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SLABO - Page 2

  • Rétablissement de la peine de mort, c'est l'AFP qui le dit et commente.

    AFP, publié le lundi 14 septembre 2020 à 19h06

    Les Français sont majoritairement favorables au rétablissement de la peine de mort et réclament "un vrai chef pour remettre de l'ordre", selon une étude Ipsos/Sopra Steria publiée lundi.

    Quelque 55% des Français (+11 points sur 2019), un record, affirment ainsi qu'il "faudrait rétablir la peine de mort en France", selon cette étude réalisée pour la 8e année consécutive pour le quotidien Le Monde, la Fondation Jean Jaurès, et l'Institut Montaigne.

    Mais le sujet reste "très clivant politiquement", selon l'étude, puisque seuls les sympathisants RN (85%) et LR (71%, +23 points) adhèrent majoritairement à cette affirmation, approuvée par une minorité (39%) dans les autres partis.

    On notera une très forte progression (+31 points sur un an) des partisans de la peine de mort chez LFI+PCF.

    Les ouvriers (68%), les employés (60%) et les retraité (55%) approuvent majoritairement cette affirmation, contre 41% des cadres et 40% des professions intermédiaires.

    Environ 82% des Français estiment par ailleurs qu'on a besoin d'un vrai chef en France pour remettre de l'ordre, soit 3 points de plus que l'an dernier.

    Les Français étaient toutefois plus nombreux les années précédentes à exprimer ce souhait, à l'exception de 2019 (79%).

    Cette affirmation est plébiscitée par les sympathisants des Républicains et du Rassemblement national (97% chacun, +9 points chez LR) mais aussi par ceux de La France Insoumise et du Parti communiste (80%, +33 points).

    Quelque 71% des sympathisants EELV (+ 6 points), 69% de ceux du Parti socialiste et 67% de ceux d'En Marche soutiennent également cette demande.

    Les ouvriers (88%), les retraités (86%) et les employés (85%) adhèrent davantage à cette affirmation que les professions intermédiaires (79%) et les cadres (67%). 

    Les Français sont en outre 88% (+5 points sur 2019), un record, à considérer que "l'autorité est une valeur qui est trop souvent critiquée aujourd'hui".

    Cette affirmation est plébiscitée par les sympathisants LR (96%), LREM (95%) et RN (90%) mais aussi par ceux du PS (81%), des Verts (79%) et de LFI+PCF (75%, + 27 points).

    Toutes les catégories, retraités en tête (91%), adhèrent à cette affirmation.

    Sondage réalisé du 1er au 3 septembre auprès de 1.030 personnes âgées de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.

     
  • Auront'ils compris ?

    Municipales à Condé : Joël Bois à la tête d’un front du refus qui ne dit pas son nom

    Moktar Aïche, Roland Bouvart et David Richer sont derrière Joël Bois (chemise et baskets blanches), arrivé quinze points derrière le maire sortant, Grégory Lelong, au premier tour.
    Moktar Aïche, Roland Bouvart et David Richer sont derrière Joël Bois (chemise et baskets blanches), arrivé quinze points derrière le maire sortant, Grégory Lelong, au premier tour.

    Devinette : quel est le point commun entre Joël Bois, Roland Bouvart, David Richer et Moktar Aïche, adversaires d’hier aujourd’hui alliés ? Réponse : ils ont tous une dent contre le maire arrivé en tête au premier tour (38,85 %), à qui ils reprochent pêle-mêle de ne pas avoir respecté ses promesses de campagne de 2014, de s’être coupé de la population, du personnel communal et des élus de l’opposition, bref de se comporter en « autocrate ». Ça fait beaucoup !

    Ces quatre-là, qui se défendent pourtant d’avoir constitué « un front anti-Lelong », ont fini par se rapprocher fin mai. Et voilà comment Joël Bois (23,16 % le 15 mars) a obtenu le soutien des trois autres, éliminés de la course. Ça lui donne des accents proverbiaux : « Mieux vaut des gens qui veulent construire ensemble que ne rien faire tout seul. »

    Le citoyen au centre de tout

    Le fils de l’ancien maire a donc écouté ce que les ex-candidats avaient à lui dire et intégré certaines de leurs idées à son programme, qui place le citoyen au centre de tout. « J’avais annoncé que je travaillerai avec tout le monde, je prends juste un peu d’avance », glisse-t-il, espiègle.

    Le délai était trop court pour envisager de fusionner les listes. À travers ce rapprochement, Joël Bois voit « les prémices d’un fonctionnement possible. On s’écoute et on s’entend. C’est peut-être utopique mais moi, j’y crois. Quel que soit le résultat dimanche, je suis fier qu’on ait pu mener cette démarche. »

    Joël BOIS s'est engagé à ne pas briguer un autre mandat que celui de maire de Condé-sur-l'Escaut, à la différence de Grégory LELONG, maire, vice-président d'agglo, conseiller régional. Ce dernier est membre de la coterie macroniste de Valenciennes.

    Je n'ai pas la mémoire courte, je me souviens qu'en 2014, Grégory LELONG s'est retranché derrière le diktat de la sénatrice UDI pour refuser le moindre contact. D'autres, à l'époque, m'avaient reçu et écouté.

    L'histoire repasse toujours les plats.

    C'est sans remord que je soutien Joël BOIS le 28 juin prochain.

     

     
     
  • Quand la pandémie brouille toutes les cartes

    Comme tous les français, je me sens libre depuis ce 11 mai, j'ai respecté le confinement.

    Cependant, avec la méconnaissance générale actuelle de ce qu'est la pandémie qui nous frappe, je ne suis pas rassuré pour les mois à venir.

    Dans l'attente d'un vaccin efficace, courant 2021, peut-être, une nouvelle vague pourrait nous forcer à un nouveau confinement, certainement plus brutal que les 8 semaines que nous avons subies.

    Par ailleurs, je suis sidéré des propos de certains de vos collègues concernant l'éventuel second tour des municipales.

    En effet, il faut savoir que les toutes les listes présentes le 15 mars, dans les communes de plus de 9000 habitants, doivent obligatoirement déposer leurs comptes de campagne certifiés par un expert-comptable, pour le vendredi 10 juillet au plus tard auprès de la CNCCFP.

    Comment les lois régissant les comptes de campagne pourront elles être respectées, techniquement, financièrement et comptablement ?

    La loi électorale prévoie le dépôt des comptes, au plus tard dans les deux mois qui suivent l'acquisition définitive de l'élection.

    Ce qui impliquerait qu'en cas de deuxième tour le 21 juin prochain, les comptes seraient déposés pour le 21 août.

    Comment justifier que tous les comptes de campagne doivent être déposés avant le 10 juillet, ce qui laisserait au plus TROIS semaines après un éventuel deuxième tour.

    Tous les recours seraient de droit.

    Nos responsables gouvernementaux ont décidé, comme pour les masques entre autres choses, de se taire, ils ne nous mentent pas, ils n'ont pas de solution possible, sauf à appliquer les lois électorales en vigueur.

    Alors, si la pandémie nous le permet, rendez-vous, au mieux, les 27 septembre et 4 octobre prochains pour près de 5000 élections partielles.

    Dominique SLABOLEPSZY

  • Puisqu'on vous le dit !

    LE GRAIN DE SEL DE JEAN-CLAUDE ROLINAT.

    6 Avr 2020 | Société | 0 commentaires

    MACRON ? C’EST… « VIRUS  SANS  FRONTIERES ! »

    « Gouverner, c’est prévoir ». Toutefois, on ne peut pas accuser ce gouvernement de n’avoir pas su envisager cette vaste pandémie qui a surpris tout le monde. En revanche, dès que l’ampleur du phénomène s’est révélée, d’abord en Chine, – laquelle a menti sur le nombre de personnes touchées et sur les dates de départ de l’épidémie, notamment à Wuhan-,  et chez notre voisin italien, des mesures adéquates auraient dû être prises. Or, que nenni Monseigneur ! Au contraire, les autorités françaises ont traité au début ce coronavirus avec légèreté, une quasi insouciance. N’est-ce pas le président de la république lui-même qui, allant au théâtre avec madame, priait les gens d’avoir une vie normale, juste avant, quelques jours plus tard, d’inviter le peuple à  se calfeutrer ? Pourquoi avoir procédé par étapes, d’abord la fermeture des établissements scolaires, puis des lieux publics, tout en autorisant, scandaleusement, 3000 supporters italiens à  venir le 26 février, soutenir leur club, la Juventus, à Lyon l ? Et ensuite, de ne  décider seulement que fin mars, le confinement total ? Prenant la parole le 12 mars, le chef de l’État annonçait la fermeture des écoles, mais se refusait à fermer les frontières pour éviter « l’écueil », disait-il, du « repli nationaliste », alors qu’Allemands et Italiens bouclaient les leurs, refoulant sans scrupules nos ressortissants ! La veille, son ministre de l’éducation dite « nationale », Jean-Michel Blanquer, avait affirmé quant à lui, que « nous n’avons jamais envisagé de fermeture totale de toutes les écoles ». Qui était dans le vrai ?

    Incohérence totale

    Quelle incohérence, quelle absence de concertation. Il s’est trouvé une « sommité » de la Salpêtrière, dont les diplômes ont probablement l’épaisseur d’un bottin alors que les miens ont celle d’un ticket de métro, pour affirmer qu’il était inutile de fermer les dîtes frontières, car le Covid-19 les franchissait allègrement. Bien sûr qu’il les franchit, mais porté par un humain, ou véhiculé dans des camions ou des wagons qu’il aurait suffi de décontaminer. Par idéologie, par un sectaire aveuglement, par peur de devoir s’aligner sur les nationaux, nationalistes, identitaires et autres populistes, le monde macronien a laissé  les barrières ouvertes. Est-ce une attitude criminelle ? Ce sera à la commission d’enquête parlementaire qui ne manquera pas d’être mise sur pied, – n’en doutons pas !-, de lancer des investigations à l’issue de la crise et, éventuellement, de saisir la Cour de justice de la république. Les faits étant têtus, et devant l’ampleur du bilan chaque jour égrené par le docteur Salomon (1) , le gouvernement s’est enfin résigné : « halte, on ne passe plus ! ». Pourtant, souvenons-nous du début de la tragédie, quand des avions rapatrièrent de Chine des expatriés qui furent mis en quarantaine, les équipages militaires, eux, ayant des permissions de sortie. Or, nous savons que le Covid-19 qui a contaminé le département de l’Oise, première poche repérée en France avec le Haut-Rhin, est parti de la base aérienne de Creil, département de l’Oise !

    Menteurs ou incapables ?

    Ces dirigeants sont, soit des menteurs, soit des incapables ou, pire, « les deux mon général » ! Le 24 janvier, premier jour de l’apparition… « officielle » du virus en France, c’est Édouard Philippe, premier ministre, qui déclarait « Les risques de propagation du virus dans la population sont très faibles ». À l’heure où j’écris ces lignes, nous déplorons presque 9000 de morts, des médecins sont « crucifiés » devant les choix qu’ils doivent faire, face au manque de lits et de respirateurs. Pour les plus de 70 ans qui seraient atteints, c’est le risque d’être dirigé, tout de suite, vers « la grande faucheuse » qui n’épargne personne, pas même les personnalités : voir le rapide décès de Patrick Devedjian. ( Ou  l’hospitalisation du Premier ministre britannique Boris Johnson, à qui nous souhaitons de s’en sortir !) .Au début de la crise, selon nos excellences, les masques n’étaient pas un impératif nécessaire, aujourd’hui elles se battent à l’international pour en importer des millions et des millions ! Ayons l’honnêteté, tout de même, d’encourager ces efforts. Incohérence, valse-hésitation, c’est toute l’ambiguïté du « Macronisme » et de sa formule, le fameux « en même temps ». « Nous sommes en guerre », a dit le président. Mais quand on est « en guerre », il faut donner des uniformes, des armes et des munitions aux troupiers. Or, nos personnels soignants,  déjà en nombre insuffisant, n’ont pas été équipés comme ils l’auraient dû. Faute d’avoir eu la possibilité d’effectuer des tests et d’avoir suffisamment de masques, comme Taiwan, le Japon ou la Corée du Sud, nos dirigeants n’avaient pas d’autre solution, il est vrai, que d’imposer le confinement, avec quelques aménagements pour permettre à la population de s’alimenter. (Les habitants des banlieues « ethniques » n’ont pas, ou peu, respecté les consignes.) Afin d’éviter des  « incidents », Nunez, le secrétaire d’état à l’intérieur, a donné consigne à ses troupes de ne pas contrôler, encore moins de verbaliser ces gens-là !

    Chapeau à tous « les obscurs et les sans grade »

    Au passage, chapeau aux petites mains des grandes surfaces, derrière leurs caisses, et aux gros bras derrière leurs volants,  qui ravitaillent le pays. Comme les éboueurs, qui continuent leur travail ingrat, tous, malgré les risques qu’ils encourent, comme infirmier(e)s et médecins, d’ailleurs. Le plus triste, le plus émouvant dans cette épreuve que traverse l’Europe et particulièrement notre pays, c’est que les familles des personnes qui décèdent ne peuvent pas revoir, une dernière fois, leurs parents, ni assister à leurs funérailles. C’est l’horreur, comme l’est  sous nos yeux ce véritable mini « holocauste » dans les EHPAD, ces « casernes à vieux », transformées par la contamination en véritables mouroirs. Tout cela se déroule sur fond de polémique entre « mandarins », les uns prônant telle ou telle solution, d’autres écartant d’emblée les idées du professeur Raoult, atypique spécialiste marseillais des infections virales.

    Les différentes versions de Dame Buzyn

    Scandale dans le scandale, l’attitude de madame Buzyn, ci-devant ministre de la santé, abandonnant son poste en pleine bataille, pour se consacrer aux élections municipales parisiennes, après la défection forcée de son camarade Benjamin Griveaux. (Sur ordre du président ? Et pourquoi avoir maintenu ce premier tour où ont été infectés, probablement, électeurs et assesseurs, malgré les précautions prises ?). Dans une interview publiée dans Le Monde daté du 17 mars, elle affirmait avoir prévenu le gouvernement sur l’importance et la gravité de ce virus, alors que le 24 janvier, sensiblement à la même époque, juste avant l’apparition de la pandémie en France, elle disait que « les risques de propagation du virus sont faibles ». Que croire, qui  croire ? On lui aurait su gré d’avoir démissionné pour avoir sonné le tocsin sans succès, et non pour concourir dans la course municipale parisienne où, d’ailleurs, elle a pris « une veste ». La suite de ses déclarations était assez lamentable,  gémissant sur son sort :-« je me demande ce que je vais faire de ma vie », s’interrogeait-elle, alors que les victimes du Covid-19 tombaient, tombent, comme des mouches. Quelle ne se fasse pas trop de souci, son époux Yves Levy, ancien PDG de l’INSERM, Institut national de la santé et de la recherche médicale, vient d’être nommé au Conseil d’état ! Comme jadis d’autres hiérarques socialistes, serait-elle, seront-ils, « responsables, mais pas coupables », alors qu’ils nous apparaissent totalement irresponsables dans la gestion de la crise, tout au moins à ses débuts ? Simples citoyens, mais électeurs, – qu’ils s’en rappellent !-, Il ne nous appartient pas de sanctionner, mais d’évaluer, de juger. Et nous avons assisté à un festival d’atermoiements, de va – et- vient préjudiciables à la santé du pays. Certes, nous ne pouvons pas méconnaître l’énorme pression psychologique qui pèse sur les épaules des « sachants », lesquels conseillent les « chefs », avant que ces derniers n’arrêtent leurs décisions. Mais, une fois l’épreuve passée et  les plaies douloureusement refermées, le pays demandera des explications, ce sera l’heure des comptes. Après tout, les membres de l’exécutif, au premier rang desquels trône le président de la république, ont cherché par le suffrage universel à occuper les postes de haute responsabilité où une faible majorité les a installés. Mais, « à toute chose, malheur est bon », nous enseigne un dicton : le nombre des accidents de la route a diminué ! Mais, surtout,  aux yeux de tous, l’Eurocratie bruxelloise s’est révélée totalement inutile, elle qui a  passé son temps à chercher des « poux dans la tête » du Hongrois Victor Orban, et à négocier l’entrée dans l’U.E, tenez-vous bien, de la Macédoine du Nord et de l’Albanie, venues avec leur sébile !« Eh, Manu, que dirais-tu d’un petit  « Nuremberg » post-Coronavirus » ?

    Jean-Claude ROLINAT

    1. Directeur-général de la santé publique, il fut membre, en compagnie de Benjamin Griveaux, du cabinet de Marysol Touraine, ministre de la santé sous le quinquennat de François Hollande. C’est  pendant cette mandature, que les masques commandés par la précédente ministre Roselyne Bachelot pour lutter contre le H1N1, « s’évaporèrent »….
  • Ne pas avoir la mémoire courte !

    APRÈS…

    1 Avr 2020 | Editorial | 0 commentaires

    Par Jean-François TOUZE, Délégué général.

    Voici revenu le temps sombre où sonne le glas sur la terre de France et le tocsin dans les villes européennes. Dies irae.

    Ce temps passera. Rien ne dit pourtant qu’il sera suivi de celui des Te Deum.

    Beaucoup pensent que, lorsque viendra le moment de l’après, rien ne sera plus comme avant et que du mal que nous subissons naîtra automatiquement le bien que nous espérons.

    Que l’impuissance, l’imprévision, l’incompétence, l’enfermement idéologique de nos gouvernants qui ont aggravé les conséquences d’une crise sanitaire dont chacun savait pourtant qu’elle surviendrait un jour, étant apparus en pleine lumière, nos peuples enfin décillés reprendront en mains leurs destins.

    Que l’effondrement tragique de l’Etat conduira ipso-facto à une remise en cause du régime en même temps que tomberont les sanctions sur les coupables.

    Que l’évidence de l’inexistence criminelle de l’Union européenne mènera à son implosion et sa disparition en tant que structure directrice de la soumission des peuples à la pensée et aux pratiques libéralo-planétaristes.

    Que la France, tournant le dos aux délocalisations et à sa désindustrialisation, en particulier dans le domaine pharmaceutique, renouera avec une politique de production nationale vitaliste.

    Que la crise économique qui succédera à la crise sanitaire sera l’occasion de réaffirmer les impératifs de l’action sociale gage de la cohésion nationale.

    Que la faiblesse apparue de nos Armées donnera lieu à un sursaut moral et budgétaire.

    Que la France et l’Europe douloureuses qui sortiront du drame épidémique sauront prendre toute la mesure de la menace migratoire pour en stopper les effets et en inverser les courants.

    Que notre vieille civilisation, enfin, aura trouvé en ces jours de malheur et de colère le ferment de sa reconstruction spirituelle et les éléments organiques de sa reconstruction.

    On peut toujours espérer. Je crains que la déception ne soit pourtant, une fois de plus, au rendez-vous du rêve et de la naïveté.

    Lorsque viendra le moment du déconfinement, Français, Italiens, Espagnols, Allemands, ivres de leurs libérations d’apparence, se vautreront à nouveau dans la fange consumériste, prépareront leurs vacances et pataugeront dans la résilience comme ils le font après chaque attaque islamiste à grands renforts de peluches et de bougies. Des initiatives seront, certes prises pour que soient mises en place des commissions parlementaires/alibi dont le rôle réel sera l’étouffement de toute mise en cause des responsabilités d’Etat. L’Union européenne, le G20, le FMI sauront, par des gestes sans portée, faire croire à leur utilité d’après crise pour mieux contrôler les Nations, à l’exemple de ce que fut le plan Marshall d’après guerre. La spéculation financière reprendra et le libre-échangisme retrouvera ses droits. As usual. La Chine, servie par son dirigisme et son économie d’Etat, reprendra son essor et sera alors, par un paradoxe qui n’est que de surface, la grande gagnante de l’affaire.

    En France, enfin, le pouvoir macroniste, le Système et le régime, sortiront renforcés d’une crise au cours de laquelle ils n’auront lésiné sur aucun des moyens de contrôle de la population, de désinformation, de mensonge, et de manipulation anxiogène, expérimentant ainsi les méthodes stalino-chinoises dont l’emploi massif et systématique pourrait demain leur être utile

    Il n’y aura pas d’effet mécanique post-corona.

    Il doit, en revanche, y avoir un effet national et populaire. Ce qui n’adviendra jamais par simples coups de baguettes magiques peut être obtenu par l’action politique.

    Demain, chaque Français responsable et conscient sera confronté à deux choix : celui de la continuité ou celui de la rupture. Celui de la passivité et celui de l’engagement.

    Une chose est sûre: la révolution nationale, seule rempart contre les crises à venir, ne sera pas un dîner de gala.

  • Ne rien regretter, jamais !

    Cher(es) Ami(es),

    Il y a deux semaines, vers 19 heures 30, nous prenions de plein fouet le résultat du 1er tour des élections municipales.

    La déception nous a laissé pantois. Cependant, nous ne devons rien regretter, nous n’avions rien promis. Pour ma part, après avoir analysé les résultats avec ROLAND, j’ai la certitude que vous avez, que nous avons fait le bon choix en présentant nos candidatures aux habitants de Condé. Notre liste bénéficiait de personnalités avec les capacités nécessaires pour construire un avenir meilleur.

    Notre campagne axée sur la personnalité de ROLAND n’est pas la cause de notre échec, ces causes sont ailleurs, et elles sont nombreuses.

    S’il fallait le refaire, je suis certain que nous le referions, et sait-on ce que nous réserve l’avenir.

    Pour la plupart d’entre nous, les rencontres amicales ont été gratifiantes, une bande d’amis s’est trouvée, elle doit perdurer dans les mois et années qui viennent.

    Nous aurons l’occasion de nous retrouver.

    Cependant, nous devons penser à nos amis qui souffrent, ou bien ont été touchés dans leur entourage. Je pense à Jacqueline, à Guy, à sa maman et à toutes celles et tous ceux qui subissent le confinement dû à la pandémie mondiale.

    Prenez bien soin de vous, les évènements vont nous donner raison, j’y crois de toute mon âme de condéen.

    Très amicalement.

    Dominique SLABOLEPSZY

     

     

  • L'info continue

    L’ALGERIE, UNE GRENADE DEGOUPILLEE DANS NOTRE SALON !

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    Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat U ne fois de plus, une fois encore, nous allons parler de ce véritable « poison » qui nous menace, aussi dangereux sinon plus, à moyen et long terme, que le Coronavirus. Rien n’est calmé en Algérie, et la farce électorale qui a mené au pouvoir Abdel Majid Tebboune, un homme du sérail adoubé par l’armée, ne va pas calmer pour...

    Cette note a été publiée le jeudi, 19 mars 2020

    Pour lire la note entièrement, veuillez cliquer ici

  • Municipales, à Condé sur l'Escaut, c'est règlé

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    Après plus de six mois de concertation, une liste de large union a été constituée à Condé-sur-l'Escaut, commune de l'Arrondissement de Valenciennes, dans le NORD.

    Notre liste n'est soutenue par aucune formation politique, elle est le reflet d'une population condéenne qui souffre de l'insécurité, du chômage, de la précarité.

    Six listes seront en présence : celle du maire sortant soutenue par l'UDI, celle du fils de l'ancien maire soutenu par le PS, le PC et quelques écologistes, celle de certains marcheurs dont la tête de liste était adjoint au maire il y a moins d'un an, celle des Insoumis, celle qui ne se veut pas communautaire, mais quoi que, et notre liste, ostensiblement de Droite Nationale et Populaire.

    La commune étant pourvue de machines à voter, les électeurs ne recevront pas les listes des candidats. Ce mercredi 11 mars, les candidats de notre liste : Les Condéens d'Abord, Condé, c'est Vous, pour Vous, avec Nous, informeront les électrices et les électeurs, en distribuant un tract reprenant leur liste et un appel au vote.

    Le lundi 16 mars, quel que soit le résultat, la même liste sera redéposée à la sous-préfecture de Valenciennes.

    Les évènements nous auront peut-être favorisés, un seul tour est possible.

    On y croit ! 

  • La dure loi de la vie

    Malgré nos différences idéologiques, natifs du Pays de Condé, nous entretenions des relations plus que courtoises, il disait 'Dominique', je lui disais 'Fabien'. Au service de tous, il me l'avait prouvé à de nombreuses reprises. La dernière fois que je l'ai rencontré, il n'y a que quelques semaines, nous faisions notre randonnée au VIGNOBLE. Adieu l'ami, repose en paix.

    Le maire de Marly, Fabien Thiémé est décédé. Il avait 67 ans....
     
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    Le maire de Marly, Fabien Thiémé est décédé. Il avait 67 ans....
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  • Une page se tourne

    Le Parti de la France: vers un élan nouveau.
    Par Jean-François TOUZE
     
    Après 42 ans d'engagement militant qui l'ont conduit à exercer les plus hautes responsabilités à la direction du Front national d'abord, à la tête du Parti de la France ensuite, Carl Lang, ancien député européen, président du groupe FN au Conseil régional du Nord-Pas-de-Calais, a décidé, pour des raisons qui le regardent et au terme d'une longue réflexion, de se retirer de la présidence du PdF et de prendre du champ par rapport à la politique active, sans, pour autant, s'interdire de participer au débat d'idées au service de la Cause.
     
    L'amitié qui nous unit depuis 36 ans et l'estime que j'ai pour lui me font dire que j'espère vivement que ce retrait ne sera que momentané. 
     
    Je ne doute pas que l'expérience qui est la sienne, le talent que je lui connais, la rigueur dont il ne s'est jamais départi, la cohérence de son engagement et la constance de sa ligne politique — la ligne droite, nationale et populaire — seront, un jour ou l'autre, lorsque les circonstances seront réunies, à nouveau utiles au mouvement national et à la France.
     
    Le combat continue. Le Parti de la France tiendra son quatrième congrès le samedi 30 novembre à Paris. Un nouveau président sera élu que je soutiendrai et une nouvelle direction mise en place qui devra allier dans un même Conseil national et un même Bureau politique,  l'expérience des anciens et l'énergie de la jeunesse.
     
    Que personne ne doute de ma détermination, aux côtés du Président prochainement élu — ce sera mon camarade Thomas Joly — de servir,  dans la fidélité à la ligne politique de Carl Lang, qui, de tout temps fut aussi la mienne, les idéaux de la droite nationale.
     
    J'invite tous mes amis, tous ceux qui, à un moment où un autre d'un parcours politique déjà long, ont bien voulu me faire confiance à nous rejoindre ou à continuer de nous suivre, en toute hypothèse de se mobiliser, dans un esprit de fidélité, de camaraderie militante et de reconquête politique.
     
    JFT

  • L'avis du polonais assimilé

    samedi, 26 octobre 2019

    Déchéance de la nationalité : pour une application systématique.

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    L'avis de Jean-François Touzé

    Condamné à quatre ans de prison pour avoir voulu rejoindre les rangs de Daech en Syrie, le "franco-marocain" Fayçal Aïd Messoud vient de se voir retirer la nationalité française.

    Une décision rarissime puisque seulement seize déchéances de la nationalité ont été prononcées en vingt ans, dont treize pour terrorisme. 
     
    Une goutte d'eau dans l'océan de la dislocation française.
     
    Rappelons qu'en raison des conventions internationales qui interdisent de "fabriquer" des apatrides, seuls, en théorie, peuvent être déchus de la nationalité les bi nationaux.
     
    Des conventions que la droite nationale au pouvoir devra formellement dénoncer le jour venu pour retrouver sa liberté d'agir, de déchoir et d'expulser.
     
    Ce qui sera d'autant plus aisé que si la "Déclaration universelle des droits de l'homme" de 1948 indique bien que "tout individu a droit à une nationalité", il ne s'agit que d'un texte à portée philosophique et non contraignant, et que si la France a signé la convention onusienne de 1961 relative à la réduction des cas d'apatridie et celle du Conseil de l'Europe de 1997, elle ne les a pas ratifiées.
     
    Nous aurons ainsi toute liberté de prendre les décisions qui s'imposent. Pas seulement dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, mais dans celui, global, de la reconstruction identitaire de notre Pays.
  • Puisqu'on vous le dit !

    mercredi, 09 octobre 2019

    Débat sur l'immigration.

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    L'avis de Jean-François TOUZE
     
    Hémicycle aux trois quarts vide, annonces de circonstance, échanges stériles, discours fossilisés... Le débat sur l'immigration — sans vote, bien sûr, mais y en aurait il eu un que celà n'aurait évidemment rien changé — qui s'est tenu lundi soir à l'Assemblée nationale n'était que le reflet des effets de tribunes de Macron sur le sujet: vide de tout sens.
     
    Champion de la triangulation, le Président de cette République de tous les mensonges, de toutes les supercheries et de toutes les manipulations, tente, en s'emparant du thème de l'immigration, de séduire une partie de la droite à quelques mois des Municipales et d'apparaitre aux yeux des Français comme le chef modéré mais réaliste et libéré des tabous de la pensée unique de ce parti de l'ordre juste, républicain et démocrate qu'il veut incarner. Posture qui, face aux critiques venues de sa gauche à l'intérieur même de son camp, lui a valu le soutien appuyé d'un autre imposteur chronique — Jean-Pierre Chevènement (" nous ne devons pas être dans le déni"), dont on chercherait vainement la trace du commencement d'un début de volonté de mener une lutte déterminée contre la déferlante migratoire, lorsqu'il était ministre de l'Intérieur.
     
    Au bal des faux culs, ils sont toujours, il est vrai, plusieurs à se bousculer pour ouvrir la danse.
     
    Macron, lui, joue ainsi les Janus biface, tentant de dissimuler l'immigrationnisme absolu qui transpire par tous les pores de sa peau, et affirme son credo de chauve-souris politicienne: "Je suis oiseau, voyez mes ailes protectrices, je suis souris, vive les rats de l'ouverture planétariste".
     
    Et pendant ce temps, par la mer, par les chemins de terre et par les airs... ILS ARRIVENT !
  • Lucidité de Jean-Claude ROLINAT

     

    Ainsi, la famille Chirac aurait exprimé le souhait que Marine Le Pen, présidente du Rassemblement national, soit tenue au large des cérémonies funèbres accompagnant le départ de l’ancien président  pour, ce qu’il est convenu d’appeler, « un monde meilleur ». Loin de nous le propos de nous lamenter sur le sort, ainsi réservé, au chef du RN, mais nous trouvons  cette décision particulièrement injuste, pour tout dire sectaire. Tous les leaders politiques de tous bords seront présents, à l’exception aussi de la France insoumise, conviés à se recueillir sur la dépouille de l’ancien chef de l’État. Pourquoi pas elle, qui représente tout de même, qu’elle soit appréciée ou détestée, louangée ou boycottée, plusieurs millions d’électeurs ? Il y aurait donc, aux yeux de la famille Chirac,des  « bons » et des « mauvais » Français ? Quand on parle de la « famille », se résume-t-elle à la seule Claude, la fille de son père, qui fut souvent, « le mauvais » génie de son papa ? On voit mal madame Bernadette Chirac, assez conservatrice, très pieuse, lancer une telle « fatwa » !

     

    Une girouette politique

    Les médias, à l’occasion du décès de l’ancien président, en fond des tonnes, sans nuance aucune. On tresse des louanges au défunt président sans aucune retenue, sans aucune mesure. Qui était, en réalité, le « Grand Jacques » ? Un aventurier de la politique, un bon vivant proche du petit peuple, un homme de gauche ayant fait carrière à droite ? Un homme très  cultivé, malgré les apparences ? Un peu tout cela à la fois, mon général ! Dans sa jeunesse, le petit corrézien était sympathisant communiste, ayant signé « l’Appel de Stockholm » contre le nucléaire, - le nucléaire occidental seulement, bien sûr-, et vendait, occasionnellement, l’Humanité à la criée. Ce qui ne l’empêcha pas de faire un voyage aux États-Unis dont il resta marqué à vie. « Algérie française » pendant son service militaire, (une bonne « maladie » selon nous), il fut un défenseur de l’immigration en cosignant  en 1976 avec Giscard d’Estaing, le funeste décret ouvrant droit au regroupement familial pour les étrangers, tout en les fustigeant quelques années plus tard, avec sa célèbre phrase sur les « bruits et les odeurs ». Du très eurosceptique  « appel de Cochin », à « l’europhilie  maëstrichtienne » et au référendum constitutionnel de 2005 , il fit le grand écart, devenant un partisan conformiste de l’Union européenne.

     

    Le bilan

    Comme tout homme public à la riche carrière politique, n’oublions pas qu’il fut tour à tour ou en même temps député, ministre, premier ministre, maire, conseiller général et, excusez du peu, président de la République pendant 12 ans, - plus que Charles De Gaulle lui-même !-, il a droit au bilan de son action. À savoir,  deux colonnes, débit/crédit. Au débit, cet article ne suffirait pas à recenser toutes les erreurs, tous les mauvais coups portés à l’unité de la nation, tout l’immobilisme d’un seconds mandat n’en finissant pas de…finir, les accusations mensongères contre « l’extrême-droite », le refus de dialoguer avec son représentant qualifié pour le second tour de la présidentielle de 2002, etc…Sans oublier ses démêlés avec la justice, mais là nous ne l’accablerons pas, la chose étant tellement courante avec le personnel politique français ! Au crédit de son action, nous retiendrons, bien sûr, le courageux refus d’engager la France en Irak, à la remorque des USA, sans oublier les deux radicales décisions prises pour stopper les tirs contre nos soldats en Bosnie et en Côte d’Ivoire. Il ordonna, en effet, deux raids destructeurs menés contre les ennemis de nos armées à Sarajevo et à Bouaké. Sans oublier la bonhomie générale du personnage, son incroyable facilité à dialoguer avec quiconque, son style de bon vivant, son appétit sans limite de la bonne chère et de la bonne…. chair ! Homme d’État ? Peut-être, hédoniste et épicurien, sûrement. Mais la course aux jupons, dont il n’avait pas l’exclusivité dans le magma politicien, comme l’amour de la tête de veau et de la Corona, n’a jamais fait une bonne politique. Dommage que cet homme à l’énergie débordante, au charisme évident, n’ait pu s’entendre avec notre courant de pensée au sens large du terme, malgré quelques fragiles passerelles lancées ici ou là. Mais à l’heure de la séparation, de l’au revoir, à tout pêcheur miséricorde. Au moment où l’ancien maire de Paris s’éloigne pour l’au-delà des mers, comme dirait l’inimitable Jean Raspail, souhaitons-lui tout de même, en chrétien imparfait, bon vent !  

                                                         

    Jean-Claude ROLINAT

  • MUNICIPALES MARS 2020

    Retour aux sources.

    CONDE c'est VOUS, pour VOUS, avec NOUS.

    Comme chacun pourra le constater, une entente la plus large possible de citoyens est en cours de constitution.

    Cette union se fait à la base, elle a comme objectif principal de redonner aux habitants le pouvoir que d'aucuns confisquent de l'extérieur.

    Pour sortir CONDE du ghetto, rejoignez les condéens que Roland et moi-même sommes.

     

    ArbreFernand LESPECE.pdf

    Fernand LESPECE est mon grand-père maternel, plus de 4 siècles d'histoire condéenne.

  • Vous avez dit URGENCES !

    Le vrai problème des Urgences a un nom : IMMIGRATION !



    Éteindre les incendies tout en laissant se développer les départs de feu sans jamais s'opposer aux pyromanes, telle est, on le sait, la doctrine nouvelle d'un Emmanuel Macron en pleine chiraquisation, doctrine à laquelle tous les acteurs de l'Exécutif sont désormais priés de se soumettre.

     

    Agnès Buzyn, ministre de la santé n'échappera pas à cette règle. En annonçant un plan global en faveur des hôpitaux et plus particulièrement des Urgences en crise depuis des mois, la ministre tente donc de verser du sable sur les braises pour essayer de les réduire. Avec six cent millions injectés dans le système hospitalier destinés à restructurer les services, améliorer les traitements du personnel médical, mettre fin aux fermetures de lits et peut être même en rouvrir, la ministre espère apaiser la colère et gagner quelques précieuses années de calme jusqu'à la réélection en 2022 de l'actuel locataire de l’Élysée.

    Une fois de plus, la République des illusions, des artifices et du grand camouflage est à l'œuvre.

    Le vrai problème des Urgences n'est pas seulement financier même si la santé publique est un devoir d’État qui impose aux gouvernants de consentir les efforts budgétaires nécessaires.

    Le vrai problème des Urgences n'est pas l'incivisme supposé de nos compatriotes qui les pousserait à consulter en service hospitalier pour tout bobo subalterne.

    Le vrai problème des Urgences a un nom, une réalité et une exponentialité : IMMIGRATION !

    Seule une politique sans faiblesse d'arrêt total de l'immigration suivie d'un vaste plan de retour au pays rendra aux Français la qualité des soins auxquels ils ont droit dans la sécurité, et l'environnement paisible retrouvés de nos hôpitaux.

    Jean-François Touzé - Délégué national du Parti de la France aux Études et Argumentaire

     

  • CONNEXION 30 juin 2019

    Pas de vacances pour la POLITIQUE.

     

       
     

     
    ICIOININIEIXIIIOINI
    LA LETTRE ARGUMENTAIRE DU PDF
    directeur de publication : Jean-François Touzé
     

    30 juin 2019

     
       
     
    Traité du Mercosur :     
    un accord scélérat signé par l’UE
    avec le soutien de Macron.
     
     
    La réunion du G20 qui vient de se tenir a Osaka au Japon, sommet en trompe-l’œil qui aurait pu se solder par de simples décisions de principe telles que la confirmation à 19 (sans les États-Unis qui s'en sont retirés) de l'Accord de Paris sur le climat et par le redémarrage de négociations commerciales entre les USA et la Chine. Le tout émaillé - c'est la loi du genre – de fausses amabilités entre les Présidents américains et nord-coréens, et de vrais antagonismes de fond (les justes remontrances émises par Poutine sur les limites des démocraties libérales et la piteuse réponse de Macron considérant que ces « démocraties libérales avaient encore beaucoup à apporter ». Le Président français pensait sans doute à ce qu'elles apportent à la finance internationale et à la spéculation planétaire…).
    Mais l'essentiel était là où on ne l'attendait pas : dans la signature d'un traité de libre-échange transatlantique entre l'Europe et les quatre pays du Mercosur.
    Emmanuel Macron a cru bon de se féliciter de la conclusion de ces négociations dites du Mercosur entamées depuis plus de vingt ans entre l’Union européenne d’une part, le Brésil, l’Argentine, le Paraguay et l'Uruguay de l'autre, et par la signature d'un "accord politique" sur un vaste traité de libre-échange, touchant près de 770 millions de consommateurs.
    Cet accord constitue pourtant pour les éleveurs bovins français un coup de poignard dans le dos dont beaucoup risquent de ne pas se relever.
    Une fois de plus Bruxelles vient de s’engager dans un marché de dupes que les intérêts français seront les premiers à devoir subir.
    Les pays du Mercosur s'engagent certes à supprimer progressivement les taxes douanières sur leurs importations automobiles comme sur celles de pièces détachées, d'habillements et de produits pharmaceutiques. Autant de secteurs d'activité et de champ d'exportations dont le développement reste très hypothétique pour l'Europe du fait de la proximité de ces pays avec les États Unis et des accords privilégiés depuis longtemps conclus avec eux. L’ouverture du marché automobile qui ne se fera que petit à petit, est, au demeurant, avant tout un cadeau fait à l'Allemagne dont les grands constructeurs comme Mercedes ou BMW sont déjà sur les starting-blocks, et non à la France où Renault est empêtrée dans l’affaire Carlos Ghosn et PSA affaiblie par l’échec de son rapprochement avec Fiat Chrysler.
    En contrepartie, l'Union ouvre totalement son marché à l'importation de viande bovine provoquant la colère et déjà le désespoir de nos paysans.
    En cause, la taxation à un taux préférentiel de 7,5 % des quelque 99 000 tonnes de viande bovine que les quatre pays latino-américains devraient pouvoir exporter vers l’UE, fragilisant un peu plus les 85 000 éleveurs français de vaches allaitantes.
    Déjà très dépendants des subventions européennes, les éleveurs français avertissent qu’ils ne parviendront pas à concurrencer les "usines à viande" latino-américaines.
    D’autant que s'ajoutent à cette concurrence déloyale et faussée les différences de normes appliquées sur les deux continents : antibiotiques utilisés comme hormones de croissance d’un côté assorties de déforestation, contre toujours plus de normes environnementales, coûteuses et drastiques côté européen.
    Cet accord scélérat signe donc une double peine : peine de mort a terme pour de nombreux élevages français ; risque sanitaire pour nos consommateurs de viande.
    Emmanuel Macron a pris là une responsabilité majeure dont les Français devront se souvenir.
     
       

    @carllang2022

    La véritable protection de notre environnement contre les pollutions, menaces, agressions et nuisances de toutes sortes est le patriotisme. C'est préserver et protéger sa terre, la terre de ses pères. Rien à voir avec la bouillie idéologique pour bobos citadins des pseudo-écolos.  (20/06/2019)
     
     
     
    Islamisme dans les services publics :                
    le noyautage.
     
    Le rapport parlementaire que viennent de publier les députés Éric Diard (LR) et Éric Pouillat (LREM) sur la « radicalisation » dans les services publics en dit déjà beaucoup par ce qui n’y figure pas : le mot « islamisme » n'est en effet pas une seule fois évoqué dans les quelque trois cents pages de ce dossier établi au terme d’une enquête de huit mois. Cacher ce mot effrayant qu’aucun honnête parlementaire républicain ne saurait prononcer sans trembler semble avoir été la préoccupation constante des auteurs.
    Pour autant, si le mot n'y est pas, la chose est partout. Certains commentateurs ont voulu minimiser la réalité de ce que confirme ce rapport, y voyant des chiffres « rassurants ». La présence communautaire musulmane radicale, de nature fondamentaliste, essentiellement salafiste, au sein des services publics et même des services publics régaliens apparaît pourtant tout entière dans sa vérité redoutable.
    En réalité les auteurs jouent sur les mots : le terme « radicalisation » étant juridiquement défini et ne concernant que les personnes en voie de commettre des actes de violences ou considérant que la violence contre l'État ou les personnes ne partageant pas les mêmes convictions est légitime, les chiffres retenus peuvent paraître faibles, quand ceux de l’appartenance à des courants religieux musulmans extrêmes – et donc politiques – ne sont pas pris en compte. Ce qui permet au ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, de se féliciter : « la radicalisation dans les services publics est extrêmement circonscrite ». « Extrêmement »… le diable est aussi dans le détail sémantique.
    En prenant seulement en compte la définition stricte et administrativement contrainte du terme radicalisation, les auteurs dressent pourtant un constat déjà accablant de la situation : RATP, SNCF, sociétés de transports par bus ou par cars sont impactés au plus haut point (plus d'une centaine de postulants à la RATP ont été refusés en 2018 par le Service de sécurité interne pour radicalité mais des centaines d'autres moins visibles sont passés entre les mailles du filet). Les professions de santé, dans les services hospitaliers en particulier, sont de plus en plus touchées. Si les services de police nationale font l’objet de contrôles appuyés (on relève néanmoins une trentaine de cas d'islamisme radical au sein de la police et de la gendarmerie) il n'en va pas de même pour les polices municipales où le recrutement est de plus en plus marqué par le phénomène islamiste. De même pour les sociétés de sécurité et de gardiennage.
    Si l’Armée est relativement peu concernée par la radicalisation (0,5 % des effectifs de l’armée de terre et 0,3 % de ceux de la Marine sont tout de même concernés), elle l'est en revanche de plus en plus par le communautarisme.
     
    La situation est particulièrement inquiétante dans deux secteurs. Les aéroports et les prisons.
    C'est ainsi qu'une centaine de personnes détentrices d'un badge rouge donnant accès aux tarmacs et aux zones sécurisées sont aujourd’hui sous surveillance au sein d’Aéroport de Paris en raison de l’évolution de leur dangerosité potentielle dans le cadre, là encore, de la seule prise en compte de leur radicalisation juridiquement définie. Si l'on élargit à la pratique rigoriste de l’islam, ils sont plusieurs milliers qui, eux ne sont pas surveillés.
    Quant aux prisons dont personne n'ignore le terreau qu’elles constituent au niveau des prisonniers dans la diffusion et l’expansion de l’islamisme militant, le rapport fait état d'une extension, par capillarité, aux surveillants. Une évolution en hausse constante.
    Le rapport pointe également une montée en puissance des cas de radicalisation dans l’éducation nationale, particulièrement dans le domaine du soutien scolaire, et la propagation exponentielle du salafisme par le biais des écoles et instituts coraniques.
    Le rapport souligne, enfin, la forte imprégnation islamique dans le monde du sport, au niveau des fédérations comme des associations, phénomène qui touche essentiellement l'encadrement et l'entraînement, plus particulièrement dans le football et plus encore les sports de combat. Situation si inquiétante que le rapport parle d’infiltration.
    Face à ces menaces, l’exécutif demeure passif et se contente de gérer, au cas par cas, ce qui peut l’être, sans plan d’ensemble ni stratégie globale.
    Dans un État digne de ce nom, les suspects ne seraient pas surveillés. Ils seraient purement et simplement limogés et interdits de fonction.
    Mais il est vrai que dans un État digne de ce nom, aucun de ceux-là ne serait en liberté sur le sol national. Pas plus que d'autres ne seraient en position de faire de certains de nos quartiers des zones de sécessions régies par la charia ou de nos cités des camps retranchés commandés par des caïds et infestés par la racaille.
    Seul un État national sera en mesure de faire face.
     
     
     
     
    Le billet de Franck Timmermans
    Les grandes impostures (3) :
    Les « valeurs « de la « droite » chiraquienne. 
     
     
    Sitôt tombés les résultats des Européennes, les Médias lancèrent l’hallali, et la stratégie du duo Wauquiez – Bellamy fut vite taillée en pièces. Evidemment, et c’est à cela que se reconnaît la Droite française, ses propres caciques s’étaient rués sur la carcasse pour en découdre avec Sens Commun responsable présumé de l’horrible dérive réactionnaire. Au banquet on pouvait reconnaître le mufle écumant de Raffarin, suivi des incontournables Bachelot, Devedjian, Estrosi, tous pour la plupart déjà acquis à Macron. Mais la curée fut aussi couronnée par le revirement empressé des scélérats de la Droite forte, l’ancien fronto-mégrétiste Peltier et Geoffroy Didier. Enfin, le coup de grâce à l’aventure droitière des LR fut apporté par sa Majesté Sarkozy, qui avait pourtant oint l’initiative d’une tape dans le dos encourageante. Cet incroyable règlement de compte entre seconds couteaux d’une famille enfin agonisante illustre assez bien la veulerie de ces gens, même au sortir d’une élection sans grand enjeu pour le Pays. La peur, la haine, la trahison des idées, oui c’est à cela que se reconnaît la Droite française que l’on peut qualifier de « chiraquienne » pour ces 45 dernières années. En juin 1984, Chirac avait en effet prévenu : « J’exclus toute négociation avec M. Le Pen, tant son idéologie diffère de la nôtre ! ».
    De quelle idéologie s’agissait-il ??? Philippe Tesson répondait d’ailleurs à Chirac dans le Quotidien de Paris du 9 juin : « si Le Pen réalise de bons scores c’est parce qu’il voit venir vers lui de la gauche comme de la droite des électeurs frustrés dont le dépit confine à la rage (...) des votes d’humeur sans portée idéologique profonde et auxquels Le Pen est lui-même incapable de donner une portée idéologique profonde. ». Peut-être que Tesson venait de trouver la définition du Populisme…
     
    Par la suite, Chirac n’en resta pas là et déclara à plusieurs reprises que son Mouvement (le RPR) « et le FN n’avaient pas les mêmes valeurs ». Lesquelles ??? Il les précisa en avril 2002 pour justifier son refus de débattre au 2e tour de la présidentielle avec le Président du FN : « C’est le combat de toute ma vie, un combat au nom de la morale et d’une certaine idée de la France (...) Tous nous sommes réunis par le refus de l’extrémisme, du racisme, de l’antisémitisme et de la xénophobie »… Ah ! Enfin un semblant d’argument qui tente de différencier la Droite nationale de la Droite parlementaire aux affaires depuis 1958.
    Le combat de toute une vie pour Chirac sera passé par bien des virages et sinuosités fort éloignées d’une ligne de rectitude : vente de l’Huma à 18 ans, RPF par « hasard », ministre « bulldozer » de Pompidou, il trahit ensuite le parti gaulliste mené par Chaban pour soutenir Giscard en 1974 ; il rompt avec celui-ci ensuite et fonde le RPR ; il publie en 1978 le discours de Cochin aux accents résolument nationaux ; mais il trahit ensuite Giscard en 1981 et fait élire en sous-main Mitterrand ; et de celui-ci devient en 1986 le 1er Premier Ministre de la 1re cohabitation, ce qui ne manqua pas de créer une collusion au grand dam des militants RPR !
     
    Sur le plan législatif, Premier ministre de Giscard, il chapeauta la Loi Veil et instaura aussi la Loi du funeste regroupement familial des immigrés, Loi que Giscard considérera plus tard dans ses mémoires comme une grave erreur. Redevenu député en 1981, Chirac ne manqua pas de voter l’abolition de la peine de mort créant l’incompréhension dans son propre camp.
    Si Le Pen n’a jamais été un idéologue (heureusement), on peut affirmer que Chirac eût pour ligne de conduite un constant et sans scrupule opportunisme. Il fut aussi un menteur patenté car ses accusations d’extrémisme, de racisme et d’antisémitisme défient la raison. D’abord, si elles avaient été fondées, il aurait eu maintes fois avant 2002 l’occasion de le prouver et de prononcer la dissolution du FN, soit depuis Matignon (1974 et 1986), soit depuis l’Elysée (95). Ensuite, prétextant ses « valeurs » incompatibles, il nia avoir rencontré JMLP. Or, il l’a fait au moins deux fois, dont une attestée par une poignée de main estivale sur une photo de l’évènement, et l’autre attestée par Charles Pasqua dans ses mémoires, et confirmée par JMLP. Celle-ci eut lieu entre les deux tours de la présidentielle, afin de tenter de trouver un modus operandi pour faciliter le vote des électeurs du FN en faveur de Chirac. JMLP le fit et appela lors du rassemblement du 1er mai 1988 les Français à un choix assez clair, qui fit la une du Figaro chiraquien : « Non, non, non, Pas une voix pour Mitterrand ! ». Cette réunion est capitale car d’abord à aucun moment Chirac ne refusa les voix du FN, même aux motifs qu’il invoquera en 2002 ! Ensuite, cette réunion eut lieu fin avril 1988, soit seulement 7 mois après l’affaire du « Détail » de septembre 1987 !!! Sept petits mois. C’est dire si la diabolisation était et est toujours à géométrie variable, et qu’elle est sans rapport aucun avec de prétendues valeurs ! Enfin, celles de la morale républicaine furent bafouées par ce même Chirac quand il devint lui-même le 1er Président de la Ve République condamné pour des faits d’emplois fictifs, institutionnalisant de fait la corruption au plus haut sommet de l’État. Une honte !
     
    Entre 1980 et 2005, le RPR fut le parti qui eut le plus d’élus et de responsables condamnés pour des faits aggravés de corruption, certains qui avaient pourtant voté à l’unisson pour la clarification des financements politiques et électoraux en 1990-92 ! Et je n’aborde pas là les affaires de meurtres qui ont défrayé la chronique dans les années 70 (Boulin, de Broglie etc).
    Aujourd’hui, que deviennent les Chiraquiens en dehors de leur sport préféré de savonner la planche de leurs amis ? Nous avons Balladur et Léotard toujours fort gênés par l’affaire Karachi ; nous avons le chant du cygne pour le couple insatiable de Levallois Perret, les Balkany ; et pour Sarkozy, allaité politiquement aux mamelles de Chirac et Pasqua, il y a encore des épées de Damoclès : les affaires Bismuth, Bygmalion et Khadafi… Une paille !
    Mais l’ancien Président est digne de Chirac et il continue via ses mémoires à distribuer les bons et mauvais points comme si son avis et sa personne avaient encore la moindre importance !
     
    Quelles « valeurs » partager aujourd’hui avec une maffia qui a conclu jadis un véritable Yalta politique avec le PC dans nos villes, et fut souvent mêlée à la corruption ?
    Si Marion Maréchal souhaite raviver l’union des Droites, je lui conseillerai de trier le bon grain de l’ivraie car le bon grain est très rare ! Elle a raison de préparer l’avenir du Pays, là où sa tante n’essaye que de sauver le sien. Mais qu’elle ne brade jamais nos vraies valeurs pour cela, celles de la France éternelle, celles des vrais Français fiers de leurs racines. Cela passe par une rupture totale avec les émules du chiraquisme et du sarkozysme, dont le slogan pitoyable « Nous n’avons pas les mêmes valeurs !!! » doit être relégué aux seules rillettes !
     
           
     

    Réinfo, le magazine d'information

     

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      Le journal télévisé du PdF
    présentée par Sylvie Collet
      Pour suivre Carl Lang,
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      Pour suivre le Parti de la France sur FaceBook  
         
  • Quand Eva DARLAN dit ce qu'elle pense !

    "Marlène Schiappa va à l'ONU, et elle dit que la France est en tête de l'égalité et de la défense des femmes. Ce n'est pas vrai. C'est un mensonge ! Les femmes continuent de mourir au même rythme", a assuré l'actrice Eva Darlan sur Europe 1. De son côté, Marlène Schiappa a tenu à se défendre sur la même radio.

    "Ce qu'elle dit est faux. Ça pouvait être vrai début 2017. Nous sommes maintenant en 2019. Il y a un travail conjoint qui a été fait avec les associations", a indiqué la ministre, visiblement remontée par les critiques.

  • BOUDAREL, ça vous dit quelque chose !

    Emission télévisée TF1, « LE DROIT DE SAVOIR », Octobre 1992 sur « l’affaire BOUDAREL »

     

    Jean-Jacques BEUCLER et Wladislas SOBANSKY, rescapés du Camp 113, interpellent le tortionnaire Georges BOUDAREL

     

    Document exceptionnel de 50 minutes à conserver pour « La Mémoire » et à diffuser

     

    https://www.youtube.com/watch?v=9v5WQZMEOqU

  • CONNEXION 24 juin 2019

     

     

       
     

     
    ICIOININIEIXIIIOINI
    LA LETTRE ARGUMENTAIRE DU PDF
    directeur de publication : Jean-François Touzé
     

    24 juin 2019

     
       
     
    Mer d'Oman :    
    le pire n'est pas toujours sûr. Mais…
     
     
    Le bras de fer engagé depuis la dénonciation, il y a tout juste un an, par Donald Trump de l'accord sur le nucléaire iranien et les sanctions imposées par Washington contre Téhéran, sanctions auxquelles l'Europe fut sommée de se conformer, se poursuit, entraînant d'un côté comme de l'autre, provocations, menaces et démonstrations de force.
    Dans ces conditions, une attaque américaine est-elle inévitable et l'actuelle agitation en mer d'Oman conduit-elle inéluctablement à un conflit, celui-ci débouchant alors sur un nouveau choc pétrolier ?
    Le pire n'est pas toujours certain.
    D’abord parce que Donald Trump lui-même ne souhaite pas engager les États-Unis dans un conflit aux retombées incertaines. Les tensions actuelles reposent, en effet, pour beaucoup sur la volonté du Président américain de satisfaire son opinion publique au moment où il prépare sa réélection.
    Le régime de Téhéran, quant à lui, s'il ne cache pas ses ambitions régionales et si les rapports de force internes à la République islamique d’Iran poussent à l'affichage de la radicalité, sait qu'il ne peut se permettre une guerre qui serait, pour le pays comme pour ses dirigeants, ravageuse.
    Pour autant, des forces centrifuges sont à l’œuvre, de l'Arabie saoudite, ennemie jurée de l'Iran à l'État d'Israël (même si la plupart des généraux de Tsahal demeurent prudents) pour qui l'hypothèse d'un programme nucléaire iranien est inacceptable, en passant, en Iran même, par les Gardiens de la Révolution tentés par la fuite en avant. Ces forces conjuguées poussent au conflit, attisent les braises et créent les conditions d'une mécanique des forces, engrenage qui peut s’avérer incontrôlable.
    Mais c’est de l’intérieur du système américain que vient le vrai danger.
     
    En octobre 1961, à l’occasion de son discours de fin de mandat, le président américain Dwight D. Eisenhower mettait clairement en garde son pays sur l’influence grandissante d’un « complexe militaro-industriel ».  Ce terme nouveau à l’époque allait faire florès et montrer qu’il recouvrait bien une réalité menaçante parce qu'établie sur la seule recherche de la préservation d’intérêts puissants, déliés de ceux du peuple américain et agissant indépendamment de l’Administration US.
    De l'engagement total de Lyndon Johnson dans la guerre du Vietnam aux deux guerres d'Irak menés sous les présidences Bush, cette entité a su prendre les manettes chaque fois que l'occasion se présentait et que la nécessité l’exigeait.
    La politique américaine étant ce qu’elle est et son financement étant grandement tributaire des grands donateurs et donc des grands lobbies de l’armement, ces derniers disposent à Washington d'une influence considérable dont les néo-conservateurs – hier Dick Cheney, Paul Wolfowitz ou Donald Rumsfeld, aujourd’hui John Bolton, l’influent et omni présent Conseiller à la Sécurité nationale - se sont fait les sinistres interprètes.
    Les vieilles recettes étant toujours reprises, la présentation la semaine passée par les États Unis de photos censées prouver l’implication de l'Iran dans les sabotages de pétrolier en mer d’Oman n'est pas sans rappeler l'intervention devant l'ONU en février 2003 de Colin Powell, alors Secrétaire d'État, fournissant les « preuves » de l'existence d’armes de destruction massive détenues par l'Irak, prétexte à la seconde guerre du Golfe.
    Malgré sa prudence, Donald Trump qui vient d'entrer en campagne pour un second mandat, peut succomber à ces sirènes de la mort.
    Comme l’écrivait vendredi dernier dans une remarquable analyse de décryptage publiée par le site Atlantico, le géopoliticien Roland Lombardi, docteur en Histoire et spécialiste du Proche Orient : « Reste juste à savoir, dans ce contexte extrêmement tendu, comment et combien de temps, Trump arrivera à éviter l’irréparable tout en maintenant ses menaces ».
    Quant à l'Europe dont le rôle, si elle existait en tant que puissance, serait crucial en termes d’intermédiaire dans une perspective d'apaisement, son silence est assourdissant.
     
       

    @carllang2022

    La véritable protection de notre environnement contre les pollutions, menaces, agressions et nuisances de toutes sortes est le patriotisme. C'est préserver et protéger sa terre, la terre de ses pères. Rien à voir avec la bouillie idéologique pour bobos citadins des pseudo-écolos.  (20/06/2019)
     
     
     
    Assurance chômage :               
    une réforme anti comptable, antisociale et néfaste à l'emploi.
     
    Première réforme du prétendu acte II du quinquennat d'Emmanuel Macron, le projet de loi sur l'assurance chômage présenté mardi par le Premier ministre, Édouard Philippe et la ministre du Travail, Muriel Pénicaud, est parvenu en quelques jours à faire contre lui, pour des raisons certes différentes et parfois antagonistes, l'unanimité des organisations sociales, y compris les plus réformistes et réalistes d'entre elles comme la CFDT, et des milieux patronaux.
    Il est vrai que ce projet établi après l’échec des concertations au début de l'année cumule d'un même trait comptable les atteintes à l'équité sociale, les injustices catégorielles et les entraves à la bonne marche économique.
    • Atteintes à l’équité sociale. Le gouvernement a décidé de faire payer au plus démunis une partie des 3,5 milliards d'Euros qu'il s'est fixé pour objectif d’économiser. C'est ainsi que, en faisant passer de quatre a six mois la durée de travail nécessaire à l'assurance chômage, il privera d'indemnités 236 000 allocataires. Et si demain, venant aggraver encore ce chômage de masse auquel nous aurions grand tort de consentir à nous habituer, survient une nouvelle crise - financière comme en 2008 ou géopolitique suite, par exemple, aux tensions qui montent en mer d'Oman et à la possibilité d'un nouveau choc pétrolier - entraînant une récession, ce sont des centaines de milliers de nos compatriotes qui mordront la poussière, livrés à l’horreur de la vraie misère.
    • Injustices catégorielles. Les cadres depuis longtemps considérés comme les vaches à lait du système seront les grands perdants de la réforme. Eux qui cotisent pour 42 % de l'ensemble et ne perçoivent que pour 15 % des allocations verront leurs indemnités entamées par une dégressivité d'autant plus injuste qu'elle est censée inciter à la reprise d'emplois rapide alors que l'on sait que les cadres de moins de cinquante ans sont les plus actifs dans la recherche d'un nouveau poste et que, si les quinquagénaires sont voués au chômage de longue durée c'est contraints et forcés, les entreprises ne se tournant pas vers eux. Au total, 80 000 cadres verront ainsi leurs indemnités baisser de 30 % au bout de six mois, alors que personne n'ignore que l'embauche de cette catégorie de salariés nécessite un temps long de recherche, de négociation et de sélection.
    • Entraves à la bonne marche économique. En taxant par la mise en place d’un système de bonus/malus les emplois courts, le gouvernement entend lutter contre la précarité. Cette mesure punitive aura l’effet inverse : elle interdira l’accès à des embauches ponctuelles mais réelles et utiles sans pour autant permettre la création de postes nouveaux, les entreprises ne se référant qu’à l’état de leurs carnets de commandes et aux opportunités ouvertes par la demande de la clientèle.
    Longtemps, pour éviter le mécontentement populaire, les gouvernements successifs, de gauche comme supposés de droite, tous habités de l'aboulie abdicatoire mitterando-chiraquienne (« contre le chômage, on a tout essayé »), se sont enfermés dans un traitement social du chômage, d'autant plus paralysant et stérile que la situation n'allait qu'en s'aggravant. Aujourd’hui, l'exécutif inaugure la page du traitement comptable. Certes la situation relève de l'urgence et impose que soient prises des décisions (l’Unedic évalue à 1,9 milliard d’euros le déficit attendu en 2019. La dette de l’assurance-chômage, qui s’élevait à 35 milliards d’euros fin 2018, devrait atteindre 37,6 milliards en 2020). Une révision des méthodes est donc nécessaire et il va de soi que les fraudeurs et les profiteurs doivent être impitoyablement chassés et privés de toute indemnisation. Ce ne sera pas le cas, au demeurant, puisque le gouvernement, par prudence, se garde bien par exemple de s’attaquer à la rente de situation que constitue pour beaucoup le statut d’intermittent du spectacle ni de toucher aux abus du secteur du Bâtiment. Mais les profiteurs ne représentent que 15 % des 5, 6 millions de chômeurs inscrits à Pôle emploi. Les 85 % autres paieront pour les fautes d'une minorité.
    Car pour l'immense majorité des allocataires, le chômage est subi, y compris pour ceux qui sont touchés dans la durée. C'est donc bien un devoir national que de les assister dans une situation souvent dramatique qu'ils n'ont ni voulue ni choisie.
    Les économies doivent donc être faites ailleurs. Et d’abord en réservant le bénéfice du chômage aux seuls nationaux.
    Mais c'est en luttant contre les causes du chômage et non en traitant ses conséquences que la France réglera à la fois le drame social de la privation d'emploi et le problème budgétaire qui reste posé. Non ! Contre le chômage, on n'a pas tout essayé, puisque jamais ne fut empruntée la voie nationale.
    La voie nationale, c'est celle qui allie les libertés économiques et entrepreneuriales à la nécessité d'une vision stratégique de l'État. C'est celle qui permet de diminuer les charges des entreprises et de baisser la pression fiscale sur les ménages, afin de rétablir la compétitivité des premières et le pouvoir d'achat des secondes. C'est celle qui accepte les lois du marché et la libre concurrence internationale tout en recourant à la protection ciblée et intelligente de nos intérêts économiques et commerciaux pour contrer les effets pervers du libre-échangisme universel et mettre l’Europe en position de résister aux pressions américaines. C'est celle qui permet et organise la relance de nos capacités industrielles, technologiques et de recherches françaises et européennes.
    C'est cette voie nationale et elle seule qui permettra de résorber le chômage et de redonner à la France sa prospérité et sa cohésion sociale.
     
     
    Quotas de migrants ? Non !                
    Mais quotas de rémigration, OUI, mille fois oui !
     
    Selon l'essayiste, démographe et sociologue Jean-Paul Gourévitch, 7,3 millions d’immigrés vivraient aujourd’hui sur notre sol, soit 11 % de la population, auquel il faudrait ajouter entre 12 % et 14 % de descendants directs d'immigrés, c’est-à-dire au total entre 14 et 16 millions de personnes « venues d'ailleurs ». Quatre fois plus qu'il y a 20 ans.
    Ce constat n’empêche pas l’exécutif de relancer le débat sur l'immigration voulue, choisie et organisée.
    C'est ainsi qu'Emmanuel Macron vient d'ouvrir la porte à l'introduction de quotas destinés selon lui à maîtriser les flux migratoires. Vieille lune que ce concept proposé au début des années 1990 par le duo Pasqua/Seguin lors de leur tentative de puputsch au sein du RPR contre Chirac et Juppé, et repris en 2007 par Sarkozy lors de sa campagne présidentielle. Concept ancien donc et surtout illusoire et fantasmagorique.
    Par définition, en effet, l'immigration illégale échappe à tout contrôle et ne pourrait donc être quantifiée dans une politique de quotas.
    Par légalisme international autant que par soumission à la bien-pensance, il ne saurait non plus être question d’introduire les quotas dans l'attribution des droits d'asile (120 000 demandes en 2018, en hausse de 21 %).
    Reste donc l'immigration dite légale qui concerne désormais 250 000 personnes chaque année.
    Sur ces 250 000 nouveaux entrants, 88 737 premiers titres de séjours délivrés l'année dernière l'ont été au titre du regroupement familial. La remettre en cause irait à l’encontre de la Convention européenne des droits de l'homme que la France a ratifiée et surtout de la Constitution qui stipule que "la Nation assure à l'individu et à la famille les conditions nécessaires à leur développement, et protège le droit à vivre en famille ». Inutile de préciser qu'aucun gouvernement du Système, ne dérogera à des principes républicains aussi éclairés…
    Alors, des quotas pour l’immigration dite économique qui ne concerne que 11 % des entrants ? Mais là encore, on voit mal les entreprises qui ont besoin de flexibilité dans leurs embauches accepter que les taux de répartitions d'emplois soient décidés par l'État ou par le Parlement une fois pour toutes en début d’année de façon discrétionnaire et selon une méthode comptable.
    Nous sommes donc bien dans la mythographie et le mensonge.
    Pour le Parti de la France, notre pays n'a pas besoin d'immigration économique. Dans une France minée par le chômage, une formation adaptée, une adaptation aux réalités économiques, une revalorisation du travail manuel et des salaires qui leurs sont attachés doivent permettre aux nationaux d’occuper tous les postes à pourvoir. Notre pays n'a pas non plus à faire bénéficier des étrangers du « droit à la famille » qui ne doit concerner que les seuls Français. Il n'a pas à accueillir par dizaines de milliers de faux réfugiés.
    L'immigration ne doit pas être organisée. Elle doit être stoppée. Totalement et définitivement.
    Il est pourtant un quota que nous pouvons adopter : celui de la rémigration : la droite nationale au pouvoir fixera donc chaque année le nombre d'étrangers et de faux nationaux, selon leur origine et leur « qualité », afin de procéder à leur retour au pays.
    Jusqu’à épuisement des stocks.
     
     
     
     
    Le billet de Franck Timmermans
    Les grandes impostures (2) :
    « Grâce à l’Europe, c’est la paix depuis 70 ans  » 
     
     
    Puisque, selon Mitterrand - Juppé et Macron, ce sont les Nationalismes qui créent les grandes impostures, il est logique que leur antidote miraculeux soit l’Europe unie de Bruxelles.
     
    L’argument de la Paix asséné durant la campagne européenne n’est pas nouveau et ils le ressortent à chaque fois ; les gogos et les jeunes partisans du fédéralisme y croient dur comme fer. Examinons les faits réels et non la seule portée du slogan. Certes, depuis 1949 il n’y a heureusement pas eu de 3e Guerre mondiale, il n’y a pas eu non plus de conflit armé entre deux membres (ou plus) de la Communauté eurocrate, soit ! Mais est-ce dû à l’action de l’Europe unie ? La menace d’une 3e Guerre mondiale a été latente durant toute la Guerre froide pendant laquelle les deux blocs rivalisaient par services d’espionnages et guerres civiles sporadiques interposés. Mais il y eu deux moments très critiques : l’un en 1951 lors de la guerre de Corée, et l’autre fin 1962 lors de l’affaire des missiles soviétiques à Cuba.
    En 1951, Truman et Mac Arthur envisage d’utiliser 9 bombes atomiques contre la Chine et même éventuellement l’URSS si la victoire militaire classique est impossible. Finalement, Mac Arthur fut désavoué et les USA renoncèrent à la guerre atomique. Dans le second cas, la tension sera encore plus forte : lors du bras de fer entre Kennedy et Khrouchtchev à propos des livraisons de missiles nucléaires à Castro. L’Otan manifesta évidemment sa solidarité avec les USA ( et même De Gaulle la rendit publique, sans jamais recevoir de retour d’ascenseur). Le pire fut évité et Kennedy apparut comme le grand vainqueur du duel mais ce fut aux dépens de l’Europe puisque les USA y retirèrent tous leurs missiles de protection, plus pour ménager un Khrouchtchev fragilisé que pour honorer un accord qui n’était qu’un « chiffon de papier ». Dans ces deux cas historiques, à aucun moment une autorité mandatée par l’Europe naissante de l’époque ne fut envisagée afin de peser dans la balance pour garantir la paix. Cela valut peut-être mieux… Dans le cadre strictement européen, les Eurocrates ânonnent que la Paix règne entre tous les états depuis 70 ans. C’est évidemment faux puisque l’Europe continentale a connu plusieurs conflits, certes non mondiaux mais meurtriers.
     
    Une première catégorie de conflits, de 1949 à 1991, concerne essentiellement des affrontements en Europe dans les pays communistes ou à cause des menées du Pacte de Varsovie : les Pays baltes (56), la RDA (53) Poznan (56), Budapest (56), Prague (68), le Karabagh (88), les soulèvements et libérations (89), la révolution roumaine (89). À côté existent aussi des guerres civiles (Grèce 1949), Chypre (63), ou religieuses (Irlande, IRA), ou régionalistes (pays Basque), ou même de conquêtes (invasion turque à Chypre 1973). Seules les Nations ont joué un rôle individuel, bilatéral ou multilatéral mais jamais l’Europe en tant que structure confédérale. La fin de l’URSS et du Pacte de Varsovie ne doivent rien à la CEE de jadis, et les risques d’alors ont disparu grâce aux efforts conjoints de Ronald Reagan, de Jean-Paul II, de Lech Walesa, de la pression de tous les militants de la liberté et des nationalistes anti-communistes, sans oublier l’influence de Soljenitsyne et les martyrs des goulags ou du KGB (Père Popieluszko) qui ont finalement triomphé de l’omerta scandaleuse des gauches intellectuelles, surtout en France.
    Une seconde catégorie commence à partir de 1992, date à laquelle l’union européenne se dote, grâce au Traité de Mastricht, d’un début de diplomatie commune. Ces premiers roucoulements de blanche colombe amènent la guerre des Balkans de 1991 à 2001, à laquelle près de 20 nations d’Europe vont participer, soit au sein de l’OTAN soit à titre individuel. USA, France, GB pilonneront les positions serbes. Le bilan minimal est de 175 000 morts. Beaux débuts, vive Maastricht ! Mais d’autres conflits ont eu lieu, principalement dans les territoires de l’ex-URSS, le Caucase où l’Europe se joint aux USA pour mettre de l’huile sur le feu comme s’il fallait réactiver une guerre froide contre Poutine ! Par exemple, dans la guerre qui dure depuis 1994 en Tchétchénie (140 000 morts), l’Europe a pris la défense des réfugiés Tchétchènes et la France en accueille depuis plus de 50 000 ! 50 000 qui ont fui le régime anti-islamiste mis en place par Moscou à Grozny, donc 50 000 pro-islamistes qui forme désormais une diaspora en France ! On marche sur la tête, merci à L’Élysée (de 1994 à nos jours) et à l’Europe vassale de l’OTAN. Oser prétendre que l’Europe favorise la Paix alors que tous les efforts (avec notre argent) sont employés à constituer des communautés de réfugiés aptes à devenir autant de « 5e colonnes » est de la démence ou de la trahison ! Cette propagande pacifiste est indigne car elle jette aussi un voile commode sur les près de 900 000 morts qui ont eu lieu sur notre sol européen de 1950 à ce jour. Et dans ce chiffre (894 000) nous ne comptons pas les guerres hors d’Europe où nos pays sont allés combattre (Corée, Vietnam, Irak, Afghanistan, Syrie etc), ni les guerres liées à la décolonisation (Indo, Algérie, etc), ni les victimes actuelles du terrorisme et les guerres où l’islamisme progresse.
    Ainsi, si l’Europe était un havre de paix, il n’y aurait pas de contingents de 26 pays de l’UE actuellement répartis au Kosovo, en Bosnie, au Liban, en Géorgie, à Chypre, ile qui est en plus menacée par la Turquie, candidate effective à l’UE et membre de l’OTAN, ou des « observateurs militaires » en Ukraine depuis que la Crimée est redevenue russe ! On croit rêver devant tant d’hypocrisies ! Notre « diplomatie » consiste donc à ménager les communautés islamistes, les enclaves de l’Islam en Europe, à réduire les Serbes, à cautionner les erreurs des USA et à contrer Poutine par tous les moyens. Tel est le bilan depuis 1992 !!!
    Enfin, ce slogan « L’Europe, c’est la Paix depuis 70 ans » est particulièrement rendu obscène par le seul fait que le cumul des exportations d’armes des états membres de l’UE vers des états non-membres fait aujourd’hui de l’UE le 3e exportateur d’armes du monde avec plus du quart du marché mondial. Airbus, société leader du secteur de l’armement européen, est dans le peloton des 10 principales sociétés mondiales. Rassurez-vous, je ne suis pas un pacifiste bêlant issu des babas cool trotskards d’Amnesty international, mais je pense que par respect pour les familles de nos soldats tombés sur les divers théâtres d’opérations, par décence pour tous ceux qui voient nos frontières violées par une immigration sans cesse grandissante et par conscience eu égard à la réalité économique et financière des ventes d’armes que l’Europe se vante d’exporter en Algérie ( !!!), au Qatar, ou ailleurs, ou se vante d’envoyer à des belligérants extérieurs (la guerre par délégation !).
     
    Un Président de la République devrait au moins avoir la pudeur d’éviter pareil slogan.
    Car l'Europe EST en guerre !
     
           
     

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