Après l’appel d’Emma Prévost, soeur d’une victime, pour boycotter l’hommage de François...
Monsieur le Premier Ministre, J’ai attendu avec patience la fin des trois jours de deuil national pour vous...
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Après l’appel d’Emma Prévost, soeur d’une victime, pour boycotter l’hommage de François...
Monsieur le Premier Ministre, J’ai attendu avec patience la fin des trois jours de deuil national pour vous...
Jawad Bendaoud, le logeur des terroristes, faisait régner la terreur dans son quartier
La garde à vue de Jawad Bendaoud, l'homme qui a fourni l'appartement de la rue du Corbillon à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) aux terroristes du 13 novembre a été prolongée dimanche. Mercredi dernier, il avait déclaré juste avant son arrestation en direct sur BFMTV avoir simplement «rendu service» en mettant ce logement à disposition pour une durée de «trois jours».
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Succès du déjeuner avec Carl Lang à Limoges dimanche 22 novembre
La 4e rencontre gourmande limousine avec Carl Lang, Président du Parti de la France, en images
Sujet très controversé, l'histoire du Parti national socialiste des travailleurs allemands mérite qu'on s'y intéresse de plus près.
Remarquable machine révolutionnaire édifiée en très peu de temps par un groupe d’hommes déterminés parmi lesquels se distinguait un certain Adolf Hitler qui fera beaucoup parler de lui, le NSDAP profita indiscutablement du dramatique Traité de Versailles qui accablait l’Allemagne pour prendre le pouvoir en 1933.
S’en suivit une période faste au cours de laquelle les Allemands eurent le sentiment légitime d’avoir retrouvé leur dignité.
Mais très vite l’Europe sombra à nouveau dans une guerre effroyable dont elle ne s’est toujours pas vraiment remise. Le grand rêve national socialiste se terminait en tragédie
C'est le Dr Bernard Plouvier, auteur de nombreux livres et spécialiste reconnu de cette période étonnante et tragique que fut celle de l'Allemagne des années 30 et 40, qui a rédigé ce huitième volume des Cahiers d'Histoire du nationalisme.
Un document qui s'en tient aux faits et qui remet bien des choses à leur place.
Vous avez dit socialiste ! Bizarre ! Bizarre !
Rassemblement de râleurs, de laissés pour compte, il n'y a plus d'idéologie, il n'y a pas de solutions, que des incantations, et ça marche, ça va marcher !
Est-ce ça le nouveau populisme ? Ne faisons pas l'autruche comme l'a fait le peuple allemand en 1933.
Posons-nous les bonnes questions : y aurait-il des similitudes 80 ans après ?
Quand Marine Le Pen explique que le FN ne renonce pas au libéralisme mais que le contexte économique et social du pays aujourd'hui, ne permet pas certaines options qu'elle juge dangereuses, rejetez-vous l'argument?
Je le crois faux parce qu'en réalité, elle récolte les voix des gens désespérés. Son projet n'est pas fondé sur les forces vives de l'économie. Pour redresser le pays, il va falloir s'interroger sur le fait que près de 60% de notre économie c'est de la dépense publique, que l'Etat providence est en crise et qu'il est temps de créer de la croissance et de l'emploi en adaptant notre pays à tous les défis auxquels nous sommes confrontés, du droit du travail aux retraites en passant par la révolution digitale où la France et l'Europe ne comptent que pour 10% de l'industrie mondiale des technologies de l'information.
Depuis 2009, Carl LANG et les membres fondateurs du PARTI de la FRANCE ont fait le constat.
C'est la proposition du futur ministre des affaires étrangères polonais :
"Les centaines de milliers d'immigrés syriens arrivés en Europe pourraient former une armée pour aller combattre pour la liberté de leur pays, a estimé dimanche soir Witold Waszczykowski, le futur ministre polonais des Affaires étrangères du gouvernement conservateur en cours de formation.
"Des centaines de milliers de Syriens sont arrivés dernièrement en Europe. On pourrait en faire une armée", a-t-il déclaré à la télévision publique TVP Info.
"Des dizaines de milliers de jeunes hommes sautent de leurs bateaux gonflables, avec leur iPad à la main, et au lieu de demander d'abord à boire ou à manger, ils demandent où ils peuvent charger leur téléphone portable. Ils pourraient aller combattre pour libérer leur pays, avec notre aide", a ajouté le futur chef de la diplomatie au sein du gouvernement conservateur qui sera officiellement nommé lundi.
M. Waszczykowski souhaite éviter la situation où "nous envoyons nos soldats se battre en Syrie pendant que des centaines de milliers de Syriens boivent leur café à (l'avenue berlinoise) Unter den Linden" où dans d'autres villes d'Europe."
En janvier 2013, Bruno Gollnisch avait proposé de "constituer des bataillons de jeunes Maliens vivant en France pour prendre part au conflit"...
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
La tuerie, le drame, le deuil... Et maintenant, que fait-on?
Dr Bernard Plouvier
Après les scènes de guerre civile qui ont ravagé la ville de Paris dans la soirée du 13 novembre 2015, notre bon Président – prenant enfin conscience de l’existence d’un problème racial et religieux en France – décrète « l’état d’urgence ». De fait, plutôt que d’aller parader devant micros et caméras pour organiser un nouvel afflux massif d’immigrants islamiques, il serait temps de s’occuper quelque peu de protéger les citoyens français.
Mais de quoi peut-il s’agir, en fait « d’état d’urgence », dans un pays où la Justice est dirigée par une indépendantiste guyanaise, fière de sa négritude, haïssant les Blancs et multipliant les offensives médiatiques pour réduire les peines des assassins, des violeurs, des incendiaires ?
De quoi peut-il s’agir dans ce pays où l’Intérieur est dirigé par un politicien qui a osé éructer, le 5 août 2014 (au micro de RTL) : « Ce n’est pas un délit de prôner le Djihâd »…. effectivement, pitoyable ignare, ce n’est pas un délit mais un crime contre l’Humanité ! Le Djihâd est obligatoire, en Dâr al-Harb (domaine de la guerre, soit tout pays non dominé par l’islam) à tout fidèle (muslim) qui en est physiquement capable. Le coran (sourate 8, verset 40) est on ne peut plus clair : « Faites la guerre à ceux qui ne croient pas en Allah… tuez tous les idolâtres partout où vous les trouverez », l’idolâtre étant celui qui n’adore pas Allah, « le tout-puissant et le miséricordieux » (paraît-il).
Le Djihâd est présenté comme « bon et juste » par les sourates 2, 8, 9, 22, 47, 58, 59, 60, 61. L’islam, bête monstrueuse issue du fanatisme médiéval, est non pas « à nos portes », mais largement installée chez nous. Entre 7 et 10 millions de musulmans vivent en France. Des Français autochtones, abrutis par une propagande absurde autant que lénifiante, semblent ne voir que l’honnête musulman qui travaille. Et l’on nous ressort le couplet sur l’ingénieur ou l’infirmière… sortez les violons, pendant que les fils et frères tuent, violent, incendient et pillent (pour ne même pas évoquer le racket des écoliers, l’organisation de la prostitution, les trafics de stupéfiants et d’objets volés).
L’état d’urgence, le vrai, c’est, d’abord, exclure impitoyablement tout musulman des forces de police et de gendarmerie, des forces armées et de gardiennage de prison… sans oublier les « petites amies » des musulmans, puisque l’on a vu des gendarmettes ouvrir à des terroristes dont elles étaient éprises l’accès aux ordinateurs de leur organisme. C’est de faire passer en Haute-Cour de la République les ministres sectaires et incompétents. C’est de rétablir la peine de mort pour tous les commanditaires et inspirateurs religieux, pour tous les complices assurant le soutien logistique des terroristes djihadistes.
L’état d’urgence doit être maintenu jusqu’à complète éradication du millier de cités de non-droit que nos ineptes politiciens ont laissé proliférer sur le sol de la République depuis les années 1980. Dès à présent, il faut hermétiquement fermer nos frontières à tout immigrant musulman et commencer à inverser le flux migratoire : en clair, renvoyer les musulmans dans leur cher Dâr al-Islam, ce domaine de l’islam que la France ne sera jamais.
Enfin, il est temps d’ouvrir les yeux : le racisme, en France actuelle, ce n’est pas l’action de vilains Blancs contre de gentils colorés. Le racisme, le vrai, quotidien et s’exprimant par des injures, des attaques physiques, des viols en série, des assassinats de Blancs, singulièrement de Juifs, est le fait des immigrés extra-européens.
Si le peuple français comprend enfin ces réalités, les innocents, victimes de la barbarie musulmane et du racisme anti-Blancs, ne seront pas morts en vain. En revanche, si l’on en revient aux demi-mesures, à la politique de l’autruche et au tiers-mondisme pleurnichard, alors ces victimes auront été offertes en holocauste à la pure connerie.
10:50 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook
Carnage islamiste à Paris : c'était tellement prévisible...
Cette politique irresponsable et criminelle porte aujourd'hui ses fruits : le terrorisme islamique peut aisément frapper la France partout, même dans les endroits censés être les plus « sécurisés ».
L'ordre et la sécurité national ne pourront être rétablis qu'avec des hommes politiques qui en ont la réelle volonté et le courage.
L'eurodéputé Aymeric Chauprade a annoncé lundi sur iTELE son départ du Front national par un dur réquisitoire contre Marine Le Pen et Florian Philippot, avançant des raisons "morales" mais aussi "idéologiques".
"Ce (lundi) soir, je suis venu dire que je quitte le FN de Florian Philippot et Marine Le Pen", a annoncé ce géopoliticien, qui avait un temps mené la délégation FN au Parlement européen et qui fut également conseiller de Mme Le Pen aux relations internationales.
M. Chauprade avait été progressivement écarté de toutes ses fonctions au FN pour indiscipline répétée, exprimant fréquemment des positions plus dures que le FN sur l'islam, plus libérales en économie.
Il a été récemment impliqué dans l'affaire Air Cocaïne en aidant à l'exfiltration de République Dominicaine de pilotes français. Mme Le Pen avait indiqué qu'elle "désapprouvait" l'action de M. Chauprade et avait indiqué que la prochaine réunion du bureau exécutif du FN, probablement le 24 novembre, se pencherait sur son cas.
"Il y a une dynamique très forte, des résultats sans doute excellents", a reconnu M. Chauprade, écartant à l'avance tout "opportunisme", avant d'invoquer des raisons "morales" et "de fond, idéologiques".
Il a d'abord critiqué Mme Le Pen pour l'avoir "éliminé (...) sur des faux prétextes, comme celui de la vidéo sur l'islam". "C'est une faute morale sur un enjeu crucial, un enjeu de civilisation (...) Jouer de ce prétexte (de la place de l'islam, NDLR) pour éliminer des collaborateurs qui font de l'ombre à Florian Philippot, c'est grave", a accusé M. Chauprade, qualifiant la vie du parti d'"étouffoir".
L'eurodéputé, qui compte conserver son mandat, a aussi reproché au parti d'avoir "écarté celui auquel on doit tout parce qu'il est devenu inutile", à savoir Jean-Marie Le Pen, exclu en août.
M. Chauprade a aussi longuement critiqué le programme économique et le "marketing électoral" de M. Philippot, excluant que le "vieux modèle suranné socialiste et étatiste des Trente Glorieuses (puisse) impulser le redressement".
L'eurodéputé a dit "rentrer dans une logique de droite indépendante, de recomposition d'une grande droite crédible et assumée", et "souhaite fermement le retour de Philippe de Villiers". Il soutient cependant celle dont il était l'un des plus fervents partisans, Marion Maréchal-Le Pen, candidate aux régionales en Paca.
"Surtout après l'affaire Air Cocaïne, nos désaccords avec A. Chauprade étaient devenus trop importants et son maintien au FN impossible", a très rapidement réagi Mme Le Pen sur Twitter.
"Ce qui est sûr, c'est que tout le monde n'est pas comme Carl LANG : fidèle depuis toujours à ses principes de clarté dans tous les domaines. Le reniement se trouve dans le camp de MLP. A force de vouloir faire des "coups", on en prend sur la figure."
Les listes de candidates et candidats pour le prochaines régionales viennent d'être publiées.
A ce stade (on ne connaît pas le résultat du premier tour), il est notoire que le HAINAUT, en particulier le Valenciennois est puni par les concepteurs des listes, surtout à droite.
FRONT NATIONAL : le premier nom apparaît à la 35ème place !!!
LR-UDI-CPNT : En dehors de la tête de liste, touchée par le cumul des mandats, le premier représentant est 22ème.
Dans tous les cas de figure, on ne comprend pas pourquoi cet ostracisme, paye t'on le départ de Jean-Louis BORLOO, paye t'on mon retrait en 2010.
En 2004, j'étais 3ème, Michelle BEAL 10ème et élue, les 14, 17, 21, 24, 27, 29 étaient VALECIENNOIS.
En 2004, comme avant, chaque circonscription avait 3 représentants, chaque arrondissement avait 4 représentants par tranche de 10 candidats.
En 2004, nous étions 4 élus sur 10, deux hommes et deux femmes.
En 2015, c'est le mépris qui domine, le dunkerquois aurait-il pris sa revanche, on se demande bien de quoi.
Ce qui est sûr, c'est que c'est maintenant les coquins qui gagnent.
Dominique SLABOLEPSZY
Conseiller régional honoraire
Jeanne et Riwal, pompes à finances pour le FN
Pour le FN, l’intérêt de ces kits est d’uniformiser le message et les codes graphiques du parti, ainsi que de faciliter la tâche de candidats parfois inexpérimentés.
« L’investiture du FN n’est validée qu’après signature du bon de commande relatif au kit de campagne (page 3) Celui-ci est donc obligatoire et s’impose à tout candidat investi par le FN. » Le document précise en outre que le kit standard, facturé 16.650 €, est « modulable à la hausse », mais pas à la baisse.
Francis Boudrenghien, artisan de 61 ans, élu FN au conseil municipal d’Anzin, était candidat aux élections départementales de mars. « Tout candidat devait partir avec un kit de campagne obligatoire. Ils m’ont aussi obligé à prendre 300 affiches supplémentaires, alors que je n’en avais pas besoin », explique-t-il à Marianne. « Pourtant, j’avais un imprimeur ici qui avait besoin de travail, et il était beaucoup moins cher. »
Francis Boudrenghien a aussi dû contracter un prêt à son nom, de manière toujours « obligatoire. »
Pour financer quoi ?
Le système, très rôdé, est le suivant.
Acte 1 :
JEANNE, le micro-parti du FN, prête au candidat une somme destinée à financer sa campagne, avec un taux d’intérêt à 6,5%.
Jeanne, le microparti était la quatrième formation politique en termes de rentrées financières, à 9,6 millions €, derrière le PS, l’UMP et le PCF… mais devant le FN plus de 90 % des rentrées d’argent de Jeanne étaient constituées de la facturation des « services rendus aux candidats pour les campagnes électorales », essentiellement les « kits de campagne. »
Acte 2 :
avec cette somme, le candidat doit acheter à Jeanne un kit de campagne (affiches, tracts…) confectionné par la société Riwal, dirigée par un proche de Marine Le Pen.
L’argent revient donc dans les caisses du micro-parti frontiste.
RIWAL
39 RUE VINEUSE
75116 PARIS
Gérant M Frederic CHATILLON
RCS 400 363 198 – pas de comptes déposés depuis 2006
Frédéric Chatillon, dont la société a perçu 1,6 million € pendant la campagne présidentielle, d’après des documents consultés par Mediapart. Ces kits sont au cœur des soupçons des juges auraient été largement surfacturés aux candidats frontistes ….
Acte 3 :
après la campagne, le candidat se fait rembourser par l’Etat ses dépenses, c’est à dire le prêt majoré des intérêts, qu’il peut ainsi rembourser à son tour à Jeanne. Au final, le micro-parti du FN enregistre un bénéfice. Pour le parti, qui dénonce un « acharnement » judiciaire, ce système est parfaitement légal. Ce n’est pas l’avis des juges, qui le soupçonnent d’avoir détourné 10 millions € d’argent public.
Francis Boudrenghien : « Au début, je n’ai pas cherché à comprendre, mais c’est après qu’on réalise qu’il se passe quelque chose », poursuit-il. « c’est de la magouille ! »
Mais pourquoi l’élu a-t-il attendu tant de mois pour s’en plaindre ?
« Après les départementales, j’ai écrit à Marine Le Pen avec accusé de réception, elle ne m’a jamais répondu », assure-t-il.
Pour lui qui milite dans les rangs frontistes depuis 1995, jamais de telles pratiques n’auraient eu cours dans le FN « d’avant ». « C’est la première fois que l’on m’oblige à faire ça. Ce n’était pas comme ça sous Jean-Marie Le Pen. »
Jean-Luc François Laurent, conseiller municipal FN à Valenciennes, mais écarté des listes pour les régionales, s’est lui aussi plaint de ce système.
Bruno Wolinski, conseiller municipal de Sin-Le-Noble aussi : ils mettent en cause le patron du FN local, Guy Cannie, secrétaire départemental du parti. Contacté par Marianne, celui-ci met ces propos sur le compte de l’amertume des deux élus, pas retenus pour le scrutin de décembre. « M. Boudrenghien a été suspendu l’année dernière par Marine Le Pen et la commission des conflits. Il ne pouvait donc pas prétendre à être candidat », explique-t-il. Une suspension que confirme l’intéressé.
Source : http://www.medias-presse.info
Valenciennois : quand les élus locaux du FN dénoncent les méthodes de leur parti
Aymeric Chauprade: «Pourquoi je quitte le Front national»
Bruno Mégret Le Chêne, n°81, octobre 2015
La campagne menée actuellement dans les médias sur l’affaire des migrants est de même nature que celle orchestrée au début de l’année lors des attentats de Charlie Hebdo. Il s’agit dans un cas comme dans l’autre d’une formidable opération de manipulation des masses par la caste idéologique dominante.
La manipulation des masses
Ce que nous vivons depuis la parution de la terrible photo du jeune Aylan mort sur une plage turque procède en effet d’une opération de propagande montée de toutes pièces selon les méthodes classiques du genre. La photo du petit garçon en a été l’élément à la fois structurant et déclencheur. L’idée est en effet de focaliser l’actualité sur un événement concret qui soit de nature à soulever une forte émotion. Or, que peut-il y avoir de plus émouvant que la mort d’un enfant ? Si de surcroît on dispose d’une image du drame, l’émotion n’en sera que décuplée et l’effet amplifié.
La deuxième phase consiste à exploiter cette émotion pour lui donner un sens politiquement correct et l’orienter idéologiquement en fonction de l’objectif recherché. « Cet enfant est mort parce que les Européens refusent d’accueillir les migrants. Ce sont donc eux qui sont responsables de cette mort tragique. Pour se racheter et éviter de nouveaux drames, ils doivent ouvrir grandes les portes de leurs pays ».
Troisième phase destinée à emporter l’adhésion de la population française malgré tout fortement réticente : faire croire que cet événement a provoqué une vague sans précédent d’initiatives en faveur de l’accueil des migrants. Et les médias de multiplier les reportages montrant des communes, des associations, voire des personnes privées libérant des logements et accueillant les réfugiés. Que ces initiatives soient marginales, anciennes, ou purement théoriques importe peu, c’est l’effet de masse ainsi que la répétition du message qui doivent produire l’effet recherché. Et, une fois de plus, intellectuels, artistes, élus et tous les « people » sont mis à contribution sous forme de pétitions, d’interviews ou de déclarations.
Quant au président de la République, bafouant une fois de plus l’opinion majoritaire des Français, il annonce que notre pays accueillera vingt-quatre mille migrants. Une déclaration mensongère, car si le chiffre est délibérément présenté comme très faible, il n’a en réalité aucun sens puisque qu’en l’absence de contrôle aux frontières, notre pays accueillera, qu’il le veuille ou non, tous ceux qui se présenteront et qui se compteront par centaines plutôt qu’en dizaines de milliers.
Les Européens ne sont pas coupables
Alors, bien sûr, il n’y a rien de pire que la mort d’un enfant innocent et l’on ne peut qu’éprouver tristesse et compassion face à un tel drame. Mais en l’occurrence, ce ne sont pas les peuples européens qu’il faut accuser. Le responsable de cette mort tragique, c’est d’abord le père qui en toute inconscience a fait monter son fils dans une embarcation de fortune sur une mer incertaine et cela dans le but, aurait-t-il déclaré, « de se faire refaire les dents en Europe ». Quant aux autorités, si certaines doivent également être mises en cause, ce sont les autorités turques qui n’assurent aucune surveillance policière le long de leurs côtes et aucun contrôle des migrants qui s’y présentent.
Mais, pour la classe politico-médiatique, peu importe ces réalités. Il ne s’agit pas en effet pour elle de raisonner sur des faits mais de susciter des émotions avec pour seul objectif de faire accepter par les peuples européens des vagues supplémentaires d’immigration. La nouvelle dénomination de migrants, voire de réfugiés, ne change en effet rien à cette réalité. Il s’agit de provoquer un nouvel afflux migratoire sur notre sol et de le faire accepter par le peuple français non plus comme une fatalité qu’on ne peut éviter mais comme une obligation morale qu’il faudrait encourager, organiser et faciliter.
De nouvelles menaces pour les Européens
A travers cette nouvelle campagne de propagande, on cherche donc à nous imposer une augmentation massive de l’immigration et, plus grave encore, de l’immigration musulmane. En dehors d’une minorité de chrétiens effectivement persécutés pour leur religion et qui méritent notre solidarité, la grande masse des populations qui déferle sur le sol européen est en effet musulmane dont près de la moitié d’ailleurs ne vient pas des pays en guerre. Or, tout le monde le sait, la présence massive des immigrés sur notre sol pose des problèmes qu’aucun gouvernement n’a pu résoudre. Pis, la montée d’un islam incompatible avec notre civilisation est en train de faire voler en éclats la communauté nationale. La sagesse la plus élémentaire devrait donc pousser nos dirigeants à stopper l’arrivée de nouveaux immigrés et surtout de ceux qui se réclament de l’islam. Aussi est-il consternant de voir les autorités médiatiques et politiques de notre pays comme de nos voisins faire exactement le contraire et annoncer au monde que la France et l’Europe sont ouvertes à qui veut venir, créant ainsi un appel d’air qui va être entendu par des millions d’Arabes et d’Africains.
L’autre solution
On ne peut certes rester insensible au malheur des populations qui subissent la guerre et il est vrai que la France comme l’Europe devrait s’efforcer de leur venir en aide. Mais encore faut-il le faire sans sacrifier l’identité, la sécurité, la cohésion et la paix intérieure de notre nation. Aussi faut-il avancer d’autres solutions. Il faut tout d’abord s’efforcer de mettre fin aux conflits qui déchirent l’Irak et la Syrie en s’attaquant avec efficacité à l’État islamique. Et pour cela soutenir tous ceux qui le combattent, à commencer par Bachar el-Assad et son armée. (Et ne pas se contenter d’envoyer des avions de reconnaissance comme l’a annoncé récemment M. Hollande). Il faut ensuite fournir un soutien humanitaire aux réfugiés, en apportant une aide substantielle au fonctionnement des camps implantés dans les États musulmans voisins des pays en guerre ainsi que dans des secteurs sécurisés à créer au sein même de ces pays. Enfin, il faut fermer les frontières et faire patrouiller nos navires au large des pays d’embarquement afin d’organiser le retour vers les côtes des bateaux qui en partent. Quant au migrants qui parviendraient à gagner malgré tout les côtes européennes, ils devraient certes être recueillis, soignés et nourris, mais devraient dans le délai d’une semaine être rembarqués sur un bateau qui les reconduirait près de leur lieu d’origine. Enfin, une aide devrait être apportée à la Grèce et à la Bulgarie pour établir à leur frontière orientale un barrage physique infranchissable. Bref, il s’agit de convaincre les candidats à l’émigration qu’ils ne pourront mener leur projet à bien et qu’ils seront dans tous les cas renvoyés là d’où ils viennent.
Quant à nos gouvernements, il est temps qu’ils se libèrent du chantage compassionnel permanent et qu’ils se rappellent enfin que la politique, la vraie, doit être régie non par les émotions mais par la raison avec comme objectif non pas le bien universel mais celui du peuple dont on a la charge.
Source cliquez ici
Je me suis procuré le texte envoyé à la presse locale par Francis BOUDRENGHIEN, conseiller municipal à ANZIN.
Ce dernier met en lumière les agissements d'un "chef" jaloux de ses prérogatives.
A lire et publier sans restrictions, édifiant !
Publié le 03/11/2015
« On est très remontés, à Anzin, Valenciennes et Douai. On s’insurge. Ça va exploser ! » Mais de quel révolutionnaire ces propos viennent-ils ? De Jean-Luc François Laurent, élu FN à Valenciennes. Comme Francis Boudrenghien, élus à Anzin, il ne figure pas sur la liste de Front nationale aux élections régionales de décembre. « Je suis zappé, nous a dit mardi Jean-Luc François Laurent. Mme Valérie Codron, ma colistière, n’est pas en position éligible. Il n’y a personne d’Anzin non plus. Le Valenciennois est ignoré. On n’a pas tenu compte de notre territoire. »
« Il dit des bêtises, des mensonges ! répond Guy Cannie, le patron du FN pour le Hainaut. Il y a une quinzaine de candidats du Hainaut dans la liste ! Jean-Luc François Laurent n’y est pas, c’est vrai, parce que je m’y suis opposé. » Pour des raisons internes au fonctionnement du Front national, nous a expliqué Guy Cannie.
Une quinzaine de candidats ? « Ce ne sont pas des élus !, s’insurge Jean-Luc François Laurent. Je parle d’élus, pas de copains. Nous, on s’est battus, à toutes les élections, municipales, législatives et départementales. Ils ont placé leurs copains, des gens du Pas-de-Calais et de Lille. Il y a pourtant 390000habitants dans l’arrondissement. On est méprisés, je trouve cela déplorable. Mais le feuilleton ne fait que commencer. »
L’Anzinois Francis Boudrenghien n’est « pas content de Guy Cannie. Il ne s’occupe pas du Hainaut ! Il n’est jamais là ! »
« Il m’en a toujours voulu, réplique Guy Cannie. C’est un ami de Dominique Slabolepszy (l’ancien patron du FN dans le Valenciennois), il n’a jamais accepté qu’un Lillois s’occupe du Hainaut. »
Revenons au Hainaut, pour finir. À Marine Le Pen, lors de sa venue à Raismes, le 16 octobre, l’un de nos journalistes avait posé la question de l’absence de propositions pour le Valenciennois, un bassin de population qui a des problèmes spécifiques. « Quand je serai présidente de région, nous avait-elle répondu, ce sera à mes élus du Valenciennois d’avoir des propositions. » Des élus d’avant ou d’après les régionales ?