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SLABO - Page 24

  • Et ce n'est pas fini !!!!!

    Aux dernières nouvelles (TF1 du 16 avril), trois mises en examen de très proches de la présidente du FN-RBM.

    Par ailleurs, le "COUCOU" du HAINAUT vient de débarquer le responsable de la 21ème circonscription.

    Chut ! On ne peut pas en dire plus, sous peine de poursuites.

  • Puisqu'ils le disent !

    Le torchon brûle entre les candidats de RBM du HAINAUT et leur secrétaire départemental.

    Humiliés d'avoir été bernés et spoliés de victoires, avec raison, la quasi-totalité des candidats aux départementales réclament la tête du secrétaire fédéral.

    Ils dénoncent, entre autres, la vision financière de ce dernier, pourtant habitué des prétoires.

    Quand on connaît les soucis juridiques et financiers de certains dirigeants  nationaux, ils se demandent où leur responsable les conduit.

    Succès aux régionales d'où ils sont déjà exclus au profit des copains et des coquins venus d'ailleurs. Heureusement, il est trop tard pour les nouveaux parachutages, il fallait le faire avant le 31 décembre 2014.

    Pour notre part, nous sommes prêts à accueillir les déçus du RBM. Je les écouterai au 06.88.17.73.67.

    Dominique SLABOLEPSZY

    Secrétaire départemental FN de 1987 à 2007

     

  • DE quoi sera fait l'avenir ?

    Interview de Carl Lang pour France TV info

    Rédigé le Lundi 13 Avril 2015 à 11:25 | 0 commentaire(s)

     

    Jean-Marie Le Pen peut participer à la mise en place de la nouvelle droite nationale. « Ce qui se passe aujourd’hui est un événement aussi important que la création du Front national (...). C'est politiquement dramatique. Avec la disparition de Jean-Marie Le Pen, le contenu de son discours patriotique n’est plus défendu par personne. C’est la fin de quelque chose ou le début d’autre chose. C’est possible en créant les conditions à l’extérieur du FN ».


    Interview de Carl Lang pour France TV info

    Nous sommes le 9 avril 2015, jour de la parution des propos de Jean-Marie Le Pen dansRivarol. Les réactions à l’intérieur et à l’extérieur du FN s’enchaînent. De nouveau, l’histoire du parti d’extrême droite attire les attentions. Pour s’exprimer sur cet épisode, je me suis tournée vers Carl Lang.

    Il est resté trente ans aux côtés de Jean-Marie Le Pen. Entré au FN en 1978, Carl Lang est délégué de l’Eure pendant les années 1980-1983. Il est nommé au Comité Central en 1982 et prend la direction du Front national de la Jeunesse (FNJ) entre 1983 et 1986. Il entre au Bureau Politique du FN en 1984. Conseiller régional de Haute-Normandie (1986-1992), député européen FN (1994-2009), il est nommé secrétaire général en 1988. Fin 2008, il quitte le FN et crée le Parti de la France (PDF).

     

    Entretien avec le président du PDF

     

    « Ce qui se passe aujourd’hui est un évènement aussi important que la création du Front national. C’est, d’une certaine manière, la mise à mort du FN par la mise à mort politique de Jean-Marie Le Pen. Ce qui est incroyable, c’est que la classe politique française rêvait depuis 40 ans de liquider Jean-Marie Le Pen… et c’est sa fille qui porte le coup de grâce définitif. Ce doit être le summum du plaisir politique parmi les adversaires de Jean-Marie Le Pen.

    C’est du Sophocle. Ce pourrait être une poésie tragique grecque

    C’est un événement à la fois politique et humain. Madame Le Pen décide de renier politiquement et humainement son père politique et son père génétique. Elle n’existe au Front et elle n’y a existé que par la volonté de Jean-Marie Le Pen. Marine Le Pen s’est imposée au FN depuis de nombreuses années contre l’avis de beaucoup de dirigeants du parti. Jean-Marie Le Pen a fabriqué politiquement sa fille. Il l’a promue. Par elle et avec elle, il a transmis l’héritage familial. Chez les Le Pen, l’héritage c’est un bien de famille. Et elle a attendu d’avoir hérité pour l’euthanasier politiquement.

    Jean-Marie Le Pen ne peut être exclu immédiatement. La marche de manœuvre de l’actuelle présidente du FN est assez étroite. Que peut-elle faire ? En principe, et de toute manière, on est rentré dans une logique de confrontation qui ne peut que s’aggraver, me semble-t-il. Marine Le Pen peut difficilement décider d’exclure son père, suite à une déclaration qui n’est finalement rien d’autre que ce qu’il dit depuis 40 ans. Cela relève de l’hypocrisie et de l’imposture.

    Jean-Marie Le Pen est humilié et ulcéré par l’attitude de l’entourage de Marine Le Pen. Et il le signifie par ses déclarations. Il défie sa fille d’une certaine manière. C’est délibéré. C’est clair et net. D’où l’idée de revenir dans Rivarol sur le Maréchal Pétain, sur le principe de « réconciliation nationale » et de vouloir imposer le discours d’origine du Front. Marine Le Pen l’a déjà quasiment annoncé : elle désire retirer l’investiture de Jean-Marie Le Pen aux régionales.

    Deux cas de figure : soit Jean-Marie Le Pen est toujours Jean-Marie Le Pen et, dans ce cas, il continue dans sa stratégie. Il annonce qu’il sera toujours candidats aux régionales. Deuxième cas de figure : il rentre à la niche, la queue basse et il accepte. Ce qui me paraît à priori difficile et peu probable. S’il maintient sa candidature, Marine Le Pen doit trouver une autre tête de liste du FN face à la liste portée par Jean-Marie Le Pen. À partir du moment où M. Le Pen père se présente sur une liste FN non investi par sa fille, c’est la deuxième étape. Il va faire ce que j’ai fait en 2009. Il a les moyens financiers et politiques de rester candidat malgré tout et de lancer un appel dans sa région pour la constitution d’une grande liste de droite nationale.

    La bataille politique est perdue

    Les choses ont évolué. Les déclarations de Marine Le Pen sont définitives. Ce n’est pas une guerre mais une mise a mort politique. C’est une rupture politique. D’ailleurs, sur l’aspect politique, c’était dans l’ordre des choses. La logique de normalisation de Marine Le Pen conduit à la disparition nécessaire du FN de Jean-Marie Le Pen. Les évènements ont fait qu’elle choisit de se débarrasser du père.

    Reste à savoir si elle veut garder le nom FN. Son intérêt n’est pas nécessairement de liquider le FN à partir du moment où elle a liquidé son père. Jean-Marie Le Pen, lui, peut régler des comptes mais la bataille politique est perdue. C’est peut-être son dernier combat. Nous sommes dans le Front familial et non le Front national. Cet acte de reniement et d’hypocrisie révèle une personnalité forte à tous. Marine Le Pen considère que sa mission politique l’appelle à tuer son père. Elle a décidé d’euthanasier papa. C’est incroyable.

    Jean-Marie Le Pen a une bonne formule. Il dit : « Marine le Pen fait l’union nationale contre son père ». Elle porte le coup de grâce. Et Jean-Marie Le Pen récolte ce qu’il a semé. C’est lui qui l’a fabriquée. Et malgré plusieurs mises en garde, il a purgé le FN de ceux qui contestaient madame le Pen pour l’imposer en force. Ça se retourne contre lui. C’est politiquement et humainement assez extraordinaire.

    Le FN est devenu aujourd’hui un parti électoraliste, une écurie électorale. Comme tous les autres partis. J’ai toujours considéré que Jean-Marie Le Pen avait fait des erreurs médiatiques dans ses provocations. Et que la ligne politique de Marine Le Pen était de faire le FN de son père sans les provocations. Ce n’est pas ce qu’elle fait. Ça c’est ce que voulait faire Bruno Mégret. Marine Le Pen change totalement la ligne politique du FN lepéniste. Elle a transformé un mouvement de droite nationale en un mouvement souverainiste de gauche et populiste. Elle procède par démagogie.

    Florian Philippot est devenu une sorte de démon. Et au sein du FN, tous prennent leur position en fonction de l’état de l’opinion. C’est exactement le contraire de Jean-Marie Le Pen. Lui était capable de défendre ses idées même si elles n’étaient pas populaires. Sa fille défend ce qui est populaire quelque soient les idées. Elle s’en contre-fiche. C’est une professionnelle de l’électoralisme. Elle fait de très bons scores d’ailleurs.

    Les conditions sont là. À la limite, elle ne dirait rien que ce serait aussi bien. Il suffit de ramasser les fruits qui tombent tout seul. Depuis 2012, l’opposition ce n’est plus rien. Une donne nouvelle apparaît aujourd’hui : la montée en puissance de Sarkozy. Marine Le Pen a un boulevard… des conditions exceptionnelles et une stratégie mauvaise. Les gens sont déçus par la droite et la gauche. Quand on leur dit ce qu’ils ont envie d’entendre, c’est facile. Le FN porte un discours citoyen laïciste comme les autres. C’est électoralement efficace. On ne peut pas faire le reproche à Jean-Marie Le Pen de faire un discours par démagogie. Il l’a toujours fait par conviction. Le rêve des socialistes était de faire un second tour avec Marine Le Pen. Aujourd’hui, je considère que c’est mort. Il y aura un deuxième tour FN-Sarkozy.

    Je suis le seul cadre de l’histoire à avoir été exclu tout seul. Jean-Marie Le Pen a été mon juge d’instruction, le président du tribunal, le jury et l’exécuteur. Mon exclusion s’est déroulée en quelques minutes face à un homme et sans aucune convocation des instances du FN. Il ne voulait pas prendre de risque d’une abstention. Le seul moyen était de faire l’unanimité.

    Ce qui se passe aujourd’hui est politiquement dramatique. Avec la disparition de Jean-Marie Le Pen, le contenu de son discours patriotique n’est plus défendu par personne. C’est la fin de quelque chose ou le début d’autre chose. C’est possible en créant les conditions à l’extérieur du FN. Tout s’est décidé en 2007 quand Jean-Marie Le Pen a dégagé Bruno Gollnisch de la Délégation générale pour y mettre sa fille. C’était la donation avant la succession. Tous les opposants à Marine Le Pen ont été purgés. Ce qui se passe était donc écrit et annoncé depuis des années.

    Le FN est aujourd’hui un parti électoraliste sur le fond et sur la forme. C’est Marine Le Pen qui donne les mandats, les postes. Elle a le financement. En fonction de ce que va faire Jean-Marie Le Pen, elle va mesurer la qualités de ses amis. Je n’ai pas suivi Bruno Mégret en 1998 car je n’avais pas de désaccord politique de fond avec Jean-Marie Le Pen même si, comme Bruno Mégret, je considérais que les provocations lepénistes étaient nuisibles. Mais cela, c’était la forme des choses. Jean-Marie Le Pen défendait des valeurs qui étaient les miennes. Cela n’a pas changé.

    Aujourd’hui, Jean-Marie Le Pen peut participer à la mise en place de la nouvelle droite nationale. Il a la possibilité de redistribuer politiquement les cartes. Je ne suis pas fermé à la constitution d’un rassemblement national. Même si, personnellement, la rupture est consommée. Mais en termes politiques, c’est différent. Rien n’est à exclure. Je crois que les idées de Jean-Marie Le Pen sont conformes à l’intérêt du pays. Il existe un potentiel, un espace électoral. Il faut en trouver un politique et médiatique. Jean-Marie Le Pen n’a plus qu’à le créer. Et la clé, c’est l’argent.

    Publié par Valérie Igounet / Catégories : Histoire du Front national source : http://blog.francetvinfo.fr/derriere-le-front/2015/04/12/jean-marie-le-pen-peut-participer-a-la-mise-en-place-de-la-nouvelle-droite-nationale.html
  • Je vous le dis, ce n'est pas fini !

    Ces frontistes en rupture de ban : article du Républicain Lorrain

    Rédigé le Mercredi 15 Avril 2015 à 10:14 | 0 commentaire(s)

     

    La fronde anti-Philippot s’organise autour de Carl Lang. Le 25 avril, l’ex-FN lancera à Metz l’antenne mosellane du Parti de la France.

    Dominique Biry se définit lui-même comme « un patriote ». Il se range parmi les partisans de l’orthodoxie nationaliste.


    Ces frontistes en rupture de ban : article du Républicain Lorrain

     Après trois ans à la tête de la 4e circonscription FN de Moselle (Sarrebourg-Château-Salins), il rend son tablier et quitte le navire lepéniste. Le 25 avril, Carl Lang, comme lui ex-frontiste, viendra à Metz l’installer dans ses nouvelles fonctions de secrétaire départemental de sa formation politique : le Parti de la France. En ligne de mire, les législatives de 2017.

    Lassé d’un FN dans lequel il ne se reconnaît plus, Biry dénonce pêle-mêle « le lobby gay », « la complaisance envers l’Islam » et envers les gauchistes grecs de Syriza, « la dédiabolisation économique » à laquelle il ne croit pas davantage qu’au retour de la retraite à 60 ans ou à un Smic à 1 700 € – « Pensez donc, en pleine crise économique »… On dirait du Le Pen… père. Ou du Gollnisch dont certains espèrent secrètement qu’il finira lui aussi par quitter le navire pour renouer avec la frange maximaliste.

    « La goutte d’eau »

    Le réquisitoire de ces déçus du « marinisme » cible clairement la ligne politique défendue par Florian Philippot pourtant promis à la tête de liste en Alca pour les régionales. Plus que jamais, le n°2 du FN cristallise le ressentiment de ceux qui l’accusent désormais ouvertement de saper l’héritage de Jean-Marie Le Pen. Et ce, avec la complicité tacite de Le Pen fille. « Philippot place des gens à lui partout », fustige Bernard Brion. En 2014, l’ancien secrétaire départemental du FN (2004-2007) a entamé son quatrième mandat comme conseiller municipal à Sarrebourg. Elu sous les couleurs du Rassemblement Bleu Marine, tout comme Nicolas Vidal, ils ont depuis, l’un et l’autre, claqué la porte du parti. Le refus de Paris de lui accorder l’investiture pour les départementales a, dit-il, constitué « la goutte d’eau ». Mais à l’entendre le cœur n’y était plus. Lui aussi dénonce la propension de Florian Philippot à verrouiller tous les rouages. Brion n’a pas non plus digéré la fascination de Nathalie Pigeot pour le IIIe Reich ( RL du 11/03). Pas plus que les méthodes de management qu’il prête à l’eurodéputée Dominique Bilde. Remplaçante de Jean-Luc Manoury – désormais à Debout la France – au poste de secrétaire départementale en Meurthe-et-Moselle, la mère de Bruno Bilde, cadre influent de la sphère mariniste, ferait la pluie et le beau temps en pays de Sarrebourg où elle est désormais domiciliée.

    Des critiques que Thierry Gourlot balaie d’un revers. « Ils ne se reconnaissent plus dans une ligne qu’ils qualifient de moderniste, étatiste ou gaullienne… Eh bien, qu’ils partent. C’est la démocratie. Mais l’éthique élémentaire commanderait de quitter les mandats pour lesquels certains ont été élus grâce à l’étiquette du parti », objecte le secrétaire départemental. Des risques de scission ? Gourlot n’en voit pas. « On n’a jamais enregistré autant d’adhésions » objecte-t-il tout en évoquant les dernier scores électoraux, sans précédents.

  • Tête haute et mains propres, ce qu'ils disaient !

    Dans ce qui suit, je me contente de rapporter ce qu'écrivent des médias.

    Pour ma part, j'ai toujours su, je ne pouvais rien dire sans mettre en cause des "AMI(ES) très proches depuis toujours.

    Des "AMI(ES)" plus préoccupé(es) par un positionnement strictement électoraliste.

    C'est vrai que c'est plus gratifiant de faire plus de 30% des voix avec l'étiquette "Rassemblement Bleu Marine", d'être élu (ou réélu) conseiller municipal.

    Pour ma part, dans la fidélité aux idées et aux hommes, j'avais choisi de n'être plus conseiller municipal, ni conseiller régional en 2010, plutôt que de me renier.

    Dominique SLABOLEPSZY

    Conseiller régional honoraire

     

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  • Marseille ! le PDF s'implante.

    Olivier Bianciotto, nouveau chargé de mission du Parti de la France sur Marseille

    Rédigé le Dimanche 12 Avril 2015 à 16:05 | 1 commentaire(s)

     

    Olivier Bianciotto, 30 ans (marié, 1 enfant), est le nouveau Chargé de mission du Parti de la France pour l'agglomération marseillaise.


    Olivier Bianciotto, nouveau chargé de mission du Parti de la France sur Marseille

    Ce militant nationaliste de longue date, chef d'équipe en sécurité incendie pour une société privée, délégué du personnel FO, aura pour mission d'organiser les activités militantes du Parti de la France à Marseille et dans ses environs ainsi que de structurer durablement notre mouvement dans la seconde ville de France.
     

    Pour le contacter : 06.28.68.18.16 ou bianciotto.olivier@gmail.com

     

    Ce militant nationaliste de longue date, chef d'équipe en sécurité incendie pour une société privée, délégué du personnel FO, aura pour mission d'organiser les activités militantes du Parti de la France à Marseille et dans ses environs ainsi que de structurer durablement notre mouvement dans la seconde ville de France.
     

    Pour le contacter : 06.28.68.18.16 ou bianciotto.olivier@gmail.com

  • Un avis éclairé, visionnaire il y a 8 ans

    Carl Lang s'exprime sur le psychodrame lepéniste

    Rédigé le Samedi 11 Avril 2015 à 13:36 | 0 commentaire(s)

     

    Carl Lang, Président du Parti de la France, était invité hier soir sur BFMTV pour commenter la crise familiale au Front National :

    « Ça fait 35 ans que les partis du système mettent tout en oeuvre pour liquider Jean Marie Le Pen, c'est sa propre fille qui l'a fait ce soir en direct au journal de 20h de TF1. »


    « On ne peut pas prétendre défendre l’intérêt de la Nation, de son peuple, quand on ne respecte pas sa propre famille. »

    "on assiste à  l'euthanasie politique et électorale de Jean-Marie Le Pen par sa propre fille"
     


  • Bernard Antony

    Front National : le père et la fille coresponsables du désastre culturel et moral du front National.

    Rédigé le Samedi 11 Avril 2015 à 13:31 | 0 commentaire(s)

     

    Communiqué de l'Institut du Pays Libre:

    C’est un bien pathétique spectacle pour les militants de la droite de conviction que cet affrontement réciproquement suicidaire entre Jean-Marie Le Pen et Marine Le Pen.


    Front National : le père et la fille coresponsables du désastre culturel et moral du front National.
     
    - La fille pouvait certes, à juste titre, se désoler de la réitération, à motivation sado-masochiste, par son père, du mot de « détail » appliqué aux chambres à gaz et d’autant plus injustifiable qu’il en rejeta dès la première utilisation toute tentative d’explication plausible que nous lui avions proposée dans le sens de « la partie d’un tout ». Les chambres à gaz n’ont pas constitué, en effet, le moyen unique d’extermination du peuple juif voué au génocide par les nazis sur les modèles du génocide des vendéens par les jacobins et des Arméniens et autres chrétiens par les Jeunes-Turcs.
     
    - Le père a, non seulement accepté mais approuvé et soutenu depuis quinze ans toutes les dérives de sa fille et de son clan, à l’opposé des valeurs de la droite de conviction, sur les lois sociétales (acceptation et intouchabilité de la loi Veil - inertie complice sur la loi Taubira…).
     
    Mais aujourd’hui, parce qu’en cours d’éjection par parricide politique, il s’insurge. On n’a pourtant pas oublié les sarcasmes méprisants qu’il a déversés contre ceux qui s ‘opposaient à Marine avec la naïveté de croire que son père ne la soutiendrait pas.
    suite : http://www.bernard-antony.com/
     


  • Bienvenue Jean-Pierre

    Jean-Pierre Atoch rejoint le Parti de la France

    Rédigé le Jeudi 9 Avril 2015 à 08:02 | 0 commentaire(s)

     

    Publié par Guy Jovelin.
    Mon camarade de combat Jean Pierre Atoch, ex secrétaire départemental FN du département des Hautes-Pyrénées (65) et actuellement adhérent FN dans le département des Pyrénées Orientales (66) a décidé depuis quelques jours de rejoindre le Parti de la France.


    Jean-Pierre Atoch rejoint le Parti de la France
    C’est avec grand plaisir que je lui souhaite la bienvenue au PdF.
    En cliquant sur ce lien, vous y découvrirez les motivations de son engagement pour le Parti de Carl Lang : //www.lefanaldubarcares.com/?p=6125

    source : http://pdf31.hautetfort.com/archive/2015/04/08/jean-pierre-atoch-rejoint-le-parti-de-la-franc-5599723.html
  • Vous avez dit "vague bleue", mais quel bleu !

    SI LA VAGUE EST BLEUE, ELLE N’EST PAS MARINE

    lundi 23 mars 2015, par Pierre Picace

    Les abstentionnistes restent le premier parti de France. Un Français sur deux n’est pas allé voter dimanche. Ils restent donc les observateurs des jeux politiciens que nous ont joués dimanche soir les acteurs de cette farce démocratique. « On a gagné » ont-ils tous entonné en chœur !

    En résumé, la droite sort en tête du premier tour des départementales, suivi par le Front national qui se qualifie dans plus d’un canton sur deux. Le Parti socialiste, s’il a mieux résisté que prévu devrait néanmoins perdre une trentaine de conseils généraux lors du second tour dimanche prochain. La gauche d’ores et déjà éliminée dans 500 cantons est satisfaite.

    Tout le monde, il est donc content. La droite parce qu’elle devance le FN, le Front national parce qu’il est devant le PS, le Parti socialiste parce que le FN n’est pas le premier parti de France et les abstentionnistes ne pas avoir besoin de se déranger pour assister aux pantalonnades que sont les soirées électorales.

  • La COURONNE, dans les Charentes

    Hommage à Pierre DEPLANQUE et Dolorès THOMAS, conseillers municipaux à La COURONNE, candidats pour le PARTI de la FRANCE dans le canton du même nom.

    Ils réalisent 16,31% des voix dans un canton "ROSE", qui a vu la reconduction des sortants de l'Union de la Gauche.

    Bravo à eux et à leur cadeau d'entrée au PARTI de la FRANCE.

  • CALAIS 2

    Calais 2 : aucune consigne de vote pour le 2nd tour

    23 Mars 2015, 17:32pm

    Publié par Thomas Joly

    Communiqué du Parti de la France

    Monique Delevallet et Kévin Reche remercient les 466 électeurs du canton (3,3 %) qui ont apporté leur suffrage au Parti de la France et ont eu la lucidité de voter pour les véritables candidats de la France française. Cette élection n’est qu’une première étape dans l’implantation à long terme du Parti de la France sur le Calaisis.

    Le candidat du Front National, Monsieur Rudy Vercucque, a cru intelligent de déplorer dans la presse locale le score « trop élevé » du Parti de la France et de « ses candidats racistes et fascistes ». Cet individu n’est qu’un diffamateur digne des commissaires politiques d’extrême-gauche de SOS Racisme, du MRAP ou de la LICRA.

    Par conséquent, le Parti de la France ne donne aucune consigne de vote pour le 2nd tour où ne figureront que des représentants du Système acquis à la pensée unique et à l’idéologie dite « antiraciste » mais en réalité antifrançaise.

  • Départementales Nord Pas de Calais

     

    Cette note sera corrigée dans les quarante huit heures.

    Je souhaite prendre le temps de la réflexion.

    Pour ma part, ce qui est acquis, c'est que le combat continue, au moins jusque milieu 2017. Mes ami(es) peuvent compter sur moi.

    Dominique SLABOLEPSZY

    Conseiller Régional Honoraire

    Membre du Bureau Politique National du PARTI de la FRANCE.

  • Le bon choix

    Carole Van Hullebusch (Gravelines) rejoint le Parti de la France

    Rédigé le Mercredi 18 Mars 2015 à 08:12 | 0 commentaire(s)

     

    Carole Van Hullebusch, ex-tête de liste FN aux élections municipales de Gravelines, rejoint le PdF Flandre maritime. Auxiliaire de vie, 48 ans, mariée et mère de 4 enfants, fortement déçue par les instances du Front National, cette femme de convictions a démissionné de son poste de Conseillère municipale 9 mois après son élection.


    Carole Van Hullebusch (Gravelines) rejoint le Parti de la France
    Elle va militer aux côtés de Jean-François Vendeville et de sa dynamique équipe de Flandre Maritime
  • Info CIVITAS

     

    Le catholique ne peut déserter le terrain catholique

    Civitas se réjouit que plusieurs de ses membres et amis figurent parmi les candidats en ordre utile des élections des 22 et 29 mars prochains.

    Le journal PRESENT a publié un numéro hors-série consacré à ces élections des 22 et 29 mars. La rédaction du quotidien catholique a demandé l'avis de plusieurs personnalités politiques de la mouvance nationale, dont Alain Escada, président de Civitas.

    Voici cet entretien :

     Selon vous, que doit attendre un catholique de la politique ?

    Le catholique doit avant tout considérer la politique comme un moyen de servir le Bien commun. A ce titre, Civitas encourage vivement les catholiques à prendre leurs responsabilités en politique, d’abord en tant qu’électeurs, mais aussi en tant que candidats et ensuite, pour une partie d’entre-eux, en tant qu’élus.

    On ne peut pas légitimement à la fois se plaindre de la politique et s’en désintéresser. Si les choses vont aussi mal n’est-ce pas aussi en partie parce que les catholiques ont déserté le terrain politique ? Il est trop facile de se limiter à répondre que le système est pourri pour justifier de ne rien faire. Je voudrais rappeler ces mots extraordinaires de Mgr Lefebvre, ô combien visionnaire : “Vous qui êtes chef de famille, vous avez une grave responsabilité dans votre pays. Vous n’avez pas le droit de laisser votre pays envahi par le socialisme ou le communisme. Vous n’en avez pas le droit ou vous n’êtes plus catholique. Vous devez militer au moment des élections pour que vous ayez des maires, catholiques, des députés catholiques et qu’enfin la France redevienne catholique. (...) Chefs de famille, c’est vous qui êtes responsables de cela, pour vos enfants, pour les générations qui viennent. Alors, vous devriez vous organiser, vous réunir, vous entendre pour arriver à ce que la France redevienne chrétienne, redevienne catholique. Ce n’est pas impossible, ou alors il faut dire que la grâce du Saint Sacrifice de la messe n’est plus la grâce, que Dieu n’est plus Dieu, que Notre Seigneur Jésus-Christ n’est plus Notre Seigneur Jésus-Christ.”

    C’est dans cet esprit que Civitas a mis en place un réseau qui propose depuis peu une véritable assistance (service de documentation, conseils juridiques, réponses aux questions morales,...) aux élus catholiques.

     Pensez-vous que le thème de la famille sera, en France, au cœur des enjeux politiques de 2015 ?

    La Famille ne sera un enjeu politique apparent en 2015 que si les familles catholiques font le nécessaire pour cela. Cela demande de s’investir avec intelligence et méthode. Je ne crois pas du tout à l’utilité d’envoyer des questionnaires à des candidats car les promesses de politiciens n’ont de valeur que pour ceux qui ont envie d’y croire. Par contre, c’est lors des réunions publiques des politiciens en campagne qu’il faut s’organiser pour les forcer à répondre à des questions précises et pour démontrer avec imagination et visibilité que ce sujet reste cher au cœur des Français.

    — Les manifestations massives font penser plus que jamais à un « vote catho ». Y croyez-vous ?

    Je me méfie des illusions. Les manifestations massives ont eu l’avantage de prouver que le potentiel existe mais n’ont pas débouché sur la mise en place de quelque chose de structuré et durable. Le “vote catho” n’est envisageable que si des outils viennent aider les électeurs catholiques à faire preuve de discernement. En l’absence de ces outils, c’est la confusion qui règnera encore et toujours à la veille des élections. Il ne suffit pas de vouloir sanctionner le PS ou l’UMPS. Faire élire des militants LGBT drapés momentanément de tricolore ne résoudrait rien, bien au contraire. Plus que jamais, il faut se distancier des partis pour ne s’intéresser qu’aux hommes – et aux femmes – qui, une fois élus, pourraient avec courage et persévérance défendre le Bien commun (ce qui inclut la Famille) sans céder aux pressions.

    Propos recueillis par Anne Le Pape

  • RIPOSTE LAIQUE, intervention de Carl LANG

    Carl Lang revendique le droit de défendre notre Identité

    http://youtu.be/OmjhhLVb5UY