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vie politique du Hainaut - Page 22

  • Pas d'union de la droite, ça devient un fantasme

    Un français dans la guerre du Donbass - Meta TV 1/3 | Page d'accueil | Nice: un imam porte plainte contre Marion Maréchal-Le Pen »

    31/10/2015

    Pas de soutien du CNIP aux listes LR-UDI-Modem

    Communiqué de Bruno North, secrétaire Général du CNIP pour les élections régionales :

    C« Malgré la main tendue aux Républicains par le CNIP, ces derniers ont préféré privilégier la présence de candidats du Modem - dont on sait la responsabilité dans la défaite du candidat de la droite en 2012 - et de l'UDI dans des proportions sans rapport avec la réalité de leur poids politique.

    Le CNIP a donc été purement et simplement écarté par Nicolas Sarkozy des listes présentées par le conglomérat LR-UDI-Modem, préférant renforcer le Centre au détriment des valeurs qui tiennent à cœur au CNIP.

    En conséquence, le Bureau Politique du CNIP réuni à l'Assemblée Nationale le 27 octobre 2015 a décidé de ne pas apporter son soutien à ces listes et de ne donner aucune consigne de vote à ses adhérents et sympathisants pour les élections régionales des 6 et 13 décembre prochains, leur laissant ainsi une liberté totale de se déterminer envers ceux qui seront le plus proche de leur sensibilité et de leurs préoccupations quotidiennes".

    Michel Janva

  • La reconquête nationale

    CARL LANG BIENTÔT DANS LE LIMOUSIN

    Rédigé le Jeudi 22 Octobre 2015 à 08:29 | 0 commentaire(s)

     

    Le Président du Parti de la France, Carl Lang se déplacera en Limousin le 22 novembre, à Limoges pour un déjeuner-débat au cours duquel M. Lang prendra la parole ainsi que plusieurs militants locaux.

    Face à la véritable déferlante migratoire qui s’abat actuellement sur nos côtes, face au « Grand Remplacement » qui menace aujourd’hui tous les peuples européens, face à l’implosion civilisationnelle à la quelle nous sommes confrontés, face aux reniements de valeurs fondamentales telles que la famille, véritablement assiégée et déstabilisée par la parodie imposée aux Français que constitue « le mariage » homosexuel, face à la complicité et aux trahisons de nos dirigeants tous plus assujettis les uns que les autres aux dogmes mondialistes et à L’Europe Bruxelloise, il est grand temps qu’une voix de Droite Nationale, Patriote et Populaire se fasse enfin entendre sur la scène politique française.


     
    Les socialistes au pouvoir, toujours plus âpres dans leur haine de la France, toujours plus déterminés à souiller notre glorieux passé et notre incroyable patrimoine, toujours plus acharnés à détruire le peu de choses qui a échappé aux griffes de leurs prédécesseurs, mènent aujourd’hui une politique qui conduit notre pays au chaos. 

    Même le Front National actuel renie ses combats et valeurs d’antan.
     L’influence gauchisante et grandissante de Philippot se fait de plus en plus ressentir, et ce dans des domaines aussi bien économiques (les 35 h, départ à la retraite à 60 ans), sociétaux (mariage pour tous) qu’identitaires (accommodation à l’islam, déni du Grand Remplacement, le fameux « fantasme racialiste »). 
    La parole d’un parti authentique de Droite Nationale est une absolue nécessité. Pas de compromissions ! Pas de langue de bois ! Pas de complaisance envers le système ! 
     Défendons la France française ! La France chrétienne ! La France éternelle !
    N’hésitez pas à venir nous rencontrer en ce 22 novembre, autour d’un repas du terroir.
     
    NB : La participation pour ce repas est de 20 Euros par personne ( compris dedans : apéritif, entrée, plat, dessert, vin et café) pour les adultes, et de 10 Euros pour les enfants de moins de 12 ans. 
     
    Pour des raisons évidentes, l’adresse exacte du lieu sera donnée au dernier moment. 
    Les réservations sont obligatoires. 
     
    Merci de contacter le 06 - 46 - 82 - 15 - 57. 
    N’hésitez pas à en parler à vos contacts susceptibles d’être intéressés. 

    Le PDF, section du Limousin. "
  • C'est mieux en le disant, en le redisant.

    Entre les reniements politiques et personnels, l’allégeance idéologique à la pensée unique, la démagogie grossière et les mises en examen de ses proches, on peut dire que le parti de Madame Le Pen est vraiment devenu un parti comme les autres. Elle est entrée de pleins pieds dans le système UMPSFN, le système de la bande des trois.
    Lorsque j’ai fondé avec de nombreux anciens cadres du Front National le Parti de la France, j’avais indiqué publiquement que je n’avais aucune confiance ni politique ni personnelle en Marine Le Pen. Les faits ne cessent de nous donner raison.
    Voilà pourquoi il est plus que jamais nécessaire d’œuvrer à la refondation de la droite nationale et c’est la vocation du Parti de la France. Notre porte est ouverte à tous les nationaux qui veulent défendre nos valeurs européennes et chrétiennes de civilisation, notre identité nationale, le droit du peuple français à rester lui-même et à disposer de lui-même, notre programme de droite économique et notre projet de patriotisme social.
    Il est temps que tous ceux qui veulent mener la bataille politique, culturelle et historique de résistance nous rejoignent. Ne soyons pas les spectateurs de la débâcle française.
    Nous pourrons ainsi défendre ensemble notre idéal, nos valeurs, nos convictions, nos familles, notre France et notre Europe.
    C’est notre devoir et ce sera notre fierté.
     
    Carl Lang
    Président du Parti de la France

  • Merci René

    samedi 31 octobre 2015

    REGARDEZ BIEN. JUSQU' A LA DERNIERE IMAGE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

     

      
    Il arrive qu'ils ne fassent pas assez attention et qu'une information délicate passe tout de même.
      
    Vite vite !! ils rectifient le tir, mais on peut compter sur nous pour la rediffuser.
            .
    Voyez plutôt .




    Le ban et l’arrière-ban des Tartuffes patentés de la politique s’est déplacé à Sarre-Union pour dénoncer
    , A   JUSTE TITRE, la profanation d’un cimetière juif.
             MAIS !!!
    "

    Bizarrement",  personne n’est venu se recueillir à Tracy-sur-mer où un cimetière chrétien a, lui-aussi, fait  l’objet de
         PROFANATIONS

           
          

     Profanation du cimetière de Tracy-sur-mer dans le Calvados.
     
    Vous êtes priés de ne vous indigner des profanations de cimetières que lorsqu’ils sont juifs ou musulmans !
    Je crois connaitre la raison qui fait que les politiques et la presse ne s’intéressent pas aux profanations des cimetières catholiques.        
    C’est parce qu’elles sont trop nombreuses ! 
     Soyons honnêtes
    BFMTV a publié à 8H18, un tableau recensant le nombre des profanations recensées en France en 2014 :
    .
     
     
    On y voit qu’il y a eu 34 fois plus de cimetières chrétiens profanés que de cimetières juifs
            
      (51 fois plus que de cimetières musulmans).
           

    La profanation de cimetières chrétiens est donc devenue banale et ordinaire.
           
    Donc Inutile d’en parler …
    Le standard de BFMTV a dû être pris d’assaut par les bien-pensants de tout bord, scandalisés par la publication d’un tel tableau avec deux griefs principaux :
    -  On ne doit pas parler de cimetières « chrétiens » dans un pays laïc.
    - Il n’y a que des cimetières municipaux !

    Quelques heures plus tard, à 13h09 pour être précis, BFMTV revenait
    dans un politiquement correct qu’elle n’aurait jamais dû quitter :
            

        

    Remarquez que "chrétiens" est devenu "municipaux".

    Quand on vous dit qu'ils nous prennent pour des cons ..        

     

  • Libre de l'ouvrir

     

     

    L’affaire des miettes de pain.

    Le coup de gueule du jour.

    C'est le site du "Télégramme" qui dévoile l'affaire : l'Elysée a engagé des poursuites pour "offense au chef de l'Etat" contre une association de retraités picards qui avaient envoyé des miettes de pain à l'Elysée.

    Le président de l'association, convoqué la semaine dernière, n'en croit pas ses yeux.

    "L’idée des miettes c'est pour dire que lorsque le gâteau est partagé, il ne reste que les miettes pour les retraités." L'Elysée n'a pas apprécié raconte France Picardie.

    Henri Carton, le président de l'association, est désormais visé par une plainte pour offense au chef de l'Etat et le parquet de Paris a ouvert une enquête.

    "Je ne vois pas où est l'outrage" relève le retraité qui se félicite plutôt de cette plainte inattendue "elle aura au moins le mérite de faire parler de nous". Et dire que les médias ne cessent de nous expliquer que François Hollande a beaucoup d'humour !!!

    Brûler le drapeau de la France, insulter la France par des chansons, siffler la Marseillaise, brûler des édifices publics ça doit être permis puisque personne n'est poursuivi.

    La différence avec l'envoi des miettes de pain c'est que les retraités ont travaillé toute leur vie pour la France et qu'ils doivent se contenter des miettes contrairement à d'autres qui se gavent d'allocations en tous genres !

     

     

     

     

     

  • Cest MORANO qui le dit !

    "Je ne ferai jamais alliance avec quelqu'un qui veut revenir au franc et ruiner la France", promet-elle, estimant que le "programme de Marine Le Pen est un programme d'extrême-gauche". De quoi expliquer pourquoi elle a refusé de rencontrer Robert Ménard, un proche du FN ?

  • De quoi as t'elle peur ? Pourtant le ridicule ne tue pas !

    Marine Le Pen refuse d’aller sur France 2 ce jeudi soir: l’émission annulée

    Publié le 22/10/2015     

    Une levée de boucliers des adversaires de Marine Le Pen aux élections régionales en Nord-Pas-de-Calais-Picardie, France 2 qui plie dans la nuit de mercredi à jeudi, Pierre de Saintignon et Xavier Bertrand qui devait finalement participer à l’émission, l’un sur place l’autre en duplex, d’autres candidats qui se manifestaient… : le contexte de la venue de la présidente du FN et candidate aux régionales, à Des Paroles et des Actes (DPDA) ce jeudi soir, était tendu. Elle a finalement fait savoir qu’elle refusait d’aller à une « mascarade » et l’émission a été annulée.

  • Pas tous d'accord !

    La France consacrerait 280 millions d'euros aux 33 000 réfugiés

    Rédigé le Mercredi 21 Octobre 2015 à 14:18 | 0 commentaire(s)

     

    Le député LR Éric Ciotti, rapporteur du budget de l'asile, émet un "avis défavorable" sur les crédits alloués à l'accueil des réfugiés, sous-évalués, selon lui.


    En pleine crise des migrants, la France consacrera en 2016 703 millions d'euros à sa politique de l'asile, auxquels le gouvernement Valls ajoutera 280 millions d'euros pour l'accueil des 33 000 réfugiés prévus par la négociation européenne. La loi de finances 2016 fera, en effet, l'objet d'un amendement gouvernemental en séance pour abonder l'enveloppe initiale.
    En dépit de cet effort financier, le rapporteur budgétaire, le député Les Républicains Éric Ciotti, juge les moyens notoirement insuffisants et émet un « avis défavorable ». Selon ses calculs, fondés sur le coût réel du demandeur d'asile fourni par la Cour des comptes, l'enveloppe finale approchera « plus volontiers les 330 à 450 millions d'euros » pour couvrir l'arrivée des nouveaux réfugiés venus d'Allemagne. François Hollande a mis en garde lundi, sur RTL, contre « les manipulations » et ceux qui voudraient faire croire que la France serait dans une situation comparable à l'Allemagne, qui a d'ores et déjà accueilli 500 000 migrants sur son territoire.

    L'asile, première filière de l'immigration clandestine

    Le contexte dramatique, lié à la crise syrienne, n'a pas, selon Éric Ciotti, été pris en compte dans les prévisions gouvernementales. « Depuis le début de l'année, 615 000 personnes ont tenté de rejoindre le continent européen, rappelle-t-il. En 2015, plus de 3 100 y ont perdu la vie, transformant la Méditerranée en un véritable cimetière marin. » Pour Ciotti, le système français de l'asile est devenu la première filière d'entrée des clandestins puisque les demandeurs d'asile qui n'obtiennent pas gain de cause disparaissent aussitôt et ne sont que très rarement reconduits à la frontière (1 % seulement, selon la Cour des comptes, 6 %, selon le gouvernement)
    « Le système français est au bord de l'embolie, relève ainsi le rapporteur. Il a connu une hausse exponentielle des demandes qui n'ont été stabilisées qu'au cours du dernier exercice. Il périclite du fait de la durée d'examen des demandes – près de deux ans –, du stock des dossiers en attente – plus de 27 000 au 30 juin 2015 – et de son coût galopant, chiffré à 2 milliards d'euros par la Cour des comptes, et pour moitié imputable au maintien sur le territoire, au mépris de nos lois, d'étrangers définitivement déboutés. » En effet, les magistrats de la Rue Cambon intègrent à leurs calculs les charges de droit commun, comme la scolarisation des enfants, sans compter les déboutés qui sortent de la grille budgétaire officielle et qui coûteraient 1 milliard d'euros supplémentaires.

    En 2016, 8,49 euros par jour et par demandeur d'asile

    Dans son rapport, le député des Alpes-Maritimes rappelle que le gouvernement a régulièrement sous-évalué les crédits pour répondre à la demande d'hébergement des demandeurs d'asile. En 2014, 19 000 places supplémentaires avaient été créées. Et cependant, le gouvernement avait quand même dû débourser 39,6 millions d'euros complémentaires au titre de l'hébergement d'urgence dans certaines régions particulièrement sous tension comme le Nord-Pas-de-Calais, la Basse-Normandie, la Lorraine, Rhône-Alpes et l'Ile-de-France.
    L'allocation pour demandeur d'asile (ADA) est fixée à 8,49 euros par jour et par personne en 2016. L'ADA se substitue à deux dispositifs, l'ATA (allocation temporaire d'attente) et l'AMS (allocation mensuelle de subsistance). Ciotti se félicite de la disparition de l'ATA, qui était indûment versée une fois sur cinq, selon un rapport commun de plusieurs inspections générales... Toutefois, le rapporteur ne partage pas les hypothèses du gouvernement quant au nombre de bénéficiaires de l'ADA : 44 800 personnes estimées en 2016, soit un chiffre de demandeurs d'asile constant par rapport à 2014 et 2015. Ce qui paraît assez irréaliste dans le contexte international du moment...
    La loi du 29 juillet 2015 réformant le droit d'asile a fixé un nouveau mode d'examen raccourcissant à neuf mois en moyenne les délais, contre deux ans auparavant.
    le point.fr
  • Très bien : s'il le dit !!!!!

    Djihad en France : "on pourrait basculer dans un phénomène de masse" affirme un rapport commandé par Manuel Valls

    Rédigé le Vendredi 3 Juillet 2015 à 09:02 | 0 commentaire(s)

     

    Le député PS Malek Boutih était chargé, après les attentats de Charlie Hebdo, d'une étude sur le phénomène de l'islam radical en France. Ses conclusions font froid dans le dos.


    Djihad en France : "on pourrait basculer dans un phénomène de masse" affirme un rapport commandé par Manuel Valls
    Manuel Valls ne s'attendait probablement pas à des réponses heureuses en commandant un rapport sur la radicalité d'une partie de la jeunesse musulmane de France. Révélé par le Figaro, le texte du député PS Malek Boutih met les pieds dans le plat et n'élude pas le profond malaise qui touche aujourd'hui la société.
     
    En premier lieu, le rapport s'accorde sur le fait que le djihadisme entrepris par ces jeunes français doit avant tout être perçu comme un acte politique "entrant en résonance avec leurs préoccupations internationales et leur rejet de la société démocratique occidentale, plus qu'à une doctrine religieuse fondamentaliste."
     
    Pour expliquer ce rejet, il pointe du doigt plusieurs phénomènes : "La société est vécue comme totalement verrouillée, ce qui génère une grande frustration" pour cette "jeunesse frustrée, prête à basculer" affirme Malek Boutih. Le conflit israélo-palestinien renforce ce sentiment. "Dans les quartiers, le discours du “deux poids deux mesures”, entre des juifs qui seraient insérés et protégés et des musulmans au contraire stigmatisés et marginalisés socialement, a rencontré un large écho," insiste le député. "Les vieux préjugés sur les juifs qui seraient partout, tirant les ficelles du monde de la finance et des médias sont de retour. De façon remarquable, ils sont très largement répandus chez les jeunes aujourd'hui alors que cela aurait été inenvisageable il y a encore une vingtaine d'années."
     
    De plus, "le corpus de valeurs et l'ordre social très peu contraignant de nos sociétés démocratiques occidentales ne fournissent pas un cadre suffisamment englobant et sécurisant pour s'y ancrer et s'y attacher."
     
    Mouvement de révolte, le (...)lire la suite sur Atlantico
  • TOURISME : DAESCH m'a tuer

     
     

    Tunisie : pourquoi l’attentat est une catastrophe pour la France ?

    tunisie

    Menace à l’adresse des touristes d’un groupe tunisien pro-EI : « Je viendrai en Tunisie cet été »

    La Tunisie est le premier pays fournisseur au monde de combattants jihadistes (non irakien ou non syrien) pour l’EI. Ils seraient officieusement plus de 11 000 à avoir choisi la Libye, la Syrie ou l’Irak pour exercer la hijra et s’engager aux côtés de Daesh. Sur une population d’approximativement 11 millions d’individus, 0.1% aurait fait le pas de s’engager physiquement dans la lutte armée. On peut aisément en conclure que l’instauration de la Charia dans ce pays n’est pas le rêve de quelques énergumènes isolés mais qu’une partie non négligeable de la population tunisienne (familles, imams etc..) soutient l’État Islamique.

    Avec l’attentat du Bardo, Daesh avait clairement montré que son objectif était de détruire le secteur touristique dans le pays. Pour plusieurs raisons : tout d’abord à cause des touristes non musulmans (kouffars) et de leurs comportements/moeurs sur place mais également pour déstabiliser économiquement le pays. Avec 7% du PIB (officiellement) et plus de 450 000 emplois, le tourisme est un secteur clé de l’économie tunisienne. Rien de mieux pour l’EI de voir s’écrouler le tourisme. Affaiblissant ainsi le gouvernement et sa capacité de réaction, les combattants de l’EI pourraient ainsi rêver d’une implantation militaire dans le pays.

     

    Cet attentat au début de la saison estivale vient d’achever le tourisme pour de longues années dans le pays.
    Des centaines de milliers d’emplois seront détruits, le chômage et la paupérisation exploseront. Face au désespoir, certains tunisiens continueront de garnir les rangs de Daesh au Cham et en Libye et les autres se tourneront vers « les pays riches ». En effet, le risque d’un flux migratoire important de la Tunisie vers la France est à prévoir dans les prochains mois et les prochaines années.

  • 13 juin dans le Nord Pas de Calais

    Le samedi 13 juin 2015, Carl LANG viendra à la rencontre des militants et sympathisants du NORD PAS de CALAIS.

    Des courriers ont été envoyés aux adhérents du PARTI de la FRANCE, réponses souhaitées.

    Information ou inscription, auprès des responsables régionaux.

  • Corrèze emblématique

    Marie-Thérèse Roche, nouvelle Chargée de mission du Parti de la France pour la Corrèze

    Rédigé le Vendredi 29 Mai 2015 à 09:24 | 1 commentaire(s)

     

    Marie-Thérèse Roche (mariée, un enfant), 63 ans, consultante emploi/formation, est la nouvelle Chargée de mission du Parti de la France pour le département de la Corrèze.


    Marie-Thérèse Roche, nouvelle Chargée de mission du Parti de la France pour la Corrèze
    Cette fervente catholique, membre de l'Institut Civitas, ne se retrouvait plus dans la ligne politique du néo-Front National dont elle était la secrétaire départementale adjointe.

    Marie-Thérèse Roche aura en charge d'animer les activités militantes du PdF en Corrèze. Pour la contacter : 06.81.99.87.58  ou mtroche19@orange.fr

     
  • Encore merci, José

     

    Le parjure, la trahison et la honte

     

    « L’Histoire brûle les hommes. Après, il faut recueillir les cendres et raconter » (Commandant Hélie Denoix de Saint-Marc – « Les champs de braises »)

     

                Du navire bondé de légionnaires et de parachutistes, en cet automne 1954, un haut-parleur annonça que l’on apercevait les côtes de France. Bientôt le port de Marseille fut en vue. Mal réveillés, ils montèrent tous sur le pont, serrés les uns contre les autres, appuyés à la rambarde. Le paradis dont ils avaient tellement rêvé dans les camps de prisonniers du Vietminh approchait lentement et déjà ils n’en voulaient plus. Ils rêvaient à un autre paradis perdu, l’Indochine… terre qui avait bu, plus qu’aucune autre leur sang. C’est à elle qu’ils pensaient tous à présent. Ils n’étaient pas les fils douloureux qui s’en revenaient chez eux pour faire panser leurs blessures, mais des étrangers. En eux remontaient des aigreurs.

                Ils se souvenaient avec colère et amertume de ces tonnes de médicaments régulièrement adressées au Vietminh par l’Union des Femmes Françaises (1) et leur indignation ne résultait pas de ce que l’ennemi recevait de la Métropole des colis de pénicilline, mais du fait que chaque jour des soldats français mouraient faute d’en posséder…

                En 1950, à Orange, un train de blessés d’Extrême-Orient avait été arrêté par des communistes qui avaient injurié et frappé ces hommes sur leurs civières. Un hôpital parisien qui demandait du sang pour les transfusions sanguines spécifiait que ce sang ne servirait pas pour les blessés d’Indochine. On avait refusé à Marseille, dont ils apercevaient maintenant Notre-Dame de la Garde, de débarquer les cercueils des morts…

    On les avait abandonnés, comme ces mercenaires soudains inutiles que Carthage avait fait massacrer pour ne pas payer leur solde.

    Des souvenirs terribles les hantaient… Ceux de ces partisans qu’ils avaient juré de ne jamais abandonner… Et parmi eux, la vision de ce vieux chef guerrier qui avait rallié sous le drapeau tricolore dix mille de ses hommes… alors que Diên-Biên-Phu était tombée et que tout allait mal dans le delta tonkinois. Il avait alors demandé aux officiers français s’il était vrai que la France allait livrer le Tonkin au Vietminh car rien n’avait été prévu pour replier ses partisans et leurs familles. Les divisions viets déferlaient sur le Delta. Le système de défense cédait peu à peu. Tout reposait sur ce vieux chef et sur ses hommes qui, connaissant admirablement le terrain, étaient à même de repousser mieux que quiconque les assauts des communistes.

                Alors les officiers français lui mentirent et lui assurèrent que jamais ils ne le laisseraient tomber. Il eut foi en leur parole. Ses partisans restèrent à leur poste et continuèrent à se battre jusqu’au bout alors qu’ils étaient submergés. Pendant ce temps l’armée française prépara la défense de Hanoi et de Haiphong et elle n’évacua personne. Le vieux chef fut pris par les communistes. Ils le torturèrent jusqu’à ce qu’il agonisât puis ils lui tranchèrent la tête. Les survivants parmi ses partisans subirent le même sort…

                Et, le visage tendu, les mâchoires crispées, ils se souvenaient aussi de tous ceux à qui ils avaient affirmé qu’ils resteraient toujours et en particulier les catholiques… Ils essayaient de gagner à la nage les bateaux en partance pour la France… Combien de ceux-là périrent noyés ?

                Plus tard, ces visions de cauchemar hanteront de nouveau ces hommes-là… Eux, les anciens d’Indochine, eux, les officiers qui représentaient la France dans ce pays, l’Indochine, ils la burent jusqu’à la lie. Ils connurent la défaite et l’abandon. Leur parole qui était celle de la France, ils la renièrent mille fois dans cette guerre et ils en étaient couverts de honte. Les images qui s’entrechoquaient dans leur mémoire les harcelaient sans trêve… Des familles entières menacées d’extermination par le Vietminh s’accrochaient désespérément aux ridelles des camions et, à bout de force, tombaient en pleurant dans la poussière de la route. Sept ans plus tard, ces mêmes visions apocalyptiques ressurgiront quand l’armée française abandonnera dans la honte et le déshonneur les Musulmans fidèles à la France.

    Le Commandant Hélie Denoix de Saint-Marc écrira dans « Les champs de braises » : « La plupart des Vietnamiens ne disent rien. Ils nous regardent simplement. Nous avons honte. Ils nous auraient tués à ce moment-là que nous aurions trouvé cela juste. L’un d’eux me dit : « Alors, mon capitaine, vous nous laissez tomber ? » Je ne réponds rien ! » … « Les centaines d’hommes et de femmes à qui, au nom de mon pays et en mon nom, j’avais demandé un engagement au péril de leur vie, nous les avons abandonnés en deux heures. Nous avons pris la fuite comme des malfrats. Ils ont été assassinés à cause de nous »…

                Sur cette tragédie –conséquence à ses yeux d’un parjure- qui le traumatisera jusqu’à la fin de ses jours, il ajoutera : « La simple évocation de ces souvenirs suffit, cinquante ans après, à troubler mon regard et faire trembler ma main. »

    Une fois la victoire acquise, les communistes lamineront le pays, faisant la chasse aux « collaborateurs », c'est-à-dire, ceux qui avaient pactisé avec les soldats français. Pour eux, point de pitié. Une mort atroce les attendait…

    Alors, quand en Algérie, le même processus s’engagera ; quand les officiers français se retrouveront coincés dans le même système, quand les harkis risqueront de connaître le même sort que leurs partisans indochinois… ils s’engageront… mais cette fois, personnellement, parce que le pouvoir sera trop faible, trop lâche pour tenir ses engagements. Après, plus question de partir, ce sera terminé pour eux. Ce ne sera plus la parole de la France ; ce sera la leur ! Et pour beaucoup de soldats, ce sera un engagement solennel : « La mort plutôt que le déshonneur ».

    … Et c’est cet engagement qui poussera à la révolte, en avril 1961, des soldats valeureux refusant le parjure, la trahison et la honte. Ils abandonneront ainsi leurs uniformes, sacrifieront leur carrière, seront séparés de leur famille parfois durant de longues années, connaîtront la prison, l’exil, le sarcasme de leurs vainqueurs et de ceux qui n’avaient pas osé, des poltrons, des lâches et des traîtres pour être restés fidèles à leur serment et à leur idéal.

    Le temps passera, l’oubli viendra, les légendes fleuriront, mais jamais assez l’Histoire ne mesurera la grandeur de leur sacrifice.

     

    José CASTANO

    Courriel : joseph.castano0508@orange.fr

     

    (1) – Issue des comités féminins de la Résistance, l'Union des Femmes Françaises est créée par un congrès le 21 décembre 1944. Elle se révèle rapidement liée au Parti communiste français, sous la houlette de Jeannette Vermeersch, qui en fait pendant les années de guerre froide, une organisation communiste de masse. Elle se retrouve notamment impliquée dans des actes de sabotages et de découragement à l'encontre des soldats français lors de la guerre d'Indochine.

    L'Union des femmes françaises devient Femmes solidaires en 1998

  • NON au socialisme !

    Les enseignants : nouveaux dindons de la farce socialiste

    Rédigé le Vendredi 22 Mai 2015 à 08:11 | 0 commentaire(s)

     

    Véronique Bouzou Boulevard Voltaire.

    Le décret de la réforme du collège publié en catimini durant la nuit, quelques heures à peine après la grève des professeurs, traduit une fois de plus le mépris du gouvernement socialiste à l’égard des enseignants.


    Les enseignants : nouveaux dindons de la farce socialiste

    Rien d’étonnant, néanmoins, de la part d’un exécutif responsable d’un accouchement au forceps des rythmes scolaires à l’école primaire ! Rien d’étonnant quand on connaît la mauvaise foi des apôtres socialistes de cette réforme du collège – que je qualifierai pour ma part de projet nuisible – qui considèrent qu’eux seuls sont du côté du progrès, qu’eux seuls œuvrent pour la « réussite de tous les élèves ». 
     

    Au mieux, les caciques du PS jugent comme des abrutis ceux qui s’opposent à la vertu de cette « réussite pour tous » (en réalité un échec pour le plus grand nombre et un égalitarisme néfaste à l’élitisme républicain). Au pire, ils les discréditent en les qualifiant de vilains réactionnaires préoccupés par le seul devenir des élites. Rien ne les arrête, ces « progressistes » autoproclamés – des apprentis sorciers, devrais-je dire – pour faire montre de pédagogie et expliquer aux enseignants et aux parents d’élèves le bien-fondé d’un projet qu’ils sont bien les seuls à défendre contre un bon nombre de philosophes, d’historiens et même d’enseignants !
     

    Car même si la grève des professeurs n’a pas obtenu le succès escompté (27,6 % des enseignants dans les collèges publics, selon le ministère, 50 %, d’après les syndicats), cela ne veut pas dire pour autant que les professeurs applaudissent à tout rompre leur ministre. Pour quelle raison, alors, le gouvernement socialiste prend-il le risque de faire passer une réforme impopulaire auprès du corps enseignant ? Ces derniers auraient-il réagi plus vigoureusement si un gouvernement de droite avait tenté le même passage en force ? Peu probable…

    Alors, quoi ? Certains professeurs dépités sont plus ou moins conscients qu’ils ne seront pas entendus. Inutile, donc, d’offrir une journée de grève à l’État. D’autres, sceptiques, restent encore dans le flou et se disent qu’ils pourront, le moment venu, adapter la réforme et rester libres de leur pédagogie. D’autres, encore, se refusent à croire que ce qui vient de la gauche peut être néfaste. N’ont-ils pas toujours cru – à défaut de voter – à cette gauche qu’ils idéalisent ?
     

    Mais le PS croit-il encore aux enseignants ? Ne préfère-t-il pas aux classes moyennes laborieuses les « minorités visibles » qui constituent son nouvel électorat ? La réforme du collège se fera donc « quoi qu’il arrive » (dixit Valls), et tant pis si les profs sont mécontents…
    source boulevard voltaire via :
    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Nouvelle-Calédonie, je connais.

     

    8000 personnes manifestent pour la Calédonie dans la France à Nouméa

    • Elif Kayi (avec Angélique Souche)
    • Publié le 24/04/2015 | 17:16, mis à jour le 24/04/2015 | 17:52

    Entre 8.000 et 10.000 personnes ont manifesté vendredi à Nouméa, pour le maintien de la Nouvelle-Calédonie dans la France. Elles répondaient à l'appel lancé par plusieurs partis non-indépendantistes.  

    Image de la manifestation du 24 avril 2015 © NC1ère
    © NC1ère Image de la manifestation du 24 avril 2015
     
    8.200 personnes selon les estimations du Haut-Commissariat - plus de 10.000 pour les organisateurs -, avaient répondu présentes à la manifestation de vendredi midi, pour le maintien de la Nouvelle-Calédonie dans la France.
     
    Le Front pour l’Unité (FPU), qui était un des initiateurs de la manifestation aux côtés de l’Union pour la Calédonie dans la France (UCF), était absent au discours du président de l’Assemblée nationale, Claude Bartolone, au Congrès, préférant rester à la manifestation qui s’est déroulée au centre-ville de Nouméa, près du Congrès et du Haut-Commissariat. 
     
    « Non au largage de la Nouvelle-Calédonie », « Non à la marche vers l’indépendance » ou « Non à l’apartheid électoral », peut-on lire sur les banderoles portées par les manifestants.   
     
    Une même volonté exprimée par les manifestants : restez Français et dire non à l’indépendance. Un autre sujet est sur toutes les lèvres : être né ici et avoir le droit de voter ici. La question du droit de vote est en effet une préoccupation majeure chez les manifestants. 
     
    « Je suis de la cinquième génération ici », commente Steve. « Je pense à toute la génération qui n’a pas pu voter en 1998, qui a plus de dix-huit ans maintenant. Je ne vois pas pourquoi ces gens-là devraient effectuer toutes les démarches qui vont sans doute être très lourdes ». 
     
    « Je suis là aussi pour dire non à l’indépendance », poursuit-il. « Parce que c’est mon pays et j’en suis fier, et je ne me vois pas vivre ailleurs ».
     
    Pour de nombreux participants, cette manifestation ne doit pas rester la dernière et beaucoup se disent prêts à redescendre dans la rue si il le faut.   
     
    « Je pense qu’il faut continuer », insiste une autre participante. « Il y a une pétition qui circule sur Internet, il faudrait que tout le monde aille la signer ». 
     
    Certains se montrent toutefois un peu plus pessimistes quant aux chances de faire entendre leur voix. « Moi, je ne crois pas grand-chose », commente Guy, un autre manifestant. « Ce sont les députés qui vont voter. Alors, on est là mais je ne sais pas si le nombre de personnes avec un drapeau bleu, blanc, rouge va faire quelque chose ». 


     

  • Puisqu'on vous le dit !

    La crise au FN ne fait que commencer

    Rédigé le Mercredi 6 Mai 2015 à 07:56 | 0 commentaire(s)

     

    Lu dans Minute :


    "Où Marine Le Pen prend un grand risque, c’est si elle pense qu’en écartant Le Pen, elle va parachever son grand œuvre de dédiabolisation. La mise à l’écart de Jean-Marie Le Pen risque plutôt de produire l’effet inverse de celui recherché.


    La crise au FN ne fait que commencer
    Jusqu’alors, Marine Le Pen pouvait arguer de ses divergences avec le grand méchant Le Pen. Désormais, elle sera la cible. La volonté de diabolisation va se focaliser sur elle. Sur son entourage. Sur ses soutiens. Sur ses alliés. Jusqu’à ce que soient gommées toutes les aspérités.

    Selon un sondage BVA-Orange- iTélé publié samedi dernier, près d’un Français sur trois (32 %) souhaite que Marine Le Pen ait davantage d’influence dans la vie politique, son record dans ce baromètre. Oui mais cela, c’est avant. Avant que ne se déchaîne la nouvelle phase de la diabolisation qui va la viser directement et qui l’amènera inéluctablement à couper d’autres têtes. Le congrès par lequel le Front national opèrera sa mue s’annonce comme celui de toutes les espérances... et de tous les risques. Pour que l’opération soit crédible, il faut que le parti qui en sortira n’ait plus rien à voir avec le FN. Que les éléments dits « radicaux » n’y aient plus de responsabilités. Où le radicalisme des idées va-t-il commencer ? Marie-Christine Arnautu, seul membre de l’actuel bureau exécutif à avoir accompagné Le Pen au pied de la statue de Jeanne d’Arc, fera-t-elle partie de la prochaine direction ? Poser la question... Et ce n’est qu’un exemple. La crise au FN ne fait que commencer."
    Michel Janva
    Le salon beige

  • Juste retour des choses ?

    Jean-Marie Le Pen suspendu du FN : "J'ai honte que la présidente du parti porte mon nom"

    Rédigé le Mardi 5 Mai 2015 à 08:00 | 0 commentaire(s)

     

    Désormais suspendu de sa qualité d'adhérent, Jean-Marie Le Pen a dénoncé "une félonie" et s'en remet aux adhérents "indignés". Pas de couvre-feu au FN, les balles entre les deux camps continuent de siffler. Cette fois-ci c'est le président d'honneur, tout juste suspendu de sa qualité d'adhérent qui envoie un "Scud" de représailles à sa fille.


    Jean-Marie Le Pen suspendu du FN : "J'ai honte que la présidente du parti porte mon nom"
    "C'est une félonie. J'ai exprimé le souhait que Marine Le Pen me rende mon nom", a indiqué le co-fondateur du parti d'extrême-droite. Allez-vous entamer des recours juridiques contre les décisions prises par le bureau exécutif du Front national ? "Ils doivent s'attendre à tous les moyens", a-t-il poursuivi. 

    J'ai honte que la présidente du parti porte mon nom
    Jean-Marie Le Pen

    Invité d'Europe 1, le président d'honneur a déclaré avoir "honte que la présidente du FN porte mon nom". "Je souhaiterais d'ailleurs qu'elle le change le plus vite possible. Elle peut le faire en se mariant avec son concubin ou quelqu'un d'autre. Qu'elle fasse campagne sous le nom de Marine Aliot ou Marine Philippot, peux-être que ça marchera mieux, vu qu'elle traite son père et le président fondateur du Front national de manière scandaleuse."
    http://www.rtl.fr/actu/politique/j-m-le-pen-j-ai-honte-que-la-presidente-du-fn-porte-mon-nom-7777915660

     
  • Toulouse, Marseille, Metz ....... Et c'est pas fini !

    Compte-rendu de la venue de Carl Lang à Metz

    Rédigé le Mardi 28 Avril 2015 à 14:26 | 1 commentaire(s)

     

    Samedi 25 Avril, le Président du Parti de la France s'est rendu à Metz pour une conférence de presse durant laquelle il présenta la ligne politique du Parti de la France aux journalistes présents et les différences fondamentales par rapport à un Front National devenu aujourd'hui un laquais du Système qu'il prétendait jadis combattre.


    Compte-rendu de la venue de Carl Lang à Metz
    Carl Lang insista tout particulièrement sur les différences d'un point de vue économique entre les programmes du Parti de la France et celui du Front mariniste. Alors que le premier met en avant la défense des libertés économiques et de l'initiative privée, le second s'enfonce dans un programme économique dirigiste et de type stalinien. Enfin Car Lang fixait le prochain objectif électoral pour les législatives de 2017 non sans avoir fait les deux annonces importantes de la journée :
    - La nomination de Dominique Biry en tant que Chargé de Mission du Parti de la France pour la Moselle
    - Le ralliement de deux conseillers municipaux de Sarrebourg, Bernard Brion et Nicolas Vidal rejoignant le camp de la véritable droite nationale, le Parti de la France
     
    A suivi un déjeuner avec Carl Lang, ce qui fut l'occasion de prendre de nombreux contacts et d'échanger entre camarades de la Moselle, mais aussi de la Meurthe-et-Moselle et de l'Alsace. Ces échanges nous permettrons à l'avenir de coordonner nos actions avec les militants de ces trois départements limitrophes lorrains. Assurément, une très bonne journée militante du Parti de la France
    Compte-rendu de la venue de Carl Lang à Metz
  • Merci José

    LE DERNIER GROGNARD

     

    « On ne devient pas vieux pour avoir vécu un certain nombre d’années, on devient vieux parce qu’on a déserté son idéal. Les années rident la peau, renoncer à son idéal ride l’âme »(Général Mac Arthur)

     

                Dans un précédent article consacré à Roger Holeindre, je pensais avoir tout dit sur ce personnage hors du commun qui, sa vie durant, n’eut de cesse de grogner, pestant contre la « connerie humaine », sublimant les souffrances endurées en Indochine, en Algérie et dans les prisons françaises en leçons de sagesse et d’espérance. C’est que Roger  ne fut ni un résistant, ni un soldat, ni un journaliste, ni un homme politique comme les autres… Tout au long de sa vie, il ne cessa d’être un « homme libre », un guerrier et un insatisfait permanent… l’apanage du champion. Son credo, il le martèle à l’envi : « Moi, rien ne me fait jamais changer d’idée ni de route. Le vent de l’histoire est une invention marxiste ».

                Son terrain d’action, ce n’est ni le micro, ni la télévision, ni les réunions mondaines. C’est celui où sont tombés nombre de ses camarades… dans les rizières d’Indochine et sur les pentes des djebels. C’est le combat mémoriel pour le rétablissement de la vérité historique, celui aussi des oubliés de l’Empire coloniale français sur lequel on crache depuis un demi-siècle.

              « Seule la vérité peut affronter l'injustice. La vérité ou bien l'amour » écrivait Albert Camus dans « les Justes ». Mais, dans ces temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire que nos « bien-pensants », champions des « droits de l’homme » n’ont eu de cesse de dénoncer.

                « La vie, le malheur, l’isolement, l’abandon, la pauvreté, sont des champs de bataille qui ont leurs héros ; héros obscurs plus grands parfois que les héros illustres » écrivait Victor Hugo dans « Les Misérables ». Roger Holeindre appartient à cette race de héros anonymes qui ont connu la révolte, le vide, le désespoir et le chagrin que les soldats transforment en haine pour pouvoir continuer à être des soldats. Il a connu la bouche sèche, l’exaltation purificatrice purifiée par la peur que donne le combat. Il s’est battu contre l’oppression, contre la tyrannie, pour la sauvegarde de l’Algérie française, pour sa liberté. Il a redécouvert durant ses longues semaines de privations dans le maquis Bonaparte (Constantinois, 1962), comment souffrir et mépriser la souffrance des longues périodes de nuits sans sommeil peuplées de cauchemars, de fatigue, de dépression, d’impatience et d’inconforts. C’est dans ces jours-là qu’il a éprouvé cette fierté profonde, saine et humble… de se sentir un Homme.

              Dans son nouvel ouvrage, « 1935/2015… 80 ans de mensonges et de calomnies… », Roger Holeindre se révèle un « géant » de la littérature patriotique, écrivain à la plume alerte et féconde, au talent reconnu et jamais démenti. Il passe en revue, avec pertinence et lucidité, tous les aspects malheureux de la vie politique française depuis quatre-vingts ans. Sa fine analyse, son vocabulaire nourri, son humour et sa verve ne peuvent qu'emporter, sinon un enthousiasme légitime, du moins la franche adhésion des lecteurs de ce livre de 591 pages paru aux éditions d’Héligoland, BP2 – 27290 PONT-AUTHOU (Prix : 25€).

     

                                                                                         José CASTANO

                                                                      Courriel : joseph.castano0508@orange.fr

  • Y pas que Cahuzac !

    Compte bancaire en Suisse : Jean-Marie Le Pen doit donner les "éclairages", dit Philippot

     

    Le vice-président du FN Florian Philippot a jugé, lundi 27 avril, "étrange" l'information de Mediapart selon laquelle Jean-Marie Le Pen a été le détenteur d'un compte bancaire "caché" en Suisse. Il a ajouté sur iTélé que c'était au président d'honneur du FN de donner des "éclairages".

    © Fournis par Francetv info

    "Je ne peux pas croire que cela soit vrai"

    "Non, je ne suis pas du tout au courant, j'ai appris comme vous tout cela cet après-midi, je ne sais pas du tout si c'est vrai, cela me parait étrange connaissant Jean-Marie Le Pen", a-t-il dit déclaré. "Je crois qu'il s'en expliquera, c'est une affaire personnelle qui le concerne. J'ai eu Marine Le Pen au téléphone qui est très surprise et qui n'en connaissait rien non plus et qui attend comme nous tous des éclairages et des explications de Jean-Marie Le Pen".

    Et de conclure : "Je ne peux pas croire que cela soit vrai", a-t-il enfin ajouté sur ce sujet. D'après Mediapart, Jean-Marie Le Pen a "détenu un compte caché chez HSBC, puis à la Compagnie bancaire helvétique (CBH), à travers un trust placé sous la responsabilité légale de son majordome, Gérald Gérin." Pour le moment, l'intéressé n'a pas répondu aux différentes sollicitations.