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vie politique du Hainaut - Page 48

  • Hou ! la menteuse !

    Qu'elle est chouette cette question posée sur le tchat de METRO.fr.

    C'est surtout la réponse qui décoiffe.

    "Chouette : En cas d’élection, allez-vous abandonner votre rôle à Hénin-Beaumont ?

    Pourquoi cela ? Je suis à Hénin-Beaumont conseillère d’opposition à titre bénévole. Ma présence y est nécessaire et je continuerai le combat que je mène. Vous savez, j’ai de l’énergie à revendre !"

    Une nouvelle fois, c'est la langue de bois, l'esquive si chère à l'héritiaire auto-proclammée.

    Un mensonge de plus !

    Il est bon de rappeler, ici, la loi sur le cumul des mandats.

    En faisant simple, chaque "élu" peut exercer DEUX mandats.

    D'où fréquemment des choix OBLIGATOIRES.

    Dans le cas présent, Marine LE PEN est conseillère municipale "bénévole", Député au parlement européen, Conseillère régionale d'Ile de France (si, si, encore).

    C'est un mandat de trop, par un tour de passe passe légal (mais honteux), elle multiplie les recours, qui sont suspensifs, j'espère que vous suivez.

    Après le 21 mars, elle ne sera plus conseillère régionale d'Ile de France, mais du NORD PAS de CALAIS, ce sera le seul changement.

    Il se pourrait aussi que les électeurs de notre région ne lui donne pas les 10% nécessaires pour figurer au deuxième tour.

    Alors, elle ne serait plus une "cumularde" (près de 7000 euros personnels à Bruxelles et 3000 euros à Paris), mais titulaire de son mandat de député et de conseillère municipale d'Hénin Beaumont à titre bénévole.

    Elle peut raconter tous les bobards qu'elle veut, ce sera la réalité des choses.

    Hénin-Beaumont, elle s'en moque, comme des militants nationaux qu'elle trompe sans vergogne, c'est la succession de son père qui l'intéresse, rien d'autre, avant une candidature à la présidentielle de 2012.

    Quel beau programme !

    Avec quel argent, quand les huissiers auront saisi la subvention annuelle versée en fonction des résultats aux législatives de 2007 ? Mon petit doigt me dit que c'est la dure réalité.

    A toutes fins utiles, je vous renvoie à mes notes concernant la question de l'emprunt fait auprès de Fernand Le RACHINEL.

    Alors elle fera comme les socialistes, elle vous demandera votre montre plutôt que de vous demander l'heure.

    Je pense que beaucoup de mes amis ont compris que j'avais des raisons de fond et de forme pour quitter le radeau de la méduse : je ne voulais pas, je ne pouvais pas cautionner toutes les dérives idéologiques et participer à la liquidation des idées nationales.

    Pour rassurer tous les esprits chagrins, je sais depuis le 13 juillet 2007, date du choix personnel de quitter les fonctions internes que j'exerçais, que je mettais un terme à 18 ans de mandat régional, j'ai fait un choix, j'en assume toutes les conséquences.

    J'ai commencé un nouveau combat aux cotés de Carl LANG, mais ce combat est-il si nouveau ?

    Dominique SLABOLEPSZY

    Bientôt Conseiller régional honoraire

    (ça existe, il faut 15 ans de mandat) 

    Membre du bureau politique du PDF

     

  • La vérité !

    Christophe Stirbois président du comité de soutien de Jean Verdon communique :

    « L'utilisation sur un tract du Front National de mon nom et de celui de mes parents, avec la photographie de ma mère, est d'autant plus scandaleuse que monsieur Le Pen et surtout sa fille Marine Le Pen, jalouse de la popularité de Marie-France STIRBOIS, ont employé tous les moyens pour la combattre, allant jusqu'à la suspendre du bureau politique du FN.

    Ces procédés ont assombri les derniers mois de son existence, au moment où elle se battait contre la maladie. Je prends contact avec mon avocat pour entreprendre les poursuites judiciaires à l'encontre de ces méthodes qui violent la législation relative notamment au droit à l'image. »

    Christophe Stirbois 

    Dès demain, des révélations sur la déroute financière du Front résiduel : l'application stricte d'une décision de justice condamnant les mauvaix payeurs.

    D'autre part, il faut lire l'inerview de Carl LANG dans "MINUTE" de cette semaine, édifiant sur la poursuite du combat national.

  • Soutien au PDF

    Christophe STIRBOIS, fils de Jean-Pierre et Marie-France Stirbois apporte son soutien à Jean Verdon qui conduit la liste  du Parti de la France, liste d’union des nationaux dans la région Centre.

    "Madame, Monsieur, chers compatriotes

    Jean-Pierre et Marie-France Stirbois avaient consacré de très nombreuses années de leur vie à la défense des Drouais confrontés au chômage, à l’insécurité et l’immigration. C’est d’ailleurs parce qu’elle combattait déjà l’extrémisme islamiste que les Français d’Eure et Loir avaient élu ma mère député en 1989. Marie-France Stirbois était une battante, une femme politique courageuse et sincèrement engagée dans le combat pour la préservation de notre cadre de vie, de notre ruralité, de notre identité, appréciée de tous aussi pour sa franchise et son opiniâtreté.

    C’est mon père qui a le premier confié des responsabilités politiques à Jean Verdon dans la région Centre, quand le mouvement national commençait à peine à émerger. Les hommes de talent, ayant des convictions patriotiques, et solidement installés dans la vie professionnelle comme Jean étaient alors rares. Ensuite, il a été un ami politique loyal et fidèle de ma mère, notamment dans les moments difficiles. C’est lui qui a repris le flambeau du combat patriotique dans la région Centre, et, dans l’Eure et Loir, avec Jacques Dautrême !

    Aujourd’hui, dans le souvenir de mes parents Jean-Pierre et Marie-France Stirbois, je vous demande de lui faire à nouveau confiance pour qu’il puisse être votre vrai porte-parole à la Région avec les autres élus du Parti de la France.

    Alors ne vous trompez pas ! Ne vous laissez pas abuser par les listes de division et parasites soutenues par le Système. Si comme moi, comme Jean-Pierre et Marie-France Stirbois en leur temps, vous voulez que notre région reste française, un seul vote, une seule solution… Jean Verdon Le Parti de la France.

    À nouveau, je vous le dis : Ne nous trompons pas ! Ne nous laissons pas tromper !

    Christophe Stirbois"

     

     

    Lu dans le Nouveau NH-HEBDO : interwiev de Carl LANG

     

    Carl LANG : "Ces élections régionales sont l’occasion de faire connaître le Parti de la France qui a été créé il y a moins d’un an et de confirmer notre stratégie de renouveau, de rassemblement et de résistance."

    Appelé à la rescousse lors de la scission de 1998, sollicité, lorsque la situation semblait compromise pour trouver les parrainages de maires à la présidentielle de 2002, Carl Lang a été longtemps considéré comme "le meilleur d’entre nous" par la direction du Front national avant d’en être exclu. A moins d’un mois des élections régionales, le président du Parti de la France a bien voulu répondre à nos questions, questions qui sont peut être aussi les vôtres, sur l’avenir de la droite nationale et de son engagement à la tête du Parti de la France.

    Mars 2009, Carl Lang officialisait la naissance du Parti de la France en présence d’Annick Martin représentant le MNR, de Robert Spieler pour la NDP et Jean-Claude Martinez.

    NNH—Vous aviez annoncé que le Parti de la France présenterait des candidats dans au moins huit régions. Où en êtes-vous aujourd’hui ? Et qu’attendez vous de ce scrutin ?

    Carl Lang— Dans sa stratégie d’union des nationaux et des patriotes français nous soutenons la liste des Lorrains contre les minarets menée par Annick Martin, secrétaire générale du MNR et la liste de la Ligue du Sud menée par Jacques Bompard en PACA. Des membres du Parti de la France figurent à titre individuel sur la liste régionale de Jean-Claude Martinez en Languedoc-Roussillon. En région Franche-Comté, la liste de la Ligue franc-comtoise contre les minarets est soutenue et dirigée par Christophe Devillers, délégué régional du Parti de la France.

    Enfin, Thomas Joly, Fernand Le Rachinel, Jean Verdon et moi-même menons des listes du Parti de la France et de ses alliés en Picardie, Basse-Normandie, région Centre, et Haute-Normandie. Ces élections régionales sont l’occasion de faire connaître le Parti de la France qui a été créé il y a moins d’un an et de confirmer notre stratégie de renouveau, de rassemblement et de résistance.

    Le Front national que vous avez quitté pour désaccords politiques semble se refaire une santé dans les sondages. Il est très présent dans les médias ou tout au moins Marine Le Pen qui a obtenu une page dans Le Monde ainsi qu’un "tchat" sur le Monde.fr quelques semaines plus tard, ce qui n’était jamais arrivé avec son père, un débat avec le ministre de l’Immigration Eric Besson en première partie de soirée. Alors, est-ce que vous vous seriez trompé et la stratégie de Marine Le Pen serait-elle la bonne ?

    Permettez-moi d’abord de préciser que je n’ai pas démissionné du Front national, mouvement auquel j’ai appartenu pendant 30 ans, mais j’en ai été exclu. Il se trouve que j’ai été en désaccord avec la stratégie présidentielle de 2007 de la directrice de campagne Marine Le Pen. A la vérité, il faudrait plutôt dire que c’est Marine Le Pen seule qui est sous perfusion médiatique et en situation de monopole dans l’accès aux médias nationaux. Si l’on voit ou entend encore un peu Jean-Marie Le Pen, il est frappant de constater que Bruno Gollnisch est quant à lui manifestement interdit de séjour sur les plateaux. Puisque vous parlez de stratégie, il s’agit clairement d’une stratégie élaborée par les partis du système. Ce qui conforte notre analyse et renforce notre détermination à mener la vraie bataille de résistance nationale contre la colonisation migratoire, financière et économique de la France et l’islamisation de notre pays. Le fait de ne pas être médiatiquement compatible ne nous empêchera pas, au contraire, de progresser dans l’opinion. Il ne faut pas confondre la France des bobos et des plateaux télé et la France réelle. Il ne suffit pas d’avoir "open-bar" sur Canal + pour porter le discours de résistance nationale. Quant à nous, personne ne nous interdira de nous exprimer et nous empêchera de défendre nos convictions et nos valeurs. Ni les insultes d’une clique, ni les intimidations ou les menaces nous empêcherons de remplir notre mission à l’égard de la France et du peuple français. Le patriotisme est la propriété privée de personne, et personne n’a le monopole de ce combat.

    Parti de la France, MNR, NDP, si le militant peut s’y reconnaître dans ses mouvances de la Droite nationale pour les électeurs, cela semble bien plus compliqué. N’y a-t-il pas un sigle un logo que vous pourriez utiliser en commun pour les élections ce qui rendrait la vie plus facile à vos électeurs ?

    Notre stratégie est une stratégie de rassemblement des nationaux, c’est la raison pour laquelle nous travaillons de concert avec Annick Martin qui dirige le MNR et Robert Spieler délégué national de la NDP. Les élections régionales seront l’occasion de faire connaître et de promouvoir l’image du PdF en région Centre, Picardie, Basse et Haute Normandie, mais aussi en Lorraine, e Franche-Comté ou en PACA. Mais à ce stade, nous n’envisageons, ni les uns ni les autres de constituer une structure unique et monolithique. La nécessaire union des nationaux et des patriotes n’exige pas obligatoirement la fusion de ses structures.

    Vous êtes revenu, vous implanter en Haute-Normandie. Est-ce une implantation durable ou seulement de circonstance ?

    Etant Normand, né à Vernon, et ayant vécu en Normandie durant 35 ans avant d’habiter Saint-Amand-les Eaux dans le Nord, il s’agit pour moi d’un retour au pays, dans ma région natale dont j’ai été l’élu au Conseil régional de 1986 à 1992. Pour l’anecdote, lorsque j’ai pris la direction de la fédération de l’Eure du FN en 1979, à l’âge de 22 ans, nous étions 2 adhérents à jours de cotisation... Il y en a déjà beaucoup plus qui sont membres aujourd’hui du Parti de la France !

    La fédération FN, principalement en Seine-Maritime, à littéralement, explosée en vol à la suite du parachutage d’un Parisien pour prendre la tête de liste aux régionales. C’était pourtant une fédération qui était restée fidèle au Front national et à Marine Le Pen lors des élections européennes de juin 2009. Nicola Bay sera l’un de vos adversaires, lors de ces élections, mais vous êtes concurrents directs. Qu’est-ce qui vous différencie, qu’est-ce que vous avez de plus que lui qui puisse inciter les électeurs à choisir le PdF et Carl Lang plutôt que le FN ?

    La liste du Parti de la France et d’union des nationaux normands est composée de Normands et non pas de parachutés d’Ile-de-France. Je considère que le fait de choisir un conseiller municipal de Sartrouville, tête de liste en Seine-Maritime et un conseiller municipal d’Enghien-les-Bains, tête de liste dans l’Eure, est une marque de mépris pour les militants et sympathisants normands en général, ainsi que pour les électeurs d’Enghien-les-Bains et de Sartrouville. On se demande bien pourquoi ces conseillers municipaux d’Ile-de-France ne figurent pas sur la liste FN d’Ile-de-France...la fameuse gamelle ?? C’est la raison pour laquelle de nombreux militants du FN, canal historique de Haute-Normandie participent à notre liste d’union des nationaux normands et ont rejoint le PdF. La culture et la pratique du mépris et de l’arrogance ont leurs limites. Ma liste comprend 3 conseillers régionaux sortants de Haute-Normandie et 3 anciens conseillers régionaux, c’est une liste enracinée et fière de ses attaches normandes.

    Une dernière question, Jean-Marie Le Pen a annoncé qu’il prendrait sa retraite Fin 2010 ou début 2011. Bruno Gollnisch et Marine Le Pen sont à ce jour candidats à sa succession. Les règles pour élire le nouveau président du Front national ayant été modifiées lors du congrès de Bordeaux en 2004, ce ne sont plus seulement les délégués du congrès qui votent mais tous les militants à jour de cotisation. Si Bruno Gollnisch devait l’emporter sur sa rivale, seriez-vous prêt, vous et le PdF à reconsidérer votre départ du FN ?

    Notre volonté de rassemblement des nationaux s’applique évidemment à mes camarades et amis du Front National.

    Il est évident que Bruno Gollnisch serait plus à même de contribuer à ce rassemblement plutôt que ceux qui ont en 2007, pour des raisons d’ambitions personnelles, délibérément torpillé la stratégie d’union patriotique initiée par Jean-Marie Le Pen. Le Parti de la France travaille déjà avec le MNR et la NDP au rassemblement des nationaux. La main est tendue à tous ceux qui veulent contribuer à notre effort de résistance nationale et de renouveau de la droite nationale.

  • Lu dans un blog au service du FNF

    Après quelques corrections sur la forme........

    "Il se trouve que je connais parfaitement les intéressés. J’étais à une époque leur colistier et leur collègue pendant le mandat 1998/2004, mandat pendant lequel, ils ont trahi ou ont été absents.

    Candides impénitents, certains d'entre nous ont pu voir en eux les possibles sauveurs de l’œuvre politique de Carl LANG dans le Nord Pas de CALAIS, œuvre qui avait fait du FN de Jean-Marie LE PEN, le premier parti de droite de la région.

    Nous avons vite déchanté… de toutes parts nous sont venus des échos d’un épouvantable gâchis politique.

    J’ose écrire que, par leurs outrances verbales, leur grandiloquence, leurs exclusions, leur manque de discernement, leur arrogance, leur avidité… et j’en passe, ils sont en passe de détruire l’œuvre politique de leurs prédécesseurs.

    Et nous n’avons rien pu faire pour bloquer leur délire car ni à moi, ni à d’autres, ils n’ont jamais demandé le moindre avis, ni d’ailleurs écouté les remarques que les militants les plus instruits et indignés de la région n’ont pu se retenir d’émettre, en particulier le colonel DUHAMEL, commandeur de la Légion d'Honneur, vice-président du CNC, secrétaire régional du vrai FN, jamais débarqué de ses fonctions qu'occupe inconsidérément l'enfant de Dallongeville.

    Mais je vous l’accorde, comme poseurs d’emplâtres, comme princesse et prince de la dissimulation, comme braqueurs de l’histoire, comme pipeauteurs… on peut leur accorder la médaille d’or.

    Ce n’est pas ce genre de leaders que les militants et les cadres souhaitaient avoir comme dirigeants."

     

    Tiré d'un écrit du Général de la VOLPELIERE, publié dans NPI, librement arrangé à la sauce Canteloup

  • Bas les masques, bis !

    Avec l'argent des autres, on peut penser avoir le droit de l'ouvrir.

    La campagne électorale officielle coûtera plus de 300.000 euros, nous sommes réalistes, nous ne sommes pas suicidaires, nous ne sommes pas pour la collaboration du style 1940, nous serions plutôt du style "résistance" à l'oppression et à la dictature.

    En 2004, celles et ceux qui ont trahi l'amitié de Carl, n'ont investi aucun centime, ceux qui ont rejoint la "princesse de droit divin" ont toujours contesté le financement des campagnes électorales.

    Je suis bien curieux de savoir qui finance, qui paye le "gorille parisien" (c'est pas lui qui est visé, mais ce n'est pas un bénévole) apparaissant dans tous les reportages et photos publiées dans les blogs et médias locaux ou nationaux.

    Quand on parle de locaux ou de permanence, des coûts de celles-ci, de leur utilité, celle d'Hénin Beaumont est facturée par le propriétaire, dix fois plus en campagne électorale. Si ça ce n'est pas du détournement de fonds publics, alors à quoi servent les lois sur le financement public des partis politiques et des campagnes électorales.

    Il est vrai que certains se considérent au dessus des lois, n'est-ce pas mesdames et messieurs du Front Familial.

    Grattons un peu, vérifions les adresses de complaisance de certains parachutés parisiens.

    Quant à Stanislas, quant à son fils, ils vous disent bien des choses. Ils sont fiers d'être français, ils ont, eux, gagné leur retraite à la sueur de leur front, pas comme certains qui espèrent la gagner sur le dos FRONT, au détriment des vrais militants nationaux.

    Quant au HAINAUT, il est lui déçu de voir que son premier représentant réel est à la 11ème place, non éligible, de la liste du NORD.

    Quel gâchis, elle est loin l'époque où 4 représentants du HAINAUT figuraient dans chaque dizaine, en particulier dans la première dizaine.

    Le HAINAUT est puni de sa fidélité aux idées nationales, il avait 4 élus depuis 4 mandats, pour cet ultime mandat, il n'en aura aucun.

    Merci Marine Le PEN ! Merci les "COUCOUS", vive les cire-pompes !  

  • Bonnes infos

    Régionales : Rassemblement Résistance Reconquête

    non aux minarets.jpgEn soutien à la liste de rassemblement, de résistance et de reconquête " Non aux minarets en Lorraine ", il se tiendra à Metz une grande réunion publique le vendredi 5 mars en présence de Robert Spieler, Annick Martin, François Ferrier et des représentants du Vlaams Belang et de Pro-Köln;

    par ailleurs, nos camarades et amis lorrains viennent de créer un site de campagne auquel nous souhaitons bon vent : www.non-aux-minarets-en-lorraine.fr 

     

    1195196723.jpgLes efforts conjugués des grands démocrates du MRAP, du Conseil Français du Culte Musulman et de Rachid Lounès, un "belfortain" atrabilaire, auront été vains : la liste " Ligue comtoise contre les minarets" - menée par Christophe Devillers, soutenue par de Parti de la France, le Mouvement National Républicain, la Nouvelle Droite Populaire et les identaires du Front Comtois - a été validée en Préfecture malgré des demandes pressantes d' interdiction. www.front-comtois.com

     

     

    carl8.jpgAvec le soutien du Mouvement National Républicain et de la Nouvelle Droite Populaire, le Parti de la Franceprésente des listes d' alternative de renouveau national et de reconquête identitaire identitaire en Normandie, en Picardie et dans la région Centre, son Président, Carl Lang vient d' accorder un long entretien à Pierre Picace du Nouveau National-Hebdo: http://www.national-hebdo.net/spip.php?article1119

    Il est a noter qu'en FRANCHE-COMTE, 13 listes ont été déposées. 12 listes, dont celle du FRONT FAMILIAL, ont demandé au préfet de refuser l'enregistrement de la seule liste qui défend la FRANCE et les FRANCAIS.
    Le FRONT NATIONAL s'est associé au MRAP, aux verts, aux bolchéviques de tout poil, et à l'UMPS dans cette requête, évidemment rejetée par l'administration.
    Qu'en pensent les donneurs de leçons, les "COUCOUS" d'Hénin et d'ailleurs ?
    Camarade ! Choisis ton camp ! Le FRONT FAMILIAL a choisi la "HONTE" et le déshonneur.


  • Bas mes masques !

    Chers lecteurs assidus,

    Il est temps de vous informer que l'un des trois "Pieds Nickelés" n'est autre que le numéro 3 de la liste du Nord du FN.

    Pour vous convaincre de la débilité mentale de ce type, vous devez savoir que c'est le seul à indiquer dans les liens de son blog, les coordonnées du blog ordurier, débile et méchant, plus bête encore que "Hara Kiri", qu'est le site des "Pieds Nickelés".

    Une enquête a été faite après plainte auprès de la CNIL. Si rien à priori ne semble passible de diffamation, l'anonymat voulu permet à ces messieurs de déverser leurs sarcasmes à bon compte et sans contradictions.

    Heureusement, ce torchon n'est quasiment lu que par quelques initiés.

    Plus bête que méchant, peut-être !!! Le lampiste désigné, c'est le pleurnichard de la bande.

    Mais les mensonges les plus grossiers méritent des réponses, des explications.

    Quand ils citent mon soutien à la construction du Siège de Région, ils se tirent une balle dans le pied, je dirais même un obus de 75 dans la tronche.

    Il faut savoir que les trois élus régionaux présents en bonne position sur la liste régionale, Mesdames COOLZAET, GODDYN (DILLIES dans la vie, en 1 et 6, tous les deux mathématiquement élus le 21 mars, à condition de faire 10 le 14 mars) et Monsieur le Maire d'Hénin Beaumont, si,si, ils y croient, le sieur BRIOIS, on voté toutes les délibérations concernant le Siège de Région.

    Mesdames et Messieurs, vous n'avez pas fini d'entendre SLABO.

    Le 14 mars, je ferai mon devoir de citoyen.

    Ce qui est sûr, c'est que je ne voterai pas pour une liste qui comporte des mis en examen non jugés, ou non mis hors de cause avant cette date, mais quand on sait le nombre d'auditions déjà effectuées et celui de réquisitions supplétives, on n'est pas là d'en voir le bout.

    Quelle déception pour les électeurs patriotes qui verraient leurs élus destitués pour des faits d'escroquerie, suivant une quasi situation de faillite financière (à moins que COTELEC passe par là) camouflée artificiellement par les responsables nationaux de l'association concernée.

    La liste régionale du FN n'est pas la seule, c'est bien dommage.

     

    Dominique SLABOLEPSZY

    Conseiller Régional NPDC

    Membre du bureau politique du Parti de la FRANCE 

  • Les dés sont jetés

    A l'heure ou j'écris, la procédure de dépôt des listes pour les élections régionales des 14 et 21 mars est terminée.

    Y a t'il 9 listes ? Ou 10 listes, nous le découvrirons dès demain matin.

    Alors que nous entrons en campagne éléctorale, je ne trouve, pour l'instant, aucune raison de me passionner pour ce scrutin.

    Et pour vous faire une confidence, après avoir regardé le débat d'hier soir sur la 3, j'ai la certitude d'avoir eu raison de quitter ce radeau de la méduse qu'est devenu le Front Familial, si loin des espoirs que nous nourrissions il y a encore quelques années.

    Marine Le PEN fut "odieuse", avec une morgue d'avocat, avec un mépris total des télespectateurs et sans avoir pris une réelle connaissance des dossiers régionaux, elle a par exemple perdu l'occasion de se taire au sujet du "Siège de région", qui est une opération quasi exemplaire au point de vue financier, par rapport aux loyers payés à fonds perdus pendant les présidences de N. JOSEPHE et MC BLANDIN.

    On reconnaît bien là les méthodes staliniennes chères à Georges MARCHAIS : "taisez-vous Elkabach !"

    De même, au sujet des aides aux entreprises, sans trahir les secrets, pour avoir participé activement à la "Commission de suivi des aides publiques, j'ai réussi à faire rembourser des subventions captées par des chasseurs de primes, demandez donc à Pierre de Saintignon et à Madame la député de la 21ème et au sous-préfet de Valenciennes, au FIBM, jusqu'où j'ai pu intervenir, et comment des procédures contraignantes de suivi des aides ont pu être mises en place.

    Mais ce n'est pas à moi de défendre la gestion socialiste.

    Je me contenterai de souligner, et au passage de me scandaliser, de la manière dont cette "illuminée" a traité Carl LANG.

    Alors qu'en fait, elle garde avec elle les trois plus nuls de l'ancien groupe de 2004, les lêches bottes patentés, les gamellards professionnels, dont l'un deux devrait se pencher sur sa future retraite : 2014, dans 4 ans c'est pout demain, fini la proportionnelle.

    Je la renvoie à la saine lecture des actes de la Région, comptes rendus fidèles des interventions et des positions prise par celui qui est toujours le président du groupe des vrais nationaux, celles et ceux qui croient encore à la grandeur de la FRANCE.

    A la lecture de ces actes, on pourra découvrir l'indigence des interventions du "sieur Briois", quand il daignait être présent, l'incapacité de faire une intervention sans outrecuidance, sans une volonté de salir, de nuire, pour rien, ceux qui l'écoutaient, si, si, il y en avait, et qui avaient plutôt envie d'être ailleurs.

    Vous l'avez compris, je ne pourrais pas voter pour une liste qui n'a qu'un objectif : servir la soupe à l'héritiaire pour la conduire à la présidence du FRONT, et seulement à cela.

    J'aurai l'occasion de revenir sur la composition de la liste Le PEN dans le Nord Pas de Calais, et surtout montrer comment, et avec quels séïdes, trompés de façon abjecte, l'opération "COUCOUS" a pu se développer.

    Je ne demande qu'une chose, en particulier dans le HAINAUT, que celles et ceux qui font les beaux, soient pour une fois candidats aux prochaines échéances électorales que seront les cantonales de 2011 et les législatives de 2012, et financent, comme leurs prédécesseurs, leur campagne éléctorale avec le risque de perdre 30.000 euros : c'est ce qu'avaient fait les candidates et candidats de 2007.

    Pas une, pas un des 18 personnes, ayant pris ce risque n'a trouvé grâce auprès de mademoiselle héritiaire putative, la reconnaissance ne va qu'aux cireurs de pompes : Hé bonjour, Monsieur du corbeau, que vous êtes joli ....... , comme à Versailles, sous l'ancien régime, le problème c'est que le corbeau est un coucou, un volatile venu d'ailleurs.

    Messieurs, à vos portefeuilles ! N'est ce pas Serge, n'est ce pas Gérard, n'est ce pas Jacques, n'est ce pas Alex, sans oublier le fumeux Paul, et je ne cite pas toutes et tous les pleurnichards adeptes du y a cas ! J'ai surtout l'impression qu'elles et ils sont devenus des adeptes d'une nouvelle secte, elles et ils ont leur nouveau gourou.

    Et surtout, qu'ils ne viennent pas nous snober avec une soi disant "opération mains propres", pas avec des mis en examen !!!

     

    Dominique SLABOLEPSZY

    Conseiller régional NPDC

    Membre du bureau politique du PDF

      

  • Magazine National des seniors

     Spécial Identité Nationale

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    Au sommaire

    • Éditorial de Franck Le Dun • Présentation du n° Spécial

    • À lire : Pierre Descaves • Réflexions sur l’identité normande par Didier Patte

    • Lettre à une vieille république par Mathieu Mautin • De la France européenne par Maximilien Malirois

    • L’identité nationale française par Bernard Antony • Les options peu engageantes de l’Europe face à sa minorité musulmane par Daniel Pipes

    • Points de vue historiques • Le mauvais exemple britannique...

    • Racisme sur internet : analyses... par Yves Daoudal • Rencontre avec l’Agence2Presse et Gilles Arnaud

    • Le courrier des lecteurs • Pages « jeux »

    Vous pouvez vous abonner en cliquant sur ce lien : http://www.editions-heligoland.fr/

    ou en envoyant directement 25 euros par chèque aux Éditions d’Héligoland. BP 2. 27290 Pont-Authou (Normandie)

    Prix au n° : 5 euros + 1 euro de frais d’envoi.

  • Retraite ? Pas tout à fait !

    Alors que les listes pour les élections régionales des 14 et 21 mars commencent à être connues, en particulier celle qui peut permettre aux "COUCOUS" de finaliser leur forfait (provisoire), il est instructif de parcourir leur composition.

    La section du NORD est la plus révélatrice du mépris des électeurs nationaux.

    On y trouve pelle-mêle des envieux, des bras cassés et des parachutés parisiens.

    je plains les vrais militants qui se sont laissés abusés par leurs boniments.

    J'y découvre des personnes qui cautionnent une dérive familiale nationale et locale, mari et femme en position dite éligible (c'est aussi ça, la gamelle). Comme le disait l'un des "pieds nickelés" : y a bon ! les indemnités. Entre nous, c'est pas avec ça qu'en 4 ans ils se feront une retraite !!!!

    Quand je pense à la morgue de la tête de liste du NORD me critiquant lors d'une des dernières réunions (lors de la venue de Louis Aliot, il y a 2 ans). "Vieux con", c'était le qualificatif qu'il me lançait, tançant Michelle BEAL, et oubliant le respect du à son âge.

    Demandez donc à la tête de liste régionale ou départementale de vous procurer un travail, un logement.

    Mademoiselle vit toujours chez papa, dans les Hauts de Seine.

    Le retraité que je suis, a choisi son destin, après 46 années de travail laborieux, plus de 20 ans de responsabilités départementales et 18 années d'un mandat régional bien rempli, d'un militantisme pugnace qui n'est pas fini.

    Dans la vie, il faut faire des choix, le 13 juillet 2007, j'ai choisi la "LIBERTE", je compte l'utiliser pour le renouveau national.

    J'attends sans impatience, et comme beaucoup, la liquidation financière d'une maison qui se moque des lois et des règles élémentaires de la vie publique, cette liquidation arrive, et, comme tous les "COUCOUS", ils seront chassés par le peuple des nationaux.

    En attendant, je soutiendrai la liste menée par Carl LANG, en Haute-Normandie, physiquement et financièrement.

    Pour cela, des instructions sont en ligne sur le site du "Parti de la France".

    J'appelle tous les nationaux à faire le même geste financier, comme le font mes collègues du HAINAUT, Michelle BEAL et Claude DERESNES.

    Eux aussi, ont bien mérité de la patrie, à tous points de vue.

     

    Dominique SLABOLEPSZY

    Conseiller régional NPDC

    Membre élu du bureau politique du Parti de la France

  • Identité nationale

    Mardi 9 février 2010

    COMMUNIQUE DE CARL LANG

    PRESIDENT DU PARTI DE LA FRANCE

    Le débat sur l'Identité nationale débouche sur une imposture



    Le débat sur l'Identité nationale aboutit à une série de mesures, les unes dérisoires,comme le "carnet citoyen", les autres particulièrement perverses, comme "le contrat d'accueil et d'intégration des étrangers" s'inscrivant dans la politique d'immigration-colonisation menée depuis trente ans. Cela n'est guère étonnant. L'UMP a lancé un tel débat pour deux raisons : séduire les électeurs patriotes à la veille des élections régionales et surtout imposer le mensonge selon lequel l'identité de la France serait fondée sur "l'immigration et la diversité".

    C'est une imposture ! Quatre éléments définissent depuis des siècles l'identité française :
    - une terre, l'une des plus riches et des plus belles du Monde ;
    - un peuple, principalement d'origine européenne ;
    - une civilisation, issue du mariage de la culture gréco-latine et de la religion chrétienne ;
    - un Etat national, apparu il y a plus de quinze siècles avec le baptême de Clovis.

    Défendre le droit inaliénable des Français à garder leur identité,
    aujourd'hui menacée par l'immigration et l'islamisation, tel est le sens de l'engagement du Parti de la France.

    --

  • Vive la retraite !

    Pour assurer une retraite à tous les Français une grande politique familiale est nécessaire.


     

    Notre système de retraite par répartition est en faillite à cause du déséquilibre croissant entre le nombre d'actifs le finançant et le nombre de retraités qui augmente. Ce déséquilibre a trois causes :
    - le vieillissement de la population française lié à l'allongement de la durée de la vie mais aussi hélas à une natalité trop faible depuis 30 ans ;
    - un chômage de masse qui réduit considérablement le nombre de cotisants ;
    - l'entrée dans la vie active de plus en plus tardive des jeunes Français.
     
    La politique gouvernementale consistant depuis vingt ans soit à augmenter les cotisations, soit à diminuer le montant des retraites, soit à retarder l'âge de la retraite, réduit le niveau de vie des Français, actifs et retraités.

    L'autre solution de l'UMP et de la gauche est l'immigration justifiée par le fait que les immigrés paieraient les retraites des Français.

    C'est une illusion reposant sur une double imposture économique dans un pays comptant plusieurs millions de chômeurs :
    - la main d'oeuvre immigrée issue du Tiers-Monde est inadaptée aux besoins de notre économie moderne ;
    - l'immigration actuelle de peuplement constitue en termes notamment d'allocations sociales et familiales une charge financière de plus en plus lourde.

     
    Pour assurer à tous les Français, quel que soit leur âge, une retraite décente, Le Parti de la France et Carl Lang proposent une politique fondée sur :
    - une entrée dans la vie active plus rapide par la revalorisation de l'apprentissage et de l'enseignement professionnel, mais aussi des diplômes universitaires grâce au rétablissement de la sélection dans les facultés ;
    - le retour au plein emploi par l'instauration d'un protectionnisme économique français et européen permettant à nos entreprises d'affronter la concurrence mondiale ;
    - une grande politique nataliste en faveur des familles françaises pour assurer le renouvellement des générations.

     

    Ce qui est sûr, c'est que des commentaires obséquieux, me concernant, vont fleurir dans les jours qui viennent.

    Les chiens vont aboyer, la caravane passera !

    --

  • Stop ou encore !

    Débarquement de clandestins : une magistrature de collaboration

    Lundi 25.01.2010

    Eremettant en liberté, pour d'obscurs vices de procédure, la quasi-totalité des 123 clandestins kurdes qui ont débarqué illégalement en Corse le vendredi 22 janvier, certains magistrats démontrent une fois de plus leur complicité active et militante avec l'immigration clandestine.

     

    Il ne fait aucun doute que cette décision judiciaire, qui est un formidable appel d'air à destination de tous les candidats potentiels à l'immigration est avant tout politique.

     

    Monsieur Besson devrait parler moins et agir plus.

    Les Français n'attendent pas de leur gouvernement qu'il débatte à n'en plus finir de leur identité nationale mais qu'il la défende en mettant un terme au processus de colonisation qui détruit la France.


    Le Parti de la France est favorable à une législation sans faille en matière d'immigration afin d'éviter toute interprétation judiciaire spécieuse et partisane.

    La lutte contre la colonisation doit être une priorité nationale.

     

     

     

  • Identité nationale et droit de vote

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    Communiqué du Parti de la France

    Suite à la proposition de loi initiée par le parti socialiste, la question du droit de vote pour les étrangers non européens aux élections locales revient dans l'actualité. Ce débat artificiel entre l'UMP, qui feint de vouloir s'y opposer, et un PS aux abois qui, pour des raisons purement politiciennes, se cherche un réservoir électoral, est destiné à manipuler les Français une fois de plus.

     

    Il faut savoir que, d'ores et déjà, un nombre considérable d'électeurs binationaux peuvent voter en France ainsi que dans leur pays d'origine et que les résidents en France, membres d'un des 27 pays membres de l'Union européenne peuvent voter aux élections locales et européennes.

     

    Le Parti de la France rappelle que le droit de vote devrait appartenir exclusivement aux nationaux français en France et que la question du droit de vote des étrangers ne se poserait pas aujourd'hui si, depuis trois décennies, la France ne subissait pas une politique d'abandon du principe national et de négation des droits du peuple français.

    Par Thomas Joly
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  • Toujours là, présent comme toujours !

    Dans leurs commentaires, non publiés, des lecteurs assidus, plus de 100 par jour, alors qu'on me reproche un certain effacement sur le net, s'inquiétent de mon supposé silence, jusqu'à me reprocher de ne plus indiquer mes amis.

     

    Qu'ils se rassurent, pris par de grosses obligations professionnelles, car je n'ai jamais été un obligé de la politique, et malgré un presque départ en retraite, je prendrai des initiatives dans les quelques jours qui viennent.

     

    Après 30 années de services à une clientèle fidèle, j'ai opté, depuis le début de cette année 2010, pour une remise en cause informatique et un passage à de nouvelles méthodes de travail professionnel, avec un transfert informatique lourd.

     

    Cependant, en décembre 2009 et depuis le 1er janvier 2010, j'ai assumé tous mes devoirs d'élu régional, avec la constance que d'autres n'ont jamais eu et n'auront pas plus après le 21 mars prochain.

     

    Malgré les injures, j'ai pris des initiatives politiques afin de sauvegarder les acquis de la droite nationale dans le Nord Pas de Calais.

     

    Je ne sais toujours pas si je serai candidat en mars prochain, pour moi la date limite de décision est fixée au 28 janvier 2010, après ce sera sans moi.

     

     

    Dominique SLABOLEPSZY

    Conseiller régional Nord Pas de Calais

  • Silence ! on tue !

     

    Attention! le "devoir de réserve" atteint ses limites, dans la Police comme dans l'Armée. "Quand ils cesseront d'estimer, ils cesseront d'obéir" (Antoine de Rivarol). Comme nous tous ! Faites suivre.

     

    LA MORT D'UN POLICIER AUX OUBLIETTES...
    IL N'A FAIT QUE SON DEVOIR...

     

    à diffuser le plus largement possible, merci pour nous.

     

    Patrice Point est mort le 30 décembre 2009 des suites de blessures provoquées par un véhicule qui l’a volontairement écrasé contre un mur. Le véhicule était volé et conduit par des délinquants surpris en flagrant délit de cambriolage.
    Patrice était un fonctionnaire de police compétent, loyal et intègre.
    Et je ne dis pas ça parce qu’il est mort, mais parce que c’est vrai.
    Il était à quelques mois d’une retraite bien méritée.
    Les risques du métier, me direz-vous. C’est exact. Et vous aurez raison de le penser puisque tous les jours, nous y pensons aussi.
    On prend notre service, on va à l’appel, et on ne peut jamais jurer que quelques heures plus tard, aucun nom ne manquera. C’est ainsi et on le sait.
    Mais notre problème n’est pas vraiment celui-ci, voyez-vous.

    Notre problème est que tout le monde s’en fout.
    La mort d’un flic semble inutile, insignifiante, tant l’écho qui y est fait est inexistant.

    Tant ça semble faire partie d’un jeu de société. Ou de rôles.
    C’est consternant, absurde, mais l’unité de mesure de la valeur des vies humaines, l’ordre de priorité des faits quotidiens supposés intéresser, l’importance donnée à l’un de ces faits, eh bien c’est la presse qui la définit.

    Et la presse, elle ressemble à l’opinion publique.

    Elle est là pour la satisfaire, lui plaire, et lui servir ce qui la met en appétit.

    On ne peut même pas accabler les médias en fait, ils ont une mission d’audience, la distorsion de l’information à caler entre deux plages de pub, n’est pas vraiment leur problème.

    C’est la loi la plus souveraine qui soit, bien au-delà du bon sens, de la pédagogie, de l’information authentique et utile, qui dicte tout. La loi du marché.
    Et puis, la mort - donc la vulnérabilité - d’un flic, c’est anxiogène pour une population qui a déjà peur de son ombre, et il ne faudrait pas que l’audimat déserte vers des programmes encore plus creux et dissimulateurs que la messe quotidienne de l’information.
    La mort de Patrice a monopolisé moins de temps d’antenne radio ou télé, moins de lignes dans la presse que la météo. Là ! Ça vous parle, ça ?
    Et je ne vous dis rien de Johnny Hallyday et de ses petits bobos de star shootée et expertisée, un flic ça ne chante pas.
    Je ne vous parle pas non plus des sportives milliardaires qui prennent leur retraite à vingt-cinq ans, à grand renfort d’interviews pour décérébrés.

    Un flic attend la date limite de péremption - quand il y arrive – et il y va avec ses séquelles de blessures en service, et ses petites arthroses d’avoir trop bossé dehors et dans le froid.

    Mais il est content quand il y arrive, oui !
    Rien non plus sur la grippe H1N1 qui risque bien moins de vous tuer qu’un accident de la route. Là, c’est nous qui vous ramassons.
    Et encore moins de ces micros-trottoirs qui vous racontent la version mongoloïde débilisante de l’actualité à longueur de journaux télévisés, jusqu’à une exaspérante saturation, et qui pourtant recueillent toute votre empathie, tant la médiocrité devient le langage universel.

    Il neige en hiver, qu’en pensez-vous ? Noël est en décembre, c’est sans précédent depuis l’année dernière, rendez-vous compte…
    Patrice, rien. Sa mort qui a duré trois jours s’est comptée en secondes dans la somme de ce qui est censé vous informer.
    Personne n’y a trouvé un sens particulier, ou quelque chose à redire.

    Une fatalité. Une insignifiance médiatique.

    À classer dans les pertes et profits de la République.
    On en a assez.

    Assez des morts de flics, on en a tous plein le cœur et les tripes, vous ne savez pas ça, vous qui n’êtes pas confrontés à la violence. Et à la mort des autres.
    L’intégrité physique d’un flic est exposée en permanence.
    La mort d’un flic, c’est un sacrifice.
    Pour vous. Pour votre sécurité.
    Pour que vous dormiez tranquille, sans forcément investir dans une porte blindée, sans milice ou vigiles à chaque coin de rue, parce qu’on est jamais loin.

    Parce que ce pays sur lequel on chie au quotidien, il n’est pas si mal que ça.

    La violence et l’insécurité y sont bien moindres qu’ailleurs.

    Grâce à nous et grâce à la Loi.

    La police est républicaine, et il se pourrait que ça ne dure pas, et que vos gardiens de la paix et autres Compagnies Républicaines de Sécurité, vous les regrettiez quand le privé s’en mêlera.
    Je vous vois venir, là. On n’est jamais là quand il faut, c’est ça ? Et toujours là quand il ne faut pas, aussi ? Facile.

    Un grand classique de la rhétorique anti-flic culturellement correcte.
    Vous me faites rire. Si nous cessions le travail ne serait-ce que quelques heures, vous resteriez calfeutrés chez vous, morts de peur.

    Mais par défaut, vous auriez une juste mesure de notre rôle.

    Ça n’arrivera jamais, rassurez-vous, il ne vous reste qu’à l’imaginer. Si vous pouvez.

    De notre côté, on a le sens du service public. Et du service rendu.
    On ne demande pas grand-chose.
    On ne fait pas ce métier pour être aimés, c’est impossible.
    Mais si le respect... le respect...
    Les policiers ne l’attendent raisonnablement pas des délinquants.

    Ni même des petits merdeux des cités qui expriment violement leurs crises d’adolescence et autres révoltes de futurs petits beaufs consuméristes.

    À cet âge là, on est toujours plus ou moins con et colérique, même si ces temps-ci on approche les très hautes fréquences.
    Non, le respect et la reconnaissance, on l’attend de tous les autres.

    Ceux qui ne nous voient pas, ne nous remarquent pas, et trouvent tout à fait normal de vivre en sécurité dans un pays libre.

    Ceux que l’on indiffère parce qu’on fait partie d’un système.

    Ceux dont le manque de considération n’est rien moins que du mépris.
    Ceux-là, c’est vous et vos médias.
    Vous devant vos télés et vos journaux, qui n’avez pas cherché à savoir pourquoi, comment et pour qui, un flic peut mourir écrasé par des malfrats, vous qui avez eu une phrase idiote et prévisible sur l’insécurité, et qui êtes vite passés à autre chose. Qui avez oublié que quand la sécurité est un dû pour certains, elle demeure un devoir pour d’autres.
    Vous qui ne comprendrez jamais que la sécurité a un prix, et que ce prix c’est du matériel humain qui s’abime, qui se fêle, qui se casse ou qu’on démolit.

    Le 30 décembre, le prix de la sécurité, c’était la mort d’un flic.

    Victime du devoir, comme on dit.

    Et ça, vous avez le droit de ne pas l'oublier.  

           

                                             Bénédicte Desforges  

     

     

     



  • Bonne année 2010, pleine d'espoirs ! suite

    Un certain nombre de lecteurs de ce blog posent et se posent les bonnes questions.

    En effet, chacun peut légitimement se demander quelle est ma position concernant les prochaines élections régionales et l'avenir de la droite nationale.

    J'ai fait le choix de la fidélité aux idées, le choix de la fidélité AUX VRAIS AMIS.

     

    Serais-je candidat en mars 2010 ? Rien n'est sûr pour l'instant.

     

    Ce qui est sûr, c'est que je ne cautionnerai pas les listes de ceux et celles qui ont trahi la confiance et l'amitié qui liaient les 16 élus de 2004.

     

    Dominique SLABOLEPSZY

     

     

  • Bonne année 2010, pleine d'espoirs !

    Biens cher(e) ami(es),

     

    Je tiens à souhaiter une bonne et heureuse année 2010, que tous vos souhaits se réalisent, mais avant tout, une bonne santé.

     

    Pour ma part, je ne peux que vous faire parvenir le même message qu'il y a quelques mois, à la différence près, que nous sommes maintenant à moins de trois mois de l'échéance régionale de mars 2010.

     

    Les hommes (les femmes) ne font pas les évènements, seuls les évènements font les hommes.

     

    Qui peut savoir ce que demain sera, tant il est vrai que nous sommes tous sur la terre en CDD, contrat à durée déterminé, dont on ne connaît pas le terme.

     

    Vive la France.

     

    Dominique SLABOLEPSZY

     

    "Mars 2010

    Mars 2010, une nouvelle étape.

     

    En effet, dans moins de 6 mois, nos concitoyennes et concitoyens auront fait un nouveau choix décisif pour les quatre ans à venir.

    Ils auront, lors d'un scrutin à deux tours, avec couperet à 10% au premier tour, désigné leurs nouveaux conseillers régionaux.

     

     

    Élu depuis 1992, avec certains collègues, je compte bien participer à ce débât régional, et apporter l'expérience acquise dans les domaines essentiels des compétences de la région, en particulier la formation et les lycées.

     

     

    Mon engagement au service des habitants du Nord Pas de Calais pendant ces dernières années prouve que j'ai assumé TOUTES les responsabilités que les électrices et électeurs de notre région m'avaient confiées.

     

     

    J'ai assuré le quorum à la commission d'appels d'offres et des marchés publics malgré des instructions idiotes. Tous les milieux professionnels ont pu apprécier mes prises de positions efficaces au profit du contribuable régional.

     

     

    A la différence de certains, fanatiques et envieux, j'ai prouvé qu'on pouvait défendre ses convictions par l'exemplarité de son comportement, il suffit de visualiser les séances plénières du conseil régional pour s'en convaincre.

     

     

    Changer l'exécutif de notre région :

     

    Voilà l'objectif essentiel pour lequel je vais continuer le combat, sans sectarisme, toutes les formules sont possibles, sans aucune exclusive.

     

    Mars 2010, aboutissement de plusieurs dizaines d'années de militantisme national. Je n'ai rien à regretter de tous mes engagements, passés et futurs.

     

     

    Dominique SLABOLEPSZY

    Conseiller régional Nord Pas de Calais."

     

  • Démocratie locale en Suisse

     La « minarisation » de la Suisse a été rejetée !

    Les Suisses votaient ce week-end dans le cadre d’un référendum pour ou contre l’autorisation de construire des minarets en Suisse.

    Les Suisses ont répondu largement non ! 

    Ce qui est le plus symptomatique, c’est de constater comment les médias français dénigrent la vox populi. Que ce soit pour Le Figaro ou Libération, il ne faisait aucun doute que les Suisses devaient accepter cette « minarisation » de leur pays. Mais lorsque l’État donne la voix au peuple, le peuple répond non à l’islamisation de son pays, n’en déplaise aux politiques encaisseurs de pots de vins musulmans qui accompagnent par exemple tous les contrats de vente d’armes !

    Le dépit s’exprime ainsi dans Le Figaro : « Contre toute attente et défiant tous les sondages, les Suisses ont approuvé en majorité dimanche l’initiative de la droite populiste d’interdire la construction des minarets. » Pour tous ces affreux, Messieurs de l’extrême gauche à la fausse droite, il est évident que la démocratie n’est là que pour leur servir la soupe et entériner ce qu’ils ont décidé pour les manants. De ce point de vue, les Suisses sont aussi bien achalandés que nous, ainsi la ministre suisse de la Justice, Éveline Widmer-Schlumpf, avait prévenu, avant même la tenue du référendum, que : « Ce texte viole la liberté de religion et l'interdiction de la discrimination garanties par la constitution » Elle est même allée jusqu’à prétendre que le refus des minarets violerait les droits de l'homme et mettrait en péril l'image de la Suisse. Nous sommes heureux d’apprendre que bon nombre de pays musulmans ne respectent pas les droits de l’homme et présentent une image déplorable au monde, puisqu’ils refusent la construction d’églises et persécutent les non-musulmans et les chrétiens en particulier. Rappelons une nouvelle fois que l’apostasie pour un musulman est passible d’une mort très « démocratique » en islam. Ensuite, par ces propos, Madame Éveline Widmer-Schlumpf démontre qu’elle ne connaît pas grand chose à l’islam, car le minaret n’a rien d’obligatoire pour la prière en islam. Certaines rues de Paris que les musulmans occupent tous les vendredis le démontrent aisément. Les écologistes suisses ont eux aussi donné de la voix, ils ont annoncé qu’ils étudiaient la possibilité de saisir la Cour européenne des droits de l'Homme. Les écologistes suisses s’adonnent plus au vert musulman qu’au vert prairie. Mais quel mépris pour le peuple ! Ces aristocrates de la politique puant l’arrogance, dénonçant le populisme pour tout ce qui s’oppose à leur desiderata, méprisant leur héritage culturel qu’ils ne défendent même plus.

    Que le chant des muezzins recouvre le son des cloches des vaches, dans les vallées suisses, ne les gênerait en aucune manière, du moment que le doux bruissement des billets de la finance islamique chuchote à leurs oreilles, c’est-là l’essentiel.

    Les questionnements ne s’expriment pas qu’en Suisse, mais partout dans le monde dit « libre » et même dans les pays dit « musulmans » comme en Iran, dont une bonne partie de la population aimerait bien s’émanciper de cette tutelle politico-religieuse qui les étouffe, y compris dans leur expression citoyenne : en cela, imams et pseudo démocrates occidentaux se tiennent la main, dans un même mépris de la vox populi.

    Les minarets fleurissent en France et nos édiles municipaux se garderont bien de tout référendum sur le sujet, même au niveau communal. Mais gardons-nous de nous tromper de combat, la construction de minarets n’est qu’un problème architectural, le véritable enjeu demeure l’ouverture des mosquées dans notre pays.

     

     

     Louis CHAGNON

    Professeur d'histoire

    Membre du Bureau politique du PdF

    29 novembre 2009

    Nous sommes très aise que Monsieur Tariq Ramadan juge « catastrophique » le résultat de ce référendum, il affirme que « Les Suisses ont exprimé une vraie peur, un questionnement profond sur la question de l'islam en Suisse »

  • Ce peut être un crédo, mon crédo

    Débât sur l'identité française :

    Contribution de Bernard ANTHONY, membre du bureau politique du Parti de la FRANCE.

     

    Relancé aux fins d’une nouvelle campagne de séduction de l’électorat français encore attaché à la défense de la personnalité, de la continuité et de la souveraineté de la France, le débat sur l’identité nationale s’enlise. Il se noie dans le verbiage politico-médiatique, dans l’enchevêtrement de rhétoriques et discours incantatoires, où on lance des mots sans en préciser le sens et où l’on manie des concepts sans les définir.

    La notion d’identité nationale perd ainsi de plus en plus en compréhension claire ce qu’elle gagne en extension imprécise.

    Nous proposons donc ici neuf points de définition et de clarification.

     

     

    1) Sur la notion d’identité 

    Il y a « identique » dans identité et l’identité c’est donc bien sûr ce que nous avons d’identique, de commun, de semblable avec d’autres êtres ; et notamment avec les hommes, la nature humaine, l’appartenance à l’humanité. Mais l’identité, c’est aussi ce que nous avons de différences, de particularités, d’originalité. Une simple photo d’identité prouve notre appartenance à l’espèce humaine mais déjà indique quelques unes de nos spécificités, de nos différences que précisent la carte nationale d’identité (qui n’est pas exactement hélas une carte d’identité nationale…), le livret de famille et plus encore une biographie.

    L’identité c’est donc aussi ce qui distingue : les hommes sont des êtres distincts des autres animaux par l’évidence de leurs traits caractéristiques communs, de leurs capacités à développer leurs sociétés, à peser sur leur destin, à faire l’histoire. L’homme est en effet un « animal politique », on peut dire aussi « un animal historique ». Il est encore « un animal religieux » (du lat.religare : relier) qui se pose toujours et partout la question de son origine et de sa destinée, du pourquoi de la vie et de la mort.

    Pour les croyants en un Dieu créateur il est la plus éminente de ses créatures terrestres ayant reçu le don de la liberté et la connaissance du bien et du mal.

    Les hommes se distinguent par les facteurs de différenciation collective que sont la civilisation, la race, l’ethnie, la langue, la culture, l’histoire, autant de facteurs constitutifs des réalités nationales.

    Ils diffèrent encore par les facteurs de différenciation individuelle dus à l’hérédité ou au milieu : la taille, le poids, la morphologie, les aptitudes et les dons, physiques et intellectuels, le courage et les qualités morales et spirituelles, les comportements sociaux.

    On peut poser en principe que le meilleur ordre politique est celui qui respecte à la fois la commune et égale dignité de nature des hommes, et leurs différences individuelles, celui qui s’efforce de favoriser et promouvoir le développement intégral de la personne humaine, dans la diversité des potentiels individuels.

     

    A l’opposé,

     

    2) Le phénomène national, phénomène universel.

    les idéologies égalitaires ou inégalitaires sont les fondements des régimes totalitaires, communistes et nazis.

    A partir de la famille et des ensembles familiaux, des clans, des tribus, des peuples, l’humanité a vu au fil des millénaires se constituer des formes politiques variées : cités, royaumes, empires…

    Au long de l’histoire, le fait national s’est peu à peu affirmé et répandu presque partout. Selon les cas il a résulté de l’effort d’un Etat créateur, comme celui de notre continuité monarchique, ou au contraire, comme en Allemagne, l’unité de culture, de race, de langue a fini par sécréter un État.

     

     

    3) La nation française : une alchimie réussie de peuples européens. 

    La France est étymologiquement et historiquement le pays des Francs. Franc signifie « libre ». Mais, avant même que le jeune chef de la tribu des Francs-Saliens, Clovis, soit baptisé vers 496, puis sacré roi par l’évêque Remi, le pays qui va devenir la France est déjà largement façonné : c’est celui de la civilisation gallo-romaine, le plus beau fleuron de l’empire romain. La Gaule romaine (ou la Rome gauloise) est le pays de la fusion alchimique réussie des peuples gaulois et de Rome.

    D’autres peuples d’origine germanique et slave, et plus tard normands, se fondront encore dans cette alchimie. Mais pas les envahisseurs musulmans. Le socle constitutif du peuple français, de la nation française, est ainsi à peu près établi pour plus d’un millénaire dès le IX° siècle. D’autres petits affluents de population pourront alors encore rejoindre le grand fleuve gaulois.

     

     

    4) La France héritière de trois racines de civilisation : Rome, Athènes, Jérusalem. 

    Le baptême de Clovis en 496 a remarquablement marqué et symbolisé tous les facteurs constitutifs de son identité pendant des siècles.
    Le germanique Clovis, de la tribu des Francs saliens, a été sacré roi selon des formes et une tradition d’essence biblique, symbolisée par les gestes judéo-chrétiens de l’onction davidique par l’huile sainte, et celle du baptême dont s’inspire le sacre.
    Dans sa soumission spirituelle à Saint Rémi, modèle des grands évêques défenseurs des cités face aux déferlements barbares, Clovis accomplit l’acte fondamental de l’intégration décisive de la France, « fille aînée de l’Eglise» dans la chrétienté. En sollicitant et obtenant de l’empereur de Byzance sa désignation au titre de consul, il manifeste sa volonté de tenir le fil de la continuité du sens romain de l’Etat.
    La France va alors peu à peu se former dans ses éléments constitutifs fondamentaux tels qu’énoncés dans les réflexions sur la civilisation de Paul Valéry, une nation européenne au sein de ce petit cap de l’Asie qu’est l’Europe, principalement façonnée par la religion chrétienne, la raison grecque, le droit romain. Ceci bien sûr n’amène pas à oublier d’autres facteurs et apports de moindre importance.
    Athènes, Rome et Jérusalem sont ainsi les noms des trois racines essentielles, religieuses, morales, culturelles, politiques de notre civilisation et de l’identité française. Celle-ci, comme en témoignent encore les cathédrales, églises et monastères, fut principalement pendant des siècles une identité chrétienne. La fleur de lys, symbole de pureté dans la Bible et symbole marial, est celle du drapeau de la royauté, les trois fleurs symbolisant la Sainte Trinité.
    Mais le drapeau tricolore aussi vient du plus loin de notre mémoire : avec le bleu azur du ciel, couleur de Saint Martin le patron de la Gaule et aussi celle des Mérovingiens et des Carolingiens ; avec le rouge, couleur de Saint Denis patron de Paris et aussi celle des capétiens ; avec le blanc qui fut la couleur des huguenots et donc du panache d’Henri IV, et devint par la suite celle du commandement de nos armées.

     

     

    5) La langue française, instrument fondamental de l’unité, de l’universalité et de l’identité française.

    Issue de notre langue « d’oïl », continuatrice du latin mais ayant aussi recueilli beaucoup d’apports de vocabulaire celtes et germaniques, la langue française est à peu près définitivement établie dans ses structures grammaticales et dans sa sémantique dès le XV° siècle.

    Naturellement, elle continuera d’évoluer : dans ses tournures, dans les glissements de sens des mots, dans l’accueil d’expressions nouvelles et de mots nouveaux.

    Si elle était une langue figée, elle serait une langue morte. Hélas aujourd’hui, elle n’est plus en évolution créatrice mais plutôt en involution destructrice.

    Devenue langue nationale au XV° siècle avec notamment l’ordonnance de Villers-Cotterêts, la langue française a rayonné trois siècles durant dans une universalité qui fut au XVIII° siècle le thème du célèbre concours ouvert à Berlin en 1784 sous l’impulsion de Frédéric II de Prusse et Antoine de Rivarol le remporta avec son célèbre « Discours sur l’universalité de la langue française ». Frédéric II de Prusse, à la fois grand politique et brillant penseur, écrivait tous ses textes en français. Et l’on parlait le français dans presque toutes les cours d’Europe, de Vienne à Saint-Pétersbourg.

    Si cela n’existe plus, le rayonnement culturel et politique de la France repose encore en grande partie aujourd’hui sur le plus beau legs de ce que fut l’empire français : la francophonie, dont la défense et la promotion devrait être un souci majeur de nos gouvernements.

    Mais c’est hélas en France aussi qu’il faudrait mener le combat de la francophonie, c’est-à-dire celui de l’usage de la langue française et non d’idiomes barbares de substitution par des populations que l’école dite de la république maintient dans des conditions tragiques d’illettrisme voire d’analphabétisme. La langue française est plus que jamais un des éléments principaux constitutifs de l’identité française. Car il ne suffit pas de parler le français pour être français mais c’en est une condition nécessaire.

    Quant à la défense de la francophonie, elle devrait être un souci majeur, culturel et politique de l’État français, elle est une des composantes majeures de la vocation universelle de l’identité française.

     

     

    6) La Révolution française : les droits de l’homme.

    Qu’on la déplore, qu’on l’admire ou qu’on la considère avec circonspection, la Révolution française est une des grandes pages de notre histoire. Très sanglante hélas, entachée par le régicide, les massacres, les exterminations génocidaires de la Vendée.

    Le jacobinisme rousseauiste fondé sur la seule dualité de l’individu et de l’État, destructeur des corps intermédiaires, a enfanté les deux grands monstres totalitaires du XX° siècle : le communisme et le nazisme.

    La Révolution Française a durablement imprégné notre peuple du goût de l’abstraction et de l’idéologie que marque la Déclaration universelle des droits de l’Homme et du citoyen.

    Mais ce texte certes constitutif de notre histoire porte sur l’Homme en général, l’Homme abstrait, indifféremment papou, français ou chinois. La Déclaration ne porte d’ailleurs pas sur la défense des identités concrètes, individuelles, corporatives ou nationales qui sont pourtant irréfutablement des valeurs universelles aussi, tout comme l’enracinement, admirablement défendu par la philosophe Simone Weil, est une valeur universelle.

    Certes elle exalte les valeurs universelles de la liberté, de l’égalité, de la fraternité, qui d’ailleurs sont bien avant, des valeurs chrétiennes. Reste à préciser ce que les mots recouvrent…

    Mais quoi qu’il en soit, ce ne sont pas là des valeurs spécifiques de l’identité française. Elles sont exaltées dans bien des pays et bien des régimes, de la France à l’Union Soviétique. La manière dont on les invoque et dont on les applique, voilà qui est le fait des identités respectives.

    L’Homme en général, c’est-à-dire l’idée d’homme, est un concept abstrait, philosophiquement utile. Mais cette abstraction sans visage n’est pas constitutive d’une identité.

     

     

    7) La France : une race ? un métissage ? Non, un peuple et un esprit français !

    Avant Hitler, les grands leaders de la gauche, Ferry, Jaurès, Blum, employaient fréquemment et sans complexe le mot de race pour distinguer simplement les peuples selon leurs différentes couleurs de peau.

    Indifférent à la couleur et à la biologie, Frédéric Mistral chantait «  la race latine » et Charles Péguy était le poète de la « race française ». Chez le premier, comme chez le second, par ailleurs défenseur acharné de Dreyfus, il n’y avait pas l’ombre d’une trace de ce que l’on allait appeler le racisme et dont le mot venait à peine de naître.

    La race, c’était tout simplement la civilisation, c’est-à-dire un ensemble de racines, historiques, culturelles, spirituelles, tout autant qu’ethniques. Une continuité créatrice, une sève. Simplement, la race au sens biblique du terme et non au sens nazi. Le génial Alexandre Dumas, mulâtre, était un « grand illustrateur de la race française » et cette expression est gravée sur le monument d’hommage au légendaire héros du ciel de la guerre de 1914, Guynemer.

    Le peuple français résulte à l’origine, nous l’avons dit, d’une fusion de peuples européens. Son épopée impériale lui a ramené des Français issus d’autres peuples, blancs, jaunes ou noirs. Sauf idéologie ou obsession raciste, on ne voit là que les fruits d’heureuses rencontres. Notre ami, l’éminent sociologue et écrivain Jules Monnerot, grand résistant et grand militant du combat national, était un Antillais comme Aimé Césaire. Nous n’approuvions pas ce dernier, non pas par ce qu’il n’était pas blanc, mais parce qu’il était communiste !

    Pour autant, on ne voit pas pourquoi on devrait accepter la volonté idéologique de métissage systématique, étatiquement encouragée, qui s’inscrit dans une volonté nihiliste perverse de déracinement généralisé, d’indifférentiation, de substitution de population. Pas plus qu’on ne peut tolérer la montée déferlante de la haine raciste contre l’homme blanc dans certaines franges de la population.

    A l’évidence, ceux qui multiplient les appels à la haine, aux viols et aux meurtres contre la France et les Français, tels que dans les sonorités du rap relèvent d’une autre identité que l’identité française : une identité barbare.

    Principalement à l’époque moderne, la France a accueilli diverses populations réfugiées ou immigrées, européennes ou non : Juifs venus d’Europe centrale et d’Allemagne, Arméniens, Russes, Polonais, Ukrainiens et autres slaves, Baltes, Italiens, Russes, Espagnols, Portugais, Indochinois…

    Dans la plupart de ces populations, la communauté de civilisation et de religion mais aussi les facteurs d’adaptation tels que la volonté de travail et de service ont permis une rapide intégration et pour beaucoup une assimilation n’excluant point la légitime conservation de leurs racines culturelles. De ces populations sont issus beaucoup de femmes et d’hommes qui dans les domaines les plus variés du travail et de la culture ont apporté leur talent et leur courage.

    L’identité française est désormais leur identité essentielle, l’histoire de France, leur histoire. En revanche, ceux qui, sous prétexte d’un fanatisme footballistique, saccagent, pillent, incendient, agressent sauvagement les passants, en brandissant des drapeaux algériens ou d’autres, ne se reconnaissent évidemment pas dans la patrie française. Ils ne se comportent pas comme des étrangers respectueux du pays qui les accueille mais comme des envahisseurs vandales. Qu’on leur ait donné une carte nationale d’identité ne change rien à l’affaire. Leur conscience d’appartenance à la nation française est nulle, et nulle la connaissance élémentaire de notre identité. Leur slogan est de « niquer la France ».

    Si la France était gouvernée selon les principes les plus élémentaires du respect de sa souveraineté et de son identité, de la protection des biens et des personnes, les voyous barbares devraient d’abord subir les rigueurs de la loi puis être expulsés dans les pays des drapeaux qu’ils brandissent comme des vainqueurs arrogants.

     

     

    8) L’esprit français.

    Si l’identité nationale n’est pas fondée sur la race au sens ethnique, biologique du mot, elle n’en est pas moins fondée sur la réalité d’un peuple, le peuple français, uni et culturellement homogène depuis des siècles dans sa diversité bretonne ou bourguignonne, basque ou provençale ; diversité dans laquelle plus près de nous ont fusionné Nice et la Savoie, et aussi le peuple pied-noir avec ses multiples origines européennes.

    Ce peuple est uni par sa langue nationale, le français, ce qui n’exclut point la maintenance des « parlers » régionaux plus ou moins enracinés selon les cas.

    Ce peuple a été et demeure encore pour l’essentiel uni par sa conscience de continuité historique et de communauté de destin forgée dans les sacrifices immenses des guerres, fussent-elles injustement voulues par les gouvernements et désastreuses.

    Son identité nationale est symbolisée dans son drapeau, enracinée dans ses monuments aux morts, ses cimetières, ses cinquante mille clochers catholiques ou ceux des églises réformées.

    Ce peuple a sécrété un esprit public qui, à son tour, l’a maintenu dans le temps, esprit reposant sur un socle de valeurs civiques imprégnées de christianisme, implicitement ou explicitement partagées par tous, les valeurs de la vie, de la famille, du travail, de la justice, du sacrifice militaire et du respect de l’État, organe essentiel du rassemblement national, de la cohésion sociale, de la justice et de la protection des plus faibles.

    L’esprit public dans sa permanence séculaire était tout le contraire de ce monstre que l’on appelle « l’opinion publique » avec toute sa volatilité, orientée ou plutôt désorientée par les campagnes médiatiques, par les manipulations subliminales et les artifices des instituts de sondage de la « marketing-démocratie ».

    Cet esprit public était positivement irradié, éclairé, tiré par le haut, par ce que l’on peut appeler « l’esprit français », celui que l’on se targuait de pratiquer dans toutes les cours de l’Europe classique.

    Cet esprit français, ce fut, c’est encore en des lieux et milieux de liberté vraie, une certaine manière de vivre, d’aimer, de prier, de rire, de chanter, de poétiser, de batailler et de mourir.

    - Esprit d’un modèle d’intelligence ennemie de la lourdeur, du sérieux compassé, de la gravité affectée, de la vertu grandiloquente, de la citoyenneté incantatoire ;

    - Esprit que marque une immense littérature sans cesse pétillante comme le vin si bellement français du bon moine Dom Pérignon, d’une myriade de génies comme autant de bulles sans cesse reformées, de la chanson de Roland, de Charles d’Orléans et Ronsard à Rimbaud, de Villon à Péguy ;

    - Langue ciselée dans la clarté des concepts et des mots, de Pascal et Descartes, de l’immense Bossuet, de Joseph de Maistre et Chateaubriand, de Voltaire à Maurras ;

    - Tragédies et comédies françaises, des trois grands, Corneille, Molière, Racine, à l’art magistral enserré dans la contrainte classique du génie comme l’habit de lumière du toréador impose la superbe maîtrise du geste sacrificateur. L’œuvre immense de Balzac, scrutant sans lourdeur ni redite tous les aspects de la comédie humaine. Et les grands souffles d’un Hugo faisant oublier ses quelques niaises réflexions idéologiques avec les stupéfiantes visions d’un flamboyant génie sans cesse jaillissant ;

    - Manière chevaleresque et scintillante de vivre pour allègrement braver sans cesse la mort : le chevalier Bayard, et nos trois mousquetaires d’Alexandre Dumas, et « messieurs les anglais, tirez les premiers ! » et « En avant, Fanfan la Tulipe ! » et la Rochejacquelein, et Charrette, et Austerlitz, Camérone et Bazeilles, et jusqu’à Jacques Perret sur le pont d’Orléans.

    - Mais aussi sens chrétien du sacrifice et de l’héroïsme sans affectation : le Roi Lépreux de Jérusalem Beaudoin IV si respecté par Saladin ; Saint Louis, et Sainte Jeanne d’Arc et Louis XVI pardonnant à ses bourreaux et Marie-Antoinette, reine de France au courage immense et à la prodigieuse grandeur d’âme face à la cruauté sadique, reine française aussi, par le sang versé. Et sur les champs de bataille de 14, l’historien Augustin Cochin, maintes fois blessé et repartant au front pour apporter le Christ à ses soldats avant son ultime sacrifice, et très loin plus au sud, dans la plus grande France, Charles de Foucauld et Laperrine ; et un peu plus tard, l’officier chrétien Honoré d’Estienne d’Orves, le premier fusillé de la Résistance, offrant saintement son sacrifice et après lui aussi, dans la lutte fratricide, la grandeur de Robert Brasillach face à ses juges et face au poteau, et ses inoubliables « poèmes de Fresnes »dits par un incomparable acteur de l’esprit français, Pierre Fresnay.

    - Sublime scène aussi de l’esprit français, que celle racontée par Maurice Barrès du geste sublime du rabbin Abraham Bloch qui, sur le champ de bataille, sous l’artillerie, de deux bouts de bois fait un crucifix pour le porter aux lèvres d’un mourant avant d’être à son tour frappé et d’expirer dans les bras d’un aumônier catholique de la Compagnie de Jésus, le père Jasmin.

    - Et comment ne pas aussi glorifier dans notre mémoire nationale les petites congaïs de Dien-Bien-Phû qui, après avoir donné leur chaleur à nos soldats, deviennent admirables de dévouement, les soignantes des blessés. Faites prisonnières avec eux, elles refusent d’obtempérer à l’ordre de piétiner le drapeau français, elles sont aussitôt exécutées par les tueurs de Ho-Chi-Minh. Il faudrait n’être pas bien catholique ni bien français pour ne pas leur donner notre amour français jusqu’au paradis qui accueille les cœurs purs.

    - Comment encore la patrie française n’honorerait-elle pas comme grand illustrateur de son identité l’admirable auteur de « Mon pays, la France », le Bachaga Boualem, ancien vice-président de l’Assemblée Nationale, à la famille endeuillée de dix-sept des siens assassinés pour cause de fidélité au drapeau tricolore.

     

     

    9) L’identité nationale française et l’islam.

    On ne saurait en effet oublier que beaucoup de musulmans sont morts pour la France et que notre peuple avait à l’égard des leurs des devoirs de reconnaissance et de solidarité. Ce ne fut pas hélas le cas dans l’abomination gouvernementale de l’abandon aux pires tortures de nos harkis et aussi dans l’oubli, trop longtemps, des droits des anciens combattants des pays de ce qui fut l’Union Française. Mais c’est le Bachaga Boualem lui-même qui avertissait les Français des dangers que ferait courir un réveil de cet islam « oscillant sans cesse entre le fatalisme et le fanatisme ».

    L’islam ne se résoud pas en effet, hélas, à sa respectable dimension religieuse. Il est comme le rappelle sans cesse ses docteurs, à la fois religion et État, foi et loi, doctrine et mode de vie ; il comprend dans son système les principes d’un gouvernement et aussi des prescriptions de guerre, appelant les croyants au combat pour défendre leurs droits. Sauf restriction mentale ou mensonge (taqqyia), aucun musulman convaincu ne réfutera cela, aucun n’affirmera refuser les principes fondamentaux des « cinq piliers » et ceux de la charia, du jihad, de la dhimmitude.

    Le phénomène islamique en France est passé de la présence de Français musulmans se satisfaisant d’une fidélité religieuse non ostentatoire à celle d’une immense mouvance islamiste, avec ses mosquées, ses écoles, ses bibliothèques, sa culture et ses mœurs sociales, ses règles morales, ses références et ses modèles propres.

    La société islamique en France comme ailleurs puise ceux-ci dans l’exemplarité de son prophète, Muhammad, de son gouvernement à Médine, de ses anecdotes exemplaires (Hadith).

    La plupart des hommes politiques et des commentateurs sont hélas souvent tragiquement ignorants de la culture et de la réalité islamique, négligeant les immenses difficultés de coexistence à venir à la seule question du voile ostentatoire qui ne constitue pourtant qu’un révélateur.

    On peut, et il faut même, aimer chrétiennement les musulmans mais il ne faut pas se voiler la vérité dans quelque jihab ou burqa psychologique : l’islam et la séculaire identité nationale française ne sont pas compatibles. L’une finira par reléguer l’autre. Au train où vont les choses, la libanisation de la France que nous annoncions il y a un quart de siècle n’est plus une vue de l’esprit.

     

     

    En conclusion.

    Comme celle de tout être vivant, individuel ou collectif, l’identité d’une nation ne peut être figée, sauf dans la mort. Mais elle ne peut évoluer positivement que dans le respect de ses racines, de ses traits essentiels dessinés au fil des siècles, en un mot de sa personnalité.

    Une nation peut sans cesse se nourrir d’apports compatibles avec son être historique. De même le génie d’une langue permit-il l’emprunt et l’assimilation de mots nouveaux, mais pas celui de langages sommaires, dominateurs et destructeurs.

    Notre identité nationale sera détruite lorsque la France sera submergée par tout ce qui contredit, piétine, détruit ses grandes racines de civilisation : Athènes, Rome et Jérusalem.

    La quatrième capitale ne saurait être La Mecque, d’ailleurs interdite sous peine de mort à tout non-musulman. La tolérance islamique a ses limites… La quatrième capitale s’appelle Paris, bâtie autour de sa cathédrale Notre-Dame, de son université, la Sorbonne, de ses palais royaux, et que Sainte Geneviève sur ses remparts protégea de l’assaut des Huns. Paris, capitale d’une civilisation d’autant plus bellement universelle que fidèle à ses racines sûres.

    Voilà ce que tous les petits enfants des écoles devraient apprendre avec la belle langue française.

     

    Bernard ANTHONY

    Membre du bureau politique du Parti de la FRANCE

     

    "Entre nous, j'ai la conviction et la certitude d'avoir compris pourquoi Stanislas SLABOLEPSZY, né à Condé sur l'Escaut , dans le Nord en 1923, de parents immigrés polonais venus dans notre beau pays en 1920, alors qu'il n'était pas mobilisé (classe 43), mineur de fond et résistant aux nazis, marié et père de deux enfants, avait pris la décision fin août 1944, de s'engager dans l'armée française, pour que personne ne puisse le taxer de mauvais français.

    Fier de son patronyme, fier d'être français, sans renier ses origines, Stanislas a toujours refusé la double nationalité, la double allégence.

    Je suis reconnaissant à ce père qu'il fût jusqu'au jour de son départ de notre monde des vivants.

    Dieu veille sur lui."

     

    Dominique SLABOLEPSZY