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  • Mais où est-tu Marine ?

    Enorme succès de la Marche pour la Vie!

     

    Plus de 20 000 personnes dont beaucoup de jeunes se sont retrouvées aujourd'hui pour défiler pour la 7ème Marche pour le Respect de la Vie.

    On a pu y rencontrer des représentants de la droite nationale dont Bruno Gollnisch et Thibault de la Tocnay, élus du Front national, Patrick Louis et Paul-Marie Coûteau, élus du MPF, Jean-Claude Martinez, ancien député européen, mais la délégation la plus nombreuse a été celle des cadres et dirigeants du Parti de la France :   Carl Lang, Martial Bild, Myriam et Christian Baeckeroot, Martine Lehideux, Thomas Joly, Michel de Rostolan, Michel Hubault, Jean d'Ogny, Michel Bayvet, Jean Verdon ou encore Jeanne Dumont-Lanneyrie, tous étaient présents pour défendre le premier des droits de l'homme : celui de naître et de vivre.
    Tous ensemble étaient réunis aujourd'hui pour défendre les mêmes valeurs : celles de la vie et du respect de la Vie.

     

     

     

    Tout à fait entre-nous, plus de 20.000 participants, c'est quelque 5 fois plus que lors du dernier défilé du 1er mai dernier.

    Cherchons l'erreur !!!

  • Edifiant !

    La saga SARKO

    Après la saga BEN ALI de Tunisie, 9 pages à lire, 9 pages qui en disent longLes_4_frres_Sarkozy_-11.pdf.

  • Site de Bernard ANTONY

    Cher(es) Ami(es),

    Quand une analyse est bonne, à quoi sert de l'occulter.

    Dorénavant, vous pouvez trouver sur ce blog, les coordonnées de Bernard ANTONY, ancien responsable de la formation du FRONT NATIONAL.

    Dominique SLABOLEPSZY

  • Parti de la FRANCE, on continue !

    Dimanche 16 janvier 2011

    Communiqué de presse de Carl Lang

    Président du Parti de la France

    L’élue des médias succède à son père 

    Carl Lang et Le Parti de la France enregistrent les résultats sans surprise et programmés du congrès de succession de Jean-Marie Le Pen. L’héritière de Jean-Marie Le Pen  disposant du contrôle intégral de l’appareil central du FN, du soutien total de son père et du monopole de l’accès aux médias, les dés étaient évidemment pipés dès le début de cette mascarade électorale.

    Bruno Gollnisch a de surcroît été victime d’une véritable manipulation  médiatique et politique de dernière minute orchestrée par la chaîne publique France 2,  qui a permis à sa concurrente de disposer à une heure de grande écoute d’une émission de promotion personnelle, et ce, deux jours avant l’ouverture opportunément retardée du scrutin interne. Les 6000 « adhérents internet »  du dernier jour annoncés par Jean-Marie Le Pen à la suite de cette émission représentent en effet à eux seuls plus d’un tiers des électeurs de ce scrutin. Avec la divulgation des résultats du vote 36 heures avant leur proclamation officielle, la farce est à son comble.

    La composition de l’actuel Front national est à l’image de la décadence de la France et met un terme politique définitif au Front national historique de Jean-Marie Le Pen. Ce congrès met aussi fin aux dernières illusions de ceux qui espéraient voir perdurer un FN porteur de leurs valeurs et de leur idéal. Un jouet du système médiatiquement compatible ne pourra pas incarner une alternative crédible et durable au système.

    Le Parti de la France ouvre grand ses portes aux militants nationaux, patriotes et souverainistes qui souhaitent mener le combat politique de résistance nationale et européenne et appelle l’ensemble des associations de la grande famille nationale française à participer à la constitution d’une nouvelle alliance politique et électorale des nationaux.

     

  • FN ! le début de la fin ?

    Présidence du FN : qu'en penser ?

    Robert Spieler 6.jpgPar Robert Spieler

    Délégué général de la

    Nouvelle Droite Populaire

     

    C'est avec intérêt ou curiosité que le camp national et identitaire a suivi l'élection du successeur de Jean-Marie Le Pen à la présidence du Front national.

     

    L'élection de Marine Le Pen, avec les deux tiers des suffrages était évidemment une certitude, et le résultat obtenu par Bruno Gollnisch sanctionne un échec programmé.

     

    Bruno Gollnisch est un homme éminemment sympathique, cultivé, intelligent et courageux. Courageux vis à vis de l'adversaire extérieur, mais incroyablement timoré face à Jean-Marie Le Pen, auquel il n'osa jamais s'opposer. Jean-Marie Le Pen l'humiliait, et l'humiliait encore. Il se taisait. Ses plus fidèles soutiens au sein du Mouvement quittèrent un à un le FN, ou en furent exclus. Il ne leva pas le petit doigt pour défendre son amie Marie-France Stirbois et pas davantage ses amis Jacques Bompard, Bernard Antony ou Carl Lang. Il se retrouva seul, ou presque. Ses fidèles, qui dirigeaient des fédérations du FN furent éliminés les uns après les autres. Il ne protesta pas. Marine Le Pen, à l'instar de son père, pensait que les immigrés étaient des branches de l' « arbre France ». Il se tut. Tout le monde savait que la campagne interne était déséquilibrée et déloyale. Gollnisch ne disposait pas des fichiers d'adhérents, son adversaire, si. Lors de la grande réunion de Villepreux, organisée par les partisans de Gollnisch, Le Pen exigea que la flamme du FN fût retirée des invitations. Il obtempéra sans protester, alors qu'il était tout de même le vice-président du Parti. Ses partisans, qui adhéraient au FN dans l'intention de le soutenir, furent interdits de voter. Silence. Lors de la récente présentation des voeux du FN à la presse, tenue en présence de Jean-Marie Le Pen et de sa fille, il affirma que l'élection se déroulait de façon loyale alors que chacun savait qu'il n'en était rien... et déclara par ailleurs qu'il respecterait les résultats du scrutin. Roger Holeindre, quant à lui, vient de claquer la porte. Un de plus...

     

    Il s'agissait d'une guerre. L'une le savait, l'autre ne voulait pas le reconnaître. Bruno Gollnisch méritait-il vraiment de l'emporter ?

     

    Beaucoup ont prétendu que les médias et Sarkozy avaient décidé de soutenir Marine Le Pen, considérant qu'elle serait moins dangereuse pour le Système que Bruno Gollnisch. A vrai dire, je ne partage pas complètement cette analyse. Les médias ne s'intéressent guère au fond, mais essentiellement à la forme, en quoi Marine Le Pen supplante son adversaire, et donc « fait vendre ». Quant à Sarkozy, son intérêt n'est absolument pas d'avoir comme adversaire une candidate créditée de sondages flatteurs à l'élection présidentielle et qui pourrait le placer largement derrière le candidat socialiste, ce qui constituerait un lourd handicap pour le second tour. Il n'en demeure pas moins que Marine Le Pen cherche à intégrer le Système et que le Front national ne peut plus être considéré, à partir d'aujourd'hui, comme un mouvement nationaliste et identitaire, mais comme l'équivalent du mouvement que Gianfranco Fini avait créé en Italie, trahissant son idéal, trahissant la mémoire de Giorgio Almirante. Cela avait valu à Fini d'entrer au gouvernement avant d'être mis sur la touche par Berlusconi. Il se traîne aujourd'hui à 3% dans les sondages.

     

    L'avenir du FN et du mouvement nationaliste.

     

    Le FN ne disposera plus d'élus régionaux prochainement. Et quasiment d'aucun candidat présent au second tour des élections cantonales. La faute à un énième tripatouillage des modes de scrutin. Ce mouvement, qui aurait pu être le fanal de la résistance, a été incapable, par la volonté de Le Pen, de constituer une véritable école de cadres disposant d'une structure idéologique solide, et d'un enracinement local, gage de pérennité. Or, sans cadres formés, totalement habités par les enjeux du combat, insensibles au découragement, il est impossible de résister aux épreuves qui s'annoncent et aux tentations de rallier totalement le Système. Après tout, pourquoi ceux qui sont tentés par la collaboration ne le feraient-ils qu'à moitié ?

     

    L'avenir du mouvement nationaliste ne passe plus par le Front national, mais par le rassemblement de toutes les forces de la résistance nationale et européenne, après une nécessaire clarification comportementale et idéologique. Au travail.

     

  • Dernière ligne avant le verdict du 15 janvier 2011

    A la veille du dernier congrès du FRONT NATIONAL, qui se tient à TOURS ce prochain week-end, congrès qui choisira qui de BRUNO ou MARINE aura la lourde charge de conduire ce qui reste de la grande famille nationale, je tiens à rééditer une note d'avril 2008.

    En effet, la solution finale approche :

    Ou BRUNO devient le nouveau PRESIDENT de FRONT NATIONAL, alors on peut de nouveau rêver au "GRAND RASSEMBLEMENT"

    Ou MARINE le devance, alors la marginalisation de l'appareil de FRONT NATIONAL, sa faillite financière sera consommée.

    Celles et ceux qui n'ont pas encore voté savent ce qu'elles, ou ils doivent faire, choisir BRUNO.

    Si l'élection (dans des circonstances douteuses) de MARINE était confirmée, elles et ils savent que d'authentiques militants nationaux n'ont pas baissé les bras.

    Allez ! quelques heures et on saura, on pourra prendre les bonnes décisions, en particulier électorales. 

     

    "J'ai reçu un commentaire concernant la note "Paroles, paroles, encore des paroles", j'ai décidé de le publier en temps que tel.

    Je rappelle que je me veux un homme libre.

    Il me paraît évident qu'actuellement, personne, ni au Front, ni ailleurs, ne détient les clés de l'avenir.

    Ce qui me semble évident, c'est que Sarkozy va droit dans le mur sur beaucoup de sujets évoqués dans ce commentaire.

    Je viens de vivre une aventure exaltante ces 20 dernières années, et comme je l'ai écrit, je ne regrette rien.

    Mais je ne suis pas prêt pour une aventure groupusculaire.

    Quand j'ai adhéré au Front, c'est que j'avais la conviction qu'il n'était pas, ou plus, un groupuscule.

    Se faire plaisir, c'est facile, rassembler les bonnes volontés, toutes les bonnes volontés, sans exclusives ni exclusions, gérer un PARTI (localement) c'est autre chose, et ça je sais de quoi je parle.

    Quand j'émets des critiques, sans passer par les médias, c'est que j'ai la certitude que nous avons gagné le combat des idées, malheureusement nous perdons actuellement le combat des hommes.

    Chacune ou chacun marque l'autre à la culotte sur ses ambitions, ses emplois du temps: dans le Hainaut ça a débuté le 12 octobre 2007.

    Vite changeons certaines habitudes, retroussons nos manches, le problème, c'est que personnellement je n'ai pas la solution et que certains veulent imposer leurs points de vues avec l'utilisation de domestiques incapables et cireurs de pompes.

    Tous ceux qui ont des compétences (dans leur domaine) sont impitoyablement écartés, car dangereux, parce qu'ils savent réfléchir, entreprendre et réussir.

    Dominique SLABOLEPSZY, ancien secrétaire départemental du Hainaut de 1987 à 2007."

  • C'est reparti comme en 40

    SARKOZY : DES VŒUX EN FORME D’AVEU… D’IMPUISSANCE

    samedi 1er janvier 2011, par Axel Richter

    Dans sa courte prestation de vendredi soir, Nicolas Sarkozy a exhorté les Français de ne pas croire ceux qui proposent de sortir de l’euro car ce "serait une folie".

    "Ne croyez pas, mes chers compatriotes, ceux qui proposent que nous sortions de l’euro. L’isolement de la France serait une folie. La fin de l’euro serait la fin de l’Europe", a affirmé M. Sarkozy, lors de ses vœux .

    Selon lui, "l’Europe est essentielle à notre avenir, à notre identité et à nos valeurs", oubliant de préciser ce qu’il entendait par "identités et valeurs".

    "Je m’opposerai de toutes mes forces à ce retour en arrière qui ferait fi de 60 ans de construction européenne qui ont apporté la paix et la fraternité sur notre continent", a poursuivi le président. "Je le dis avec d’autant plus de fermeté que j’ai toujours milité pour la préférence communautaire, et que je me suis toujours battu pour la protection de notre industrie, la réciprocité et la fin de la naïveté dans les discussions commerciales avec nos principaux partenaires", a-t-il ajouté.

    Des vœux pieux, sans aucune conviction mais qui sonnent comme un aveu d’impuissance face à une Europe qui "préfère" de moins en moins et délocalise de plus en plus…

  • Meilleurs voeux pour 2011

    Que 2011 soit l'année de la reconnaissance de nos efforts communs afin que flambe l'Espérance!