Que 2011 soit l'année de la reconnaissance de nos efforts communs afin que flambe l'Espérance!
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Que 2011 soit l'année de la reconnaissance de nos efforts communs afin que flambe l'Espérance!
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dimanche 12 décembre 2010, par
Devant le tollé provoqué par les déclarations de Marine Le Pen à Lyon sur "l’occupation des rues", son rival et concurrent à la succession de Jean-Marie Le Pen, Bruno Gollnisch se déclare "solidaire de la liberté d’expression de Marine Le Pen" comme ajoute-il " je l’ai toujours été avec Jean-Marie Le Pen, et avec tous ceux qui furent attaqués par le Système pour avoir usé de cette liberté. "
Il remarque néanmoins que "La polémique entretenue contre Marine Le Pen au sujet de ses récents propos tenus à Lyon sur l’Occupation démontre, si il en était besoin, les limites de la stratégie dite de « dédiabolisation ». " assurant que "Le système politico-médiatique" veut toujours plus de gages.
Pour le vice-président du FN, "La vraie dédiabolisation " passe par "la prise de conscience par les Français de la justesse" des analyses et des propositions du Front national.
Marine Le Pen avait dit récemment craindre que la stratégie de rassemblement de la droite nationale de son concurrent "ne conduise "dans le tunnel sans fin de la diabolisation".
Grande réunion publique de début d'année 2011
du Parti de la France à Paris
Le samedi 29 janvier 2011,de 15 heures à 18h30, au forum de Grenelle, 5 rue de la Croix Nivert, Paris 15ème, Le Parti de la France tiendra sa première grande réunion publique de l'année 2011, suivie de la traditionnelle galette des rois.
A cette occasion Carl Lang et les dirigeants du Parti de la France présenteront la stratégie et les objectifs de notre mouvement dans la perspective de l'élection présidentielle et des élections législatives de 2012.
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mercredi 8 décembre 2010, par
Photos DR.
C’était au tour de Bruno Gollnisch de réunir hier soir ses partisans dans la même boîte de nuit parisienne du XVe arrondissement, où quelques semaines plus tôt, sa concurrente à la présidence du Front National, Marine le Pen, s’était exprimée. Devant plusieurs centaines d’inconditionnels, le candidat s’est d’abord voulu onirique, déclarant en plagiant Martin Luther King, qu’il avait fait un rêve. " I have a dream " a-t-il dit, un rêve dans lequel « le Front National avait gagné les élections, toutes les élections », après que les « conservateurs attachés aux valeurs traditionnels », les partisans orphelins de Philippe de Villiers, ceux de Jean Pierre Chevènement, et des blocs de l’UMP se soient agrégés au Front National. Pas n’importe lequel d’ailleurs, puisque gardant aussi bien les pieds sur terre, et que du rêve à la réalité il restait sans doute dans l’esprit de l’auteur du chemin à faire, c’était celui qui aurait d’abord « accueilli en son sein la famille nationale toute entière » dont il s’agissait. La France telle que rêvée par Bruno Gollnisch, c’est celle du programme du Front national, accordant tout à la fois la priorité à la préférence nationale, la mise en œuvre d’une véritable politique familiale et de défense des intérêts français. Un rêve qui verrait nos banlieues retrouver leurs visages d’antan, Clichy sous Bois, Villiers Le bel, Vaulx-en-Velin, débarrassés de leurs délinquants, grâce à Marine Le Pen que Bruno Gollnisch verrait bien dans son rêve accéder aux postes de ministre de l’Intérieur et de porte parole du gouvernement, tandis que Jean Marie le Pen se verrait confier celui de Président du Conseil Constitutionnel. Sortie de l’OTAN, nos troupes retirées d’Afghanistan, la France de retour sur la scène internationale recouvrirait sa place perdue au cœur d’une Europe qu’il souhaitait voir retrouver sa vocation civilisationnelle. Ecartant les reproches parfois virulents qui lui ont été faites de vouloir fédérer les groupuscules d’extrême droite, Bruno Gollnisch a dit n’avoir rencontré que « de braves gens » au cours de ses tournées. Convaincu que sa stratégie de rassemblement était la bonne pour redonner au Front National toutes ses chances d’accéder au pouvoir, Bruno Gollinisch s’est montré hier soir devant des partisans enthousiastes, plus déterminé que jamais à poursuivre son ambition. Non pour gérer les affaires du système, mais pour le combattre, ce qui doit rester la vocation du parti, du Front National, a rappelé le candidat.
Domination…
samedi 11 décembre 2010, par
Même s’il dit ne pas douter de l’issue du Congrès de Tours, le vieux leader du Front national n’en demeure pas moins d’une prudence de chattemite. Celui-ci entend bien conserver un œil et le bon sur son "bébé".
D’abord en se concoctant un statut d’"hyper président d’honneur" avec voix au chapitre dans toutes les instances dirigeantes du parti, bureau exécutif, Bureau politique, Comité central, et même la Commission d’investiture. Et quand on connait le caractère du "Menhir" ce n’est surement pas pour faire de la figuration. Prudent tout de même, Jean-Marie Le Pen fera adopter son nouveau statut avant les résultats du vote du nouveau Comité central, des fois que…
Ensuite le patron du FN entend bien conserver la présidence du micro-parti qui lui servait jusqu’à présent à lever des fonds pour ses campagnes. Cotelec pour l’occasion rebaptisé "Jean-Marie Le Pen-Cotelec" continuera donc à collecter tous les prêts et les dons que des sympathisants ou des cadres du mouvements mettaient à la disposition du président du FN.
Une manière comme une autre de placer sous tutelle son successeur à la tête du parti. Puisque après la déroute financière du FN en 2007, l’association de financement a consenti des prêts pour couvrir les échéances. et comme ce n’est pas la vente du Paquebot qui renflouera les caisses du FN et du futur président, autant dire que Jean-Marie Le Pen restera seul maître à bord.
"Courant octobre 2007, à la veille du congrès de BORDEAUX, j'avais eu l'impudeur de faire une digression au sujet de COTELEC, j'ai été menacé par le patron, de plainte en diffamation : chassez le naturel, il revient au galop"
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C’est l’amour, mour mour…
mardi 30 novembre 2010, par
Omniprésente dans les médias, Marine Le Pen semble vivre une belle histoire "d’amour" avec eux. Attention cependant à ce que la lune de miel ne se transforme pas en lune de fiel. Surtout que le couple n’était pas fait pour se rencontrer. Mais en attendant tout semble baigner, même si on a du mal à s’expliquer cette attirance contre nature.
Pas moins de six rendez-vous médiatiques dans les semaines à venir dont le Grand Jury RTL / Le Monde ou A vous de juger, animé par Arlette Chabot sur France 2. Vingt-huit invitations entre le début du mois d’octobre et la fin novembre. Impossible donc d’échapper à Marine Le Pen et au message politique du FN sur les ondes radios ou les chaînes de télé. En trois ans à peine, la benjamine du clan Le Pen a réussi à venir à bout de l’ostracisme médiatique qui frappait son père depuis trente ans.
Alors, qu’est ce qui a changé et pourquoi un tel revirement des médias à l’égard du Front national ou tout au moins de Marine Le Pen, puisque sauf période électorale, les autres représentants du parti lepéniste sont tout comme par le passé superbement ignorés. Parce que, comme elle l’explique, “j’ai 40 ans et c’est difficile de me mettre un baudrier” ou bien comme disent ses fans parce qu’“elle a du charisme et du répondant” ou bien encore parce qu’elle fait monter l’audimat ?
Mais son père lui aussi faisait grimper l’audimat, en plus il ne rechignait jamais à enfiler le “baudrier“ pour le plus grand plaisir des journalistes qui en redemandaient et ce n’est pas pour cela qu’il était plus “invité“ au contraire. De l’intérêt pour le FN “light” ? Jean-Marie Le Pen lui-même a reconnu que cela n’intéressait personne.
La “barrière sanitaire”, politique, médiatique, sociale, dressée autour du FN et de son président a toujours été dénoncée par le parti frontiste comme étant le fruit d’un pacte secret entre le pouvoir, les “élites” et certains lobbies et officines mondialistes… Une digue qui a tenu bon même si cela à parfois coûté très cher à la droite. On ne voit donc pas comment ces mêmes médias s’affranchiraient de leurs propres chefs de ce “veto“, alors qu’ils n’ont pas changé “d’actionnaires” et que les journalistes sont, peu ou prou, les mêmes qu’il y a 20 ans.
Des journaux, comme Le Monde ou Libération, pourtant peu suspects de sympathie pour le FN ont pris le parti de “l’héritière dans la campagne de succession, son concurrent étant systématiquement présenté sous les traits de “l’extrémiste de service“ soutenu par la frange la plus radicale de la droite nationale, ignorant même ou plutôt feignant d’ignorer la présence, dans l’entourage proche de la candidate, d’admirateurs du président iranien Amadhinedjad. Dernièrement, le politologue Jean-yves Camus a réussi à faire un curieux amalgame entre un auteur ayant écrit un livre sur “La mafia juive” et collaborant à l’hebdomadaire Rivarol avec Bruno Gollnisch au prétexte que le directeur du journal soutient le rival de Marine Le Pen. Tordue comme démonstration, mais effet garantie au journal de 20H.
Autre incohérence, mais est-ce que la cohérence a encore une importance, Bruno Gollnisch est parfois présenté comme le candidat du système. Moins connu, moins charismatique, réactionnaire catho-tradi, il serait le candidat idéal pour sauver l’UMPS d’une déroute et d’un possible avril 2002 à l’envers. Pourtant, c’est la “promo” de Marine qui est faite. Allez comprendre !
Et comme si cela ne suffisait pas et alors que la campagne pour la succession tire sur sa fin, les instituts de sondages songeraient à intégrer le nom de Bruno Gollnisch dans leurs listes. Pas difficile d’imaginer surtout si l’on s’appelle Roland Cayrol les pourcentages que pourrait obtenir un Bruno Gollnisch absent des médias face à une Marine le Pen qui y figure depuis de longs mois et omniprésente à la télé…
Cela voudrait-il dire que tout le système a succombé au charme de Marine ?
Non, ! pas tous !
Deux irréductibles résistent encore : Michel Drucker et Laurent Ruquier. Mais pour combien de temps encore ?
Les Suisses ont approuvé dimanche l'initiative de la droite populiste (UDC) sur l'expulsion automatique de criminels étrangers. Le oui en faveur du durcissement de la politique de renvoi pour les criminels étrangers l'emporte avec 52,9% des voix contre 47,1% de non. Le contre-projet présenté par le gouvernement a quant à lui été repoussé à 54,2%.
Le renvoi des criminels étrangers est déjà possible en Suisse sous certaines conditions mais le texte proposé par l'UDC va plus loin en proposant un retrait automatique du droit de séjour des étrangers inculpés sans prendre en compte la gravité des délits, le renvoi fonctionnant autant pour des crimes graves que pour les cas d'"abus de l'aide sociale". Toute la classe politique, à l'exception de l'UDC, s'est indignée de ce vote, comme pour l'affaire des minarets. Le pays réel a pris le pas sur le pays légal.
Bruno Gollnisch a estimé :
"Cette mesure de bon sens, acquise contre la volonté des partis dominants, permettrait en France de libérer un très grand nombre des places de prisons. Elle serait dissuasive à l’égard de beaucoup de petits et grands délinquants dont les français les plus humbles sont contraints de supporter les méfaits."
Vendredi 12 novembre 2010
COMMUNIQUE DE PRESSE DE CARL LANG
PRESIDENT DU PARTI DE LA FRANCE
Après les Chrétiens d’Iraq, les Chrétiens de France?
Le Parti de la France appelle ses adhérents et sympathisants à se joindre à la manifestation de soutien aux Chrétiens d'Iraq le dimanche 14 novembre à 14 heures, à Paris devant la statue de la Liberté sur le pont de Grenelle.
Les patriotes français manifesteront ainsi leur soutien aux victimes chrétiennes du terrorisme islamiste en Iraq et plus généralement aux communautés chrétiennes persécutées dans le monde musulman, notamment :
- au Pakistan où, comme en Iraq, des chrétiens sont massacrés dans leurs églises mêmes ;
- en Egypte où les huit millions de Coptes, traités dans leur propre pays comme des citoyens de seconde catégorie, sont livrés sans défense aux exactions des islamistes ;
- en Arabie Saoudite dont le régime, qui finance en France la construction de mosquées, interdit toute pratique du culte chrétien ;
- au Liban où le Hezbollah, soutenu par le régime islamiste iranien, remet en cause l'identité du seul pays du Proche-Orient dans lequel les chrétiens ont les mêmes droits que les musulmans ;
- en Algérie où le régime FLN interdit les conversions au christianisme ;
- en Turquie où les communautés chrétiennes - arménienne, grecque, syriaque... - fortes de plusieurs millions d'âmes ont été éradiquées par génocide ou par épuration ethnique ;
- au Kosovo où les orthodoxes doivent quitter cette province qui est le cœur historique de la Serbie orthodoxe ;
- enfin dans de plus en plus de nos quartiers, voire de nos villes, dans lesquels les Français de souche deviennent des dhimis.
Le totalitarisme révolutionnaire islamiste en effet n'est pas un phénomène qui concernerait uniquement des pays lointains mais, conséquence d'une politique d'immigration suicidaire, de la déchristianisation de notre société et de son islamisation encouragée par les partis de la Vème République, il menace désormais l'identité et les libertés du peuple français.
Face à ce péril mortel, Le Parti de la France et Carl Lang appellent toutes les bonnes volontés à la Résistance.
Le Parti de la France Email : contact@parti-de-la-france.fr
Site : http://www.parti-de-la-france.fr
Le FN de papa, c’est fini…
jeudi 4 novembre 2010, par
“Si Bruno Gollnisch était élu, il y aurait un choc très grave.” Cette menace à peine voilée de Jean-Marie Le Pen montre que la campagne pour sa succession ne se passe pas aussi bien que prévue pour sa fille. A qui la faute ? En partie à Bruno Gollnisch qui prend la chose au sérieux et ne se résigne pas au simple rôle de faire-valoir. Mais surtout à Marine le Pen !
En liant la campagne pour la succession et l’élection présidentielle de 2012, Marine Le Pen s’est magistralement compliquée la vie pour la conquête du FN. Un choix tactique qui rappelle la campagne de 2007 au cours de laquelle Jean-Marie Le Pen et le Front national avaient tenté de séduire un électorat traditionnellement hostile aux thèses du FN (discours de Valmy, dalle d’Argenteuil). Une stratégie qui a eu surtout pour résultat de désorienter une partie de l’électorat classique du FN sans pour autant faire gagner des “parts de marché” au “FN light” (Il est vrai que Jean-Marie Le Pen n’était peut-être pas le plus crédible pour interpréter le rôle écrit par sa fille.).
La reprise du rôle par Marine rencontre un certain succès auprès des médias. Celle-ci est devenue la vitrine nouvelle d’un nouveau FN fréquentable. Un Front national enfin débarrassé des “encombrants”, des nostalgiques de ceci ou de cela, des grenouilles de bénitier, des néos-machins-choses, des “bouffeurs” de gueuse, des régionalistes patoisants, des bas du crâne de l’extrème-droite. Bref avec elle s’en sera fini du FN de papa. D’ailleurs cela se remarque dans les sondages d’intentions de vote, de notoriété, Marine à tout bon. Les journalistes s’en félicitent, les partisans de Marine s’en félicitent. Un boulevard radieux s’ouvre pour 2012 devant Marine qui rêve de rencontrer Martine pour un second tour infernal.
Alors pourquoi tant de fébrilité de la part de Marine Le Pen et de ses amis ? Parce qu’à force de faire le grand écart entre campagne interne et campagne externe devant les journalistes qui la suivent et les adhérents venus l’écouter, de tenir un discours susceptible de plaire aux uns sans trop déplaire aux autres, elle a fini par déstabiliser une partie du noyau dur des militants qui se reconnaît dorénavant, pour une raison ou une autre, parmi les “encombrants”.
Alors ! Et si Marine Le Pen se faisait finalement coiffer sur le poteau par son adversaire pour avoir voulu séduire les hypothétiques électeurs de 2012 avant son propre camp. Cette éventualité improbable il y encore deux mois s’est malgré tout peu à peu imposé aux observateurs. Envisagée comme une simple formalité, la campagne pour la succession, si elle ne vire pas tout à fait au cauchemar, prend quand même des allures de chemin de croix pour Marine et son équipe.
Se mettre à dos les “dernières grenouilles de bénitier” et autres, jeter systématiquement le doute sur les “capacités” à diriger le mouvement de son concurrent et pour finir menacer de partir si le résultat du vote lui est défavorable, ne sont pas forcément les meilleurs moyens de remporter la timbale.
Indéniablement le mélange des genres profite à son adversaire. Celui-ci ne s’est pas trompé de campagne en conservant dans sa ligne de mire le congrès de janvier prochain. Sa candidature placée sous le signe du rassemblement trouve un écho auprès des militants. Le discours qui demeure globalement dans la ligne défendue pendant de longues années par Jean-Marie Le Pen et le Front national séduit à la fois les anciens (le soutien du président du CNC Roger Holeindre est en ce sens une très bonne nouvelle pour Bruno Gollnisch) mais aussi chez les jeunes du FNJ [1]. Jugé terne par les médias en comparaison de sa rivale, Bruno Gollnisch se révèle au fil de la compétition, un adversaire pugnace, solide, sérieux et tout à fait en mesure de l’emporter.
[1] Quatre militants du Front national de la jeunesse (FNJ) viennent de passer devant la commission de discipline du parti pour des raisons diverses, mais tous ayant en commun de soutenir B. Gollnisch. C’est Jean-Marie Le Pen en dernier ressort qui devrait trancher, mais il ne fait pas de doute qu’une ou plusieurs exclusions pour l’exemple devraient s’en suivre.
L'incapacité permanente des partenaires sociaux, des parlementaires et de l'Etat à rétablir l'équilibre des comptes de la sécurité sociale et en particulier de l'assurance maladie entraîne toujours plus de sanctions financières et médicales à l'encontre des Français.
Pendant que les Français cotisent toujours plus et sont remboursés toujours moins, les immigrés clandestins bénéficient grâce à l'Aide Médicale d'Etat (A.M.E) d'une couverture médicale à 100% pour eux-mêmes, leurs conjoints et leurs enfants, en échange d'un dérisoire droit d'entrée annuel de 30 euros.
Avec les 13,10% de charges patronales et 0,75% de charges salariales mensuelles consacrées à l'assurance maladie qui pèsent sur les emplois français pour un taux de remboursement des soins par la sécurité sociale de 70%, il est clair qu'il est préférable d'être un immigré clandestin en France qu'un travailleur français pour bénéficier d'une couverture maladie totale.
Le Parti de la France réaffirme la nécessité de supprimer l'A.M.E qui n'est qu'une Aide Migratoire d'Etat favorisant, parmi tant d'autres mesures anti nationales, la colonisation de la France et réclame l'application de l'exclusivité nationale pour toutes les aides sociales.
lundi 25 octobre 2010, par
Yvan Benedetti, directeur de la revue Droite Ligne et proche de Bruno Gollnisch doit comparaître cet après-midi devant la commission de discipline du Front national. Celui-ci doit s’expliquer de sa “proximité” avec le mouvement de Pierre Sidos,L’Œuvre Française.
Convoqué lui aussi, l’ancien secrétaire départemental de l’Allier, Louis de Condé récemment débarqué de son poste et remplacé à tête de la fédération par un partisan de Marine Le Pen, Gilles Channet.
Dans la même charrette doivent également comparaître une partie de l’équipe du site, Les jeunes avec Gollnisch ainsi que d’anciens responsables de la branche jeune du FN. Au mois d’août dernier, ceux-ci avaient dénoncé “les purges” menées contre des responsables FNJ soupçonnés d’être “gollnischiens”, par le responsable national du Front national de la jeunesse David Rachline.
"Louis de Condé, anti gaulliste notoire, débarqué après des dizaines d'années de loyaux services, moi-même, encore gaulliste, avec plus de 20 ans de bons et loyaux services, persécuté comme un mal-propre, mais que cherche Marine LE PEN ?
CONFORTER sa succession à tête de la PME FAMILIALE !!!!!
Celles et ceux qui sont encore au FN doivent choisir Bruno GOLLNISCH pour succéder à Jen-Marie LE PEN, c'est clairement le seul choix."
Quelle nouvelle mouche a piqué l'absent du HAINAUT ?
Ne rien faire, tout faire faire : c'est-y pas beau !
Il sait quand même injurier et dégoiser sur les autres, même si les courriers sont parfois anonymes.
La diffamation, on a l'impression qu'il ne connaît pas, même si c'est limite.
Le mis en examen, comme il l'écrit sur son blog (tiens, tiens c'est plus les pieds nickelés), accuse pour essayer de se dédouanner. Qu'en est-il ?
Ce praticien des lois, sans aucune preuve que sa bonne parole, m'avait expliqué une certaine "soi-disant" dérive de la part de son responsable départemental, dont il était le trésorier, m'intimant d'intervenir auprès des responsables nationaux du FRONT NATIONAL. C'était courant 2005 ou 2006.
1- Je n'ai rien fait et je n'ai rien dit parce que je n'avais aucune preuve matérielle, que ce n'était pas de ma responsabilité et que je n'en avais pas la compétence.
2- De fait, j'avais la certitude de m'exposer à une plainte en diffamation pour dénociation fausse ou calomnieuse.
Il a du raconter au seigneur d'Henin-Beaumont et à la candidate à la succession.
Qu'ont-ils fait de plus ?
Ce sont les plaintes croisées de PORTEJOIE et BERNARD qui sont à l'origine de sa mise en examen, pas SLABO, ni LANG.
Que la justice passe, une bonne fois pour toutes.
Pour ma part, je suis prêt à expliquer ma position à toutes celles et tous ceux qui le souhaitent.
Du reste, la lecture de ce blog démontre la lucidité de mes propos, sans aucune malveillance.
Quant aux écrits, délires, affirmations gratuites de ceux qui disent, qui écrivent, que je souhaite la mort du FRONT NATIONAL, je leur dis que je souhaite simplement la victoire du bon sens, la reprise en main de la droite nationale par des gens sérieux et intégres.
A ce sujet, j'invite toutes celles et tous ceux qui en ont assez des polémiques stériles et de bas étage, à prendre toutes dispositions pour favoriser l'élection de Bruno GOLLNISCH à la présidence du FRONT NATIONAL.
COMMUNIQUE DE PRESSE DE CARL LANG
PRESIDENT DU PARTI DE LA FRANCE
Débat à l’Assemblée sur le projet de loi
relatif à l’immigration :
La Sarnarquekozy et le grand théâtre des petits guignols
> Au-delà de quelques dispositions anecdotiques sur les mariages « gris » ou sur le rôle du juge des libertés et de la détention, ce projet de loi ne sert qu’à transposer en droit français la directive « retour » votée par le Parlement européen en 2008.
> Par ailleurs, la mesure présentée comme la plus emblématique par le gouvernement Fillon et dénoncée à grands cris d’orfraie par les belles âmes républicaines et citoyennes porte sur l’extension de la déchéance de la nationalité pour les étrangers coupables de meurtres de policiers ou de gendarmes. Il est cependant précisé par le projet de loi que cette déchéance ne pourrait pas s’appliquer si elle avait pour conséquence de « rendre apatride l’auteur des violences ». Nous voilà rassurés pour eux !
> Cette mesurette de déchéance pourtant ultra-marginale est dénoncée par Christine Boutin comme créant « une citoyenneté à deux vitesses », considérée comme « un recul de l’Etat de droit » par la Gauche et « trop sécuritaire » par le ministre du Nouveau Centre Hervé Morin. Certains députés UMP eux-mêmes éprouvent des réticences à voter ce texte.
> Alors que la France est saignée par la colonisation migratoire et l’insécurité galopante, l’insuffisance et la lâcheté du pouvoir sont criantes et l’idéologie antinationale et internationaliste de la Gauche toujours constante.
> Ces petites polémiques parlementaires autour d’un texte totalement insuffisant et inadapté ne sont que de l’esbroufe médiatique visant à cacher aux Français la réalité dramatique du processus de colonisation de notre pays et à masquer les responsabilités de la classe politique.
> Le Parti de la France qui milite pour la décolonisation de la France et de l’Europe considère que les premières mesures urgentes à mettre en œuvre pour défendre le droit du peuple français à rester lui-même sont :
> - L’arrêt immédiat de la politique de regroupement familial ;
> - La fin du renouvellement automatique des cartes de séjour pour les étrangers ;
> - Le rétablissement des contrôles à nos frontières nationales et la sortie de l’espace Schengen ;
> - L’inversion des flux migratoires extra-européens et l’expulsion systématique et réelle des clandestins ;
> - L’application de l’exclusivité nationale au profit des seuls Français pour l’ensemble des aides sociales et familiales ;
> - L’application de la préférence nationale puis européenne pour l’accès à l’emploi ;
> - L’expulsion systématique du territoire après exécution de leurs peines pour les délinquants et criminels étrangers ;
> - La réforme du code de la nationalité en supprimant l’aberrant droit du sol au profit de la transmission de la nationalité française par la filiation ou le mérite ;
> - L’interdiction de la double nationalité pour les citoyens non-européens
Refusons la colonisation !
Refusons la construction de nouvelles mosquées !
Signez la pétition du Parti de la France
Alors que dans la plupart des pays musulmans, les chrétiens ne peuvent plus construire aucun édifice religieux, ne peuvent porter aucun objet qui laisse entrevoir leur croyance, ne peuvent se réunir sans risquer leur vie et sont victimes de persécutions, en Europe en général, et en France en particulier, l’islamisation est galopante.
Chaque mois, ce sont de nouvelles villes emblématiques qui subissent la construction de mosquées. Après Marseille, Poitiers, Reims, Clermont Ferrand, c'est au tour de Provins, ville médiévale inscrite au Patrimoine Mondial de l'Humanité.
Les mosquées sont bien plus qu'un simple lieu de prières. A la différence des églises catholiques ou des temples protestants, elles ont une fonction culturelle, politique et aujourd’hui révolutionnaire.
Leur construction sur un territoire signifie pour les islamistes que ce territoire est devenu terre d'Islam et l’internationale révolutionnaire islamique a pour objectif affiché d’imposer à l’humanité la loi coranique.
Attaché à nos libertés et à la France des terroirs et des clochers, Le Parti de la France réaffirme que la France n’est pas terre d’Islam et que le peuple français a le droit et le devoir de refuser l’islamisation.
Non, la France n'est pas terre d'Islam.
Avec Le Parti de la France refusons la colonisation !
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Courriel : ………………………………….@..................................Téléphone :
□Je soutiens la campagne du Parti de la France contre la colonisation.
□Je souhaite rencontrer un responsable du Parti de la France
□Je souhaite recevoir par courriel la lettre d'information du Parti de la France
Bulletin à retourner : au PdF, 43, route de Saint-Germain, 78 860 Saint-Nom-la-Bretèche ou par courriel : contact@parti-de-la-france.fr
téléphone : 01 30 80 55 89 - Fax : 01 30 80 55 86
lundi 20 septembre 2010, par
La minute blonde… Propos rapportés par la Tribune de Genève lors du déplacement de Marine Le Pen en Haute-Savoie devant 350 militants venus l’écouter : "Si le FN veut gagner en 2012, il votera Marine Le Pen. Et s’il ne veut pas gagner, et bien, je ne veux pas le diriger !"
Votez Marine ! Parce qu’elle le veut bien…
Sans commentaires… Alors que les aficionados de Marine Le Pen peuvent manifester leurs soutiens à leur championne sous les articles la concernant, son challenger, Bruno Gollnisch est lui privé de commentaires sur le principal site d'information du FN. Peur des dérapages entre partisans de Marine Le Pen et de Bruno Gollnisch sur le net ou simple parti pris pour la fille de Jean-Marie Le Pen ?
Plus carré, le site Avenir Marine a quant à lui clos tous les commentaires. Il faut dire que sur ce site, le modérateur laissait s’exprimer aussi bien les “mariniens” que les “gollnischiens. Les messages échangés entre militants laissaient entrevoir que la compétition ne serait pas qu’une simple formalité et que Bruno Gollnisch a lui aussi des partisans déterminés.
Le grand pardon… En marge d’un déplacement à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), Marine Le Pen a une nouvelle fois demandé à " Bruno Gollnisch " de clarifier ses intentions" vis-à-vis des "dissidents" du FN avec lesquels il serait en contact. Citant notamment les cas de Carl Lang, président du Parti de la France, et Bernard Antony, figure du courant “catho-tradi“. "Avec moi, c’est clair, ils ne reviendront pas", a-t-elle affirmé.
Un peu avant, elle avait expliqué aux militants que : “ tout le monde travaillera ensemble, tout le monde a sa place au Front national"…
Qui croit encore la gentille "Marion" ?
Est-ce comme cela que nous imiterons les SUEDOIS ?
COMMUNIQUE DE PRESSE DE CARL LANG
PRESIDENT DU PARTI DE LA FRANCE
Réforme de la garde à vue : plus de libertés pour les voyous et moins de sécurité pour les Français
Le texte de l'avant-projet de loi de réforme de la garde à vue qui vient d'être présenté par la ministre de la Justice, Madame Michèle Alliot-Marie, a soi-disant pour objectif de réduire le nombre de gardes à vue considérées pour certaines comme abusives.
Or, si le nombre de gardes à vue a augmenté de manière importante ces dernières années c'est, d'une part, en raison de de l'explosion de la délinquance et, d'autre part, de l'acharnement gouvernemental à l'égard des automobilistes, puisqu'en 2009, 200.000 gardes à vue sur 800.000 concernaient des infractions routières.
Si le Parti de la France est favorable à l'arrêt des gardes à vue abusives à l'égard des contrevenants de la route, il dénonce cette réforme qui prévoit que "ne pourront être placées en garde à vue que les personnes soupçonnées d'un crime ou d'un délit puni d'une peine d'emprisonnement" ; ce qui entraînera inévitablement la libération immédiate de la plupart des voyous qui pourrissent quotidiennement la vie des Français.
La garde à vue doit rester un moyen d'enquête et de coercition à la disposition des forces de l'ordre qui doivent pouvoir en user chaque fois que cela est jugé nécessaire. En outre, elle permet également de mettre provisoirement à l'écart de leurs victimes et de la société des individus parfois dangereux.
Plutôt que de restreindre les possibilités d'action de la police et de la gendarmerie, il faut au contraire développer leurs moyens humains, matériels et juridiques afin qu'elles puissent enfin lutter efficacement contre la délinquance et la criminalité dont l'augmentation effrayante incombe entièrement à nos gouvernants laxistes et irresponsables.
Le Parti de la France Email : contact@parti-de-la-france.fr
Site : http://www.parti-de-la-france.fr
Pour la retraite à la carte
Equité, responsabilité, liberté
Le débat déjà bloqué et déjà faussé sur les retraites par répartition qui s'ouvre à l'Assemblée nationale s'apparente à un nouveau jeu de dupes et à une mascarade politico-sociale où chacun joue son rôle habituel. Le pouvoir explique que cet énième réforme des retraites sera, cette fois-ci la bonne avec la formule magique du report de l'âge légal à 62 ans. De leurs côtés, les syndicats défilent et manifestent. Tout cela est du déjà vu. Le plus pitoyable dans toute cette agitation et le plus inquiétant pour le peuple français est sans nul doute que ce vacarme ne fera que reporter les problèmes sans les résoudre au fond.
La réflexion de fond doit évidemment nous amener à aborder, pour un redressement durable du système social, les questions clés de la politique démographique et donc familiale ainsi que de la politique économique.
Les plus irresponsables des politiciens qui ont sacrifié depuis des décennies la politique familiale finissent par mesurer les conséquences de leurs inconséquence sur la démographie française. En passant du “babyboom” des années 50, au “papyboom”, il était évident et inévitable que finirait par se poser le problème du rapport entre les actifs et les retraités.
La première mesure d'urgence pour un traitement de fond consiste donc à mettre en place une politique énergique et immédiate de soutien aux familles françaises, d'accueil de la vie et de protection sociale des mères de famille.
La deuxième réponse de fond porte évidemment sur la politique économique elle-même puisque le financement de notre protection sociale ne peut venir que des prélèvements sociaux ou fiscaux. L'idéologie économiquement et socialement criminelle du marché ouvert à tous vents, du libre-échange total et de la concurrence planétaire sauvage a pour effet la désinsdustrialisation, les délocalisations, le chômage de masse et durable et la régression sociale.
Il n'y a pas de cotisations sociales sans cotisants, pas de cotisants sans emplois, pas d'emplois sans entreprises.
La reconquête économique de notre marché intérieur par un protectionisme commercial modulable et la mise en place de règles équitables du commerce mondial ainsi que le principe de préférence nationale puis européenne à l'embauche sont la deuxième clé nécessaire du traitement de fond.
Les questions de forme d'une nécessaire réforme doivent s'articuler autour des principes d'équité, de responsabilité et de liberté.
On entend bien les syndicats parler des retraites des salariés du privé ou de celles des fonctionnaires, mais personne ne semble s'intéresser aux lamentables retraites des agriculteurs, des commerçants, des artisants et des travailleurs indépendants.
La première mesure d'équité sociale à mettre en oeuvre sera donc l'harmonisation de tous ces régimes du privé en créant un véritable régime national des retraités du privé et une caisse nationale de retraite commune à tous les travailleurs non fonctionnaires. Une évaluation en points des années de cotisation dans les différents régimes regroupés serait probablement la méthode la plus simple et la plus juste de calcul.
Les mesures de responsabilité financière doivent tenir compte de la réalité économique et sociale au temps T. Les principaux paramètres de gestion financière sont assez bien définis : le nombre de pensionnés, le niveau des pensions, le nombre cotisants, le niveau des cotisations salariales et patronales, la durée de cotisations, l'âge des droits à la retraite et la fiscalité transférée au financement du régime des retraites.
Il paraît clair que dans l'attente des résultats d'une nouvelle politique économique et démographique pouvant agir sur la réduction du chômage et donc sur l'augmentation du nombre de cotisants, on ne peut évidemment pas envisager de réduire les pensions des retraités pour équilibrer le régime. Le vrai paramètre qui prend en compte la réalité de l'augmentation de la durée de vie des Français ne doit pas être celui de l'âge légal mais celui de l'augmentation de la durée de cotisation, à la condition évidente que les emplois soient disponibles en priorité aux Français. Il n'y aura pas de redressement social sans préférence nationale.
Par ailleurs, le paramètre de l'augmentation des cotisations sociales, salariales ou patronales ne pourrait avoir qu'un effet anti-économique et anti-social en réduisant la compétitivité des entreprises ainsi que le niveau de vie, de consommation et d'épargne des salariés.
Une fiscalité non anti-économique ne peut venir ni de l'augmentation des impôts, ni de l'augmentation de la CSG, mais doit provenir de la restauration de droits de douane sur les produits d'importation extra-communautaires affectés au financement de nos régimes de retraite et de notre politique familiale. A défaut, une TVA spécifique sur les produits d'importation devrait être affectée au financement de nos régimes sociaux. Ces mesures permettraient d'une part de faire financer en partie notre protection sociale par les produits d'importation et d'autre part de permettre aux entreprises françaises de ne plus être victimes du dumping social, fiscal et écologique qui profite aujourd'hui à de nombreux pays comme la Chine.
Enfin, le dernier principe à affirmer doit être celui de la liberté de choix. Il appartient à chaque Français du secteur privé, en fonction de son parcours personnel, de la durée de ses études, de l'âge du premier emploi, de ses possibilités et de sa carrière, de pouvoir prendre sa retraite en toute liberté à l'âge souhaité sans le couperêt d'un “âge légal” qui est inadapté, inutile et totalitaire.
Nous devrons aussi, en plus du premier étage du système qui est celui de la retraite par répartition et des retraites complémentaires, continuer à soutenir le développement encadré et régulé des systèmes de retraite par capitalisation.
C'est par l'affirmation de nos principes d'équité, de responsabilité, de liberté, de protection économique et de préférence nationale que le Parti de la France porte un projet de reconquête sociale.
Il n'y a pas de réponse comptable à la crise mais une réponse globale.
Affirmons notre liberté de choisir une retraite à la carte.
Carl LANG
Sur le blog des JAG.
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COMMUNIQUE DE PRESSE DE CARL LANG PRESIDENT DU PARTI DE LA FRANCE Valse des Roms : la comédie bat son plein Suite aux démantèlements de camps insalubres installés illégalement par des Roms et au retour subventionné et très provisoire de certains d'entre eux, le gouvernement Sarkozy tente une nouvelle fois de berner l'opinion publique en donnant l'illusion de lutter contre le déferlement migratoire et la délinquance qui en découle. Le Parti de la France demande non seulement que la Roumanie et la Bulgarie n'intègrent pas l'espace Schengen comme prévu en 2011, mais de surcroît, demande la suppression des Accords de Schengen et la révision des Traités européens afin de permettre aux Etats de l'Union de contrôler les flux migratoires à leurs frontières nationales. Il réclame par ailleurs l'application de l'exclusivité nationale pour l'attribution des aides sociales et familiales. Seules ces mesures de bon sens pourront empêcher et dissuader tous ceux qui veulent venir profiter de notre système social en s'installant chez nous.
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