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SLABO - Page 4

  • Halte à la fraude, toutes les fraudes !

    Comme je l'ai expliqué à de nombreuses reprises, quand on veut, on peut. C'est valable pour toutes les fraudes.

    Il existerait 1,8 million de numéros de sécurité sociale attribués à des étrangers à partir de faux documents

    20 Décembre 2018, 06:17am

    Publié par Thomas Joly

    A l’heure où les gilets jaunes manifestent dans les rues contre la pression fiscale, Charles Prats, un magistrat spécialiste de la fraude, travaillant au ministère des finances sous la présidence de Nicolas Sarkozy, affirme qu’il existe en France 1,8 million de numéros de sécurité sociale attribués probablement sur la base de faux documents.

    Une fraude de 14 milliards d’euros ?

    « Si on coupe ce robinet, c’est de l’argent économisé immédiatement » dit-il. Son chiffrage aboutit même à la somme de 14 milliards d’euros. Il s’est exprimé le 14 décembre sur Europe 1.

    La sénatrice Nathalie Goulet, membre du groupe Union Centriste, secrétaire de la commission des Finances,  a réagi à ses propos en indiquant qu’elle venait de faire voter un amendement demandant au gouvernement de rendre un rapport dans les 6 mois sur cette situation.

    La fraude proviendrait de la création des numéros de sécurité sociale pour les personnes nées à l’étranger. Pour les Français nés à l’étranger et les étrangers venant travailler en France, il est créé un numéro de sécurité sociale appelé NIRPP, numéro d’identification au répertoire des personnes physiques, en simplifiant le NIR.

    La clé d’identité pour entrer dans le système de protection sociale

    « C’est la clé d’identité pour entrer dans le système de protection sociale pour percevoir les prestations, la sécurité sociale maladie, la retraite, les allocations familiales, le RSA » explique Charles Prats. « On a alors attiré notre attention, sur le fait qu’il y avait un problème à la suite d’un décret de simplification qui autorisait l’usage de photocopies » dit-il.

    En 2010-2011, il déclare que lorsqu’il travaillait au ministère des Finances, une étude a été menée avec la police de l’air et des frontières, des spécialistes des faux documents et des gens de l’INSEE. « Nous nous sommes rendus compte que nous avions un taux de fraude supérieur à 10% sur 18 millions de numéros de sécurité sociale attribués. Donc, cela représente 1,8 million de numéros attribués sur la base de faux documents tels que de faux extraits d’acte de naissance » ajoute-t-il.

    Il pointe qu’une loi a alors été passée afin de palier aux risques liés à ces faux documents et à la nécessité de passer en revue les 18 millions de numéros de sécurité sociale attribués. « Mais le décret d’application n’a jamais été publié, et il y a eu l’alternance politique en 2012. Tout cela est tombé aux oubliettes. La sénatrice Nathalie Goulet, il y a 1 an et demi a interrogé le gouvernement sur cette question. Il lui a été répondu que 500 dossiers avaient été examinés sur 18 millions » raconte le magistrat.

    18 millions de dossiers à regarder au cas par cas

    « Est-ce que ces 1,8 million perçoivent des prestations ou pas, il faut regarder au cas par cas. Il y a des gens qui connaissant le système, ont pu se créer 20 identités différentes pour percevoir des prestations. On peut tout imaginer. Des réseaux très organisés où les gens se créent de multiples identités » conclut-il.

    Source : http://larevuedudigital.com

  • Les gilets jaunes revendiquent, aidez-nous !

     
    IAIUIXICIAIDIRIEISI
    LA LETTRE DE LIAISON DU PDF
     

    20 décembre 2018

     
       
     
       
    Soutenez la résistance nationale
    Faites un don au Parti de la France
     
     
     
    Depuis bientôt 10 ans le Parti de la France mène le combat politique de résistance nationale face à la colonisation migratoire et à l’islamisation de la France. 
    Nous portons avec une détermination sans faille les valeurs de la droite nationale, populaire et sociale ainsi que les valeurs de notre civilisation européenne et chrétienne. La défense de notre identité et de nos traditions ainsi que la protection du peuple français et la sauvegarde de notre nation sont au cœur de notre engagement.
    Les événements politiques et sociaux qui s’annoncent en 2019 seront rudes et la situation de notre pays est malheureusement plus dégradée et plus grave qu’il n’y paraît.
    Dans ce chaos en préparation, notre mission politique est de faire entendre avec force la voix de la droite nationale de conviction.
    Je suis convaincu que nos principes, nos valeurs et notre éthique sont la clé du redressement national au service du peuple et de la patrie.
     
    Mais pour pouvoir continuer ce combat, nous avons besoin de votre aide militante et financière.  Si vous ne pouvez pas vous engager personnellement, alors, aidez ceux qui s’engagent, aidez ceux qui mènent le combat nécessaire et vital de la résistance nationale et européenne. 
    Nous n’avons ni l’argent des banques, ni l’argent de l’Etat. Nous avons besoin de votre aide financière. Soutenez le Parti de la France.
     
    Carl Lang
       
     
    Les chèques de dons doivent être libellés à « Myriam Baeckeroot, mandataire financière du PdF » et adressés à Myriam Baeckeroot, 6 allée des Templiers 78860 Saint Nom La Bretèche
    En faisant un don avant la fin de l’année 2018, vous bénéficierez en 2019 d’un coupon de réduction fiscale de 66% sur la somme versée si vous êtes assujetti à l’impôt sur le revenu des personnes physiques.
     
           
     

    Réinfo, le magazine d'information

     

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      Le journal télévisé du PdF
    présentée par Sylvie Collet
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  • Macron se fout des français !

    Le pacte de Marrakech formellement approuvé


    Une fois de plus la voix et l’opinion majoritaire des Français n'ont pas été prises en considération par Macron... le mépris, toujours le mépris...


     
    Une quinzaine de pays ont fait part de leur retrait ou du gel de leur décision concernant ce texte qui déchaîne les passions.

    Un vote contre vents et marées. Le pacte mondial sur les migrations de l'ONU a été formellement approuvé ce lundi matin à Marrakech. Ce texte non contraignant pour les Etats qui le ratifient vise à encourager une coopération renforcée dans le domaine migratoire.  

    LIRE AUSSI >> "Le Pacte sur la migration peut changer la donne" 

    Des représentants de plus de 150 pays se sont réunis ce lundi au Maroc, pour approuver le Pacte mondial sur les migrations piloté par l'ONU, un texte qui polarise les critiques des nationalistes et des anti-migrations. C'est par un simple coup de marteau que le texte destiné à renforcer la coopération internationale pour une "migration sûre, ordonnée et régulière" a été adopté, après proclamation orale.  

    Un sujet qui déchaîne les passions

    Sans vote ni signature, la conférence intergouvernementale de Marrakech devait être une simple étape formelle du processus, avant un ultime vote de ratification le 19 décembre à l'Assemblée générale de l'ONU. Mais le sujet déchaînant les passions, une quinzaine de pays ont fait part de leur retrait ou du gel de leur décision.  

    LIRE AUSSI >> Le Pacte de Marrakech, le texte qui déchaîne les rumeurs 

    "Il est étonnant qu'il y ait eu autant de désinformation à propos de ce que le Pacte est et de ce qu'il dit (...), il ne crée aucun droit de migrer, il ne place aucune obligation sur les Etats", a martelé Louise Arbour, la représentante spéciale de l'ONU pour les migrations, dimanche soir au cours d'une conférence de presse à Marrakech. 

    Retrouver cet article sur L'Express.fr

  • Préparons nous à la charia !

    Macron veut que l’UE sanctionne les pays réfractaires à l’invasion migratoire


    Emmanuel Macron n’a vraiment rien compris à la volonté profonde des peuples européens :


     

    Parlant d’une même voix, ils ont plaidé pour la mise en place de « centres fermés » sur les côtes européennes pour gérer les migrants qui débarquent de Méditerranée. Une proposition également appuyée par Berlin. Dans ces plateformes, les migrants attendraient l’examen de leur cas, essentiellement en Italie, pays principal d’arrivée actuellement, mais aussi en Espagne. Pour appliquer cette proposition, il faudrait que tous les pays européens acceptent d’accueillir les réfugiés qui obtiendraient le droit d’asile, quitte à les y contraindre.

    Emmanuel Macron a ainsi brandi la menace de sanctions (financières ou institutionnelles) envers ceux qui refuseraient de le faire, comme l’ont d’ores et déjà annoncé les pays du groupe de Visegrad (Hongrie, Pologne, République tchèque et Slovaquie), très hostiles aux migrants. « On ne peut avoir des pays qui bénéficient massivement de la solidarité de l’UE et qui revendiquent massivement leur égoïsme national quand il s’agit de sujets migratoires », a-t-il lancé.

     

    Source : lesalonbeige

  • Le FN lave plus blanc que blanc !

    Faits divers – Justice

    Financement des campagnes 2012 : la justice valide définitivement le renvoi du FN devant le tribunal

    mercredi 5 décembre 2018 à 17:28 Par Viviane Le Guen, France Bleu

    La cour de cassation a définitivement validé le renvoi devant le tribunal correctionnel du Front national (devenu RN) poursuivi dans l'affaire des kits de campagne aux législatives 2012 et des soupçons d'escroquerie aux frais de l'État a appris l'AFP ce mercredi.

  • Le grain de sel de Jean-Claude ROLINAT

     

    LA TRANSITION ENERGETIQUE A BON DOS !


     
    Mais pour qui nous prennent-ils ? Pour des débiles profonds, prêts à gober n’importer quel bobard, à ingurgiter toute infox, les « fake news » comme « ils » disent, dans leur misérable franglais de snobinards des beaux quartiers ? Le tout illustrant à merveille le vieil adage disant que « plus c’est gros, plus ça passe » ?
    Non, la transition énergétique est un leurre pour bobo branché, pas une réalité pour la France qui peine, qui se lève à l’aube, qui prend son automobile parce que les transports en commun ne sont ni sûrs, ni rapides ou, parfois, totalement inexistant pour ces millions de rurbains qui habitent à la campagne ou à la grande périphérie des villes. (Car les loyers, - et encore !-, y seraient moins chers).
    C’est un produit de luxe pour des gens aisés, pour une société apaisée, qui est tout le contraire  de l’actuelle  société française fractionnée en corporations rivales, éclatée en communautés ethniques ou sociétales totalement divergentes, dans  leur comportement comme dans leurs espérances. Là aussi, « le bien vivre ensemble » est un leurre. Le socialisme « hollandien » avait gravement compromis l’unité nationale, le pouvoir « macronien » l’a achevée. Gérard Collomb, lui, dans une démission du genre « courage, fuyons ! », en a déjà tiré les leçons.
    La France toute seule, « pour sauver la planète ? »
    La France de nos jours, c’est  1 % maximum de la population planétaire. Peut-on raisonnablement espérer que ce 1 %, s’il réduisait sa facture énergétique, concourrait utilement à faire baisser le réchauffement climatique, à supposer d’ailleurs, que les doctrinaires du GIEC aient raison ? Car rien n’est formellement avéré. Ne devrait-on pas parler, plutôt, de dérèglement ? Le polytechnicien Christian Gérondeau, l’ancien « Monsieur sécurité routière », penche pour cette thèse.(Son livre, Climat, les grandes manipulations). Les comparaisons fiables ne pourraient s’effectuer qu’avec plus de recul, car les mesures météorologiques sont, à l’échelle de l’histoire de l’humanité,  très récentes. Il n’en demeure pas moins qu’il y a des phénomènes récurrents anormaux, sinon alarmants : tornades, tempêtes, raz-de -marée, crues hors saisons ou, au contraire, sécheresse. Mais est-ce dû à la seule activité humaine ? Etant « climato-sceptique », j’en doute.
    Que les gros pollueurs lèvent le doigt
    La France a le plus gros parc mondial de centrales nucléaires après les Etats-Unis. Elle a 58 réacteurs répartis en 19 sites. C’est l’essentiel de notre production énergétique « lourde ». Le nucléaire, on le sait, ne pollue pas. Il est vrai que l’angoisse nait de la fiabilité, de la sécurité et de la sûreté des centrales. Ici en France, et heureusement, ce n’est ni Tchernobyl, ni Fukushima. Espérons qu’à chaque centrale est affecté un élément armé de gendarmerie ! Mais il est vrai que l’enfouissement des déchets pose  un problème sur le très long terme. Quelle solution ? Des galeries profondes à l’abri des secousses telluriques ?  Nos voisins européens, dans leurs choix énergétiques, ne sont pas très raisonnables. Des centrales à charbon, comme en Pologne ou en Allemagne, polluent allègrement. Aux Etats-Unis, du gaz de schiste extrait sans vergogne et la réouverture de mines, fortifient l’assise électorale de  mister Trump . Les éoliennes qui  gâchent certains de nos paysages, sont-elles une alternative suffisante ? (Je laisse le soin au lecteur de se reporter à l’ouvrage d’Alban d’Arguin !) N’oublions pas non plus, que  la capacité maximum en  centrales hydrauliques  est atteinte : il n’y a plus de vallées à inonder. (Et rappelons-nous les déchirements  humains causés lors de l’édification des barrages, à Tignes, notamment) Et puis, constatons que l’Inde comme la Chine ne se sentent guère concernées par la COP-21, clôturant en fanfare, le séminaire de la lutte contre le méchant gaz carbonique à effet de serre ! Les pétroliers eux-mêmes, pays producteurs comme compagnies exploitantes, ont tout intérêt à puiser et user « l’or noir » jusqu’à la dernière goutte, tout en investissant et misant sur des énergies nouvelles plus « soft », en vertu d’une prudence comportementale qui consiste à ne pas mettre « tous ses œufs dans le même panier »…Des états comme les Emirats arabes unis ou l’Arabie Saoudite, jouent du « yoyo » à la pompe, en réduisant leur production pour préserver l’avenir. Tous les membres de l’OPEP semblent à l’unisson. Nous pourrions acheter iranien, moins cher compte-tenu que ce pays est devenu un « paria », mais, l’embargo US auquel nous nous soumettons, nous oblige à nous en détourner. Le prix du baril s’envole, celui du carburant au détail aussi, l’état français répercutant mathématiquement la hausse. Il se goinfre de taxes. Et Mr Dupont/Durand paye plus cher son litre de super comme de gasoil. CQFD ! Il pourra toujours se consoler en sachant qu’un milliard d’euros va au financement de l’Aide médicale d’Etat (AME), et deux autres au financement des « MNA », ces fameux mineurs étrangers non accompagnés, qui ne sont pas plus mineurs que votre grand-mère ou moi-même !
    La démographie démentielle de certains pays n’arrangera rien
    Les écologistes oublient toujours de mentionner, parmi les « coupables » du réchauffement climatique supposé, les pays à forte démographie, comme ceux d’Afrique. Pourquoi ? Par idéologie, parce que l’homme blanc est coupable de tout.  On ne nous fera pas croire qu’une planète à 10 ou 11 milliards d’humains dont quatre en provenance d’Afrique, sera plus vivable que notre chère planète bleue d’aujourd’hui ! Si nous souhaitions que les Africains aient un niveau de vie comparable ne serait-ce qu’aux pays européens les moins aisés, - Serbie, Albanie, Macédoine, Bulgarie, Roumanie, Arménie, Géorgie-, il faudrait électrifier massivement le continent noir, - plan Borloo-, et les besoins en eau l’assècherait ! Les barrages sur le haut Nil sont lourds de conflits potentiels entre les riverains du fleuve des Pharaons ! Les usines de dessalement de l’eau de mer pourraient utilement suppléer à la raréfaction de l’eau douce, mais qui paierait l’addition ? Le banlieusard ou le campagnard, qui voit ses notes de carburant et de fioul exploser, on l’a vu, l’entrainant à revêtir le fameux « gilet jaune » ? Et Dupont/Durant peut-il se payer un véhicule électrique, réputé moins polluant (à court terme !), sans mettre gravement en danger l’économie de sa famille ? Que nenni monsieur Macron !
    Et Zorro est arrivé….
    Le lundi 26 novembre, Sa Majesté s’est adressée au pays depuis son palais de l’Elysée devant un parterre de notables et de journalistes. Brillant, se voulant didactique et pédagogique, le discours du chef de l’Etat a été diffusé sur les ondes pendant ¾ d’heure. Macron s’est évertué à nous faire avaler sa stratégie de réduction de la signature carbone, en fait une écologie punitive. Rien, ou presque, sur les revendications très terre à terre des « Gilets jaunes ». Ce n’est pas la création d’un Haut conseil pour l’action climatique, un « comité Théodule » de plus, qui rassurera Bitru, scotché à  son rond-point qu’il occupe depuis le week-end dernier ! On nous annonce 7 à 8 milliards affectés à cette « transition », une fermeture programmée de 14 réacteurs d’ici à 2035, avec comme objectif de réduire notre dépendance nucléaire de moitié. Comment ? Grâce à la géothermie, au gaz méthane, aux véhicules « propres », aux panneaux solaires et aux…éoliennes, avec un parc marin déjà prévu du côté de Saint-Nazaire en attendant mieux, du côté de Dieppe, peut-être. Cerise sur le gâteau, concession au peuple, il y aura bien une concertation pendant les trois prochains mois avec tous les acteurs concernés, y compris les « gilets jaunes ». (Comment déterminer avec justesse qui parlera en leur nom ????) S’il est évident qu’il faille, à terme, diminuer l’impact des énergies fossiles, nous ne devons pas être, pour autant, condamnés à voir notre France défigurée par tous ces « obélisques » hideux dressés du nord au midi, grands épouvantails à hélices brassant de l’air comme un fonctionnaire de Courteline, pas plus que tous nos toits doivent se couvrir de panneaux solaires . Ou, encore, que l ’habitacle de nos voitures  soit réduit à la portion congrue pour faire de la place aux piles ! (Dont les fabricants sont, au passage, Chinois et Coréens du Sud).
    L’inévitable relai politique
    Les « gilets jaunes » qui, apparemment restent sur leur faim, - à l’origine mouvement informel non violent et non structuré-, doivent se « réinventer » s’ils veulent se maintenir dans la durée. Noël approche et le gouvernement joue le pourrissement de la situation. Pas sûr qu’un tel mouvement aux revendications tellement  disparates puisse continuer à mobiliser des salariés. Bientôt, peut-être, ne resteront plus présents que les chômeurs et les retraités. L’opinion, favorable, peut basculer à tout moment devant des blocages persistants. A terme, la solution est politique ; elle ne peut être que politique. Ou nous choisissons la voie insurrectionnelle, comme le revendique un porte-parole autoproclamé, ou alors c’est l’issue démocratique qui s’impose. Elle passe, inéluctablement, par de nouvelles élections législatives. Macron, pour l’instant, est « droit dans ses bottes ». Si la situation persistait, si le pays était paralysé, il devrait céder sur les hausses de taxes ou s’en remettre au suffrage universel. C’est ce que De Gaulle avait fait en 1968. Mais pas sûr, cette fois-ci, que les électeurs reconduisent la majorité sortante.
     
    Jean-Claude ROLINAT
     

     

  • Qui ne paye pas ses impôts en France ?

    La liste est révélatrice.

    va payer les impôts en France ?     

     

    Marion Bartoli                                                     réside en Suisse

    Julien Benneteau                                                réside en Suisse

    Arnaud Boetsch                                                   réside en Suisse

    Arnaud Clément                                                  réside en Suisse

    Nicolas Escudé                                                     réside en Suisse

    Guy Forget                                                            réside en Suisse

    Richard Gasquet                                                  réside en Suisse

    Henri Leconte                                                      réside en Suisse

    Sébastien Loeb                                                    réside en Suisse

    Paul-Henri Mathieu                                            réside en Suisse

    Gaël Monfils                                                         réside en Suisse

    Christophe Moreau                                             réside en Suisse

    Amélie Mauresmo                                               réside en Suisse

    Stéphane Peterhansel                                         réside en Suisse

    Cédric Pioline                                                        réside en Suisse

    Alain Prost                                                             réside en Suisse

    Gilles Simon                                                          réside en Suisse

    Wilfried Tsonga                                                    réside en Suisse

    Vincent Rives                                                        réside en Irland

    Jean-Philippe Gatien                                           réside aux USA

     

    "Artistes Chanteurs"

    Charles Aznavour                                                 réside en Suisse

    David Hallyday                                                     réside en Suisse

    Patricia Kaas                                                         réside en Suisse

    Florent Pagny                                                      réside en Argentine

    Michel Polnareff,                                                réside aux USA

    Marie Laforêt                                                      réside en suisse

    Renaud                                                                 réside à Londres

    Yannick Noah   réside aux USA (le "personnage préféré des français”)
     

     "Acteurs"

    Daniel Auteuil                                                    réside en Belgique

    Emmanuelle Béart                                            réside en Belgique   (la  donneuse de leçons pour les "sans papiers en France"!!!)

    Lætitia Casta                                                       réside en Angleterre

    José Garcia                                                          réside en Belgique

    David Habibi                                                       réside au Canada

    Alain Delon,                                                        réside en Suisse

     

    Patrons et Actionnaires"

    Jacques Badin (Carrefour) &n bsp                  réside en Belgique

    Thomas Bata (marque de chaussures Bata)   réside en Suisse

    Famille Baud (dont Jean Baud), (marques Franprix et Leader Price, 2 à 3 milliards de CHF)  réside en Suisse.

    Lotfi Belhassine, président d'Air Liberté   réside en Belgique.Il a fui la France car l'ISF représentait 93% de ses revenus.

    Claude Berda, AB Groupe                               réside en Suisse

    Des membres de la famille Bich (Groupe Bic) résident en Suisse

    Michèle Bleustein-Blanchet, Publicis/span     réside en Suisse

    Corinne Bouygues                                             réside en Suisse

    Pierre Castel, PDG du groupe Castel Frères propriétaire des eaux Cristalline, Vichy Célestins et Saint-Yorre        réside en Suisse.

    Des membres de la famille Mulliez (propriétaire de Auchan, Décathlon, Mondial Moquette, Norauto et Kiabi)résident en Belgique.

    Georges Cohen, informatique et armement       réside en Suisse

    Bernard Darty, fondateur de Darty               réside en Belgique

    Jean-Louis David, salons de coiffure                   réside en Suisse

    Membres de la famille Defforey , Carrefour    réside en Belgique.

    Membres de la famille Despature (dont Paul-Georges Despature), propriétaire des marques Damart et Somfy,        réside en Suisse et en Belgique.

    Paul Dubrulle, quo-créateur du Groupe Accor et ancien sénateur-maire de Fontainebleau            réside en Suisse.

    Des membres de la famille Ducros                réside en Suisse

    Pierre-François Grimaldi (i Bazar)                  réside en Belgique

    Éric Guerlain                                                       réside en Angleterre

    Daniel Hechter, créateur                                  réside en Suisse

    Philippe Hersant, groupe Hersant                  réside en Belgique

    Philippe Jaffré, ancien président d'Elf           réside en Suisse

    Robert Louis-Dreyfus                                      réside en Suisse.

    Membres de la famille Mimram   résident en Suisse et à Monaco

    Des membres de la famille Nonancourt, propriétaire des champagnes Laurent-Perrier       résident en Suisse.

    Denis Payre, fondateur de Business Objects    réside en Belgique   ou il a démarré une nouvelle société, Kiala, qui a embauché 100  personnes

    Membres de la famille Peugeot                      réside en Suisse

    Jean Pigozzi, héritier des voitures Simca      réside en Suisse

    Michel Reybier, ancien PDG de Justin Bridou réside en Suisse

    Jacques Tajan, commissaire-priseur              réside en Belgique

    Membres de la famille Wertheimer , Chanel   réside en Suisse

    Antoine Zacharias, ancien PDG de Vinci      réside en Suisse

    Alain Ducasse, cuisinier, a troqué sa nationalité française pour       rejoindre Monaco
     

     "Auteurs"

    Christian Jacq                                                réside en Suisse

    Marc Lévy                                                      réside au Royaume-Uni

    Michel Houellebecq                                    réside en Espagne

     

    C'est marrant, je n'ai pas vu ton nom !

     

     Et ce sont ces tartuffes qui viennent à la télévision qui donnent des cours de morale,  te parle de la faim dans le monde et de la régularisation des sans Papiers !!!

    Donc, il en restera au moins deux pour payer :

     

  • Anniversaire de la disparition de Jean-Pierre STIRBOIS

    SAMEDI APRÈS-MIDI, LA DROITE NATIONALE A RENDU HOMMAGE À JEAN-PIERRE STIRBOIS

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    A l'initiative du Parti de la France, une forte délégation de responsables et militants nationaux et nationalistes s'est rendue samedi après-midi au cimetière Montparnasse à Paris sur la tombe de Jean-Pierre Stirbois, secrétaire général du Front national, prématurément décédé il y a 30 ans, dans la nuit du samedi 5 novembre 1988 à Pontchartrain dans les Yvelines, en revenant de Dreux où il venait de tenir un ultime meeting pour la défense de la Calédonie française.

    Au cours de cette émouvante cérémonie, Carl Lang, Président du Parti de la France, qui, rappelons-le, lui succéda au secrétariat général du FN, souligna le rôle éminent joué par Jean-Pierre Stirbois, aux côtés de Jean-Marie Le Pen, dans l'émergence au début des années 80 du Front national. Il rappela aussi que Jean-Pierre fut l'un des premiers à dénoncer ce danger grandissant que représente pour notre peuple l'immigration incontrôlée et à réaliser, lors de l'élection municipale partielle de Dreux en septembre 1983, l'union victorieuse de la droite contre la liste socialo-communiste.

    Notons la présence de nombreux anciens proches collaborateurs et amis de Jean-Pierre à cet acte hautement symbolique ce qui prouve, s'il en était encore besoin, que dans notre camp la fidélité n'est pas un vain mot...

    S.N.

  • Circulez ! Y a rien à voir !

    Un proche conseiller de Hollande a dit à Éric Zemmour : « Quand t’es à l’Elysée et que tu vois remonter les infos sur l’insécurité, tu as l’impression d’être dans un pays en guerre »

     

    #Zemmour : "Il y aurait 1000 agressions gratuites par jour en France. Un proche conseillé de Hollande m'a dit: "quand tu es à l'Elysée et que tu vois remonter les infos sur l'insécurité tu as l'impression d'être dans un pays en guerre"


     
     


     

     

  • Un papa, une maman, c'est quoi les "transgenres" ?

    Deux cheftaines scouts virées parce qu'elles ont refusé que des transexuels fréquentent les douches des fille

  • A l'insu de notre plein gré !

    vendredi, 19 octobre 2018

    Européennes : Jean-Marie Le Pen demande à figurer sur la liste RN

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    Source Le Figaro.fr cliquez ici

    LE SCAN POLITIQUE - Le cofondateur du FN aimerait voir Bruno Gollnisch tête de la liste RN aux prochaines européennes, sur laquelle il figurerait également

    Coucou, le revoilà. On le devinait exténué après un énième séjour à l'hôpital dont il n'est sorti qu'il y a une quinzaine de jours. Jean-Marie Le Pen, 90 ans, se sent pourtant encore la force de battre campagne pour les prochaines européennes. Si le Rassemblement national n'a pas encore arrêté sa liste de candidats, et garde jalousement le nom de celui, ou celle, qui la conduira, le patriarche, lui, a sa petite idée et n'entend pas le moins du monde la garder pour lui.

    Dans la dernière édition de son traditionnel journal de bord, publié ce vendredi matin sur les réseaux sociaux, Jean-Marie Le Pen glisse ainsi à sa fille, Marine Le Pen, le nom de celui qui serait, à son goût, le plus à même de conduire la future liste du RN: son lieutenant historique, l'eurodéputé Bruno Gollnisch. L'homme, qui a fêté le 12 octobre dernier ses trente ans de vie parlementaire, « paraît de loin le plus qualifié, appuie Jean-Marie Le Pen. Les élections européennes sont des élections capitales [...] elles seront considérablement en faveur du Rassemblement national, surtout si la personnalité qui en est la tête de liste est capable de gouverner un groupe parlementaire de plus d'une centaine de membres. »

    Le « menhir » ne s'arrête pas là. Puisque dans la même lancée, il réclame également et pour son compte une place sur la liste de l'ex Front national. De quoi entamer, non sans appétit, un huitième mandat à Bruxelles. « J'accepterai moi-même d'y figurer [...] je serai le doyen des doyens, même si l'âge ne compte pas. Il faut que les anciens soient représentés », justifie-t-il.

    Si ces requêtes, teintées de provocation, n'ont rien d'une boutade dans la bouche de Jean-Marie Le Pen, peu de chance qu'elles soient exaucées pour autant. Le clan Le Pen a beau s'être réconcilié en privé, le 1er juillet dernier, la présidente du parti entend circonscrire ces bonnes relations au plan strictement familial. En marge d'un donné entretien au Figaro, Marine Le Pen avait d'ailleurs réaffirmé cet été qu' « il n'y aurait jamais plus de relations politiques » entre son père et elle. Du moins, l'espérait-elle.

  • Yvan BLOT, le conteur de la France

    Nous étions avec Michelle BEAL, mon épouse et quelques uns de nos amis à ORANGE, pour un séminaire de formation.

    Lors d'une après-midi d'évasion à Fontaine de Vaucluse, Yvan nous avait subjugué avec ses connaissances historiques et littéraires.

    C'était un national, comme on en trouve presque plus.

    Nous espérons qu'il a quitté cette terre apaisé.

    Dominique SLABOLEPSZY

     

    IVAN BLOT: CINQUANTE ANS DE COMBAT INTELLECTUEL ET POLITIQUE

     

    Rédigé le Dimanche 14 Octobre 2018 à 14:33 | 0 commentaire(s)

     

    Ivan Blot est mort mercredi 10 octobre. Quelques jours plus tôt, il travaillait encore à la parution de son prochain – dernier – livre, La Nouvelle Lutte des classes, celle qui oppose les oligarques mondialistes aux peuples. Combattant intellectuel infatigable, il continuait à écrire depuis son lit d’hôpital. Du moins quand sa chimiothérapie, à l’efficacité douteuse comme souvent, lui laissait du répit. Ses enfants Franck et Delphine transmettant ensuite à Boulevard Voltaire ou Polémia ses articles.


    Ivan Blot a poursuivi une triple activité : d’homme politique, de haut fonctionnaire et surtout d’essayiste.

    Homme politique, il a livré bien des batailles. Comme conseiller général de Calais (siège pris au Parti communiste en 1983), puis comme député du Pas-de-Calais de 1986 à 1988 sous l’étiquette RPR. Il a siégé, ensuite, au conseil régional d’Alsace puis au Parlement européen, de 1989 à 1999, comme élu FN.

    Pris dans la tourmente des conflits internes au FN, il a quitté la vie électorale et a achevé sa carrière comme inspecteur général de l’administration au ministère de l’Intérieur. Malgré un passé que certains pouvaient trouver « sulfureux », il put néanmoins conduire de nombreuses missions dans le domaine régalien : sécurité civile, sécurité publique, terrorisme, sûreté des aéroports. Il copublia avec Roger Marion Le Terrorisme islamiste, une menace révolutionnaire. Il présida même l’amicale de son corps de hauts fonctionnaires.

    Mais l’essentiel, pour Ivan Blot, a toujours été le combat des idées. Du Cercle Pareto, cercle correspondant du GRECE, à Agir pour la démocratie directe. Du Club de l’Horloge, dont il fut l’un des fondateurs, au Club Valdaï, où il fut coopté.

    Ses centres d’intérêt furent nombreux. L’économie avec une thèse et un livre sur Spencer et un remarquable numéro de Nouvelle École (de 1972) sur L’Histoire des théories économiques. La sociologie, aussi, avec L’Oligarchie au pouvoir, paru chez Economica.

    Ivan Blot avait une approche très originale de la science politique. Très pragmatique. Il avait ainsi étudié de près – sujet par sujet – les thèmes des référendums d’initiative populaire, en particulier en Suisse et en Californie. Il était incontestablement le meilleur connaisseur français de la démocratie directe qu’il a largement contribué à faire connaître. Et qu’il enseignait aux auditeurs de l’Institut de formation politique (IFP).

    Ivan Blot craignait l’Europe colonisée. Beaucoup de ses écrits et de ses livres ont tourné autour de l’identité française et de l’identité européenne. Il s’attachait aux racines. Et tout particulièrement aux racines grecques.

    Depuis une dizaine d’années, Ivan Blot s’était rapproché de la Russie de Vladimir Poutine dont il s’attachait à donner une image plus empathique et plus proche de la réalité que celle de la doxa médiatique. Le monde orthodoxe l’intéressait. Et le modèle russe, mélange de traditions patriotiques et religieuses, le passionnait. Il admirait l’acceptation par la Grande Russie de toute son histoire. De la commémoration du Staline de la grande guerre patriotique à la réhabilitation du dernier tsar Nicolas II. Une démarche exemplaire pour l’Europe de l’Ouest, confite en repentance et honteuse de son passé.

    Ce patriote français n’hésitait pas à regarder ailleurs. Ses trois sources d’inspiration furent la Grèce antique, la Suisse et la Russie. Quel point commun ? L’enracinement. Et une certaine verticalité. La verticalité suisse où le peuple tente de faire prévaloir ses vues sur une oligarchie qui s’en éloigne. La verticalité russe où le président incarne 1.000 ans d’histoire face à des oligarques aux intérêts plus immédiats, sinon étrangers.

    Voici, en quelques lignes, le résumé de cinquante ans de la vie d’Ivan Blot. Cinquante ans de combat intellectuel et politique.

    Sa famille, ses amis, ses proches, ceux qui ont partagé ses luttes ou l’ont simplement croisé pourront lui rendre un dernier hommage, mercredi 17 octobre, 10 heures, en l’église Saint-Germain-l’Auxerrois.

     

     

    Jean-Yves Le Gallou – Boulevard Voltaire

  • ISLAM, puisqu'on vous le dit !

    « L’islamisation de la France est parfaitement programmée par le monde musulman »

     

    Rédigé le Lundi 8 Octobre 2018 à 18:40 | 0 commentaire(s)

     

    François Billot de Lochner, haut fonctionnaire président de la Fondation de Service politique, vient de publier, aux éditions Pierre Guillaume De Roux, une Chronique de l’islamisation ordinaire de la France dans laquelle il dresse un constat sans appel. Il a été interrogé par Breizh Info. Voici cet entretien. Polémia


    Breizh Info : Pouvez vous vous présenter à nos lecteurs ?

     

    François de Lochner : En tant que président de la Fondation de service politique, je dénonce sans relâche le déclin continu de la France, qui risque de s’achever par sa disparition si nous n’y prenons garde. A cet égard, la dizaine de livres que j’ai écrits depuis 15 ans pointe tous les affaissements politiques, économiques, sociaux, moraux, religieux ou culturels de notre pays, mettant en exergue les forces de déconstruction à la manœuvre, analyse les gigantesques problèmes auxquels nous somment confrontés et tente d’apporter des solutions à un déclin qui n’est pas irrémédiable.

    Breizh Info : Il y a eu de nombreux ouvrages, ces dix dernières années, traitant de « l’islamisation de la France ». Qu’est ce que le vôtre souhaite apporter de plus ?

    François de Lochner : Mon livre ne ressemble pas aux ouvrages que vous évoquez. En effet, il a pour objectif de dévoiler la pensée des leaders musulmans français, européens ou mondiaux, en partant de ce qu’ils disent sur l’islamisation du monde. Depuis plus d’un demi-siècle, tout ce qu’ils disent ou écrivent va dans le même sens : la France deviendra islamique dans un court délai.

    En même temps, ces leaders indiquent aux musulmans du monde entier la meilleure façon d’opérer pour qu’il en soit ainsi. Je démontre donc que l’islamisation de la France est parfaitement programmée par le monde musulman, qui s’appuie sur la lâcheté et la compromission des élites politico-médiatiques, ainsi que sur la soumission pour le moins surprenante du peuple français.

    Breizh Info : Nous avons publié une étude du très sérieux Pew Research Center concernant la progression de l’islam en France et en Europe. Vous la jugez sous-évaluée. Pourquoi ? Sur quoi vous basez-vous pour faire une telle affirmation ?

    François de Lochner : Je vous renvoie à de multiples études, infiniment plus sérieuses que celle que vous signalez. Il suffit de projeter quelques chiffres pour savoir que nous serons un pays majoritairement musulman dans une trentaine d’années. Parmi les chiffres qu’il faut avoir en tête, en voici quelques-uns : la population immigrée sur plusieurs générations est comprise entre 15 et 20 millions de personnes ; le taux de fécondité des femmes blanches est de 1,6, contre le double environ pour les populations immigrées ; nous accueillons chaque année 400.000 personnes environ, dont l’immense majorité est musulmane.

    La projection de ces quelques chiffres, qui peuvent être affinés par d’autres chiffres qui vont dans le même sens, aboutissent à un résultat non contestable : la France sera majoritairement musulmane dans une trentaine d’années. L’étude que vous citez est donc complètement erronée. Pour mémoire, je vous rappelle qu’il y a quelques mois, Alain Juppé affirmait à la télévision que l’immigration concernait moins de 100 000 personnes… A ce niveau de mensonge, les bras nous en tombent.

    Breizh Info : Dans votre livre, vous citez des exemples de pays, notamment musulmans, qui ont pris des mesures pour endiguer l’islamisation de leur société. Pouvez-vous revenir dessus ?

    François de Lochner : Certains pays musulmans, en effet, ont compris que l’islam politico-religieux pouvait aboutir à détruire les valeurs traditionnelles de leur société. Ainsi, le Tadjikistan, musulman dans sa quasi-totalité et dirigé par un musulman, a pris des mesures coercitives pour contrer l’islamisation de la société. Par exemple, le port du voile ou la barbe islamique ne sont pas les bienvenus.

    Il n’est pas inutile, en complément de cet exemple, de citer les positions de certains musulmans ayant des postes de responsabilité en Occident. A cet égard, le maire de Rotterdam, musulman convaincu, refuse catégoriquement l’islamisation de sa ville et agit en conséquence : si les musulmans ne veulent pas respecter les valeurs fondamentales des Pays-Bas, qu’ils s’en aillent… À l’inverse, le maire de Londres, musulman très proche de l’organisation terroriste des Frères musulmans, organise en sous-main l’islamisation de la Grande-Bretagne.

    Breizh Info : Alain Wagner a récemment livré une interview dans laquelle il confirme la thèse d’Eurabia, qui accable l’Union européenne qui aurait « vendu » l’Europe aux organisations islamiques et au monde musulman. Accréditez-vous cette thèse ?

    François de Lochner : Comme je le disais tout à l’heure, la compromission et la lâcheté des « élites » politico-médiatiques, de l’Union européenne en général et de la France en particulier, correspondent objectivement à une sorte de « vente » de l’Occident au monde musulman. La soumission est partout et rend le combat particulièrement difficile.

    Breizh Info : Finalement, votre constat est très long, mais votre « Que faire ? » est assez court. N’avez-vous donc pas un message d’espoir à faire passer ?

    François de Lochner : Le message d’espoir est dans mon livre, et notamment dans le « Que faire », qui me semble suffisamment long. En effet, ce « Que faire » n’a aucunement l’intention d’être exhaustif, mais donne quelques coups de projecteur sur l’action que chacun d’entre nous peut mener pour ne pas se retrouver un jour en République française islamique. Je préfère quelques actions ciblées et menées, à une litanie d’actions exhaustives mais restant lettres mortes. Mon livre a pour objectif d’éveiller les consciences, de chacun d’entre nous comme de celles des « élites politico-médiatiques ».

    François de Lochner
    07/12/2017

    Propos recueillis par Yann Vallerie

    Source : Breizh Info

  • Pourquoi pas !!!!

    Le Parti de la France : Préparons les lendemains !

     

    Rédigé le Lundi 17 Septembre 2018 à 09:19 | 0 commentaire(s)

     

    Le billet de Franck Timmermans. Zapping le 12 septembre : sur BFM-TV, un reportage dans le Var avec pour titre « Marine Le Pen dans le Var : la dynamique brisée ? ». Extraordinaire. Depuis un an, il y aurait donc eu une dynamique au RN dont j’ignorais tout.


    Je bats ma coulpe, et je regarde la suite. Une poignée de gauchistes qui hurle à l’approche de la Présidente du RN flanquée de ses caciques habituels. Une scène que son père a vécue un peu partout en France des centaines de fois en plus de 30 ans. Vraiment pas de quoi casser trois pattes à un canard et c’est à se demander si le journalisme émotionnel, évidemment calqué sur le grand frère d’outre-Atlantique, ne sombre pas davantage dans l’insignifiant, au-delà des excuses estivales. Et les seconds couteaux de la Tzarine d’en remettre une couche quitte à démontrer involontairement le manque total de l’organisation de leur réunion car on était loin, très loin d’une confrontation à la mode de Chemnitz ! Le lendemain, un cadre du RN du Languedoc m’appelle pour me donner nouvelles et impressions. Sur le psychodrame varois, même opinion, l’affliction en plus. Mais les autres déconvenues sont d’un tout autre tonneau.
    La communication du Siège du RN de Nanterre s’enfonce dans le déni et la caricature car les dons attendus et reçus pour sauver « le premier parti d’opposition » sont en réalité très inférieurs en nombre et en montants à ce qui était espéré. Les renouvellements d’adhésion sont le symptôme le plus alarmant et les adhésions nouvelles proches de l’inexistant. Pire, le RN ne couvre plus depuis plusieurs mois la France en fédérations, des départements sont artificiellement dotés d’un responsable qui, parfois, n’est même plus adhérent ; pire encore, une très grosse fédération est, pour la première fois, en dépôt de bilan, incapable de régler dettes et fournisseurs, engagements que le Siège national n’est pas disposé à honorer. D’autres sombrent dans la zizanie permanente et les règlements de comptes. Et nous n’évoquerons pas les déboires judiciaires et financiers de la Présidente, en majeure partie dus à l’irresponsabilité de sa gestion, à ses méthodes cavalières comme à ses dépenses et embauches irraisonnables. L’extrême lassitude a emboîté le pas à l’extrême déception dans les rangs militants car il ne s’est rien passé de concret durant un an, ni rebond nécessaire ni autocritique évidemment.
    Il est bien difficile de prétendre à l’honneur du premier rôle d’opposant quand, alors que vous pérorez contre la gabegie, le même qualificatif résume votre gestion ; quand, alors que vous pourfendez le fiscalisme, vos services harcèlent les fichiers de relances et ponctionnent les candidats ; quand, alors que vous préconisez de réduire les personnels de l’État, les vôtres enflent démesurément de fonctionnaires ou de courtisans. Le slogan « tête haute et mains propres » est bien loin.
    Que faire ? Notre générosité et notre aide ne peuvent que soutenir un mouvement dont la gestion a été efficace et irréprochable, et c’est bien le cas du PDF *. Aucune solidarité des idées ne nous oblige donc à entretenir le tonneau des Danaïdes de Nanterre. Car, en plus, il ne faut pas oublier que la responsable de ces pitoyables résultats s’acharne sur le plan des idées justement depuis des années à dévier son mouvement des repères et enjeux fondamentaux de notre camp, notamment - et c’est la faute absolue - en niant l’existence d’un grand remplacement. C’est là une somme d’incompétences, de nuisances et de disqualifications. Mais que faire ??? Persévérer dans notre combat contre le Système, contre les gauches, car Mélenchon a désormais un boulevard, et contre ce grand remplacement ; mais aussi tendre la main aux militants locaux et sincères qui seraient tentés de tout abandonner, y compris un combat vital pour notre Pays, celui de la Résistance.
    Les désaccords passés ne sauraient supplanter les obligations des mobilisations futures.
    Si vous organisez des activités dans votre secteur, n’hésitez pas à y inviter des ex-adhérents du RN et des militants ou élus locaux abandonnés. Constituez-vous un fichier de prospection d’après vos propres archives et contacts évidemment, mais aussi en utilisant les listes FN des deux dernières élections municipales (donc depuis 13 ans environ). Ces listes, figurant sur les bulletins de vote, vous aideront à reconstituer certaines adresses d’anciens candidats de base en consultant la liste électorale en Mairie ou au Service des Élections de la Préfecture.
    Le reste proviendra des relations personnelles par l’effet boule de neige. Dans vos relations avec les déçus, je vous recommande de ne pas rouvrir les plaies inutilement ni d’insister lourdement sur les erreurs commises. Ils n’y sont en fait pour rien. La convivialité et l’action seront vos arguments les plus décisifs pour les amarrer à nous. Vos choix et vos décisions reposeront donc sur l’urgence de l’union, sur la confiance rétablie et le travail militant.
    Ne soyez jamais rancunier ni méprisant avec les militants, toujours respectables pour leur engagement patriotique fût-il parfois atteint de cécité à l’égard de leur hiérarchie.
    Retrouver la vue est un bonheur à partager, à entretenir et à préserver. Je sais de quoi je parle.
     
    * Pour donner utile, donnez au PDF.
    • par chèque à l’ordre de “Mme Myriam BAECKEROOT mandataire financier du P.D.F.” en adressant votre courrier au Parti de la France 6 allée des Templiers, 78 860 Saint-Nom-la-Bretèche
    • par virement à l’ordre de “Mme Myriam BAECKEROOT, mandataire financier du P.D.F.” sur le compte bancaire LCL 30002 00453 0000691807 F 22 Paris Anjou 
  • Billet de FRANCK

    Le Parti de la France : Préparons les lendemains !

     

    Rédigé le Lundi 17 Septembre 2018 à 09:19 | 0 commentaire(s)

     

    Le billet de Franck Timmermans. Zapping le 12 septembre : sur BFM-TV, un reportage dans le Var avec pour titre « Marine Le Pen dans le Var : la dynamique brisée ? ». Extraordinaire. Depuis un an, il y aurait donc eu une dynamique au RN dont j’ignorais tout.


    Je bats ma coulpe, et je regarde la suite. Une poignée de gauchistes qui hurle à l’approche de la Présidente du RN flanquée de ses caciques habituels. Une scène que son père a vécue un peu partout en France des centaines de fois en plus de 30 ans. Vraiment pas de quoi casser trois pattes à un canard et c’est à se demander si le journalisme émotionnel, évidemment calqué sur le grand frère d’outre-Atlantique, ne sombre pas davantage dans l’insignifiant, au-delà des excuses estivales. Et les seconds couteaux de la Tzarine d’en remettre une couche quitte à démontrer involontairement le manque total de l’organisation de leur réunion car on était loin, très loin d’une confrontation à la mode de Chemnitz ! Le lendemain, un cadre du RN du Languedoc m’appelle pour me donner nouvelles et impressions. Sur le psychodrame varois, même opinion, l’affliction en plus. Mais les autres déconvenues sont d’un tout autre tonneau.
    La communication du Siège du RN de Nanterre s’enfonce dans le déni et la caricature car les dons attendus et reçus pour sauver « le premier parti d’opposition » sont en réalité très inférieurs en nombre et en montants à ce qui était espéré. Les renouvellements d’adhésion sont le symptôme le plus alarmant et les adhésions nouvelles proches de l’inexistant. Pire, le RN ne couvre plus depuis plusieurs mois la France en fédérations, des départements sont artificiellement dotés d’un responsable qui, parfois, n’est même plus adhérent ; pire encore, une très grosse fédération est, pour la première fois, en dépôt de bilan, incapable de régler dettes et fournisseurs, engagements que le Siège national n’est pas disposé à honorer. D’autres sombrent dans la zizanie permanente et les règlements de comptes. Et nous n’évoquerons pas les déboires judiciaires et financiers de la Présidente, en majeure partie dus à l’irresponsabilité de sa gestion, à ses méthodes cavalières comme à ses dépenses et embauches irraisonnables. L’extrême lassitude a emboîté le pas à l’extrême déception dans les rangs militants car il ne s’est rien passé de concret durant un an, ni rebond nécessaire ni autocritique évidemment.
    Il est bien difficile de prétendre à l’honneur du premier rôle d’opposant quand, alors que vous pérorez contre la gabegie, le même qualificatif résume votre gestion ; quand, alors que vous pourfendez le fiscalisme, vos services harcèlent les fichiers de relances et ponctionnent les candidats ; quand, alors que vous préconisez de réduire les personnels de l’État, les vôtres enflent démesurément de fonctionnaires ou de courtisans. Le slogan « tête haute et mains propres » est bien loin.
    Que faire ? Notre générosité et notre aide ne peuvent que soutenir un mouvement dont la gestion a été efficace et irréprochable, et c’est bien le cas du PDF *. Aucune solidarité des idées ne nous oblige donc à entretenir le tonneau des Danaïdes de Nanterre. Car, en plus, il ne faut pas oublier que la responsable de ces pitoyables résultats s’acharne sur le plan des idées justement depuis des années à dévier son mouvement des repères et enjeux fondamentaux de notre camp, notamment - et c’est la faute absolue - en niant l’existence d’un grand remplacement. C’est là une somme d’incompétences, de nuisances et de disqualifications. Mais que faire ??? Persévérer dans notre combat contre le Système, contre les gauches, car Mélenchon a désormais un boulevard, et contre ce grand remplacement ; mais aussi tendre la main aux militants locaux et sincères qui seraient tentés de tout abandonner, y compris un combat vital pour notre Pays, celui de la Résistance.
    Les désaccords passés ne sauraient supplanter les obligations des mobilisations futures.
    Si vous organisez des activités dans votre secteur, n’hésitez pas à y inviter des ex-adhérents du RN et des militants ou élus locaux abandonnés. Constituez-vous un fichier de prospection d’après vos propres archives et contacts évidemment, mais aussi en utilisant les listes FN des deux dernières élections municipales (donc depuis 13 ans environ). Ces listes, figurant sur les bulletins de vote, vous aideront à reconstituer certaines adresses d’anciens candidats de base en consultant la liste électorale en Mairie ou au Service des Élections de la Préfecture.
    Le reste proviendra des relations personnelles par l’effet boule de neige. Dans vos relations avec les déçus, je vous recommande de ne pas rouvrir les plaies inutilement ni d’insister lourdement sur les erreurs commises. Ils n’y sont en fait pour rien. La convivialité et l’action seront vos arguments les plus décisifs pour les amarrer à nous. Vos choix et vos décisions reposeront donc sur l’urgence de l’union, sur la confiance rétablie et le travail militant.
    Ne soyez jamais rancunier ni méprisant avec les militants, toujours respectables pour leur engagement patriotique fut-il parfois atteint de cécité à l’égard de leur hiérarchie.
    Retrouver la vue est un bonheur à partager, à entretenir et à préserver. Je sais de quoi je parle.
     
    * Pour donner utile, donnez au PDF.
    • par chèque à l’ordre de “Mme Myriam BAECKEROOT mandataire financier du P.D.F.” en adressant votre courrier au Parti de la France 6 allée des Templiers, 78 860 Saint-Nom-la-Bretèche
    • par virement à l’ordre de “Mme Myriam BAECKEROOT, mandataire financier du P.D.F.” sur le compte bancaire LCL 30002 00453 0000691807 F 22 Paris Anjou 
     


     

     

  • CONNEXION 17 09 2018

     

       
     

     
    ICIOININIEIXIIIOINI
    LA LETTRE ARGUMENTAIRE DU PDF
    directeur de publication : Jean-François Touzé
     

    17 septembre 2018

     
       
     
     
     

    Plan « Pauvreté" :

     
    et une arnaque de plus !
     
    Plan pauvreté : Et une arnaque de plus…
    Emmanuel Macron, l’ex-banquier d'affaires, l'homme des désormais célèbres « les aides sociales ça coûte un fric fou », « ceux qui ne sont rien » ou « ces fainéants », se penchant sur le sort des plus démunis, voilà qui est aussi crédible que d'imaginer Olivier Besancenot appelant à la solidarité avec les patrons du CAC 40…
    C'est pourtant ce que vient de faire le Président de la République en déclinant les principaux points de son « plan pauvreté » censé lutter, par un investissement de 8 milliards sur quatre ans financé sur monnaie de singe, contre les iniquités sociales.
    Une arnaque de plus du macronisme qui tente, en bon Gribouille, par des mots vides et des incantations stériles d’opérer un virage vers sa gauche pour compenser les pertes que son incohérence et son incompétence ont suscité sur sa droite.
    • Arnaque du renforcement des contrats d'insertion qui ne sont que la énième mouture des emplois aidés, coûteux cautères sur jambe de bois destinés non pas à enrayer le chômage mais à en dissimuler l'ampleur.
    • Arnaque de l’obligation de formation qui, en passant de 16 à 18 ans, ne fait que retarder les effets inévitables d’échecs scolaires programmés.
    • Arnaque du revenu universel d’activité qui n'est en fait qu'une refonte plus restrictive des minima sociaux.
    • Arnaque surtout des aides aux enfants pauvres (crèches nouvelles, petits-déjeuners gratuits, cantine à un euro) qui seront réservés aux « quartiers prioritaires », C’est-à-dire aux supposés petits défavorisés issus de l'immigration. Nous sommes, une fois de plus en pleine « discrimination positive », traduction politiquement correcte du racisme anti français.
    Rien pour les familles françaises pour qui les difficultés de fin de mois commencent souvent bien avant le 15.
    Rien sur le logement authentiquement social c’est-à-dire destiné à loger les Français qui en ont réellement besoin
    Rien pour les sans abris français laissés pour compte d’une société basée sur le mercantilisme et ouverte aux mille vents fétides du mondialisme.
    Rien pour les foyers ruraux promis au démantèlement.
    Rien pour les vieillards miséreux trop dignes pour se plaindre.
    Pour le Parti de la France, une vraie lutte contre la pauvreté destinée à extraire 8 millions et demi de nos compatriotes de l'exil intérieur auquel ils sont condamnés, passe par la relance de l'emploi par une politique de défense des petites et moyennes entreprises françaises et de réindustrialisation européenne, par un renforcement de l'apprentissage et une redéfinition de la formation professionnelle adaptée aux réalités et aux besoins, par une relance du pouvoir d’achat, par le retour des vraies structures de solidarité – la famille, les corps intermédiaires - et surtout par la fin de l’immigration et la réservation des aides sociales aux Français et à eux seuls.
    La lutte contre la pauvreté, c’est d'abord la préférence nationale.
     
     
     
       

    @carllang2022

    Guerre d'Algérie: Macron se garde bien de rappeler les massacres par le FLN algérien de dizaines de milliers de harkis, les attentats contre les civils, les égorgements de masse et le terrorisme sanglant contre les français. Mais dans quel camp est-il ?
     (13/09/2018).
     
       

    @carllang2022

    Macron réécrit donc l'histoire de la guerre d' Algérie en choisissant le camp du FLN.  Hommage, honneur et reconnaissance aux unités françaises de la 10 ème division parachutiste qui ont mené à Alger en 1957  le légitime et nécessaire combat contre les terroristes.
    (013/09/2018).
     
     
     
    Sanctions contre la Hongrie : 
    le système a peur…
     
    En votant le 12 septembre (448 voix pour, 197 contre) pour l'ouverture d’une procédure pouvant, en vertu de l'article 7 du règlement de l'Union, déboucher, si elle allait jusqu’à son terme, sur des sanctions contre la Hongrie, le Parlement européen a voulu faire la démonstration de sa détermination à lutter contre ce qu’Emmanuel Macron qualifiait récemment de lèpre nationaliste et de crispation populiste, et que la députée Vert Judith Sargentini, rapporteur du texte, a décrit comme un « risque systémique contre les valeurs de l'UE ». Autrement dit, la volonté des peuples européens à résister à la submersion migratoire et à demeurer ce qu’ils sont chez eux, droit inaliénable volontiers reconnu, voire prôné, par l’ONU quand il s'applique à telle ou telle peuplade aborigène (« Droits des peuples autochtones »), mais fermement condamné quand il est revendiqué par les nations historiques européennes.
    En réalité, les députés « progressistes » de gauche et d’extrême gauche comme ceux du centre et d'une bonne partie de la prétendue droite n'ont fait la démonstration que de leur couardise et de leur fuite en avant sur la route fatale de l’immigrationnisme. Il est aussi permis de voir dans ce vote la marque d'un début de panique, grande peur des bien-pensants de tous bords face à la montée de la vague des résistances nationales.
    Cette procédure dont les chances d'aboutir sont heureusement quasiment nulles malgré l'appui insistant de la Commission de Bruxelles, n'a, en effet, pu être adopté que grâce à la complicité de la pseudo-droite européenne regroupée au sein du très mal nommé Parti Populaire Européen (PPE) auquel appartient pourtant le Fidesz hongrois de Victor Orban.
    Au cours de son intervention, solennelle et déterminée, devant les eurodéputés, ce dernier n’a pas cherché à convaincre son auditoire, dont il estimait que l'opinion était « déjà faite ». Combattif et véhément, il a dénoncé une « vengeance » de ses opposants et martelé qu'il ne céderait à aucun « chantage ». « Je n'accepterai pas que les forces pro-immigration nous menacent, fassent un chantage et calomnient la Hongrie sur la base de fausses accusations ».
    Si ces forces pro immigration qu'évoquait Victor Orban, ont engagé le combat contre l'axe de la résistance qui se dessine en Europe et que la rencontre Orban/Salvini vient d'illustrer de manière emblématique, c'est que l'enjeu des prochaines élections européennes est pour eux vital : il s'agit pour les eurocrates immigrationnistes et mondialistes d'empêcher la diffusion salutaire de la substance réactive chimique naturelle qui pousse les peuples à ne pas mourir, et de dissuader d'autres pays de suivre les traces de la Hongrie, de l'Italie et de l'Autriche.
    Il y va, en effet, de la survie du Système. Un Système qu'il nous faut abattre avant qu'il ne soit trop tard.
    Le Parti de la France, incarnation politique de la vraie Droite nationale française, héritier de tant de combats menés pour les libertés, l'identité nationale et les valeurs civilisationnelles, s'inscrit dans ce grand renouveau populaire qui, de Rome à Berlin, de Stockholm à Vienne, de Budapest à Amsterdam, s’organise et peut demain embraser l'ensemble du continent dans le grand feu du réveil européen.
    Et nous, nous ne céderons rien.
     
     
    Responsabilité de la France dans la mort de Maurice Audin : 
    scélératesse…
     
    Sur la grande toile nauséabonde de la repentance, Macron qui, en février 2017, à Alger, qualifiait la colonisation française de « crime contre l'humanité » vient d’ajouter un crachat supplémentaire à la mémoire nationale en affirmant la responsabilité de l’État dans la mort de Maurice Audin.
    Traître communiste et complice des terroristes du FLN, ce mathématicien avait été arrêté et interrogé par les parachutistes de la 10e DP du général Massu dans le cadre de la mission qui leur avait été confiée par le gouvernement socialiste de Guy Mollet, en vertu des pouvoirs spéciaux que lui avait accordés l’assemblée nationale en mars 1956. La bataille d'Alger fut la bataille d'une France qui ne courbait pas encore totalement le dos. En quelques semaines, la 10e DP, par son action exemplaire, mit fin aux attentats arabes qui dévastaient Alger et frappaient la population.
    Audin soutenait ces attentats puisqu’il en aidait les auteurs qu'il lui arriva même de cacher. Audin était un traître. Un renégat. Un terroriste par personnes interposées. Son sort fut celui réservé aux traîtres, aux renégats et aux terroristes
    En lui rendant un hommage détourné, en demandant « pardon » à sa veuve, Macron vient de donner un écœurant satisfecit à la trahison d'hier et d'ouvrir les portes à celles de demain.
    • Pour les communistes, cette « reconnaissance » est celle de leur action scélérate tout au long des guerres d’Indochine et d’Algérie, eux qui n'eurent pendant soixante ans d'autre patrie que la terre soviétique.
    • Pour les gauchistes d’aujourd’hui, elle est un signe et un encouragement.
    • Pour l’Algérie, elle est un pas de plus vers l’agenouillement total de la France.
    • Pour les familles de Français nés en Algérie, elle est une offense et une souffrance par la réouverture de plaies encore fraîches.
    • Pour les harkis et leurs fils que l’État feignait d’honorer le mois dernier, il s'agit d'un abandon de plus.
    • Pour l’armée Française, il s'agit d'un désaveu cinglant et d'un camouflet, infligés par celui qui s'en prétend le chef.
    • Pour les membres des forces de l'ordre, civiles et militaires, sur les épaules desquels reposent la sécurité de la France et des Français, à l’intérieur comme, en opérations, à l’extérieur de nos frontières, il s'agit d'un coup de couteau dans le dos et d'un acte de démoralisation.
    • Pour les islamistes, elle s’apparente à un coup de pouce donné aux réseaux de soutien au terrorisme d'aujourd'hui comme ceux de Curiel ou Audin hier.
    Le Parti de la France rend hommage à tous ceux qui ont construit l’Algérie française et à ceux qui l'ont défendue, souvent jusqu’à la mort, face aux massacreurs du FLN et à leurs complices communistes, puis, quand vint le temps de la trahison et de la félonie, en résistant à un abandon dont ils savaient qu'il serait suivi de bien d’autres.
    Macron, dès son élection, avait tenu à placer son mandat sous le signe de De Gaulle. On en mesure les raisons aujourd'hui.
     
    Procès Méric : 
     
    c'est Thémis qu'on assassine.
     
    En droit français – et singulièrement lors d'une comparution devant une cour d'assises – le doute doit bénéficier à l'accusé.
    Tout au long du procès Méric, le doute - c'est une litote - a plané sur les débats.
    • Doute quant aux coups portés. Par qui, à quel moment et de quelle manière ?
    • Doute quant aux vrais responsables de la rixe.
    • Doute quant à la notion de légitime défense qui, à l’évidence, aurait pu s'appliquer aux actes des accusés.
    • Doute quant à l'utilisation d'un poing américain.
    Les deux seules certitudes étant que la mort de l’activiste gauchiste antifa Méric était due à la percussion de sa tête contre un poteau que le hasard avait planté là, et que cette mort, aucun des accusés ne l’avait voulue.
    Pour mémoire, rappelons les termes du serment que tout juré doit prêter avant l’ouverture des débats d'une cour d'assises : "Vous jurez et promettez d'examiner avec l'attention la plus scrupuleuse les charges qui seront portées contre X…, de ne trahir ni les intérêts de l'accusé, ni ceux de la société qui l'accuse, ni ceux de la victime ; de ne communiquer avec personne jusqu'après votre déclaration ; de n'écouter ni la haine ou la méchanceté, ni la crainte ou l'affection ; de vous rappeler que l'accusé est présumé innocent et que le doute doit lui profiter ; de vous décider d'après les charges et les moyens de défense, suivant votre conscience et votre intime conviction, avec l'impartialité et la fermeté qui conviennent à un homme probe et libre, et de conserver le secret des délibérations, même après la cessation de vos fonctions".
    Moyennant quoi Estéban Morillo vient d’être condamné à 11 ans de prison et Samuel Dufour à 7 ans.
    Quand la Justice se fait le bras armé de la vengeance d'une faction révolutionnaire, quand elle se trouve en grande partie aux mains de l’extrême gauche, quand le glaive ne s’abat que lorsque l'idéologie le décide, quand la balance ne penche que d'un côté, alors il est permis de dire « Non. Je ne fais pas confiance à ce qu'est devenue la Justice de mon pays ».
     
     
    Le billet de Franck Timmermans
    Préparons les lendemains !
     
    Zapping le 12 septembre : sur BFM-TV, un reportage dans le Var avec pour titre « Marine Le Pen dans le Var : la dynamique brisée ? ». Extraordinaire. Depuis un an, il y aurait donc eu une dynamique au RN dont j’ignorais tout. Je bats ma coulpe, et je regarde la suite. Une poignée de gauchistes qui hurle à l’approche de la Présidente du RN flanquée de ses caciques habituels. Une scène que son père a vécue un peu partout en France des centaines de fois en plus de 30 ans. Vraiment pas de quoi casser trois pattes à un canard et c’est à se demander si le journalisme émotionnel, évidemment calqué sur le grand frère d’outre-Atlantique, ne sombre pas davantage dans l’insignifiant, au-delà des excuses estivales. Et les seconds couteaux de la Tzarine d’en remettre une couche quitte à démontrer involontairement le manque total de l’organisation de leur réunion car on était loin, très loin d’une confrontation à la mode de Chemnitz ! Le lendemain, un cadre du RN du Languedoc m’appelle pour me donner nouvelles et impressions. Sur le psychodrame varois, même opinion, l’affliction en plus. Mais les autres déconvenues sont d’un tout autre tonneau.
    La communication du Siège du RN de Nanterre s’enfonce dans le déni et la caricature car les dons attendus et reçus pour sauver « le premier parti d’opposition » sont en réalité très inférieurs en nombre et en montants à ce qui était espéré. Les renouvellements d’adhésion sont le symptôme le plus alarmant et les adhésions nouvelles proches de l’inexistant. Pire, le RN ne couvre plus depuis plusieurs mois la France en fédérations, des départements sont artificiellement dotés d’un responsable qui, parfois, n’est même plus adhérent ; pire encore, une très grosse fédération est, pour la première fois, en dépôt de bilan, incapable de régler dettes et fournisseurs, engagements que le Siège national n’est pas disposé à honorer. D’autres sombrent dans la zizanie permanente et les règlements de comptes. Et nous n’évoquerons pas les déboires judiciaires et financiers de la Présidente, en majeure partie dus à l’irresponsabilité de sa gestion, à ses méthodes cavalières comme à ses dépenses et embauches irraisonnables. L’extrême lassitude a emboîté le pas à l’extrême déception dans les rangs militants car il ne s’est rien passé de concret durant un an, ni rebond nécessaire ni autocritique évidemment.
    Il est bien difficile de prétendre à l’honneur du premier rôle d’opposant quand, alors que vous pérorez contre la gabegie, le même qualificatif résume votre gestion ; quand, alors que vous pourfendez le fiscalisme, vos services harcèlent les fichiers de relances et ponctionnent les candidats ; quand, alors que vous préconisez de réduire les personnels de l’État, les vôtres enflent démesurément de fonctionnaires ou de courtisans. Le slogan « tête haute et mains propres » est bien loin.
    Que faire ? Notre générosité et notre aide ne peuvent que soutenir un mouvement dont la gestion a été efficace et irréprochable, et c’est bien le cas du PDF *. Aucune solidarité des idées ne nous oblige donc à entretenir le tonneau des Danaïdes de Nanterre. Car, en plus, il ne faut pas oublier que la responsable de ces pitoyables résultats s’acharne sur le plan des idées justement depuis des années à dévier son mouvement des repères et enjeux fondamentaux de notre camp, notamment - et c’est la faute absolue - en niant l’existence d’un grand remplacement. C’est là une somme d’incompétences, de nuisances et de disqualifications. Mais que faire ??? Persévérer dans notre combat contre le Système, contre les gauches, car Mélenchon a désormais un boulevard, et contre ce grand remplacement ; mais aussi tendre la main aux militants locaux et sincères qui seraient tentés de tout abandonner, y compris un combat vital pour notre Pays, celui de la Résistance.
    Les désaccords passés ne sauraient supplanter les obligations des mobilisations futures.
    Si vous organisez des activités dans votre secteur, n’hésitez pas à y inviter des ex-adhérents du RN et des militants ou élus locaux abandonnés. Constituez-vous un fichier de prospection d’après vos propres archives et contacts évidemment, mais aussi en utilisant les listes FN des deux dernières élections municipales (donc depuis 13 ans environ). Ces listes, figurant sur les bulletins de vote, vous aideront à reconstituer certaines adresses d’anciens candidats de base en consultant la liste électorale en Mairie ou au Service des Élections de la Préfecture.
    Le reste proviendra des relations personnelles par l’effet boule de neige. Dans vos relations avec les déçus, je vous recommande de ne pas rouvrir les plaies inutilement ni d’insister lourdement sur les erreurs commises. Ils n’y sont en fait pour rien. La convivialité et l’action seront vos arguments les plus décisifs pour les amarrer à nous. Vos choix et vos décisions reposeront donc sur l’urgence de l’union, sur la confiance rétablie et le travail militant.
    Ne soyez jamais rancunier ni méprisant avec les militants, toujours respectables pour leur engagement patriotique fut-il parfois atteint de cécité à l’égard de leur hiérarchie.
    Retrouver la vue est un bonheur à partager, à entretenir et à préserver. Je sais de quoi je parle.
     
    * Pour donner utile, donnez au PDF.
    • par chèque à l’ordre de “Mme Myriam BAECKEROOT mandataire financier du P.D.F.” en adressant votre courrier au Parti de la France 6 allée des Templiers, 78 860 Saint-Nom-la-Bretèche
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      Le journal télévisé du PdF
    présentée par Sylvie Collet
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  • Nouvelle droite nationale

    Journée d’amitié et d’action française

    le 6 octobre en Avignon

     

    Rédigé le Vendredi 14 Septembre 2018 à 08:00 | 0 commentaire(s)

     

    Lors de cette journée qui a pour thème « rebâtir la cité », Carl Lang interviendra ainsi que de nombreux autres patriotes.


    Voici donc le programme de la journée :
    10h00://2    Messe pour la France célébrée par l'abbé Vella
    12h00://3    Apéritif puis repas d'Amitié française
    14h30://4    Conférences
     
    .Discours de Marie-Gabrielle Pujo
    .Abbé Vella : "Pour servir le Bien Commun"
    .Hugues Petit : "Pour en finir avec le Droit-de-l'hommisme"
    .Catherine Rouvier : "Pour un mouvement civilisationniste"
    .Carl Lang : "Pratiquer le compromis nationaliste"
    .Stéphanie Bignon : "S'enraciner pour s'élever"
    .Jacques Bompard : "Le localisme"
    .Robert Mestelan : "L'appel de Saint-Hilaire"
    .Elie Hatem : "l'Action française pour sauver la France"
    .Conclusion par S.A.R le Prince Sixte-Henri de Bourbon Parme


    Un grand choix de livres sera à vote disposition (vous trouverez des ouvrages de Charles Maurras, Jacques Bainville, Robert Brasillach, Jean Madiran, Gérard Bedel, Carl Lang sans oublier les Mémoires de Jean-Marie le Pen etc.).
    Marion Sigaut sera présente et dédicacera ces nombreux ouvrages.
     
    Les tarifs sont les suivants:
    -Journée complète : 32 euros (Repas et conférences)
    -Tarif de soutien- journée complète : 38 euros (Repas et conférences)
    -Conférences : 10 euros
    -Tarif de soutien - conférences : 12 euros.
     
    Réservations sur notre site www.amitieactionfrancaise.com  ou par mail à contact@amitieactionfrancaise.com  AVANT le 30 septembre 2018://11 .
  • IMMIGRATION-INVASION !

    L'État islamique menace d'envoyer 500.000 migrants en Europe depuis la Libye

     

    Rédigé le Lundi 27 Août 2018 à 08:34 | 0 commentaire(s)

     

    La nouvelle arme des terroristes : utiliser cyniquement la menace d'un «chaos en Méditerranée» pour empêcher l'Europe d'intervenir en Libye.


    «Si vous engagez des forces armées en Libye, nous vous envoyons 500.000 migrants»: tel est en substance le message envoyé par les djihadistes de la franchise libyenne de Daech au gouvernement italien. 

    Le ministre italien des affaires étrangères Angelino Alfano avait affirmé lundi dernier que la Libye devait être la «priorité absolue» pour la communauté internationale, et qu'il n'y avait «pas une minute à perdre». «Si les milices du Califat avancent plus vite que les décisions de la communauté internationale, nous avons le risque d'un exode sans précédent», avait-il . Plus prudent, Matteo Renzi  avait fait savoir que «ce n'était pas le moment pour l'intervention militaire», le ministre de la défense a lui affirmé que le pays était prêt à mobiliser 5000 soldats pour lutter contre Daech en Libye. L'Italie est en première ligne, à 350 kilomètres seulement des côtes libyennes. Sur la séquence vidéo de l'assassinat des 21 coptes, avant que leur sang ne baigne dans la Méditérannée, un des djihadistes avertit: «Nous sommes au sud de Rome». Le dossier libyen est désormais au cœur de l'actualité médiatique en Italie: le pays est sous extrême tension, craignant à tout moment une attaque. 

    La Libye «porte d'entrée stratégique» vers l'Europe

    D'après des écoutes téléphoniques que le quotidien italien Il Messagero a pu se procurer, l'État islamique envisagerait de recourir aux migrants comme une «arme psychologique» contre l'Europe, et en particulier contre l'Italie si celle-ci intervenait en Libye. Dans ces conversations téléphoniques interceptées par la police italienne, les djihadistes menacent d'envoyer des milliers de barques remplies de migrants vers les côtes italiennes. Ils parlent de «500.000 migrants» soit la majorité des 700.000 qui attendent d'embarquer sur les côtes libyennes. «Les djihadistes émettent l'hypothèse d'envoyer à la dérive direction l'Italie, des centaines de barques remplies de migrants, dès le moment où notre pays évoquerait une intervention armée en Libye», écrit le quotidien romain. 

    Plus de 170.000 migrants sont arrivés en Italie par bateau l'an dernier. Les passeurs de migrants utilisent une nouvelle technique, celle des «bateaux-fantômes»: il s'agit de lancer des cargos d'occasion ou des bateaux attendant la casse remplis à ras-bord de migrants, et envoyés à la dérive dans la Méditerranée, sans conducteur, pour obliger les équipes de sauvetage à intervenir. 

    En occasionnant un désastre humanitaire, l'objectif de l'État islamique serait de créer le «chaos» en Méditerranée prédit par le colonel Kadhafi avant sa mort. Comme le rappelle le Daily Mail , lors de sa dernière interview en mars 2011, l'ancien dictateur libyen Mouamar Kadhafi, renversé en 2011 grâce à l'appui des occidentaux, avait fait cette funeste prédiction: sans lui, la Méditerranée deviendrait «la mer du chaos». «L'Occident a le choix entre moi ou le chaos terroriste» avait également prévenu l'autocrate dans une interview au JDD

    «La Libye est une porte d'entrée stratégique, une rampe de lancement pour couper la route maritime aux ‘croisés' et un moyen de semer la ‘pandémie' dans les villes méridionales de l'Europe» écrit, dans le Telegraph,  le chercheur Charlie Winter, du think-thank britannique Quilliam, qui a publié un rapport sur le sujet.
    source: lefigaro.fr

  • AQUARIUS

    Immigration-colonisation : Aquarius, l’éternel retour

     

    Rédigé le Lundi 20 Août 2018 à 22:32 | 0 commentaire(s)

     

    Comme des dizaines d'autres bâtiments néo-négriers affrétés par les organisations complices des passeurs comme SOS Méditerranée (label « grande cause » décerné par le Premier ministre en 2017 permettant de bénéficier de campagnes publicitaires gratuites dans les médias), agissant sous pavillon de complaisance humanitaire et en partie subventionnées sur fonds publics ou régionaux (Occitanie par exemple), l’Aquarius, jouant de sa proximité phonétique avec l'Exodus à fin de production lacrymale optimum, poursuit ses allées-venues, véritable navette de l’ingression migratoire en Méditerranée.


    Qu'au final le gouvernement français n'ait cédé ni aux demandes pressantes du communiste Gayssot (ex-ministre des transports de Mitterrand et auteur de la loi que l’on sait interdisant l’expression non conforme), d’accueillir le vaisseau pirate dans le port de Sète qu'il préside et d'en faire une plate-forme de débarquement pour les nouveaux colons, ni aux mises en demeure du chœur immigrationniste des vierges internationalistes, ne change rien à l'affaire.
    Qu'ils débarquent à Malte, en Espagne, au Portugal ou en France comme hier – et peut-être hélas à nouveau demain - en Italie, c'est vers le continent tout entier, à l'exception des pays ayant su retrouver leur dignité nationale comme la Hongrie de Victor Orban, que, par la grâce de Schengen et des quotas de répartition imposée par la Commission européenne, en vagues successives et incessantes, déferle l’écume invasive. Un flux à long terme destructeur de notre civilisation, et à court terme porteur des futurs acteurs de « faits divers » comme ceux – meurtres, viols ou agressions, qui se sont multipliés cet été en France, en Allemagne et ailleurs, sans même parler de la menace islamiste. On notera à ce propos que les demandes d'asile connaissent en France une très forte hausse (+ 17,8 % depuis le 1://5 er://5  janvier://5 ) et sont en passe de devenir une des formes les plus usitées d'immigration économique. Nul besoin, on le voit, d'accoster à Sète puisque, de toute façon, ils finissent toujours par échouer chez nous.
    • Rien pourtant qui ne pourrait être stoppé si existait une volonté politique.
    • Rien que ne pourraient bloquer en quelques heures quatre ou cinq frégates des marines nationales européennes par coups de semonce voire plus si nécessaire, et opérations d’arraisonnements avant retour vers la Libye ou la Tunisie.
    • Rien qui ne pourrait être traité par la liquidation physique des réseaux de passeurs et l’arrestation de leurs complices.
    • Rien qui ne pourrait être inversé par une politique de contrôle drastique des frontières maritimes comme terrestres, d'immigration zéro et de rémigration.
    Cela, nous l'avons dit, exigerait une volonté sans faille et une détermination radicale.
    Cette volonté et cette détermination que possède le Parti de la France.

    par Jean-François  Touzé 
    membre du bureau politique du PdF
  • Faut-il copier ou imiter ?

    Pour beaucoup de nos compatriotes, c'est oui.

    Pour moi, 2 fois OUI.

    Australie: Morrison, l'homme de la tolérance zéro vis-à-vis des clandestins

     

    Rédigé le Vendredi 24 Août 2018 à 10:21 | 0 commentaire(s)

     

    Scott Morrison, choisi vendredi pour former un nouveau gouvernement en Australie, est un conservateur qui s'est illustré dans la mise en oeuvre d'une politique de tolérance zéro contre les boat people tentant de gagner l'île-continent.


    Ministre des Finances depuis septembre 2015, ce chrétien évangélique de 50 ans a été désigné comme successeur du Premier ministre Malcolm Turnbull, dont il est l'allié, à la faveur du "putsch" fomenté au sein du Parti libéral (centre-droit) par le désormais ancien ministre de l'Intérieur, le très droitier Peter Dutton.

    M. Morrison se décrit comme un homme de foi et de famille qui tient ses engagements. Il en veut pour preuve son action aussi énergique que controversée à partir de septembre 2013 au gouvernement, quand l'Australie avait verrouillé ses frontières à double tour.

    Alors que l'île-continent faisait face à une recrudescence d'arrivée de clandestins sur ses côtes, et de naufrages dramatiques, le chef de l'opposition libérale Tony Abbott avait remporté contre les travaillistes les élections en promettant d'"arrêter les bateaux".

    M. Morrison avait été propulsé à la tête du ministère de l'Immigration qui était aussi devenu celui "de la Protection des frontières".

    Et c'est sous sa direction qu'avait été lancée l'"Opération Frontières souveraines" pour décourager les réfugiés d'arriver par la mer.

    Les bateaux de migrants étaient systématiquement refoulés par les bâtiments de la marine australienne et le plus grand secret régnait sur ces opérations en haute mer.

    - Contre le mariage gay -

    Ceux qui parvenaient quand même à passer à travers les mailles du filet étaient exilés dans des camps de rétention reculés du Pacifique, à Nauru et en Papouasie-Nouvelle-Guinée. Même si leur demande d'asile était jugée fondée, ils n'étaient pas acceptés sur le sol australien.

    Cette politique a été couronnée de succès, en ce que le nombre des arrivées s'est réduit à peau de chagrin, mais elle a divisé l'opinion publique et terni la réputation internationale du pays et s'est attirée les foudres des organisations de défense des droits de l'Homme.

    M. Morrison s'était déjà singularisé sur le sujet en 2010 après un naufrage de réfugiés au large de l'Île Christmas qui avait fait 48 morts. Il avait déploré le fait que le gouvernement travailliste paie à certaines familles de victimes le voyage jusqu'à Sydney pour les funérailles, des remarques qui lui avaient valu de vives critiques.

    Né en mai 1968 à Bronte, banlieue balnéaire de Sydney, M. Morrison est le cadet de deux enfants dont les parents animaient des programmes religieux pour les jeunes.

    M. Morrisson s'est toujours décrit lui-même comme un membre actif de son église. C'est d'ailleurs par la religion qu'il a rencontré Jenny, avec laquelle il s'est marié à 21 ans. Le couple a deux enfants.

    Après avoir longtemps travaillé dans le secteur du tourisme en Australie et en Nouvelle-Zélande, il est élu à la chambre des Représentants en 2007 dans une circonscription de Sydney.

    Il avait attribué cette victoire "aux deux sources d'influence les plus importantes de ma vie: ma famille et ma foi".

    Après son année au ministère de l'Immigration, il est nommé en décembre 2014 aux Affaires sociales puis au Trésor après le "putsch" de Malcolm Turnbull en septembre 2015 contre Tony Abbott.

    Il a dirigé l'économie à un moment où le gouvernement a bataillé pour renouer avec l'excédent budgétaire, tout en réduisant notamment l'imposition des petites entreprises.

    Il passe comme étant beaucoup moins progressiste que M. Turnbull sur les questions sociales. Il s'est notamment opposé à la légalisation du mariage gay l'année dernière.

    Mais il a aussi tenté d'adoucir son image en participant à la télévision à une émission de cuisine impliquant des hommes politiques.

     

    afp