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SLABO - Page 3

  • Lu et approuvé !

    mardi, 21 mai 2019

    Jordan Bardella en tête des sondages

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    En ce qui concerne la campagne et les propositions de Jordan Bardella, tête de liste du Rassemblement national qui ne manque d'ailleurs pas de talent, nous pensons que les lecteurs de Synthèse nationale ont suffisamment d'informations grâce aux moyens officiels, ce qui n'est pas le cas des autres listes patriotiques. 

    Cependant, dans un souci d'équité, nous reprenons ici l'appel lancé sur les réseaux sociaux par Véronique Péan, la dynamique responsable du RN en Touraine :

    "Un seul tour le dimanche 26. Proportionnelle intégrale plus nous aurons de voix plus nous aurons de députés. Notre ennemi, c’est l’abstention. Contacter les membres de votre famille, vos amis, vos relations professionnelles… Consacrez les jours qui viennent à convaincre vos proches d’aller voter pour la liste de Jordan Bardella. Un impératif : arriver en tête le dimanche 26 mai. Il faut gagner, pour l'Europe, pour la France !"

    Chacun fera donc en son âme et conscience...
     
    Site de Jordan Bardella cliquez là
     
    L'appel de Jean-Marie Le Pen cliquez ici
     
  • Le jeu de MACRON

    L'ÉDITO de Didier MICOINE

    Le PARISIEN lundi 20 mai 2019

      de Didier Micoine  
     
      Le jeu de Macron  
     
     

    Emmanuel Macron poursuit « sa » campagne. À six jours des élections européennes, le chef de l’Etat s’implique une nouvelle fois en donnant une interview à plusieurs quotidiens régionaux – dont Le Parisien. Dans cette dernière ligne droite, l’objectif est de mobiliser les électeurs pour que la liste du Rassemblement national n’arrive pas en tête dimanche soir en France. Dans le camp de Macron, on dénonce une extrême droite « cheval de Troie » des plans de Trump et Poutine pour affaiblir l’Europe. On connaît la volonté de Macron de jouer dans cette campagne les progressistes contre les nationalistes, mais on peut s’interroger sur le choix de dramatiser les enjeux et de focaliser ainsi sur le score de dimanche. L’hypothèse que la liste lepéniste devance celle des Marcheurs n’aurait rien d’extraordinaire dans le contexte actuel et vu l’impopularité de l’exécutif. Marine Le Pen était d’ailleurs arrivée en tête lors des européennes de 2014. L’expérience montre par ailleurs que le résultat des précédents scrutins européens n’a pas eu d’impact direct sur la politique nationale. Alors pourquoi une telle dramatisation ? Jusqu’ici, les déclarations de Macron, censées mobiliser les électeurs de la liste Renaissance, ont surtout eu pour conséquence de faire monter les intentions de vote pour le RN ! Un effet contre-productif, donc. À moins que ce soit l’effet recherché par le chef de l’Etat de façon à préparer les conditions d’un match retour contre Marine Le Pen à la présidentielle de 2022. On n’ose croire à un tel calcul…

     

    Dans l'état actuel, comme en 2017, celui ou celle qui se retrouvera au deuxième tour face à Marine Le PEN, croit que son élection sera assurée et facile.

    On peut continuer de rêver, le peuple de France saura t'il se réveiller ?

     
     
  • En mai, fais ce qu'il te plaît !

    lundi, 20 mai 2019

    Tribune libre : En mai, fais ce qu'il te plaît...

    9051659-14383462.jpgJean-François Touzé
    Délégué national du Parti de la France aux Études et Argumentaires
     
    Les élections européennes du 26 mai auraient pu être l'occasion d'un vaste débat national invitant les Français à réfléchir à ce que devait être ou ne pas être la construction continentale, et à décider, dans la clarté, de leur avenir, avenir dont le Parti de la France estime qu'il est indissociable de celui des autres peuples de notre civilisation.
     
    Les éléments de cette réflexion tenaient en quatre questions essentielles.
    • L'Europe réunie doit-elle l’être sous un mode fédéral régi par une autorité centrale de nature nécessairement technocratique ou relever d'une coopération toujours plus étroite des Nations libres coordonnée par le Conseil des Chefs d'États et de Gouvernements ?
    • L'Europe réunie doit-elle se constituer en puissance politique, économique, diplomatique et militaire en se donnant les moyens moraux, financiers, matériels et structurels de l'affirmation et de la réalisation de cette ambition ou demeurer une entité molle, sans force ni volonté, aboulique et impuissante, soumise aux mille vents mauvais de la globalisation, de l’immigrationnisme, du nouvel ordre mondial et de la spéculation ?
    • L'Europe réunie doit-elle rompre avec l'utopie mondialiste et la soumission à d’autres intérêts que les siens, en créant les conditions de son indépendance et de sa protection économique, identitaire et sécuritaire ou rester un vassal ballotté au gré du bon vouloir de Washington ?
    • L'Europe réunie doit-elle travailler à la mise en œuvre d'un partenariat civilisationnel avec la Russie, partenariat qui, par la nécessité des choses et la force de l'entraînement soudera Russie et monde occidental face aux menaces que constitue l’émergence de grandes puissances régionales aujourd’hui, mondiales demain, en particulier la Chine, ou laisser Moscou se tourner définitivement vers Pékin ?
    Au lieu de cela, chacune des formations politiques décidées à concourir à cette consultation a pris soin d’éluder le fond et de se cantonner dans des enjeux subalternes pour notre Nation et pour notre civilisation, mais prioritaires pour elles : la défense et la promotion de leurs intérêts alimentaires.
     
    • Pour La République En Marche, deux mots d'ordre qui n'en font qu'un : battre le « populisme » et arriver en tête devant la liste Bardella tout en ménageant Marine Le Pen sélectionnée comme meilleure chance pour Macron de l'emporter en 2022, et donc instituée comme opposante privilégiée par la propagande gouvernementale.
    • La liste du Rassemblement national quant à elle, radeau de la Méduse des anciens UMP/Républicains en mal de mandat, et des apparatchiks marinistes les plus dociles, oscillant d'une stratégie à une autre, d'une droitisation à une re-gauchisation au gré des circonstances, des sondages, des humeurs et des rencontres de sa Présidente, aura tout au long de la campagne, confirmé son incohérence stratégique et son incapacité à naviguer autrement qu'à vue, tout en mettant en lumière son jeu clanique.
    • Les Républicains, malgré quelques bonnes dispositions de leur tête de liste (sur l'immigration, sur les valeurs ou sur les racines chrétiennes de L’Europe), restent ce qu'ils sont et ce que la bien-pensance leur dicte d’être : le dernier îlot d'un centre droit systémique ayant depuis longtemps perdu tout sens des réalités et tout contact avec le monde extérieur.
    • Pour la gauche, l'enjeu était ce qu'il est de toute éternité : celui d'un congrès dont chacun espère sortir en tête de la grande valse des motions.
    • Nicolas Dupont Aignan, enfin, aura, pour exister, fait beaucoup d’efforts désordonnés, erratiques et parfois déloyaux à l’égard de ceux qui le soutenaient avec, au final, la perspective dérisoire d’une bataille de titans lilliputiens pour savoir qui, de lui-même, de Philippot ou d'Asselineau l'emportera en dépassant les 2 %.
    • Nous n'évoquerons ici aucune des listes virtuelles, tout en comprenant que tel ou tel veuille se faire connaître, car nous considérons que la politique est chose sérieuse qui doit être traitée avec rigueur.
    Dans un message diffusé sur les réseaux sociaux, Carl Lang a précisé la position du Parti de la France conformément aux décisions prises lors du Bureau politique du mois d'avril : Le PdF qui n'a pu concourir pour des raisons financières (un million minimum pour financer la campagne officielle était requis) laisse donc à ses militants une totale liberté de vote.
     
    Liberté de vote car le Parti de la France, considérant ses adhérents et sympathisants comme aptes à faire leur choix en toute connaissance de cause, selon leur conscience et en accord avec leurs convictions, il n’était pas nécessaire de leur dicter leur choix.
     
    Il est néanmoins évident que pas une de nos voix ne se portera sur les listes directement systémiques, non plus que sur l'une ou l'autre de celle de la gauche. Pour le reste, chacun décidera en fonction de ce qui est utile au Pays et peut être réalisable ou pas au sein du Parlement européen. Pour cette élection, dont nous savons déjà que, comme ce fut le cas de tous les scrutins européens, elle ne sera en aucune façon structurante de la vie politique française, chacun n'aura donc le choix qu'entre des inconvénients multiples.
     
    « En mai, fais ce qu'il te plaît » dit le proverbe. Chacun sera donc juge de ce qui lui plaît : porter son suffrage sur telle ou telle liste nationale ou de droite, ou voter Jeanne d'Arc et célébrer pleinement la fête des mères.
  • Pas une voix pour MACRON !

    Carl LANG @carllang2022

    Compte tenu de son coût financier et ne souhaitant pas faire une campagne électorale virtuelle sans bulletins de vote ni circulaires, le Parti de la France ne présente pas de liste à l'élection européenne. Le PdF laisse donc à ses militants une totale liberté de vote.

     

    Pour ma part, je voterai utile le 26 mai prochain.

    Voter utile, c'est voter contre MACRON. Il ne doit pas gagner.

    Toute voix égarée sur des groupuscules sera une voix de perdue pour la France.

    Dominique SLABOLEPSZY

    Conseiller régional honoraire - Membre du BP du Parti de la France

  • NON à MACRON !

    Elections européennes : non à Macron !

    MNR.jpgUn communiqué du MNR :

    A quelques jours des élections européennes le M.N.R. se déclare profondément inquiet de la situation de l'Europe dans le monde multipolaire d'aujourd'hui où prévaut le choc des civilisations.

    Il préconise en conséquence d'ériger l'Europe  en un pôle de puissance capable de défendre son identité, son indépendance et sa souveraineté.

    Pour rendre ce projet possible le M.N.R. appelle en conséquence a émettre un vote qui pénalise M. MACRON et son projet clairement mondialiste
  • Ce sera eux ou nous !

     

     

       
     

     
    ICIOININIEIXIIIOINI
    LA LETTRE ARGUMENTAIRE DU PDF
    directeur de publication : Jean-François Touzé
     

    6 mai 2019

     
       
     
    Islamisme :  
    ce sera nous ou eux.
     
     
     
    En 18 ans, depuis le 11 septembre 2001, l'islamisme politique à commis 32 000 attentats de par le monde et fait plus de 150 000 morts, des centaines de milliers de blessés et mutilés, sans parler des combattants Syriens, irakiens, Kurdes tombés l'arme à la main ou massacrés après leur capture, et les innombrables victimes civiles des guerres qu'il a menées au nom d'Allah. Le quotidien allemand Die Welt vient d'en publier la longue liste sanglante. Elle parle d'elle-même.
    Face à cette offensive qui n'est que la continuité d'une lutte millénaire menée contre l’Occident, sa civilisation et ses valeurs dans une volonté de conquête et de soumission à la fois terrestre et eschatologique, nos vieilles nations chrétiennes et principalement notre continent européen sont démunis.
    Les trois causes de notre faiblesse sont connues :
    • Le renoncement à ce que nous sommes, c’est-à-dire des peuples chrétiens, porteurs d'une longue et glorieuse Histoire, d'une construction humaniste éclairée par le Divin autant que par la raison, détenteurs de cette clarté qui ordonne la complexité du monde, et comptables d'une destinée ; l'oubli de nos valeurs et de nos principes qui portèrent longtemps le sceau lumineux de l’honneur, du courage et de l’héroïsme ; la perte de la foi en nous-mêmes.
    • La désunion continentale et l'angélisme millénariste qui ont conduit nos États d'une part à croire au mythe de la fin de l'Histoire et à la paix éternelle, d'autre part à s'en remettre peu à peu pour leur sécurité à la seule puissance américaine, se condamnant ainsi à n’être que des jouets dans un jeu stratégique planétaire.
    • Le juridisme, le culte du légalisme appliqué au nom de l'humanisme universel et le carcan de l'État de droit.
    Pour le Parti de la France, le combat doit être simultanément mené à trois niveaux différents.
    1. À l'extérieur de nos frontières. Par des actions de renseignement et de traitement ponctuel des résultats en termes d’élimination des chefs islamistes par nos services spéciaux. Par des actions d'envergure mais limitée dans le temps afin d’éviter l'embourbement de nos unités militaires (cf. le Mali), chaque fois que nos intérêts sont menacés ou que des ressortissants français sont en danger. Par une coopération efficace avec nos partenaires européens, avec nos alliés et avec la Russie.
    2. Sur le territoire national. Par un regroupement administratif préventif dans des centres de rétention, d'examen et d'interrogatoire par les agents de la Direction Générale de la Sécurité Intérieure, de tous les suspects, avant, le cas échéant, incrimination judiciaire pour Intelligence avec l’ennemi en vertu de l'Article 411-4 du Code pénal. Celui-ci dispose que « le fait d'entretenir des intelligences avec une puissance étrangère, avec une entreprise ou organisation étrangère ou sous contrôle étranger ou avec leurs agents, en vue de susciter des hostilités ou des actes d'agression contre la France, est puni de trente ans de détention criminelle et de 450 000 euros d'amende » ; par l'expulsion de tous les tenants avérés de l’islam radical, expulsion immédiate pour les étrangers, après déchéance de la nationalité française pour les binationaux ; par la reconstitution d'une cour de sûreté de l'État compétente pour toute entreprise terroriste avec rétablissement de la peine de mort ; par la Reconquista des cités perdues et la lutte sans merci contre la pègre des quartiers, terreau fécond et soutien logistique de l’islamisation ; par l'application du principe d'immigration zéro et la mise en œuvre progressive d'une politique concertée ou pas de retour au pays.
    3. Sur le sol européen. Par la constitution d'une Europe des Nations libres et indépendantes dotée des moyens du contrôle de ses frontières extérieures et d'un outil efficace de renseignement coopératif.
    Toutes les périodes de guerre qu'a traversées la France ont vu se mettre en place des mesures dérogatoires au droit commun afin de palier les vides ou les creux juridiques.
    Ces mesures, le Système, par faiblesse et par idéologie, ne les prendra jamais.
    Dès lors l'alternative est claire : ou la vraie droite française parvient aux responsabilités et fonde l'État national, ou le Pays et notre civilisation sombreront, vaincus sans avoir combattu par un ennemi impitoyable.
     
     
    Cités éducatives :          
    le puits sans fond de la politique immigrationniste de la ville.
     
    On les croyait mortes et enterrées. Il n'en est rien.
    Les recommandations formulées voici un an par l'ancien ministre de la ville Jean-Louis Borloo dans le cadre de son plan banlieues resurgissent petit à petit, les unes après les autres, discrètement, presque en catimini, faisant mentir ceux qui affirmaient qu’Emmanuel Macron, commanditaire et destinataire du rapport, en avait balayé les conclusions d'un revers de main.
    Ce n'est une bonne nouvelle ni pour notre cohésion nationale ni pour nos finances publiques.
     
    Au moment où le gouvernement cherche désespérément le moyen de financer les promesses du Président de la République, ce n'est, en effet, pas moins de 100 millions d'euros qui seront jetés par la fenêtre entre 2020 et 2022 pour mettre en place les cités éducatives dont la création constituait un des points majeurs du plan Borloo destiné à remédier aux dysfonctionnements urbains et à développer la mixité sociale (sic).
    On l'aura compris, nous sommes dans le cadre de la ruineuse, désastreuse et anti nationale politique de la ville qui, depuis 1970 a coûté plus de 90 milliards d'euros aux contribuables français dans le seul but de favoriser les populations issues de l'immigration en prétendant entretenir en pure perte leurs quartiers séparatistes dans une optique de préférence étrangère.
     
    Le ministre de la ville et du logement, Julien Denormandie, s'est ainsi rendu jeudi à Arras et à Lens pour dévoiler officiellement la liste des quartiers présélectionnés. Premiers de la liste, outre les deux villes visitées : Le Val-Fourré à Mantes la Jolie, La Grande Borne à Grigny, Les Tarterêts à Corbeil Essonne… Autant de cités plus souvent présentes dans les colonnes des journaux pour les trafics divers qui s'y déroulent (toutes trois sont considérées comme des quartiers pivots de la drogue), pour le taux de déscolarisation (40 % en moyenne), pour une forte imprégnation salafiste, pour la violence des bandes qui y règnent, et pour les règlements de comptes qui en découlent.
    Porté par des technocrates aveugles à ces réalités et encouragé par des politiques idéologues adeptes de la « discrimination positive » qui n’est, au fond, que la discrimination tout court à l'encontre des nationaux de souche, le concept de Cités éducatives vise pourtant à « intensifier les prises en charges éducatives des enfants à partir de 3 ans et des jeunes jusqu'à 25 ans, avant, pendant, autour et après le cadre scolaire », rappelle le dossier de presse du ministre. L'ambition « n'est pas d'être un dispositif de plus mais l'occasion de mieux coordonner et renforcer les dispositifs existants » (scolarisation obligatoire dès 3 ans, dédoublement des classes, dispositif « devoirs faits », petits-déjeuners à l'école, repas à la cantine à 1 euro). Discours connu, tenu depuis des décennies avec pour seule conséquence le développement des zones perdues de la souveraineté nationale. Ce plan fumeux prétend ainsi s'appuyer, comme tous ceux qui l'ont précédé, sur des actions concrètes déjà existantes dans des domaines divers, qu'il s'agisse de la petite enfance, de la formation ou du décrochage scolaire dans une soixantaine de « quartiers » qui recevront ce label à partir de juillet, attribué aux territoires « qui montrent leur détermination à faire de l'éducation une grande priorité partagée ».
    Cette grande « priorité partagée » n'est évidemment pas celle de l'instruction publique dans une perspective nationale de la cohésion territoriale. Elle n'est pas celle de la reconstruction de notre école dans une vision globale de la formation de nos enfants dans un souci du bien commun, de l’intérêt général et du relèvement de la Nation.
    Elle est la « grande priorité non partagée » par l'immense majorité de nos compatriotes mais délibérément choisie par la caste immigrationniste, donnée au développement du processus remplaciste et colonisateur.
     
     
     
     
    Le billet de Franck Timmermans
     
    Les dinosaures se portent bien
     
     
    Mars 1983, le 1er tour des municipales à Paris est terminé et la campagne du second est acharnée. Un ami à moi, qui avait été tête de liste FN dans le 18e arrondissement, a l’idée d’inviter chez lui Alain Juppé pour une réunion de quartier. Par pure curiosité, mais dans le but de savoir s’il mérite nos suffrages contre le PS. Je lui déconseille cette idée, non par rigidité d’appareil mais parce que « je ne sens décidément pas ce Juppé ». « On va bien voir ! » me répond-t-il, têtu, et il invite dans cette perspective les militants FN de sa campagne, ses amis, les commerçants du coin. Il appelle le secrétariat de Juppé, ne cache rien de son pedigree politique et propose une date pour une réunion d’échanges et un apéritif.
    Juppé accepte. Le jour dit, j’arrive en avance à l’appartement où je retrouve nos amis mais aussi des voisins, un dentiste, un curé en soutane, le boucher du coin, le libraire, plusieurs mères de famille, et quelques couples du quartier, en tout une quarantaine de personnes, un panel assez complet des âges et conditions sociales du tout Montmartre. Flanqué d’un cadre de la Mairie de Paris, Juppé arrive en retard et s’excuse à peine. Il reste debout, un peu tendu, décline le verre de mousseux et ne se lance même pas dans le serrage des mains habituel. Il va déclarer alors mots pour mots « Bonjour à tous, pardonnez mon retard mais j’avais une réunion de quartier qui a traîné… Merci à notre ami pour son invitation. Vous connaissez les enjeux de ce 2e tour, c’est important. Je vous préviens tout de suite, je ne suis pas nazi… Mais ceux qui souhaiteraient participer à ma campagne du 2e tour peuvent s’adresser à mon adjoint M. Y qui va rester un moment avec vous. Il est à votre disposition. Je suis désolé mais je dois partir, l’emploi du temps est chargé, vous vous en doutez, et j’ai d’autres réunions sur le feu. Au revoir ». Les gens étaient sidérés et sans voix. Puis ce fut le brouhaha, « c'est honteux ! C’est ça Juppé ??? ». L’adjoint du candidat ne resta pas longtemps et mon ami lui fit part de son indignation sur le palier.
    Juppé considérait comme « nazis » les gens du FN en général et ceux qui l’avaient invité mais, pour autant, il ne refusait pas leur invitation ni leur aide militante à condition que ce fût organisé par un intermédiaire. Discuter politique, mieux connaître les gens, écouter leurs questions ? Totalement inutile puisqu’ils sont « réputés » nazis.
     
    L’hypocrisie des chiraquiens, nous l’avons bien connue aussi, surtout quand les élus régionaux RPR venaient s’épancher à la buvette en surenchères racistes tout à fait malvenues puisque leurs patrons étaient directement responsables du Regroupement familial et leurs amis du CNPF de l’embauche de travailleurs immigrés à prix cassés. Leurs clins d’œil, leurs confidences étaient pitoyables.
    Que dire aujourd’hui de la reconversion inverse et spectaculaire de Jacques Toubon ? Lui aussi ose tout ! Mais surtout dans la discipline olympique du tout-reniement. Il est vrai que la mission à lui confiée par Hollande en 2014 beurre les épinards et qu’il a, grâce à la Gauche, rattrapé tous ses copains dans les promotions. Évalués entre 21 000 et 30 000 euros mensuels, ses appointements justifient le zèle qu’il met à pourfendre les écarts de la Police, le machisme, le racisme (sauf anti-français), l’anti-islamisme, l’antisémitisme, l’état d’urgence etc.
    L’explication d’un tel revirement ? Sans doute, disent-ils à Gauche, le besoin de rédemption (!) après ses outrances du passé. Comme tout Chiraquien, il en commit effectivement sous le prétexte de vouloir contenir le FN ; dans les années 80, il prononça même un discours en partie en dialecte africain histoire d’en rajouter sur les « odeurs » des cités si incommodantes pour son Patron… Humour pitoyable, humour RPR. En 87, devant les Clubs Avenir et Liberté, il condamna les « contraintes mises en place par 40 ans de sociale-démocratie » !!! Autant dire que De Gaulle, Mollet, Coty, Blum, Herriot et même Lebrun devaient se retourner dans leurs tombes ! Mais qu’importe le Général, il fallait rivaliser avec les populistes !!!
    Depuis que Chirac a avalisé l’Acte Unique Européen en 1984 et sans cesse mis ses pas dans ceux de la Gauche radsoc, sans oublier sa brillante réélection en 2002 devant une marée de drapeaux algériens reconnaissants, lui et sa bande auront trahi leurs électeurs pendant plus de 40 ans et à contribué largement à dégoûter l’ensemble des citoyens de la vie politique.
    De celle-ci, il a fait un « milieu » où l’opportunisme, le mensonge, les coups tordus et la corruption forment le modus operandi. De l’Appel de Cochin en 1978 il ne reste rien si ce n’est son exacte antithèse dans tous les actes du grand Patron pendant 25 ans. Y compris quand il s’agit de diaboliser Le Pen de 83 à 88, puis de le rencontrer en catimini entre les deux tours de l’élection présidentielle de 1988 pour tenter d’obtenir un soutien indirect, moins de 8 mois après le « Détail » ??? Pour comprendre la chiraquie jusque dans ses soubresauts, il suffit d’attendre les conséquences du mensonge ou du reniement. Juppé savonne la planche de son propre camp depuis plusieurs années ? Sincère car tout le monde le croit indéfectible à Bordeaux Il suffit que la récompense tombe, bingo, et tout le monde croira aussi qu’il a bien pesé en conscience le poids de son ancienne condamnation avant d’accepter de siéger au Conseil constitutionnel. Foutaises, hypocrisie, tartufferie !!!
    En attendant un fauteuil similaire de Sage ou de Juste, Toubon soigne son image de marque, retourne toutes ses vestes et palpe. Leur sincérité n’existe pas, seul leur intérêt personnel subsiste. Sarkozy a beau traîner derrière lui une quantité de casseroles dignes des cuisines de Chambord, il n’aura de cesse de crier à chaque fois son innocence, comme Tapie la sienne, car ces gens-là ont pour seule devise de survie de n’avouer jamais. Insatiable, l’ancien Maire de Neuilly n’écarte pas non plus l’idée de se représenter, sans même passer comme Hollande par la case « mémoires best-seller ».
     
    Un comble. Enfin, Raffarin, dont vous pourriez vous inquiéter du sort, va bien. Ses échecs au Sénat sont cicatrisés. Il n’a de cesse de donner des leçons de morale (à Wauquiez surtout), il a pour étendard lui aussi les Droits de l’Homme et pour leitmotiv « l’Humanisme » qu’il prononce toujours avec componction comme un Archevêque devant une dinde rôtie. Et où croyez-vous qu’il mène ses affaires et reconversions ? Dans le pays par excellence des Droits de l’Homme et de l’humanisme, la Chine populaire évidemment où il se rend très souvent avec désintéressement et sacrifice de sa personne, comme Chirac le fit de son côté pour le Japon où il se rendit 5 fois plus souvent que notre ami Gollnisch pendant des années pour l’amour du sumo !!! Mais n’était-ce pas aux frais du contribuable ? Je vous le disais, les Chiraquiens ont tous la même trame mais pas au point d’être « impayables ».
     
           
     

    Réinfo, le magazine d'information

     

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      Le journal télévisé du PdF
    présentée par Sylvie Collet
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  • Puisqu'on vous le dit !

    C'est pourtant une évidence...sauf, évidemment, pour les tenants de la pensée dominante

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  • CONNEXION 29 avril 2019

       
     

     
    ICIOININIEIXIIIOINI
    LA LETTRE ARGUMENTAIRE DU PDF
    directeur de publication : Jean-François Touzé
     

    29 avril 2019

     
       
     
     
       
     
    Paris - 11 mai 2019
    Banquet des 10 ans du Parti de la France
     
    Samedi 11 mai, le Parti de la France célébrera ses 10 ans d'existence au cours d'un grand banquet dans un prestigieux restaurant du Paris historique.
    Lors de ce déjeuner et à l’issue, des personnalités qui ont contribué à la fondation et au développement
    de notre mouvement prendront la parole.
    Afin que le maximum de militants et de sympathisants du Parti de la France puisse participer à cet événement, le tarif est fixé à 20 € par personne, le PdF prenant le reste à sa charge.
    Les informations sur le lieu et la liste des personnalités présentes à ce banquet seront transmises aux participants inscrits.
     
    ATTENTION. Il reste moins d’une dizaine de places : il est impératif de réserver pour être sûr de pouvoir participer à ce banquet. Réservation et règlement à retourner à : Mme Myriam Baeckeroot - PdF - Banquet des 10 ans. 6, allée des Templiers. F 78 860 Saint-Nom-la-Bretèche.
    Renseignements au 06 38 73 25 61 ou par email : 10ans@parti-de-la-france.fr
     
    Macron aux Français : 
    « Je ne vous ai pas compris »…
     
     
     
    « Much ado about nothing » aurait dit Shakespeare. « Beaucoup de bruit pour rien », en effet.
    Pour nous autres, Français, la conférence de presse d'Emmanuel Macron, jeudi soir, pourrait être l’occasion de former un nouveau proverbe populaire : à grand minuscule débat, petites réponses dérisoires.
    Comment Macron qui connaissait pourtant les enjeux après cinq mois de mouvement des Gilets jaunes, a-t-il pu, au cours de cette interminable intervention qui se voulait gaullienne et ne fut que bavarde et bonimenteuse, se contenter de ces demi-annonces hasardeuses et vides de toute portée ? Des mesurettes incertaines payées en monnaie de singe ; des baisses fiscales en trompe-l’œil, non précisées et non financées ; des promesses démagogiques en viager d'une démocratie d'apparence ; un inutile cautère sur la jambe fracturée de la cohésion territoriale ; sans parler du coup de pouce démago pour les familles monoparentales ou la création surréaliste à l’échelon national d'un conseil de défense écologique, sans doute destiné à barrer la route aux supposées menaces climatiques comme le fit en 1986 Alain Carignon, alors ministre de l'environnement, en stoppant à nos frontières le nuage nucléaire venu du Tchernobyl.
    En lieu et place d'une conférence de presse présidentielle, c'est, en effet, à la revue promotionnelle d'un catalogue d'annonces printanières que s'est livré le 25 avril un Emmanuel Macron plus illusionniste et mystificateur que jamais.
    • Réindexation sur l'inflation des retraites inférieures à 2000 euros mensuels ? Tant mieux pour ceux qui en bénéficieront (en janvier prochain seulement), mais nous sommes en présence d'une simple mesure rectificative d'une décision inepte, au demeurant retoquée par le Conseil constitutionnel, et surtout d'une mesure d'artifice qui laissera les autres retraités moins défavorisés mais nullement riches pour autant en situation de spoliation puisque leurs pensions se verront toujours érodées par la hausse mécanique des prix au moins jusqu'en 2021.
    • Baisse de l'impôt sur le revenu à hauteur de cinq milliards ? Qui en bénéficiera ? Quelles tranches ? Quelle progressivité ? Quand ? Et la TVA qui touche tous les Français de la même façon y compris pour les produits de première nécessité, contrairement à l'ISR auquel plus de 50 % des foyers ne sont pas assujettis ? Et les taxes, en particulier la taxe carbone qui n'a été supprimée que « pour l’année » ? Le tout compensé par quelles économies dans le fonctionnement de l'État alors que la prévision de suppression de 120 000 postes de fonctionnaires est abandonnée (on sait que les dépenses de personnels représentent un quart des dépenses de l'État) ? Par quelles réductions des dépenses publiques alors que les pistes sérieuses qui devraient être empruntées mais nécessiteraient courage et détermination (sur le coût de l'immigration, sur les transferts à l'Union européenne, sur la suppression d'un échelon local, sur la disparition de conseils ou de comités inutiles) ne sauraient être envisagées par un pouvoir faible, lâche et clientéliste ? Le gouvernement table donc sur un financement par la suppression de certaines niches fiscales dont bénéficient les entreprises. Lesquelles ? Elles ne sont plus si nombreuses et si les petites et moyennes entreprises devaient être impactées cela entraînerait fatalement une réaction en chaîne à effet rétractif sur l'emploi. Reste le financement par le déficit, éternelle tentation des régimes impuissants en période de faible inflation et de taux d’intérêt bas, mais pari risqué qui se paiera le jour où la situation changera.
    • Faire travailler davantage les Français ? Peut-être, mais comment, dès lors que l'on s'interdit de toucher au temps hebdomadaire, aux jours fériés ou à l'âge de départ à la retraite ? Et quelle étrange réponse au désarroi d'un peuple qui n'en peut mais.
    • Relancer une politique familiale ambitieuse ? Cela est passé inaperçu, mais Emmanuel Macron à bien évoqué la question démographique et parlé de la famille comme d'une « permanence » de la société. Prenons-le au mot. Nous attendons donc logiquement de lui qu'il s'engage sur un plan volontariste. En commençant par abroger la loi sur le mariage homosexuel, en mettant en œuvre les moyens d'une natalité française dynamique, en interrompant la préparation du projet de loi sur la procréation médicalement assistée sans père, en interdisant définitivement toute possibilité de recours à la GPA, en condamnant les dérives de la loi Veil sur l'IVG, en favorisant l'accès au logement pour les familles françaises et en leur réservant les droits aux allocations, en muselant les lobbies LGBT et les viragos féministes, et en virant immédiatement de son gouvernement Madame Schiappa…
    • Supprimer l'ENA pour la remplacer par une école « qui fonctionne mieux » ? Traduire « sur le modèle de la refondation de Sciences Po il y a quelques années afin d'en permettre l'entrée à la diversité ». Ce sera l'ENA… En pire.
    • Tenue d'une conférence sociale et environnementale ? Autrement dit, quand un débat se termine (qui aura tout de même coûté douze millions d’euros pour apprendre que les Français voulaient moins d'impôts, plus de pouvoir d'achat, moins de mépris de caste…), on remet une pièce dans la machine à logorrhée.
    • Maintien des services publics ? Promesses de ne fermer ni écoles ni hôpitaux sans l'avis du maire sur les épaules duquel l'État se propose de se dégager de ses propres responsabilités. Mais quid des fermetures de classes et de services, en premier lieu les maternités ? Le diable est toujours dans le détail. Il est aussi dans le non-dit. Tartufferie macronnienne.
    • Réduction de la fracture territoriale ? Un nouvel acte de la décentralisation serait certes nécessaire mais, dès lors que le pouvoir s'interdit de toucher à la superposition aberrante des différentes strates administratives et politiques (régions, départements, métropoles, communes et communautés de communes), aucune nouvelle étape d'une vraie respiration nationale par les territoires ne peut être atteinte.
    • Réforme constitutionnelle ? La réduction du nombre de parlementaires, l’introduction d'une dose non précisée de proportionnelle aux élections législatives, le recours de circonstance à la démocratie directe par injonction homéopathique de référendum local ou d'initiative partagée, et le tirage au sort de citoyens pour leur permettre de participer aux travaux oiseux du très inutile Conseil économique social et environnemental ne sont à l’évidence de nature ni à déverrouiller le Système ni à rendre au peuple une parole depuis longtemps confisquée.
    • Contrôle de l'immigration ? Le seul mot de contrôle en dit long sur le sérieux et la dimension de l'intention tout comme les énièmes velléités de réforme de Schengen, l'instauration d'un débat (un de plus) au Parlement chaque année, ou les promesses sempiternelles de reconquête « républicaine » des cités et celles d’être « intraitable avec l'islam politique ». Macron a compris qu'il lui fallait parler d'immigration et d'Islam. Mais sa « détermination » s’arrêtera aux mots et à l’habituelle pratique incantatoire.
    Rien sur le pouvoir d'achat ni sur le chômage, préoccupations majeures des Français, si ce n’est la reconduction pour une année de la prime exceptionnelle défiscalisée versée par les entreprises qui le peuvent au prix souvent d'efforts considérables, et la confirmation d'une nouvelle réforme de Pôle emploi que personne ne réclame.
    Au vrai, un Chef d'État digne de ce nom ne traite pas des applications techniques de mesures catégorielles. Il ne s'en remet pas aux résultats supposés de tel ou tel débat ou aux travaux de telle ou telle conférence sociale. Il montre la voie et engage la Nation sur la voie nécessaire à l'accomplissement de son destin, dans la préservation des intérêts de chacun de ses enfants.
    On le voit : le « Je vous ai compris » de 2019 relève du même cynisme et de la même imposture que celui de 1958.
    « Trop d’impôts, trop d’immigrés, trop d’insécurité, trop d'iniquité sociale, trop de repentance, trop de faiblesse d'État, trop d'oubli de soi-même et de recul civilisationnel, voilà le cri de la France profonde ». Voilà ce à quoi les Français auraient aimé entendre des réponses.
    Mais il n'y a pas pire sourd qu'un Président qui ne veut pas entendre. Il n'y a pas pire muet que celui qui croit devoir parler des heures pour dissimuler le fait qu'il ne pense rien, ne voit rien et n'a donc, au final, rien à dire.
    Il n'y a pas pire impuissant que celui qui prétend agir le matin, en parle le midi et en rêve la nuit avant de recommencer le lendemain dans une procrastination sans fin.
     
       

    @carllang2022
    Avec la Cathédrale Notre Dame de Paris, c'est notre France qui brûle. Nous sommes blessés au cœur. Qu'elle immense tristesse… (15/04/2019)
     
     
     
    Suppression de l'ENA :          
    un objectif peut en cacher un autre.
     
    Emmanuel Macron a donc confirmé au cours de sa conférence de presse sa décision de supprimer l'ENA
    Pourquoi pas, s'il s'agit d'en finir avec le clanisme que l'on sait, l'enfermement technocratique et l'entre soi, source de copinage et de gestion cooptative des carrières que la Droite nationale n'a cessé de dénoncer depuis des décennies.
    Mais faire de cette école conçue à sa création pour former les serviteurs de l'État, la responsable de tous les maux de la politique et de l'administration françaises, c'est confondre la cause et les effets.
    L’effondrement du sens de l'État de nos prétendues élites et l'abdication de leur foi nationale au profit du mondialisme, voilà l'agent pathogène introduit depuis des décennies dans le corps de la Nation.
    Remplacer l'École Nationale d'Administration par une autre structure de même type habitée de la même déréliction spirituelle et du même abandon patriotique ne changera donc rien.
    Le Parti de la France considère qu'une école des cadres de l'administration constituerait un outil majeur pour le bien public au cœur d'un État national. À trois conditions.
    • Que ses élèves soient formés au seul service de la Nation, en excluant toute dérive pro business, toute possibilité de pantouflage dans le privé.
    • Que tout haut fonctionnaire élu à un mandat politique ou nommé au gouvernement soit dans l'obligation de renoncer à son statut et de démissionner de la fonction publique.
    • Que soit mis fin à la toute-puissance des Grands corps de l'État quel que soit le nom qu'ils porteront demain.
    • Que le politique reprenne le pas sur l'administration en imposant ses choix et en veillant à l'application rapide des décisions.
    Mais, au-delà de la simple démagogie, la volonté de Macron de supprimer l'ENA a un tout autre but. Il s'agit en réalité de permettre une refondation sur le modèle de celle menée à Sciences Po il y a quelques années par son sulfureux directeur Richard Descoings dont la mort à New York dans des conditions les plus glauques, fit la une des gazettes. Objectif : permettre l'entrée massive au sein de l'École de la « diversité » en en ouvrant tout grand les portes aux populations des cités.
    La nouvelle école d'administration sera donc comme sa cousine de la rue Saint Dominique l'est devenue, un tiers bobo, un tiers gauchiste et un tiers allogène.
    C'est bien là l'intention de Macron. Une forme de Grand remplacement au sein de la Haute administration encore française.
     
     
    Notre Dame :     
    Reconstruction ? Non… RESTAURATION !
     
     
    Celui qui, le lundi 15 avril au soir, n'a pas eu les larmes aux yeux et la rage au ventre en regardant brûler Notre Dame de Paris, n'est pas Français.
    Ce n'est pas, en effet, un simple monument et un site touristique qui brûlaient, mais un des cœurs sacrés de notre Histoire, tabernacle de notre foi chrétienne, de notre spiritualité civilisationnelle et de notre existence nationale.
    Vint ensuite le temps des polémiques.
    Polémique sur les causes de l'incendie qui ne sauraient bien sur en aucun cas être autre chose qu'accidentelles.
    Polémiques sur les dons consentis en vue des immenses travaux à venir par des milliardaires français comme si détenir les plus grandes fortunes du Pays tout en étant catholique les disqualifiait. La haine socialisante des riches est aussi antinationale que le mépris envers les plus déshérités.
    Polémique enfin sur les conditions de la reconstruction de Notre Dame de Paris.
    À ce terme de reconstruction nous préférons celui de restauration. Car il est bien évident que celle-ci doit se faire "à l'identique", c’est-à-dire dans le respect des formes, des mesures et des équilibres qui participent à son Mystère, sans pour autant se priver de l'emploi des techniques et des matériaux les plus modernes de notre temps, comme le firent eux-mêmes les architectes et les compagnons des douzième et treizième siècles, habités de la haute conception qu'ils avaient de leur devoir de bâtisseurs spirituels.
    Une Cathédrale n'est pas un musée. Elle n'est pas un symbole laïc. Elle n'est pas un enjeu économique. Elle est le lieu vivant et sacré de la prière, de la Communion et du règne du Christ.
    Nul besoin pour cela d'une loi exonérant l'État de recourir aux procédures légales et communes. Nul besoin d'un concours international d'architectes qui ouvrirait la porte aux tentatives hasardeuses de contemporanéiser les travaux, peut-être même de les orientaliser… Nul besoin des idées fumeuses de Macron qui se verrait bien y placer sa patte pour la postérité.
    La France a ses architectes nationaux, ses spécialistes de l'art et du patrimoine français, ses métiers et ses compagnons qui sauront, en usant des nombres sacrés et des exigences de la Tradition, mais aussi des moyens positifs d'aujourd'hui, restituer en cinq ans, dix ans ou quinze ans, ce que leurs anciens ont bâti en deux siècles, y compris la flèche initiale et authentique sans les étrangetés de celle de Viollet le Duc.
    Quant à l'usage qui sera fait de l'argent restant des dons (plus d'un milliard d’euros récoltés en quelques jours), qui, compte tenu de l’évaluation du coût des travaux qui ne devrait pas excéder six cents millions, nous devrons être vigilants et exiger une totale transparence, un certain nombre d’associations et de personnalités demandant déjà que les importants reliquats soient répartis pour la rénovation ou la construction de lieux de culte, toute religion confondue.
    Ce serait inacceptable.
    Cet argent est catholique. Il doit être utilisé pour l'entretien des églises catholiques qui se meurent sur tout le territoire, singulièrement à Paris où beaucoup d'entre elles sont laissées à l'abandon tant par l'État que par la municipalité.
    Le Parti de la France y veillera.
     
           
     

    Réinfo, le magazine d'information

     

    @carllang2022

     

    @lepartidelafrancecompteofficiel

     
      Le journal télévisé du PdF
    présentée par Sylvie Collet
      Pour suivre Carl Lang,
    le Président du PDF, sur twitter
      Pour suivre le Parti de la France sur FaceBook  
         
  • Cervelle de moineau !

     

    Nathalie Loiseau serait amnésique. C'est plutôt inquiétant pour son avenir...

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    Roland Hélie

    Directeur de Synthèse nationale

    Mais non Nathalie, il n'y a aucune honte à avoir été candidate de l'Union des étudiants de droite lorsque tu sévissais à Science-Po*. En revanche, ce qui est honteux c'est de vouloir faire croire que tu ignorais la nature de ton engagement d'alors.

    Pourtant, "Union des étudiants des droites", c'était difficile d'être plus clair... De l'UNI au GUD, en passant par quelques militants de l'œuvre française, tout ce que la vénérable école comptait d'anti-communistes et de nationalistes se retrouvait dans ce syndicat. Alors, toi qui était en quatrième année, tu ne savais donc pas de ce dont il s'agissait ? Laisse-nous rire aux éclats.

    Il est vrai qu'à cette époque, pour contrer l'omniprésence des gauchistes de toutes obédiences dans l'Université, les nationalistes n'hésitèrent pas, parfois, à ruser. Il y eu ainsi une Fédération des étudiants de Picardie, une Union des étudiants d'Alsace, un Renouveau étudiant à Bordeaux... des appellations imaginatives qui pouvaient, admettons-le, amener l'étudiant moyen à s'interroger sur le positionnement politique de ces syndicats locaux. Mais, avec l'"Union des étudiants des droites"... il ne pouvait pas y avoir de tromperie sur la marchandise.

    Ton attitude face aux "révélations" de Mediapart est vraiment déplorable. De deux choses l'une, soit tu es idiote et inculte, ce que nous n'osons pas imaginer ; soit le milieu que tu fréquentes maintenant, LREM en l'occurrence, est tellement sectaire et fanatique que tu ne trouves rien de mieux que d'invoquer ta crédulité de jeune fille effarouchée pour te défendre. Ce n'est pas très courageux...

    Et le plus grave, c'est que maintenant tu voudrais t'imposer comme le rempart face à "l'extrême droite". Décidément, tu n'arrêtes pas de nous faire rigoler, Nathalie. Une chose est sûre, c'est que si tu as fréquenté les nationalistes dans ta jeunesse, tu n'as rien retenu de l'éthique qui anime leur idéal. Le reniement est l'apanage des poltrons démocrates, pas celui des "fachos".

    Depuis le début de la Ve République, nombre d'élus, voire de ministres, firent leurs premières classes dans la mouvance nationaliste. Face à l'adversité, reconnaissons-le, peu renièrent leurs engagements d'antan (après tout, on a le droit de changer d'idées) et, parmi eux, certains firent même de brillantes carrières. Néanmoins, quelques uns se crurent obligés, lorsqu'ils se virent débusqués par les petits flics de la pensée dominante, de cracher sur leur passé. Ces méprisables personnages sont vite tombés dans les oubliettes de l'Histoire... et c'est sans doute mieux ainsi.

    Nathalie, avec ta liste LREM, tu as la prétention de défendre les intérêts de la France dans l'Union européennes. Permet-nous de te dire que, vue ton attitude aujourd'hui, on a de bonnes raisons d'être inquiets pour demain... Mais, rassure-toi, que tu ai été membre de l'UED ou non, cela n'a pas vraiment d'importance car nous n'avions aucunement l'intention de voter pour toi...

    * Si je te tutoie dans cet article, c'est parce que dans la mouvance nationaliste, hier comme aujourd'hui, tout le monde se tutoie. Ainsi, tu vois bien que nous ne sommes pas rancuniers.

  • BP du samedi 13 avril 2019

    Réuni à Boulogne Billancourt le samedi 13 avril, le Bureau politique du Parti de la France a consacré l’essentiel de ses travaux à la situation politique dramatique que traverse la France et à la stratégie que le PDF doit mettre en œuvre, tant sur le plan organisationnel et militant que dans le domaine électoral, pour y apporter les réponses que le Pays attend.

    Une large partie de cette réunion centrée à la fois sur la réflexion globale et sur les moyens opérationnels et tactiques à mettre en œuvre, a été réservée à la campagne pour les élections européennes du 26 mai prochain, campagne à laquelle, faute de disposer des moyens financiers suffisants, le PDF a renoncé à participer.

    Notre Président, Carl Lang, qui a tracé devant le Bureau un historique complet des nombreux contacts et entretiens politiques qu'il a pu avoir dans le cadre de la préparation de ces élections, précisera la position du Parti quant au scrutin du 26 mai, et les choix politiques retenus, lors du discours qu'il prononcera le samedi 11 mai à Paris, à l'occasion du grand banquet/évènement au cours duquel nous fêterons les dix ans d'existence du PDF.

    La perspective des élections municipales de l’année prochaine à également fait l’objet d'une étude attentive des membres de la direction du Parti.

    Ces élections qui se dérouleront en mars 2020 revêtiront, en effet, une importance toute particulière à mi-chemin de la Présidentielle de 2017 et de celle de 2022.

    Le PDF y travaille déjà dans une optique locale d'entente municipale des droites nationales et de convictions.

  • ALGERIE (suite, et pas fin)

    Algérie : la prudence reste de mise

    Abdelaziz Bouteflika painted portrait _DDC3057 By: thierry ehrmann - CC BY 2.0

    El Watan a raison de titrer « La dernière ruse de Bouteflika ».

    Dans une démocratie normale, ce sont d’autres candidats qui se seraient présentés et les élections auraient eu lieu.

     

    Par Jean-Baptiste Noé.

    Les réactions en France à l’annonce du président Bouteflika sur sa renonciation à un cinquième mandat montrent que beaucoup n’ont pas compris ce qui se passait dans le monde arabe.

     

    Cela semble rejouer les printemps arabes de 2011, qui ont connu les succès que l’on sait.

    Comme si l’instauration de la démocratie était la baguette magique qui allait résoudre tous les problèmes.

    En Algérie, la prudence reste de mise. Le clan Bouteflika a annoncé que celui-ci renonçait à se présenter, dans une formule audacieuse et menteuse : « Il n’y aura pas de cinquième mandat et il n’en a jamais été question pour moi […] » alors même qu’il avait annoncé sa nouvelle candidature.

    l ne se représente pas, mais les élections sont annulées et reportées sine die.

    Ce qui signifie que son mandat va se prolonger au-delà du 28 avril 2019, probablement jusqu’au début de l’année 2020, le temps que se réunisse la « Conférence nationale inclusive et indépendante » et qu’elle propose des modifications à la constitution.

    El Watan a raison de titrer « La dernière ruse de Bouteflika ».

    Dans une démocratie normale, ce sont d’autres candidats qui se seraient présentés et les élections auraient eu lieu.

     

  • BOUTEFLIKA t'es où ? Par le correspondant du POINT.

    Bouteflika : la justice suisse va-t-elle instruire une plainte pour « suspicion d'enlèvement » ?

    La question mérite d'être posée alors que, le 25 février, une Algérienne a déposé une plainte pour « suspicion d'enlèvement d'une personne incapable de discernement ».
    Par notre correspondant à Genève,
    Publié le | Le Point Afrique
    <p>,Siskia Ditisheim, présidente d'Avocats sans frontières Suisse a demandé la nomination d’un ou plusieurs curateurs en invoquant l’état de santé de M. Bouteflika.</p>
     

    ,Siskia Ditisheim, présidente d'Avocats sans frontières Suisse a demandé la nomination d’un ou plusieurs curateurs en invoquant l’état de santé de M. Bouteflika.

    © DR
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    Le lendemain de l'arrivée d'Abdelaziz Bouteflika en Suisse, une Algérienne s'est rendue au poste de police de Le Mont-sur-Lausanne, une commune du canton de Vaud. Reçue par un inspecteur, elle a déposé une plainte pour « suspicion d'enlèvement d'une personne incapable de discernement ». Pendant près de deux heures, cette résidente suisse a expliqué qu'elle considérait que le président algérien, en raison de son état de santé, était victime d'un enlèvement et d'une séquestration. Non seulement la police vaudoise a pris très au sérieux cette plainte, mais elle s'est aussitôt entretenue avec un procureur concernant l'ouverture d'une enquête préliminaire.

     

    Lire aussi : Algérie : Abdelaziz Bouteflika serait « sous menace vitale permanente »

    Seulement, voilà, Abdelaziz Bouteflika était attendu à la clinique de Genolier, où il se rend habituellement. L'établissement est situé dans la commune de Genolier, dans le canton de Vaud. Or, le président algérien, en raison d'un état « très précaire », et notamment d'une dégradation de ses réflexes neurologiques, a été transféré aux Hôpitaux universitaires de Genève (HUG), dans le canton de Genève. La plainte a donc été transmise à la justice du bout du lac Léman. Mais apparemment, les magistrats genevois se sont hâtés très lentement pour ouvrir une enquête, préférant laisser repartir dimanche 10 mars dans l'après-midi le chef de l'État à bord du Gulfstream 4SP de la République algérienne démocratique et populaire.

  • Le samedi 11 mai 2019, le PDF fête ses 10 ans.

    Samedi 11 mai, le Parti de la France célébrera ses 10 ans d'existence au cours d'un grand banquet dans un prestigieux restaurant du Paris historique.

      
     Tout au long de la journée, des personnalités qui ont contribué à la fondation et au développement de notre mouvement prendront la parole.

    Afin que le maximum de militants et de sympathisants du Parti de la France puisse participer à cet événement, le tarif est fixé à 20 € par personne, le PdF prenant le reste à sa charge.

    Vous pouvez dès maintenant envoyer votre réservation accompagnée de votre règlement par chèque (à l'ordre de Myriam BAECKEROOT) à cette adresse : PdF - Banquet des 10 ans - 6, allée des Templiers - 78 860 Saint-Nom-La-Bretèche

    Renseignements au 06.38.73.25.61 ou 10ans@parti-de-la-france.fr

  • Parent 1 ? Parent 2 ? C'est quoi ce B....l !

    LMPT a inviteé Kelly, mère porteuse américaine, aà venir s'exprimer devant les Français
    Tollé unanime suite aux propos de Marlène Schiappa

    Mercredi 20 février, Marlène Schiappa a évoqué, dans les colonnes de l'hebdomadaire Valeurs actuelles, une prétendue « convergence idéologique » entre La Manif Pour Tous et les terroristes islamistes.
    Face à cet amalgame stupéfiant, La Manif Pour Tous a aussitôt demandé des excuses publiques de la Secrétaire d'Etat :

    Communiqué

     

    En dépit du tollé unanime, Marlène Schiappa a réitéré ses propos dans d'autres interviews, conduisant alors nombre de Français à réclamer sa démission.
    A l'heure où nous écrivons, nous sommes sur le point de déposer plainte auprès de la Cour de justice de la République à l'encontre de la Secrétaire d'Etat.

    Pour suivre les réactions et les événements à ce sujet :

    lamanifpourtous.fr

     
    Remplacer « père » et « mère » par « parent 1 et 2 »

    Le 12 février, la député LREM Valérie Petit propose de profiter du projet de loi « école de la confiance » pour supprimer les mentions « père » et « mère » des formulaires scolaires au profit de « parent 1 » et « parent 2 ». Avec elle, sa collègue Jennifer De Temmerman considère qu' « un père et une mère » constituent « des cases figées » qui correspondent à « des modèles sociaux et familiaux un peu dépassés » :

    Video
    https://tinyurl.com/y38gw6bl

    Cet amendement est voté le jour même par les députés LREM. A ce stade, il s'agit de la 1ère lecture du projet de loi (il doit ensuite passer au Sénat puis revenir devant l'Assemblée nationale).

     
    La Manif Pour Tous monte au créneau

    Parce qu’elle suit toujours attentivement les débats parlementaires, La Manif Pour Tous alerte aussitôt sur les réseaux sociaux et par voie de communiqué de presse :

    Communiqué

    Une tribune signée de Ludovine de La Rochère et Albéric Dumont, respectivement Présidente et vice-président de La Manif Pour Tous, est publiée sur FigaroVox :

    Tribune

    Tribune


    Les représentants du mouvement participent à de nombreux débats TV et radios, dans les matinales de RTL et LCI, sur RMC, C-News, Sud Radio... :

    Video
    http://tinyurl.com/yyndqd8d

    Video
    https://tinyurl.com/y2yahf8c

    Video
    https://tinyurl.com/yxj23ztq

    Machine arrière

    Au bout de trois jours, les députés LREM semblent faire machine arrière.

    Article Le Parisien
    https://tinyurl.com/y6tsxsx6
    Et bien sûr La Manif Pour Tous veille sur la suite
  • Rien de nouveau, c'était en 2008, plus de 10 ans

    Qui a peur du loup, qui est ce loup ?

    Le loup c'est celui qui détruit de l'intérieur le Mouvement National.

    Le loup c'est celui qui trahit la cause nationale pour un plat de lentilles.

    Le loup c'est le donneur de leçons qui joue au yoyo.

    Le loup n'a aucune morale politique.

    Le loup c'est celui qui fuit les responsabilités.

    Le loup c'est celui qui profite de son soi-disant entregent pour exiger que TOUS les autres soient à sa dévotion.

    Si ce loup avait gagné, que n'aurions nous entendu.

    Mais quand même, mobiliser à son profit exclusif TOUS les cadres de deux département, c'est certainement les prendre pour de zozos, pour des guignols exploitables et corvéables à merci.

    Je sais de quoi je parle, nos amis militants du Hainaut n'ont pas échappé à la coupe sombre, à l'instar du chargé de mission pour le Hainaut qui figure sur toutes le photos, dans tous les reportages, et au premier rang.

    Le loup, c'est celui qui assène des soi-disant vérités, du style "plus de xx militants gonflés à bloc", et il sont où ces militants qui devaient casser la "baraque", sur 18 cantons, seulement 6 ont été candidats aux cantonales, deux n'ont même pas pu permettre aux électeurs nationaux de se prononcer, faute de bulletins et de circulaires.

    Depuis les cantonales de 1985, jamais cette situation désastreuse ne s'est produite. Tout le reste n'est que baratin. 

    Un chef ce n'est pas un loup, c'est quelqu'un qui se sacrifie pour les autres, au détriment de ses intérêts électoraux personnels.

    Le loup c'est celui qui va réfléchir à son avenir personnel, se justifier et comment payer la note.

    Le loup ne peut être que la victime, non consentante, du  courroux des militants de la cause nationale.

    Pour ma part, je ne quitte pas le navire, je souhaite de nouveau m'investir dans mon "HAINAUT", si la direction actuelle du FN le souhaite, j'espère et je crois au sursaut de nos idées.

    Je reste fidèle à celui qui a su galvaniser les militants du Nord Pas de Calais

    Dominique SLABOLEPSZY 

     

  • Pourquoi Médiapart ?

    Le régime veut-il faire taire Mediapart ?

    Le régime veut-il faire taire Mediapart ?

    Deux procureurs, accompagnés de trois policiers, ont voulu perquisitionner ce matin, à 11h10, les locaux de Mediapart dans le cadre d’une enquête ouverte par le parquet pour (notamment) atteinte à la vie privée de M.Benalla suite aux révélations de la semaine dernière. Cette enquête, qui vise les enregistrements révélés par Mediapart, est susceptible d’atteindre le secret des sources du journal. C’est pourquoi celui-ci a refusé cette perquisition.

    Cette affaire soulève plusieurs interrogations, qui devraient interpeller le régime :

    • Les informations révélées la semaine dernière et appuyées par des enregistrements n’ont pas fait l’objet de démenti.
    • Le parquet perquisitionne Mediapart pour atteinte à la vie privée mais ne requiert pas la révocation du contrôle judiciaire d’Alexandre Benalla. C’est une incroyable soumission du Ministère Public au pouvoir politique.
    • Un journaliste révèle que ni Alexandre Benalla ni Vincent Crase n’ont porté plainte. Le parquet a ouvert cette enquête sur la base d’éléments transmis au parquet. Par qui ? Le parquet de Paris est soumis hiérarchiquement au pouvoir exécutif…

    Macron sombre petit à petit dans la dictature…

  • Au sujet des gillets jaunes, notre soutien réel.

    Face à face

  • REINFO 20 janvier 2019



     
    Dimanche 20 Janvier 2019
    20:57
     
  • La voix des français

     
    Samedi 12 Janvier 2019
    17:34
     

     

  • Circulez ! il n'y a rien à voir.

    « Trop de Français n’ont pas le sens de l’effort » : Macron suggère que les Gilets jaunes sont des fainéants !

    11 Janvier 2019, 19:21pm

    Publié par Thomas Joly

    Trop de Français n’ont pas le sens de l’effort, ce qui explique en partie les « troubles » que connaît le pays, a déploré vendredi Emmanuel Macron, sans évoquer directement la crise des « Gilets jaunes ».

    A la veille d’une nouvelle journée de manifestations, le chef de l’État a fait l’éloge du travail en recevant des boulangers à l’Élysée, en soulignant les réformes menées dans ce domaine depuis le début de son quinquennat, notamment sur l’apprentissage, et celle à venir de l’assurance chômage.

    « Notre jeunesse a besoin qu’on lui enseigne un métier, des gestes, des savoirs, le sens de l’effort et le sens de cet engagement qui fait qu’on n’a rien dans la vie s’il n’y a pas cet effort », a-t-il déclaré.

    « Les troubles que notre société traverse sont aussi parfois dus, liés au fait que beaucoup trop de nos concitoyens pensent qu’on peut obtenir sans que cet effort soit apporté, que parfois on a trop souvent oublié qu’à côté des droits de chacun dans la République (…) il y a des devoirs. »

    S’il n’y a pas ce sens de l’effort, « notre pays ne pourra jamais pleinement recouvrer sa force, sa cohésion », a-t-il poursuivi.

    Source : http://breizatao.com