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  • Lu pour vous

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    MARINE LE PEN DANS LE TUNNEL SANS FIN DE LA DIABOLISATION…

    dimanche 12 décembre 2010, par Pierre Picace

    Devant le tollé provoqué par les déclarations de Marine Le Pen à Lyon sur "l’occupation des rues", son rival et concurrent à la succession de Jean-Marie Le Pen, Bruno Gollnisch se déclare "solidaire de la liberté d’expression de Marine Le Pen" comme ajoute-il " je l’ai toujours été avec Jean-Marie Le Pen, et avec tous ceux qui furent attaqués par le Système pour avoir usé de cette liberté. "

    Il remarque néanmoins que "La polémique entretenue contre Marine Le Pen au sujet de ses récents propos tenus à Lyon sur l’Occupation démontre, si il en était besoin, les limites de la stratégie dite de « dédiabolisation ». " assurant que "Le système politico-médiatique" veut toujours plus de gages.

    Pour le vice-président du FN, "La vraie dédiabolisation " passe par "la prise de conscience par les Français de la justesse" des analyses et des propositions du Front national.

    Marine Le Pen avait dit récemment craindre que la stratégie de rassemblement de la droite nationale de son concurrent "ne conduise "dans le tunnel sans fin de la diabolisation".

    1 Message

    • Marrant de voir comment, tout d’un coup, l’utilisation d’un simple mot ("occupation") par Marine Le Pen, provoque le scandale dans les médias et la classe politique et par le même coup renvoie la famille Le Pen et le Front National dans la situation politique qu’ils ont connue aux pires époques de leur diabolisation.

      Marrant de voir comment tous les efforts de "dédiabolisation" entrepris depuis plusieurs années (avec les dégâts collatéraux que l’on sait : divers pans du projet politique passés sous silence ou "affadis", personnalités du FN poussés vers la sortie, critiques virulentes contre des personnes du Front qui ne croient pas à cette stratégie, militants écœurés...) peuvent être anéantis en quelques heures par le rouleau compresseur médiatique.

      Marrant de voir comment certains montent au créneau pour défendre Marine vilipendée :
      "Honte à cette classe politique, amnésique, responsable et coupable, qui ferme les yeux sur la réalité inquiétante de l’islamisation de la France mais qui, pour gagner une élection et quelques places, est prête à tout."

    • Et les mêmes qui n’ont pas eu un mot public de soutien quand Bruno Gollnisch a été traîné dans la boue sur France Inter il y a quelques jours "Dédiabolisation" à double vitesse ?

      On ne peut pas se "dédiaboliser" soi-même. Seuls ceux qui diabolisent peuvent "dédiaboliser".
      La stratégie de dédiabolisation conduit à parler et à agir en fonction de ce que nos adversaires acceptent de nous laisser dire ou faire !

      Au cours de son histoire, le Front National n’a jamais eu besoin de se dédiaboliser pour contourner le blocus médiatique ou le "cordon sanitaire républicain" et faire entendre sa voix aux Français : son ascension électorale des années 80 et 90 le prouve. C’est par l’action de terrain de ses militants et par son discours de vérité (en adéquation avec les problèmes de la France) que le Front National a conquis sa place dans le paysage politique et les élections.

      Ce n’est pas aux médias de dicter aux adhérents du Front National leur vote pour la succession de Jean-Marie Le Pen.

      Contre la dictature médiatique : Bruno Gollnisch président !

  • Pour que vive la FRANCE

    Grande réunion publique de début d'année 2011

    du Parti de la France à Paris

    Le samedi 29 janvier 2011,de 15 heures à 18h30, au forum de Grenelle, 5 rue de la Croix Nivert, Paris 15ème, Le Parti de la France tiendra sa première grande réunion publique de l'année 2011, suivie de la traditionnelle galette des rois.

    A cette occasion Carl Lang et les dirigeants du Parti de la France présenteront la stratégie et les objectifs de notre mouvement dans la perspective de l'élection présidentielle et des élections législatives de 2012.

  • A méditer

    BRUNO GOLLNISCH : "J’AI FAIT UN RÊVE "…

    mercredi 8 décembre 2010, par Michel Dantan

    Photos DR.

    C’était au tour de Bruno Gollnisch de réunir hier soir ses partisans dans la même boîte de nuit parisienne du XVe arrondissement, où quelques semaines plus tôt, sa concurrente à la présidence du Front National, Marine le Pen, s’était exprimée. Devant plusieurs centaines d’inconditionnels, le candidat s’est d’abord voulu onirique, déclarant en plagiant Martin Luther King, qu’il avait fait un rêve. " I have a dream " a-t-il dit, un rêve dans lequel « le Front National avait gagné les élections, toutes les élections », après que les « conservateurs attachés aux valeurs traditionnels », les partisans orphelins de Philippe de Villiers, ceux de Jean Pierre Chevènement, et des blocs de l’UMP se soient agrégés au Front National. Pas n’importe lequel d’ailleurs, puisque gardant aussi bien les pieds sur terre, et que du rêve à la réalité il restait sans doute dans l’esprit de l’auteur du chemin à faire, c’était celui qui aurait d’abord « accueilli en son sein la famille nationale toute entière » dont il s’agissait. La France telle que rêvée par Bruno Gollnisch, c’est celle du programme du Front national, accordant tout à la fois la priorité à la préférence nationale, la mise en œuvre d’une véritable politique familiale et de défense des intérêts français. Un rêve qui verrait nos banlieues retrouver leurs visages d’antan, Clichy sous Bois, Villiers Le bel, Vaulx-en-Velin, débarrassés de leurs délinquants, grâce à Marine Le Pen que Bruno Gollnisch verrait bien dans son rêve accéder aux postes de ministre de l’Intérieur et de porte parole du gouvernement, tandis que Jean Marie le Pen se verrait confier celui de Président du Conseil Constitutionnel. Sortie de l’OTAN, nos troupes retirées d’Afghanistan, la France de retour sur la scène internationale recouvrirait sa place perdue au cœur d’une Europe qu’il souhaitait voir retrouver sa vocation civilisationnelle. Ecartant les reproches parfois virulents qui lui ont été faites de vouloir fédérer les groupuscules d’extrême droite, Bruno Gollnisch a dit n’avoir rencontré que « de braves gens » au cours de ses tournées. Convaincu que sa stratégie de rassemblement était la bonne pour redonner au Front National toutes ses chances d’accéder au pouvoir, Bruno Gollinisch s’est montré hier soir devant des partisans enthousiastes, plus déterminé que jamais à poursuivre son ambition. Non pour gérer les affaires du système, mais pour le combattre, ce qui doit rester la vocation du parti, du Front National, a rappelé le candidat.

    1 Message

    • BRUNO GOLLNISCH : « J’AI FAIT UN REVE » 8 décembre 11:24, par Jacques

      Et pourtant qu’y a-t’il d’ "extra-ordinaire" dans ce rêve... ?
      Si les Gaullistes avaient garder leurs propres places gaullistes (par ex. : de droite (le RPR/UMP) et de gauche (les Chevenementistes) ) jamais nous n’aurions vu une telle dégradation de la France... Cela jusqu’à point de ce demander si les Français, leur culture, et leurs racines ont encore une quelconque importance en France même !!!

      Rappelons-nous de ce que disait Chs de Gaulle :

      "Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine, et de religion chrétienne."

      (Bon pour ma part, j’aurais tout de même dit : judéo-chrétienne)

      "Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de musulmans, qui demain seront peut-être vingt millions et après-demain quarante ? Si nous faisons l’intégration, si tous les Arabes et Berbères d’Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcherait-on de venir s’installer en métropole, alors que le niveau de vie y est tellement plus élevé ? Mon village ne s’appellerait plus Colombey-les-Deux-Églises, mais Colombey-les-Deux-Mosquées !"

      Ce qui m’ "amuse" dans la société actuelle c’est que l’on puisse autant admirer ce qu’était de Gaulle, mais, en même temps, autant le trahir...

  • Chassez le naturel !

    Domination…

    SUCCESSION FN : LE PEN, C’EST BRETELLES ET CEINTURE !

    samedi 11 décembre 2010, par Pierre Picace

    Même s’il dit ne pas douter de l’issue du Congrès de Tours, le vieux leader du Front national n’en demeure pas moins d’une prudence de chattemite. Celui-ci entend bien conserver un œil et le bon sur son "bébé".

    D’abord en se concoctant un statut d’"hyper président d’honneur" avec voix au chapitre dans toutes les instances dirigeantes du parti, bureau exécutif, Bureau politique, Comité central, et même la Commission d’investiture. Et quand on connait le caractère du "Menhir" ce n’est surement pas pour faire de la figuration. Prudent tout de même, Jean-Marie Le Pen fera adopter son nouveau statut avant les résultats du vote du nouveau Comité central, des fois que…

    Ensuite le patron du FN entend bien conserver la présidence du micro-parti qui lui servait jusqu’à présent à lever des fonds pour ses campagnes. Cotelec pour l’occasion rebaptisé "Jean-Marie Le Pen-Cotelec" continuera donc à collecter tous les prêts et les dons que des sympathisants ou des cadres du mouvements mettaient à la disposition du président du FN.

    Une manière comme une autre de placer sous tutelle son successeur à la tête du parti. Puisque après la déroute financière du FN en 2007, l’association de financement a consenti des prêts pour couvrir les échéances. et comme ce n’est pas la vente du Paquebot qui renflouera les caisses du FN et du futur président, autant dire que Jean-Marie Le Pen restera seul maître à bord.

     "Courant octobre 2007, à la veille du congrès de BORDEAUX, j'avais eu l'impudeur de faire une digression au sujet de COTELEC, j'ai été menacé par le patron, de plainte en diffamation : chassez le naturel, il revient au galop"

  • EDITORIAL

     

                                                                                                              Le 8 décembre 2010
     
     
    Lettre ouverte de Carl LANG aux militants nationaux :
    Rassemblons la Droite nationale sur ses valeurs et organisons l’Alliance des Patriotes.
     
    La droite nationale française, riche de ses personnalités et sensibilités, vit un des tournants de son histoire avec le départ de Jean-Marie Le Pen de la présidence du Front national.
    Le vieux modèle du parti unique autour d’une seule personnalité disposant des pleins pouvoirs avait douloureusement montré ses limites au moment de la rupture avec les partisans de Bruno Mégret, ainsi qu’avec les anciens et récents départs forcés, les exclusions et les suspensions d’un très grand nombre de cadres et militants comme Jacques Peyrat, Jacques Bompard, Bernard Antony, Marie-France Stirbois et tant d’autres... Ce modèle est aujourd’hui totalement archaïque, inadapté aux réalités humaines et à l’évolution de la société française ainsi qu’aux nécessités politiques du futur. Les modes de fonctionnement à établir d’une nouvelle droite nationale unie et conquérante doivent tourner le dos à ceux du siècle dernier. Dorénavant, chaque militant de la cause nationale doit être respecté et associé pleinement et réellement aux décisions et aux projets, en privilégiant l’organisation décentralisée, locale et régionale et l’enracinement électoral. Tout sacrifier au mythe d’une victoire à l’élection présidentielle est une illusion destructrice.
    Dans l’expression actuelle de la légitime résistance nationale, nous voyons émerger une multitude de remarquables initiatives individuelles ou collectives, culturelles, médiatiques ou politiques. Ces démarches qui sont souvent locales ou régionales procèdent toutes d’une même volonté de défense de nos identités et de nos valeurs. Elles démontrent la capacité d’une partie du peuple français à refuser le déclin historique, la soumission culturelle, l’abandon de nos valeurs et de nos droits ainsi que la colonisation étrangère.
    C’est cette synthèse identitaire de nos traditions, de nos cultures et héritages, locaux, provinciaux, nationaux et européens qui doit pouvoir s’exprimer et se réaliser politiquement. Il faut que chacun prenne conscience que c’est par la coopération de toutes nos initiatives que s’organiseront les succès de demain.
    Il est par ailleurs clair que face au véritable défi de civilisation imposé par la colonisation migratoire et l’islamisme révolutionnaire, l’affirmation de notre héritage historique, de notre identité française, de nos racines chrétiennes et de nos valeurs spirituelles sont un socle puissant et salvateur de convictions, de liberté et d’actions en faveur de nos compatriotes.
    Si notre pays a un corps physique et géographique et un esprit culturel et politique, notre rôle est aussi de préserver et de défendre en priorité l’âme de la France.
    N’oublions pas que notre identité nationale est la communion, naturelle, historique, culturelle et spirituelle entre le peuple français et la terre de France. Une France sans âme ne serait plus rien d’autre qu’une pitoyable et dérisoire République citoyenne et laïque. Comme il est dangereux et affligeant d’entendre aujourd’hui, de la part de personnages qui prétendent obtenir une part de la droite nationale en héritage, proférer des discours jacobins, laïcistes et républicains. Cette pensée obtuse, archaïque et ringarde mène de toute évidence aux idéologies sectaires et aux cultures de mort.
    Nous devons aussi, en réponse au déclin économique et social réaffirmer notre attachement aux notions de libertés économiques, de promotion de l’initiative privée, de refus du collectivisme, de promotion de la propriété individuelle et du modèle familial traditionnel. C’est sur la base d’un Etat véritablement national, d’une politique économique protectrice, d’une politique sociale et familiale réservée exclusivement aux Français que nous pourrons offrir une vraie alternative au libéral-mondialisme, au socialo-mondialisme et au pouvoir totalitaire du cartel bancaire et de la finance mondiale.
    La résistance sur nos valeurs, le renouveau et l’adaptation de notre projet national aux défis du siècle et la volonté de rassemblement, par une alliance politique et électorale des mouvements nationaux, constituent les vecteurs essentiels de la reconquête et de la libération nationales.
    Cette démarche politique et cette stratégie peuvent être facilitées si le nouveau président du Front national est porteur de nos valeurs, de nos principes et est, comme nous, un militant de l’union et de la réconciliation de tout le camp national. Si on leur en laisse réellement la possibilité, les adhérents du Front national vont pouvoir se prononcer sur la succession de Jean-Marie Le Pen. Dès lors, il leur reste une chance de se détourner de la candidate choisie, promue et imposée par le pouvoir médiatique et les états-majors politiques.
    Bruno Gollnisch n’est pas, lui, le candidat officiel du Système. Il ne cherche pas à donner en permanence des gages aux médias et à se dédiaboliser à bon compte en diabolisant les autres militants nationaux et mouvements patriotiques. C’est un homme de conviction, d’expérience et de compétence. Pour ces raisons, il pourrait, comme président du Front national, faire reculer le spectre de l’échec électoral annoncé en cas de refus de l’union politique et de l’alliance des défenseurs sincères et crédibles de la cause française. Ne renouvelons pas le fiasco de 2007.
    Quoi qu’il advienne, Le Parti de la France a pour vocation d’être, en 2011, comme un véritable mole de résistance en remplissant sa mission de défense du peuple français et des intérêts de la France. Il le fera en ouvrant grand ses portes à tous les militants de la droite nationale soucieux de la survie de la France française.
     
    Carl LANG
  • Ils vous le disent !!!!!

    C’est l’amour, mour mour…

    POURQUOI LES MÉDIAS AIMENT-ILS MARINE LE PEN ?

    mardi 30 novembre 2010, par Pierre Picace

    Omniprésente dans les médias, Marine Le Pen semble vivre une belle histoire "d’amour" avec eux. Attention cependant à ce que la lune de miel ne se transforme pas en lune de fiel. Surtout que le couple n’était pas fait pour se rencontrer. Mais en attendant tout semble baigner, même si on a du mal à s’expliquer cette attirance contre nature.

    Pas moins de six rendez-vous médiatiques dans les semaines à venir dont le Grand Jury RTL / Le Monde ou A vous de juger, animé par Arlette Chabot sur France 2. Vingt-huit invitations entre le début du mois d’octobre et la fin novembre. Impossible donc d’échapper à Marine Le Pen et au message politique du FN sur les ondes radios ou les chaînes de télé. En trois ans à peine, la benjamine du clan Le Pen a réussi à venir à bout de l’ostracisme médiatique qui frappait son père depuis trente ans.

    Alors, qu’est ce qui a changé et pourquoi un tel revirement des médias à l’égard du Front national ou tout au moins de Marine Le Pen, puisque sauf période électorale, les autres représentants du parti lepéniste sont tout comme par le passé superbement ignorés. Parce que, comme elle l’explique, “j’ai 40 ans et c’est difficile de me mettre un baudrier” ou bien comme disent ses fans parce qu’“elle a du charisme et du répondant” ou bien encore parce qu’elle fait monter l’audimat ?

    Mais son père lui aussi faisait grimper l’audimat, en plus il ne rechignait jamais à enfiler le “baudrier“ pour le plus grand plaisir des journalistes qui en redemandaient et ce n’est pas pour cela qu’il était plus “invité“ au contraire. De l’intérêt pour le FN “light” ? Jean-Marie Le Pen lui-même a reconnu que cela n’intéressait personne.

    La “barrière sanitaire”, politique, médiatique, sociale, dressée autour du FN et de son président a toujours été dénoncée par le parti frontiste comme étant le fruit d’un pacte secret entre le pouvoir, les “élites” et certains lobbies et officines mondialistes… Une digue qui a tenu bon même si cela à parfois coûté très cher à la droite. On ne voit donc pas comment ces mêmes médias s’affranchiraient de leurs propres chefs de ce “veto“, alors qu’ils n’ont pas changé “d’actionnaires” et que les journalistes sont, peu ou prou, les mêmes qu’il y a 20 ans.

    Des journaux, comme Le Monde ou Libération, pourtant peu suspects de sympathie pour le FN ont pris le parti de “l’héritière dans la campagne de succession, son concurrent étant systématiquement présenté sous les traits de “l’extrémiste de service“ soutenu par la frange la plus radicale de la droite nationale, ignorant même ou plutôt feignant d’ignorer la présence, dans l’entourage proche de la candidate, d’admirateurs du président iranien Amadhinedjad. Dernièrement, le politologue Jean-yves Camus a réussi à faire un curieux amalgame entre un auteur ayant écrit un livre sur “La mafia juive” et collaborant à l’hebdomadaire Rivarol avec Bruno Gollnisch au prétexte que le directeur du journal soutient le rival de Marine Le Pen. Tordue comme démonstration, mais effet garantie au journal de 20H.

    Autre incohérence, mais est-ce que la cohérence a encore une importance, Bruno Gollnisch est parfois présenté comme le candidat du système. Moins connu, moins charismatique, réactionnaire catho-tradi, il serait le candidat idéal pour sauver l’UMPS d’une déroute et d’un possible avril 2002 à l’envers. Pourtant, c’est la “promo” de Marine qui est faite. Allez comprendre !

    Et comme si cela ne suffisait pas et alors que la campagne pour la succession tire sur sa fin, les instituts de sondages songeraient à intégrer le nom de Bruno Gollnisch dans leurs listes. Pas difficile d’imaginer surtout si l’on s’appelle Roland Cayrol les pourcentages que pourrait obtenir un Bruno Gollnisch absent des médias face à une Marine le Pen qui y figure depuis de longs mois et omniprésente à la télé…

    Cela voudrait-il dire que tout le système a succombé au charme de Marine ?

    Non, ! pas tous !

    Deux irréductibles résistent encore : Michel Drucker et Laurent Ruquier. Mais pour combien de temps encore ?