SLABOLEPSZY - Page 2
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Adieu, l'amie
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Puisqu'on vous le dit ! Encore et encore !
BRIDGESTONE : TARTUFFE MÈNE LE BAL.
Par Jean-François Touzé, Délégué général du PdF
La décision annoncée mercredi par la direction du géant du pneumatique Bridgestone de fermer le site de Béthune donne l’occasion au gouvernement français et à une bonne partie de la classe politique de se livrer à une partie de faux-derchisme dont les uns et les autres sont, il est vrai, coutumiers.
Incapable d’imposer des règles de conditionnalités visant au maintien de l’activité et de l’emploi dès lors qu’une entreprise bénéficie de subventions publiques, ce qui est le cas de Bridgestone (1,8 millions de CICE en 2018), l’exécutif qui sait bien que son impuissance à faire reculer le fabriquant japonais sera égale à ce que fut son incapacité à opposer des lois coercitives à la voracité cupide des multinationales, tempête et joue l’indignation. Il assure ainsi, par la voix du ministre de l’économie Bruno Le Maire, son intention « de se battre contre cette décision révoltante, avec une méthode révoltante et des conséquences révoltantes », tandis que la ministre du travail Elisabeth Borne et la secrétaire d’Etat à l’Industrie Agnès Pannier-Runacher dans un communiqué commun avec le Président de la région Hauts de France, Xavier Bertrand, dénoncent la « brutalité et les fondements » de cette fermeture. Pantomime et fanfaronnades!
Tous feignent d’ignorer les lois fondamentales du capitalisme, du globalisme et de la financiarisation de l’économie dont ils sont les purs défenseurs, même quand ils se parent pour la galerie des vertus supposées du libéralisme social ou du gaullisme du même métal rouillé.
La loi du capitalisme mondial renforcé par les impératifs de la finance est qu’une entreprise non viable doit être fermée quelles qu’en soient les conséquences humaines. Castex, Le Maire, Borne, Pannier-Runacher, Bertrand, le savent pertinemment et leurs gesticulations n’ont d’autres buts que celui de tenter de faire oublier leur complicité et celle des familles politiques auxquelles ils appartiennent dans la liquidation de l’industrie française, de la destruction du rôle stratégique de l’Etat en matière économique, et de l’abandon suicidaire de toute référence au patriotisme économique.
Le capitalisme financiarisé est leur option. Ils doivent l’assumer. La nôtre est celle d’une autre voie, nationale et européenne, reposant sur un socle communautaire certes ouvert à la concurrence mondiale mais une concurrence tempérée par le rôle stratège de l’État, régulée, loyale, non faussée et non soumise à la dictature des banques et des officines multilatérales.
En attendant, le bal des hypocrites et des pompiers pyromanes bat son plein, tandis que plus de 2000 personnes, entre emplois directs et indirects, sont, dans notre département du Pas-de-Calais, menacées de mort sociale.
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Rétablissement de la peine de mort, c'est l'AFP qui le dit et commente.
AFP, publié le lundi 14 septembre 2020 à 19h06
Les Français sont majoritairement favorables au rétablissement de la peine de mort et réclament "un vrai chef pour remettre de l'ordre", selon une étude Ipsos/Sopra Steria publiée lundi.
Quelque 55% des Français (+11 points sur 2019), un record, affirment ainsi qu'il "faudrait rétablir la peine de mort en France", selon cette étude réalisée pour la 8e année consécutive pour le quotidien Le Monde, la Fondation Jean Jaurès, et l'Institut Montaigne.
Mais le sujet reste "très clivant politiquement", selon l'étude, puisque seuls les sympathisants RN (85%) et LR (71%, +23 points) adhèrent majoritairement à cette affirmation, approuvée par une minorité (39%) dans les autres partis.
On notera une très forte progression (+31 points sur un an) des partisans de la peine de mort chez LFI+PCF.
Les ouvriers (68%), les employés (60%) et les retraité (55%) approuvent majoritairement cette affirmation, contre 41% des cadres et 40% des professions intermédiaires.
Environ 82% des Français estiment par ailleurs qu'on a besoin d'un vrai chef en France pour remettre de l'ordre, soit 3 points de plus que l'an dernier.
Les Français étaient toutefois plus nombreux les années précédentes à exprimer ce souhait, à l'exception de 2019 (79%).Cette affirmation est plébiscitée par les sympathisants des Républicains et du Rassemblement national (97% chacun, +9 points chez LR) mais aussi par ceux de La France Insoumise et du Parti communiste (80%, +33 points).
Quelque 71% des sympathisants EELV (+ 6 points), 69% de ceux du Parti socialiste et 67% de ceux d'En Marche soutiennent également cette demande.
Les ouvriers (88%), les retraités (86%) et les employés (85%) adhèrent davantage à cette affirmation que les professions intermédiaires (79%) et les cadres (67%).
Les Français sont en outre 88% (+5 points sur 2019), un record, à considérer que "l'autorité est une valeur qui est trop souvent critiquée aujourd'hui".
Cette affirmation est plébiscitée par les sympathisants LR (96%), LREM (95%) et RN (90%) mais aussi par ceux du PS (81%), des Verts (79%) et de LFI+PCF (75%, + 27 points).
Toutes les catégories, retraités en tête (91%), adhèrent à cette affirmation.
Sondage réalisé du 1er au 3 septembre auprès de 1.030 personnes âgées de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.
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Auront'ils compris ?
Municipales à Condé : Joël Bois à la tête d’un front du refus qui ne dit pas son nom
Devinette : quel est le point commun entre Joël Bois, Roland Bouvart, David Richer et Moktar Aïche, adversaires d’hier aujourd’hui alliés ? Réponse : ils ont tous une dent contre le maire arrivé en tête au premier tour (38,85 %), à qui ils reprochent pêle-mêle de ne pas avoir respecté ses promesses de campagne de 2014, de s’être coupé de la population, du personnel communal et des élus de l’opposition, bref de se comporter en « autocrate ». Ça fait beaucoup !
Ces quatre-là, qui se défendent pourtant d’avoir constitué « un front anti-Lelong », ont fini par se rapprocher fin mai. Et voilà comment Joël Bois (23,16 % le 15 mars) a obtenu le soutien des trois autres, éliminés de la course. Ça lui donne des accents proverbiaux : « Mieux vaut des gens qui veulent construire ensemble que ne rien faire tout seul. »
Le citoyen au centre de toutLe fils de l’ancien maire a donc écouté ce que les ex-candidats avaient à lui dire et intégré certaines de leurs idées à son programme, qui place le citoyen au centre de tout. « J’avais annoncé que je travaillerai avec tout le monde, je prends juste un peu d’avance », glisse-t-il, espiègle.
Le délai était trop court pour envisager de fusionner les listes. À travers ce rapprochement, Joël Bois voit « les prémices d’un fonctionnement possible. On s’écoute et on s’entend. C’est peut-être utopique mais moi, j’y crois. Quel que soit le résultat dimanche, je suis fier qu’on ait pu mener cette démarche. »
Joël BOIS s'est engagé à ne pas briguer un autre mandat que celui de maire de Condé-sur-l'Escaut, à la différence de Grégory LELONG, maire, vice-président d'agglo, conseiller régional. Ce dernier est membre de la coterie macroniste de Valenciennes.
Je n'ai pas la mémoire courte, je me souviens qu'en 2014, Grégory LELONG s'est retranché derrière le diktat de la sénatrice UDI pour refuser le moindre contact. D'autres, à l'époque, m'avaient reçu et écouté.
L'histoire repasse toujours les plats.
C'est sans remord que je soutien Joël BOIS le 28 juin prochain.
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Quand la pandémie brouille toutes les cartes
Comme tous les français, je me sens libre depuis ce 11 mai, j'ai respecté le confinement.
Cependant, avec la méconnaissance générale actuelle de ce qu'est la pandémie qui nous frappe, je ne suis pas rassuré pour les mois à venir.
Dans l'attente d'un vaccin efficace, courant 2021, peut-être, une nouvelle vague pourrait nous forcer à un nouveau confinement, certainement plus brutal que les 8 semaines que nous avons subies.
Par ailleurs, je suis sidéré des propos de certains de vos collègues concernant l'éventuel second tour des municipales.
En effet, il faut savoir que les toutes les listes présentes le 15 mars, dans les communes de plus de 9000 habitants, doivent obligatoirement déposer leurs comptes de campagne certifiés par un expert-comptable, pour le vendredi 10 juillet au plus tard auprès de la CNCCFP.
Comment les lois régissant les comptes de campagne pourront elles être respectées, techniquement, financièrement et comptablement ?
La loi électorale prévoie le dépôt des comptes, au plus tard dans les deux mois qui suivent l'acquisition définitive de l'élection.
Ce qui impliquerait qu'en cas de deuxième tour le 21 juin prochain, les comptes seraient déposés pour le 21 août.
Comment justifier que tous les comptes de campagne doivent être déposés avant le 10 juillet, ce qui laisserait au plus TROIS semaines après un éventuel deuxième tour.
Tous les recours seraient de droit.
Nos responsables gouvernementaux ont décidé, comme pour les masques entre autres choses, de se taire, ils ne nous mentent pas, ils n'ont pas de solution possible, sauf à appliquer les lois électorales en vigueur.
Alors, si la pandémie nous le permet, rendez-vous, au mieux, les 27 septembre et 4 octobre prochains pour près de 5000 élections partielles.
Dominique SLABOLEPSZY
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Puisqu'on vous le dit !
LE GRAIN DE SEL DE JEAN-CLAUDE ROLINAT.
MACRON ? C’EST… « VIRUS SANS FRONTIERES ! »
« Gouverner, c’est prévoir ». Toutefois, on ne peut pas accuser ce gouvernement de n’avoir pas su envisager cette vaste pandémie qui a surpris tout le monde. En revanche, dès que l’ampleur du phénomène s’est révélée, d’abord en Chine, – laquelle a menti sur le nombre de personnes touchées et sur les dates de départ de l’épidémie, notamment à Wuhan-, et chez notre voisin italien, des mesures adéquates auraient dû être prises. Or, que nenni Monseigneur ! Au contraire, les autorités françaises ont traité au début ce coronavirus avec légèreté, une quasi insouciance. N’est-ce pas le président de la république lui-même qui, allant au théâtre avec madame, priait les gens d’avoir une vie normale, juste avant, quelques jours plus tard, d’inviter le peuple à se calfeutrer ? Pourquoi avoir procédé par étapes, d’abord la fermeture des établissements scolaires, puis des lieux publics, tout en autorisant, scandaleusement, 3000 supporters italiens à venir le 26 février, soutenir leur club, la Juventus, à Lyon l ? Et ensuite, de ne décider seulement que fin mars, le confinement total ? Prenant la parole le 12 mars, le chef de l’État annonçait la fermeture des écoles, mais se refusait à fermer les frontières pour éviter « l’écueil », disait-il, du « repli nationaliste », alors qu’Allemands et Italiens bouclaient les leurs, refoulant sans scrupules nos ressortissants ! La veille, son ministre de l’éducation dite « nationale », Jean-Michel Blanquer, avait affirmé quant à lui, que « nous n’avons jamais envisagé de fermeture totale de toutes les écoles ». Qui était dans le vrai ?
Incohérence totale
Quelle incohérence, quelle absence de concertation. Il s’est trouvé une « sommité » de la Salpêtrière, dont les diplômes ont probablement l’épaisseur d’un bottin alors que les miens ont celle d’un ticket de métro, pour affirmer qu’il était inutile de fermer les dîtes frontières, car le Covid-19 les franchissait allègrement. Bien sûr qu’il les franchit, mais porté par un humain, ou véhiculé dans des camions ou des wagons qu’il aurait suffi de décontaminer. Par idéologie, par un sectaire aveuglement, par peur de devoir s’aligner sur les nationaux, nationalistes, identitaires et autres populistes, le monde macronien a laissé les barrières ouvertes. Est-ce une attitude criminelle ? Ce sera à la commission d’enquête parlementaire qui ne manquera pas d’être mise sur pied, – n’en doutons pas !-, de lancer des investigations à l’issue de la crise et, éventuellement, de saisir la Cour de justice de la république. Les faits étant têtus, et devant l’ampleur du bilan chaque jour égrené par le docteur Salomon (1) , le gouvernement s’est enfin résigné : « halte, on ne passe plus ! ». Pourtant, souvenons-nous du début de la tragédie, quand des avions rapatrièrent de Chine des expatriés qui furent mis en quarantaine, les équipages militaires, eux, ayant des permissions de sortie. Or, nous savons que le Covid-19 qui a contaminé le département de l’Oise, première poche repérée en France avec le Haut-Rhin, est parti de la base aérienne de Creil, département de l’Oise !
Menteurs ou incapables ?
Ces dirigeants sont, soit des menteurs, soit des incapables ou, pire, « les deux mon général » ! Le 24 janvier, premier jour de l’apparition… « officielle » du virus en France, c’est Édouard Philippe, premier ministre, qui déclarait « Les risques de propagation du virus dans la population sont très faibles ». À l’heure où j’écris ces lignes, nous déplorons presque 9000 de morts, des médecins sont « crucifiés » devant les choix qu’ils doivent faire, face au manque de lits et de respirateurs. Pour les plus de 70 ans qui seraient atteints, c’est le risque d’être dirigé, tout de suite, vers « la grande faucheuse » qui n’épargne personne, pas même les personnalités : voir le rapide décès de Patrick Devedjian. ( Ou l’hospitalisation du Premier ministre britannique Boris Johnson, à qui nous souhaitons de s’en sortir !) .Au début de la crise, selon nos excellences, les masques n’étaient pas un impératif nécessaire, aujourd’hui elles se battent à l’international pour en importer des millions et des millions ! Ayons l’honnêteté, tout de même, d’encourager ces efforts. Incohérence, valse-hésitation, c’est toute l’ambiguïté du « Macronisme » et de sa formule, le fameux « en même temps ». « Nous sommes en guerre », a dit le président. Mais quand on est « en guerre », il faut donner des uniformes, des armes et des munitions aux troupiers. Or, nos personnels soignants, déjà en nombre insuffisant, n’ont pas été équipés comme ils l’auraient dû. Faute d’avoir eu la possibilité d’effectuer des tests et d’avoir suffisamment de masques, comme Taiwan, le Japon ou la Corée du Sud, nos dirigeants n’avaient pas d’autre solution, il est vrai, que d’imposer le confinement, avec quelques aménagements pour permettre à la population de s’alimenter. (Les habitants des banlieues « ethniques » n’ont pas, ou peu, respecté les consignes.) Afin d’éviter des « incidents », Nunez, le secrétaire d’état à l’intérieur, a donné consigne à ses troupes de ne pas contrôler, encore moins de verbaliser ces gens-là !
Chapeau à tous « les obscurs et les sans grade »
Au passage, chapeau aux petites mains des grandes surfaces, derrière leurs caisses, et aux gros bras derrière leurs volants, qui ravitaillent le pays. Comme les éboueurs, qui continuent leur travail ingrat, tous, malgré les risques qu’ils encourent, comme infirmier(e)s et médecins, d’ailleurs. Le plus triste, le plus émouvant dans cette épreuve que traverse l’Europe et particulièrement notre pays, c’est que les familles des personnes qui décèdent ne peuvent pas revoir, une dernière fois, leurs parents, ni assister à leurs funérailles. C’est l’horreur, comme l’est sous nos yeux ce véritable mini « holocauste » dans les EHPAD, ces « casernes à vieux », transformées par la contamination en véritables mouroirs. Tout cela se déroule sur fond de polémique entre « mandarins », les uns prônant telle ou telle solution, d’autres écartant d’emblée les idées du professeur Raoult, atypique spécialiste marseillais des infections virales.
Les différentes versions de Dame Buzyn
Scandale dans le scandale, l’attitude de madame Buzyn, ci-devant ministre de la santé, abandonnant son poste en pleine bataille, pour se consacrer aux élections municipales parisiennes, après la défection forcée de son camarade Benjamin Griveaux. (Sur ordre du président ? Et pourquoi avoir maintenu ce premier tour où ont été infectés, probablement, électeurs et assesseurs, malgré les précautions prises ?). Dans une interview publiée dans Le Monde daté du 17 mars, elle affirmait avoir prévenu le gouvernement sur l’importance et la gravité de ce virus, alors que le 24 janvier, sensiblement à la même époque, juste avant l’apparition de la pandémie en France, elle disait que « les risques de propagation du virus sont faibles ». Que croire, qui croire ? On lui aurait su gré d’avoir démissionné pour avoir sonné le tocsin sans succès, et non pour concourir dans la course municipale parisienne où, d’ailleurs, elle a pris « une veste ». La suite de ses déclarations était assez lamentable, gémissant sur son sort :-« je me demande ce que je vais faire de ma vie », s’interrogeait-elle, alors que les victimes du Covid-19 tombaient, tombent, comme des mouches. Quelle ne se fasse pas trop de souci, son époux Yves Levy, ancien PDG de l’INSERM, Institut national de la santé et de la recherche médicale, vient d’être nommé au Conseil d’état ! Comme jadis d’autres hiérarques socialistes, serait-elle, seront-ils, « responsables, mais pas coupables », alors qu’ils nous apparaissent totalement irresponsables dans la gestion de la crise, tout au moins à ses débuts ? Simples citoyens, mais électeurs, – qu’ils s’en rappellent !-, Il ne nous appartient pas de sanctionner, mais d’évaluer, de juger. Et nous avons assisté à un festival d’atermoiements, de va – et- vient préjudiciables à la santé du pays. Certes, nous ne pouvons pas méconnaître l’énorme pression psychologique qui pèse sur les épaules des « sachants », lesquels conseillent les « chefs », avant que ces derniers n’arrêtent leurs décisions. Mais, une fois l’épreuve passée et les plaies douloureusement refermées, le pays demandera des explications, ce sera l’heure des comptes. Après tout, les membres de l’exécutif, au premier rang desquels trône le président de la république, ont cherché par le suffrage universel à occuper les postes de haute responsabilité où une faible majorité les a installés. Mais, « à toute chose, malheur est bon », nous enseigne un dicton : le nombre des accidents de la route a diminué ! Mais, surtout, aux yeux de tous, l’Eurocratie bruxelloise s’est révélée totalement inutile, elle qui a passé son temps à chercher des « poux dans la tête » du Hongrois Victor Orban, et à négocier l’entrée dans l’U.E, tenez-vous bien, de la Macédoine du Nord et de l’Albanie, venues avec leur sébile !« Eh, Manu, que dirais-tu d’un petit « Nuremberg » post-Coronavirus » ?
Jean-Claude ROLINAT
- Directeur-général de la santé publique, il fut membre, en compagnie de Benjamin Griveaux, du cabinet de Marysol Touraine, ministre de la santé sous le quinquennat de François Hollande. C’est pendant cette mandature, que les masques commandés par la précédente ministre Roselyne Bachelot pour lutter contre le H1N1, « s’évaporèrent »….
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Ne pas avoir la mémoire courte !
APRÈS…
Par Jean-François TOUZE, Délégué général.
Voici revenu le temps sombre où sonne le glas sur la terre de France et le tocsin dans les villes européennes. Dies irae.
Ce temps passera. Rien ne dit pourtant qu’il sera suivi de celui des Te Deum.
Beaucoup pensent que, lorsque viendra le moment de l’après, rien ne sera plus comme avant et que du mal que nous subissons naîtra automatiquement le bien que nous espérons.
Que l’impuissance, l’imprévision, l’incompétence, l’enfermement idéologique de nos gouvernants qui ont aggravé les conséquences d’une crise sanitaire dont chacun savait pourtant qu’elle surviendrait un jour, étant apparus en pleine lumière, nos peuples enfin décillés reprendront en mains leurs destins.
Que l’effondrement tragique de l’Etat conduira ipso-facto à une remise en cause du régime en même temps que tomberont les sanctions sur les coupables.
Que l’évidence de l’inexistence criminelle de l’Union européenne mènera à son implosion et sa disparition en tant que structure directrice de la soumission des peuples à la pensée et aux pratiques libéralo-planétaristes.
Que la France, tournant le dos aux délocalisations et à sa désindustrialisation, en particulier dans le domaine pharmaceutique, renouera avec une politique de production nationale vitaliste.
Que la crise économique qui succédera à la crise sanitaire sera l’occasion de réaffirmer les impératifs de l’action sociale gage de la cohésion nationale.
Que la faiblesse apparue de nos Armées donnera lieu à un sursaut moral et budgétaire.
Que la France et l’Europe douloureuses qui sortiront du drame épidémique sauront prendre toute la mesure de la menace migratoire pour en stopper les effets et en inverser les courants.
Que notre vieille civilisation, enfin, aura trouvé en ces jours de malheur et de colère le ferment de sa reconstruction spirituelle et les éléments organiques de sa reconstruction.
On peut toujours espérer. Je crains que la déception ne soit pourtant, une fois de plus, au rendez-vous du rêve et de la naïveté.
Lorsque viendra le moment du déconfinement, Français, Italiens, Espagnols, Allemands, ivres de leurs libérations d’apparence, se vautreront à nouveau dans la fange consumériste, prépareront leurs vacances et pataugeront dans la résilience comme ils le font après chaque attaque islamiste à grands renforts de peluches et de bougies. Des initiatives seront, certes prises pour que soient mises en place des commissions parlementaires/alibi dont le rôle réel sera l’étouffement de toute mise en cause des responsabilités d’Etat. L’Union européenne, le G20, le FMI sauront, par des gestes sans portée, faire croire à leur utilité d’après crise pour mieux contrôler les Nations, à l’exemple de ce que fut le plan Marshall d’après guerre. La spéculation financière reprendra et le libre-échangisme retrouvera ses droits. As usual. La Chine, servie par son dirigisme et son économie d’Etat, reprendra son essor et sera alors, par un paradoxe qui n’est que de surface, la grande gagnante de l’affaire.
En France, enfin, le pouvoir macroniste, le Système et le régime, sortiront renforcés d’une crise au cours de laquelle ils n’auront lésiné sur aucun des moyens de contrôle de la population, de désinformation, de mensonge, et de manipulation anxiogène, expérimentant ainsi les méthodes stalino-chinoises dont l’emploi massif et systématique pourrait demain leur être utile
Il n’y aura pas d’effet mécanique post-corona.
Il doit, en revanche, y avoir un effet national et populaire. Ce qui n’adviendra jamais par simples coups de baguettes magiques peut être obtenu par l’action politique.
Demain, chaque Français responsable et conscient sera confronté à deux choix : celui de la continuité ou celui de la rupture. Celui de la passivité et celui de l’engagement.
Une chose est sûre: la révolution nationale, seule rempart contre les crises à venir, ne sera pas un dîner de gala.
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Ne rien regretter, jamais !
Cher(es) Ami(es),
Il y a deux semaines, vers 19 heures 30, nous prenions de plein fouet le résultat du 1er tour des élections municipales.
La déception nous a laissé pantois. Cependant, nous ne devons rien regretter, nous n’avions rien promis. Pour ma part, après avoir analysé les résultats avec ROLAND, j’ai la certitude que vous avez, que nous avons fait le bon choix en présentant nos candidatures aux habitants de Condé. Notre liste bénéficiait de personnalités avec les capacités nécessaires pour construire un avenir meilleur.
Notre campagne axée sur la personnalité de ROLAND n’est pas la cause de notre échec, ces causes sont ailleurs, et elles sont nombreuses.
S’il fallait le refaire, je suis certain que nous le referions, et sait-on ce que nous réserve l’avenir.
Pour la plupart d’entre nous, les rencontres amicales ont été gratifiantes, une bande d’amis s’est trouvée, elle doit perdurer dans les mois et années qui viennent.
Nous aurons l’occasion de nous retrouver.
Cependant, nous devons penser à nos amis qui souffrent, ou bien ont été touchés dans leur entourage. Je pense à Jacqueline, à Guy, à sa maman et à toutes celles et tous ceux qui subissent le confinement dû à la pandémie mondiale.
Prenez bien soin de vous, les évènements vont nous donner raison, j’y crois de toute mon âme de condéen.
Très amicalement.
Dominique SLABOLEPSZY
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L'info continue
L’ALGERIE, UNE GRENADE DEGOUPILLEE DANS NOTRE SALON !
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat U ne fois de plus, une fois encore, nous allons parler de ce véritable « poison » qui nous menace, aussi dangereux sinon plus, à moyen et long terme, que le Coronavirus. Rien n’est calmé en Algérie, et la farce électorale qui a mené au pouvoir Abdel Majid Tebboune, un homme du sérail adoubé par l’armée, ne va pas calmer pour...
Cette note a été publiée le jeudi, 19 mars 2020
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Municipales, à Condé sur l'Escaut, c'est règlé
Après plus de six mois de concertation, une liste de large union a été constituée à Condé-sur-l'Escaut, commune de l'Arrondissement de Valenciennes, dans le NORD.
Notre liste n'est soutenue par aucune formation politique, elle est le reflet d'une population condéenne qui souffre de l'insécurité, du chômage, de la précarité.
Six listes seront en présence : celle du maire sortant soutenue par l'UDI, celle du fils de l'ancien maire soutenu par le PS, le PC et quelques écologistes, celle de certains marcheurs dont la tête de liste était adjoint au maire il y a moins d'un an, celle des Insoumis, celle qui ne se veut pas communautaire, mais quoi que, et notre liste, ostensiblement de Droite Nationale et Populaire.
La commune étant pourvue de machines à voter, les électeurs ne recevront pas les listes des candidats. Ce mercredi 11 mars, les candidats de notre liste : Les Condéens d'Abord, Condé, c'est Vous, pour Vous, avec Nous, informeront les électrices et les électeurs, en distribuant un tract reprenant leur liste et un appel au vote.
Le lundi 16 mars, quel que soit le résultat, la même liste sera redéposée à la sous-préfecture de Valenciennes.
Les évènements nous auront peut-être favorisés, un seul tour est possible.
On y croit !
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La dure loi de la vie
Malgré nos différences idéologiques, natifs du Pays de Condé, nous entretenions des relations plus que courtoises, il disait 'Dominique', je lui disais 'Fabien'. Au service de tous, il me l'avait prouvé à de nombreuses reprises. La dernière fois que je l'ai rencontré, il n'y a que quelques semaines, nous faisions notre randonnée au VIGNOBLE. Adieu l'ami, repose en paix.
Le maire de Marly, Fabien Thiémé est décédé. Il avait 67 ans....Le maire de Marly, Fabien Thiémé est décédé. Il avait 67 ans.... -
Une page se tourne
Le Parti de la France: vers un élan nouveau.Par Jean-François TOUZEAprès 42 ans d'engagement militant qui l'ont conduit à exercer les plus hautes responsabilités à la direction du Front national d'abord, à la tête du Parti de la France ensuite, Carl Lang, ancien député européen, président du groupe FN au Conseil régional du Nord-Pas-de-Calais, a décidé, pour des raisons qui le regardent et au terme d'une longue réflexion, de se retirer de la présidence du PdF et de prendre du champ par rapport à la politique active, sans, pour autant, s'interdire de participer au débat d'idées au service de la Cause.L'amitié qui nous unit depuis 36 ans et l'estime que j'ai pour lui me font dire que j'espère vivement que ce retrait ne sera que momentané.Je ne doute pas que l'expérience qui est la sienne, le talent que je lui connais, la rigueur dont il ne s'est jamais départi, la cohérence de son engagement et la constance de sa ligne politique — la ligne droite, nationale et populaire — seront, un jour ou l'autre, lorsque les circonstances seront réunies, à nouveau utiles au mouvement national et à la France.Le combat continue. Le Parti de la France tiendra son quatrième congrès le samedi 30 novembre à Paris. Un nouveau président sera élu que je soutiendrai et une nouvelle direction mise en place qui devra allier dans un même Conseil national et un même Bureau politique, l'expérience des anciens et l'énergie de la jeunesse.Que personne ne doute de ma détermination, aux côtés du Président prochainement élu — ce sera mon camarade Thomas Joly — de servir, dans la fidélité à la ligne politique de Carl Lang, qui, de tout temps fut aussi la mienne, les idéaux de la droite nationale.J'invite tous mes amis, tous ceux qui, à un moment où un autre d'un parcours politique déjà long, ont bien voulu me faire confiance à nous rejoindre ou à continuer de nous suivre, en toute hypothèse de se mobiliser, dans un esprit de fidélité, de camaraderie militante et de reconquête politique.JFT -
L'avis du polonais assimilé
samedi, 26 octobre 2019
Déchéance de la nationalité : pour une application systématique.
Condamné à quatre ans de prison pour avoir voulu rejoindre les rangs de Daech en Syrie, le "franco-marocain" Fayçal Aïd Messoud vient de se voir retirer la nationalité française.
Une décision rarissime puisque seulement seize déchéances de la nationalité ont été prononcées en vingt ans, dont treize pour terrorisme.Une goutte d'eau dans l'océan de la dislocation française.Rappelons qu'en raison des conventions internationales qui interdisent de "fabriquer" des apatrides, seuls, en théorie, peuvent être déchus de la nationalité les bi nationaux.Des conventions que la droite nationale au pouvoir devra formellement dénoncer le jour venu pour retrouver sa liberté d'agir, de déchoir et d'expulser.Ce qui sera d'autant plus aisé que si la "Déclaration universelle des droits de l'homme" de 1948 indique bien que "tout individu a droit à une nationalité", il ne s'agit que d'un texte à portée philosophique et non contraignant, et que si la France a signé la convention onusienne de 1961 relative à la réduction des cas d'apatridie et celle du Conseil de l'Europe de 1997, elle ne les a pas ratifiées.Nous aurons ainsi toute liberté de prendre les décisions qui s'imposent. Pas seulement dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, mais dans celui, global, de la reconstruction identitaire de notre Pays. -
Puisqu'on vous le dit !
mercredi, 09 octobre 2019
Débat sur l'immigration.
Hémicycle aux trois quarts vide, annonces de circonstance, échanges stériles, discours fossilisés... Le débat sur l'immigration — sans vote, bien sûr, mais y en aurait il eu un que celà n'aurait évidemment rien changé — qui s'est tenu lundi soir à l'Assemblée nationale n'était que le reflet des effets de tribunes de Macron sur le sujet: vide de tout sens.Champion de la triangulation, le Président de cette République de tous les mensonges, de toutes les supercheries et de toutes les manipulations, tente, en s'emparant du thème de l'immigration, de séduire une partie de la droite à quelques mois des Municipales et d'apparaitre aux yeux des Français comme le chef modéré mais réaliste et libéré des tabous de la pensée unique de ce parti de l'ordre juste, républicain et démocrate qu'il veut incarner. Posture qui, face aux critiques venues de sa gauche à l'intérieur même de son camp, lui a valu le soutien appuyé d'un autre imposteur chronique — Jean-Pierre Chevènement (" nous ne devons pas être dans le déni"), dont on chercherait vainement la trace du commencement d'un début de volonté de mener une lutte déterminée contre la déferlante migratoire, lorsqu'il était ministre de l'Intérieur.Au bal des faux culs, ils sont toujours, il est vrai, plusieurs à se bousculer pour ouvrir la danse.Macron, lui, joue ainsi les Janus biface, tentant de dissimuler l'immigrationnisme absolu qui transpire par tous les pores de sa peau, et affirme son credo de chauve-souris politicienne: "Je suis oiseau, voyez mes ailes protectrices, je suis souris, vive les rats de l'ouverture planétariste".Et pendant ce temps, par la mer, par les chemins de terre et par les airs... ILS ARRIVENT ! -
Lucidité de Jean-Claude ROLINAT
Ainsi, la famille Chirac aurait exprimé le souhait que Marine Le Pen, présidente du Rassemblement national, soit tenue au large des cérémonies funèbres accompagnant le départ de l’ancien président pour, ce qu’il est convenu d’appeler, « un monde meilleur ». Loin de nous le propos de nous lamenter sur le sort, ainsi réservé, au chef du RN, mais nous trouvons cette décision particulièrement injuste, pour tout dire sectaire. Tous les leaders politiques de tous bords seront présents, à l’exception aussi de la France insoumise, conviés à se recueillir sur la dépouille de l’ancien chef de l’État. Pourquoi pas elle, qui représente tout de même, qu’elle soit appréciée ou détestée, louangée ou boycottée, plusieurs millions d’électeurs ? Il y aurait donc, aux yeux de la famille Chirac,des « bons » et des « mauvais » Français ? Quand on parle de la « famille », se résume-t-elle à la seule Claude, la fille de son père, qui fut souvent, « le mauvais » génie de son papa ? On voit mal madame Bernadette Chirac, assez conservatrice, très pieuse, lancer une telle « fatwa » !
Une girouette politique
Les médias, à l’occasion du décès de l’ancien président, en fond des tonnes, sans nuance aucune. On tresse des louanges au défunt président sans aucune retenue, sans aucune mesure. Qui était, en réalité, le « Grand Jacques » ? Un aventurier de la politique, un bon vivant proche du petit peuple, un homme de gauche ayant fait carrière à droite ? Un homme très cultivé, malgré les apparences ? Un peu tout cela à la fois, mon général ! Dans sa jeunesse, le petit corrézien était sympathisant communiste, ayant signé « l’Appel de Stockholm » contre le nucléaire, - le nucléaire occidental seulement, bien sûr-, et vendait, occasionnellement, l’Humanité à la criée. Ce qui ne l’empêcha pas de faire un voyage aux États-Unis dont il resta marqué à vie. « Algérie française » pendant son service militaire, (une bonne « maladie » selon nous), il fut un défenseur de l’immigration en cosignant en 1976 avec Giscard d’Estaing, le funeste décret ouvrant droit au regroupement familial pour les étrangers, tout en les fustigeant quelques années plus tard, avec sa célèbre phrase sur les « bruits et les odeurs ». Du très eurosceptique « appel de Cochin », à « l’europhilie maëstrichtienne » et au référendum constitutionnel de 2005 , il fit le grand écart, devenant un partisan conformiste de l’Union européenne.
Le bilan
Comme tout homme public à la riche carrière politique, n’oublions pas qu’il fut tour à tour ou en même temps député, ministre, premier ministre, maire, conseiller général et, excusez du peu, président de la République pendant 12 ans, - plus que Charles De Gaulle lui-même !-, il a droit au bilan de son action. À savoir, deux colonnes, débit/crédit. Au débit, cet article ne suffirait pas à recenser toutes les erreurs, tous les mauvais coups portés à l’unité de la nation, tout l’immobilisme d’un seconds mandat n’en finissant pas de…finir, les accusations mensongères contre « l’extrême-droite », le refus de dialoguer avec son représentant qualifié pour le second tour de la présidentielle de 2002, etc…Sans oublier ses démêlés avec la justice, mais là nous ne l’accablerons pas, la chose étant tellement courante avec le personnel politique français ! Au crédit de son action, nous retiendrons, bien sûr, le courageux refus d’engager la France en Irak, à la remorque des USA, sans oublier les deux radicales décisions prises pour stopper les tirs contre nos soldats en Bosnie et en Côte d’Ivoire. Il ordonna, en effet, deux raids destructeurs menés contre les ennemis de nos armées à Sarajevo et à Bouaké. Sans oublier la bonhomie générale du personnage, son incroyable facilité à dialoguer avec quiconque, son style de bon vivant, son appétit sans limite de la bonne chère et de la bonne…. chair ! Homme d’État ? Peut-être, hédoniste et épicurien, sûrement. Mais la course aux jupons, dont il n’avait pas l’exclusivité dans le magma politicien, comme l’amour de la tête de veau et de la Corona, n’a jamais fait une bonne politique. Dommage que cet homme à l’énergie débordante, au charisme évident, n’ait pu s’entendre avec notre courant de pensée au sens large du terme, malgré quelques fragiles passerelles lancées ici ou là. Mais à l’heure de la séparation, de l’au revoir, à tout pêcheur miséricorde. Au moment où l’ancien maire de Paris s’éloigne pour l’au-delà des mers, comme dirait l’inimitable Jean Raspail, souhaitons-lui tout de même, en chrétien imparfait, bon vent !
Jean-Claude ROLINAT
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MUNICIPALES MARS 2020
Retour aux sources.
CONDE c'est VOUS, pour VOUS, avec NOUS.
Comme chacun pourra le constater, une entente la plus large possible de citoyens est en cours de constitution.
Cette union se fait à la base, elle a comme objectif principal de redonner aux habitants le pouvoir que d'aucuns confisquent de l'extérieur.
Pour sortir CONDE du ghetto, rejoignez les condéens que Roland et moi-même sommes.
Fernand LESPECE est mon grand-père maternel, plus de 4 siècles d'histoire condéenne.
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Vous avez dit URGENCES !
Le vrai problème des Urgences a un nom : IMMIGRATION !
Éteindre les incendies tout en laissant se développer les départs de feu sans jamais s'opposer aux pyromanes, telle est, on le sait, la doctrine nouvelle d'un Emmanuel Macron en pleine chiraquisation, doctrine à laquelle tous les acteurs de l'Exécutif sont désormais priés de se soumettre.
Agnès Buzyn, ministre de la santé n'échappera pas à cette règle. En annonçant un plan global en faveur des hôpitaux et plus particulièrement des Urgences en crise depuis des mois, la ministre tente donc de verser du sable sur les braises pour essayer de les réduire. Avec six cent millions injectés dans le système hospitalier destinés à restructurer les services, améliorer les traitements du personnel médical, mettre fin aux fermetures de lits et peut être même en rouvrir, la ministre espère apaiser la colère et gagner quelques précieuses années de calme jusqu'à la réélection en 2022 de l'actuel locataire de l’Élysée.
Une fois de plus, la République des illusions, des artifices et du grand camouflage est à l'œuvre.
Le vrai problème des Urgences n'est pas seulement financier même si la santé publique est un devoir d’État qui impose aux gouvernants de consentir les efforts budgétaires nécessaires.
Le vrai problème des Urgences n'est pas l'incivisme supposé de nos compatriotes qui les pousserait à consulter en service hospitalier pour tout bobo subalterne.
Le vrai problème des Urgences a un nom, une réalité et une exponentialité : IMMIGRATION !
Seule une politique sans faiblesse d'arrêt total de l'immigration suivie d'un vaste plan de retour au pays rendra aux Français la qualité des soins auxquels ils ont droit dans la sécurité, et l'environnement paisible retrouvés de nos hôpitaux.
Jean-François Touzé - Délégué national du Parti de la France aux Études et Argumentaire
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Vous avez dit : emploi fictif !
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CONNEXION 30 juin 2019
Pas de vacances pour la POLITIQUE.
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Quand Eva DARLAN dit ce qu'elle pense !
"Marlène Schiappa va à l'ONU, et elle dit que la France est en tête de l'égalité et de la défense des femmes. Ce n'est pas vrai. C'est un mensonge ! Les femmes continuent de mourir au même rythme", a assuré l'actrice Eva Darlan sur Europe 1. De son côté, Marlène Schiappa a tenu à se défendre sur la même radio.
"Ce qu'elle dit est faux. Ça pouvait être vrai début 2017. Nous sommes maintenant en 2019. Il y a un travail conjoint qui a été fait avec les associations", a indiqué la ministre, visiblement remontée par les critiques.