SLABO - Page 22
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Salon du livre de l'AGRIF annulé
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Quel état d'urgence ?
Quel état d’urgence ?
Dr Bernard Plouvier
Après les scènes de guerre civile qui ont ravagé la ville de Paris dans la soirée du 13 novembre 2015, notre bon Président – prenant enfin conscience de l’existence d’un problème racial et religieux en France – décrète « l’état d’urgence ». De fait, plutôt que d’aller parader devant micros et caméras pour organiser un nouvel afflux massif d’immigrants islamiques, il serait temps de s’occuper quelque peu de protéger les citoyens français.
Mais de quoi peut-il s’agir, en fait « d’état d’urgence », dans un pays où la Justice est dirigée par une indépendantiste guyanaise, fière de sa négritude, haïssant les Blancs et multipliant les offensives médiatiques pour réduire les peines des assassins, des violeurs, des incendiaires ?
De quoi peut-il s’agir dans ce pays où l’Intérieur est dirigé par un politicien qui a osé éructer, le 5 août 2014 (au micro de RTL) : « Ce n’est pas un délit de prôner le Djihâd »…. effectivement, pitoyable ignare, ce n’est pas un délit mais un crime contre l’Humanité ! Le Djihâd est obligatoire, en Dâr al-Harb (domaine de la guerre, soit tout pays non dominé par l’islam) à tout fidèle (muslim) qui en est physiquement capable. Le coran (sourate 8, verset 40) est on ne peut plus clair : « Faites la guerre à ceux qui ne croient pas en Allah… tuez tous les idolâtres partout où vous les trouverez », l’idolâtre étant celui qui n’adore pas Allah, « le tout-puissant et le miséricordieux » (paraît-il).
Le Djihâd est présenté comme « bon et juste » par les sourates 2, 8, 9, 22, 47, 58, 59, 60, 61. L’islam, bête monstrueuse issue du fanatisme médiéval, est non pas « à nos portes », mais largement installée chez nous. Entre 7 et 10 millions de musulmans vivent en France. Des Français autochtones, abrutis par une propagande absurde autant que lénifiante, semblent ne voir que l’honnête musulman qui travaille. Et l’on nous ressort le couplet sur l’ingénieur ou l’infirmière… sortez les violons, pendant que les fils et frères tuent, violent, incendient et pillent (pour ne même pas évoquer le racket des écoliers, l’organisation de la prostitution, les trafics de stupéfiants et d’objets volés).
L’état d’urgence, le vrai, c’est, d’abord, exclure impitoyablement tout musulman des forces de police et de gendarmerie, des forces armées et de gardiennage de prison… sans oublier les « petites amies » des musulmans, puisque l’on a vu des gendarmettes ouvrir à des terroristes dont elles étaient éprises l’accès aux ordinateurs de leur organisme. C’est de faire passer en Haute-Cour de la République les ministres sectaires et incompétents. C’est de rétablir la peine de mort pour tous les commanditaires et inspirateurs religieux, pour tous les complices assurant le soutien logistique des terroristes djihadistes.
L’état d’urgence doit être maintenu jusqu’à complète éradication du millier de cités de non-droit que nos ineptes politiciens ont laissé proliférer sur le sol de la République depuis les années 1980. Dès à présent, il faut hermétiquement fermer nos frontières à tout immigrant musulman et commencer à inverser le flux migratoire : en clair, renvoyer les musulmans dans leur cher Dâr al-Islam, ce domaine de l’islam que la France ne sera jamais.
Enfin, il est temps d’ouvrir les yeux : le racisme, en France actuelle, ce n’est pas l’action de vilains Blancs contre de gentils colorés. Le racisme, le vrai, quotidien et s’exprimant par des injures, des attaques physiques, des viols en série, des assassinats de Blancs, singulièrement de Juifs, est le fait des immigrés extra-européens.
Si le peuple français comprend enfin ces réalités, les innocents, victimes de la barbarie musulmane et du racisme anti-Blancs, ne seront pas morts en vain. En revanche, si l’on en revient aux demi-mesures, à la politique de l’autruche et au tiers-mondisme pleurnichard, alors ces victimes auront été offertes en holocauste à la pure connerie.
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L'HORREUR !
Carnage islamiste à Paris : c'était tellement prévisible...
Rédigé le Samedi 14 Novembre 2015 à 09:37 | 0 commentaire(s)Au moins 120 morts, des centaines de blessés : c'est le bilan provisoire des sanglants attentats islamistes du 13 novembre 2015. Nous aurons une petite pensée pour nos dirigeants qui ont sciemment entrepris la colonisation migratoire de notre pays et collaboré à son islamisation au nom d'une utopique République cosmopolite et multiconfessionnelle.
Cette politique irresponsable et criminelle porte aujourd'hui ses fruits : le terrorisme islamique peut aisément frapper la France partout, même dans les endroits censés être les plus « sécurisés ».
L'ordre et la sécurité national ne pourront être rétablis qu'avec des hommes politiques qui en ont la réelle volonté et le courage.
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CHAUPRADE
AFP / Pierre AndrieuL'eurodéputé Aymeric Chauprade a annoncé lundi sur iTELE son départ du Front national par un dur réquisitoire contre Marine Le Pen et Florian Philippot, avançant des raisons "morales" mais aussi "idéologiques".
"Ce (lundi) soir, je suis venu dire que je quitte le FN de Florian Philippot et Marine Le Pen", a annoncé ce géopoliticien, qui avait un temps mené la délégation FN au Parlement européen et qui fut également conseiller de Mme Le Pen aux relations internationales.
M. Chauprade avait été progressivement écarté de toutes ses fonctions au FN pour indiscipline répétée, exprimant fréquemment des positions plus dures que le FN sur l'islam, plus libérales en économie.
Il a été récemment impliqué dans l'affaire Air Cocaïne en aidant à l'exfiltration de République Dominicaine de pilotes français. Mme Le Pen avait indiqué qu'elle "désapprouvait" l'action de M. Chauprade et avait indiqué que la prochaine réunion du bureau exécutif du FN, probablement le 24 novembre, se pencherait sur son cas.
"Il y a une dynamique très forte, des résultats sans doute excellents", a reconnu M. Chauprade, écartant à l'avance tout "opportunisme", avant d'invoquer des raisons "morales" et "de fond, idéologiques".
Il a d'abord critiqué Mme Le Pen pour l'avoir "éliminé (...) sur des faux prétextes, comme celui de la vidéo sur l'islam". "C'est une faute morale sur un enjeu crucial, un enjeu de civilisation (...) Jouer de ce prétexte (de la place de l'islam, NDLR) pour éliminer des collaborateurs qui font de l'ombre à Florian Philippot, c'est grave", a accusé M. Chauprade, qualifiant la vie du parti d'"étouffoir".
L'eurodéputé, qui compte conserver son mandat, a aussi reproché au parti d'avoir "écarté celui auquel on doit tout parce qu'il est devenu inutile", à savoir Jean-Marie Le Pen, exclu en août.
M. Chauprade a aussi longuement critiqué le programme économique et le "marketing électoral" de M. Philippot, excluant que le "vieux modèle suranné socialiste et étatiste des Trente Glorieuses (puisse) impulser le redressement".
L'eurodéputé a dit "rentrer dans une logique de droite indépendante, de recomposition d'une grande droite crédible et assumée", et "souhaite fermement le retour de Philippe de Villiers". Il soutient cependant celle dont il était l'un des plus fervents partisans, Marion Maréchal-Le Pen, candidate aux régionales en Paca.
"Surtout après l'affaire Air Cocaïne, nos désaccords avec A. Chauprade étaient devenus trop importants et son maintien au FN impossible", a très rapidement réagi Mme Le Pen sur Twitter.
"Ce qui est sûr, c'est que tout le monde n'est pas comme Carl LANG : fidèle depuis toujours à ses principes de clarté dans tous les domaines. Le reniement se trouve dans le camp de MLP. A force de vouloir faire des "coups", on en prend sur la figure."
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Régionales en HAINAUT
Les listes de candidates et candidats pour le prochaines régionales viennent d'être publiées.
A ce stade (on ne connaît pas le résultat du premier tour), il est notoire que le HAINAUT, en particulier le Valenciennois est puni par les concepteurs des listes, surtout à droite.
FRONT NATIONAL : le premier nom apparaît à la 35ème place !!!
LR-UDI-CPNT : En dehors de la tête de liste, touchée par le cumul des mandats, le premier représentant est 22ème.
Dans tous les cas de figure, on ne comprend pas pourquoi cet ostracisme, paye t'on le départ de Jean-Louis BORLOO, paye t'on mon retrait en 2010.
En 2004, j'étais 3ème, Michelle BEAL 10ème et élue, les 14, 17, 21, 24, 27, 29 étaient VALECIENNOIS.
En 2004, comme avant, chaque circonscription avait 3 représentants, chaque arrondissement avait 4 représentants par tranche de 10 candidats.
En 2004, nous étions 4 élus sur 10, deux hommes et deux femmes.
En 2015, c'est le mépris qui domine, le dunkerquois aurait-il pris sa revanche, on se demande bien de quoi.
Ce qui est sûr, c'est que c'est maintenant les coquins qui gagnent.
Dominique SLABOLEPSZY
Conseiller régional honoraire
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Tête haute et mains propres, c était hier !
Jeanne et Riwal, pompes à finances pour le FN
Rédigé le Jeudi 12 Novembre 2015 à 11:04 | 0 commentaire(s)Plusieurs conseillers municipaux frontistes du Nord, écartés des listes pour les élections régionales, dénoncent les méthodes employées par leur parti pour financer ses campagnes. Des témoignages qui viennent éclairer concrètement le fameux système des kits de campagne, pour lequel le FN a été mis en examen en septembre pour « recel d’abus de biens sociaux et complicité d’escroquerie ».
Pour le FN, l’intérêt de ces kits est d’uniformiser le message et les codes graphiques du parti, ainsi que de faciliter la tâche de candidats parfois inexpérimentés.
« L’investiture du FN n’est validée qu’après signature du bon de commande relatif au kit de campagne (page 3) Celui-ci est donc obligatoire et s’impose à tout candidat investi par le FN. » Le document précise en outre que le kit standard, facturé 16.650 €, est « modulable à la hausse », mais pas à la baisse.
Francis Boudrenghien, artisan de 61 ans, élu FN au conseil municipal d’Anzin, était candidat aux élections départementales de mars. « Tout candidat devait partir avec un kit de campagne obligatoire. Ils m’ont aussi obligé à prendre 300 affiches supplémentaires, alors que je n’en avais pas besoin », explique-t-il à Marianne. « Pourtant, j’avais un imprimeur ici qui avait besoin de travail, et il était beaucoup moins cher. »
Francis Boudrenghien a aussi dû contracter un prêt à son nom, de manière toujours « obligatoire. »
Pour financer quoi ?
Le système, très rôdé, est le suivant.
Acte 1 :
JEANNE, le micro-parti du FN, prête au candidat une somme destinée à financer sa campagne, avec un taux d’intérêt à 6,5%.
Jeanne, le microparti était la quatrième formation politique en termes de rentrées financières, à 9,6 millions €, derrière le PS, l’UMP et le PCF… mais devant le FN plus de 90 % des rentrées d’argent de Jeanne étaient constituées de la facturation des « services rendus aux candidats pour les campagnes électorales », essentiellement les « kits de campagne. »Acte 2 :
avec cette somme, le candidat doit acheter à Jeanne un kit de campagne (affiches, tracts…) confectionné par la société Riwal, dirigée par un proche de Marine Le Pen.
L’argent revient donc dans les caisses du micro-parti frontiste.
RIWAL
39 RUE VINEUSE
75116 PARIS
Gérant M Frederic CHATILLON
RCS 400 363 198 – pas de comptes déposés depuis 2006Frédéric Chatillon, dont la société a perçu 1,6 million € pendant la campagne présidentielle, d’après des documents consultés par Mediapart. Ces kits sont au cœur des soupçons des juges auraient été largement surfacturés aux candidats frontistes ….
Acte 3 :
après la campagne, le candidat se fait rembourser par l’Etat ses dépenses, c’est à dire le prêt majoré des intérêts, qu’il peut ainsi rembourser à son tour à Jeanne. Au final, le micro-parti du FN enregistre un bénéfice. Pour le parti, qui dénonce un « acharnement » judiciaire, ce système est parfaitement légal. Ce n’est pas l’avis des juges, qui le soupçonnent d’avoir détourné 10 millions € d’argent public.Francis Boudrenghien : « Au début, je n’ai pas cherché à comprendre, mais c’est après qu’on réalise qu’il se passe quelque chose », poursuit-il. « c’est de la magouille ! »
Mais pourquoi l’élu a-t-il attendu tant de mois pour s’en plaindre ?
« Après les départementales, j’ai écrit à Marine Le Pen avec accusé de réception, elle ne m’a jamais répondu », assure-t-il.Pour lui qui milite dans les rangs frontistes depuis 1995, jamais de telles pratiques n’auraient eu cours dans le FN « d’avant ». « C’est la première fois que l’on m’oblige à faire ça. Ce n’était pas comme ça sous Jean-Marie Le Pen. »
Jean-Luc François Laurent, conseiller municipal FN à Valenciennes, mais écarté des listes pour les régionales, s’est lui aussi plaint de ce système.
Bruno Wolinski, conseiller municipal de Sin-Le-Noble aussi : ils mettent en cause le patron du FN local, Guy Cannie, secrétaire départemental du parti. Contacté par Marianne, celui-ci met ces propos sur le compte de l’amertume des deux élus, pas retenus pour le scrutin de décembre. « M. Boudrenghien a été suspendu l’année dernière par Marine Le Pen et la commission des conflits. Il ne pouvait donc pas prétendre à être candidat », explique-t-il. Une suspension que confirme l’intéressé.
Source : http://www.medias-presse.info
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Même le HAINAUT !
Valenciennois : quand les élus locaux du FN dénoncent les méthodes de leur parti
Rédigé le Mardi 10 Novembre 2015 à 13:41 | 0 commentaire(s)En écartant Jean-Luc François Laurent et Francis Boudrenghien de la liste FN aux régionales, Guy Cannie a libéré leur parole. Ce qu’ils disent de la façon qu’a leur parti d’organiser une campagne électorale est instructif…
Le coup est parti de Jean-Luc François Laurent, élu FN au conseil municipal de Valenciennes. Il n’a pas été retenu pour figurer sur la liste de son parti aux élections régionales de décembre. Tout comme Francis Boudrenghien, élu FN au conseil municipal d’Anzin. « Le Valenciennois est ignoré », ont dénoncé les deux hommes, dans notre article paru le mercredi 4 novembre.
Furieux d’être traité de menteur par Guy Cannie, le « patron » du FN pour le Hainaut, Jean-Luc François Laurent nous a écrit, jeudi 5 novembre. Pour nous raconter les coulisses de son parti pendant une campagne électorale.
« J’ai eu le tort de contester le kit de campagne que Guy Cannie voulait m’imposer aux élections départementales 2015, indique l’élu valenciennois. J’ai refusé de prendre la prestation expert comptable à 1 400 euros, alors qu’un expert comptable local me facturait 600 euros. J’ai refusé de prendre la prestation cartes postales au prix de 1 500 euros parce que ces 30000 cartes, livrées trois jours avant le premier tour, ne pouvaient pas être distribuées ; de ce fait, cette prestation devenait non remboursable. » Enfin, « j’ai refusé le prêt de l’association Jeanne au taux de 6,5 % que voulait m’imposer Guy Cannie pour financer ma campagne électorale ».
Voici, selon Jean-Luc François Laurent, les véritables raisons de son absence au prochain scrutin : « La sanction de Guy Cannie a été de me priver d’élections régionales en donnant un avis défavorable sur ma candidature. » « Il ne s’agit pas d’un règlement de comptes personnel, affirme l’élu valenciennois ou d’un problème d’ego, nous sommes nombreux aujourd’hui à nous plaindre et à dénoncer l’impéritie du secrétaire départemental, à contester ses méthodes et ses agissements, de Valenciennes à Anzin, de Sin-le-Noble à Douai. »
« Je vous laisse apprécier. Je n’ai rien à dire. Je connais la vérité », nous a dit Guy Cannie, à qui nous avons détaillé les accusations de M. Laurent. Le secrétaire départemental Nord-Hainaut n’a pas voulu répondre précisément aux remarques de l’élu valenciennois. Sur un sujet sensible, celui des kits de campagne du micro-parti Jeanne de Marine Le Pen, sur lesquels une information judiciaire est ouverte (1), Guy Cannie préfère dénoncer en bloc « une lettre calomnieuse », « des mensonges ». « On m’accuse d’un tas de choses. On va jusqu’à dire que je ne fais rien ! J’ai pris le parti de ne plus répondre. Attention, ça ne veut pas dire que qui ne dit mot consent ! » Guy Cannie note enfin « qu’ils ne se sont réveillés que le jour où ils ont appris qu’ils n’étaient pas sur la liste ».
(1) Information judiciaire qui concerne cependant, il faut le préciser, les comptes de campagnes des cantonales de 2011 et législatives de 2012, non les comptes de 2015 visés par M. François Laurent.
source : lavoixdunord.fr -
On vous dit tout!
mercredi 11 novembre 2015
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ENCORE UN, et pas des moindres !
Aymeric Chauprade: «Pourquoi je quitte le Front national»
Rédigé le Mardi 10 Novembre 2015 à 09:15 | 0 commentaire(s)Et un de plus... Le député européen, ancien conseiller international de la présidente du FN, rompt avec Marine Le Pen en dénonçant l'influence de Florian Philippot. Il plaide le retour de Philippe de Villiers dans un parti recomposé à droite.
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Je me lance
Pourquoi quittez-vous le Front national?
C'est une décision aussi forte que mûrie. Au moment où le parti est en pleine ascension, où de nombreux opportunistes y cherchent des places, les Français sont en droit de se demander pourquoi j'en sors. Je le quitte à cause de deux trahisons essentielles dont Marine Le Pen s'est rendue coupable. La première est d'avoir dessaisi de toutes ses responsabilités, en janvier dernier, l'un de ses principaux collaborateurs. J'ai été son conseiller international, son chef de délégation et le président de la fondation du parti politique européen au Parlement européen. J'ai été dessaisi sous un faux prétexte: une vidéo dans laquelle je traitais du défi islamique, et dont le contenu a été repris, comble de l'ironie, par l'aile droite de Républicains, par Nadine Morano et Christian Estrosi. Mais il y a une deuxième trahison, beaucoup plus grave, qui ne me concerne pas.
Laquelle?
Quels que soient les torts et les excès du fondateur du Front national, peut-on pousser comme cela, dans l'escalier, un homme de 87 ans auquel on doit tout? Et qui disait déjà exactement la même chose quand Marine Le Pen en avait encore besoin! Comment ne pas penser que ceux qui trahissent à la fois leurs proches et ceux auxquels ils doivent tout, ne trahiront pas un jour le peuple lui-même? Sous la pression de Florian Philippot, Marine a décidé de se débarrasser de Jean-Marie Le Pen. C'est une faute morale grave car on ne peut pas prétendre incarner le parti des valeurs et des fondamentaux quand on brise soi-même un certain nombre de lois. Ce n'est pas une loi politique, c'est presque une loi de civilisation. Il y avait d'autres solutions pour Jean-Marie Le Pen. Considérez-vous, comme Jean-Marie Le Pen, que Marine Le Pen est sous influence?
Elle s'est laissé piéger dans un chantage avec Philippot. Il lui a expliqué, dès le début, qu'il était la dédiabolisation en personne. Et celle logique dans laquelle elle s'est laissé enfermer est devenue un chantage quasi-quotidien. Elle a finalement accepté de perdre sa liberté et de fonctionner dans ce pouvoir bicéphale. Evidemment, cela nous amène à des divergences idéologiques.
Quand Marine Le Pen explique que le FN ne renonce pas au libéralisme mais que le contexte économique et social du pays aujourd'hui, ne permet pas certaines options qu'elle juge dangereuses, rejetez-vous l'argument?
Je le crois faux parce qu'en réalité, elle récolte les voix des gens désespérés. Son projet n'est pas fondé sur les forces vives de l'économie. Pour redresser le pays, il va falloir s'interroger sur le fait que près de 60% de notre économie c'est de la dépense publique, que l'Etat providence est en crise et qu'il est temps de créer de la croissance et de l'emploi en adaptant notre pays à tous les défis auxquels nous sommes confrontés, du droit du travail aux retraites en passant par la révolution digitale où la France et l'Europe ne comptent que pour 10% de l'industrie mondiale des technologies de l'information. La prise de distance de Marine Le Pen avec l'affaire «Air Cocaïne» dans laquelle vous avez activement participé à l'exfiltration de deux pilotes français, a-t-elle pesé dans votre décision?
Bien sûr, cette affaire est un élément déclencheur. Pour Florian Philippot et Marine Le Pen, le risque d'image est plus important que l'engagement pour des valeurs comme la solidarité vis-à-vis de compatriotes confrontés à un vrai déni de justice. Il est plus important que l'engagement par les actes qui va au-delà des mots. Dieu sait pourtant si dans notre société, on reproche souvent aux politiques de n'être que dans les mots. Moi, je suis allé plus loin et j'en suis fier. Appelez-vous Philippe de Villiers à reprendre le leadership d'un mouvement?
Il n'est un secret pour personne que je souhaite profondément le retour sur la scène politique de Philippe de Villiers, qui est un ami et un père politique. Je souhaite vivement qu'il revienne d'ici la présidentielle de 2017. J'ai lu son livre. Ce qu'il dit apporte beaucoup, il y a une verticalité dans son projet, une vraie vision. D'autres personnalités comme celles de Nicolas Dupont-Aignan, Henri Guaino, Robert Ménard ou Nadine Morano doivent participer à la recomposition à droite. L'avenir se reconstruira avec des gens qui ne lâchent rien, qui ont des convictions fortes, qui agissent.
Cette «grande droite» aura-t-elle le temps de se construire d'ici 2017?
Oui, parce que les contradictions et la stérilité du programme de Florian Philippot seront de plus en plus évidents même si le désespoir des Français est grand. La montée du FN correspond à une France qui n'en peut plus des bilans catastrophiques du PS et des Républicains, de la crise migratoire et de l'effondrement industriel de la France. Au FN, il y a une sorte de déni de la mondialisation. Il ne sert à rien de nier un fait. Il faut adapter la France en défendant ses valeurs face à deux défis: les partisans de l'Argent-roi qui réduisent la personne à un individu-consommateur, détruisent les familles et les identités, et les partisans, de plus en plus nombreux, de la loi islamique, à la place de la loi de la République. Ces derniers ont avec eux la loi de la démographie et l'angélisme de nombreux européens.
source : lefigaro.fr -
Nouvelle contribution
mercredi, 04 novembre 2015
Migrants : quand l’émotion soumet la raison
Bruno Mégret Le Chêne, n°81, octobre 2015
La campagne menée actuellement dans les médias sur l’affaire des migrants est de même nature que celle orchestrée au début de l’année lors des attentats de Charlie Hebdo. Il s’agit dans un cas comme dans l’autre d’une formidable opération de manipulation des masses par la caste idéologique dominante.
La manipulation des masses
Ce que nous vivons depuis la parution de la terrible photo du jeune Aylan mort sur une plage turque procède en effet d’une opération de propagande montée de toutes pièces selon les méthodes classiques du genre. La photo du petit garçon en a été l’élément à la fois structurant et déclencheur. L’idée est en effet de focaliser l’actualité sur un événement concret qui soit de nature à soulever une forte émotion. Or, que peut-il y avoir de plus émouvant que la mort d’un enfant ? Si de surcroît on dispose d’une image du drame, l’émotion n’en sera que décuplée et l’effet amplifié.
La deuxième phase consiste à exploiter cette émotion pour lui donner un sens politiquement correct et l’orienter idéologiquement en fonction de l’objectif recherché. « Cet enfant est mort parce que les Européens refusent d’accueillir les migrants. Ce sont donc eux qui sont responsables de cette mort tragique. Pour se racheter et éviter de nouveaux drames, ils doivent ouvrir grandes les portes de leurs pays ».
Troisième phase destinée à emporter l’adhésion de la population française malgré tout fortement réticente : faire croire que cet événement a provoqué une vague sans précédent d’initiatives en faveur de l’accueil des migrants. Et les médias de multiplier les reportages montrant des communes, des associations, voire des personnes privées libérant des logements et accueillant les réfugiés. Que ces initiatives soient marginales, anciennes, ou purement théoriques importe peu, c’est l’effet de masse ainsi que la répétition du message qui doivent produire l’effet recherché. Et, une fois de plus, intellectuels, artistes, élus et tous les « people » sont mis à contribution sous forme de pétitions, d’interviews ou de déclarations.
Quant au président de la République, bafouant une fois de plus l’opinion majoritaire des Français, il annonce que notre pays accueillera vingt-quatre mille migrants. Une déclaration mensongère, car si le chiffre est délibérément présenté comme très faible, il n’a en réalité aucun sens puisque qu’en l’absence de contrôle aux frontières, notre pays accueillera, qu’il le veuille ou non, tous ceux qui se présenteront et qui se compteront par centaines plutôt qu’en dizaines de milliers.
Les Européens ne sont pas coupables
Alors, bien sûr, il n’y a rien de pire que la mort d’un enfant innocent et l’on ne peut qu’éprouver tristesse et compassion face à un tel drame. Mais en l’occurrence, ce ne sont pas les peuples européens qu’il faut accuser. Le responsable de cette mort tragique, c’est d’abord le père qui en toute inconscience a fait monter son fils dans une embarcation de fortune sur une mer incertaine et cela dans le but, aurait-t-il déclaré, « de se faire refaire les dents en Europe ». Quant aux autorités, si certaines doivent également être mises en cause, ce sont les autorités turques qui n’assurent aucune surveillance policière le long de leurs côtes et aucun contrôle des migrants qui s’y présentent.
Mais, pour la classe politico-médiatique, peu importe ces réalités. Il ne s’agit pas en effet pour elle de raisonner sur des faits mais de susciter des émotions avec pour seul objectif de faire accepter par les peuples européens des vagues supplémentaires d’immigration. La nouvelle dénomination de migrants, voire de réfugiés, ne change en effet rien à cette réalité. Il s’agit de provoquer un nouvel afflux migratoire sur notre sol et de le faire accepter par le peuple français non plus comme une fatalité qu’on ne peut éviter mais comme une obligation morale qu’il faudrait encourager, organiser et faciliter.
De nouvelles menaces pour les Européens
A travers cette nouvelle campagne de propagande, on cherche donc à nous imposer une augmentation massive de l’immigration et, plus grave encore, de l’immigration musulmane. En dehors d’une minorité de chrétiens effectivement persécutés pour leur religion et qui méritent notre solidarité, la grande masse des populations qui déferle sur le sol européen est en effet musulmane dont près de la moitié d’ailleurs ne vient pas des pays en guerre. Or, tout le monde le sait, la présence massive des immigrés sur notre sol pose des problèmes qu’aucun gouvernement n’a pu résoudre. Pis, la montée d’un islam incompatible avec notre civilisation est en train de faire voler en éclats la communauté nationale. La sagesse la plus élémentaire devrait donc pousser nos dirigeants à stopper l’arrivée de nouveaux immigrés et surtout de ceux qui se réclament de l’islam. Aussi est-il consternant de voir les autorités médiatiques et politiques de notre pays comme de nos voisins faire exactement le contraire et annoncer au monde que la France et l’Europe sont ouvertes à qui veut venir, créant ainsi un appel d’air qui va être entendu par des millions d’Arabes et d’Africains.
L’autre solution
On ne peut certes rester insensible au malheur des populations qui subissent la guerre et il est vrai que la France comme l’Europe devrait s’efforcer de leur venir en aide. Mais encore faut-il le faire sans sacrifier l’identité, la sécurité, la cohésion et la paix intérieure de notre nation. Aussi faut-il avancer d’autres solutions. Il faut tout d’abord s’efforcer de mettre fin aux conflits qui déchirent l’Irak et la Syrie en s’attaquant avec efficacité à l’État islamique. Et pour cela soutenir tous ceux qui le combattent, à commencer par Bachar el-Assad et son armée. (Et ne pas se contenter d’envoyer des avions de reconnaissance comme l’a annoncé récemment M. Hollande). Il faut ensuite fournir un soutien humanitaire aux réfugiés, en apportant une aide substantielle au fonctionnement des camps implantés dans les États musulmans voisins des pays en guerre ainsi que dans des secteurs sécurisés à créer au sein même de ces pays. Enfin, il faut fermer les frontières et faire patrouiller nos navires au large des pays d’embarquement afin d’organiser le retour vers les côtes des bateaux qui en partent. Quant au migrants qui parviendraient à gagner malgré tout les côtes européennes, ils devraient certes être recueillis, soignés et nourris, mais devraient dans le délai d’une semaine être rembarqués sur un bateau qui les reconduirait près de leur lieu d’origine. Enfin, une aide devrait être apportée à la Grèce et à la Bulgarie pour établir à leur frontière orientale un barrage physique infranchissable. Bref, il s’agit de convaincre les candidats à l’émigration qu’ils ne pourront mener leur projet à bien et qu’ils seront dans tous les cas renvoyés là d’où ils viennent.
Quant à nos gouvernements, il est temps qu’ils se libèrent du chantage compassionnel permanent et qu’ils se rappellent enfin que la politique, la vraie, doit être régie non par les émotions mais par la raison avec comme objectif non pas le bien universel mais celui du peuple dont on a la charge.
Source cliquez ici
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Les défections continuent
Je me suis procuré le texte envoyé à la presse locale par Francis BOUDRENGHIEN, conseiller municipal à ANZIN.
Ce dernier met en lumière les agissements d'un "chef" jaloux de ses prérogatives.
A lire et publier sans restrictions, édifiant !
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Avec CANNIE, c'est : circulez, il n'a rien à voir !
Colère des élus FN du Valenciennois, écartés des Régionales par M. Le Pen
Publié le 03/11/2015
Ni Jean-Luc François Laurent ni Francis Boudreghien. Les deux élus frontistes du Valenciennois, absents de la liste pour les élections régionales, crient au despotisme. En ligne de mire, Guy Cannie, le patron du FN pour le Hainaut, qui ne s’en laisse pas compter. Règlement de comptes.
« On est très remontés, à Anzin, Valenciennes et Douai. On s’insurge. Ça va exploser ! » Mais de quel révolutionnaire ces propos viennent-ils ? De Jean-Luc François Laurent, élu FN à Valenciennes. Comme Francis Boudrenghien, élus à Anzin, il ne figure pas sur la liste de Front nationale aux élections régionales de décembre. « Je suis zappé, nous a dit mardi Jean-Luc François Laurent. Mme Valérie Codron, ma colistière, n’est pas en position éligible. Il n’y a personne d’Anzin non plus. Le Valenciennois est ignoré. On n’a pas tenu compte de notre territoire. »
« Il dit des bêtises, des mensonges ! répond Guy Cannie, le patron du FN pour le Hainaut. Il y a une quinzaine de candidats du Hainaut dans la liste ! Jean-Luc François Laurent n’y est pas, c’est vrai, parce que je m’y suis opposé. » Pour des raisons internes au fonctionnement du Front national, nous a expliqué Guy Cannie.
Une quinzaine de candidats ? « Ce ne sont pas des élus !, s’insurge Jean-Luc François Laurent. Je parle d’élus, pas de copains. Nous, on s’est battus, à toutes les élections, municipales, législatives et départementales. Ils ont placé leurs copains, des gens du Pas-de-Calais et de Lille. Il y a pourtant 390000habitants dans l’arrondissement. On est méprisés, je trouve cela déplorable. Mais le feuilleton ne fait que commencer. »
L’Anzinois Francis Boudrenghien n’est « pas content de Guy Cannie. Il ne s’occupe pas du Hainaut ! Il n’est jamais là ! »
« Il m’en a toujours voulu, réplique Guy Cannie. C’est un ami de Dominique Slabolepszy (l’ancien patron du FN dans le Valenciennois), il n’a jamais accepté qu’un Lillois s’occupe du Hainaut. »
Revenons au Hainaut, pour finir. À Marine Le Pen, lors de sa venue à Raismes, le 16 octobre, l’un de nos journalistes avait posé la question de l’absence de propositions pour le Valenciennois, un bassin de population qui a des problèmes spécifiques. « Quand je serai présidente de région, nous avait-elle répondu, ce sera à mes élus du Valenciennois d’avoir des propositions. » Des élus d’avant ou d’après les régionales ?
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Comme dit la pub ! Et c'est pas fini !
RÉGIONALES : CONTRE LE CHOIX GONDRAN, A. DELÉGLISE QUITTE LE FRONT NATIONAL
Rédigé le Mardi 3 Novembre 2015 à 08:47 | 0 commentaire(s)Comme nous l’indiquions dans la Gazette du 30 octobre 2015, le choix de Louis Aliot de confier la tête de liste ariégeoise Front national à l’ancien maire de St-Girons Bernard Gondran n’a pas été du goût de tout le monde, au sein même du FN. D’anciens candidats frontistes aux élections locales ont critiqué anonymement ce qu’ils considèrent être "une erreur stratégique". Aujourd’hui, c’est le conseiller municipal et conseiller communautaire de Pamiers Aimé Deléglise qui annonce sa démission du FN. Il s’en explique par le communiqué reproduit in extenso ci-dessous.
Après mures réflexions je retourne ce jour aux instances nationales ma carte de membre du Front National auquel j’avais re-adhéré en 2002.
Suite à l’investiture par la direction du Front National de Bernard Gondran, (choix non justifiable), celui-ci n’a qu’une ambition, celle de profiter de la vague bleu marine pour être élu, j’estime qu’il n’a aucune légitimité pour porter les couleurs du Front National dans notre département comme tête de liste de l’Ariège pour les prochaines élections régionales 2015 « puisqu’il n’est pas membre de ce parti ». Il ne connaît ni notre fédération ni ses membres car étant ex-membre de L’UMP il est très loin de nos idées.
Je ne me reconnais donc plus dans ce parti qui est devenu « le Front des opportunistes » ceci prouve par cette investiture le total mépris du Front National à l’égard de ses hommes de terrain, de qualité et de valeurs qui travaillent depuis des années sans relâche bénévolement et avec tous les risques que cela engage (que ce soit sur le plan physique, social ou professionnel).
Voici La liste contre nature et néfaste pour l’Ariège présentée par Louis Aliot. Un Gondran épineux et envieux avec aucune affinité avec le FN qui veut surfer sur la vague du parti pour être élu, accompagné d’ une horde de loups fraichement arrivés aux dents acérées en diamant, prêts à dévorer tout ce qui se dresse devant eux par ambition personnelle et aveuglés par le pouvoir éventuel de domination.
Par définition une liste bien loin de répondre aux attentes des Ariégeois qui croient en des personnes sincères et proches de leurs attentes. Une telle liste non crédible ne peux proposer un projet concret adapté à notre Ariège chérie pour son développement au sein de cette nouvelle grande région, ce sera un projet national comme toujours sans aucun intérêt pour l’Ariège. Seule ambition de cette liste, être élu avec des promesses électorales qui ne seront pas tenues !!
J’ai une trop haute idée de la politique au service de la France et de notre département pour accepter d’être utilisé comme prétexte à une telle opération. J’espère que les électeurs ne tomberont pas dans le piège de cette supercherie et vont bien réfléchir avant de mettre un bulletin dans l’urne, les élus de cette liste risquent de plonger l’Ariège dans un mauvais pas pour longtemps. Il est évident que je ne démissionnerais pas de mes mandats car j’ai été élu par les appaméens et appaméennes sur les idées fondamentales du FN et non sur celles d’aujourd’hui, je veux rester fidèle aux électeurs qui mon fait et me font confiance. « Être un élu FN sur le banc de touche, va bientôt devenir une marque déposée »
Aimé DELEGLISE Conseiller Municipal & conseiller communautaire
Source : http://www.gazette-ariegeoise.fr/7400-Regionales-contre-l...
via pdf31 -
Encore merci, René
lundi 2 novembre 2015
.ON MARCHE SUR LA TETE !
JEAN DE LA FONTAINE DISAIS : SELON QUE VOUS SOYEZ PUISSANT OU
MISERABLE....................................
JE LE PARAPHRASERAIS EN DISANT : SELON QUE VOUS SOYEZ DE DROITE OU
DE GAUCHE...................................
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Henri Guaino condamné à 2000€ pour outrage
COMPARAISON - Cela vous a peut-être échappé, tout occupés que vous étiez à observer l'incroyable "acte révolutionnaire" de Marine Le Pen qui, n'écoutant que son courage, a décidé de ne pas répondre à une invitation, mais, ce jeudi 22 octobre, il s'est passé bien d'autres choses. Henri Guaino, par exemple, a été condamné à 2.000 euros d'amende pour avoir outragé le juge Jean-Michel Gentil. Une sanction que le député Les Républicains des Yvelines a un peu de mal à encaisser.Invité d'iTÉLÉ , l'ancienne plume de Nicolas Sarkozy dénonce "le corporatisme et la pression syndicale" du système judiciaire.
Et s'indigne que l'on ne puisse pas critiquer un juge alors qu'on peut insulter des élus.
Il dit : Il y a quelque chose qui ne va pas. Un humoriste traite un député de 'salope'. Il est relaxé. Un député critique – violemment peut-être - mais critique - je ne l'insulte pas - un juge qui a fait son travail à ses yeux de façon scandaleuse et il est condamné. Où allons-nous ?
Henri Guaino fait ici référence à Guy Bedos, relaxé mi-septembre après avoir traité Nadine Morano de "conne" et de "salope", entre autres. L'eurodéputée a fait appel de cette décision.Henri Guaino ne sait pas forcément où l'on va. En revanche, il ne s'interdit pas, malgré sa condamnation, de critiquer à nouveau le juge Gentil. Le député LR n'a apparemment pas peur du qu'en-dira-t-on ni des condamnations. "On peut me condamner une fois, dix fois, 20 fois, 100 fois, 1.000 fois. Personne ne me fera taire, ajoute-t-il.
C'est le rôle d'un représentant de la nation, disposant d'une parcelle certes infime de la souveraineté nationale, c'est son rôle de dénoncer tout dysfonctionnement dans les institutions, de dénoncer les agents publics quand ils outrepassent leurs pouvoirs, quand ils abusent de leurs pouvoirs et là j'estime que le juge Gentil a abusé de son pouvoir."
Et l'élu d'estimer que la justice ne fonctionne décidément pas vu que, d'après lui, "les voyous sont dehors" et lui est condamné :Moi je peux me défendre mais les pauvres gens qui ne peuvent pas se défendre, eux, on les embastille, on les traîne dans la boue.
En mars 2013, Henri Guaino a plusieurs fois critiqué l'attitude du juge Gentil qui avait décidé de mettre en examen Nicolas Sarkozy pour "abus de faiblesse" dans le cadre de l’affaire Bettencourt. À l'époque, l'élu LR a dénoncé une décision "indigne" qui "salit l’image de la France" et "déshonore la justice".
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.Injures envers Nadine Morano : Guy Bedos relaxé à NancyL'humoriste était poursuivi pour avoir insulté Nadine Morano lors d'un spectacle à Toul en 2013L'humoriste Guy Bedos,( ????? ) poursuivi pour avoir notamment traité Nadine Morano de "conne", a été relaxé par le tribunal correctionnel de Nancy. Le tribunal a estimé qu'il était resté dans "la loi du genre" en tant qu'humoriste, et qu'il n'avait "pas dépassé ses outrances habituelles" lorsqu'il avait copieusement insulté l'élue lors d'un spectacle à Toul, en Meurthe-et-Moselle, en 2013.Rencontre Morano-Bedos à l'audience. "Nadine Morano a été élue ici à Toul ? Vous l'avez échappé belle ! On m'avait promis qu'elle serait là... Quelle conne !" avait notamment lancé l'artiste sur scène, entre autres injures à l'intention de l'élue. A l'audience, le 7 septembre, le procureur Pierre Kahn avait estimé que "la limite (avait) été franchie" lors de ce spectacle.Ces poursuites pour "injure publique" étaient passibles d'une amende maximale de 12.000 euros. Guy Bedos et Nadine Morano s'étaient croisés au tribunal, mais cette dernière avait refusé de serrer la main que lui tendait l'humoriste, en arguant qu'ils n'étaient "pas au théâtre". Guy Bedos avait récusé toute misogynie, tandis que l'élue l'accusait de lui vouer une "animosité personnelle".Une insulte renouvelée sur un plateau. Dans l'émission "On n'est pas couché" sur France 2, Guy Bedos avait renouvelé ses injures contre l'eurodéputée. Celle-ci lui réclamait 15.000 euros de dommages et intérêts, qu'elle souhaitait verser à des associations de lutte contre les violences faites aux femmes."Pas un mot, ni pour ni contre Nadine Morano. Elle est trop chère. J'aurai le jugement lundi, d'ici là, je me tais", avait dans un premier temps répondu Guy Bedos à Laurent Ruquier, avant de s'emporter une nouvelle fois. "15.000 euros quand même ! 15.000 euros ! ça ne va pas non ? Conne !" avait-il dit, en suscitant des rires dans le public.
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Nos traditions
Bonne fête de Toussaint
Rédigé le Dimanche 1 Novembre 2015 à 11:01 | 0 commentaire(s)Comme son nom l’indique, la Toussaint est la fête de tous les saints. Chaque 1er novembre, l’Église honore ainsi la foule innombrable de ceux et celles qui ont été de vivants et lumineux témoins du Christ.
Si un certain nombre d’entre eux ont été officiellement reconnus, à l’issue d’une procédure dite de « canonisation », et nous sont donnés en modèles, l’Eglise sait bien que beaucoup d’autres ont également vécu dans la fidélité à l’Evangile et au service de tous. C’est bien pourquoi, en ce jour de la Toussaint, les chrétiens célèbrent tous les saints, connus ou inconnus. -
Pas d'union de la droite, ça devient un fantasme
Un français dans la guerre du Donbass - Meta TV 1/3 | Page d'accueil | Nice: un imam porte plainte contre Marion Maréchal-Le Pen »
31/10/2015
Pas de soutien du CNIP aux listes LR-UDI-Modem
Communiqué de Bruno North, secrétaire Général du CNIP pour les élections régionales :
« Malgré la main tendue aux Républicains par le CNIP, ces derniers ont préféré privilégier la présence de candidats du Modem - dont on sait la responsabilité dans la défaite du candidat de la droite en 2012 - et de l'UDI dans des proportions sans rapport avec la réalité de leur poids politique.
Le CNIP a donc été purement et simplement écarté par Nicolas Sarkozy des listes présentées par le conglomérat LR-UDI-Modem, préférant renforcer le Centre au détriment des valeurs qui tiennent à cœur au CNIP.
En conséquence, le Bureau Politique du CNIP réuni à l'Assemblée Nationale le 27 octobre 2015 a décidé de ne pas apporter son soutien à ces listes et de ne donner aucune consigne de vote à ses adhérents et sympathisants pour les élections régionales des 6 et 13 décembre prochains, leur laissant ainsi une liberté totale de se déterminer envers ceux qui seront le plus proche de leur sensibilité et de leurs préoccupations quotidiennes".
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La reconquête nationale
CARL LANG BIENTÔT DANS LE LIMOUSIN
Rédigé le Jeudi 22 Octobre 2015 à 08:29 | 0 commentaire(s)Le Président du Parti de la France, Carl Lang se déplacera en Limousin le 22 novembre, à Limoges pour un déjeuner-débat au cours duquel M. Lang prendra la parole ainsi que plusieurs militants locaux.
Face à la véritable déferlante migratoire qui s’abat actuellement sur nos côtes, face au « Grand Remplacement » qui menace aujourd’hui tous les peuples européens, face à l’implosion civilisationnelle à la quelle nous sommes confrontés, face aux reniements de valeurs fondamentales telles que la famille, véritablement assiégée et déstabilisée par la parodie imposée aux Français que constitue « le mariage » homosexuel, face à la complicité et aux trahisons de nos dirigeants tous plus assujettis les uns que les autres aux dogmes mondialistes et à L’Europe Bruxelloise, il est grand temps qu’une voix de Droite Nationale, Patriote et Populaire se fasse enfin entendre sur la scène politique française.
Les socialistes au pouvoir, toujours plus âpres dans leur haine de la France, toujours plus déterminés à souiller notre glorieux passé et notre incroyable patrimoine, toujours plus acharnés à détruire le peu de choses qui a échappé aux griffes de leurs prédécesseurs, mènent aujourd’hui une politique qui conduit notre pays au chaos.
Même le Front National actuel renie ses combats et valeurs d’antan.L’influence gauchisante et grandissante de Philippot se fait de plus en plus ressentir, et ce dans des domaines aussi bien économiques (les 35 h, départ à la retraite à 60 ans), sociétaux (mariage pour tous) qu’identitaires (accommodation à l’islam, déni du Grand Remplacement, le fameux « fantasme racialiste »).La parole d’un parti authentique de Droite Nationale est une absolue nécessité. Pas de compromissions ! Pas de langue de bois ! Pas de complaisance envers le système !Défendons la France française ! La France chrétienne ! La France éternelle !N’hésitez pas à venir nous rencontrer en ce 22 novembre, autour d’un repas du terroir.NB : La participation pour ce repas est de 20 Euros par personne ( compris dedans : apéritif, entrée, plat, dessert, vin et café) pour les adultes, et de 10 Euros pour les enfants de moins de 12 ans.Pour des raisons évidentes, l’adresse exacte du lieu sera donnée au dernier moment.Les réservations sont obligatoires.Merci de contacter le 06 - 46 - 82 - 15 - 57.N’hésitez pas à en parler à vos contacts susceptibles d’être intéressés.
Le PDF, section du Limousin. " -
C'est mieux en le disant, en le redisant.
Entre les reniements politiques et personnels, l’allégeance idéologique à la pensée unique, la démagogie grossière et les mises en examen de ses proches, on peut dire que le parti de Madame Le Pen est vraiment devenu un parti comme les autres. Elle est entrée de pleins pieds dans le système UMPSFN, le système de la bande des trois.
Lorsque j’ai fondé avec de nombreux anciens cadres du Front National le Parti de la France, j’avais indiqué publiquement que je n’avais aucune confiance ni politique ni personnelle en Marine Le Pen. Les faits ne cessent de nous donner raison.
Voilà pourquoi il est plus que jamais nécessaire d’œuvrer à la refondation de la droite nationale et c’est la vocation du Parti de la France. Notre porte est ouverte à tous les nationaux qui veulent défendre nos valeurs européennes et chrétiennes de civilisation, notre identité nationale, le droit du peuple français à rester lui-même et à disposer de lui-même, notre programme de droite économique et notre projet de patriotisme social.
Il est temps que tous ceux qui veulent mener la bataille politique, culturelle et historique de résistance nous rejoignent. Ne soyons pas les spectateurs de la débâcle française.
Nous pourrons ainsi défendre ensemble notre idéal, nos valeurs, nos convictions, nos familles, notre France et notre Europe.
C’est notre devoir et ce sera notre fierté.
Carl Lang
Président du Parti de la France -
Merci René
samedi 31 octobre 2015
REGARDEZ BIEN. JUSQU' A LA DERNIERE IMAGE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Il arrive qu'ils ne fassent pas assez attention et qu'une information délicate passe tout de même.
Vite vite !! ils rectifient le tir, mais on peut compter sur nous pour la rediffuser.
. Voyez plutôt .
Le ban et l’arrière-ban des Tartuffes patentés de la politique s’est déplacé à Sarre-Union pour dénoncer, A JUSTE TITRE, la profanation d’un cimetière juif.
MAIS !!!"
Bizarrement", personne n’est venu se recueillir à Tracy-sur-mer où un cimetière chrétien a, lui-aussi, fait l’objet de
PROFANATIONS
Profanation du cimetière de Tracy-sur-mer dans le Calvados.Vous êtes priés de ne vous indigner des profanations de cimetières que lorsqu’ils sont juifs ou musulmans !Je crois connaitre la raison qui fait que les politiques et la presse ne s’intéressent pas aux profanations des cimetières catholiques.C’est parce qu’elles sont trop nombreuses !Soyons honnêtesBFMTV a publié à 8H18, un tableau recensant le nombre des profanations recensées en France en 2014 :.On y voit qu’il y a eu 34 fois plus de cimetières chrétiens profanés que de cimetières juifs
(51 fois plus que de cimetières musulmans).
La profanation de cimetières chrétiens est donc devenue banale et ordinaire.
Donc Inutile d’en parler …Le standard de BFMTV a dû être pris d’assaut par les bien-pensants de tout bord, scandalisés par la publication d’un tel tableau avec deux griefs principaux :- On ne doit pas parler de cimetières « chrétiens » dans un pays laïc.- Il n’y a que des cimetières municipaux !
Quelques heures plus tard, à 13h09 pour être précis, BFMTV revenait dans un politiquement correct qu’elle n’aurait jamais dû quitter :
Remarquez que "chrétiens" est devenu "municipaux".
Quand on vous dit qu'ils nous prennent pour des cons ..
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Libre de l'ouvrir
L’affaire des miettes de pain.
Le coup de gueule du jour.
C'est le site du "Télégramme" qui dévoile l'affaire : l'Elysée a engagé des poursuites pour "offense au chef de l'Etat" contre une association de retraités picards qui avaient envoyé des miettes de pain à l'Elysée.
Le président de l'association, convoqué la semaine dernière, n'en croit pas ses yeux.
"L’idée des miettes c'est pour dire que lorsque le gâteau est partagé, il ne reste que les miettes pour les retraités." L'Elysée n'a pas apprécié raconte France Picardie.
Henri Carton, le président de l'association, est désormais visé par une plainte pour offense au chef de l'Etat et le parquet de Paris a ouvert une enquête.
"Je ne vois pas où est l'outrage" relève le retraité qui se félicite plutôt de cette plainte inattendue "elle aura au moins le mérite de faire parler de nous". Et dire que les médias ne cessent de nous expliquer que François Hollande a beaucoup d'humour !!!
Brûler le drapeau de la France, insulter la France par des chansons, siffler la Marseillaise, brûler des édifices publics ça doit être permis puisque personne n'est poursuivi.
La différence avec l'envoi des miettes de pain c'est que les retraités ont travaillé toute leur vie pour la France et qu'ils doivent se contenter des miettes contrairement à d'autres qui se gavent d'allocations en tous genres !