SLABOLEPSZY - Page 3
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Vous avez dit : emploi fictif !
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CONNEXION 30 juin 2019
Pas de vacances pour la POLITIQUE.
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Quand Eva DARLAN dit ce qu'elle pense !
"Marlène Schiappa va à l'ONU, et elle dit que la France est en tête de l'égalité et de la défense des femmes. Ce n'est pas vrai. C'est un mensonge ! Les femmes continuent de mourir au même rythme", a assuré l'actrice Eva Darlan sur Europe 1. De son côté, Marlène Schiappa a tenu à se défendre sur la même radio.
"Ce qu'elle dit est faux. Ça pouvait être vrai début 2017. Nous sommes maintenant en 2019. Il y a un travail conjoint qui a été fait avec les associations", a indiqué la ministre, visiblement remontée par les critiques.
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BOUDAREL, ça vous dit quelque chose !
Emission télévisée TF1, « LE DROIT DE SAVOIR », Octobre 1992 sur « l’affaire BOUDAREL »
Jean-Jacques BEUCLER et Wladislas SOBANSKY, rescapés du Camp 113, interpellent le tortionnaire Georges BOUDAREL
Document exceptionnel de 50 minutes à conserver pour « La Mémoire » et à diffuser
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CONNEXION 24 juin 2019
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CONNEXION 17 juin 2019
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Puisqu'on vous le dit !
Objet : En relaxant Robert Ménard, la Justice s'oppose à la dictature de la pensée uniqueAprès une longue bataille judiciaire, Robert Ménard, le maire de Béziers, qui était poursuivi pour « provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence à l’égard d’un groupe de personnes en raison de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée », vient d’être définitivement relaxé. La Cour de cassation vient, en effet, de rejeter le pourvoi de plusieurs associations, dont la LICRA, le MRAP, la Ligue des droits de l’homme, SOS Racisme, l’Union des étudiants juifs de France, Maison des potes.Que reprochait-on au maire de Béziers ?D’avoir, dans une émission sur LCI , en septembre 2016, tenu ce propos jugé intolérable : « Dans une classe du centre-ville de chez moi, 91 % d’enfants musulmans. Évidemment que c’est un problème. » Il avait également publié sur Twitter, à la rentrée des classes, le message suivant : « La preuve la plus éclatante du Grand Remplacement en cours. Il suffit de regarder d’anciennes photos de classe… » Pour ces associations bien-pensantes, oser décrire la réalité de l’immigration en France est forcément un délit.La décision de la cour d’appel de Paris, prononcée en mars 2018, est donc confirmée : « Aucun des deux passages incriminés ne contenait un appel ou une exhortation, même implicitement formulés, à discrimination, à la haine ou à la discrimination envers une personne ou un groupe de personnes déterminées, […] ni ne stigmatisait les personnes concernées dans des conditions visant à susciter la haine à leur égard. » Les associations qui avaient accusé à tort le maire de Béziers ont été condamnées à verser 5.000 euros de dommages et intérêts.Comme le dit un communiqué de presse de la ville de Béziers, cette décision de la Cour de cassation signifie « qu’il est encore possible de débattre. Qu’il est encore possible de parler, sans filtre, d’immigration. Qu’il est encore autorisé de décrire le réel. Oui, en France, on a le droit de dire les choses, sans être honteusement accusé des pires intentions. » Et d’ajouter, en conclusion, ce commentaire qu’on ne peut qu’approuver : « Ce jugement est une débâcle supplémentaire pour les officines politiques subventionnées, professionnelles du harcèlement judiciaire, qui font de l’hystérisation du débat un lucratif fond de commerce. »Les associations qui voient du racisme partout, sauf dans leur propre sectarisme, se retrouvent donc Gros-Jean comme devant. Mais il est peu probable qu’elles en tirent la leçon, tant elles ont l’habitude de barboter dans les eaux d’une pensée manichéenne et conformiste. Il fallait signaler cette décision judiciaire qui, pour une fois, remet les pendules à l’heure et n’hésite pas, au nom de la vérité, à s’opposer à l’impérialisme de la pensée unique.Ce n’est pas de décrire la réalité de l’immigration qui est condamnable. Ni d’évoquer le changement de population dans certains quartiers et les atteintes à notre mode de vie. C’est, au contraire, de nier ce phénomène, de le passer sous silence, de vouloir faire taire ceux qui le dénoncent. Puissent tous ceux qui aiment le confort de la bien-pensance, parmi les politiciens comme dans les médias, prendre conscience qu’une pensée uniforme et sans contradiction, est une insulte à la vérité.Dans le brouillard obscurantiste qui tend à étouffer la liberté de pensée, ce jugement apporte une éclaircie d’espoir.Philippe Kerlouan -
CONNEXION 3 juin 2019
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Une élection en cache toujours une autre !
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
Alors que tous les regards étaient, à juste titre, braqués sur les scores des uns et des autres aux élections européennes, tant en France même que chez ses voisins, deux autres consultations électorales sont passées, presque, inaperçues.
La première, c’est l’élection du nouveau Congrès de Nouvelle-Calédonie et des trois assemblées provinciales de ce territoire d’outre-mer. La seconde, est l’élection municipale à Barcelone où Manuel Valls s’est fait durement rosser.
A Nouméa, dimanche 12 mai, dans la foulée du référendum du 4 novembre 2018 où le « oui » à l’indépendance a frôlé les 44 %, les indépendantistes pensaient gagner la compétition électorale pour le renouvellement du Congrès de Nouvelle Calédonie et des trois assemblées provinciales nées des accords de Matignon. Pari raté, ce sont les « loyalistes » qui continueront de détenir la majorité territoriale. Ce qui est intéressant à noter, c’est le basculement qui s’est opéré au sein de la majorité, redessinant la carte politique de « La Grande terre ».
C’est ainsi que la coalition « L’Avenir en confiance » regroupant 3 partis, les Républicains calédoniens, le Rassemblement « les Républicains » et le Mouvement populaire calédonien, a emporté 16 sièges sur 54. Elle pourra compter, toutefois, sur l’appui de groupes minoritaires, comme par exemple, l’Eveil océanien, 2 élus, issu des communautés wallisiennes et futuriennes, ou de Calédonie ensemble, 7 élus (-8 !). Le FLNKS, le cartel indépendantiste, totalisant pour sa part 26 conseillers, pas suffisant, à deux voix près, pour construire une majorité. Un basculement s’est opéré au sein du camp « pro-Français » où la coalition « l’Avenir en Confiance », conduite par la blonde Sonia Backès, 43 ans, une syndicaliste aux ascendants portugais, a quasiment remplacé les sortants de « Calédonie ensemble » dirigés par Philippe Gomes. Un glissement inquiétant pour cette formation dont se réclament la présidence du Congrès, celle de la province sud (Nouméa), ainsi que les 2 députés et un sénateur sur 2 de l’île ! Dans la province du Sud, « l’Avenir en confiance » est désormais seule à la manœuvre avec 21 sièges sur 40 postes d’élus locaux. Dans la province du nord, acquise aux séparatistes, « Calédonie ensemble » n’obtient aucun siège, tandis que le PALIKA de Néaoutyne obtient 38,5 % des suffrages, et que son rival au sein du FLN KS , l’Union calédonienne, en enregistre 36 %, pourcentages assurant à ces deux formations l’assurance de gouverner ensemble contre les « loyalistes ». Lesquels, conduits notamment par Alcide Ponga, maire de Kaouaoua, 12,2% , ont amélioré leurs résultats de +3 points . La province des îles, - Ouvéa, Lifou, Maré-, totalement acquise aux séparatiste,- on se souvient de la tragédie de la grotte d’Ouvéa-, restant totalement, elle, entre les mains du FLNKS.
Les méthodes de gouvernement et l’usure du pouvoir auront eu raison des sortants. Sonia Backès, désormais la « grande prêtresse » du camp loyaliste, s’est félicitée de ces résultats qui mettent sa formation en position de force pour négocier avec Paris et le FLNKS les suites des accords de Matignon et de Nouméa. Il parait évident que l’on s’oriente, à terme, vers un nouveau référendum, jusqu’à ce que les sécessionnistes du FLNKS le gagnent ! C’est la maladie des « démocrates », faire voter les peuples jusqu’à obtenir satisfaction ! Mais, comme on le voit en Grande-Bretagne, ça ne marche pas toujours ! Question de temps, comme en métropole avec l’immigration musulmane, la démographie jouant sa partition. A propos de partition, compte-tenu de la carte électorale et de la répartition des populations, c’est probablement la solution qui émergera du dossier calédonien, à moins que le gouvernement français contemporain, comme son prédécesseur gaulliste dans les années 1960, n’impose le bradage de TOUTE cette ancienne colonie française.
Economiquement, ce serait une solution suicidaire pour toutes les parties, le nickel étant un enjeu stratégique et Nouméa, capitale de ce territoire de 240 000 âmes, étant la vitrine de la France dans le Pacifique : prendre un café crème et des croissants place des cocotiers, est une amusante expérience pour le métropolitain fraichement débarqué, de même que photographier de belles vaches normandes à la robe noire et blanche, s’ébattant dans une végétation tropicale !
(Enfants, petits-enfants en Nouvelle-Calédonie, trois voyages ces dernières années, je confirme l'analyse de Jean-Claude ROLINAT)
Une autre solution semble pointer son nez, souvent discrètement évoquée, le statut « d’État associé », comme les îles Cook ou Niue par exemple, par rapport à la Nouvelle-Zélande. Mais, quel que soit le menu qui s’imposera, l’essentiel à notre sens, est que l’on ne nous fasse pas revivre un autre scénario algérien, et que la solution retenue soit la plus « française » !
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Le réveil ! Peut-être ?
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Lu et approuvé !
mardi, 21 mai 2019
Jordan Bardella en tête des sondages
En ce qui concerne la campagne et les propositions de Jordan Bardella, tête de liste du Rassemblement national qui ne manque d'ailleurs pas de talent, nous pensons que les lecteurs de Synthèse nationale ont suffisamment d'informations grâce aux moyens officiels, ce qui n'est pas le cas des autres listes patriotiques.
Cependant, dans un souci d'équité, nous reprenons ici l'appel lancé sur les réseaux sociaux par Véronique Péan, la dynamique responsable du RN en Touraine :
"Un seul tour le dimanche 26. Proportionnelle intégrale plus nous aurons de voix plus nous aurons de députés. Notre ennemi, c’est l’abstention. Contacter les membres de votre famille, vos amis, vos relations professionnelles… Consacrez les jours qui viennent à convaincre vos proches d’aller voter pour la liste de Jordan Bardella. Un impératif : arriver en tête le dimanche 26 mai. Il faut gagner, pour l'Europe, pour la France !"Chacun fera donc en son âme et conscience...Site de Jordan Bardella cliquez làL'appel de Jean-Marie Le Pen cliquez ici -
Le jeu de MACRON
L'ÉDITO de Didier MICOINE
Le PARISIEN lundi 20 mai 2019
de Didier Micoine Le jeu de Macron Emmanuel Macron poursuit « sa » campagne. À six jours des élections européennes, le chef de l’Etat s’implique une nouvelle fois en donnant une interview à plusieurs quotidiens régionaux – dont Le Parisien. Dans cette dernière ligne droite, l’objectif est de mobiliser les électeurs pour que la liste du Rassemblement national n’arrive pas en tête dimanche soir en France. Dans le camp de Macron, on dénonce une extrême droite « cheval de Troie » des plans de Trump et Poutine pour affaiblir l’Europe. On connaît la volonté de Macron de jouer dans cette campagne les progressistes contre les nationalistes, mais on peut s’interroger sur le choix de dramatiser les enjeux et de focaliser ainsi sur le score de dimanche. L’hypothèse que la liste lepéniste devance celle des Marcheurs n’aurait rien d’extraordinaire dans le contexte actuel et vu l’impopularité de l’exécutif. Marine Le Pen était d’ailleurs arrivée en tête lors des européennes de 2014. L’expérience montre par ailleurs que le résultat des précédents scrutins européens n’a pas eu d’impact direct sur la politique nationale. Alors pourquoi une telle dramatisation ? Jusqu’ici, les déclarations de Macron, censées mobiliser les électeurs de la liste Renaissance, ont surtout eu pour conséquence de faire monter les intentions de vote pour le RN ! Un effet contre-productif, donc. À moins que ce soit l’effet recherché par le chef de l’Etat de façon à préparer les conditions d’un match retour contre Marine Le Pen à la présidentielle de 2022. On n’ose croire à un tel calcul…
Dans l'état actuel, comme en 2017, celui ou celle qui se retrouvera au deuxième tour face à Marine Le PEN, croit que son élection sera assurée et facile.
On peut continuer de rêver, le peuple de France saura t'il se réveiller ?
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En mai, fais ce qu'il te plaît !
lundi, 20 mai 2019
Tribune libre : En mai, fais ce qu'il te plaît...
Les élections européennes du 26 mai auraient pu être l'occasion d'un vaste débat national invitant les Français à réfléchir à ce que devait être ou ne pas être la construction continentale, et à décider, dans la clarté, de leur avenir, avenir dont le Parti de la France estime qu'il est indissociable de celui des autres peuples de notre civilisation.Les éléments de cette réflexion tenaient en quatre questions essentielles.- L'Europe réunie doit-elle l’être sous un mode fédéral régi par une autorité centrale de nature nécessairement technocratique ou relever d'une coopération toujours plus étroite des Nations libres coordonnée par le Conseil des Chefs d'États et de Gouvernements ?
- L'Europe réunie doit-elle se constituer en puissance politique, économique, diplomatique et militaire en se donnant les moyens moraux, financiers, matériels et structurels de l'affirmation et de la réalisation de cette ambition ou demeurer une entité molle, sans force ni volonté, aboulique et impuissante, soumise aux mille vents mauvais de la globalisation, de l’immigrationnisme, du nouvel ordre mondial et de la spéculation ?
- L'Europe réunie doit-elle rompre avec l'utopie mondialiste et la soumission à d’autres intérêts que les siens, en créant les conditions de son indépendance et de sa protection économique, identitaire et sécuritaire ou rester un vassal ballotté au gré du bon vouloir de Washington ?
- L'Europe réunie doit-elle travailler à la mise en œuvre d'un partenariat civilisationnel avec la Russie, partenariat qui, par la nécessité des choses et la force de l'entraînement soudera Russie et monde occidental face aux menaces que constitue l’émergence de grandes puissances régionales aujourd’hui, mondiales demain, en particulier la Chine, ou laisser Moscou se tourner définitivement vers Pékin ?
Au lieu de cela, chacune des formations politiques décidées à concourir à cette consultation a pris soin d’éluder le fond et de se cantonner dans des enjeux subalternes pour notre Nation et pour notre civilisation, mais prioritaires pour elles : la défense et la promotion de leurs intérêts alimentaires.- Pour La République En Marche, deux mots d'ordre qui n'en font qu'un : battre le « populisme » et arriver en tête devant la liste Bardella tout en ménageant Marine Le Pen sélectionnée comme meilleure chance pour Macron de l'emporter en 2022, et donc instituée comme opposante privilégiée par la propagande gouvernementale.
- La liste du Rassemblement national quant à elle, radeau de la Méduse des anciens UMP/Républicains en mal de mandat, et des apparatchiks marinistes les plus dociles, oscillant d'une stratégie à une autre, d'une droitisation à une re-gauchisation au gré des circonstances, des sondages, des humeurs et des rencontres de sa Présidente, aura tout au long de la campagne, confirmé son incohérence stratégique et son incapacité à naviguer autrement qu'à vue, tout en mettant en lumière son jeu clanique.
- Les Républicains, malgré quelques bonnes dispositions de leur tête de liste (sur l'immigration, sur les valeurs ou sur les racines chrétiennes de L’Europe), restent ce qu'ils sont et ce que la bien-pensance leur dicte d’être : le dernier îlot d'un centre droit systémique ayant depuis longtemps perdu tout sens des réalités et tout contact avec le monde extérieur.
- Pour la gauche, l'enjeu était ce qu'il est de toute éternité : celui d'un congrès dont chacun espère sortir en tête de la grande valse des motions.
- Nicolas Dupont Aignan, enfin, aura, pour exister, fait beaucoup d’efforts désordonnés, erratiques et parfois déloyaux à l’égard de ceux qui le soutenaient avec, au final, la perspective dérisoire d’une bataille de titans lilliputiens pour savoir qui, de lui-même, de Philippot ou d'Asselineau l'emportera en dépassant les 2 %.
- Nous n'évoquerons ici aucune des listes virtuelles, tout en comprenant que tel ou tel veuille se faire connaître, car nous considérons que la politique est chose sérieuse qui doit être traitée avec rigueur.
Dans un message diffusé sur les réseaux sociaux, Carl Lang a précisé la position du Parti de la France conformément aux décisions prises lors du Bureau politique du mois d'avril : Le PdF qui n'a pu concourir pour des raisons financières (un million minimum pour financer la campagne officielle était requis) laisse donc à ses militants une totale liberté de vote.Liberté de vote car le Parti de la France, considérant ses adhérents et sympathisants comme aptes à faire leur choix en toute connaissance de cause, selon leur conscience et en accord avec leurs convictions, il n’était pas nécessaire de leur dicter leur choix.Il est néanmoins évident que pas une de nos voix ne se portera sur les listes directement systémiques, non plus que sur l'une ou l'autre de celle de la gauche. Pour le reste, chacun décidera en fonction de ce qui est utile au Pays et peut être réalisable ou pas au sein du Parlement européen. Pour cette élection, dont nous savons déjà que, comme ce fut le cas de tous les scrutins européens, elle ne sera en aucune façon structurante de la vie politique française, chacun n'aura donc le choix qu'entre des inconvénients multiples.« En mai, fais ce qu'il te plaît » dit le proverbe. Chacun sera donc juge de ce qui lui plaît : porter son suffrage sur telle ou telle liste nationale ou de droite, ou voter Jeanne d'Arc et célébrer pleinement la fête des mères. -
Pas une voix pour MACRON !
Compte tenu de son coût financier et ne souhaitant pas faire une campagne électorale virtuelle sans bulletins de vote ni circulaires, le Parti de la France ne présente pas de liste à l'élection européenne. Le PdF laisse donc à ses militants une totale liberté de vote.
Pour ma part, je voterai utile le 26 mai prochain.
Voter utile, c'est voter contre MACRON. Il ne doit pas gagner.
Toute voix égarée sur des groupuscules sera une voix de perdue pour la France.
Dominique SLABOLEPSZY
Conseiller régional honoraire - Membre du BP du Parti de la France
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NON à MACRON !
Elections européennes : non à Macron !
A quelques jours des élections européennes le M.N.R. se déclare profondément inquiet de la situation de l'Europe dans le monde multipolaire d'aujourd'hui où prévaut le choc des civilisations.
Il préconise en conséquence d'ériger l'Europe en un pôle de puissance capable de défendre son identité, son indépendance et sa souveraineté.
Pour rendre ce projet possible le M.N.R. appelle en conséquence a émettre un vote qui pénalise M. MACRON et son projet clairement mondialiste -
Ce sera eux ou nous !
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Puisqu'on vous le dit !
C'est pourtant une évidence...sauf, évidemment, pour les tenants de la pensée dominante
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CONNEXION 29 avril 2019
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Cervelle de moineau !
Nathalie Loiseau serait amnésique. C'est plutôt inquiétant pour son avenir...
Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
Mais non Nathalie, il n'y a aucune honte à avoir été candidate de l'Union des étudiants de droite lorsque tu sévissais à Science-Po*. En revanche, ce qui est honteux c'est de vouloir faire croire que tu ignorais la nature de ton engagement d'alors.
Pourtant, "Union des étudiants des droites", c'était difficile d'être plus clair... De l'UNI au GUD, en passant par quelques militants de l'œuvre française, tout ce que la vénérable école comptait d'anti-communistes et de nationalistes se retrouvait dans ce syndicat. Alors, toi qui était en quatrième année, tu ne savais donc pas de ce dont il s'agissait ? Laisse-nous rire aux éclats.
Il est vrai qu'à cette époque, pour contrer l'omniprésence des gauchistes de toutes obédiences dans l'Université, les nationalistes n'hésitèrent pas, parfois, à ruser. Il y eu ainsi une Fédération des étudiants de Picardie, une Union des étudiants d'Alsace, un Renouveau étudiant à Bordeaux... des appellations imaginatives qui pouvaient, admettons-le, amener l'étudiant moyen à s'interroger sur le positionnement politique de ces syndicats locaux. Mais, avec l'"Union des étudiants des droites"... il ne pouvait pas y avoir de tromperie sur la marchandise.
Ton attitude face aux "révélations" de Mediapart est vraiment déplorable. De deux choses l'une, soit tu es idiote et inculte, ce que nous n'osons pas imaginer ; soit le milieu que tu fréquentes maintenant, LREM en l'occurrence, est tellement sectaire et fanatique que tu ne trouves rien de mieux que d'invoquer ta crédulité de jeune fille effarouchée pour te défendre. Ce n'est pas très courageux...
Et le plus grave, c'est que maintenant tu voudrais t'imposer comme le rempart face à "l'extrême droite". Décidément, tu n'arrêtes pas de nous faire rigoler, Nathalie. Une chose est sûre, c'est que si tu as fréquenté les nationalistes dans ta jeunesse, tu n'as rien retenu de l'éthique qui anime leur idéal. Le reniement est l'apanage des poltrons démocrates, pas celui des "fachos".
Depuis le début de la Ve République, nombre d'élus, voire de ministres, firent leurs premières classes dans la mouvance nationaliste. Face à l'adversité, reconnaissons-le, peu renièrent leurs engagements d'antan (après tout, on a le droit de changer d'idées) et, parmi eux, certains firent même de brillantes carrières. Néanmoins, quelques uns se crurent obligés, lorsqu'ils se virent débusqués par les petits flics de la pensée dominante, de cracher sur leur passé. Ces méprisables personnages sont vite tombés dans les oubliettes de l'Histoire... et c'est sans doute mieux ainsi.
Nathalie, avec ta liste LREM, tu as la prétention de défendre les intérêts de la France dans l'Union européennes. Permet-nous de te dire que, vue ton attitude aujourd'hui, on a de bonnes raisons d'être inquiets pour demain... Mais, rassure-toi, que tu ai été membre de l'UED ou non, cela n'a pas vraiment d'importance car nous n'avions aucunement l'intention de voter pour toi...
* Si je te tutoie dans cet article, c'est parce que dans la mouvance nationaliste, hier comme aujourd'hui, tout le monde se tutoie. Ainsi, tu vois bien que nous ne sommes pas rancuniers.
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BP du samedi 13 avril 2019
Réuni à Boulogne Billancourt le samedi 13 avril, le Bureau politique du Parti de la France a consacré l’essentiel de ses travaux à la situation politique dramatique que traverse la France et à la stratégie que le PDF doit mettre en œuvre, tant sur le plan organisationnel et militant que dans le domaine électoral, pour y apporter les réponses que le Pays attend.
Une large partie de cette réunion centrée à la fois sur la réflexion globale et sur les moyens opérationnels et tactiques à mettre en œuvre, a été réservée à la campagne pour les élections européennes du 26 mai prochain, campagne à laquelle, faute de disposer des moyens financiers suffisants, le PDF a renoncé à participer.
Notre Président, Carl Lang, qui a tracé devant le Bureau un historique complet des nombreux contacts et entretiens politiques qu'il a pu avoir dans le cadre de la préparation de ces élections, précisera la position du Parti quant au scrutin du 26 mai, et les choix politiques retenus, lors du discours qu'il prononcera le samedi 11 mai à Paris, à l'occasion du grand banquet/évènement au cours duquel nous fêterons les dix ans d'existence du PDF.
La perspective des élections municipales de l’année prochaine à également fait l’objet d'une étude attentive des membres de la direction du Parti.
Ces élections qui se dérouleront en mars 2020 revêtiront, en effet, une importance toute particulière à mi-chemin de la Présidentielle de 2017 et de celle de 2022.
Le PDF y travaille déjà dans une optique locale d'entente municipale des droites nationales et de convictions.