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vie politique du Hainaut - Page 37

  • En route pour le 10 juin 2012

    C'est fait !  Fidélité et amitié.

    Quatre candidats emblématiques dans le HAINAUT pour ces élections législatives décisives pour l'avenir de la FRANCE et des FRANCAIS.

    Chacun connaît ces derniers, candidats titulaires et suppléants, elles et ils sont à votre disposition pour répondre aux questions que vous pouvez vous poser sur leur présence au scrutin législatif.

    Certains ont bien compris que nous étions présents pour défendre réellement les fondamentaux qui nous ont portés depuis des décennies, fondamentaux trahis par ceux qui auraient du les défendre.

    Les réactions haineuses des mêmes prouvent bien, si besoin était, que les candidats de l'UNION de la DROITE NATIONALE, les militants et sympathisants du PARTI de la FRANCE, du MOUVEMENT NATIONAL  REPUBLICAIN, de la NOUVELLE DROITE POPULAIRE, ont eu conscience de leurs devoirs vis à vis de notre pays, de notre nation.

    Le 10 juin, vous ferez votre devoir, vous voterez pour ces candidats, vous voterez pour :

    Serge THOMES dans la 19ème, candidat enracinné,

    Dominique BOUDRENGHIEN l'anzinoise et sa suppléante Michelle BEAL de Saint-Amand les Eaux, dans la 20ème,

    Serge HAQUETTE, le plus ancien candidat national dans la 12ème, 

    Dominique SLABOLEPSZY, ancien secrétaire départemental du FN, avec Jean-Pierre SOUMILLON, successeur de Claude DERESNES dans le Bassin de la SAMBRE, dans la nouvelle 3ème circonscription

    Apportez leur votre soutien physique, votre soutien matériel, votre soutien financier.

    Merci de votre concours.

     

  • Législatives 2012

    Le PARTI de la FRANCE sera bien présent les 10 et 17 juin prochain, dans le HAINAUT.

    Dans le cadre de l'UNION de la DROITE NATIONALE, 8 militantes et militants défendront les couleurs de la FRANCE française.

    Ces fidèles sont toutes et tous des anciens responsables du FN, mais surtout des anciens candidats, des anciens élus locaux du HAINAUT.

    Nous vous les présentons par ordre alphabétique.

    BEAL Michelle, ancien candidat avec un deuxième tour en 1997, ancien conseiller municipal de Saint-Amand les Eaux, ancien conseiller régional (2004-2010), candidat à de multiples reprises au cantonales depuis 1988, ancien secrétaire de circonscription, Flamme d'Honneur du FN.

    BOUDRENGHIEN Dominique, candidat à plusieurs reprises aux cantonales et municipales.

    BOUDRENGHIEN Francis, ancien conseiller municipal d'ANZIN, ancien candidat suppléant aux législatives, ancien candidat aux cantonales, ancien secrétaire de circonscription.

    HAQUETTE Serge, ancien candidat aux législatives, aux cantonales, aux municipales, ancien secrétaire de circonscription, Flamme d'Honneur du FN.

    DEBAENST Monique, ancien candidat aux municipales et suppléant aux cantonales.

    SLABOLEPSZY Dominique, conseiller régional honoraire, ancien conseiller municipal, candidat à plus de 30 reprises aux sénatoriales, législatives, cantonales et municipales, secrétaire départemental FN de 1987 à 2007.

    SOUMILLON Jean-Pierre, ancien candidat suppléant aux législatives, candidat aux cantonales avec un deuxième tour, secrétaire de circonscription, adjoint de Claude DERESNES dans le Bassin de la Sambre.

    THOMES Serge, candidat 5 fois aux législatives, aux cantonales (deuxième tour en 2004) conseiller municipal de Denain 12 ans, ancien secrétaire de circonscription.

    Ces valeureux candidats nationaux ont le soutien de Daniel DUHAMEL, ancien conseiller régional, commandeur de la Légion d'Honneur, candidat à de nombreuses reprises, Flamme d'Honneur du FN, ainsi que de Claude DERESNES, conseiller régional honoraire, ancien conseiller municipal de MAUBEUGE, ainsi que de nombreux militants de la défense de l'identité française.

    Pour tous contacts, soutien physique et financier : 06.88.17.73.67, et bien sûr sur les sites du PARTI de la FRANCE.

  • Ce n'est pas fini !

    COMMUNIQUE DE CARL LANG

    PRESIDENT DU PARTI DE LA FRANCE
     
    Avec le Parti de la France, organisons et mobilisons une vraie droite nationale d’opposition et de propositions
     La victoire de François Hollande est celle de tous ses soutiens officiels et publics parmi lesquels la CGT, le Parti Communiste, le Front de Gauche, les Verts et le Parti Socialiste mais aussi le fruit des complicités et collusions médiatiques et politiques de toutes sortes et de tous bords.
    L’échec de Nicolas Sarkozy marque aussi clairement l’échec d’une droite libérale qui dès le début du quinquennat a fait le choix de l’ouverture à gauche et de la mise en œuvre de politiques qui n’ont jamais réalisé la rupture pourtant nécessaire avec l’héritage chiraquien.
    Le Parti de la France se félicite d’avoir pris date dès après le premier tour en marquant son opposition totale avec les socialo-communistes et en appelant à faire barrage à Hollande. En effet, afin de pouvoir prétendre être un opposant à cette gauche internationaliste, mondialiste et immigrationiste encore faut-il s’y opposer et la combattre et non pas la laisser gagner. Le Parti de la France est fier de ne pas être complice de son triomphe.
    La véritable Droite nationale que nous incarnons a donc aujourd’hui la légitimité politique pour organiser la réaction nationale d’opposition à la présidence socialiste. La première étape électorale de la riposte nationale sera la participation du Parti de la France aux élections législatives des 10 et 17 juin prochains.
    Face à la vraie gauche, pour rendre la France aux Français, mobilisez-vous pour la vraie droite nationale !

    Dans cette logique, l'UNION de la DROITE NATIONALE ( le PDF, le MNR, la NDP, les nationaux) présenteront des candidats dans la moitié des circonscription du HAINAUT, en particulier la 3ème (Maubeuge), la 19ème (Denain), la 20ème (Saint-Amand les Eaux), la 21ème (Valenciennes-Condé), des efforts financiers sont envisagés pour les 12ème et 16ème circonscription.
    Nos amis fidèles, Michelle BEAL, Claude DERESNES, Serge THOMES, les époux BOUDRENGHIEN, des militants moins connus et moi-même, sommes décidés à porter bien haut les couleurs NATIONALES.
  • Bayrou, la revanche !!!!

    Après Marine la rouge, c'est au tour de François BAYROU de troquer sa casaque orange pour une casaque rouge.

    Lui, va encore plus loin, il votera pour le pire des deux candidats restant en lice pour le deuxième tour.

    Courage fuyons, si HOLLANDE est élu, on verra ce qu'on verra en 2017, et puis il y a juin 2012.

    En 1981, les mêmes prédisaient un passage éclair de la gauche au pouvoir, on a eu MITTERAND pendant 14 ans.

    C'est vrai que là, HOLLANDE ne sera président que 10 ans.

    L'espoir fait vivre, à ce qu'on dit.

     

  • A visualiser

    Vidéo du Libre Journal du Parti de la France

    L'invité de cette première quinzaine de Mai : Carl LANG, président du Parti de la France


    Libre Journal du Parti de la France - Émission... par Agence2Presse

    Lire la suite

    Anciens éditos

  • MARINE, la "ROUGE"

    PONCE PILATE !

    C'est pas moi, c'est l'autre, ou l'art de se laver les mains d'un choix suicidaire !

    En bon avocat (capable de défendre avec brio le coupable comme l'innocent), elle fustige, par avance, ceux qui l'accuseraient de faire le jeu du candidat "pastèque".

    En annonçant un vote "personnel" blanc pour le second tour, la présidente de FF fait allégence aux "ROUGES".

    Dans cette élection du 6 mai, s'abstenir ou voter blanc, c'est voter Hollande !

    MLP devient l'alliée de MELENCHON.

    S'il est élu, grâce au soutien de MLP, HOLLANDE devra lui proposer un poste de ministre dans le prochain gouvernement, celui des "retourneux de capotes".

    C'est DUTRONC qui jubile, à la prochaine échéance électorale, ces fous furieux n'auront plus que leur pantalon à retourner.

    Le comportement de MLP est déshonnorant pour la DROITE NATIONALE et POPULAIRE qu'elle prétendait représenter.

    Comment le "sieur de Hénin" va t'il pouvoir continuer à taper sur les socialistes du Pas de Calais, les Dallongeville, Kucheida et autres cibles de  leur ire et expliquer à ses électeurs qu'il faut favoriser l'élection du candidat des rouges.

    Pas un maire du NORD n'a parrainé MLP, grâce à son positionnement inique, le Rassemblement Bleu Marine a l'avenir du TITANIC.

    Jean-Marie Le PEN a été l'un des artisans de la fondation du FRONT NATIONAL, Marine le PEN en sera le fossoyeur.

    Pour ma part, en dehors de combattre l'élection du candidat soutenu par MLP, je voterai pour le président sortant.

  • Plutôt deux fois qu'une !

    Communiqué deuxième tour

    COMMUNIQUE DE PRESSE DE CARL LANG

    ET DU BUREAU POLITIQUE DU PARTI DE LA FRANCE

     

    Barrons la route à la Gauche socialo-communiste : Non à Hollande !

     

    Nous savons que notre projet de redressement national n’est porté par aucun des deux candidats présents au deuxième tour de cette élection présidentielle. Mais, quelque soient les intérêts tactiques des partis politiques et les plans de carrière ou les intérêts personnels de leurs dirigeants, le choix des électeurs de la famille nationale doit se déterminer en fonction de l’intérêt national.

    Il nous faut répondre à une seule question: que faire afin d’éviter le pire pour la France et le peuple français ?

    Si le premier tour d’une élection permet, en général, de choisir son candidat, le second tour nous offre le droit d’éliminer le plus nuisible à la cause nationale et le plus hostile à nos idées.

    Il est parfaitement clair pour les patriotes que nous sommes que le pire serait le triomphe de la Gauche rose-verte-rouge et que le plus dommageable pour la France française serait la victoire de son candidat François Hollande.

    Carl Lang et Le Parti de la France ne se lavent pas les mains de l’avenir des Français et ne seront pas complices de la victoire de la Gauche socialo-communiste qui annonce le droit de vote des étrangers aux élections municipales, la légalisation du mariage homosexuel et l’adoption d’enfants par les couples homosexuels, qui prépare une politique d’agression de l’école libre et de destruction aggravée du respect de la vie humaine, qui annonce un projet irresponsable et démagogique de gaspillages publics et se prépare à imposer un programme de répression fiscale et de matraquage financier des Français.

    Carl Lang et Le Parti de la France ne seront pas complices du défilé de la victoire des drapeaux rouges et des poings levés.

    Avec ces gens-là, demain sera encore pire qu’aujourd’hui.

    Le 6 Mai, barrons leur la route !

  • Lu pour vous

    A méditer : extrait d'un article signé Pierre Picace, que vous pouvez consulter en entier sur le blog National.hebdo, en cliquant sur le nom de l'auteur.


    "PRÉSIDENTIELLE : SUR LE POIDS DE MARINE LE PEN

    vendredi 27 avril 2012, par Pierre Picace

    La stratégie du pire

    La défaite annoncée de Nicolas Sarkozy, suscite bien des espoirs dans le camp de Marine Le Pen qui espère pouvoir profiter d’une hypothétique implosion de l’UMP dans la foulée des législatives pour se proposer comme la principale force de recomposition de la droite. Sur le papier, c’est peut-être possible, même si on voit mal le patron de l’UMP, Jean-François Copé, laisser filer son rêve de 2017 pour se ranger sous la bannière de l’" Alliance pour un rassemblement national". Aujourd’hui la "stratégie du pire" [4] fait le lit du socialiste François Hollande. En 1981, Jacques Chirac avait fait le choix de faire battre Giscard d’Estaing, pensant récupérer la mise en 1988… On sait ce qu’il en est, la parenthèse durera 14 ans…"

     

  • Communiqué deuxième tour

    COMMUNIQUE DE PRESSE DE CARL LANG

    ET DU BUREAU POLITIQUE DU PARTI DE LA FRANCE

     

    Barrons la route à la Gauche socialo-communiste : Non à Hollande !

     

    Nous savons que notre projet de redressement national n’est porté par aucun des deux candidats présents au deuxième tour de cette élection présidentielle. Mais, quelque soient les intérêts tactiques des partis politiques et les plans de carrière ou les intérêts personnels de leurs dirigeants, le choix des électeurs de la famille nationale doit se déterminer en fonction de l’intérêt national.

    Il nous faut répondre à une seule question: que faire afin d’éviter le pire pour la France et le peuple français ?

    Si le premier tour d’une élection permet, en général, de choisir son candidat, le second tour nous offre le droit d’éliminer le plus nuisible à la cause nationale et le plus hostile à nos idées.

    Il est parfaitement clair pour les patriotes que nous sommes que le pire serait le triomphe de la Gauche rose-verte-rouge et que le plus dommageable pour la France française serait la victoire de son candidat François Hollande.

    Carl Lang et Le Parti de la France ne se lavent pas les mains de l’avenir des Français et ne seront pas complices de la victoire de la Gauche socialo-communiste qui annonce le droit de vote des étrangers aux élections municipales, la légalisation du mariage homosexuel et l’adoption d’enfants par les couples homosexuels, qui prépare une politique d’agression de l’école libre et de destruction aggravée du respect de la vie humaine, qui annonce un projet irresponsable et démagogique de gaspillages publics et se prépare à imposer un programme de répression fiscale et de matraquage financier des Français.

    Carl Lang et Le Parti de la France ne seront pas complices du défilé de la victoire des drapeaux rouges et des poings levés.

    Avec ces gens-là, demain sera encore pire qu’aujourd’hui.

    Le 6 Mai, barrons leur la route !

  • Ce que je crois !

     
             
     

    Les catholiques et le second tour

     
     

    Les signataires de ce texte, officiellement intitulé
    « Présidentielle : réflexions autour des exigences du Bien Commun », sont :

     
     

     • L'abbé Denis Coiffet, co-fondateur de la Fraternité sacerdotale Saint-Pierre (FSSP) ; ancien supérieur général du district de France de la FSSP ; aumônier général de Notre-Dame de Chrétienté, association organisatrice du pèlerinage de Pentecôte de Notre-Dame de Paris à Notre-Dame de Chartres

    L'abbé Vincent Ribeton, actuel supérieur général du district de France de la Fraternité sacerdotale Saint-Pierre (FSSP)

    • L'abbé Guillaume de Tanoüarn, responsable du Centre Saint-Paul à Paris

     
         
     

    Communiqué du 24 avril 2012

     
     

      Présidentielle : réflexions autour des exigences du Bien Commun

     
     

    « Il ne faut pas oublier que, lorsque les Eglises et les communautés ecclésiales interviennent dans le débat public, en exprimant des réserves ou en rappelant certains principes […] Ces interventions ne visent qu’à éclairer les consciences, en les rendant capables d’agir de manière libre et responsable, conformément aux exigences de la Justice, même si cela peut entrer en conflit avec des situations de pouvoir et d’intérêt personnel. »

    Benoît XVI. 30 mars 2006

    Les présentes réflexions ne visent en aucun cas à imposer pour qui voter ou à donner des consignes de vote, mais plutôt à considérer le Bien Commun pour notre pays.

    Il est nécessaire d’établir ce qu’un catholique doit connaître et savoir pour mieux le défendre dans sa pratique. Il est clair qu’il doit refuser toute forme de collectivisme marxiste, qu’il soit radical ou présenté de manière édulcorée. Si ce point est évident pour tout catholique conséquent, il faut également souligner que, dans les circonstances présentes, les programmes des candidats qui demeurent en lice en vue de l’élection présidentielle sont à examiner attentivement d’après les exigences du Bien Commun et de la loi naturelle. Or, de manière patente, l’un des programmes proposés, porté par le candidat socialiste, démontre une volonté évidente de rupture avec les éléments premiers du Droit Naturel ; les conséquences de l’application d’un tel programme seraient dramatiques pour la vie quotidienne comme pour l’avenir des Français.

    • Le respect de la vie, déjà fort malmené, va totalement disparaître : avortement et euthanasie, manipulations et expériences diverses sur l’embryon : non seulement leur autorisation sera plus largement étendue, mais il est clair que tout sera fait par voie d’autorité pour formater les consciences dans la « culture de mort ». 

    • De même pour la famille : le programme socialiste établit clairement la fin de la famille naturelle par l’acceptation de l’union homosexuelle et l’adoption des enfants par les tenants de ce genre d’union ; sans oublier le projet de scolarisation obligatoire des enfants dès l’âge de 3 ans, manifestant implicitement la volonté de réduire et faire disparaître peu à peu la responsabilité essentielle des parents vis-à-vis de leurs enfants. Dans la même ligne, les parents seront impuissants pour contrer « l’éducation sexuelle » imposée à leurs petits.

    • Quant à l’école, seront tués dans l’œuf tous les efforts consentis ces dernières années pour proposer aux familles des écoles dignes de ce nom : les écoles hors contrat peuvent légitimement s’inquiéter de leur avenir. Elles seront sinon interdites, du moins asphyxiées financièrement par le retrait des avantages fiscaux pour leurs bienfaiteurs.

    Ces points essentiels ne peuvent être soumis à un quelconque marchandage, car ils sont l’expression même de la Loi Naturelle dont dépend le Bien Commun de la société.

    A travers le vote, chacun doit exprimer dans la liberté sa responsabilité. Mais cette liberté n’est véritable que dans le respect des points soulignés ci-dessus, car ils engagent l’avenir de notre patrie comme de chacun de nous.

    Abbé Denis Coiffet

    Abbé Vincent Ribeton

    Abbé Guillaume de Tanoüarn 

     
     

    Contacts presse :

    deuxiemetour@orange.fr

  • Reçu aujourd'hui, je vous le communique


    > objet : FW: TR: Informations
    >
    >

    > Ce n'est rien de nouveau, mais tout le monde semble vouloir l'ignorer !
    > La "droite" a commencé avec le "contrôle des immigrations", les "retours à la frontière ou au pays", la révision des "aides injustifiées aux profiteurs n'ayant jamais travaillé en France et ne parlant pas le français" !
    > C'est du moins un bon début, mais l'opposition leur tombe dessus à bras raccourcis !
    > Mais la "gauche" veut ignorer cela (pour bénéficier des voix de ces intrus !).
    > Ceux qui feront passer la "gauche", oseront-ils encore regarder leurs enfants dans les yeux dans quelques années ?

    >

    > Est-ce uniquement pour faire "dégager" Sarkozy, qu'ils acceptent de donner leur voix à un candidat dont on est sûr qu'il ne saura pas gouverner la France (?). Même son ex-compagne affirmait qu'il n'a "jamais travaillé"...., mais qu'il a ruiné sa Région, dont il est le président... alors ??
    > Après toutes les méchancetés que les "éléphants" ont balancées à leur Hollande, croit-on vraiment qu'ils pourront gouverner ensemble ?
    > La Bourse va chuter, les pays amis (Allemagne, USA...) vont se détourner de nous (c'est déjà perceptible chez les Allemands !). Nous allons sans doute subir le sort de l'Espagne, de l'Italie, de la Grèce...

    >

    >
    >
    A chacun de décider en son âme et conscience, mais sachons que l'heure est grave !

  • Faire-part !!!!

    FRONT NATIONAL : AVIS DE DISPARITION ?

     

    mardi 24 avril 2012, par Pierre Picace

     

    Le site Challenges.fr révèle le nom que pourrait prendre le Front national après les élections législatives. « Le 2 janvier dernier, en toute discrétion, Louis Aliot, a déposé à l’INPI le nom "Alliance pour un rassemblement national". ». Une opération qui n’aurait pas reçu l’aval du président d’honneur du FN, pour qui : "On fonde un autre parti quand on a fait faillite, pas quand on a du succès !".

     

  • EDITORIAL

    COMMUNIQUE DE PRESSE DE CARL LANG

    PRESIDENT DU PARTI DE LA FRANCE

    21 avril 2002- 22 avril 2012 : La grande revanche du Parti Socialiste et la victoire de la bipolarisation Gauche-Droite

    Les annonces et les attentes  du  grand bouleversement du système politique français à l’occasion de cette élection présidentielle ont fait long feu. Nous assistons à la qualification plus que  facile des deux candidats des habituels partis de gouvernement. Avec 28,63% pour François Hollande et 27,18% pour Nicolas Sarkozy, ils n’ont été menacés  par personne au premier tour et sont les seuls à passer la barre des 20%.
    Pour les autres candidats, dix ans après 2002, nous constatons  un quasi statu quo électoral.
    En 2002, le parti communiste et l’extrême   gauche recueillaient ;  3,37% pour Robert Hue, 5,72% pour Laguiller, 4,25% pour Besancenot, 0,47% pour Gluckstein , soit un total de 13,81% des voix. Aujourd’hui, Mélenchon (11,11%),  Poutou (1,15%) et Arthaud(0,56%) obtiennent ensemble 12,80% des suffrages. Rien de nouveau sous le soleil malgré les démonstrations de force du front de gauche.
    En 2002, Jean-Marie LE PEN (16,86%) et Bruno  Mégret (2,34%) totalisaient au premier tour 19,2% des voix pour la vraie droite nationale. Aujourd’hui, Marine LE PEN, en situation de monopole recueille 17,90 % des suffrages. Rien de nouveau sous le soleil malgré une exposition médiatique que n’avait jamais connue son père. Son  ralliement au discours économique de gauche ne  fera finalement que le jeu du parti socialiste au deuxième tour. Enfin,  à 9 points derrière le candidat UMP et 10 points derrière le socialiste le mythe de l’accès garanti au deuxième tour par la baguette magique de la « dédiabolisation » s’est effondré.
    Alors que la France et le monde traversent la plus grande crise financière et économique depuis 1929, les forces soi-disant  alternatives aux partis dominants disposaient des conditions historiques pour réaliser le grand changement. Il ne s’est rien passé de nouveau ; Malgré un bon résultat électoral, l’échec politique est patent. La qualification de Sarkozy et de Hollande au deuxième tour n’a finalement  été qu’une formalité.
    Jacques Chirac président sortant en 2002 obtenait 19,88% au soir du premier tour ; Nicolas Sarkozy, président sortant d’un quinquennat de crise mondiale obtient 27,08%. Lionel Jospin, le candidat PS de 2002 obtenait 16,28% et était éliminé ; François Hollande recueille 28,63% des suffrages et arrive en tête.
    Le succès de premier tour des deux partis dominants du système est donc total. C’est la revanche, 10 ans après, du parti socialiste et la victoire de la bipolarisation gauche-droite de la vie politique française.
    Nous sommes donc à des années  lumière du grand choc de 2002 qui, par la qualification au deuxième de Jean-Marie LE PEN avait ébranlé le régime de cohabitation.
    Le Parti de la France fera part de sa position politique pour le deuxième tour dans les jours prochains, et, puisque tout reste à faire, se prépare activement au rendez-vous des élections législatives de juin.
  • La FRANCE peut-elle être de retour ?

    Rendez-vous pour le deuxième tour !!!!

    Le 6 mai, faîtes votre devoir, allez voter, votre choix est décisif pour l'avenir de notre pays, la FRANCE.

    Mon choix est fait, non au retour des socialos-communistes.


    Dominique SLABOLEPSZY


  • Rendez-vous pour le deuxième tour !!!!

    Demain faîtes votre devoir, allez voter, votre choix sera décisif pour le deuxième tour.


  • A méditer pour le deuxième tour !!!!

     

    Objet: Message aux indecis de Jean d'Ormesson

    • La victoire de François Hollande est à peu près acquise, et elle risque d'être éclatante.
      Le moment est idéal pour se déclarer sarkozyste.
      La question n'est pas de savoir qui l'emportera en mai 2012.
      On a longtemps été convaincu dur comme fer que ce serait M. Strauss-Kahn.
      On a pu croire que ce serait Mme Aubry.
      On a même pu imaginer que, par un coup du sort, ce serait Mme Le Pen.
      Il n'est pas tout à fait exclu que M. Bayrou, M. Mélenchon, M. Montebourg se soient monté le bourrichon jusqu'à se persuader de leur chance de l'emporter.
      Tout sauf Sarkozy.
      N'importe qui sauf Sarkozy.
      Ce sera M. Hollande.
      François Hollande est un parfait honnête homme. Il est intelligent, charmant, cultivé, et même spirituel.
      Il y a chez cet homme-là un mélange de doux rêveur et de professeur Nimbus égaré dans la politique qui le rend sympathique.
      Il est mondialement connu en Corrèze.
      Ce n'est pas lui qui irait courir les établissements de luxe sur les Champs-Élysées, ni les suites des grands hôtels à New York ou à Lille, ni les yachts des milliardaires.
      Il ferait, je le dis sans affectation et sans crainte, un excellent président de la IVe République. Ou plutôt de la IIIe.
      Par temps calme et sans nuages. Il n'est jamais trop bas. Mais pas non plus trop haut.
      C'est une espèce d'entre-deux: un pis-aller historique.
      Ce n'est pas Mitterrand: ce serait plutôt Guy Mollet. Ce n'est pas Jaurès ni Léon Blum: c'est Albert Lebrun. Ce n'est pas Clemenceau: c'est Deschanel.
      Il parle un joli français. Et sa syntaxe est impeccable. On pourrait peut-être l'élire à l'Académie française. Ce serait très bien. Mais en aucun cas à la tête de la Ve République, par gros temps et avis de tempête.
      C'est vrai: Sarkozy en a trop fait. Hollande, c'est l'inverse. Car n'avoir rien fait est un immense avantage, mais il ne faut pas en abuser. Il n'est pas exclu, il est même possible ou plus que possible, que M. Hollande soit élu en mai prochain président de la République.
      C'est qu'à eux deux, M. Hollande et le PS, qui sont assez loin d'être d'accord entre eux -je ne parle même pas de M. Mélenchon ni de Mme Joly dont ils ont absolument besoin pour gagner et dont les idées sont radicalement opposées à celles de M. Hollande-, ont des arguments de poids : la retraite à 60 ans (quand la durée de vie ne cesse de s'allonger), 60.000 nouveaux fonctionnaires (quand il s'agit surtout de réduire les dépenses publiques), 30% de baisse sur les traitements du président et des ministres (même M. Jean-Marie Le Pen, de glorieuse mémoire, n'a jamais osé aller aussi loin dans le populisme et la démagogie).
      Avec des atouts comme ceux-là, on a de bonnes chances de gagner.
      Aussi n'est-ce pas dans la perspective de l'élection de 2012 que je me situe.
      C'est avec le souci du jugement de l'histoire. M. Sarkozy, autant le reconnaitre, a fait pas mal d'erreurs.
      À voir comment se présente la campagne d'un Parti socialiste qui semble n'avoir pas appris grand-chose des leçons de son temps, ce sera bien pire avec lui qu'avec M. Sarkozy. Les déclarations d'intention ne valent rien.
      Il faut des exemples vivants.
      M. Zapatero, en Espagne, est un homme plus qu'estimable. Il est socialiste. Le chômage en Espagne est plus du double du nôtre.
      M. Papandréou en Grèce est socialiste. Est-ce le sort de la Grèce que nous souhaitons pour la France?
      M. Sarkozy a été plus attaqué, plus vilipendé, plus trainé dans la boue qu'aucun dirigeant depuis de longues années.
      Il a pourtant maintenu le pays hors de l'eau au cours d'une des pires crises que nous ayons jamais connues.
      Il n'est même pas impossible que Mme Merkel et lui aient sauvé l'Europe et l'euro.
      Pour affronter le jugement de l'histoire, je choisis le camp, à peu près cohérent, Sarkozy-Fillon-Juppé contre le camp, incohérent jusqu'à l'absurde, Hollande (Hollande président ? On croit rêver, disait Fabius) -Aubry-Joly-Mélenchon.
      Bonaparte Premier consul prétendait que le seul crime en politique consistait à avoir des ambitions plus hautes que ses capacités.
      Je suis sûr que François Hollande lui-même a des cauchemars la nuit à l'idée d'être appelé demain à diriger le pays avec le concours des amis de toutes sortes et étrangement bariolés que lui a réservés le destin.
      Je veux bien croire -je n'en suis pas si sûr que pour 2012 les dés sont déjà jetés, que les handicaps du président sortant sont bien lourds pour être surmontés, que le retard est trop rude pour être rattrapé.
      J'imagine très bien l'explosion d'enthousiasme sur la place de la Bastille ce soir de mai 2012 où l'élection de M. François Hollande à la magistrature suprême sera enfin annoncée.
      Je me demande seulement dans quel état sera la France en 2014 ou en 2015.
  • La DROITE NATIONALE est-elle divisée ?

    LE PEN OR NOT LE PEN ? : LA DROITE NATIONALE DIVISÉE…

    jeudi 19 avril 2012, par Pierre Picace

    Marine or not Marine ? C’est la question que se pose une partie de ce qui faisait le noyau dur de l’électorat frontiste. En son temps, Jean-Marie Le Pen faisait consensus et la question ne se posait pas ou presque pas. Avec Marine Le Pen, il en va tout autrement.

    Pour asseoir son entreprise de dé-diabolisation du Front national, la fille de Jean-Marie Le Pen n’a pas hésité à jeter en pâture tout ce qui lui semblait faire tâche avec son projet [1] [2].

    A trois jours du premier tour, la droite nationale ayant échoué à présenter un candidat de substitution se trouve contrainte de faire un choix. Les catholiques sont partagés entre "moindre mal et moindre pire" malgré les points non négociables [3] qu’ils ont eux mêmes mis sur la table pour se déterminer en faveur d’un candidat.

    Le journal Minute (par raison plus que par conviction ?) consacre sa Une au vote "utile" en faveur de Marine Le Pen, alors que dans une tribune libre publiée dans le même hebdomadaire son ancien rédacteur en chef, Bruno Larebière, explique pourquoi, il va voter Sarkozy.

    Dans Rivarol, Jérôme Bourbon "ne donne aucune consigne de vote et laisse une totale liberté d’appréciation à ses lecteurs." [4]

    Le candidat malheureux de l’Union de la droite nationale (UDN), Carl Lang ne donne pas de consigne de vote, même son de cloche du côté du Mouvement national républicain (MNR). Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale et proche de Robert Spieler de la Nouvelle droite populaire (NDP) se pose la même question [5] : Que Faire ?.

    Le président de Troisième Voie, Serge Ayoub, appelle lui au vote "utile". Un soutien qui devrait combler de joie la présidente du FN…

    Mais que pèse cet électorat et combien seront-ils à s’abstenir ou à voter pour un autre candidat dimanche ? Marine Le Pen a déjà prévenu qu’autour de 17% ce serait une victoire, que de réitérer le score de son père une déception et en dessous… "Les catholiques, les pétainistes et les obsédés de la Shoah…" sont-ils prêts à tendre l’autre joue ? C’est toute la question !

     

    Notes

    [1] " Je suis opposée à voir revenir au FN des groupuscules radicaux, caricaturaux, anachroniques. Entre les catholiques, les pétainistes et les obsédés de la Shoah, ça ne me paraît pas cohérent. Le FN ne servira pas de caisse de résonance à leurs obsessions." Montpellier, 4 décembre 2010.

    [2] "J’ai joué le choix. Parce que moi je crois que les synthèses, c’est nul. On voit ce que ça donne au PS, c’est dramatique. Et je crois que la politique, ça s’incarne." Marine Le Pen.

    [3] Le respect de la vie, la défense de la famille, la liberté scolaire (défense de l’école privée).

    [4] "Cette année RIVAROL ne donne aucune consigne de vote et laisse une totale liberté d’appréciation à ses lecteurs. Chacun se déterminera en son âme et conscience. Les rivaroliens sont en effet assez grands pour savoir ce qu’ils ont à faire. Certains s’abstiendront (c’est ce que nous ferons à titre personnel aux deux tours du scrutin), d’autres voteront blanc ou nul, d’autres enfin, engageant leur seule responsabilité, voteront en faveur du candidat qui leur paraît le moins éloigné de leurs idées ou le plus apte à leurs yeux à assumer la magistrature suprême. Quel que soit le choix fait par les uns et par les autres, évitons de nous anathématiser, de nous excommunier réciproquement pour des questions purement électorales et donc tout à fait secondaires. De toute façon aucune révolution salvatrice ne sortira des urnes. Les dés sont pipés, le système est verrouillé, l’électoralisme est la tare et la sauvegarde du régime. De plus, les dix candidats en lice qui ont été présélectionnés (ce n’est pas un hasard que Poutou, Arthaud et Cheminade aient eu leurs signatures au contraire de Carl Lang  !) sont tous pour la déesse laïcité, les valeurs de la République, le droit à l’avortement, le Pacs. Tous sont soumis au lobby gay et au lobby juif. L’affaire Vanneste et la mort de Raymond Samuel-Aubrac l’ont amplement montré. Si le Front national était resté fidèle à ce qu’il fut naguère nous l’aurions évidemment soutenu, fût-ce de manière critique, mais le Front mariniste n’a plus à rien à voir avec le FN canal historique que nous avons aimé, soutenu, servi avec sincérité et enthousiasme, même si en quarante ans d’existence force est de reconnaître qu’il n’a rien pu empêcher, ni l’invasion de notre pays, ni le démembrement de notre souveraineté, ni le délitement de notre civilisation. Une dernière preuve parmi tant d’autres de la triste mutation de ce parti  : Marine Le Pen a exigé de Bruno Gollnisch qu’il retire immédiatement l’éloge de François Brigneau que ce dernier avait posté sur son blog à l’annonce de sa disparition. En revanche, la présidente du FN a rendu un vibrant hommage à Raymond Aubrac, «  un grand homme et un grand résistant  » tandis qu’elle compare l’islamisme à «  un fascisme vert  » (sic !)"

    [5] " En 2007, le leurre du moment s’appelait Sarkozy (l’avenir a confirmé nos appréhensions), et même si la campagne du FN nous semblait prendre des tournures inquiétantes (Valmy, Argenteuil…) nous avions appelé, sans hésitation aucune, à voter pour Jean-Marie Le Pen (cf. Synthèse natio nale n°2 et 3). Cette année, nous l’avons vu, les choses sont différentes. Alors, me dire-vous, dans ces conditions que faire le 22 avril ? Ma réponse est simple et elle n’engage que moi : faites ce que vous voulez… vous êtes prévenus. Pour ma part, je resterai chez moi."

  • Présidentielle du 22 avril 2012

     

     

    1er tour de la Présidentielle :

     
    Constatant qu'aucun représentant de la droite nationale ne concourt à l'élection présidentielle, le Parti de la France laisse à ses militants, ses adhérents et ses sympathisants l'entière liberté de choisir ou de ne pas choisir dimanche prochain.

    Le Parti de la France ne donne aucune consigne de vote pour le 1er tour de l'élection présidentielle
     
  • Dernières nouvelles

    A moins d'une semaine du premier tour des présidentielles, certains pensent à leur carrière, ils supputent sur la présence de tel ou telle dans les circonscriptions qu'ils convoitent.

    Ce début de semaine, dans la 21ème circonscription du NORD, un sondage IPSOS est en cours de réalisation.

    Les éventuels candidats proposés (qu'est-ce qu'ils en savent ?), sont ceux qui le seront, ou doivent l'être.

    Il s'agit de :

    Jean-Louis BORLOO, le sortant, candidat pour la cinquième fois.

    Fabien THIEME du Front de Gauche, ancien député, candidat pour la sixième fois.

    Dominique SLABOLEPSZY pour l'UNION de la DROITE NATIONALE, ancien candidat du FN, candidat pour la sixième fois.

    Sandrine ROUSSEAU pour les VERTS, avec le soutien du PS.

    Guy CANNIE, le coucou du Front National.

    Martial ESMANS pour Lutte Ouvrière, lui aussi candidat à plusieurs reprises.

    Tous ces éventuels candidats sont bien connus des électrices et électeurs de la circonscription, sauf le candidat FN, absent permanent du secteur, et pour cause, il habite la région de Lille.

    Qui a commandé ce sondage ? L'UMP, une des composantes de la gauche, ou peut-être bien tout simplement la VOIX du NORD.

    Sera t-il publié, qui en aura connaissance ?

  • Brigneau, Bidault, suite !!!!!!

    FN/GEORGES BIDAULT : UN ARGUMENT QUI NE RÉSISTE PAS À L’ÉPREUVE DU TEMPS…

    jeudi 12 avril 2012, par Pierre Picace

     

    Les vieux militants du Front national ont pu constater l’assourdissant silence des dirigeants [1] du FN à l’annonce du décès du journaliste et polémiste François Brigneau, qui fut pourtant le principal instigateur du parti que dirige aujourd’hui Marine Le Pen.

    Interrogé par l’AFP, Jean-Marie Le Pen a eu ces quelques phrases sibyllines pour évoquer la disparition de son ancien compagnon de route : "C’était un copain breton, mais il a toujours été contre moi dans mes initiatives politiques. Il a choisi (Bruno) Mégret" en 1998, dit Jean-Marie Le Pen, qui se souvient d’un "garçon intelligent, cultivé, courageux".

    Hier, sur Canal +, Marine Le Pen, a qualifié Raymond Aubrac, décédé la veille, de "grand résistant". Et lorsqu’il lui a été fait remarquer que parmi les fondateurs du Front national, en 1972, se trouvaient des hommes qui avaient participé à la collaboration, Mme Le Pen a fait remarquer pour couper court qu’"il y a eu" aussi "beaucoup de très grands résistants" parmi ces mêmes fondateurs. "Il y avait même le successeur de M. Jean Moulin et vous le savez très bien", en faisant référence à Georges Bidault. Un contre-feu déjà utilisé le matin même par le vice-président du FN, Louis Aliot quand on l’a interrogé sur le même sujet.

    Sept jours de réflexion…

    Si, il est vrai que le Mouvement pour la Justice et la Liberté (MJL) de Georges Bidault était présent le 5 octobre 1972 pour la création du Front National pour l’Unité Française (FNUF), où François Brigneau, Jean-Marie Le Pen et Guy Ribeaud (Georges Bidault) sont nommés co-présidents, il n’en est pas moins vrai que "le successeur de Jean Moulin" annoncera une semaine plus tard son départ et celui du MJL de ce qui deviendra plus tard le Front national tout court.

    Ce n’est donc pas très étonnant, si les journalistes ne se souviennent pas de lui en tant que membre fondateur, puisqu’il ne participait même pas au premier bureau politique du FNUF…

    Premier bureau politique du FN : le 12 octobre 1972

    Président : Jean-Marie Le Pen

    Vice-président : François Brigneau (Ordre Nouveau)

    Secrétaire général : Alain Robert (ON)

    Secrétaire général adjoint : Roger Holeindre

    Trésorier : Pierre Bousquet (Militant)

    Trésorier adjoint : Pierre Durand

    Lire aussi l’article du Nouvel Observateur qui malgré quelques erreurs factuelles explique assez bien l’attitude du Front national de Marine Le Pen

     

    Notes

    [1] Seul Bruno Gollnisch a publié un texte intitulé François Brigneau nous a quittés, mais il semble avoir été retiré depuis. Un oukase de la direction du FN ?

    1 Message

     

     

    "Seul Bruno Gollnisch a publié un texte intitulé François Brigneau nous a quittés, mais il semble avoir été retiré depuis."
    En effet, c’est une information importante qui démontre, encore une fois, que l’on peut avoir quelques doutes quant à Bruno Gollnisch. C’est dommage.
    Quant au FuN, il a totalement changé d’orientation politique. Ah, si l’on avait parlé de Maurice Thorez, ce communiste et traitre à la France, il ne fait, maintenant, aucun doute que ce parti politique en aurait plutôt parlé deux fois qu’une seule. :-(