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SLABO - Page 3

  • CONNEXION 17 juin 2019

     

       
     

     
    ICIOININIEIXIIIOINI
    LA LETTRE ARGUMENTAIRE DU PDF
    directeur de publication : Jean-François Touzé
     

    17 juin 2019

     
       
     
    Discours de politique générale :    
    Édouard Philippe confirme la soumission de la France au mondialisme et au progressisme.
     
     
    C'est un discours soporifique et bien inutile qu’a prononcé solennellement le Premier ministre mercredi dernier devant l'Assemblée nationale. Un discours en forme de confirmation d'une pratique floue, d'une méthode impensée mais d'une ligne claire : celle du progressisme mondialisé.
    Les Français n'en doutaient pas : le gouvernement est décidé à maintenir, contre vents et marées, le cap hasardeux fixé depuis son élection par Emmanuel Macron, et à continuer sa navigation à faible vue dans la brume et les tempêtes.
    Réformettes sociales ou structurelles incertaines et en trompe-l’œil, déclarations d’intentions constitutionnelles ou politiques, virage écologique à la mode du temps, promesses de baisses fiscales aussi spectaculaires en tribune qu'hypothétiques dans leurs applications par Bercy et qui, au demeurant, ne pourraient être financées que par la dette, affichage sécuritaire d'apparence, refonte de l'assurance chômage, lutte contre les gaspillages et mise en œuvre d’un chantier tout en subterfuges (maintien de l’âge légal à 62 ans mais décote avant 65 pour ceux qui ont encore la chance de conserver un emploi) et en procrastination, ne peuvent masquer que ce cap inchangé est, plus que jamais, orienté selon la boussole anti sociale, anti populaire, anti nationale, anti éthique (comme le confirme le projet de loi imminent sur la PMA) qui détermine le champ progressiste axial du centre droit/centre gauche planétariste.
    Au-delà de l’effet catalogue qui est la loi du genre, Édouard Philippe n'a pas prononcé un discours de politique générale. Il n’a pas ouvert l’acte II du quinquennat. Il a seulement renouvelé solennellement, en son nom et en celui du Président de la République, le serment obligé de fidélité à la globalisation mondialiste, au financiarisme, à l’immigrationnisme et au Nergal universel, destructeur de nos identités et de nos valeurs civilisationnelles.
     
       

    @carllang2022

    Ce qui se prépare politiquement n'est pas l'union des droites mais l'union de la droite et du centre. Les élus et dirigeants du parti "Les républicains" préféreront évidemment devenir les supplétifs de Macron que les supplétifs de Marine Le Pen.  (07/06/2019)
     
       

    Excellente déclaration de Marion Maréchal qui est favorable à l'union des droites. Une union à la base FN- RPR- UDF fut déjà réalisée face à la gauche en 1986 dans les conseils régionaux. Il ne reste plus à Marion Maréchal qu'à convaincre les dirigeants LR et RN...Et sa tante… (03/06/2019)
     
     
     
    Contre la PMA pour toutes,              
    la mobilisation doit être générale.
     
    Dans son discours devant l'Assemblée nationale, le Premier ministre, Édouard Philippe, a annoncé que le projet de loi sur la procréation médicalement assistée pour toutes - c’est-à-dire la gestation sans père - serait examiné par le Conseil des ministres dans quelques semaines et soumis au Parlement dès la rentrée de septembre.
    Par cette accélération du calendrier, le gouvernement veut rassurer sa gauche et montrer qu'il n'est pas seulement le radeau de la Méduse de la droite et du centre. Il donne dans le même temps la preuve que le macronisme est bien un progressisme.
    Accorder aux femmes seules et aux couples lesbiens le droit de filiation par insémination artificielle constitue une étape supplémentaire sur le chemin de la désagrégation de la famille et de la destruction de la société. Un chemin qui se poursuivra bientôt, n'en doutons pas, par la légalisation de l'abomination qu'est la Gestation pour autrui (GPA).
    Pour le Parti de la France qui considère qu'une famille c’est un père, une mère et des enfants, la PMA doit être réservée aux couples hommes/femmes qui ne peuvent avoir naturellement d'enfants.
    Le PdF, fidèle à la conception traditionnelle de la famille qui constitue un des socles de notre civilisation, et aux principes de l'ordre naturel appelle à la mobilisation contre ces dérives mortelles.
     
     
    Services d'Urgences : la grande misère des hôpitaux français               
    au temps de l'immigration de masse.
     
    Après trois mois de grève des personnels paramédicaux (infirmiers et infirmières, aide soignants, accueil) des Urgences hospitalières, la ministre de la santé, Agnès Buzyn, vient de débloquer 70 millions d'euros pour tenter d’enrayer la colère qui monte et de faire baisser la tension avant que les médecins urgentistes ne rejoignent le mouvement.
    Après une réunion avec les représentants du personnel hospitalier, la ministre a donc annoncé le versement d’une prime pour les infirmiers et aides-soignants, pour un montant total de 60 millions d’euros, ainsi qu’une enveloppe de 15 millions pour le recrutement d’effectifs. Goutte d'eau pour éteindre l'incendie.
    En vingt ans, le nombre de patients admis chaque année aux Urgences est passé de 10 millions à 21 millions. En cause la crise de la médecine libérale, la désertification médicale dans les zones périphériques, la dégradation de la situation sociale de beaucoup de nos compatriotes, les pratiques abusives et anti civiques d'un nombre croissant de personnes qui se rendent en service hospitalier pour un rhume, une gastro-entérite ordinaire ou une pathologie bénigne (selon un professeur de médecine, 25 % des gens qui se rendent aux Urgences, n'ont rien à y faire) sachant qu'elles y seront soignées gratuitement, et, bien sûr, parmi elles, la marée montante issue de l'immigration.
    Sous effectifs, cadences infernales, salaires inadaptés aux qualifications, engorgement, promiscuité, insécurité chronique et agressions contre les personnels, tel est le lot quotidien des 632 services d'Urgences que compte la France.
    Rendons ici hommage à l'ensemble des professionnels hospitaliers, professeurs, médecins, externes, internes, infirmières et infirmiers, aide soignants, agents d'accueil qui, dans des conditions difficiles, souvent à la limite de l’intolérable, maintiennent à bout de bras et jusqu’à la limite de leurs forces la haute conception qu'ils ont de leur devoir avec compétence, dévouement et humanité.
    Mais ces efforts seront vains tant que ne sera pas prise en compte la vraie raison de la dégradation continue et dramatique des Urgences. Une raison qui se dissimule derrière le déni des bien-pensants. Citons là encore un professeur de médecine relayé sous couvert d’anonymat par Yvan Rioufol dans le Figaro du 6 février : « le personnel médical est souvent insuffisant et épuisé par la surcharge administrative qui lui est imposée (…) Chez nous, tous les soins et la chirurgie sont remboursés à 100 %. L’AME, l’aide médicale d’État, fait que nos hôpitaux sont littéralement envahis par des étrangers. (…) Les Français de souche ont fui nos services car c’est intenable. Ils ne veulent plus être confrontés à ces étrangers, très arrogants pour certains, qui considèrent que la santé est un dû. La tension sociale y est très forte (…) Le personnel hospitalo-universitaire est vraiment très lassé (…) à tel point que notre recrutement s’en ressent ».
    Alors, des moyens supplémentaires ? Bien sûr ! Des primes et des salaires renforcés ? Évidemment ! Un effort de l'État en matière d’embauche et de recrutement ? Sans nul doute ! Un contrôle préalable avant toute consultation pour en vérifier la nécessité ? Absolument !
    Mais pour que la France conserve sa médecine hospitalière de qualité, pour que les Urgences redeviennent un lieu de soins adaptés, pour que les services ne se transforment pas, peu à peu, en coupe-gorge, pour que disparaissent les brancards faisant office de lit, pour que personne ne meure ni ne souffre plus oublié dans un coin de couloir, pour que les soignants puissent à nouveau exercer leur métier qui est un sacerdoce, dans des conditions de sécurité, de disponibilité et de sérénité optimales, deux mesures s'imposent : IMMIGRATION ZÉRO d’abord, REMIGRATION, ensuite !
     
     
    Délinquance des mineurs :                
    du laxisme à l'encouragement.
     
    En annonçant son intention d'établir un seuil d'irresponsabilité pénale à 13 ans, la ministre de la Justice, Nicole Belloubet, ne fait pas que se conformer aux desiderata de diverses organisations internationales telles que la Cour de Justice européenne ou la Convention internationale des droits de l'enfant : elle crée les conditions d'une déferlante de la délinquance et de la criminalité tolérées par l'État, organisées et légalisées par les pouvoirs publics.
    Dealers des cités, petits, moyens et grands caïds venus d'ailleurs, sauront utiliser comme il convient cette main-d’œuvre aux talents multiples et désormais incondamnables, tandis que le sentiment de totale impunité sera renforcé, livrant nos rues à la sauvagerie.
    Concernant les faits imputés aux moins de 13 ans les statistiques portant sur l'année 2017 dont déjà parlantes :
    • 87 222 vols dont 379 à mains armées.
    • 44 418 atteintes aux personnes dont 37 homicides, 1 585 viols et 86 séquestrations.
    • 25 577 poursuites pour infractions sur les stupéfiants dont 667 pour trafic.
    Quand on sait la « prudence » conseillée aux policiers dans leurs enquêtes et l'effacement auquel ils sont contraints dès lors qu'il s'agit des racailles des cités, on mesure à la lecture de ces chiffres ce que peut être la réalité de la situation.
    On mesurera également l’état de la Justice en constatant sans surprise que seul 0,8 % des mis en cause ont fait l’objet de condamnation à la prison et que 95 % des faits établis se sont soldés par de simples « mesures ou sanctions éducatives ». La Justice a fait son choix qui est celui de la bien-pensance irénique : elle ne condamne plus les mineurs malfaisants. Elle les protège.
    Dans ces conditions le gouvernement a raison de dire que cette décision ne changera pas fondamentalement les choses. Elle ne fera que les officialiser.
    La France vit, en effet, depuis des décennies dans le plus destructeurs des laxismes. Avec le pouvoir macronien, elle est simplement et discrètement entrée dans l'ère de l'encouragement.
     
     
     
     
    Le billet de Franck Timmermans
    Les grandes impostures (1) :
    « Le nationalisme, c’est la guerre » 
     
     
    (François Mitterrand en janvier 1995, repris par Juppé en 2016 et Macron en mai 2019).
     
    Il y a comme une filiation entre ces trois-là et nul doute que vous l’aurez établie par la simple chronologie, l’étude des faits qui explique souvent tout. En 1995, c’était le dernier discours de Mitterrand, c’était au Parlement européen et ce n’était pas un hasard. Après l’ovation des eurodéputés énamourés, le Président rencontra à la préfecture de Strasbourg Le Pen et Hersant en grande conversation et dit à JMLP « Bonjour M. Le Pen, je vous ai bien eu tout à l’heure. (...) vous ne vous êtes pas senti visé ? » lequel répond : « Non, M. le Président ! Vous savez très bien que beaucoup de guerres n’ont rien à voir avec le nationalisme ; il y a des guerres de religion, des guerres pour le pétrole, etc. ! ». Mitterrand l’admet à mi-mots : « Ah, c’est un grand sujet que la cause des guerres ; on n’a pas le temps d’en parler maintenant dans ce salon (...) Je le regrette d’ailleurs mais on va se revoir bientôt ? Je l’espère. À vous d’en décider. » Plus qu’une invitation, une invite ! Reste à savoir si les mémoires du sollicité en diront plus. Quoi qu’il en soit, Le Pen avait fort bien répondu (on dit « taclé » en novlangue…) mais c’est Carl Lang qui le fit dans le numéro du 1er février 95 de la Lettre de JMLP, avec d’excellents arguments. Sans doute, le Président du FN avait-il eu entre-temps l’occasion d’en débattre et il se dispensa donc élégamment d’un épilogue de trop dans son journal.
     
    Resituons le contexte de 95 : nous sommes à 5 mois des élections présidentielles ; le 1er Ministre Balladur est en disgrâce pour avoir usurpé en août 1994 des prérogatives réservées à l’Élysée en l’absence de Mitterrand malade. La réaction prostatataire dudit est sans appel et son soutien discret à Chirac est dès lors acquis puisqu’il est hors de question d’adouber Jospin comme successeur du Pharaon. Le PS peut sombrer, après lui le déluge ! Ce discours dès le début janvier résonne comme une charge. J’aurais tendance à la considérer comme celle du chef autoproclamé du Front républicain d’alors, comme également un message de soutien indirect à Chirac, le candidat le plus viscéralement antilepéniste qui soit. Aucune équivoque ne doit profiter à Balladur qui a eu l’audace d’être conciliant avec le FN et qui pourrait même être tenté par un rapprochement, qui sait ? La chronologie parle encore : c’est le lendemain précisément, le 18 janvier, que Balladur a choisi depuis longtemps pour annoncer sa candidature à l’élection présidentielle. Et ce n’est pas un hasard si Mitterrand essaye dès la veille de lui voler la vedette et de cadrer le vrai débat. Voilà pour la forme florentine des tactiques. Sur le fond, ses divers successeurs ou disciples aiment donc à reprendre la formule. Pourtant, le Président jarnacais fit preuve d’un abus d’amalgame et sa grande culture d’essence maurrassienne n’en dévoile que davantage encore la manœuvre ! Mitterrand, pour la circonstance et les besoins de sa cause, se plut donc à confondre « nationalisme » et « impérialismes expansionnistes ». La diatribe est trop forte et générale pour se limiter à la seule 2e guerre mondiale, et il y aurait beaucoup à dire sur ses origines ainsi que sur les idéologies et protagonistes réellement en cause. Et il ne faut pas oublier ces pays de gouvernements « nationalistes » qui préservèrent leurs populations des affres de la guerre (Argentine, Portugal, Espagne, Turquie, etc.). Au sujet de la 1ère Guerre mondiale, à qui donc faisait-il le reproche du « nationalisme », à l’assassin de l’Archiduc présenté comme tel, puis plus tard déifié par Tito ? À celui de Jaurès qui était un cinglé manipulé ? Ou aux Habsbourg, aux familles impériales toutes confondues et tant honnies par les loges et les Gauches réunies ? En France, ce sont bien des Radsocs comme Poincaré, Briand et Clémenceau qui étaient au pouvoir, ce n’est pas l’Action française, et ce fut bien Poincaré qui poussa la Russie à la guerre pour mieux encercler les empires centraux. Pour Mitterrand, qui sont les nationalistes fauteurs de guerre en 1870 ? Napoléon le « petit » comme disait Hugo ? Les Versaillais et Adolphe Thiers qui rétablirent la République ? Ou les communards avec parmi eux le Colonel Louis Rossel ? Le Nationalisme a trop bon dos, celui d’un fusible.
    Mitterrand le savait pourtant bien, utiliser le manichéisme dans l’analyse des guerres c’est autant la réserver à la seule propagande du vainqueur ! Notre Nationalisme a trop à cœur l’économie du sang des Français pour être belliciste ! Le Nationalisme politique réagit toutes les fois où le peuple et la Nation sont en danger, qu’il soit économique, social, identitaire ou militaire, et aujourd’hui culturel, religieux et démographique. Son action est celle de défenses immunitaires. Si nous étions des provocateurs, nous aurions eu depuis longtemps l’occasion de mettre le feu aux poudres. Je dirais même que si le combat national avait été tout autre, les risques de guerre civile dès 1985 auraient pu conduire notre Pays au chaos et dans les bras du communisme. Le Pen a eu raison de répondre à Mitterrand. Aux religions et au pétrole, nous pourrions ajouter les guerres provoquées par les officines de pays qui n’avaient à l’époque rien de nationalistes, la CIA et le KGB, responsables de guerres civiles en Afrique et en Asie pour leurs besoins respectifs ; celles provoquées dès 1918 par le Communisme qui aura semé la mort de 85 millions d’hommes partout où il s’est installé ! Les guerres civiles aussi, comme en France et en Amérique, et dont les causes ne doivent rien au nationalisme, nous le savons bien. Les guerres de succession, les guerres économiques par FMI interposé, les blocus affameurs, les guerres ethniques et tribales, les guerres sporadiques dues au terrorisme, et même en 1969 une guerre du football qui opposa le Salvador au Honduras ! Demain, ce sera peut-être la guerre de l’eau, la guerre de l’air, la guerre du Dollar, celle des Réseaux internet ou celle des USA contre la Chine. Notre monde est fou. Et Mitterrand avait un sacré culot pour viser le FN en 1995, le premier parti politique à dire NON à la guerre en Irak dès 1990 !
    Mais il avait ses raisons, toutes politiciennes. Et c’est là une circonstance aggravante pour un Président que d’utiliser un subterfuge pour ostraciser cyniquement une partie de l’électorat !
     
    En 1995, Mitterrand avait l’excuse de l’âge, de la maladie et de l’orgueil pour scénariser sa sortie. En 2019, il n’y a pas d’excuses, il n’y a qu’un misérable spéculateur qui exacerbe les tensions d’un pays acculé au désastre par la faute du même Front républicain depuis 40 ans.
     
           
     

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  • Puisqu'on vous le dit !

     

     

     Objet : En relaxant Robert Ménard, la Justice s'oppose à la dictature de la pensée unique
     
     Après une longue bataille judiciaire, Robert Ménard, le maire de Béziers, qui était poursuivi pour « provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence à l’égard d’un groupe de personnes en raison de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée », vient d’être définitivement relaxé. La Cour de cassation vient, en effet, de rejeter le pourvoi de plusieurs associations, dont la LICRA, le MRAP, la Ligue des droits de l’homme, SOS Racisme, l’Union des étudiants juifs de France, Maison des potes.
     
    Que reprochait-on au maire de Béziers ?
    D’avoir, dans une émission sur LCI , en septembre 2016, tenu ce propos jugé intolérable : « Dans une classe du centre-ville de chez moi, 91 % d’enfants musulmans. Évidemment que c’est un problème. » Il avait également publié sur Twitter, à la rentrée des classes, le message suivant : « La preuve la plus éclatante du Grand Remplacement en cours. Il suffit de regarder d’anciennes photos de classe… » Pour ces associations bien-pensantes, oser décrire la réalité de l’immigration en France est forcément un délit.
     
    La décision de la cour d’appel de Paris, prononcée en mars 2018, est donc confirmée : « Aucun des deux passages incriminés ne contenait un appel ou une exhortation, même implicitement formulés, à discrimination, à la haine ou à la discrimination envers une personne ou un groupe de personnes déterminées, […] ni ne stigmatisait les personnes concernées dans des conditions visant à susciter la haine à leur égard. » Les associations qui avaient accusé à tort le maire de Béziers ont été condamnées à verser 5.000 euros de dommages et intérêts.
     
    Comme le dit un communiqué de presse de la ville de Béziers, cette décision de la Cour de cassation signifie « qu’il est encore possible de débattre. Qu’il est encore possible de parler, sans filtre, d’immigration. Qu’il est encore autorisé de décrire le réel. Oui, en France, on a le droit de dire les choses, sans être honteusement accusé des pires intentions. » Et d’ajouter, en conclusion, ce commentaire qu’on ne peut qu’approuver : « Ce jugement est une débâcle supplémentaire pour les officines politiques subventionnées, professionnelles du harcèlement judiciaire, qui font de l’hystérisation du débat un lucratif fond de commerce. »
     
    Les associations qui voient du racisme partout, sauf dans leur propre sectarisme, se retrouvent donc Gros-Jean comme devant. Mais il est peu probable qu’elles en tirent la leçon, tant elles ont l’habitude de barboter dans les eaux d’une pensée manichéenne et conformiste. Il fallait signaler cette décision judiciaire qui, pour une fois, remet les pendules à l’heure et n’hésite pas, au nom de la vérité, à s’opposer à l’impérialisme de la pensée unique.
     
    Ce n’est pas de décrire la réalité de l’immigration qui est condamnable. Ni d’évoquer le changement de population dans certains quartiers et les atteintes à notre mode de vie. C’est, au contraire, de nier ce phénomène, de le passer sous silence, de vouloir faire taire ceux qui le dénoncent. Puissent tous ceux qui aiment le confort de la bien-pensance, parmi les politiciens comme dans les médias, prendre conscience qu’une pensée uniforme et sans contradiction, est une insulte à la vérité.
     
    Dans le brouillard obscurantiste qui tend à étouffer la liberté de pensée, ce jugement apporte une éclaircie d’espoir.
     
    Philippe Kerlouan
  • CONNEXION 3 juin 2019

     

       
     

     
    ICIOININIEIXIIIOINI
    LA LETTRE ARGUMENTAIRE DU PDF
    directeur de publication : Jean-François Touzé
     

    3 juin 2019

     
       
     
    Attentat de Lyon :    
    nouvelle étape de la stratégie islamique.
     
     
    L'attentat commis à Lyon le 24 mai dernier, attentat qui n'a heureusement pas fait de morts mais a blessé quatorze personnes dont une petite fille, et qui était, à l’évidence, destiné à tuer est à la fois emblématique d'une pratique terroriste devenue habituelle – celle de ces fous d’Allah plus ou moins isolés dans leur passage à l’acte mais soutenus voire encouragés par tout un environnement familial, amical ou communautaire - et révélateur d'un esprit nouveau.
    On le sait, les attentats islamiques présentent quatre cas de figure.
    1. L’attentat commandité par une organisation, le plus souvent depuis l’étranger, impliquant des réseaux logistiques et opérationnels. Cf. les attaques du 13 novembre 2015 à Paris.
    2. Les attentats « sous faux pavillon » organisés par une puissance étrangère. La France, dans le passé a été à de multiples occasions touchée par cette forme de terrorisme, sur son sol comme à l’étranger, au gré des divergences diplomatiques, militaires ou même économiques qu’elle pouvait avoir avec l'Iran, la Syrie, la Libye ou d'autres États du moyen Orient. Depuis la fin des années 1990 ces actions ont cessé. Elles peuvent recommencer à tout moment.
    3. L’attentat commis par un ou plusieurs « radicalisés », faisant, pour la forme, allégeance à Daech aujourd’hui, à une autre organisation demain, usant de méthodes artisanales – couteaux, haches, véhicules automobiles… De Nice à Saint Étienne du Rouvray en passant par Strasbourg, le deuxième arrondissement de Paris et tant d'autres sites ensanglantés, on ne compte plus ce genre d’attaques. Les assassins sont parmi nous et ils sont des milliers, voire potentiellement des dizaines de milliers.
    4. L’attentat concerté au sein d'un groupe formant une cellule organisée mais autonome, le plus souvent issue de la petite ou moyenne délinquance, ayant défini des objectifs clairs : ce fut le cas des attaques meurtrières des frères Kouachi et d'une certaine manière, avant eux, de Mohamed Merah.
    Le tueur de Lyon, faux étudiant et vrai clandestin, pourrait bien inaugurer une forme nouvelle d'action, à la fois brouillonne dans sa réalisation et rationnelle dans sa conception
    Que dit Mohamed Hichem Meddjdoub ? Il reconnaît avoir fait allégeance à Daech mais indique avoir voulu « faire monter le vote populiste et raciste avant les élections européennes de dimanche pour pousser les musulmans à la révolte ».
    Avec cet attentat, nous entrons donc dans l’ère de la prospective politique par carnages programmés, une manière de stratégie de la tension version djihadiste s'inscrivant dans un schéma d’ensemble.
    Au moment où les organisations pro-immigrés, pro-communautaristes et pro-islamiques intensifient leurs revendications et leurs actions, où une prière islamique est chantée à la Cathédrale des Invalides, où des listes inspirées par les Frères musulmans se présentent aux élections (en enregistrant des résultats très significatifs aux dernières Européennes dans certains quartiers, ainsi 16,74 % au Val Fourré à Mantes la Jolie, plus de 5 % sur l’ensemble de la ville), où les provocations se multiplient pour imposer voiles ou burkinis dans les espaces publics, où des exceptions de toutes natures sont admises pour favoriser l’islam (dernière en date, les examens décalés pour les musulmans pour cause de ramadan), où la charia règne déjà dans de nombreuses cités et où l'influence des imams se fait puissamment sentir dans la gestion d'un nombre grandissant de communes, le calcul politique d'un Medjdoub peut être viable à moyen terme.
    Pour le Parti de la France, notre Pays est engagé dans une course contre la montre dont il ne sortira vainqueur qu'à la condition que nos compatriotes prennent conscience de la menace mortelle qui pèse sur eux. Seule une politique de salut national opposant un arrêt définitif au tsunami migratoire, mettant en œuvre des mesures d'exception administratives et judiciaires et organisant le Grand retour au pays d’origine, permettra de faire face.
    Sinon… Que Dieu nous vienne en aide.
     
       

    @carllang2022

    Après son fiasco à l'élection municipale de Barcelone, souhaitons que l'ancien premier ministre de la république française Manuel Valls n'ait pas la mauvaise idée de vouloir revenir faire de la politique en France. Et ayons une pensée attristée pour les Catalans. Les pauvres. (27/05/2019)
     
       

    Le scénario politique voulu par Macron est en place. Réduire le spectre électoral à la bande des 2, LREM et RN, et jouer de l'épouvantail RN en se plaçant comme le chef de file naturel du futur Rassemblement Républicain face au Rassemblement National. L'assurance vie pour 2022. (27/05/2019)
     
     
     
    Genéral Electric, Ascoval, Wirlpool…             
    Macron fait de la France un désert industriel.
     
    En moins de deux semaines, trois faire-part de faillites viennent de compromettre le redressement d'entreprises que la parole publique, dans un contexte préélectoral, nous disait sauvées du désastre.
    C’est d’abord l'annonce par General Electric de la suppression de mille postes dans son usine de Belfort. Une annonce incomplète et insincère : si l'on prend en compte les répercussions inévitables sur les sociétés sous-traitantes, c'est, en effet, non pas mille mais au total entre trois et quatre mille emplois qui sont menacés.
    Dans cette tragédie sociale, la responsabilité d'Emmanuel Macron est totale. C'est lui, en effet, qui, en tant que Secrétaire général adjoint de l'Élysée chargé des affaires industrielles auprès de François Hollande, puis en tant que ministre de l'économie, fut le chef d'orchestre de la session de la branche énergie d'Alstom à General Electric qui avait pris l'engagement non seulement de conserver tous les postes existants mais d'en créer mille nouveaux.
    Macron a donc agi soit par incompétence, soit, en toute connaissance de cause, par cynisme et choix funeste de désindustrialisation de la France amenée à devenir, pour les tenants du mondialisme, un pays de tourisme, de luxe et de services.
    Dans les deux cas c'est un des fleurons industriels et économiques de notre pays que celui qui est aujourd'hui Président de la République a délibérément bradé, et l'intérêt social d'une ville et d'un département qu'il a négligé au profit exclusif de celui des actionnaires.
    Les exemples de cette volonté destructrice de l'industrie française se multiplient par ailleurs. Tout comme General Electric, Ascoval, Whirlpool sont emblématiques de cette mise à mort.
    À propos de General Electric on nous explique aujourd’hui que les turbines à gaz n'ont aucun avenir, ce qui est très précisément l'inverse de ce qu'assurait Macron il y a cinq ans. L'usine, contrairement à ce qu'affirme le repreneur, n'est pas en surcapacité (400 par ans) mais en sous compétitivité (100 demandes seulement) du fait de ses coûts de production trop élevés. Au sujet d'Ascoval, tout en assurant que la faillite de son repreneur anglais British Steel, n'aura pas de conséquences sur l'emploi à l'usine de Saint Saulve près de Valenciennes, pas plus qu'à celle de Hayange en Moselle, on laisse entendre que les aciéries françaises relèvent du passé. Pour ce qui est de Whirlpool, on se borne à constater que l’électroménager français n’est plus compétitif, en particulier face à la Chine. Là encore, la responsabilité d'Emmanuel Macron est engagée. En octobre 2017, quatre mois après le début de son mandat, le Président de la République, visitant le site, s’était, en effet, fermement engagé pour écarter les menaces de délocalisation vers la Pologne en accordant une subvention de 7,4 milliards d'euros à l'usine, aide d'urgence destinée à la relance des investissements et de la production sur le sol national. Ces subsides n'ayant servi qu’à payer, un temps, les salaires au lieu d’investir et de rénover, il n'est pas interdit de penser que la seule motivation de l'État et de son chef était de gagner du temps par une opération cynique de communication avec l'argent du contribuable.
    Quand on veut tuer son chien, on dit qu'il a la rage. Quand on veut massacrer son industrie, on la dit dépassée et non viable.
    Le Parti de la France croit en l’avenir de notre industrie nationale servie par une main-d’œuvre française spécialisée d'exception et un savoir-faire hors pair, atouts qui, même dans une économie globalisée, peuvent faire la différence.
    Il demande au gouvernement de prendre ses responsabilités pour sauver des secteurs stratégiques comme peut l’être par exemple le rail français, et de mettre fin sur le sol national aux pratiques odieuses des fonds de retournement vautours comme Grey Bull détenteur des actions de British Steel.
    Il réaffirme sa volonté politique d'une réindustrialisation ambitieuse de la France correspondant aux réalités des besoins du marché, et d'une économie européenne ouverte au monde. Ce sont bien sûr les carnets de commandes qui font la réussite d'une entreprise. Mais les commandes dépendent aussi de la compétitivité et donc du niveau fiscal auquel ces entreprises sont soumises, et de la capacité de l'État comme de l'Europe à faire respecter les règles d'une concurrence internationale loyale.
    Cette réindustrialisation ne sera donc possible qu'à la quadruple condition de rendre nos entreprises compétitives au niveau mondial en desserrant le verrou fiscal, de privilégier la production plutôt que les dividendes, de redonner à l'État l'esprit et les moyens de ses stratégies et de mettre en place, au niveau européen, les barrières nécessaires à une politique ambitieuse de défense de notre production et de reconquête des marchés.
     
     
     
     
    Le billet de Franck Timmermans
    Touchez pas au grisbi !
     
     
    Cette supplique, tirée d’Albert Simonin et reprise par Audiard, aurait pu être lancée à Macron par les caciques des Républicains avant le scrutin présidentiel de 2017 et européen de 2019.
    Trop tard, Macron n’était pas un feu de paille comme Mattéo Renzi en Italie. Macron s’est installé dans le nid douillet du Système, il en croque et Macron continuera donc de laminer les héritiers de Chirac comme ceux de Mitterrand. Macron, c’est le « vampirisme organisateur ». Avec un phénomène mécanique étonnant : par un processus presque hydraulique, plus Macron siphonne les voix des LR, plus les notables chiraquiens commencent à paniquer pour leurs différents sièges, mais aussi plus le fameux plafond de verre que Marine Le Pen s’efforce de briser s’épaissit considérablement !
    Ne vous fiez pas aux apparences, la Dame Le Pen a en effet depuis dimanche son rictus qui lui sert de sourire mais aussi de posture pour dissimuler une sourde inquiétude. Le score de sa liste est bon mais reste dans la fourchette des sondages, comme si depuis 2016, elle avait chaussé des semelles de plomb ! Comme si le RN avait un boulet aux pieds (ou à sa Présidence…) Bref, ça ne décolle pas, il n’y a pas de percée, et ce, malgré le gain important qu’elle attendait des gilets jaunes. La Présidente du RN se console en pensant qu’elle capitalise mais le doute s’installe. Le tsunami populiste attendu en Europe a été très inégal, et décevant dans les pays où elle l’attendait ; de plus, ses alliés se perdent en tractations et en dispersions ; elle ne domine pas la situation, Farage et Orban semblent insensibles à ses talents dévastateurs. Bref, la victoire supposée est amère d’autant qu’elle a le sentiment que le fameux plafond de verre s’est encore épaissi. Calculette à l’appui, la fonte des LR lui rapporte très peu de voix et elle cherche en vain sa réserve pour des élections à deux tours. Même Mélenchon à fondu, sans aucun bénéfice des gilets jaunes lui aussi, et Marine Le Pen a dragué pour rien ses électeurs. Tout cela est plus que décevant, très inquiétant pour la suite.
    Macron, lui, a réussi son OPA sur la classe politique française. Il s’est même payé le luxe d’arriver 2e derrière sa rivale lui laissant l’apparence du succès et le rôle d’un danger toujours imminent, cible parfaite pour faire peur aux bourgeois et aux modérés, et mieux les attirer.
    Le Pen a si bien rabattu pour Macron que c’est à nouveau le psychodrame aux LR. Bellamy, qui a fait pourtant une bonne campagne de terrain, et Wauquiez sont les cibles de tous les caciques qui ont l’habitude de savonner la planche de leur direction sans avoir d’ailleurs le moins du monde participé à ladite campagne. Et la Pécresse de ressortir le sésame absolu de la vie politique française, la solution miracle serait au Centre ! Ce Centre qu’on a fait fuir à cause d’une Droite trop dure (?), ce Centre qui est parti chez Macron etc., etc., et Pécresse de citer un Jean-Christophe Lagarde au bord de la rupture !!! On croit rêver d’autant que le Lagarde en question, avec ses 2,49 %, a bel et bien évité que Macron n’arrive en tête grâce aux 300 000 voix, au moins sur ses 566 000 obtenues, qui se seraient automatiquement agrégées sur LaRem. Le ralliement de Lagarde aux LR aurait fait « pschitt ». La réalité c’est que Macron a fait aux partis institutionnels, à une échelle plus modeste, ce que De Gaulle a fait au système des partis de la IVe République en 58, un coup de force ! Il a fait ce que Mitterrand avait également fait en 1971, en bousculant les lignes au détriment de la SFIO de Mollet et en prenant le contrôle du PS pour rassembler à l’époque toute la gauche face au gaullisme.
    Et quand Macron ressort le fameux anathème de Mitterrand en 1995 « Le Nationalisme c’est la guerre ! », il ne fait rien d’autre que de se poser en recours, en patron du Front républicain unifié, non pas face aux gaullistes mais à leur détriment et sous le pur prétexte de barrer la route au pseudo-danger fasciste. Tout cela relève évidemment de l’art de la comédie politique.
     
    La leçon a été comprise par le seul qui soit à Droite en mesure de défier Jupiter, à savoir Gérard Larcher qui tient encore le bastion du Sénat. Il est le 2e personnage de l’État, il est aussi l’opposant le plus efficace sur le plan parlementaire. Il détient des réseaux nombreux dans les terroirs, les collectivités locales et régionales. Plus populaire que Pécresse, trop mijaurée et parisienne, et que Bertrand trop maçon et inconsistant, il pense de plus en plus être le seul capable de sauver le navire, ce qui passe par la case de l’élection présidentielle de 2022. Enfin, il est apprécié autant à Droite qu’au Centre. En 1969, mon premier meeting avec ma famille, il y a 50 ans, était pour Poher, l’imprévu Président du Sénat qui s’était invité dans la campagne électorale. Lâché par les giscardiens et par les socialistes (Mitterrand n’avait pu être candidat à cause du duo Deferre-Mendès France qui roulait pour la SFIO), il avait fait campagne seul contre tous, d’autant que le PC roulait en coulisses pour Pompidou. Son score avait été plus qu’honorable avec 42 % au 2e tour, au-delà du plafond de verre… Il le devait à sa bonhomie, sa simplicité et sa proximité avec les élus de province, à son côté IVe République qui tranchait avec les requins de la finance gaulliste. Cela contentait mes parents antigaullistes. L’histoire semble se répéter. Larcher sait aussi qu’un retour de Sarkozy serait catastrophique pour l’image des LR et que la seule façon d’extirper les Centristes de la force d’attraction élyséenne c’est d’incarner la force tranquille. Une sorte de Philippe Noiret en surcharge pondérale est plus sympathique qu’un jeune banquier arrogant et excité.
    On en est là… Tout n’est donc pas joué pour Macron, ni pour sa rivale désignée. De son côté, il aura donc à cœur d’arrimer lui aussi les centristes à sa cause pour contrer Larcher à qui il compte bien faire payer les tourments de l’affaire Benalla ! Et pour fidéliser les centristes, il lui faudra alors ressortir ses cartes d’atout Bayrou et de Sarnez, quitte à libérer pour eux des postes de Ministres, voir plus à Matignon…
    Mais me direz-vous, il ne fera pas cela puisque Bayrou et de Sarnez sont impliqués dans l’affaire des emplois fictifs pour leurs attachés parlementaires !!! Il ne le peut pas !
    Croyez-vous ? Monsieur Macron vient pourtant d’introniser Madame Le Pen comme sa rivale prédestinée et préférée dans le fauteuil du 2e tour de la prochaine élection présidentielle.
    Or celle-ci est mise en examen pour détournement de fonds publics dans l’affaire similaire des emplois fictifs du Parlement européen… La raison d’État impose tous les culots.
    Qui peut le plus peut donc le moins. Car la Loi de Jupiter à son tour sera « Touchez pas au grisbi ! ». Le Système a son nouveau Roi.
     
           
     

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  • Une élection en cache toujours une autre !

     

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    Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

    Alors que tous les regards étaient, à juste titre, braqués sur les scores des uns et des autres aux élections européennes, tant en France même que chez ses voisins, deux autres consultations électorales sont passées, presque, inaperçues.

    La première, c’est l’élection du nouveau Congrès de Nouvelle-Calédonie et des trois assemblées provinciales de ce territoire d’outre-mer. La seconde, est l’élection municipale à Barcelone où Manuel Valls s’est fait durement rosser.

    A Nouméa, dimanche 12 mai, dans la foulée du référendum du 4 novembre 2018 où le « oui » à l’indépendance a frôlé les 44 %, les indépendantistes pensaient gagner la compétition électorale pour le renouvellement du Congrès de Nouvelle Calédonie et des trois assemblées provinciales nées des accords de Matignon. Pari raté, ce sont les « loyalistes » qui continueront de détenir la majorité territoriale. Ce qui est intéressant à noter, c’est le basculement qui s’est opéré au sein de la majorité, redessinant la carte politique de « La Grande terre ».

    C’est ainsi que la coalition « L’Avenir en confiance » regroupant  3 partis, les Républicains calédoniens, le Rassemblement « les Républicains » et le Mouvement populaire calédonien, a emporté 16 sièges sur 54. Elle pourra compter, toutefois, sur l’appui de groupes minoritaires, comme par exemple, l’Eveil océanien, 2 élus, issu des communautés wallisiennes et futuriennes, ou de Calédonie ensemble, 7 élus (-8 !). Le FLNKS, le cartel indépendantiste, totalisant pour sa part  26 conseillers, pas suffisant, à deux voix près,  pour construire une majorité. Un basculement s’est opéré au sein du camp « pro-Français » où la coalition « l’Avenir en Confiance », conduite par la blonde Sonia Backès, 43 ans, une syndicaliste aux ascendants portugais, a quasiment remplacé les sortants de « Calédonie ensemble » dirigés par Philippe Gomes. Un glissement inquiétant pour cette formation dont se réclament la présidence du Congrès, celle de la province sud (Nouméa), ainsi que les 2 députés et un sénateur sur 2 de l’île ! Dans la province du Sud, « l’Avenir en confiance » est désormais  seule à la manœuvre avec 21 sièges sur 40 postes d’élus locaux. Dans la province du nord, acquise aux séparatistes, « Calédonie ensemble » n’obtient aucun siège, tandis que le PALIKA de Néaoutyne obtient 38,5 % des suffrages, et que son rival au sein du FLN KS , l’Union calédonienne, en enregistre 36 %, pourcentages assurant à ces deux formations l’assurance de gouverner ensemble contre les « loyalistes ». Lesquels, conduits notamment par Alcide Ponga, maire de Kaouaoua, 12,2% , ont amélioré leurs résultats de +3 points . La province des îles, - Ouvéa, Lifou, Maré-, totalement acquise aux  séparatiste,- on se souvient de la tragédie de la grotte d’Ouvéa-, restant totalement, elle, entre les mains du FLNKS.

    Les méthodes de gouvernement et l’usure du pouvoir auront eu raison des sortants. Sonia Backès, désormais la « grande prêtresse » du camp loyaliste, s’est félicitée de ces résultats qui mettent sa formation en position de force pour négocier avec Paris et le FLNKS les suites des accords de Matignon et de Nouméa. Il parait évident que l’on s’oriente, à terme, vers un nouveau référendum, jusqu’à ce que les sécessionnistes du FLNKS le gagnent ! C’est la maladie des « démocrates », faire voter les peuples jusqu’à obtenir satisfaction ! Mais, comme on le voit en Grande-Bretagne, ça ne marche pas toujours ! Question de temps, comme en métropole avec l’immigration musulmane, la démographie jouant sa partition. A propos de partition, compte-tenu de la carte électorale et de la répartition des populations, c’est probablement la solution qui émergera du dossier calédonien, à moins que le gouvernement français contemporain, comme son prédécesseur gaulliste dans les années 1960, n’impose le bradage de TOUTE cette ancienne colonie française.

    Economiquement, ce serait une solution suicidaire pour toutes les parties, le nickel étant un enjeu stratégique et Nouméa, capitale de ce territoire de 240 000 âmes, étant la vitrine de la France dans le Pacifique : prendre un café crème et des croissants place des cocotiers, est une amusante expérience pour le métropolitain fraichement débarqué, de même que photographier de belles vaches normandes à la robe noire et blanche, s’ébattant dans une végétation tropicale !

    (Enfants, petits-enfants en Nouvelle-Calédonie, trois voyages ces dernières années, je confirme l'analyse de Jean-Claude ROLINAT)

    Une autre solution semble pointer son nez, souvent discrètement évoquée, le statut « d’État associé », comme les îles Cook ou Niue par exemple, par rapport à la Nouvelle-Zélande. Mais, quel que soit le menu qui s’imposera, l’essentiel à notre sens, est que l’on ne nous fasse pas revivre un autre scénario algérien, et que la solution retenue soit la plus « française » !

  • Le réveil ! Peut-être ?

     

       
     

     
    ICIOININIEIXIIIOINI
    LA LETTRE ARGUMENTAIRE DU PDF
    directeur de publication : Jean-François Touzé
     

    27 mai 2019

     
       
     
    Élections européennes :    
    Premier bilan et quelques perspectives.
     
     
    Au terme d'une campagne atone, terne, et aux enjeux détournés tant il est vrai que, par un accord tacite entre les deux principaux protagonistes, parrains des listes que les sondages donnaient gagnantes, ce n'est pas d'Europe que l'on a parlée mais de stratégies nationales en vue de 2022.
    Les électeurs se sont exprimés. Comme ce fut le cas lors des précédentes Européennes, ils l'ont fait sans grand enthousiasme, malgré une participation en très forte hausse (52 % de votants) par rapport à 2014, 2009 et 2004 (en moyenne 40 %), hausse sans doute induite par le retour à un scrutin national dans une circonscription unique. Les abstentionnistes, pour autant, constituent toujours le premier parti de France, plus par dégoût, rejet et mépris de la classe politicienne et du Système, que par désintéressement de la chose publique.
    En obtenant 24,5 % des suffrages et en finissant la course en tête comme ce fut le cas en 2014 avec 24,86 % (aucune progression donc), la liste du Rassemblement national, favorisée pourtant par le vote utile anti Macron et servie par l’idée que quelque chose pourrait peut être changé dans les rapports de force au sein du Parlement européen, confirme sans plus son audience, d'autant que celle-ci demeure de circonstance et correspond essentiellement à un vote par défaut. On notera à cet égard que, compte tenu du taux d’abstention, le score réel de la liste conduite par Jordan Bardella ne représente qu'un peu plus de 10 % des inscrits ce qui, dans un contexte de rejet du gouvernement et d’accélération des menaces migratoires, économiques, sociales et sécuritaires, ne saurait être considéré comme un succès.
    Avec plus de 22 % la liste de la République en marche, malgré l’hystérie de la propagande européiste de ces derniers jours, se situe très nettement en deçà du résultat obtenu par Emmanuel Macron lors du premier tour de la Présidentielle de 2017 (24,1 %). Il s'agit donc clairement d'un revers pour le parti présidentiel qui réussit néanmoins à maintenir l'essentiel de son électorat et conserve donc un socle fort pour les prochaines échéances. Là encore, le vote utile de la droite molle et de la gauche bobo contre le totem brandi du « risque d’extrême droite » a joué en faveur de la liste gouvernementale et a permis de limiter les dégâts. Macron conforte ainsi sa stratégie confiscatoire du choix des électeurs en imposant l'idée du seul duel possible à la future Présidentielle entre Marine le Pen et lui.
    Les Républicains, quant à eux, malgré la nouveauté talentueuse et l’image « droitière » de leur tête de liste François-Xavier Bellamy essuient en n’arrivant avec moins de 10 % qu'en quatrième position derrière les Verts un échec cuisant qui ne sera pas sans conséquences et sont loin, très loin, de retrouver leurs électeurs perdus après le naufrage Fillon. Le « centre droit républicain » paye ainsi des décennies de mensonges, d’ambiguïté, de laxisme, de faux-semblants, de renoncements, d’aveuglement et d'erreurs tactiques. Ce n'est que justice.
    La gauche, toute tendance confondue, Verts mis à part qui bénéficiaient de la mobilisation bobo sur le climat, est en pleine déroute et aujourd’hui en pleine atomisation. La France insoumise est au point mort, le PS sombre même s’il sauve les meubles en dépassant la barre des 5 %, et Hamon disparaît corps et biens… Mais attention ! Que personne ne se réjouisse pour autant. Un jour ou l’autre et peut-être plus tôt qu'on ne le croit, la gauche saura se retrouver au-delà de ses différences et redevenir une force d'autant plus redoutable quelle n'aura rien appris de ses échecs, qu’elle saura s’appuyer sur les mouvements sociaux et que son regroupement se fera nécessairement autour de la radicalité.
    Les souverainistes… Nicolas Dupont Aignan n’enverra aucun député à Strasbourg et perd, à l'issue d'une campagne brouillonne, son pari, à vrai dire bien hasardeux, d'incarner une union des droites dont, à aucun moment, il ne s'est donné les moyens de la réaliser, multipliant les erreurs, les signes de faiblesse à l’égard du Système et faisant parfois preuve d'égotisme et de déloyauté à l’égard de ceux qui l'avaient soutenu. En politique, on est jamais mort. Mais il arrive que l'on soit très durablement blessé.
    Florian Philippot, quant à lui tout comme son concurrent en frexit, François Asselineau conserveront sans doute, malgré leurs résultats dérisoires, l'espoir d'entretenir le dernier pré carré de leurs amis et l’illusion d'une gauche chevènementiste sans avenir, sans base militante ni réalité politique. Nous sommes là, il est vrai, dans l'infinitésimal…
    Jean Christophe Lagarde et l'UDI, enfin, se ridiculisent.
    Les listes virtuelles obtiennent pour ce qui les concerne - et très naturellement - les résultats qui leur étaient promis.
     
    Au lendemain de ces élections, rien, absolument rien ne changera ni d'un point de vue national où les vrais combats politiques sont à venir, ni de celui de l'Europe ou, quels que soient les rapports de force nouvellement créés au sein des futurs groupes parlementaires, la Commission et le Conseil continueront de régner en maîtres au nom de l'immigrationnisme, du mondialisme et de la financiarisation de la planète.
    Le Parti de la France, pour des raisons financières aisément compréhensibles, n'avait pas souhaité concourir. Il n'en ira pas de même lors des prochaines consultations électorales de ces trois prochaines années. Plus que jamais notre pays a besoin d'un parti de convictions, national et identitaire, patriote et européen, structuré, inscrivant son action dans la durée avec le recul que donnent expérience et maturation, mais habité de l’ambition de parvenir aux responsabilités.
    Les mois qui viennent seront ceux de l’organisation du Parti et de l’affirmation de ce que nous sommes avec la tenue d'un Congrès décisif à la fin de l'automne.
    Dans une semaine, personne ne parlera plus de ces élections européennes, sinon pour s’intéresser à la constitution des groupes parlementaires, à l’élection du Président du Parlement, celui surtout de la Commission et au choix du directeur de la Banque centrale européenne.
    Le combat politique, lui, continue. Le Parti de la France doit devenir le pôle de rassemblement de la vraie droite nationale.
    Alors, forçons le pas sur notre pente de Sisyphe et poussons encore et encore notre rocher : c'est le bon.
     
     
    UNEF :            
    du gauchisme au racisme anti blanc..
     
    Longtemps syndicat unitaire regroupant, depuis sa création en 1907, les étudiants de gauche comme de droite (Jean-Marie Le Pen en fut un responsable dans le même temps que Michel Rocard), devenu dans les années 60 le fer de lance de la contestation gauchiste puis, dès le début des années 1980, un foyer trotskiste en même temps que le centre de formation utérine des jeunesses socialistes, l'Union Nationale des Étudiants de France (UNEF), parallèlement à la décomposition du PS, est majoritairement devenue, au fil des années et au-delà de ses différentes fractions allant de la gauche à l’ultra gauche regroupées sous des acronymes opaques (AGE, BN, TUAS issue de la TMAS et de la TUUD), une secte anti française, indigéniste, communautariste et anti blanche noyautée par les tenants de l'intersectionnalité (théorie racialiste développée par l'universitaire afro-féministe américaine Kimberlé Crenshaw en 1989 qui entend lutter contre le « sexisme et le racisme subi par les femmes afro américaines »).
    On ne compte plus ni les provocations ni les interventions médiatiques de ses responsables qui témoignent de cette dérive largement inspirée par Houria Boutelja, porte-parole des Indigènes de la République.
    C’est ainsi que Hafsa Askar, membre du Bureau national a cru bon, après l'incendie de Notre Dame de Paris et l'intense émotion française que cet événement a suscité de dénoncer un "délire de petits blancs".
    On se souvient, par ailleurs, de la location en 2015 par l'Unef de salles de prière pour des étudiants musulmans.
    Personne n'a oublié non plus l'élection de sa présidente, Maryam Pougetoux, arborant le hijab, à l'AGE de Paris-IV en mai 2018.
    Sans parler des listes communes avec l'association des Étudiants musulmans de France (EMF), qui gravite dans la sphère des Frères musulmans, ou de la participation récente de militants UNEF, aux côtés de ceux du CRAN (Conseil représentatif des associations noires de France), à la censure de la pièce d'Eschyle, Les suppliantes, pour cause de masques noirs portés par les acteurs conformément aux traditions du théâtre grec antique, masques considérés comme une preuve de racisme.
    Quelque 86 militants appartenant à la direction et se revendiquant de l'aile gauche de l'UNEF (comme s’il y existait aujourd’hui une aile droite), ont annoncé dimanche 19 mai leur démission et leur intention de former un nouveau syndicat dissident de celui qui fut, de loin, le premier syndicat étudiant, avant de se voir nettement dépassé pour la première fois depuis des décennies par la FAGE, syndicat « modéré » lors des élections au CROUS de 2016.
    Pourquoi cette scission ? En raison des dérives pro islamistes, africano-racialistes et indigénistes (terme que nous utilisons dans son acceptation actuelle mais objectivement erronée car les indigènes de France, ce n'est pas Eux, c'est Nous.) ? Non ! Seulement pour des querelles de tendances, les partants qui pourraient au final représenter jusqu’à 25 % des effectifs, accusant la direction, dans un pathos qui n’appartient qu’à eux, de "figer les clivages et éloigner les individus des objectifs communs de l’organisation", les "enjeux de pouvoir interne" étant pointés comme la source de "divisions stériles"
    Une nouvelle secte syndicale étudiante verra donc le jour bientôt. Elle ne sera pas moins anti nationale que celle dont elle est issue
     
     
     
     
    Le billet de Franck Timmermans
    Macron, une leçon de pouvoir et de manipulation
     
     
    À moins d’un rebondissement social, le chapitre des Gilets jaunes sera bientôt clos. Il aura été très instructif, formateur même. Un moment décontenancé par l’ampleur du soulèvement à ses débuts, le Pouvoir jupitérien aura réussi à reprendre la main dans tous les domaines. Une grande leçon de machiavélisme et de cynisme !
    Le ras-le-bol de manifestants inorganisés a très tôt dégénéré en saccages, ce qui est très banal dans le cadre d’une jacquerie. Faute de direction politique et stratégique, les révoltés se sont mis à dos les classes moyennes des grandes villes ; et la droite molle n’a pas tardé à lâcher les manifestants. Puis sont venus les prédateurs attirés par la casse et manipulés par des officines expertes ; les blacks-block ont fait le job et ont donné au Pouvoir une légitimité répressive. L’absence sérieuse de toute arrestation en amont des manifestations indique une volonté de pourrissement et d’escalade. Ce fut donc au détriment principal des Gilets jaunes, et non des racailles en noir, comme prévu. La répression fut importante, voire disproportionnée : il faut remonter à 70 ans pour assister à un tel zèle. Déjà, en 1948, c’est un gouvernement hétéroclite Radical-MRP et SFIO qui doit réprimer une révolte des mineurs. Il faudra seulement 2 mois au ministre socialiste Jules Moch pour rétablir l’ordre. Les fusils sont chargés à balles réelles et tirent après sommation, c’est l’époque de l’emploi généralisé des gaz lacrymogène, c’est aussi le lancement du slogan « CRS = SS », 20 ans avant mai 1968 ! Le Premier Ministre est Henri Queuille, son bras droit un certain Mitterrand qui ne condamnera à aucun moment les violences policières. Le Ministre du Travail est le socialiste Daniel Mayer, qui deviendra en 1958 Président de la Ligue des Droits de l’Homme, vous ne rêvez pas !
    Et l’adjoint de Jules Moch est un certain Raymond Marcellin du CNI, qui officiera aussi en 1968, puis plus tard. Le bilan est lourd : 7 morts, près de 3000 arrestations, 1073 prisons fermes, des milliers de licenciements. Ni la CGT ni le PC ne seront dissous, trop utiles au Régime comme épouvantails de service. Mais ils n’étaient pas seuls, les travailleurs chrétiens étaient aussi en révolte. Le scenario n’est pas très différent en 2019. Certes la France n’a plus de mineurs (et pour cause, merci la CEE !) mais la détresse des gueules blanches a pris le relais. Grâce au zèle d’un Ministre ex-socialiste lui aussi, M. Castaner, on dénombre une quinzaine de morts (dues il est vrai parfois à des « accidents » sur les ronds-points) mais surtout 23 éborgnés à cause des grenades de « dés-encerclement » tirées au visage sur ordre, 4 mains arrachées, 160 blessures à la tête. La Justice est également expéditive car pour une fois l’État doit donner la leçon ! Pour autant, il faut dévier les projecteurs de l’aspect répressif et Macron lance ensuite le « grand débat » qui sera le grand déballage de ses one-man shows. Quel talent ! Sous le couvert de la concertation, il va réussir à imposer un menu unique non sans avoir réussi le tour de force d’en éliminer le plat principal : l’immigration !
    Dès janvier 2019, les remontées des mécontentements attestaient de la réelle prééminence du sujet, confirmée par les révélations des fonctionnaires de l’Élysée (VA 17/01/19), au point d’en alarmer le Président. Celui-ci a besoin lui aussi d’un épouvantail (!) pour se faire réélire, la Marinagrobis de Nanterre, mais pas au risque de lui servir les Gilets jaunes sur un plateau !
    Il faut donc désamorcer le sujet de l’immigration et enfumer le débat sur d’autres thèmes : la planète en danger, un peu de social, un zest de fiscal et basta ! Il préfère encore refiler la patate jaune et chaude à la CGT et à l’extrême-gauche qui savent parfaitement absorber et dissoudre les jacqueries populistes. Durant plusieurs mois, il s’emploiera donc à animer des « débats » et à diviser les GJ, à accentuer leur impopularité, et à les dissocier du RN.
    Pas compliqué, Madame Le Pen est incapable de toute façon de récupérer quoique ce soit comme ce fut le cas en 2012 avec la Manif pour tous. Fifille veut la vedette, dont acte.
     
    En mai 2019, les résultats de cette politique confiscatoire, répressive et récupératrice est éloquent : le Mouvement des Gilets jaunes est dévitalisé complètement, ses éléments les plus tenaces sont récupérés par les manifs de la CGT et le RN occupe une place de premier plan suffisante pour réserver à Fraü Le Pen sa place au 2e tour et assurer la réélection de Jupiter.
    Tout le reste n’est que comédie ! Macron incarne désormais à lui seul le Front républicain tant ses détracteurs, à droite comme à gauche, ont été, pour ce faire, divisés et marginalisés.
    Les velléités de Hollandouille à vouloir se représenter en 2022 n’en sont que plus affligeantes dans ce concert de dupes où ne manque plus que le retour de Sarkozy !
    Mais c’est l’utilisation de Marine Le Pen qui est la plus brillante. Patronne incompétente et omnipotente d’un mouvement fantomatique dont les résultats électoraux se virtualisent au fil des années, l’ectoplasme de l’ancien FN est non seulement incapable de prendre ou de garder le pouvoir mais est aujourd’hui privé de son autonomie financière et politique. Réduit au rôle de marionnette faute de moyens et en sursis judiciaire continuel, il se trouvera demain en danger de mort même si ses résultats du 26 juin sont bons ! Quand Macron sera réélu en 2022, il ne lui restera plus qu’à laisser la Justice faire son travail et même Steve Bannon ne pourra rien faire contre l’atavisme familial ni contre les infractions commises. Il faudrait un miracle pour que Bardella, Marion ou Mariani imposent au RN un sursaut, un recadrage.
    Comme disait le Président historique « Comment feront-ils demain ce qu’ils n’ont pas su faire hier ? » et, devrions-nous ajouter, « et surtout avec aux pieds le boulet tutélaire » ?
    Pour le reste, cette jacquerie nous aura confirmé que les Ministres socialistes de l’Intérieur seront toujours les plus répressifs de l’Histoire. Jules Moch, Mitterrand, Castaner mais aussi Valls dont personne n’a oublié les ordres scandaleux contre la Manif pour tous ! Nous avons aussi pu mesurer le légitimisme des dirigeants des forces de l’ordre. Légitimisme au Régime, pas aux détresses citoyennes. Quand les évènements enclencheront la Grande Partition annoncée par Hollande, les Français seront bien seuls à défendre leurs terres. On comprend mieux maintenant pourquoi le Chef d’État-Major De Villiers était devenu trop gênant.
     
           
     

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  • Lu et approuvé !

    mardi, 21 mai 2019

    Jordan Bardella en tête des sondages

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    En ce qui concerne la campagne et les propositions de Jordan Bardella, tête de liste du Rassemblement national qui ne manque d'ailleurs pas de talent, nous pensons que les lecteurs de Synthèse nationale ont suffisamment d'informations grâce aux moyens officiels, ce qui n'est pas le cas des autres listes patriotiques. 

    Cependant, dans un souci d'équité, nous reprenons ici l'appel lancé sur les réseaux sociaux par Véronique Péan, la dynamique responsable du RN en Touraine :

    "Un seul tour le dimanche 26. Proportionnelle intégrale plus nous aurons de voix plus nous aurons de députés. Notre ennemi, c’est l’abstention. Contacter les membres de votre famille, vos amis, vos relations professionnelles… Consacrez les jours qui viennent à convaincre vos proches d’aller voter pour la liste de Jordan Bardella. Un impératif : arriver en tête le dimanche 26 mai. Il faut gagner, pour l'Europe, pour la France !"

    Chacun fera donc en son âme et conscience...
     
    Site de Jordan Bardella cliquez là
     
    L'appel de Jean-Marie Le Pen cliquez ici
     
  • Le jeu de MACRON

    L'ÉDITO de Didier MICOINE

    Le PARISIEN lundi 20 mai 2019

      de Didier Micoine  
     
      Le jeu de Macron  
     
     

    Emmanuel Macron poursuit « sa » campagne. À six jours des élections européennes, le chef de l’Etat s’implique une nouvelle fois en donnant une interview à plusieurs quotidiens régionaux – dont Le Parisien. Dans cette dernière ligne droite, l’objectif est de mobiliser les électeurs pour que la liste du Rassemblement national n’arrive pas en tête dimanche soir en France. Dans le camp de Macron, on dénonce une extrême droite « cheval de Troie » des plans de Trump et Poutine pour affaiblir l’Europe. On connaît la volonté de Macron de jouer dans cette campagne les progressistes contre les nationalistes, mais on peut s’interroger sur le choix de dramatiser les enjeux et de focaliser ainsi sur le score de dimanche. L’hypothèse que la liste lepéniste devance celle des Marcheurs n’aurait rien d’extraordinaire dans le contexte actuel et vu l’impopularité de l’exécutif. Marine Le Pen était d’ailleurs arrivée en tête lors des européennes de 2014. L’expérience montre par ailleurs que le résultat des précédents scrutins européens n’a pas eu d’impact direct sur la politique nationale. Alors pourquoi une telle dramatisation ? Jusqu’ici, les déclarations de Macron, censées mobiliser les électeurs de la liste Renaissance, ont surtout eu pour conséquence de faire monter les intentions de vote pour le RN ! Un effet contre-productif, donc. À moins que ce soit l’effet recherché par le chef de l’Etat de façon à préparer les conditions d’un match retour contre Marine Le Pen à la présidentielle de 2022. On n’ose croire à un tel calcul…

     

    Dans l'état actuel, comme en 2017, celui ou celle qui se retrouvera au deuxième tour face à Marine Le PEN, croit que son élection sera assurée et facile.

    On peut continuer de rêver, le peuple de France saura t'il se réveiller ?

     
     
  • En mai, fais ce qu'il te plaît !

    lundi, 20 mai 2019

    Tribune libre : En mai, fais ce qu'il te plaît...

    9051659-14383462.jpgJean-François Touzé
    Délégué national du Parti de la France aux Études et Argumentaires
     
    Les élections européennes du 26 mai auraient pu être l'occasion d'un vaste débat national invitant les Français à réfléchir à ce que devait être ou ne pas être la construction continentale, et à décider, dans la clarté, de leur avenir, avenir dont le Parti de la France estime qu'il est indissociable de celui des autres peuples de notre civilisation.
     
    Les éléments de cette réflexion tenaient en quatre questions essentielles.
    • L'Europe réunie doit-elle l’être sous un mode fédéral régi par une autorité centrale de nature nécessairement technocratique ou relever d'une coopération toujours plus étroite des Nations libres coordonnée par le Conseil des Chefs d'États et de Gouvernements ?
    • L'Europe réunie doit-elle se constituer en puissance politique, économique, diplomatique et militaire en se donnant les moyens moraux, financiers, matériels et structurels de l'affirmation et de la réalisation de cette ambition ou demeurer une entité molle, sans force ni volonté, aboulique et impuissante, soumise aux mille vents mauvais de la globalisation, de l’immigrationnisme, du nouvel ordre mondial et de la spéculation ?
    • L'Europe réunie doit-elle rompre avec l'utopie mondialiste et la soumission à d’autres intérêts que les siens, en créant les conditions de son indépendance et de sa protection économique, identitaire et sécuritaire ou rester un vassal ballotté au gré du bon vouloir de Washington ?
    • L'Europe réunie doit-elle travailler à la mise en œuvre d'un partenariat civilisationnel avec la Russie, partenariat qui, par la nécessité des choses et la force de l'entraînement soudera Russie et monde occidental face aux menaces que constitue l’émergence de grandes puissances régionales aujourd’hui, mondiales demain, en particulier la Chine, ou laisser Moscou se tourner définitivement vers Pékin ?
    Au lieu de cela, chacune des formations politiques décidées à concourir à cette consultation a pris soin d’éluder le fond et de se cantonner dans des enjeux subalternes pour notre Nation et pour notre civilisation, mais prioritaires pour elles : la défense et la promotion de leurs intérêts alimentaires.
     
    • Pour La République En Marche, deux mots d'ordre qui n'en font qu'un : battre le « populisme » et arriver en tête devant la liste Bardella tout en ménageant Marine Le Pen sélectionnée comme meilleure chance pour Macron de l'emporter en 2022, et donc instituée comme opposante privilégiée par la propagande gouvernementale.
    • La liste du Rassemblement national quant à elle, radeau de la Méduse des anciens UMP/Républicains en mal de mandat, et des apparatchiks marinistes les plus dociles, oscillant d'une stratégie à une autre, d'une droitisation à une re-gauchisation au gré des circonstances, des sondages, des humeurs et des rencontres de sa Présidente, aura tout au long de la campagne, confirmé son incohérence stratégique et son incapacité à naviguer autrement qu'à vue, tout en mettant en lumière son jeu clanique.
    • Les Républicains, malgré quelques bonnes dispositions de leur tête de liste (sur l'immigration, sur les valeurs ou sur les racines chrétiennes de L’Europe), restent ce qu'ils sont et ce que la bien-pensance leur dicte d’être : le dernier îlot d'un centre droit systémique ayant depuis longtemps perdu tout sens des réalités et tout contact avec le monde extérieur.
    • Pour la gauche, l'enjeu était ce qu'il est de toute éternité : celui d'un congrès dont chacun espère sortir en tête de la grande valse des motions.
    • Nicolas Dupont Aignan, enfin, aura, pour exister, fait beaucoup d’efforts désordonnés, erratiques et parfois déloyaux à l’égard de ceux qui le soutenaient avec, au final, la perspective dérisoire d’une bataille de titans lilliputiens pour savoir qui, de lui-même, de Philippot ou d'Asselineau l'emportera en dépassant les 2 %.
    • Nous n'évoquerons ici aucune des listes virtuelles, tout en comprenant que tel ou tel veuille se faire connaître, car nous considérons que la politique est chose sérieuse qui doit être traitée avec rigueur.
    Dans un message diffusé sur les réseaux sociaux, Carl Lang a précisé la position du Parti de la France conformément aux décisions prises lors du Bureau politique du mois d'avril : Le PdF qui n'a pu concourir pour des raisons financières (un million minimum pour financer la campagne officielle était requis) laisse donc à ses militants une totale liberté de vote.
     
    Liberté de vote car le Parti de la France, considérant ses adhérents et sympathisants comme aptes à faire leur choix en toute connaissance de cause, selon leur conscience et en accord avec leurs convictions, il n’était pas nécessaire de leur dicter leur choix.
     
    Il est néanmoins évident que pas une de nos voix ne se portera sur les listes directement systémiques, non plus que sur l'une ou l'autre de celle de la gauche. Pour le reste, chacun décidera en fonction de ce qui est utile au Pays et peut être réalisable ou pas au sein du Parlement européen. Pour cette élection, dont nous savons déjà que, comme ce fut le cas de tous les scrutins européens, elle ne sera en aucune façon structurante de la vie politique française, chacun n'aura donc le choix qu'entre des inconvénients multiples.
     
    « En mai, fais ce qu'il te plaît » dit le proverbe. Chacun sera donc juge de ce qui lui plaît : porter son suffrage sur telle ou telle liste nationale ou de droite, ou voter Jeanne d'Arc et célébrer pleinement la fête des mères.
  • Pas une voix pour MACRON !

    Carl LANG @carllang2022

    Compte tenu de son coût financier et ne souhaitant pas faire une campagne électorale virtuelle sans bulletins de vote ni circulaires, le Parti de la France ne présente pas de liste à l'élection européenne. Le PdF laisse donc à ses militants une totale liberté de vote.

     

    Pour ma part, je voterai utile le 26 mai prochain.

    Voter utile, c'est voter contre MACRON. Il ne doit pas gagner.

    Toute voix égarée sur des groupuscules sera une voix de perdue pour la France.

    Dominique SLABOLEPSZY

    Conseiller régional honoraire - Membre du BP du Parti de la France

  • NON à MACRON !

    Elections européennes : non à Macron !

    MNR.jpgUn communiqué du MNR :

    A quelques jours des élections européennes le M.N.R. se déclare profondément inquiet de la situation de l'Europe dans le monde multipolaire d'aujourd'hui où prévaut le choc des civilisations.

    Il préconise en conséquence d'ériger l'Europe  en un pôle de puissance capable de défendre son identité, son indépendance et sa souveraineté.

    Pour rendre ce projet possible le M.N.R. appelle en conséquence a émettre un vote qui pénalise M. MACRON et son projet clairement mondialiste
  • Ce sera eux ou nous !

     

     

       
     

     
    ICIOININIEIXIIIOINI
    LA LETTRE ARGUMENTAIRE DU PDF
    directeur de publication : Jean-François Touzé
     

    6 mai 2019

     
       
     
    Islamisme :  
    ce sera nous ou eux.
     
     
     
    En 18 ans, depuis le 11 septembre 2001, l'islamisme politique à commis 32 000 attentats de par le monde et fait plus de 150 000 morts, des centaines de milliers de blessés et mutilés, sans parler des combattants Syriens, irakiens, Kurdes tombés l'arme à la main ou massacrés après leur capture, et les innombrables victimes civiles des guerres qu'il a menées au nom d'Allah. Le quotidien allemand Die Welt vient d'en publier la longue liste sanglante. Elle parle d'elle-même.
    Face à cette offensive qui n'est que la continuité d'une lutte millénaire menée contre l’Occident, sa civilisation et ses valeurs dans une volonté de conquête et de soumission à la fois terrestre et eschatologique, nos vieilles nations chrétiennes et principalement notre continent européen sont démunis.
    Les trois causes de notre faiblesse sont connues :
    • Le renoncement à ce que nous sommes, c’est-à-dire des peuples chrétiens, porteurs d'une longue et glorieuse Histoire, d'une construction humaniste éclairée par le Divin autant que par la raison, détenteurs de cette clarté qui ordonne la complexité du monde, et comptables d'une destinée ; l'oubli de nos valeurs et de nos principes qui portèrent longtemps le sceau lumineux de l’honneur, du courage et de l’héroïsme ; la perte de la foi en nous-mêmes.
    • La désunion continentale et l'angélisme millénariste qui ont conduit nos États d'une part à croire au mythe de la fin de l'Histoire et à la paix éternelle, d'autre part à s'en remettre peu à peu pour leur sécurité à la seule puissance américaine, se condamnant ainsi à n’être que des jouets dans un jeu stratégique planétaire.
    • Le juridisme, le culte du légalisme appliqué au nom de l'humanisme universel et le carcan de l'État de droit.
    Pour le Parti de la France, le combat doit être simultanément mené à trois niveaux différents.
    1. À l'extérieur de nos frontières. Par des actions de renseignement et de traitement ponctuel des résultats en termes d’élimination des chefs islamistes par nos services spéciaux. Par des actions d'envergure mais limitée dans le temps afin d’éviter l'embourbement de nos unités militaires (cf. le Mali), chaque fois que nos intérêts sont menacés ou que des ressortissants français sont en danger. Par une coopération efficace avec nos partenaires européens, avec nos alliés et avec la Russie.
    2. Sur le territoire national. Par un regroupement administratif préventif dans des centres de rétention, d'examen et d'interrogatoire par les agents de la Direction Générale de la Sécurité Intérieure, de tous les suspects, avant, le cas échéant, incrimination judiciaire pour Intelligence avec l’ennemi en vertu de l'Article 411-4 du Code pénal. Celui-ci dispose que « le fait d'entretenir des intelligences avec une puissance étrangère, avec une entreprise ou organisation étrangère ou sous contrôle étranger ou avec leurs agents, en vue de susciter des hostilités ou des actes d'agression contre la France, est puni de trente ans de détention criminelle et de 450 000 euros d'amende » ; par l'expulsion de tous les tenants avérés de l’islam radical, expulsion immédiate pour les étrangers, après déchéance de la nationalité française pour les binationaux ; par la reconstitution d'une cour de sûreté de l'État compétente pour toute entreprise terroriste avec rétablissement de la peine de mort ; par la Reconquista des cités perdues et la lutte sans merci contre la pègre des quartiers, terreau fécond et soutien logistique de l’islamisation ; par l'application du principe d'immigration zéro et la mise en œuvre progressive d'une politique concertée ou pas de retour au pays.
    3. Sur le sol européen. Par la constitution d'une Europe des Nations libres et indépendantes dotée des moyens du contrôle de ses frontières extérieures et d'un outil efficace de renseignement coopératif.
    Toutes les périodes de guerre qu'a traversées la France ont vu se mettre en place des mesures dérogatoires au droit commun afin de palier les vides ou les creux juridiques.
    Ces mesures, le Système, par faiblesse et par idéologie, ne les prendra jamais.
    Dès lors l'alternative est claire : ou la vraie droite française parvient aux responsabilités et fonde l'État national, ou le Pays et notre civilisation sombreront, vaincus sans avoir combattu par un ennemi impitoyable.
     
     
    Cités éducatives :          
    le puits sans fond de la politique immigrationniste de la ville.
     
    On les croyait mortes et enterrées. Il n'en est rien.
    Les recommandations formulées voici un an par l'ancien ministre de la ville Jean-Louis Borloo dans le cadre de son plan banlieues resurgissent petit à petit, les unes après les autres, discrètement, presque en catimini, faisant mentir ceux qui affirmaient qu’Emmanuel Macron, commanditaire et destinataire du rapport, en avait balayé les conclusions d'un revers de main.
    Ce n'est une bonne nouvelle ni pour notre cohésion nationale ni pour nos finances publiques.
     
    Au moment où le gouvernement cherche désespérément le moyen de financer les promesses du Président de la République, ce n'est, en effet, pas moins de 100 millions d'euros qui seront jetés par la fenêtre entre 2020 et 2022 pour mettre en place les cités éducatives dont la création constituait un des points majeurs du plan Borloo destiné à remédier aux dysfonctionnements urbains et à développer la mixité sociale (sic).
    On l'aura compris, nous sommes dans le cadre de la ruineuse, désastreuse et anti nationale politique de la ville qui, depuis 1970 a coûté plus de 90 milliards d'euros aux contribuables français dans le seul but de favoriser les populations issues de l'immigration en prétendant entretenir en pure perte leurs quartiers séparatistes dans une optique de préférence étrangère.
     
    Le ministre de la ville et du logement, Julien Denormandie, s'est ainsi rendu jeudi à Arras et à Lens pour dévoiler officiellement la liste des quartiers présélectionnés. Premiers de la liste, outre les deux villes visitées : Le Val-Fourré à Mantes la Jolie, La Grande Borne à Grigny, Les Tarterêts à Corbeil Essonne… Autant de cités plus souvent présentes dans les colonnes des journaux pour les trafics divers qui s'y déroulent (toutes trois sont considérées comme des quartiers pivots de la drogue), pour le taux de déscolarisation (40 % en moyenne), pour une forte imprégnation salafiste, pour la violence des bandes qui y règnent, et pour les règlements de comptes qui en découlent.
    Porté par des technocrates aveugles à ces réalités et encouragé par des politiques idéologues adeptes de la « discrimination positive » qui n’est, au fond, que la discrimination tout court à l'encontre des nationaux de souche, le concept de Cités éducatives vise pourtant à « intensifier les prises en charges éducatives des enfants à partir de 3 ans et des jeunes jusqu'à 25 ans, avant, pendant, autour et après le cadre scolaire », rappelle le dossier de presse du ministre. L'ambition « n'est pas d'être un dispositif de plus mais l'occasion de mieux coordonner et renforcer les dispositifs existants » (scolarisation obligatoire dès 3 ans, dédoublement des classes, dispositif « devoirs faits », petits-déjeuners à l'école, repas à la cantine à 1 euro). Discours connu, tenu depuis des décennies avec pour seule conséquence le développement des zones perdues de la souveraineté nationale. Ce plan fumeux prétend ainsi s'appuyer, comme tous ceux qui l'ont précédé, sur des actions concrètes déjà existantes dans des domaines divers, qu'il s'agisse de la petite enfance, de la formation ou du décrochage scolaire dans une soixantaine de « quartiers » qui recevront ce label à partir de juillet, attribué aux territoires « qui montrent leur détermination à faire de l'éducation une grande priorité partagée ».
    Cette grande « priorité partagée » n'est évidemment pas celle de l'instruction publique dans une perspective nationale de la cohésion territoriale. Elle n'est pas celle de la reconstruction de notre école dans une vision globale de la formation de nos enfants dans un souci du bien commun, de l’intérêt général et du relèvement de la Nation.
    Elle est la « grande priorité non partagée » par l'immense majorité de nos compatriotes mais délibérément choisie par la caste immigrationniste, donnée au développement du processus remplaciste et colonisateur.
     
     
     
     
    Le billet de Franck Timmermans
     
    Les dinosaures se portent bien
     
     
    Mars 1983, le 1er tour des municipales à Paris est terminé et la campagne du second est acharnée. Un ami à moi, qui avait été tête de liste FN dans le 18e arrondissement, a l’idée d’inviter chez lui Alain Juppé pour une réunion de quartier. Par pure curiosité, mais dans le but de savoir s’il mérite nos suffrages contre le PS. Je lui déconseille cette idée, non par rigidité d’appareil mais parce que « je ne sens décidément pas ce Juppé ». « On va bien voir ! » me répond-t-il, têtu, et il invite dans cette perspective les militants FN de sa campagne, ses amis, les commerçants du coin. Il appelle le secrétariat de Juppé, ne cache rien de son pedigree politique et propose une date pour une réunion d’échanges et un apéritif.
    Juppé accepte. Le jour dit, j’arrive en avance à l’appartement où je retrouve nos amis mais aussi des voisins, un dentiste, un curé en soutane, le boucher du coin, le libraire, plusieurs mères de famille, et quelques couples du quartier, en tout une quarantaine de personnes, un panel assez complet des âges et conditions sociales du tout Montmartre. Flanqué d’un cadre de la Mairie de Paris, Juppé arrive en retard et s’excuse à peine. Il reste debout, un peu tendu, décline le verre de mousseux et ne se lance même pas dans le serrage des mains habituel. Il va déclarer alors mots pour mots « Bonjour à tous, pardonnez mon retard mais j’avais une réunion de quartier qui a traîné… Merci à notre ami pour son invitation. Vous connaissez les enjeux de ce 2e tour, c’est important. Je vous préviens tout de suite, je ne suis pas nazi… Mais ceux qui souhaiteraient participer à ma campagne du 2e tour peuvent s’adresser à mon adjoint M. Y qui va rester un moment avec vous. Il est à votre disposition. Je suis désolé mais je dois partir, l’emploi du temps est chargé, vous vous en doutez, et j’ai d’autres réunions sur le feu. Au revoir ». Les gens étaient sidérés et sans voix. Puis ce fut le brouhaha, « c'est honteux ! C’est ça Juppé ??? ». L’adjoint du candidat ne resta pas longtemps et mon ami lui fit part de son indignation sur le palier.
    Juppé considérait comme « nazis » les gens du FN en général et ceux qui l’avaient invité mais, pour autant, il ne refusait pas leur invitation ni leur aide militante à condition que ce fût organisé par un intermédiaire. Discuter politique, mieux connaître les gens, écouter leurs questions ? Totalement inutile puisqu’ils sont « réputés » nazis.
     
    L’hypocrisie des chiraquiens, nous l’avons bien connue aussi, surtout quand les élus régionaux RPR venaient s’épancher à la buvette en surenchères racistes tout à fait malvenues puisque leurs patrons étaient directement responsables du Regroupement familial et leurs amis du CNPF de l’embauche de travailleurs immigrés à prix cassés. Leurs clins d’œil, leurs confidences étaient pitoyables.
    Que dire aujourd’hui de la reconversion inverse et spectaculaire de Jacques Toubon ? Lui aussi ose tout ! Mais surtout dans la discipline olympique du tout-reniement. Il est vrai que la mission à lui confiée par Hollande en 2014 beurre les épinards et qu’il a, grâce à la Gauche, rattrapé tous ses copains dans les promotions. Évalués entre 21 000 et 30 000 euros mensuels, ses appointements justifient le zèle qu’il met à pourfendre les écarts de la Police, le machisme, le racisme (sauf anti-français), l’anti-islamisme, l’antisémitisme, l’état d’urgence etc.
    L’explication d’un tel revirement ? Sans doute, disent-ils à Gauche, le besoin de rédemption (!) après ses outrances du passé. Comme tout Chiraquien, il en commit effectivement sous le prétexte de vouloir contenir le FN ; dans les années 80, il prononça même un discours en partie en dialecte africain histoire d’en rajouter sur les « odeurs » des cités si incommodantes pour son Patron… Humour pitoyable, humour RPR. En 87, devant les Clubs Avenir et Liberté, il condamna les « contraintes mises en place par 40 ans de sociale-démocratie » !!! Autant dire que De Gaulle, Mollet, Coty, Blum, Herriot et même Lebrun devaient se retourner dans leurs tombes ! Mais qu’importe le Général, il fallait rivaliser avec les populistes !!!
    Depuis que Chirac a avalisé l’Acte Unique Européen en 1984 et sans cesse mis ses pas dans ceux de la Gauche radsoc, sans oublier sa brillante réélection en 2002 devant une marée de drapeaux algériens reconnaissants, lui et sa bande auront trahi leurs électeurs pendant plus de 40 ans et à contribué largement à dégoûter l’ensemble des citoyens de la vie politique.
    De celle-ci, il a fait un « milieu » où l’opportunisme, le mensonge, les coups tordus et la corruption forment le modus operandi. De l’Appel de Cochin en 1978 il ne reste rien si ce n’est son exacte antithèse dans tous les actes du grand Patron pendant 25 ans. Y compris quand il s’agit de diaboliser Le Pen de 83 à 88, puis de le rencontrer en catimini entre les deux tours de l’élection présidentielle de 1988 pour tenter d’obtenir un soutien indirect, moins de 8 mois après le « Détail » ??? Pour comprendre la chiraquie jusque dans ses soubresauts, il suffit d’attendre les conséquences du mensonge ou du reniement. Juppé savonne la planche de son propre camp depuis plusieurs années ? Sincère car tout le monde le croit indéfectible à Bordeaux Il suffit que la récompense tombe, bingo, et tout le monde croira aussi qu’il a bien pesé en conscience le poids de son ancienne condamnation avant d’accepter de siéger au Conseil constitutionnel. Foutaises, hypocrisie, tartufferie !!!
    En attendant un fauteuil similaire de Sage ou de Juste, Toubon soigne son image de marque, retourne toutes ses vestes et palpe. Leur sincérité n’existe pas, seul leur intérêt personnel subsiste. Sarkozy a beau traîner derrière lui une quantité de casseroles dignes des cuisines de Chambord, il n’aura de cesse de crier à chaque fois son innocence, comme Tapie la sienne, car ces gens-là ont pour seule devise de survie de n’avouer jamais. Insatiable, l’ancien Maire de Neuilly n’écarte pas non plus l’idée de se représenter, sans même passer comme Hollande par la case « mémoires best-seller ».
     
    Un comble. Enfin, Raffarin, dont vous pourriez vous inquiéter du sort, va bien. Ses échecs au Sénat sont cicatrisés. Il n’a de cesse de donner des leçons de morale (à Wauquiez surtout), il a pour étendard lui aussi les Droits de l’Homme et pour leitmotiv « l’Humanisme » qu’il prononce toujours avec componction comme un Archevêque devant une dinde rôtie. Et où croyez-vous qu’il mène ses affaires et reconversions ? Dans le pays par excellence des Droits de l’Homme et de l’humanisme, la Chine populaire évidemment où il se rend très souvent avec désintéressement et sacrifice de sa personne, comme Chirac le fit de son côté pour le Japon où il se rendit 5 fois plus souvent que notre ami Gollnisch pendant des années pour l’amour du sumo !!! Mais n’était-ce pas aux frais du contribuable ? Je vous le disais, les Chiraquiens ont tous la même trame mais pas au point d’être « impayables ».
     
           
     

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      Le journal télévisé du PdF
    présentée par Sylvie Collet
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  • Puisqu'on vous le dit !

    C'est pourtant une évidence...sauf, évidemment, pour les tenants de la pensée dominante

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  • CONNEXION 29 avril 2019

       
     

     
    ICIOININIEIXIIIOINI
    LA LETTRE ARGUMENTAIRE DU PDF
    directeur de publication : Jean-François Touzé
     

    29 avril 2019

     
       
     
     
       
     
    Paris - 11 mai 2019
    Banquet des 10 ans du Parti de la France
     
    Samedi 11 mai, le Parti de la France célébrera ses 10 ans d'existence au cours d'un grand banquet dans un prestigieux restaurant du Paris historique.
    Lors de ce déjeuner et à l’issue, des personnalités qui ont contribué à la fondation et au développement
    de notre mouvement prendront la parole.
    Afin que le maximum de militants et de sympathisants du Parti de la France puisse participer à cet événement, le tarif est fixé à 20 € par personne, le PdF prenant le reste à sa charge.
    Les informations sur le lieu et la liste des personnalités présentes à ce banquet seront transmises aux participants inscrits.
     
    ATTENTION. Il reste moins d’une dizaine de places : il est impératif de réserver pour être sûr de pouvoir participer à ce banquet. Réservation et règlement à retourner à : Mme Myriam Baeckeroot - PdF - Banquet des 10 ans. 6, allée des Templiers. F 78 860 Saint-Nom-la-Bretèche.
    Renseignements au 06 38 73 25 61 ou par email : 10ans@parti-de-la-france.fr
     
    Macron aux Français : 
    « Je ne vous ai pas compris »…
     
     
     
    « Much ado about nothing » aurait dit Shakespeare. « Beaucoup de bruit pour rien », en effet.
    Pour nous autres, Français, la conférence de presse d'Emmanuel Macron, jeudi soir, pourrait être l’occasion de former un nouveau proverbe populaire : à grand minuscule débat, petites réponses dérisoires.
    Comment Macron qui connaissait pourtant les enjeux après cinq mois de mouvement des Gilets jaunes, a-t-il pu, au cours de cette interminable intervention qui se voulait gaullienne et ne fut que bavarde et bonimenteuse, se contenter de ces demi-annonces hasardeuses et vides de toute portée ? Des mesurettes incertaines payées en monnaie de singe ; des baisses fiscales en trompe-l’œil, non précisées et non financées ; des promesses démagogiques en viager d'une démocratie d'apparence ; un inutile cautère sur la jambe fracturée de la cohésion territoriale ; sans parler du coup de pouce démago pour les familles monoparentales ou la création surréaliste à l’échelon national d'un conseil de défense écologique, sans doute destiné à barrer la route aux supposées menaces climatiques comme le fit en 1986 Alain Carignon, alors ministre de l'environnement, en stoppant à nos frontières le nuage nucléaire venu du Tchernobyl.
    En lieu et place d'une conférence de presse présidentielle, c'est, en effet, à la revue promotionnelle d'un catalogue d'annonces printanières que s'est livré le 25 avril un Emmanuel Macron plus illusionniste et mystificateur que jamais.
    • Réindexation sur l'inflation des retraites inférieures à 2000 euros mensuels ? Tant mieux pour ceux qui en bénéficieront (en janvier prochain seulement), mais nous sommes en présence d'une simple mesure rectificative d'une décision inepte, au demeurant retoquée par le Conseil constitutionnel, et surtout d'une mesure d'artifice qui laissera les autres retraités moins défavorisés mais nullement riches pour autant en situation de spoliation puisque leurs pensions se verront toujours érodées par la hausse mécanique des prix au moins jusqu'en 2021.
    • Baisse de l'impôt sur le revenu à hauteur de cinq milliards ? Qui en bénéficiera ? Quelles tranches ? Quelle progressivité ? Quand ? Et la TVA qui touche tous les Français de la même façon y compris pour les produits de première nécessité, contrairement à l'ISR auquel plus de 50 % des foyers ne sont pas assujettis ? Et les taxes, en particulier la taxe carbone qui n'a été supprimée que « pour l’année » ? Le tout compensé par quelles économies dans le fonctionnement de l'État alors que la prévision de suppression de 120 000 postes de fonctionnaires est abandonnée (on sait que les dépenses de personnels représentent un quart des dépenses de l'État) ? Par quelles réductions des dépenses publiques alors que les pistes sérieuses qui devraient être empruntées mais nécessiteraient courage et détermination (sur le coût de l'immigration, sur les transferts à l'Union européenne, sur la suppression d'un échelon local, sur la disparition de conseils ou de comités inutiles) ne sauraient être envisagées par un pouvoir faible, lâche et clientéliste ? Le gouvernement table donc sur un financement par la suppression de certaines niches fiscales dont bénéficient les entreprises. Lesquelles ? Elles ne sont plus si nombreuses et si les petites et moyennes entreprises devaient être impactées cela entraînerait fatalement une réaction en chaîne à effet rétractif sur l'emploi. Reste le financement par le déficit, éternelle tentation des régimes impuissants en période de faible inflation et de taux d’intérêt bas, mais pari risqué qui se paiera le jour où la situation changera.
    • Faire travailler davantage les Français ? Peut-être, mais comment, dès lors que l'on s'interdit de toucher au temps hebdomadaire, aux jours fériés ou à l'âge de départ à la retraite ? Et quelle étrange réponse au désarroi d'un peuple qui n'en peut mais.
    • Relancer une politique familiale ambitieuse ? Cela est passé inaperçu, mais Emmanuel Macron à bien évoqué la question démographique et parlé de la famille comme d'une « permanence » de la société. Prenons-le au mot. Nous attendons donc logiquement de lui qu'il s'engage sur un plan volontariste. En commençant par abroger la loi sur le mariage homosexuel, en mettant en œuvre les moyens d'une natalité française dynamique, en interrompant la préparation du projet de loi sur la procréation médicalement assistée sans père, en interdisant définitivement toute possibilité de recours à la GPA, en condamnant les dérives de la loi Veil sur l'IVG, en favorisant l'accès au logement pour les familles françaises et en leur réservant les droits aux allocations, en muselant les lobbies LGBT et les viragos féministes, et en virant immédiatement de son gouvernement Madame Schiappa…
    • Supprimer l'ENA pour la remplacer par une école « qui fonctionne mieux » ? Traduire « sur le modèle de la refondation de Sciences Po il y a quelques années afin d'en permettre l'entrée à la diversité ». Ce sera l'ENA… En pire.
    • Tenue d'une conférence sociale et environnementale ? Autrement dit, quand un débat se termine (qui aura tout de même coûté douze millions d’euros pour apprendre que les Français voulaient moins d'impôts, plus de pouvoir d'achat, moins de mépris de caste…), on remet une pièce dans la machine à logorrhée.
    • Maintien des services publics ? Promesses de ne fermer ni écoles ni hôpitaux sans l'avis du maire sur les épaules duquel l'État se propose de se dégager de ses propres responsabilités. Mais quid des fermetures de classes et de services, en premier lieu les maternités ? Le diable est toujours dans le détail. Il est aussi dans le non-dit. Tartufferie macronnienne.
    • Réduction de la fracture territoriale ? Un nouvel acte de la décentralisation serait certes nécessaire mais, dès lors que le pouvoir s'interdit de toucher à la superposition aberrante des différentes strates administratives et politiques (régions, départements, métropoles, communes et communautés de communes), aucune nouvelle étape d'une vraie respiration nationale par les territoires ne peut être atteinte.
    • Réforme constitutionnelle ? La réduction du nombre de parlementaires, l’introduction d'une dose non précisée de proportionnelle aux élections législatives, le recours de circonstance à la démocratie directe par injonction homéopathique de référendum local ou d'initiative partagée, et le tirage au sort de citoyens pour leur permettre de participer aux travaux oiseux du très inutile Conseil économique social et environnemental ne sont à l’évidence de nature ni à déverrouiller le Système ni à rendre au peuple une parole depuis longtemps confisquée.
    • Contrôle de l'immigration ? Le seul mot de contrôle en dit long sur le sérieux et la dimension de l'intention tout comme les énièmes velléités de réforme de Schengen, l'instauration d'un débat (un de plus) au Parlement chaque année, ou les promesses sempiternelles de reconquête « républicaine » des cités et celles d’être « intraitable avec l'islam politique ». Macron a compris qu'il lui fallait parler d'immigration et d'Islam. Mais sa « détermination » s’arrêtera aux mots et à l’habituelle pratique incantatoire.
    Rien sur le pouvoir d'achat ni sur le chômage, préoccupations majeures des Français, si ce n’est la reconduction pour une année de la prime exceptionnelle défiscalisée versée par les entreprises qui le peuvent au prix souvent d'efforts considérables, et la confirmation d'une nouvelle réforme de Pôle emploi que personne ne réclame.
    Au vrai, un Chef d'État digne de ce nom ne traite pas des applications techniques de mesures catégorielles. Il ne s'en remet pas aux résultats supposés de tel ou tel débat ou aux travaux de telle ou telle conférence sociale. Il montre la voie et engage la Nation sur la voie nécessaire à l'accomplissement de son destin, dans la préservation des intérêts de chacun de ses enfants.
    On le voit : le « Je vous ai compris » de 2019 relève du même cynisme et de la même imposture que celui de 1958.
    « Trop d’impôts, trop d’immigrés, trop d’insécurité, trop d'iniquité sociale, trop de repentance, trop de faiblesse d'État, trop d'oubli de soi-même et de recul civilisationnel, voilà le cri de la France profonde ». Voilà ce à quoi les Français auraient aimé entendre des réponses.
    Mais il n'y a pas pire sourd qu'un Président qui ne veut pas entendre. Il n'y a pas pire muet que celui qui croit devoir parler des heures pour dissimuler le fait qu'il ne pense rien, ne voit rien et n'a donc, au final, rien à dire.
    Il n'y a pas pire impuissant que celui qui prétend agir le matin, en parle le midi et en rêve la nuit avant de recommencer le lendemain dans une procrastination sans fin.
     
       

    @carllang2022
    Avec la Cathédrale Notre Dame de Paris, c'est notre France qui brûle. Nous sommes blessés au cœur. Qu'elle immense tristesse… (15/04/2019)
     
     
     
    Suppression de l'ENA :          
    un objectif peut en cacher un autre.
     
    Emmanuel Macron a donc confirmé au cours de sa conférence de presse sa décision de supprimer l'ENA
    Pourquoi pas, s'il s'agit d'en finir avec le clanisme que l'on sait, l'enfermement technocratique et l'entre soi, source de copinage et de gestion cooptative des carrières que la Droite nationale n'a cessé de dénoncer depuis des décennies.
    Mais faire de cette école conçue à sa création pour former les serviteurs de l'État, la responsable de tous les maux de la politique et de l'administration françaises, c'est confondre la cause et les effets.
    L’effondrement du sens de l'État de nos prétendues élites et l'abdication de leur foi nationale au profit du mondialisme, voilà l'agent pathogène introduit depuis des décennies dans le corps de la Nation.
    Remplacer l'École Nationale d'Administration par une autre structure de même type habitée de la même déréliction spirituelle et du même abandon patriotique ne changera donc rien.
    Le Parti de la France considère qu'une école des cadres de l'administration constituerait un outil majeur pour le bien public au cœur d'un État national. À trois conditions.
    • Que ses élèves soient formés au seul service de la Nation, en excluant toute dérive pro business, toute possibilité de pantouflage dans le privé.
    • Que tout haut fonctionnaire élu à un mandat politique ou nommé au gouvernement soit dans l'obligation de renoncer à son statut et de démissionner de la fonction publique.
    • Que soit mis fin à la toute-puissance des Grands corps de l'État quel que soit le nom qu'ils porteront demain.
    • Que le politique reprenne le pas sur l'administration en imposant ses choix et en veillant à l'application rapide des décisions.
    Mais, au-delà de la simple démagogie, la volonté de Macron de supprimer l'ENA a un tout autre but. Il s'agit en réalité de permettre une refondation sur le modèle de celle menée à Sciences Po il y a quelques années par son sulfureux directeur Richard Descoings dont la mort à New York dans des conditions les plus glauques, fit la une des gazettes. Objectif : permettre l'entrée massive au sein de l'École de la « diversité » en en ouvrant tout grand les portes aux populations des cités.
    La nouvelle école d'administration sera donc comme sa cousine de la rue Saint Dominique l'est devenue, un tiers bobo, un tiers gauchiste et un tiers allogène.
    C'est bien là l'intention de Macron. Une forme de Grand remplacement au sein de la Haute administration encore française.
     
     
    Notre Dame :     
    Reconstruction ? Non… RESTAURATION !
     
     
    Celui qui, le lundi 15 avril au soir, n'a pas eu les larmes aux yeux et la rage au ventre en regardant brûler Notre Dame de Paris, n'est pas Français.
    Ce n'est pas, en effet, un simple monument et un site touristique qui brûlaient, mais un des cœurs sacrés de notre Histoire, tabernacle de notre foi chrétienne, de notre spiritualité civilisationnelle et de notre existence nationale.
    Vint ensuite le temps des polémiques.
    Polémique sur les causes de l'incendie qui ne sauraient bien sur en aucun cas être autre chose qu'accidentelles.
    Polémiques sur les dons consentis en vue des immenses travaux à venir par des milliardaires français comme si détenir les plus grandes fortunes du Pays tout en étant catholique les disqualifiait. La haine socialisante des riches est aussi antinationale que le mépris envers les plus déshérités.
    Polémique enfin sur les conditions de la reconstruction de Notre Dame de Paris.
    À ce terme de reconstruction nous préférons celui de restauration. Car il est bien évident que celle-ci doit se faire "à l'identique", c’est-à-dire dans le respect des formes, des mesures et des équilibres qui participent à son Mystère, sans pour autant se priver de l'emploi des techniques et des matériaux les plus modernes de notre temps, comme le firent eux-mêmes les architectes et les compagnons des douzième et treizième siècles, habités de la haute conception qu'ils avaient de leur devoir de bâtisseurs spirituels.
    Une Cathédrale n'est pas un musée. Elle n'est pas un symbole laïc. Elle n'est pas un enjeu économique. Elle est le lieu vivant et sacré de la prière, de la Communion et du règne du Christ.
    Nul besoin pour cela d'une loi exonérant l'État de recourir aux procédures légales et communes. Nul besoin d'un concours international d'architectes qui ouvrirait la porte aux tentatives hasardeuses de contemporanéiser les travaux, peut-être même de les orientaliser… Nul besoin des idées fumeuses de Macron qui se verrait bien y placer sa patte pour la postérité.
    La France a ses architectes nationaux, ses spécialistes de l'art et du patrimoine français, ses métiers et ses compagnons qui sauront, en usant des nombres sacrés et des exigences de la Tradition, mais aussi des moyens positifs d'aujourd'hui, restituer en cinq ans, dix ans ou quinze ans, ce que leurs anciens ont bâti en deux siècles, y compris la flèche initiale et authentique sans les étrangetés de celle de Viollet le Duc.
    Quant à l'usage qui sera fait de l'argent restant des dons (plus d'un milliard d’euros récoltés en quelques jours), qui, compte tenu de l’évaluation du coût des travaux qui ne devrait pas excéder six cents millions, nous devrons être vigilants et exiger une totale transparence, un certain nombre d’associations et de personnalités demandant déjà que les importants reliquats soient répartis pour la rénovation ou la construction de lieux de culte, toute religion confondue.
    Ce serait inacceptable.
    Cet argent est catholique. Il doit être utilisé pour l'entretien des églises catholiques qui se meurent sur tout le territoire, singulièrement à Paris où beaucoup d'entre elles sont laissées à l'abandon tant par l'État que par la municipalité.
    Le Parti de la France y veillera.
     
           
     

    Réinfo, le magazine d'information

     

    @carllang2022

     

    @lepartidelafrancecompteofficiel

     
      Le journal télévisé du PdF
    présentée par Sylvie Collet
      Pour suivre Carl Lang,
    le Président du PDF, sur twitter
      Pour suivre le Parti de la France sur FaceBook  
         
  • Cervelle de moineau !

     

    Nathalie Loiseau serait amnésique. C'est plutôt inquiétant pour son avenir...

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    Roland Hélie

    Directeur de Synthèse nationale

    Mais non Nathalie, il n'y a aucune honte à avoir été candidate de l'Union des étudiants de droite lorsque tu sévissais à Science-Po*. En revanche, ce qui est honteux c'est de vouloir faire croire que tu ignorais la nature de ton engagement d'alors.

    Pourtant, "Union des étudiants des droites", c'était difficile d'être plus clair... De l'UNI au GUD, en passant par quelques militants de l'œuvre française, tout ce que la vénérable école comptait d'anti-communistes et de nationalistes se retrouvait dans ce syndicat. Alors, toi qui était en quatrième année, tu ne savais donc pas de ce dont il s'agissait ? Laisse-nous rire aux éclats.

    Il est vrai qu'à cette époque, pour contrer l'omniprésence des gauchistes de toutes obédiences dans l'Université, les nationalistes n'hésitèrent pas, parfois, à ruser. Il y eu ainsi une Fédération des étudiants de Picardie, une Union des étudiants d'Alsace, un Renouveau étudiant à Bordeaux... des appellations imaginatives qui pouvaient, admettons-le, amener l'étudiant moyen à s'interroger sur le positionnement politique de ces syndicats locaux. Mais, avec l'"Union des étudiants des droites"... il ne pouvait pas y avoir de tromperie sur la marchandise.

    Ton attitude face aux "révélations" de Mediapart est vraiment déplorable. De deux choses l'une, soit tu es idiote et inculte, ce que nous n'osons pas imaginer ; soit le milieu que tu fréquentes maintenant, LREM en l'occurrence, est tellement sectaire et fanatique que tu ne trouves rien de mieux que d'invoquer ta crédulité de jeune fille effarouchée pour te défendre. Ce n'est pas très courageux...

    Et le plus grave, c'est que maintenant tu voudrais t'imposer comme le rempart face à "l'extrême droite". Décidément, tu n'arrêtes pas de nous faire rigoler, Nathalie. Une chose est sûre, c'est que si tu as fréquenté les nationalistes dans ta jeunesse, tu n'as rien retenu de l'éthique qui anime leur idéal. Le reniement est l'apanage des poltrons démocrates, pas celui des "fachos".

    Depuis le début de la Ve République, nombre d'élus, voire de ministres, firent leurs premières classes dans la mouvance nationaliste. Face à l'adversité, reconnaissons-le, peu renièrent leurs engagements d'antan (après tout, on a le droit de changer d'idées) et, parmi eux, certains firent même de brillantes carrières. Néanmoins, quelques uns se crurent obligés, lorsqu'ils se virent débusqués par les petits flics de la pensée dominante, de cracher sur leur passé. Ces méprisables personnages sont vite tombés dans les oubliettes de l'Histoire... et c'est sans doute mieux ainsi.

    Nathalie, avec ta liste LREM, tu as la prétention de défendre les intérêts de la France dans l'Union européennes. Permet-nous de te dire que, vue ton attitude aujourd'hui, on a de bonnes raisons d'être inquiets pour demain... Mais, rassure-toi, que tu ai été membre de l'UED ou non, cela n'a pas vraiment d'importance car nous n'avions aucunement l'intention de voter pour toi...

    * Si je te tutoie dans cet article, c'est parce que dans la mouvance nationaliste, hier comme aujourd'hui, tout le monde se tutoie. Ainsi, tu vois bien que nous ne sommes pas rancuniers.

  • BP du samedi 13 avril 2019

    Réuni à Boulogne Billancourt le samedi 13 avril, le Bureau politique du Parti de la France a consacré l’essentiel de ses travaux à la situation politique dramatique que traverse la France et à la stratégie que le PDF doit mettre en œuvre, tant sur le plan organisationnel et militant que dans le domaine électoral, pour y apporter les réponses que le Pays attend.

    Une large partie de cette réunion centrée à la fois sur la réflexion globale et sur les moyens opérationnels et tactiques à mettre en œuvre, a été réservée à la campagne pour les élections européennes du 26 mai prochain, campagne à laquelle, faute de disposer des moyens financiers suffisants, le PDF a renoncé à participer.

    Notre Président, Carl Lang, qui a tracé devant le Bureau un historique complet des nombreux contacts et entretiens politiques qu'il a pu avoir dans le cadre de la préparation de ces élections, précisera la position du Parti quant au scrutin du 26 mai, et les choix politiques retenus, lors du discours qu'il prononcera le samedi 11 mai à Paris, à l'occasion du grand banquet/évènement au cours duquel nous fêterons les dix ans d'existence du PDF.

    La perspective des élections municipales de l’année prochaine à également fait l’objet d'une étude attentive des membres de la direction du Parti.

    Ces élections qui se dérouleront en mars 2020 revêtiront, en effet, une importance toute particulière à mi-chemin de la Présidentielle de 2017 et de celle de 2022.

    Le PDF y travaille déjà dans une optique locale d'entente municipale des droites nationales et de convictions.

  • ALGERIE (suite, et pas fin)

    Algérie : la prudence reste de mise

    Abdelaziz Bouteflika painted portrait _DDC3057 By: thierry ehrmann - CC BY 2.0

    El Watan a raison de titrer « La dernière ruse de Bouteflika ».

    Dans une démocratie normale, ce sont d’autres candidats qui se seraient présentés et les élections auraient eu lieu.

     

    Par Jean-Baptiste Noé.

    Les réactions en France à l’annonce du président Bouteflika sur sa renonciation à un cinquième mandat montrent que beaucoup n’ont pas compris ce qui se passait dans le monde arabe.

     

    Cela semble rejouer les printemps arabes de 2011, qui ont connu les succès que l’on sait.

    Comme si l’instauration de la démocratie était la baguette magique qui allait résoudre tous les problèmes.

    En Algérie, la prudence reste de mise. Le clan Bouteflika a annoncé que celui-ci renonçait à se présenter, dans une formule audacieuse et menteuse : « Il n’y aura pas de cinquième mandat et il n’en a jamais été question pour moi […] » alors même qu’il avait annoncé sa nouvelle candidature.

    l ne se représente pas, mais les élections sont annulées et reportées sine die.

    Ce qui signifie que son mandat va se prolonger au-delà du 28 avril 2019, probablement jusqu’au début de l’année 2020, le temps que se réunisse la « Conférence nationale inclusive et indépendante » et qu’elle propose des modifications à la constitution.

    El Watan a raison de titrer « La dernière ruse de Bouteflika ».

    Dans une démocratie normale, ce sont d’autres candidats qui se seraient présentés et les élections auraient eu lieu.

     

  • BOUTEFLIKA t'es où ? Par le correspondant du POINT.

    Bouteflika : la justice suisse va-t-elle instruire une plainte pour « suspicion d'enlèvement » ?

    La question mérite d'être posée alors que, le 25 février, une Algérienne a déposé une plainte pour « suspicion d'enlèvement d'une personne incapable de discernement ».
    Par notre correspondant à Genève,
    Publié le | Le Point Afrique
    <p>,Siskia Ditisheim, présidente d'Avocats sans frontières Suisse a demandé la nomination d’un ou plusieurs curateurs en invoquant l’état de santé de M. Bouteflika.</p>
     

    ,Siskia Ditisheim, présidente d'Avocats sans frontières Suisse a demandé la nomination d’un ou plusieurs curateurs en invoquant l’état de santé de M. Bouteflika.

    © DR
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    Le lendemain de l'arrivée d'Abdelaziz Bouteflika en Suisse, une Algérienne s'est rendue au poste de police de Le Mont-sur-Lausanne, une commune du canton de Vaud. Reçue par un inspecteur, elle a déposé une plainte pour « suspicion d'enlèvement d'une personne incapable de discernement ». Pendant près de deux heures, cette résidente suisse a expliqué qu'elle considérait que le président algérien, en raison de son état de santé, était victime d'un enlèvement et d'une séquestration. Non seulement la police vaudoise a pris très au sérieux cette plainte, mais elle s'est aussitôt entretenue avec un procureur concernant l'ouverture d'une enquête préliminaire.

     

    Lire aussi : Algérie : Abdelaziz Bouteflika serait « sous menace vitale permanente »

    Seulement, voilà, Abdelaziz Bouteflika était attendu à la clinique de Genolier, où il se rend habituellement. L'établissement est situé dans la commune de Genolier, dans le canton de Vaud. Or, le président algérien, en raison d'un état « très précaire », et notamment d'une dégradation de ses réflexes neurologiques, a été transféré aux Hôpitaux universitaires de Genève (HUG), dans le canton de Genève. La plainte a donc été transmise à la justice du bout du lac Léman. Mais apparemment, les magistrats genevois se sont hâtés très lentement pour ouvrir une enquête, préférant laisser repartir dimanche 10 mars dans l'après-midi le chef de l'État à bord du Gulfstream 4SP de la République algérienne démocratique et populaire.

  • Le samedi 11 mai 2019, le PDF fête ses 10 ans.

    Samedi 11 mai, le Parti de la France célébrera ses 10 ans d'existence au cours d'un grand banquet dans un prestigieux restaurant du Paris historique.

      
     Tout au long de la journée, des personnalités qui ont contribué à la fondation et au développement de notre mouvement prendront la parole.

    Afin que le maximum de militants et de sympathisants du Parti de la France puisse participer à cet événement, le tarif est fixé à 20 € par personne, le PdF prenant le reste à sa charge.

    Vous pouvez dès maintenant envoyer votre réservation accompagnée de votre règlement par chèque (à l'ordre de Myriam BAECKEROOT) à cette adresse : PdF - Banquet des 10 ans - 6, allée des Templiers - 78 860 Saint-Nom-La-Bretèche

    Renseignements au 06.38.73.25.61 ou 10ans@parti-de-la-france.fr

  • Parent 1 ? Parent 2 ? C'est quoi ce B....l !

    LMPT a inviteé Kelly, mère porteuse américaine, aà venir s'exprimer devant les Français
    Tollé unanime suite aux propos de Marlène Schiappa

    Mercredi 20 février, Marlène Schiappa a évoqué, dans les colonnes de l'hebdomadaire Valeurs actuelles, une prétendue « convergence idéologique » entre La Manif Pour Tous et les terroristes islamistes.
    Face à cet amalgame stupéfiant, La Manif Pour Tous a aussitôt demandé des excuses publiques de la Secrétaire d'Etat :

    Communiqué

     

    En dépit du tollé unanime, Marlène Schiappa a réitéré ses propos dans d'autres interviews, conduisant alors nombre de Français à réclamer sa démission.
    A l'heure où nous écrivons, nous sommes sur le point de déposer plainte auprès de la Cour de justice de la République à l'encontre de la Secrétaire d'Etat.

    Pour suivre les réactions et les événements à ce sujet :

    lamanifpourtous.fr

     
    Remplacer « père » et « mère » par « parent 1 et 2 »

    Le 12 février, la député LREM Valérie Petit propose de profiter du projet de loi « école de la confiance » pour supprimer les mentions « père » et « mère » des formulaires scolaires au profit de « parent 1 » et « parent 2 ». Avec elle, sa collègue Jennifer De Temmerman considère qu' « un père et une mère » constituent « des cases figées » qui correspondent à « des modèles sociaux et familiaux un peu dépassés » :

    Video
    https://tinyurl.com/y38gw6bl

    Cet amendement est voté le jour même par les députés LREM. A ce stade, il s'agit de la 1ère lecture du projet de loi (il doit ensuite passer au Sénat puis revenir devant l'Assemblée nationale).

     
    La Manif Pour Tous monte au créneau

    Parce qu’elle suit toujours attentivement les débats parlementaires, La Manif Pour Tous alerte aussitôt sur les réseaux sociaux et par voie de communiqué de presse :

    Communiqué

    Une tribune signée de Ludovine de La Rochère et Albéric Dumont, respectivement Présidente et vice-président de La Manif Pour Tous, est publiée sur FigaroVox :

    Tribune

    Tribune


    Les représentants du mouvement participent à de nombreux débats TV et radios, dans les matinales de RTL et LCI, sur RMC, C-News, Sud Radio... :

    Video
    http://tinyurl.com/yyndqd8d

    Video
    https://tinyurl.com/y2yahf8c

    Video
    https://tinyurl.com/yxj23ztq

    Machine arrière

    Au bout de trois jours, les députés LREM semblent faire machine arrière.

    Article Le Parisien
    https://tinyurl.com/y6tsxsx6
    Et bien sûr La Manif Pour Tous veille sur la suite
  • Rien de nouveau, c'était en 2008, plus de 10 ans

    Qui a peur du loup, qui est ce loup ?

    Le loup c'est celui qui détruit de l'intérieur le Mouvement National.

    Le loup c'est celui qui trahit la cause nationale pour un plat de lentilles.

    Le loup c'est le donneur de leçons qui joue au yoyo.

    Le loup n'a aucune morale politique.

    Le loup c'est celui qui fuit les responsabilités.

    Le loup c'est celui qui profite de son soi-disant entregent pour exiger que TOUS les autres soient à sa dévotion.

    Si ce loup avait gagné, que n'aurions nous entendu.

    Mais quand même, mobiliser à son profit exclusif TOUS les cadres de deux département, c'est certainement les prendre pour de zozos, pour des guignols exploitables et corvéables à merci.

    Je sais de quoi je parle, nos amis militants du Hainaut n'ont pas échappé à la coupe sombre, à l'instar du chargé de mission pour le Hainaut qui figure sur toutes le photos, dans tous les reportages, et au premier rang.

    Le loup, c'est celui qui assène des soi-disant vérités, du style "plus de xx militants gonflés à bloc", et il sont où ces militants qui devaient casser la "baraque", sur 18 cantons, seulement 6 ont été candidats aux cantonales, deux n'ont même pas pu permettre aux électeurs nationaux de se prononcer, faute de bulletins et de circulaires.

    Depuis les cantonales de 1985, jamais cette situation désastreuse ne s'est produite. Tout le reste n'est que baratin. 

    Un chef ce n'est pas un loup, c'est quelqu'un qui se sacrifie pour les autres, au détriment de ses intérêts électoraux personnels.

    Le loup c'est celui qui va réfléchir à son avenir personnel, se justifier et comment payer la note.

    Le loup ne peut être que la victime, non consentante, du  courroux des militants de la cause nationale.

    Pour ma part, je ne quitte pas le navire, je souhaite de nouveau m'investir dans mon "HAINAUT", si la direction actuelle du FN le souhaite, j'espère et je crois au sursaut de nos idées.

    Je reste fidèle à celui qui a su galvaniser les militants du Nord Pas de Calais

    Dominique SLABOLEPSZY