c’était la mort d’un flic.

    Victime du devoir, comme on dit.

    Et ça, vous avez le droit de ne pas l'oublier.  

           

                                             Bénédicte Desforges  

     

     

     



  • Bonne année 2010, pleine d'espoirs ! suite

    Un certain nombre de lecteurs de ce blog posent et se posent les bonnes questions.

    En effet, chacun peut légitimement se demander quelle est ma position concernant les prochaines élections régionales et l'avenir de la droite nationale.

    J'ai fait le choix de la fidélité aux idées, le choix de la fidélité AUX VRAIS AMIS.

     

    Serais-je candidat en mars 2010 ? Rien n'est sûr pour l'instant.

     

    Ce qui est sûr, c'est que je ne cautionnerai pas les listes de ceux et celles qui ont trahi la confiance et l'amitié qui liaient les 16 élus de 2004.

     

    Dominique SLABOLEPSZY