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vie politique du Hainaut - Page 21

  • Retour vers le futur, l'histoire repasse les plats !

    lundi, 23 novembre 2015

    Sortie en fin de semaine du n°8 des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré au NSDAP

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    Sujet très controversé, l'histoire du Parti national socialiste des travailleurs allemands mérite qu'on s'y intéresse de plus près.

    Remarquable machine révolutionnaire édifiée en très peu de temps par un groupe d’hommes déterminés parmi lesquels se distinguait un certain Adolf Hitler qui fera beaucoup parler de lui, le NSDAP profita indiscutablement du dramatique Traité de Versailles qui accablait l’Allemagne pour prendre le pouvoir en 1933.

    S’en suivit une période faste au cours de laquelle les Allemands eurent le sentiment légitime d’avoir retrouvé leur dignité.

    Mais très vite l’Europe sombra à nouveau dans une guerre effroyable dont elle ne s’est toujours pas vraiment remise. Le grand rêve national socialiste se terminait en tragédie

    C'est le Dr Bernard Plouvier, auteur de nombreux livres et spécialiste reconnu de cette période étonnante et tragique que fut celle de l'Allemagne des années 30 et 40, qui a rédigé ce huitième volume des Cahiers d'Histoire du nationalisme.

    Un document qui s'en tient aux faits et qui remet bien des choses à leur place.

    Vous avez dit socialiste ! Bizarre ! Bizarre !

    Rassemblement de râleurs, de laissés pour compte, il n'y a plus d'idéologie, il n'y a pas de solutions, que des incantations, et ça marche, ça va marcher !

    Est-ce ça le nouveau populisme ? Ne faisons pas l'autruche comme l'a fait le peuple allemand en 1933.

    Posons-nous les bonnes questions : y aurait-il des similitudes 80 ans après ?

  • Grain de sel

     

    Rédigé le Vendredi 20 Novembre 2015 à 07:00 | 0 commentaire(s)

     

    DJIHADISTES : L’INTERNEMENT PREVENTIF C’EST POSSIBLE, L’AMERIQUE L’AVAIT FAIT AVEC LES JAPONAIS EN 1942 ! Les massacres du vendredi 13 novembre n’autorisent plus une seule seconde d’hésitation, il y a péril dans la demeure. Après les terrasses de cafés et une salle de concert où sont morts des français sous les balles de tout un réseau de terroristes islamistes, d’autres lieux drainant un nombreux public – cinémas, grands magasins, bateaux de croisières, stations de sports d’hiver, marchés de noël , rames de trains et du métro, gares, aéroports, avions - pourraient être des cibles faciles pour les assassins pratiquant « la guerre sainte » contre les « mécréants », comme l’atteste un communiqué de l’Etat islamique.


    LE "GRAIN DE SEL" HEBDOMADAIRE DE JEAN-CLAUDE ROLINAT
    Le rapport du « faible au fort », c’est-à-dire une tentative par  des groupes minoritaires dans une société donnée de faire plier un Etat ou un organisme beaucoup plus fort, ce qui existe dans la dissuasion nucléaire par exemple, a  tragiquement été illustré ce vendredi 13 novembre au soir avec le massacre de 129 innocents. Investissement criminel minimum pour un « profit » maximum. La nation est sidérée, les Français pleurent leurs morts et l’Etat ne prend pas les mesures radicales qu’il devrait  mettre en œuvre. Face à cette horreur, nous avons un discours lénifiant et quelques mesures arrêtées pour rassurer, dans un premier temps, un public justement angoissé. Sarkozy propose le bracelet électronique pour les suspects potentiels, Hollande dit qu’il va saisir le Conseil d’Etat….On croit rêver…Des milliers d’assassins potentiels grouillent  dans nos banlieues mais ces messieurs, comme jadis les Byzantins dissertant sur le sexe des anges alors que le Turc campait aux portes de Constantinople, divergent sur la constitutionnalité de telle ou telle décision. Les terroristes binationaux se verront retirer leur nationalité française, ils s’en moquent comme de leur première paire de babouches !
    A SITUATION EXCEPTIONNELLE, COUP DE POING EXCEPTIONNEL
    Tandis que le Président de la République hésite à désigner clairement l’ennemi contrairement à son Premier ministre qui parle, lui, de « terroristes islamistes », et que les Français découvrent avec stupéfaction que les criminels sont des individus de nationalité française grâce à l’inique droit du sol, la police et les services de renseignements viennent de démontrer, malgré quelques failles, l’excellence de leurs compétences. Bombarder les postions de Dae ‘ch en Syrie, c’est bien. Renouer avec Bachar Al Assad, ce serait mieux. Frapper l’Etat islamique alors que dans le même temps Paris  flirte dangereusement avec le Qatar et l’Arabie Saoudite, monarchies musulmanes particulièrement rétrogrades en dépit de leur modernité de façade, et arme des bandes de « Syriens libres » qui refilent leurs armements aux rebelles,  tout cela est complètement schizophrénique.
    Le 7 décembre 1941, « Tora, Tora ! », la flotte américaine du Pacifique ancrée à Pearl Harbour dans les îles Hawaï, était attaquée par  de volumineuses escadrilles japonaises. Bilan,  des milliers de morts et des navires de haute ligne au fond de la mer. Dans un premier temps le gouverneur local,  transmettant ses pouvoirs aux autorités militaires, faisait incarcérer un millier de résidants japonais ou d’origine japonaise. Dès le 19 février 1942, cette mesure était étendue  sur tout le territoire  des Etats-Unis   à tous les Japonais ou naturalisés nippo-américains par le Président Roosevelt.  C’était, en gros, 120 000 personnes qui prenaient le chemin des déserts de Californie ou du Nevada où elles y resteront assignées à résidence dans des camps de fortune pendant toute la durée de la guerre. Beaucoup, la majorité, étaient innocentes de toute complicité avec l’Empire du soleil levant mais, principe de précaution, elles avaient été regroupée en des lieux faciles à contrôler.  25 000 d’entre elles souhaitant échapper à ces mesures restrictives, s’engageront dans l’armée des Etats-Unis. Ce qu’une « grande démocratie » comme l’Amérique a fait en des moments exceptionnels – la guerre, et nous sommes en guerre, dixit François Hollande ! – un pays comme le nôtre peut le faire. Il y a seulement quelques milliers de fiches de police classées « S », c’est-à-dire des documents  qui recensent des gens suspectés de militantisme islamiste ou des voyous déjà condamnés pour des faits de délinquance classique ou carrément des actes « djihadistes ». Des prédicateurs salafistes et des mosquées du même métal sont dans le collimateur des autorités policières. Les moyens manquent pour surveiller tout ce petit monde. Il faut donc se résigner à modifier notre droit, rapidement, pour permettre la mise en résidence surveillée ou l’incarcération de ces malfaisants potentiels. «  On ne fait pas d’omelette sans casser d’œufs « , dit un vieux  dicton. Au pire, mieux vaut commettre quelques erreurs judiciaires  que d’avoir à pleurer des centaines de morts. La bataille d’Alger a été gagnée en quelques mois par les paras de Massu et de Bigeard. Mais le gouvernement socialiste de l’époque – déjà ! – leur avait donné les pleins pouvoirs. La fin dramatique de l’Algérie française n’a pas été la conséquence de cette période, bien au contraire. Les gens pouvaient à nouveau fréquenter les cafés et reprendre en toute sécurité les transports en commun.  « Là où il y a une volonté, il y a un chemin «. Et surtout, ne vous demandez pas comment faire, matériellement. Le Sheriff Joe Arpaio, constamment réélu dans le comté de Phoenix, Etat  d’ Arizona, a la solution ! Nous ne pouvons pas accepter d’être à la merci d’hommes et de femmes qui n’ont aucun respect pour la vie, la leur comme celle des autres. Allons-nous nous faire tirer comme des lapins, aller aux spectacles la peur au ventre, refuser de vivre normalement, tout cela parce que quelque fêlés interprètent littéralement des textes vieux de 14 siècles ? Tuer, nous venons de le voir et ça fait froid dans le dos,  c’est simple : un homme, une volonté, une arme. Et bien,
     
    La République française doit prévenir avant de guérir, anticiper sur un futur macabre qu’elle refuse. La mise hors d’état de nuire, préventivement, s’impose. Les autorités ont des noms, les moyens humains et matériels à leur disposition, armée, police, gendarmerie : il leur faut agir, vite et massivement. La patrie est en danger, quand il s’agit de choisir entre la vie et la mort les arguties juridiques ne tiennent pas.
    Jean-Claude R O L I N A T
     
  • CHAUPRADE Bis !

    Quand Marine Le Pen explique que le FN ne renonce pas au libéralisme mais que le contexte économique et social du pays aujourd'hui, ne permet pas certaines options qu'elle juge dangereuses, rejetez-vous l'argument?

    Je le crois faux parce qu'en réalité, elle récolte les voix des gens désespérés. Son projet n'est pas fondé sur les forces vives de l'économie. Pour redresser le pays, il va falloir s'interroger sur le fait que près de 60% de notre économie c'est de la dépense publique, que l'Etat providence est en crise et qu'il est temps de créer de la croissance et de l'emploi en adaptant notre pays à tous les défis auxquels nous sommes confrontés, du droit du travail aux retraites en passant par la révolution digitale où la France et l'Europe ne comptent que pour 10% de l'industrie mondiale des technologies de l'information.

    Depuis 2009, Carl LANG et les membres fondateurs du PARTI de la FRANCE ont fait le constat.

  • Comme de GAULLE en 1940

    Former militairement les réfugiés syriens pour aller combattre l'Etat islamique

    C'est la proposition du futur ministre des affaires étrangères polonais :

    "Les centaines de milliers d'immigrés syriens arrivés en Europe pourraient former une armée pour aller combattre pour la liberté de leur pays, a estimé dimanche soir Witold Waszczykowski, le futur ministre polonais des Affaires étrangères du gouvernement conservateur en cours de formation.

    "Des centaines de milliers de Syriens sont arrivés dernièrement en Europe. On pourrait en faire une armée", a-t-il déclaré à la télévision publique TVP Info.
    "Des dizaines de milliers de jeunes hommes sautent de leurs bateaux gonflables, avec leur iPad à la main, et au lieu de demander d'abord à boire ou à manger, ils demandent où ils peuvent charger leur téléphone portable. Ils pourraient aller combattre pour libérer leur pays, avec notre aide", a ajouté le futur chef de la diplomatie au sein du gouvernement conservateur qui sera officiellement nommé lundi.

    M. Waszczykowski souhaite éviter la situation où "nous envoyons nos soldats se battre en Syrie pendant que des centaines de milliers de Syriens boivent leur café à (l'avenue berlinoise) Unter den Linden" où dans d'autres villes d'Europe."

    En janvier 2013, Bruno Gollnisch avait proposé de "constituer des bataillons de jeunes Maliens vivant en France pour prendre part au conflit"...

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Et maintenant ! Que va t'on faire ?

    La tuerie, le drame, le deuil... Et maintenant, que fait-on?

    Rédigé le Samedi 14 Novembre 2015 à 14:26 | 0 commentaire(s)

     

    Les tueurs islamistes viennent de frapper une fois de plus et sauvagement la France et les Français. Ce n’est pas la première fois et ce ne sera malheureusement pas la dernière.


    Carl Lang et le Parti de la France adressent tout d’abord leurs condoléances, leur soutien et leur affection aux familles des victimes de cette tuerie et font part de leur tristesse et de leur colère.


    La tuerie, le drame, le deuil... Et maintenant, que fait-on?
    La tristesse devant le prix du sang payé par les victimes et la colère à l’égard d’un pouvoir politique au mieux irresponsable, sourd et aveugle et au pire responsable d’une politique ayant facilité et permis cette tuerie.
    Le Parti de la France ne cesse d’alerter l’opinion et de mettre en garde les Français sur la véritable nature de ces actions terroristes : Il s’agit clairement d’un processus de guerre révolutionnaire, d’une guerre politique, psychologique et religieuse, d’une guerre totale dont l’objectif final est l’établissement d’un califat mondial et d’un ordre islamique basé sur la charia.
    Il s’agit d’une guerre de domination et de conquête menée par une internationale révolutionnaire islamique pour laquelle le terrorisme est un instrument d’action classique au service d’un projet politique et religieux.
    La colonisation migratoire de peuplement qui submerge la France, idéologiquement et politiquement organisée par la gauche française depuis plus de trente ans, permet aujourd’hui aux organisations révolutionnaires islamistes de recruter, de former et d’armer des militants djihadistes qui se déplacent et agissent en France comme des poissons dans l’eau et, pour certains, partent faire le djihad en Syrie, en Irak ou ailleurs.
    Dans le même temps la bien pensance de gauche, les donneurs de leçons de morale républicaine et droit de l’hommiste, de citoyenneté du monde ouverte à l’étranger et à l’islam ainsi que les extrémistes du droit des minorités étrangères en France n’ont cesse de réduire les moyens de nos forces armées et de nos forces de sécurité intérieure de police et de gendarmerie. La victime habituelle et expiatoire des budgets de l’Etat socialiste est toujours de budget de la défense nationale.
    Le Parti de la France a alerté aussi l’opinion sur les risques des déclarations guerrières et tonitruantes de messieurs Hollande et Valls annonçant l’engagement des six avions rafale  français en Syrie et indiquant que la France faisait la guerre au terrorisme.
    Il se trouve que dans le même temps la diplomatie française n’a cesse d’agir contre le gouvernement légal syrien et de demander le départ de BACHAR El Assad dont l’armée est pourtant la seule à combattre au sol les milices internationales de l’Etat islamique. Il se trouve aussi que la diplomatie française ne cesse de s’opposer à la politique étrangère russe  qui soutient militairement le gouvernement Syrien et que la gauche française est bien plus hostile aujourd’hui à Vladimir Poutine qu’elle ne l’était en son temps à l’égard de la dictature soviétique et du camarade Staline. Où est donc l’intérêt de la France et des Français dans tout cela ?
    Ce n’est pas la première fois dans notre histoire contemporaine que des politiciens démagogues et irresponsables déclarent des guerres sans avoir donné à la France et à son armée les moyens de les mener et de les gagner...
    Le Parti de la France adresse à nos forces armées et à nos forces de police et de gendarmerie un message de soutien, de confiance et de solidarité nationale au moment où elles sont en première ligne pour assurer la sécurité intérieure de notre pays alors qu’elles ne disposent, du fait d’un pouvoir politique irresponsable, ni des moyens ni des effectifs suffisants.
    Le temps est venu d’en finir avec des politiques qui menacent la France, l’affaiblissent, la détruisent de l’intérieur et brisent l’identité et l’unité nationales.
    Une nouvelle fois nous réclamons l’inversion du courant migratoire, la mise en oeuvre du patriotisme social, la préférence nationale, le rétablissement du contrôle aux frontières nationales, la création dans les délais les plus brefs d’une garde nationale permettant à des dizaines de milliers de jeunes Français de participer à l’effort de sécurité intérieure, des moyens décuplés affectés à nos services de renseignement ainsi que plus de pouvoir à notre police avec notamment une réforme urgente de la législation sur la légitime défense afin que nos forces de police puissent agir plus sereinement et plus efficacement.
    Enfin, une coopération diplomatique et politique active avec la Russie et le gouvernement légal syrien sont, plus que jamais, une nécessité et un devoir pour contrer les assassins fanatiques de l’Etat islamique et des groupes islamistes qui pullulent en Europe et dans le monde.

    Pour nos libertés et notre sécurité, nous devons reprendre notre destin en mains.

    Carl LANG
     
  • Quel état d'urgence ?

    Quel état d’urgence ?

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    Dr Bernard Plouvier

    Après les scènes de guerre civile qui ont ravagé la ville de Paris dans la soirée du 13 novembre 2015, notre bon Président – prenant enfin conscience de l’existence d’un problème racial et religieux en France – décrète « l’état d’urgence ». De fait, plutôt que d’aller parader devant micros et caméras pour organiser un nouvel afflux massif d’immigrants islamiques, il serait temps de s’occuper quelque peu de protéger les citoyens français.

    Mais de quoi peut-il s’agir, en fait « d’état d’urgence », dans un pays où la Justice est dirigée par une indépendantiste guyanaise, fière de sa négritude, haïssant les Blancs et multipliant les offensives médiatiques pour réduire les peines des assassins, des violeurs, des incendiaires ?

    De quoi peut-il s’agir dans ce pays où l’Intérieur est dirigé par un politicien qui a osé éructer, le 5 août 2014 (au micro de RTL) : « Ce n’est pas un délit de prôner le Djihâd »…. effectivement, pitoyable ignare, ce n’est pas un délit mais un crime contre l’Humanité ! Le Djihâd est obligatoire, en Dâr al-Harb (domaine de la guerre, soit tout pays non dominé par l’islam) à tout fidèle (muslim) qui en est physiquement capable. Le coran (sourate 8, verset 40) est on ne peut plus clair : « Faites la guerre à ceux qui ne croient pas en Allah… tuez tous les idolâtres partout où vous les trouverez », l’idolâtre étant celui qui n’adore pas Allah, « le tout-puissant et le miséricordieux » (paraît-il).

    Le Djihâd est présenté comme « bon et juste » par les sourates 2, 8, 9, 22, 47, 58, 59, 60, 61. L’islam, bête monstrueuse issue du fanatisme médiéval, est non pas « à nos portes », mais largement installée chez nous. Entre 7 et 10 millions de musulmans vivent en France. Des Français autochtones, abrutis par une propagande absurde autant que lénifiante, semblent ne voir que l’honnête musulman qui travaille. Et l’on nous ressort le couplet sur l’ingénieur ou l’infirmière… sortez les violons, pendant que les fils et frères tuent, violent, incendient et pillent (pour ne même pas évoquer le racket des écoliers, l’organisation de la prostitution, les trafics de stupéfiants et d’objets volés).

    L’état d’urgence, le vrai, c’est, d’abord, exclure impitoyablement tout musulman des forces de police et de gendarmerie, des forces armées et de gardiennage de prison… sans oublier les « petites amies » des musulmans, puisque l’on a vu des gendarmettes ouvrir à des terroristes dont elles étaient éprises l’accès aux ordinateurs de leur organisme. C’est de faire passer en Haute-Cour de la République les ministres sectaires et incompétents. C’est de rétablir la peine de mort pour tous les commanditaires et inspirateurs religieux, pour tous les complices assurant le soutien logistique des terroristes djihadistes.

    L’état d’urgence doit être maintenu jusqu’à complète éradication du millier de cités de non-droit que nos ineptes politiciens ont laissé proliférer sur le sol de la République depuis les années 1980. Dès à présent, il faut hermétiquement fermer nos frontières à tout immigrant musulman et commencer à inverser le flux migratoire : en clair, renvoyer les musulmans dans leur cher Dâr al-Islam, ce domaine de l’islam que la France ne sera jamais.

    Enfin, il est temps d’ouvrir les yeux : le racisme, en France actuelle, ce n’est pas l’action de vilains Blancs contre de gentils colorés. Le racisme, le vrai, quotidien et s’exprimant par des injures, des attaques physiques, des viols en série, des assassinats de Blancs, singulièrement de Juifs, est le fait des immigrés extra-européens.     

    Si le peuple français comprend enfin ces réalités, les innocents, victimes de la barbarie musulmane et du racisme anti-Blancs, ne seront pas morts en vain. En revanche, si l’on en revient aux demi-mesures, à la politique de l’autruche et au tiers-mondisme pleurnichard, alors ces victimes auront été offertes en holocauste à la pure connerie.

     
  • L'HORREUR !

    Carnage islamiste à Paris : c'était tellement prévisible...

    Rédigé le Samedi 14 Novembre 2015 à 09:37 | 0 commentaire(s)

     

    Au moins 120 morts, des centaines de blessés : c'est le bilan provisoire des sanglants attentats islamistes du 13 novembre 2015. Nous aurons une petite pensée pour nos dirigeants qui ont sciemment entrepris la colonisation migratoire de notre pays et collaboré à son islamisation au nom d'une utopique République cosmopolite et multiconfessionnelle.


    Cette politique irresponsable et criminelle porte aujourd'hui ses fruits : le terrorisme islamique peut aisément frapper la France partout, même dans les endroits censés être les plus « sécurisés ».

    L'ordre et la sécurité national ne pourront être rétablis qu'avec des hommes politiques qui en ont la réelle volonté et le courage.

     
  • CHAUPRADE

     

     
    AFP / Pierre Andrieu

    L'eurodéputé Aymeric Chauprade a annoncé lundi sur iTELE son départ du Front national par un dur réquisitoire contre Marine Le Pen et Florian Philippot, avançant des raisons "morales" mais aussi "idéologiques".

    "Ce (lundi) soir, je suis venu dire que je quitte le FN de Florian Philippot et Marine Le Pen", a annoncé ce géopoliticien, qui avait un temps mené la délégation FN au Parlement européen et qui fut également conseiller de Mme Le Pen aux relations internationales.

    M. Chauprade avait été progressivement écarté de toutes ses fonctions au FN pour indiscipline répétée, exprimant fréquemment des positions plus dures que le FN sur l'islam, plus libérales en économie.

    Il a été récemment impliqué dans l'affaire Air Cocaïne en aidant à l'exfiltration de République Dominicaine de pilotes français. Mme Le Pen avait indiqué qu'elle "désapprouvait" l'action de M. Chauprade et avait indiqué que la prochaine réunion du bureau exécutif du FN, probablement le 24 novembre, se pencherait sur son cas.

    "Il y a une dynamique très forte, des résultats sans doute excellents", a reconnu M. Chauprade, écartant à l'avance tout "opportunisme", avant d'invoquer des raisons "morales" et "de fond, idéologiques".

    Il a d'abord critiqué Mme Le Pen pour l'avoir "éliminé (...) sur des faux prétextes, comme celui de la vidéo sur l'islam". "C'est une faute morale sur un enjeu crucial, un enjeu de civilisation (...) Jouer de ce prétexte (de la place de l'islam, NDLR) pour éliminer des collaborateurs qui font de l'ombre à Florian Philippot, c'est grave", a accusé M. Chauprade, qualifiant la vie du parti d'"étouffoir".

    L'eurodéputé, qui compte conserver son mandat, a aussi reproché au parti d'avoir "écarté celui auquel on doit tout parce qu'il est devenu inutile", à savoir Jean-Marie Le Pen, exclu en août.

    M. Chauprade a aussi longuement critiqué le programme économique et le "marketing électoral" de M. Philippot, excluant que le "vieux modèle suranné socialiste et étatiste des Trente Glorieuses (puisse) impulser le redressement".

    L'eurodéputé a dit "rentrer dans une logique de droite indépendante, de recomposition d'une grande droite crédible et assumée", et "souhaite fermement le retour de Philippe de Villiers". Il soutient cependant celle dont il était l'un des plus fervents partisans, Marion Maréchal-Le Pen, candidate aux régionales en Paca.

    "Surtout après l'affaire Air Cocaïne, nos désaccords avec A. Chauprade étaient devenus trop importants et son maintien au FN impossible", a très rapidement réagi Mme Le Pen sur Twitter.

     

    "Ce qui est sûr, c'est que tout le monde n'est pas comme Carl LANG : fidèle depuis toujours à ses principes de clarté dans tous les domaines. Le reniement se trouve dans le camp de MLP. A force de vouloir faire des "coups", on en prend sur la figure."

  • Régionales en HAINAUT

    Les listes de candidates et candidats pour le prochaines régionales viennent d'être publiées.

    A ce stade (on ne connaît pas le résultat du premier tour), il est notoire que le HAINAUT, en particulier le Valenciennois est puni par les concepteurs des listes, surtout à droite.

    FRONT NATIONAL : le premier nom apparaît à la 35ème place !!!

    LR-UDI-CPNT : En dehors de la tête de liste, touchée par le cumul des mandats, le premier représentant est 22ème.

    Dans tous les cas de figure, on ne comprend pas pourquoi cet ostracisme, paye t'on le départ de Jean-Louis BORLOO, paye t'on mon retrait en 2010.

    En 2004, j'étais 3ème, Michelle BEAL 10ème et élue, les 14, 17, 21, 24, 27, 29 étaient VALECIENNOIS.

    En 2004, comme avant, chaque circonscription avait 3 représentants, chaque arrondissement avait 4 représentants par tranche de 10 candidats.

    En 2004, nous étions 4 élus sur 10, deux hommes et deux femmes.

    En 2015, c'est le mépris qui domine, le dunkerquois aurait-il pris sa revanche, on se demande bien de quoi.

    Ce qui est sûr, c'est que c'est maintenant les coquins qui gagnent.

    Dominique SLABOLEPSZY

    Conseiller régional honoraire 

  • Tête haute et mains propres, c était hier !

    Jeanne et Riwal, pompes à finances pour le FN

    Rédigé le Jeudi 12 Novembre 2015 à 11:04 | 0 commentaire(s)

     

    Plusieurs conseillers municipaux frontistes du Nord, écartés des listes pour les élections régionales, dénoncent les méthodes employées par leur parti pour financer ses campagnes. Des témoignages qui viennent éclairer concrètement le fameux système des kits de campagne, pour lequel le FN a été mis en examen en septembre pour « recel d’abus de biens sociaux et complicité d’escroquerie ».


    Pour le FN, l’intérêt de ces kits est d’uniformiser le message et les codes graphiques du parti, ainsi que de faciliter la tâche de candidats parfois inexpérimentés.

    « L’investiture du FN n’est validée qu’après signature du bon de commande relatif au kit de campagne (page 3) Celui-ci est donc obligatoire et s’impose à tout candidat investi par le FN. » Le document précise en outre que le kit standard, facturé 16.650 €, est « modulable à la hausse », mais pas à la baisse.

    Francis Boudrenghien, artisan de 61 ans, élu FN au conseil municipal d’Anzin, était candidat aux élections départementales de mars. « Tout candidat devait partir avec un kit de campagne obligatoire. Ils m’ont aussi obligé à prendre 300 affiches supplémentaires, alors que je n’en avais pas besoin », explique-t-il à Marianne. « Pourtant, j’avais un imprimeur ici qui avait besoin de travail, et il était beaucoup moins cher. »

    Francis Boudrenghien a aussi dû contracter un prêt à son nom, de manière toujours « obligatoire. »

    Pour financer quoi ?

    Le système, très rôdé, est le suivant.

    Acte 1 : 
    JEANNE, le micro-parti du FN, prête au candidat une somme destinée à financer sa campagne, avec un taux d’intérêt à 6,5%. 
    Jeanne, le microparti était la quatrième formation politique en termes de rentrées financières, à 9,6 millions €, derrière le PS, l’UMP et le PCF… mais devant le FN plus de 90 % des rentrées d’argent de Jeanne étaient constituées de la facturation des « services rendus aux candidats pour les campagnes électorales », essentiellement les « kits de campagne. »

    Acte 2 : 
    avec cette somme, le candidat doit acheter à Jeanne un kit de campagne (affiches, tracts…) confectionné par la société Riwal, dirigée par un proche de Marine Le Pen. 
    L’argent revient donc dans les caisses du micro-parti frontiste. 
    RIWAL
    39 RUE VINEUSE 
    75116 PARIS
    Gérant M Frederic CHATILLON
    RCS 400 363 198 – pas de comptes déposés depuis 2006

    Frédéric Chatillon, dont la société a perçu 1,6 million € pendant la campagne présidentielle, d’après des documents consultés par Mediapart. Ces kits sont au cœur des soupçons des juges auraient été largement surfacturés aux candidats frontistes ….

    Acte 3 : 
    après la campagne, le candidat se fait rembourser par l’Etat ses dépenses, c’est à dire le prêt majoré des intérêts, qu’il peut ainsi rembourser à son tour à Jeanne. Au final, le micro-parti du FN enregistre un bénéfice. Pour le parti, qui dénonce un « acharnement » judiciaire, ce système est parfaitement légal. Ce n’est pas l’avis des juges, qui le soupçonnent d’avoir détourné 10 millions € d’argent public.

    Francis Boudrenghien : « Au début, je n’ai pas cherché à comprendre, mais c’est après qu’on réalise qu’il se passe quelque chose », poursuit-il. « c’est de la magouille ! »

    Mais pourquoi l’élu a-t-il attendu tant de mois pour s’en plaindre ? 
    « Après les départementales, j’ai écrit à Marine Le Pen avec accusé de réception, elle ne m’a jamais répondu », assure-t-il.

    Pour lui qui milite dans les rangs frontistes depuis 1995, jamais de telles pratiques n’auraient eu cours dans le FN « d’avant »« C’est la première fois que l’on m’oblige à faire ça. Ce n’était pas comme ça sous Jean-Marie Le Pen. »

    Jean-Luc François Laurent, conseiller municipal FN à Valenciennes, mais écarté des listes pour les régionales, s’est lui aussi plaint de ce système.

    Bruno Wolinski, conseiller municipal de Sin-Le-Noble aussi : ils mettent en cause le patron du FN local, Guy Cannie, secrétaire départemental du parti. Contacté par Marianne, celui-ci met ces propos sur le compte de l’amertume des deux élus, pas retenus pour le scrutin de décembre. « M. Boudrenghien a été suspendu l’année dernière par Marine Le Pen et la commission des conflits. Il ne pouvait donc pas prétendre à être candidat », explique-t-il. Une suspension que confirme l’intéressé.

    Source : http://www.medias-presse.info

  • Même le HAINAUT !

    Valenciennois : quand les élus locaux du FN dénoncent les méthodes de leur parti

    Rédigé le Mardi 10 Novembre 2015 à 13:41 | 0 commentaire(s)

     

    En écartant Jean-Luc François Laurent et Francis Boudrenghien de la liste FN aux régionales, Guy Cannie a libéré leur parole. Ce qu’ils disent de la façon qu’a leur parti d’organiser une campagne électorale est instructif…


    Le coup est parti de Jean-Luc François Laurent, élu FN au conseil municipal de Valenciennes. Il n’a pas été retenu pour figurer sur la liste de son parti aux élections régionales de décembre. Tout comme Francis Boudrenghien, élu FN au conseil municipal d’Anzin. « Le Valenciennois est ignoré », ont dénoncé les deux hommes, dans notre article paru le mercredi 4 novembre.
    Furieux d’être traité de menteur par Guy Cannie, le « patron » du FN pour le Hainaut, Jean-Luc François Laurent nous a écrit, jeudi 5 novembre. Pour nous raconter les coulisses de son parti pendant une campagne électorale.

     

    « La sanction a été de me priver d’élections régionales en donnant un avis défavorable sur ma candidature. »
    « J’ai eu le tort de contester le kit de campagne que Guy Cannie voulait m’imposer aux élections départementales 2015, indique l’élu valenciennois. J’ai refusé de prendre la prestation expert comptable à 1 400 euros, alors qu’un expert comptable local me facturait 600 euros. J’ai refusé de prendre la prestation cartes postales au prix de 1 500 euros parce que ces 30000 cartes, livrées trois jours avant le premier tour, ne pouvaient pas être distribuées ; de ce fait, cette prestation devenait non remboursable. » Enfin, « j’ai refusé le prêt de l’association Jeanne au taux de 6,5 % que voulait m’imposer Guy Cannie pour financer ma campagne électorale ».
    Voici, selon Jean-Luc François Laurent, les véritables raisons de son absence au prochain scrutin : « La sanction de Guy Cannie a été de me priver d’élections régionales en donnant un avis défavorable sur ma candidature. » « Il ne s’agit pas d’un règlement de comptes personnel, affirme l’élu valenciennois ou d’un problème d’ego, nous sommes nombreux aujourd’hui à nous plaindre et à dénoncer l’impéritie du secrétaire départemental, à contester ses méthodes et ses agissements, de Valenciennes à Anzin, de Sin-le-Noble à Douai. »
    « Je vous laisse apprécier. Je n’ai rien à dire. Je connais la vérité », nous a dit Guy Cannie, à qui nous avons détaillé les accusations de M. Laurent. Le secrétaire départemental Nord-Hainaut n’a pas voulu répondre précisément aux remarques de l’élu valenciennois. Sur un sujet sensible, celui des kits de campagne du micro-parti Jeanne de Marine Le Pen, sur lesquels une information judiciaire est ouverte (1), Guy Cannie préfère dénoncer en bloc « une lettre calomnieuse », « des mensonges ». « On m’accuse d’un tas de choses. On va jusqu’à dire que je ne fais rien ! J’ai pris le parti de ne plus répondre. Attention, ça ne veut pas dire que qui ne dit mot consent ! » Guy Cannie note enfin « qu’ils ne se sont réveillés que le jour où ils ont appris qu’ils n’étaient pas sur la liste ».
    (1) Information judiciaire qui concerne cependant, il faut le préciser, les comptes de campagnes des cantonales de 2011 et législatives de 2012, non les comptes de 2015 visés par M. François Laurent.
    source : lavoixdunord.fr
  • On vous dit tout!

    mercredi 11 novembre 2015

    Mise au point des jeunes du Parti de la France

     

  • ENCORE UN, et pas des moindres !

    Aymeric Chauprade: «Pourquoi je quitte le Front national»

    Rédigé le Mardi 10 Novembre 2015 à 09:15 | 0 commentaire(s)

     

    Et un de plus... Le député européen, ancien conseiller international de la présidente du FN, rompt avec Marine Le Pen en dénonçant l'influence de Florian Philippot. Il plaide le retour de Philippe de Villiers dans un parti recomposé à droite.
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    Je me lance

    Pourquoi quittez-vous le Front national?


    C'est une décision aussi forte que mûrie. Au moment où le parti est en pleine ascension, où de nombreux opportunistes y cherchent des places, les Français sont en droit de se demander pourquoi j'en sors. Je le quitte à cause de deux trahisons essentielles dont Marine Le Pen s'est rendue coupable. La première est d'avoir dessaisi de toutes ses responsabilités, en janvier dernier, l'un de ses principaux collaborateurs. J'ai été son conseiller international, son chef de délégation et le président de la fondation du parti politique européen au Parlement européen. J'ai été dessaisi sous un faux prétexte: une vidéo dans laquelle je traitais du défi islamique, et dont le contenu a été repris, comble de l'ironie, par l'aile droite de Républicains, par Nadine Morano et Christian Estrosi. Mais il y a une deuxième trahison, beaucoup plus grave, qui ne me concerne pas.
    Laquelle?
    Quels que soient les torts et les excès du fondateur du Front national, peut-on pousser comme cela, dans l'escalier, un homme de 87 ans auquel on doit tout? Et qui disait déjà exactement la même chose quand Marine Le Pen en avait encore besoin! Comment ne pas penser que ceux qui trahissent à la fois leurs proches et ceux auxquels ils doivent tout, ne trahiront pas un jour le peuple lui-même? Sous la pression de Florian Philippot, Marine a décidé de se débarrasser de Jean-Marie Le Pen. C'est une faute morale grave car on ne peut pas prétendre incarner le parti des valeurs et des fondamentaux quand on brise soi-même un certain nombre de lois. Ce n'est pas une loi politique, c'est presque une loi de civilisation. Il y avait d'autres solutions pour Jean-Marie Le Pen. Considérez-vous, comme Jean-Marie Le Pen, que Marine Le Pen est sous influence?
    Elle s'est laissé piéger dans un chantage avec Philippot. Il lui a expliqué, dès le début, qu'il était la dédiabolisation en personne. Et celle logique dans laquelle elle s'est laissé enfermer est devenue un chantage quasi-quotidien. Elle a finalement accepté de perdre sa liberté et de fonctionner dans ce pouvoir bicéphale. Evidemment, cela nous amène à des divergences idéologiques.
    Quand Marine Le Pen explique que le FN ne renonce pas au libéralisme mais que le contexte économique et social du pays aujourd'hui, ne permet pas certaines options qu'elle juge dangereuses, rejetez-vous l'argument?
    Je le crois faux parce qu'en réalité, elle récolte les voix des gens désespérés. Son projet n'est pas fondé sur les forces vives de l'économie. Pour redresser le pays, il va falloir s'interroger sur le fait que près de 60% de notre économie c'est de la dépense publique, que l'Etat providence est en crise et qu'il est temps de créer de la croissance et de l'emploi en adaptant notre pays à tous les défis auxquels nous sommes confrontés, du droit du travail aux retraites en passant par la révolution digitale où la France et l'Europe ne comptent que pour 10% de l'industrie mondiale des technologies de l'information. La prise de distance de Marine Le Pen avec l'affaire «Air Cocaïne» dans laquelle vous avez activement participé à l'exfiltration de deux pilotes français, a-t-elle pesé dans votre décision?
    Bien sûr, cette affaire est un élément déclencheur. Pour Florian Philippot et Marine Le Pen, le risque d'image est plus important que l'engagement pour des valeurs comme la solidarité vis-à-vis de compatriotes confrontés à un vrai déni de justice. Il est plus important que l'engagement par les actes qui va au-delà des mots. Dieu sait pourtant si dans notre société, on reproche souvent aux politiques de n'être que dans les mots. Moi, je suis allé plus loin et j'en suis fier. Appelez-vous Philippe de Villiers à reprendre le leadership d'un mouvement?
    Il n'est un secret pour personne que je souhaite profondément le retour sur la scène politique de Philippe de Villiers, qui est un ami et un père politique. Je souhaite vivement qu'il revienne d'ici la présidentielle de 2017. J'ai lu son livre. Ce qu'il dit apporte beaucoup, il y a une verticalité dans son projet, une vraie vision. D'autres personnalités comme celles de Nicolas Dupont-Aignan, Henri Guaino, Robert Ménard ou Nadine Morano doivent participer à la recomposition à droite. L'avenir se reconstruira avec des gens qui ne lâchent rien, qui ont des convictions fortes, qui agissent.
    Cette «grande droite» aura-t-elle le temps de se construire d'ici 2017?
    Oui, parce que les contradictions et la stérilité du programme de Florian Philippot seront de plus en plus évidents même si le désespoir des Français est grand. La montée du FN correspond à une France qui n'en peut plus des bilans catastrophiques du PS et des Républicains, de la crise migratoire et de l'effondrement industriel de la France. Au FN, il y a une sorte de déni de la mondialisation. Il ne sert à rien de nier un fait. Il faut adapter la France en défendant ses valeurs face à deux défis: les partisans de l'Argent-roi qui réduisent la personne à un individu-consommateur, détruisent les familles et les identités, et les partisans, de plus en plus nombreux, de la loi islamique, à la place de la loi de la République. Ces derniers ont avec eux la loi de la démographie et l'angélisme de nombreux européens.
    source : lefigaro.fr
  • Nouvelle contribution

     

    mercredi, 04 novembre 2015

    Migrants : quand l’émotion soumet la raison

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    Bruno Mégret Le Chêne, n°81, octobre 2015

    La campagne menée actuellement dans les médias sur l’affaire des migrants est de même nature que celle orchestrée au début de l’année lors des attentats de Charlie Hebdo. Il s’agit dans un cas comme dans l’autre d’une formidable opération de manipulation des masses par la caste idéologique dominante.

    La manipulation des masses

    Ce que nous vivons depuis la parution de la terrible photo du jeune Aylan mort sur une plage turque procède en effet d’une opération de propagande montée de toutes pièces selon les méthodes classiques du genre. La photo du petit garçon en a été l’élément à la fois structurant et déclencheur. L’idée est en effet de focaliser l’actualité sur un événement concret qui soit de nature à soulever une forte émotion. Or, que peut-il y avoir de plus émouvant que la mort d’un enfant ? Si de surcroît on dispose d’une image du drame, l’émotion n’en sera que décuplée et l’effet amplifié.

    La deuxième phase consiste à exploiter cette émotion pour lui donner un sens politiquement correct et l’orienter idéologiquement en fonction de l’objectif recherché. « Cet enfant est mort parce que les Européens refusent d’accueillir les migrants. Ce sont donc eux qui sont responsables de cette mort tragique. Pour se racheter et éviter de nouveaux drames, ils doivent ouvrir grandes les portes de leurs pays ».

    Troisième phase destinée à emporter l’adhésion de la population française malgré tout fortement réticente : faire croire que cet événement a provoqué une vague sans précédent d’initiatives en faveur de l’accueil des migrants. Et les médias de multiplier les reportages montrant des communes, des associations, voire des personnes privées libérant des logements et accueillant les réfugiés. Que ces initiatives soient marginales, anciennes, ou purement théoriques importe peu, c’est l’effet de masse ainsi que la répétition du message qui doivent produire l’effet recherché. Et, une fois de plus, intellectuels, artistes, élus et tous les « people » sont mis à contribution sous forme de pétitions, d’interviews ou de déclarations.

    Quant au président de la République, bafouant une fois de plus l’opinion majoritaire des Français, il annonce que notre pays accueillera vingt-quatre mille migrants. Une déclaration mensongère, car si le chiffre est délibérément présenté comme très faible, il n’a en réalité aucun sens puisque qu’en l’absence de contrôle aux frontières, notre pays accueillera, qu’il le veuille ou non, tous ceux qui se présenteront et qui se compteront par centaines plutôt qu’en dizaines de milliers.

    Les Européens ne sont pas coupables

    Alors, bien sûr, il n’y a rien de pire que la mort d’un enfant innocent et l’on ne peut qu’éprouver tristesse et compassion face à un tel drame. Mais en l’occurrence, ce ne sont pas les peuples européens qu’il faut accuser. Le responsable de cette mort tragique, c’est d’abord le père qui en toute inconscience a fait monter son fils dans une embarcation de fortune sur une mer incertaine et cela dans le but, aurait-t-il déclaré, « de se faire refaire les dents en Europe ». Quant aux autorités, si certaines doivent également être mises en cause, ce sont les autorités turques qui n’assurent aucune surveillance policière le long de leurs côtes et aucun contrôle des migrants qui s’y présentent.

    Mais, pour la classe politico-médiatique, peu importe ces réalités. Il ne s’agit pas en effet pour elle de raisonner sur des faits mais de susciter des émotions avec pour seul objectif de faire accepter par les peuples européens des vagues supplémentaires d’immigration. La nouvelle dénomination de migrants, voire de réfugiés, ne change en effet rien à cette réalité. Il s’agit de provoquer un nouvel afflux migratoire sur notre sol et de le faire accepter par le peuple français non plus comme une fatalité qu’on ne peut éviter mais comme une obligation morale qu’il faudrait encourager, organiser et faciliter.

    De nouvelles menaces pour les Européens

    A travers cette nouvelle campagne de propagande, on cherche donc à nous imposer une augmentation massive de l’immigration et, plus grave encore, de l’immigration musulmane. En dehors d’une minorité de chrétiens effectivement persécutés pour leur religion et qui méritent notre solidarité, la grande masse des populations qui déferle sur le sol européen est en effet musulmane dont près de la moitié d’ailleurs ne vient pas des pays en guerre. Or, tout le monde le sait, la présence massive des immigrés sur notre sol pose des problèmes qu’aucun gouvernement n’a pu résoudre. Pis, la montée d’un islam incompatible avec notre civilisation est en train de faire voler en éclats la communauté nationale. La sagesse la plus élémentaire devrait donc pousser nos dirigeants à stopper l’arrivée de nouveaux immigrés et surtout de ceux qui se réclament de l’islam. Aussi est-il consternant de voir les autorités médiatiques et politiques de notre pays comme de nos voisins faire exactement le contraire et annoncer au monde que la France et l’Europe sont ouvertes à qui veut venir, créant ainsi un appel d’air qui va être entendu par des millions d’Arabes et d’Africains.

    L’autre solution

    On ne peut certes rester insensible au malheur des populations qui subissent la guerre et il est vrai que la France comme l’Europe devrait s’efforcer de leur venir en aide. Mais encore faut-il le faire sans sacrifier l’identité, la sécurité, la cohésion et la paix intérieure de notre nation. Aussi faut-il avancer d’autres solutions. Il faut tout d’abord s’efforcer de mettre fin aux conflits qui déchirent l’Irak et la Syrie en s’attaquant avec efficacité à l’État islamique. Et pour cela soutenir tous ceux qui le combattent, à commencer par Bachar el-Assad et son armée. (Et ne pas se contenter d’envoyer des avions de reconnaissance comme l’a annoncé récemment M. Hollande). Il faut ensuite fournir un soutien humanitaire aux réfugiés, en apportant une aide substantielle au fonctionnement des camps implantés dans les États musulmans voisins des pays en guerre ainsi que dans des secteurs sécurisés à créer au sein même de ces pays. Enfin, il faut fermer les frontières et faire patrouiller nos navires au large des pays d’embarquement afin d’organiser le retour vers les côtes des bateaux qui en partent. Quant au migrants qui parviendraient à gagner malgré tout les côtes européennes, ils devraient certes être recueillis, soignés et nourris, mais devraient dans le délai d’une semaine être rembarqués sur un bateau qui les reconduirait près de leur lieu d’origine. Enfin, une aide devrait être apportée à la Grèce et à la Bulgarie pour établir à leur frontière orientale un barrage physique infranchissable. Bref, il s’agit de convaincre les candidats à l’émigration qu’ils ne pourront mener leur projet à bien et qu’ils seront dans tous les cas renvoyés là d’où ils viennent.

    Quant à nos gouvernements, il est temps qu’ils se libèrent du chantage compassionnel permanent et qu’ils se rappellent enfin que la politique, la vraie, doit être régie non par les émotions mais par la raison avec comme objectif non pas le bien universel mais celui du peuple dont on a la charge.

    Source cliquez ici

  • Les défections continuent

    Je me suis procuré le texte envoyé à la presse locale par Francis BOUDRENGHIEN, conseiller municipal à ANZIN.

    Ce dernier met en lumière les agissements d'un "chef" jaloux de ses prérogatives.

    A lire et publier sans restrictions, édifiant !

    BOUDRENGHIEN VDN ANZIN.docx

  • Avec CANNIE, c'est : circulez, il n'a rien à voir !

    Colère des élus FN du Valenciennois, écartés des Régionales par M. Le Pen

    Publié le 03/11/2015

    par VINCENT TRIPIANA

    Ni Jean-Luc François Laurent ni Francis Boudreghien. Les deux élus frontistes du Valenciennois, absents de la liste pour les élections régionales, crient au despotisme. En ligne de mire, Guy Cannie, le patron du FN pour le Hainaut, qui ne s’en laisse pas compter. Règlement de comptes.

     

    « On est très remontés, à Anzin, Valenciennes et Douai. On s’insurge. Ça va exploser ! » Mais de quel révolutionnaire ces propos viennent-ils ? De Jean-Luc François Laurent, élu FN à Valenciennes. Comme Francis Boudrenghien, élus à Anzin, il ne figure pas sur la liste de Front nationale aux élections régionales de décembre. « Je suis zappé, nous a dit mardi Jean-Luc François Laurent. Mme Valérie Codron, ma colistière, n’est pas en position éligible. Il n’y a personne d’Anzin non plus. Le Valenciennois est ignoré. On n’a pas tenu compte de notre territoire. »

    « Il dit des bêtises, des mensonges ! répond Guy Cannie, le patron du FN pour le Hainaut. Il y a une quinzaine de candidats du Hainaut dans la liste ! Jean-Luc François Laurent n’y est pas, c’est vrai, parce que je m’y suis opposé. » Pour des raisons internes au fonctionnement du Front national, nous a expliqué Guy Cannie.

    Une quinzaine de candidats ? « Ce ne sont pas des élus !, s’insurge Jean-Luc François Laurent. Je parle d’élus, pas de copains. Nous, on s’est battus, à toutes les élections, municipales, législatives et départementales. Ils ont placé leurs copains, des gens du Pas-de-Calais et de Lille. Il y a pourtant 390000habitants dans l’arrondissement. On est méprisés, je trouve cela déplorable. Mais le feuilleton ne fait que commencer. »

    L’Anzinois Francis Boudrenghien n’est « pas content de Guy Cannie. Il ne s’occupe pas du Hainaut ! Il n’est jamais là ! »

    « Il m’en a toujours voulu, réplique Guy Cannie. C’est un ami de Dominique Slabolepszy (l’ancien patron du FN dans le Valenciennois), il n’a jamais accepté qu’un Lillois s’occupe du Hainaut. »

    Revenons au Hainaut, pour finir. À Marine Le Pen, lors de sa venue à Raismes, le 16 octobre, l’un de nos journalistes avait posé la question de l’absence de propositions pour le Valenciennois, un bassin de population qui a des problèmes spécifiques. « Quand je serai présidente de région, nous avait-elle répondu, ce sera à mes élus du Valenciennois d’avoir des propositions. » Des élus d’avant ou d’après les régionales ?

  • Comme dit la pub ! Et c'est pas fini !

    RÉGIONALES : CONTRE LE CHOIX GONDRAN, A. DELÉGLISE QUITTE LE FRONT NATIONAL

    Rédigé le Mardi 3 Novembre 2015 à 08:47 | 0 commentaire(s)

     

    Comme nous l’indiquions dans la Gazette du 30 octobre 2015, le choix de Louis Aliot de confier la tête de liste ariégeoise Front national à l’ancien maire de St-Girons Bernard Gondran n’a pas été du goût de tout le monde, au sein même du FN. D’anciens candidats frontistes aux élections locales ont critiqué anonymement ce qu’ils considèrent être "une erreur stratégique". Aujourd’hui, c’est le conseiller municipal et conseiller communautaire de Pamiers Aimé Deléglise qui annonce sa démission du FN. Il s’en explique par le communiqué reproduit in extenso ci-dessous.


     

     

    Après mures réflexions je retourne ce jour aux instances nationales ma carte de membre du Front National auquel j’avais re-adhéré en 2002.

    Suite à l’investiture par la direction du Front National de Bernard Gondran, (choix non justifiable), celui-ci n’a qu’une ambition, celle de profiter de la vague bleu marine pour être élu, j’estime qu’il n’a aucune légitimité pour porter les couleurs du Front National dans notre département comme tête de liste de l’Ariège pour les prochaines élections régionales 2015 « puisqu’il n’est pas membre de ce parti ». Il ne connaît ni notre fédération ni ses membres car étant ex-membre de L’UMP il est très loin de nos idées.

    Je ne me reconnais donc plus dans ce parti qui est devenu « le Front des opportunistes » ceci prouve par cette investiture le total mépris du Front National à l’égard de ses hommes de terrain, de qualité et de valeurs qui travaillent depuis des années sans relâche bénévolement et avec tous les risques que cela engage (que ce soit sur le plan physique, social ou professionnel).

    Voici La liste contre nature et néfaste pour l’Ariège présentée par Louis Aliot. Un Gondran épineux et envieux avec aucune affinité avec le FN qui veut surfer sur la vague du parti pour être élu, accompagné d’ une horde de loups fraichement arrivés aux dents acérées en diamant, prêts à dévorer tout ce qui se dresse devant eux par ambition personnelle et aveuglés par le pouvoir éventuel de domination.

    Par définition une liste bien loin de répondre aux attentes des Ariégeois qui croient en des personnes sincères et proches de leurs attentes. Une telle liste non crédible ne peux proposer un projet concret adapté à notre Ariège chérie pour son développement au sein de cette nouvelle grande région, ce sera un projet national comme toujours sans aucun intérêt pour l’Ariège. Seule ambition de cette liste, être élu avec des promesses électorales qui ne seront pas tenues !!

    J’ai une trop haute idée de la politique au service de la France et de notre département pour accepter d’être utilisé comme prétexte à une telle opération. J’espère que les électeurs ne tomberont pas dans le piège de cette supercherie et vont bien réfléchir avant de mettre un bulletin dans l’urne, les élus de cette liste risquent de plonger l’Ariège dans un mauvais pas pour longtemps. Il est évident que je ne démissionnerais pas de mes mandats car j’ai été élu par les appaméens et appaméennes sur les idées fondamentales du FN et non sur celles d’aujourd’hui, je veux rester fidèle aux électeurs qui mon fait et me font confiance. « Être un élu FN sur le banc de touche, va bientôt devenir une marque déposée »

    Aimé DELEGLISE Conseiller Municipal & conseiller communautaire

    Source : http://www.gazette-ariegeoise.fr/7400-Regionales-contre-l...
    via pdf31

  • Encore merci, René

    lundi 2 novembre 2015

    .ON MARCHE SUR LA TETE !

     
    JEAN DE LA FONTAINE DISAIS : SELON QUE VOUS SOYEZ PUISSANT OU
    MISERABLE....................................

    JE LE PARAPHRASERAIS EN DISANT : SELON QUE VOUS SOYEZ DE DROITE OU
    DE GAUCHE...................................

    §§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§

    Henri Guaino condamné à 2000€ pour outrage

    COMPARAISON - Cela vous a peut-être échappé, tout occupés que vous étiez à observer l'incroyable "acte révolutionnaire" de Marine Le Pen qui, n'écoutant que son courage, a décidé de ne pas répondre à une invitation, mais, ce jeudi 22 octobre, il s'est passé bien d'autres choses. Henri Guaino, par exemple, a été condamné à 2.000 euros d'amende pour avoir outragé le juge Jean-Michel Gentil. Une sanction que le député Les Républicains des Yvelines a un peu de mal à encaisser.
    Invité d'iTÉLÉ , l'ancienne plume de Nicolas Sarkozy dénonce "le corporatisme et la pression syndicale" du système judiciaire.
    Et s'indigne que l'on ne puisse pas critiquer un juge alors qu'on peut insulter des élus.

    Il dit : Il y a quelque chose qui ne va pas. Un humoriste traite un député de 'salope'. Il est relaxé. Un député critique – violemment peut-être - mais critique - je ne l'insulte pas - un juge qui a fait son travail à ses yeux de façon scandaleuse et il est condamné. Où allons-nous ?  

    Henri Guaino fait ici référence à Guy Bedos, relaxé mi-septembre après avoir traité Nadine Morano de "conne" et de "salope", entre autres. L'eurodéputée a fait appel de cette décision.
    Henri Guaino ne sait pas forcément où l'on va. En revanche, il ne s'interdit pas, malgré sa condamnation, de critiquer à nouveau le juge Gentil. Le député LR n'a apparemment pas peur du qu'en-dira-t-on ni des condamnations. "On peut me condamner  une fois, dix fois, 20 fois, 100 fois, 1.000 fois. Personne ne me fera taire, ajoute-t-il.

      C'est le rôle d'un représentant de la nation, disposant d'une parcelle certes infime de la souveraineté nationale, c'est son rôle de dénoncer tout dysfonctionnement dans les institutions, de dénoncer les agents publics quand ils outrepassent leurs pouvoirs, quand ils abusent de leurs pouvoirs et là j'estime que le juge Gentil a abusé de son pouvoir."

    Et l'élu d'estimer que la justice ne fonctionne décidément pas vu que, d'après lui, "les voyous sont dehors" et lui est condamné :
    Moi je peux me défendre mais les pauvres gens qui ne peuvent pas se défendre, eux, on les embastille, on les traîne dans la boue.

    En mars 2013, Henri Guaino a plusieurs fois critiqué l'attitude du juge Gentil qui avait décidé de mettre en examen Nicolas Sarkozy pour "abus de faiblesse" dans le cadre de l’affaire Bettencourt. À l'époque, l'élu LR a dénoncé une décision "indigne" qui "salit l’image de la France" et "déshonore la justice". 

     
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    Injures envers Nadine Morano : Guy Bedos relaxé à Nancy
     
    L'humoriste était poursuivi pour avoir insulté Nadine Morano lors d'un spectacle à Toul en 2013
    L'humoriste Guy Bedos,( ????? ) poursuivi pour avoir notamment traité Nadine Morano de "conne", a été relaxé  par le tribunal correctionnel de Nancy. Le tribunal a estimé qu'il était resté dans "la loi du genre" en tant qu'humoriste, et qu'il n'avait "pas dépassé ses outrances habituelles" lorsqu'il avait copieusement insulté l'élue lors d'un spectacle à Toul, en Meurthe-et-Moselle, en 2013.
     
    Rencontre Morano-Bedos à l'audience. "Nadine Morano a été élue ici à Toul ? Vous l'avez échappé belle ! On m'avait promis qu'elle serait là... Quelle conne !" avait notamment lancé l'artiste sur scène, entre autres injures à l'intention de l'élue. A l'audience, le 7 septembre, le procureur Pierre Kahn avait estimé que "la limite (avait) été franchie" lors de ce spectacle.
     
    Ces poursuites pour "injure publique" étaient passibles d'une amende maximale de 12.000 euros. Guy Bedos et Nadine Morano s'étaient croisés au tribunal, mais cette dernière avait refusé de serrer la main que lui tendait l'humoriste, en arguant qu'ils n'étaient "pas au théâtre". Guy Bedos avait récusé toute misogynie, tandis que l'élue l'accusait de lui vouer une "animosité personnelle". 
     
    Une insulte renouvelée sur un plateau. Dans l'émission "On n'est pas couché" sur France 2, Guy Bedos avait renouvelé ses injures contre l'eurodéputée. Celle-ci lui réclamait 15.000 euros de dommages et intérêts, qu'elle souhaitait verser à des associations de lutte contre les violences faites aux femmes.
     
    "Pas un mot, ni pour ni contre Nadine Morano. Elle est trop chère. J'aurai le jugement lundi, d'ici là, je me tais", avait dans un premier temps répondu Guy Bedos à Laurent Ruquier, avant de s'emporter une nouvelle fois. "15.000 euros quand même ! 15.000 euros ! ça ne va pas non ? Conne !" avait-il dit, en suscitant des rires dans le public.
     
     

     

     
     

  • Nos traditions

    Bonne fête de Toussaint

    Rédigé le Dimanche 1 Novembre 2015 à 11:01 | 0 commentaire(s)

     

    Comme son nom l’indique, la Toussaint est la fête de tous les saints. Chaque 1er novembre, l’Église honore ainsi la foule innombrable de ceux et celles qui ont été de vivants et lumineux témoins du Christ.


    Si un certain nombre d’entre eux ont été officiellement reconnus, à l’issue d’une procédure dite de « canonisation », et nous sont donnés en modèles, l’Eglise sait bien que beaucoup d’autres ont également vécu dans la fidélité à l’Evangile et au service de tous. C’est bien pourquoi, en ce jour de la Toussaint, les chrétiens célèbrent tous les saints, connus ou inconnus.