vie politique du Hainaut - Page 22
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On vous dit tout!
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ENCORE UN, et pas des moindres !
Aymeric Chauprade: «Pourquoi je quitte le Front national»
Rédigé le Mardi 10 Novembre 2015 à 09:15 | 0 commentaire(s)Et un de plus... Le député européen, ancien conseiller international de la présidente du FN, rompt avec Marine Le Pen en dénonçant l'influence de Florian Philippot. Il plaide le retour de Philippe de Villiers dans un parti recomposé à droite.
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Je me lance
Pourquoi quittez-vous le Front national?
C'est une décision aussi forte que mûrie. Au moment où le parti est en pleine ascension, où de nombreux opportunistes y cherchent des places, les Français sont en droit de se demander pourquoi j'en sors. Je le quitte à cause de deux trahisons essentielles dont Marine Le Pen s'est rendue coupable. La première est d'avoir dessaisi de toutes ses responsabilités, en janvier dernier, l'un de ses principaux collaborateurs. J'ai été son conseiller international, son chef de délégation et le président de la fondation du parti politique européen au Parlement européen. J'ai été dessaisi sous un faux prétexte: une vidéo dans laquelle je traitais du défi islamique, et dont le contenu a été repris, comble de l'ironie, par l'aile droite de Républicains, par Nadine Morano et Christian Estrosi. Mais il y a une deuxième trahison, beaucoup plus grave, qui ne me concerne pas.
Laquelle?
Quels que soient les torts et les excès du fondateur du Front national, peut-on pousser comme cela, dans l'escalier, un homme de 87 ans auquel on doit tout? Et qui disait déjà exactement la même chose quand Marine Le Pen en avait encore besoin! Comment ne pas penser que ceux qui trahissent à la fois leurs proches et ceux auxquels ils doivent tout, ne trahiront pas un jour le peuple lui-même? Sous la pression de Florian Philippot, Marine a décidé de se débarrasser de Jean-Marie Le Pen. C'est une faute morale grave car on ne peut pas prétendre incarner le parti des valeurs et des fondamentaux quand on brise soi-même un certain nombre de lois. Ce n'est pas une loi politique, c'est presque une loi de civilisation. Il y avait d'autres solutions pour Jean-Marie Le Pen. Considérez-vous, comme Jean-Marie Le Pen, que Marine Le Pen est sous influence?
Elle s'est laissé piéger dans un chantage avec Philippot. Il lui a expliqué, dès le début, qu'il était la dédiabolisation en personne. Et celle logique dans laquelle elle s'est laissé enfermer est devenue un chantage quasi-quotidien. Elle a finalement accepté de perdre sa liberté et de fonctionner dans ce pouvoir bicéphale. Evidemment, cela nous amène à des divergences idéologiques.
Quand Marine Le Pen explique que le FN ne renonce pas au libéralisme mais que le contexte économique et social du pays aujourd'hui, ne permet pas certaines options qu'elle juge dangereuses, rejetez-vous l'argument?
Je le crois faux parce qu'en réalité, elle récolte les voix des gens désespérés. Son projet n'est pas fondé sur les forces vives de l'économie. Pour redresser le pays, il va falloir s'interroger sur le fait que près de 60% de notre économie c'est de la dépense publique, que l'Etat providence est en crise et qu'il est temps de créer de la croissance et de l'emploi en adaptant notre pays à tous les défis auxquels nous sommes confrontés, du droit du travail aux retraites en passant par la révolution digitale où la France et l'Europe ne comptent que pour 10% de l'industrie mondiale des technologies de l'information. La prise de distance de Marine Le Pen avec l'affaire «Air Cocaïne» dans laquelle vous avez activement participé à l'exfiltration de deux pilotes français, a-t-elle pesé dans votre décision?
Bien sûr, cette affaire est un élément déclencheur. Pour Florian Philippot et Marine Le Pen, le risque d'image est plus important que l'engagement pour des valeurs comme la solidarité vis-à-vis de compatriotes confrontés à un vrai déni de justice. Il est plus important que l'engagement par les actes qui va au-delà des mots. Dieu sait pourtant si dans notre société, on reproche souvent aux politiques de n'être que dans les mots. Moi, je suis allé plus loin et j'en suis fier. Appelez-vous Philippe de Villiers à reprendre le leadership d'un mouvement?
Il n'est un secret pour personne que je souhaite profondément le retour sur la scène politique de Philippe de Villiers, qui est un ami et un père politique. Je souhaite vivement qu'il revienne d'ici la présidentielle de 2017. J'ai lu son livre. Ce qu'il dit apporte beaucoup, il y a une verticalité dans son projet, une vraie vision. D'autres personnalités comme celles de Nicolas Dupont-Aignan, Henri Guaino, Robert Ménard ou Nadine Morano doivent participer à la recomposition à droite. L'avenir se reconstruira avec des gens qui ne lâchent rien, qui ont des convictions fortes, qui agissent.
Cette «grande droite» aura-t-elle le temps de se construire d'ici 2017?
Oui, parce que les contradictions et la stérilité du programme de Florian Philippot seront de plus en plus évidents même si le désespoir des Français est grand. La montée du FN correspond à une France qui n'en peut plus des bilans catastrophiques du PS et des Républicains, de la crise migratoire et de l'effondrement industriel de la France. Au FN, il y a une sorte de déni de la mondialisation. Il ne sert à rien de nier un fait. Il faut adapter la France en défendant ses valeurs face à deux défis: les partisans de l'Argent-roi qui réduisent la personne à un individu-consommateur, détruisent les familles et les identités, et les partisans, de plus en plus nombreux, de la loi islamique, à la place de la loi de la République. Ces derniers ont avec eux la loi de la démographie et l'angélisme de nombreux européens.
source : lefigaro.fr -
Nouvelle contribution
mercredi, 04 novembre 2015
Migrants : quand l’émotion soumet la raison
Bruno Mégret Le Chêne, n°81, octobre 2015
La campagne menée actuellement dans les médias sur l’affaire des migrants est de même nature que celle orchestrée au début de l’année lors des attentats de Charlie Hebdo. Il s’agit dans un cas comme dans l’autre d’une formidable opération de manipulation des masses par la caste idéologique dominante.
La manipulation des masses
Ce que nous vivons depuis la parution de la terrible photo du jeune Aylan mort sur une plage turque procède en effet d’une opération de propagande montée de toutes pièces selon les méthodes classiques du genre. La photo du petit garçon en a été l’élément à la fois structurant et déclencheur. L’idée est en effet de focaliser l’actualité sur un événement concret qui soit de nature à soulever une forte émotion. Or, que peut-il y avoir de plus émouvant que la mort d’un enfant ? Si de surcroît on dispose d’une image du drame, l’émotion n’en sera que décuplée et l’effet amplifié.
La deuxième phase consiste à exploiter cette émotion pour lui donner un sens politiquement correct et l’orienter idéologiquement en fonction de l’objectif recherché. « Cet enfant est mort parce que les Européens refusent d’accueillir les migrants. Ce sont donc eux qui sont responsables de cette mort tragique. Pour se racheter et éviter de nouveaux drames, ils doivent ouvrir grandes les portes de leurs pays ».
Troisième phase destinée à emporter l’adhésion de la population française malgré tout fortement réticente : faire croire que cet événement a provoqué une vague sans précédent d’initiatives en faveur de l’accueil des migrants. Et les médias de multiplier les reportages montrant des communes, des associations, voire des personnes privées libérant des logements et accueillant les réfugiés. Que ces initiatives soient marginales, anciennes, ou purement théoriques importe peu, c’est l’effet de masse ainsi que la répétition du message qui doivent produire l’effet recherché. Et, une fois de plus, intellectuels, artistes, élus et tous les « people » sont mis à contribution sous forme de pétitions, d’interviews ou de déclarations.
Quant au président de la République, bafouant une fois de plus l’opinion majoritaire des Français, il annonce que notre pays accueillera vingt-quatre mille migrants. Une déclaration mensongère, car si le chiffre est délibérément présenté comme très faible, il n’a en réalité aucun sens puisque qu’en l’absence de contrôle aux frontières, notre pays accueillera, qu’il le veuille ou non, tous ceux qui se présenteront et qui se compteront par centaines plutôt qu’en dizaines de milliers.
Les Européens ne sont pas coupables
Alors, bien sûr, il n’y a rien de pire que la mort d’un enfant innocent et l’on ne peut qu’éprouver tristesse et compassion face à un tel drame. Mais en l’occurrence, ce ne sont pas les peuples européens qu’il faut accuser. Le responsable de cette mort tragique, c’est d’abord le père qui en toute inconscience a fait monter son fils dans une embarcation de fortune sur une mer incertaine et cela dans le but, aurait-t-il déclaré, « de se faire refaire les dents en Europe ». Quant aux autorités, si certaines doivent également être mises en cause, ce sont les autorités turques qui n’assurent aucune surveillance policière le long de leurs côtes et aucun contrôle des migrants qui s’y présentent.
Mais, pour la classe politico-médiatique, peu importe ces réalités. Il ne s’agit pas en effet pour elle de raisonner sur des faits mais de susciter des émotions avec pour seul objectif de faire accepter par les peuples européens des vagues supplémentaires d’immigration. La nouvelle dénomination de migrants, voire de réfugiés, ne change en effet rien à cette réalité. Il s’agit de provoquer un nouvel afflux migratoire sur notre sol et de le faire accepter par le peuple français non plus comme une fatalité qu’on ne peut éviter mais comme une obligation morale qu’il faudrait encourager, organiser et faciliter.
De nouvelles menaces pour les Européens
A travers cette nouvelle campagne de propagande, on cherche donc à nous imposer une augmentation massive de l’immigration et, plus grave encore, de l’immigration musulmane. En dehors d’une minorité de chrétiens effectivement persécutés pour leur religion et qui méritent notre solidarité, la grande masse des populations qui déferle sur le sol européen est en effet musulmane dont près de la moitié d’ailleurs ne vient pas des pays en guerre. Or, tout le monde le sait, la présence massive des immigrés sur notre sol pose des problèmes qu’aucun gouvernement n’a pu résoudre. Pis, la montée d’un islam incompatible avec notre civilisation est en train de faire voler en éclats la communauté nationale. La sagesse la plus élémentaire devrait donc pousser nos dirigeants à stopper l’arrivée de nouveaux immigrés et surtout de ceux qui se réclament de l’islam. Aussi est-il consternant de voir les autorités médiatiques et politiques de notre pays comme de nos voisins faire exactement le contraire et annoncer au monde que la France et l’Europe sont ouvertes à qui veut venir, créant ainsi un appel d’air qui va être entendu par des millions d’Arabes et d’Africains.
L’autre solution
On ne peut certes rester insensible au malheur des populations qui subissent la guerre et il est vrai que la France comme l’Europe devrait s’efforcer de leur venir en aide. Mais encore faut-il le faire sans sacrifier l’identité, la sécurité, la cohésion et la paix intérieure de notre nation. Aussi faut-il avancer d’autres solutions. Il faut tout d’abord s’efforcer de mettre fin aux conflits qui déchirent l’Irak et la Syrie en s’attaquant avec efficacité à l’État islamique. Et pour cela soutenir tous ceux qui le combattent, à commencer par Bachar el-Assad et son armée. (Et ne pas se contenter d’envoyer des avions de reconnaissance comme l’a annoncé récemment M. Hollande). Il faut ensuite fournir un soutien humanitaire aux réfugiés, en apportant une aide substantielle au fonctionnement des camps implantés dans les États musulmans voisins des pays en guerre ainsi que dans des secteurs sécurisés à créer au sein même de ces pays. Enfin, il faut fermer les frontières et faire patrouiller nos navires au large des pays d’embarquement afin d’organiser le retour vers les côtes des bateaux qui en partent. Quant au migrants qui parviendraient à gagner malgré tout les côtes européennes, ils devraient certes être recueillis, soignés et nourris, mais devraient dans le délai d’une semaine être rembarqués sur un bateau qui les reconduirait près de leur lieu d’origine. Enfin, une aide devrait être apportée à la Grèce et à la Bulgarie pour établir à leur frontière orientale un barrage physique infranchissable. Bref, il s’agit de convaincre les candidats à l’émigration qu’ils ne pourront mener leur projet à bien et qu’ils seront dans tous les cas renvoyés là d’où ils viennent.
Quant à nos gouvernements, il est temps qu’ils se libèrent du chantage compassionnel permanent et qu’ils se rappellent enfin que la politique, la vraie, doit être régie non par les émotions mais par la raison avec comme objectif non pas le bien universel mais celui du peuple dont on a la charge.
Source cliquez ici
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Les défections continuent
Je me suis procuré le texte envoyé à la presse locale par Francis BOUDRENGHIEN, conseiller municipal à ANZIN.
Ce dernier met en lumière les agissements d'un "chef" jaloux de ses prérogatives.
A lire et publier sans restrictions, édifiant !
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Avec CANNIE, c'est : circulez, il n'a rien à voir !
Colère des élus FN du Valenciennois, écartés des Régionales par M. Le Pen
Publié le 03/11/2015
Ni Jean-Luc François Laurent ni Francis Boudreghien. Les deux élus frontistes du Valenciennois, absents de la liste pour les élections régionales, crient au despotisme. En ligne de mire, Guy Cannie, le patron du FN pour le Hainaut, qui ne s’en laisse pas compter. Règlement de comptes.
« On est très remontés, à Anzin, Valenciennes et Douai. On s’insurge. Ça va exploser ! » Mais de quel révolutionnaire ces propos viennent-ils ? De Jean-Luc François Laurent, élu FN à Valenciennes. Comme Francis Boudrenghien, élus à Anzin, il ne figure pas sur la liste de Front nationale aux élections régionales de décembre. « Je suis zappé, nous a dit mardi Jean-Luc François Laurent. Mme Valérie Codron, ma colistière, n’est pas en position éligible. Il n’y a personne d’Anzin non plus. Le Valenciennois est ignoré. On n’a pas tenu compte de notre territoire. »
« Il dit des bêtises, des mensonges ! répond Guy Cannie, le patron du FN pour le Hainaut. Il y a une quinzaine de candidats du Hainaut dans la liste ! Jean-Luc François Laurent n’y est pas, c’est vrai, parce que je m’y suis opposé. » Pour des raisons internes au fonctionnement du Front national, nous a expliqué Guy Cannie.
Une quinzaine de candidats ? « Ce ne sont pas des élus !, s’insurge Jean-Luc François Laurent. Je parle d’élus, pas de copains. Nous, on s’est battus, à toutes les élections, municipales, législatives et départementales. Ils ont placé leurs copains, des gens du Pas-de-Calais et de Lille. Il y a pourtant 390000habitants dans l’arrondissement. On est méprisés, je trouve cela déplorable. Mais le feuilleton ne fait que commencer. »
L’Anzinois Francis Boudrenghien n’est « pas content de Guy Cannie. Il ne s’occupe pas du Hainaut ! Il n’est jamais là ! »
« Il m’en a toujours voulu, réplique Guy Cannie. C’est un ami de Dominique Slabolepszy (l’ancien patron du FN dans le Valenciennois), il n’a jamais accepté qu’un Lillois s’occupe du Hainaut. »
Revenons au Hainaut, pour finir. À Marine Le Pen, lors de sa venue à Raismes, le 16 octobre, l’un de nos journalistes avait posé la question de l’absence de propositions pour le Valenciennois, un bassin de population qui a des problèmes spécifiques. « Quand je serai présidente de région, nous avait-elle répondu, ce sera à mes élus du Valenciennois d’avoir des propositions. » Des élus d’avant ou d’après les régionales ?
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Comme dit la pub ! Et c'est pas fini !
RÉGIONALES : CONTRE LE CHOIX GONDRAN, A. DELÉGLISE QUITTE LE FRONT NATIONAL
Rédigé le Mardi 3 Novembre 2015 à 08:47 | 0 commentaire(s)Comme nous l’indiquions dans la Gazette du 30 octobre 2015, le choix de Louis Aliot de confier la tête de liste ariégeoise Front national à l’ancien maire de St-Girons Bernard Gondran n’a pas été du goût de tout le monde, au sein même du FN. D’anciens candidats frontistes aux élections locales ont critiqué anonymement ce qu’ils considèrent être "une erreur stratégique". Aujourd’hui, c’est le conseiller municipal et conseiller communautaire de Pamiers Aimé Deléglise qui annonce sa démission du FN. Il s’en explique par le communiqué reproduit in extenso ci-dessous.
Après mures réflexions je retourne ce jour aux instances nationales ma carte de membre du Front National auquel j’avais re-adhéré en 2002.
Suite à l’investiture par la direction du Front National de Bernard Gondran, (choix non justifiable), celui-ci n’a qu’une ambition, celle de profiter de la vague bleu marine pour être élu, j’estime qu’il n’a aucune légitimité pour porter les couleurs du Front National dans notre département comme tête de liste de l’Ariège pour les prochaines élections régionales 2015 « puisqu’il n’est pas membre de ce parti ». Il ne connaît ni notre fédération ni ses membres car étant ex-membre de L’UMP il est très loin de nos idées.
Je ne me reconnais donc plus dans ce parti qui est devenu « le Front des opportunistes » ceci prouve par cette investiture le total mépris du Front National à l’égard de ses hommes de terrain, de qualité et de valeurs qui travaillent depuis des années sans relâche bénévolement et avec tous les risques que cela engage (que ce soit sur le plan physique, social ou professionnel).
Voici La liste contre nature et néfaste pour l’Ariège présentée par Louis Aliot. Un Gondran épineux et envieux avec aucune affinité avec le FN qui veut surfer sur la vague du parti pour être élu, accompagné d’ une horde de loups fraichement arrivés aux dents acérées en diamant, prêts à dévorer tout ce qui se dresse devant eux par ambition personnelle et aveuglés par le pouvoir éventuel de domination.
Par définition une liste bien loin de répondre aux attentes des Ariégeois qui croient en des personnes sincères et proches de leurs attentes. Une telle liste non crédible ne peux proposer un projet concret adapté à notre Ariège chérie pour son développement au sein de cette nouvelle grande région, ce sera un projet national comme toujours sans aucun intérêt pour l’Ariège. Seule ambition de cette liste, être élu avec des promesses électorales qui ne seront pas tenues !!
J’ai une trop haute idée de la politique au service de la France et de notre département pour accepter d’être utilisé comme prétexte à une telle opération. J’espère que les électeurs ne tomberont pas dans le piège de cette supercherie et vont bien réfléchir avant de mettre un bulletin dans l’urne, les élus de cette liste risquent de plonger l’Ariège dans un mauvais pas pour longtemps. Il est évident que je ne démissionnerais pas de mes mandats car j’ai été élu par les appaméens et appaméennes sur les idées fondamentales du FN et non sur celles d’aujourd’hui, je veux rester fidèle aux électeurs qui mon fait et me font confiance. « Être un élu FN sur le banc de touche, va bientôt devenir une marque déposée »
Aimé DELEGLISE Conseiller Municipal & conseiller communautaire
Source : http://www.gazette-ariegeoise.fr/7400-Regionales-contre-l...
via pdf31 -
Encore merci, René
lundi 2 novembre 2015
.ON MARCHE SUR LA TETE !
JEAN DE LA FONTAINE DISAIS : SELON QUE VOUS SOYEZ PUISSANT OU
MISERABLE....................................
JE LE PARAPHRASERAIS EN DISANT : SELON QUE VOUS SOYEZ DE DROITE OU
DE GAUCHE...................................
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Henri Guaino condamné à 2000€ pour outrage
COMPARAISON - Cela vous a peut-être échappé, tout occupés que vous étiez à observer l'incroyable "acte révolutionnaire" de Marine Le Pen qui, n'écoutant que son courage, a décidé de ne pas répondre à une invitation, mais, ce jeudi 22 octobre, il s'est passé bien d'autres choses. Henri Guaino, par exemple, a été condamné à 2.000 euros d'amende pour avoir outragé le juge Jean-Michel Gentil. Une sanction que le député Les Républicains des Yvelines a un peu de mal à encaisser.Invité d'iTÉLÉ , l'ancienne plume de Nicolas Sarkozy dénonce "le corporatisme et la pression syndicale" du système judiciaire.
Et s'indigne que l'on ne puisse pas critiquer un juge alors qu'on peut insulter des élus.
Il dit : Il y a quelque chose qui ne va pas. Un humoriste traite un député de 'salope'. Il est relaxé. Un député critique – violemment peut-être - mais critique - je ne l'insulte pas - un juge qui a fait son travail à ses yeux de façon scandaleuse et il est condamné. Où allons-nous ?
Henri Guaino fait ici référence à Guy Bedos, relaxé mi-septembre après avoir traité Nadine Morano de "conne" et de "salope", entre autres. L'eurodéputée a fait appel de cette décision.Henri Guaino ne sait pas forcément où l'on va. En revanche, il ne s'interdit pas, malgré sa condamnation, de critiquer à nouveau le juge Gentil. Le député LR n'a apparemment pas peur du qu'en-dira-t-on ni des condamnations. "On peut me condamner une fois, dix fois, 20 fois, 100 fois, 1.000 fois. Personne ne me fera taire, ajoute-t-il.
C'est le rôle d'un représentant de la nation, disposant d'une parcelle certes infime de la souveraineté nationale, c'est son rôle de dénoncer tout dysfonctionnement dans les institutions, de dénoncer les agents publics quand ils outrepassent leurs pouvoirs, quand ils abusent de leurs pouvoirs et là j'estime que le juge Gentil a abusé de son pouvoir."
Et l'élu d'estimer que la justice ne fonctionne décidément pas vu que, d'après lui, "les voyous sont dehors" et lui est condamné :Moi je peux me défendre mais les pauvres gens qui ne peuvent pas se défendre, eux, on les embastille, on les traîne dans la boue.
En mars 2013, Henri Guaino a plusieurs fois critiqué l'attitude du juge Gentil qui avait décidé de mettre en examen Nicolas Sarkozy pour "abus de faiblesse" dans le cadre de l’affaire Bettencourt. À l'époque, l'élu LR a dénoncé une décision "indigne" qui "salit l’image de la France" et "déshonore la justice".
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.Injures envers Nadine Morano : Guy Bedos relaxé à NancyL'humoriste était poursuivi pour avoir insulté Nadine Morano lors d'un spectacle à Toul en 2013L'humoriste Guy Bedos,( ????? ) poursuivi pour avoir notamment traité Nadine Morano de "conne", a été relaxé par le tribunal correctionnel de Nancy. Le tribunal a estimé qu'il était resté dans "la loi du genre" en tant qu'humoriste, et qu'il n'avait "pas dépassé ses outrances habituelles" lorsqu'il avait copieusement insulté l'élue lors d'un spectacle à Toul, en Meurthe-et-Moselle, en 2013.Rencontre Morano-Bedos à l'audience. "Nadine Morano a été élue ici à Toul ? Vous l'avez échappé belle ! On m'avait promis qu'elle serait là... Quelle conne !" avait notamment lancé l'artiste sur scène, entre autres injures à l'intention de l'élue. A l'audience, le 7 septembre, le procureur Pierre Kahn avait estimé que "la limite (avait) été franchie" lors de ce spectacle.Ces poursuites pour "injure publique" étaient passibles d'une amende maximale de 12.000 euros. Guy Bedos et Nadine Morano s'étaient croisés au tribunal, mais cette dernière avait refusé de serrer la main que lui tendait l'humoriste, en arguant qu'ils n'étaient "pas au théâtre". Guy Bedos avait récusé toute misogynie, tandis que l'élue l'accusait de lui vouer une "animosité personnelle".Une insulte renouvelée sur un plateau. Dans l'émission "On n'est pas couché" sur France 2, Guy Bedos avait renouvelé ses injures contre l'eurodéputée. Celle-ci lui réclamait 15.000 euros de dommages et intérêts, qu'elle souhaitait verser à des associations de lutte contre les violences faites aux femmes."Pas un mot, ni pour ni contre Nadine Morano. Elle est trop chère. J'aurai le jugement lundi, d'ici là, je me tais", avait dans un premier temps répondu Guy Bedos à Laurent Ruquier, avant de s'emporter une nouvelle fois. "15.000 euros quand même ! 15.000 euros ! ça ne va pas non ? Conne !" avait-il dit, en suscitant des rires dans le public.
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Nos traditions
Bonne fête de Toussaint
Rédigé le Dimanche 1 Novembre 2015 à 11:01 | 0 commentaire(s)Comme son nom l’indique, la Toussaint est la fête de tous les saints. Chaque 1er novembre, l’Église honore ainsi la foule innombrable de ceux et celles qui ont été de vivants et lumineux témoins du Christ.
Si un certain nombre d’entre eux ont été officiellement reconnus, à l’issue d’une procédure dite de « canonisation », et nous sont donnés en modèles, l’Eglise sait bien que beaucoup d’autres ont également vécu dans la fidélité à l’Evangile et au service de tous. C’est bien pourquoi, en ce jour de la Toussaint, les chrétiens célèbrent tous les saints, connus ou inconnus. -
Pas d'union de la droite, ça devient un fantasme
Un français dans la guerre du Donbass - Meta TV 1/3 | Page d'accueil | Nice: un imam porte plainte contre Marion Maréchal-Le Pen »
31/10/2015
Pas de soutien du CNIP aux listes LR-UDI-Modem
Communiqué de Bruno North, secrétaire Général du CNIP pour les élections régionales :
« Malgré la main tendue aux Républicains par le CNIP, ces derniers ont préféré privilégier la présence de candidats du Modem - dont on sait la responsabilité dans la défaite du candidat de la droite en 2012 - et de l'UDI dans des proportions sans rapport avec la réalité de leur poids politique.
Le CNIP a donc été purement et simplement écarté par Nicolas Sarkozy des listes présentées par le conglomérat LR-UDI-Modem, préférant renforcer le Centre au détriment des valeurs qui tiennent à cœur au CNIP.
En conséquence, le Bureau Politique du CNIP réuni à l'Assemblée Nationale le 27 octobre 2015 a décidé de ne pas apporter son soutien à ces listes et de ne donner aucune consigne de vote à ses adhérents et sympathisants pour les élections régionales des 6 et 13 décembre prochains, leur laissant ainsi une liberté totale de se déterminer envers ceux qui seront le plus proche de leur sensibilité et de leurs préoccupations quotidiennes".
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La reconquête nationale
CARL LANG BIENTÔT DANS LE LIMOUSIN
Rédigé le Jeudi 22 Octobre 2015 à 08:29 | 0 commentaire(s)Le Président du Parti de la France, Carl Lang se déplacera en Limousin le 22 novembre, à Limoges pour un déjeuner-débat au cours duquel M. Lang prendra la parole ainsi que plusieurs militants locaux.
Face à la véritable déferlante migratoire qui s’abat actuellement sur nos côtes, face au « Grand Remplacement » qui menace aujourd’hui tous les peuples européens, face à l’implosion civilisationnelle à la quelle nous sommes confrontés, face aux reniements de valeurs fondamentales telles que la famille, véritablement assiégée et déstabilisée par la parodie imposée aux Français que constitue « le mariage » homosexuel, face à la complicité et aux trahisons de nos dirigeants tous plus assujettis les uns que les autres aux dogmes mondialistes et à L’Europe Bruxelloise, il est grand temps qu’une voix de Droite Nationale, Patriote et Populaire se fasse enfin entendre sur la scène politique française.
Les socialistes au pouvoir, toujours plus âpres dans leur haine de la France, toujours plus déterminés à souiller notre glorieux passé et notre incroyable patrimoine, toujours plus acharnés à détruire le peu de choses qui a échappé aux griffes de leurs prédécesseurs, mènent aujourd’hui une politique qui conduit notre pays au chaos.
Même le Front National actuel renie ses combats et valeurs d’antan.L’influence gauchisante et grandissante de Philippot se fait de plus en plus ressentir, et ce dans des domaines aussi bien économiques (les 35 h, départ à la retraite à 60 ans), sociétaux (mariage pour tous) qu’identitaires (accommodation à l’islam, déni du Grand Remplacement, le fameux « fantasme racialiste »).La parole d’un parti authentique de Droite Nationale est une absolue nécessité. Pas de compromissions ! Pas de langue de bois ! Pas de complaisance envers le système !Défendons la France française ! La France chrétienne ! La France éternelle !N’hésitez pas à venir nous rencontrer en ce 22 novembre, autour d’un repas du terroir.NB : La participation pour ce repas est de 20 Euros par personne ( compris dedans : apéritif, entrée, plat, dessert, vin et café) pour les adultes, et de 10 Euros pour les enfants de moins de 12 ans.Pour des raisons évidentes, l’adresse exacte du lieu sera donnée au dernier moment.Les réservations sont obligatoires.Merci de contacter le 06 - 46 - 82 - 15 - 57.N’hésitez pas à en parler à vos contacts susceptibles d’être intéressés.
Le PDF, section du Limousin. " -
C'est mieux en le disant, en le redisant.
Entre les reniements politiques et personnels, l’allégeance idéologique à la pensée unique, la démagogie grossière et les mises en examen de ses proches, on peut dire que le parti de Madame Le Pen est vraiment devenu un parti comme les autres. Elle est entrée de pleins pieds dans le système UMPSFN, le système de la bande des trois.
Lorsque j’ai fondé avec de nombreux anciens cadres du Front National le Parti de la France, j’avais indiqué publiquement que je n’avais aucune confiance ni politique ni personnelle en Marine Le Pen. Les faits ne cessent de nous donner raison.
Voilà pourquoi il est plus que jamais nécessaire d’œuvrer à la refondation de la droite nationale et c’est la vocation du Parti de la France. Notre porte est ouverte à tous les nationaux qui veulent défendre nos valeurs européennes et chrétiennes de civilisation, notre identité nationale, le droit du peuple français à rester lui-même et à disposer de lui-même, notre programme de droite économique et notre projet de patriotisme social.
Il est temps que tous ceux qui veulent mener la bataille politique, culturelle et historique de résistance nous rejoignent. Ne soyons pas les spectateurs de la débâcle française.
Nous pourrons ainsi défendre ensemble notre idéal, nos valeurs, nos convictions, nos familles, notre France et notre Europe.
C’est notre devoir et ce sera notre fierté.
Carl Lang
Président du Parti de la France -
Merci René
samedi 31 octobre 2015
REGARDEZ BIEN. JUSQU' A LA DERNIERE IMAGE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Il arrive qu'ils ne fassent pas assez attention et qu'une information délicate passe tout de même.
Vite vite !! ils rectifient le tir, mais on peut compter sur nous pour la rediffuser.
. Voyez plutôt .
Le ban et l’arrière-ban des Tartuffes patentés de la politique s’est déplacé à Sarre-Union pour dénoncer, A JUSTE TITRE, la profanation d’un cimetière juif.
MAIS !!!"
Bizarrement", personne n’est venu se recueillir à Tracy-sur-mer où un cimetière chrétien a, lui-aussi, fait l’objet de
PROFANATIONS
Profanation du cimetière de Tracy-sur-mer dans le Calvados.Vous êtes priés de ne vous indigner des profanations de cimetières que lorsqu’ils sont juifs ou musulmans !Je crois connaitre la raison qui fait que les politiques et la presse ne s’intéressent pas aux profanations des cimetières catholiques.C’est parce qu’elles sont trop nombreuses !Soyons honnêtesBFMTV a publié à 8H18, un tableau recensant le nombre des profanations recensées en France en 2014 :.On y voit qu’il y a eu 34 fois plus de cimetières chrétiens profanés que de cimetières juifs
(51 fois plus que de cimetières musulmans).
La profanation de cimetières chrétiens est donc devenue banale et ordinaire.
Donc Inutile d’en parler …Le standard de BFMTV a dû être pris d’assaut par les bien-pensants de tout bord, scandalisés par la publication d’un tel tableau avec deux griefs principaux :- On ne doit pas parler de cimetières « chrétiens » dans un pays laïc.- Il n’y a que des cimetières municipaux !
Quelques heures plus tard, à 13h09 pour être précis, BFMTV revenait dans un politiquement correct qu’elle n’aurait jamais dû quitter :
Remarquez que "chrétiens" est devenu "municipaux".
Quand on vous dit qu'ils nous prennent pour des cons ..
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Libre de l'ouvrir
L’affaire des miettes de pain.
Le coup de gueule du jour.
C'est le site du "Télégramme" qui dévoile l'affaire : l'Elysée a engagé des poursuites pour "offense au chef de l'Etat" contre une association de retraités picards qui avaient envoyé des miettes de pain à l'Elysée.
Le président de l'association, convoqué la semaine dernière, n'en croit pas ses yeux.
"L’idée des miettes c'est pour dire que lorsque le gâteau est partagé, il ne reste que les miettes pour les retraités." L'Elysée n'a pas apprécié raconte France Picardie.
Henri Carton, le président de l'association, est désormais visé par une plainte pour offense au chef de l'Etat et le parquet de Paris a ouvert une enquête.
"Je ne vois pas où est l'outrage" relève le retraité qui se félicite plutôt de cette plainte inattendue "elle aura au moins le mérite de faire parler de nous". Et dire que les médias ne cessent de nous expliquer que François Hollande a beaucoup d'humour !!!
Brûler le drapeau de la France, insulter la France par des chansons, siffler la Marseillaise, brûler des édifices publics ça doit être permis puisque personne n'est poursuivi.
La différence avec l'envoi des miettes de pain c'est que les retraités ont travaillé toute leur vie pour la France et qu'ils doivent se contenter des miettes contrairement à d'autres qui se gavent d'allocations en tous genres !
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Cest MORANO qui le dit !
"Je ne ferai jamais alliance avec quelqu'un qui veut revenir au franc et ruiner la France", promet-elle, estimant que le "programme de Marine Le Pen est un programme d'extrême-gauche". De quoi expliquer pourquoi elle a refusé de rencontrer Robert Ménard, un proche du FN ?
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De quoi as t'elle peur ? Pourtant le ridicule ne tue pas !
Marine Le Pen refuse d’aller sur France 2 ce jeudi soir: l’émission annulée
Par pour La Voix du Nord, Publié le 22/10/2015
Une levée de boucliers des adversaires de Marine Le Pen aux élections régionales en Nord-Pas-de-Calais-Picardie, France 2 qui plie dans la nuit de mercredi à jeudi, Pierre de Saintignon et Xavier Bertrand qui devait finalement participer à l’émission, l’un sur place l’autre en duplex, d’autres candidats qui se manifestaient… : le contexte de la venue de la présidente du FN et candidate aux régionales, à Des Paroles et des Actes (DPDA) ce jeudi soir, était tendu. Elle a finalement fait savoir qu’elle refusait d’aller à une « mascarade » et l’émission a été annulée.
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Pas tous d'accord !
La France consacrerait 280 millions d'euros aux 33 000 réfugiés
Rédigé le Mercredi 21 Octobre 2015 à 14:18 | 0 commentaire(s)Le député LR Éric Ciotti, rapporteur du budget de l'asile, émet un "avis défavorable" sur les crédits alloués à l'accueil des réfugiés, sous-évalués, selon lui.
En pleine crise des migrants, la France consacrera en 2016 703 millions d'euros à sa politique de l'asile, auxquels le gouvernement Valls ajoutera 280 millions d'euros pour l'accueil des 33 000 réfugiés prévus par la négociation européenne. La loi de finances 2016 fera, en effet, l'objet d'un amendement gouvernemental en séance pour abonder l'enveloppe initiale.
En dépit de cet effort financier, le rapporteur budgétaire, le député Les Républicains Éric Ciotti, juge les moyens notoirement insuffisants et émet un « avis défavorable ». Selon ses calculs, fondés sur le coût réel du demandeur d'asile fourni par la Cour des comptes, l'enveloppe finale approchera « plus volontiers les 330 à 450 millions d'euros » pour couvrir l'arrivée des nouveaux réfugiés venus d'Allemagne. François Hollande a mis en garde lundi, sur RTL, contre « les manipulations » et ceux qui voudraient faire croire que la France serait dans une situation comparable à l'Allemagne, qui a d'ores et déjà accueilli 500 000 migrants sur son territoire.L'asile, première filière de l'immigration clandestine
Le contexte dramatique, lié à la crise syrienne, n'a pas, selon Éric Ciotti, été pris en compte dans les prévisions gouvernementales. « Depuis le début de l'année, 615 000 personnes ont tenté de rejoindre le continent européen, rappelle-t-il. En 2015, plus de 3 100 y ont perdu la vie, transformant la Méditerranée en un véritable cimetière marin. » Pour Ciotti, le système français de l'asile est devenu la première filière d'entrée des clandestins puisque les demandeurs d'asile qui n'obtiennent pas gain de cause disparaissent aussitôt et ne sont que très rarement reconduits à la frontière (1 % seulement, selon la Cour des comptes, 6 %, selon le gouvernement)
« Le système français est au bord de l'embolie, relève ainsi le rapporteur. Il a connu une hausse exponentielle des demandes qui n'ont été stabilisées qu'au cours du dernier exercice. Il périclite du fait de la durée d'examen des demandes – près de deux ans –, du stock des dossiers en attente – plus de 27 000 au 30 juin 2015 – et de son coût galopant, chiffré à 2 milliards d'euros par la Cour des comptes, et pour moitié imputable au maintien sur le territoire, au mépris de nos lois, d'étrangers définitivement déboutés. » En effet, les magistrats de la Rue Cambon intègrent à leurs calculs les charges de droit commun, comme la scolarisation des enfants, sans compter les déboutés qui sortent de la grille budgétaire officielle et qui coûteraient 1 milliard d'euros supplémentaires.En 2016, 8,49 euros par jour et par demandeur d'asile
Dans son rapport, le député des Alpes-Maritimes rappelle que le gouvernement a régulièrement sous-évalué les crédits pour répondre à la demande d'hébergement des demandeurs d'asile. En 2014, 19 000 places supplémentaires avaient été créées. Et cependant, le gouvernement avait quand même dû débourser 39,6 millions d'euros complémentaires au titre de l'hébergement d'urgence dans certaines régions particulièrement sous tension comme le Nord-Pas-de-Calais, la Basse-Normandie, la Lorraine, Rhône-Alpes et l'Ile-de-France.
L'allocation pour demandeur d'asile (ADA) est fixée à 8,49 euros par jour et par personne en 2016. L'ADA se substitue à deux dispositifs, l'ATA (allocation temporaire d'attente) et l'AMS (allocation mensuelle de subsistance). Ciotti se félicite de la disparition de l'ATA, qui était indûment versée une fois sur cinq, selon un rapport commun de plusieurs inspections générales... Toutefois, le rapporteur ne partage pas les hypothèses du gouvernement quant au nombre de bénéficiaires de l'ADA : 44 800 personnes estimées en 2016, soit un chiffre de demandeurs d'asile constant par rapport à 2014 et 2015. Ce qui paraît assez irréaliste dans le contexte international du moment...
La loi du 29 juillet 2015 réformant le droit d'asile a fixé un nouveau mode d'examen raccourcissant à neuf mois en moyenne les délais, contre deux ans auparavant.
le point.fr -
Très bien : s'il le dit !!!!!
Djihad en France : "on pourrait basculer dans un phénomène de masse" affirme un rapport commandé par Manuel Valls
Rédigé le Vendredi 3 Juillet 2015 à 09:02 | 0 commentaire(s)Le député PS Malek Boutih était chargé, après les attentats de Charlie Hebdo, d'une étude sur le phénomène de l'islam radical en France. Ses conclusions font froid dans le dos.
Manuel Valls ne s'attendait probablement pas à des réponses heureuses en commandant un rapport sur la radicalité d'une partie de la jeunesse musulmane de France. Révélé par le Figaro, le texte du député PS Malek Boutih met les pieds dans le plat et n'élude pas le profond malaise qui touche aujourd'hui la société.En premier lieu, le rapport s'accorde sur le fait que le djihadisme entrepris par ces jeunes français doit avant tout être perçu comme un acte politique "entrant en résonance avec leurs préoccupations internationales et leur rejet de la société démocratique occidentale, plus qu'à une doctrine religieuse fondamentaliste."Pour expliquer ce rejet, il pointe du doigt plusieurs phénomènes : "La société est vécue comme totalement verrouillée, ce qui génère une grande frustration" pour cette "jeunesse frustrée, prête à basculer" affirme Malek Boutih. Le conflit israélo-palestinien renforce ce sentiment. "Dans les quartiers, le discours du “deux poids deux mesures”, entre des juifs qui seraient insérés et protégés et des musulmans au contraire stigmatisés et marginalisés socialement, a rencontré un large écho," insiste le député. "Les vieux préjugés sur les juifs qui seraient partout, tirant les ficelles du monde de la finance et des médias sont de retour. De façon remarquable, ils sont très largement répandus chez les jeunes aujourd'hui alors que cela aurait été inenvisageable il y a encore une vingtaine d'années."De plus, "le corpus de valeurs et l'ordre social très peu contraignant de nos sociétés démocratiques occidentales ne fournissent pas un cadre suffisamment englobant et sécurisant pour s'y ancrer et s'y attacher."Mouvement de révolte, le (...)lire la suite sur Atlantico -
TOURISME : DAESCH m'a tuer
Tunisie : pourquoi l’attentat est une catastrophe pour la France ?
26 juin 2015 par PierrotLa Tunisie est le premier pays fournisseur au monde de combattants jihadistes (non irakien ou non syrien) pour l’EI. Ils seraient officieusement plus de 11 000 à avoir choisi la Libye, la Syrie ou l’Irak pour exercer la hijra et s’engager aux côtés de Daesh. Sur une population d’approximativement 11 millions d’individus, 0.1% aurait fait le pas de s’engager physiquement dans la lutte armée. On peut aisément en conclure que l’instauration de la Charia dans ce pays n’est pas le rêve de quelques énergumènes isolés mais qu’une partie non négligeable de la population tunisienne (familles, imams etc..) soutient l’État Islamique.
Avec l’attentat du Bardo, Daesh avait clairement montré que son objectif était de détruire le secteur touristique dans le pays. Pour plusieurs raisons : tout d’abord à cause des touristes non musulmans (kouffars) et de leurs comportements/moeurs sur place mais également pour déstabiliser économiquement le pays. Avec 7% du PIB (officiellement) et plus de 450 000 emplois, le tourisme est un secteur clé de l’économie tunisienne. Rien de mieux pour l’EI de voir s’écrouler le tourisme. Affaiblissant ainsi le gouvernement et sa capacité de réaction, les combattants de l’EI pourraient ainsi rêver d’une implantation militaire dans le pays.
Cet attentat au début de la saison estivale vient d’achever le tourisme pour de longues années dans le pays.
Des centaines de milliers d’emplois seront détruits, le chômage et la paupérisation exploseront. Face au désespoir, certains tunisiens continueront de garnir les rangs de Daesh au Cham et en Libye et les autres se tourneront vers « les pays riches ». En effet, le risque d’un flux migratoire important de la Tunisie vers la France est à prévoir dans les prochains mois et les prochaines années. -
13 juin dans le Nord Pas de Calais
Le samedi 13 juin 2015, Carl LANG viendra à la rencontre des militants et sympathisants du NORD PAS de CALAIS.
Des courriers ont été envoyés aux adhérents du PARTI de la FRANCE, réponses souhaitées.
Information ou inscription, auprès des responsables régionaux.
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Corrèze emblématique
Marie-Thérèse Roche, nouvelle Chargée de mission du Parti de la France pour la Corrèze
Rédigé le Vendredi 29 Mai 2015 à 09:24 | 1 commentaire(s)Marie-Thérèse Roche (mariée, un enfant), 63 ans, consultante emploi/formation, est la nouvelle Chargée de mission du Parti de la France pour le département de la Corrèze.
Cette fervente catholique, membre de l'Institut Civitas, ne se retrouvait plus dans la ligne politique du néo-Front National dont elle était la secrétaire départementale adjointe.Marie-Thérèse Roche aura en charge d'animer les activités militantes du PdF en Corrèze. Pour la contacter : 06.81.99.87.58 ou mtroche19@orange.fr